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Signes de présence du Lézard

Posté par othoharmonie le 23 février 2013

 

Signes de présence du Lézard dans LEZARD 270px-timon_lepidus_holedComme les autres lézards, cette espèce se repère souvent à l’ ouïe: un frou-frou signale la présence possible d’ un individu. Souvent aussi, on peut observer une simple « fuite ». Ce lézard étant peu craintif et assez curieux, il est en général aisé de voir ou d’ entendre l’ individu, car il ressort en général rapidement de sa cachette.

L’ observation d’ un lézard dans une fente d’ un mur n’indique pas, a priori, que l’on a affaire à un lézard des murailles, les deux autres espèces, le lézard des souches et le lézard vivipare, pouvant aussi s’ y abriter. Toutefois, le lézard des murailles est bien meilleur grimpeur que les deux autres espèces.

Les lézards subissent des mues régulières: il peut arriver de découvrir des lambeaux d’ exuvie. Cette peau est fragmentée et non d’une seule pièce comme chez les serpents.

Nourriture:

Le Lézard des murailles se nourrit surtout d’ insectes, mais aussi d’ araignées, de petits mollusques, de cloportes, de lombrics,… L’ eau indispensable provient non seulement de la rosée, mais aussi de certaines feuilles ou fruits charnus.

Habitat:

Vue d'un lézard de SchreiberOn rencontre cette espèce dans les milieux pierreux bien ensoleillés, naturels ou artificiels: affleurements rocheux, carrières, murs de pierres sèches ou cimentés, ballast de voies ferrées, terrils, talus de route,… Dans certaines régions, elle semble uniquement liée à des éléments pierreux d’origine anthropique. C’ est le cas notamment en Lorraine belge où elle n’ a été observée que sur des murs (murs de cimetières, de maisons, de jardins, ruines de château,…) et sur le ballast de voies ferrées désaffectées. En montagne on peut l’ observer jusqu’ 2000 m d’ altitude.

Le territoire d’ un individu est situé dans un endroit pierreux bien ensoleillé. Il doit lui fournir des ressources alimentaires en quantité suffisante, ce qui implique la présence d’une couverture végétale suffisante pour héberger de nombreuses proies et des abris utilisés en cas de danger ou en cas de trop forte chaleur pendant la journée. Il s’ agit principalement de fissures et cavités entre des pierres, mais aussi de cavités entre des blocs de béton, des trous de micromammifères ou des fentes dans le sol servant comme abris pour la nuit, les périodes de mauvais temps, d’ hivernage et de sites de ponte adéquats. 

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Iguane

Posté par othoharmonie le 18 février 2013

 

Il existe 300 espèces d’iguanes adaptées à des modes de VIE différents; arboricoles, terrestres ou semi-aquatiques, ils sont insectivores, herbivores ou omnivores. Beaucoup ont la faculté de changer de couleur, comme les caméléons. L’iguane proprement dit est un énorme LÉZARD de 1,80 m. Il possède un fanon dentelé sous la gorge et une crête d’épines le long du corps. Il vit au bord des rivières dans la FORÊT TROPICALE américaine, creuse des terriers dans la berge et pond ses oeufs dans des trous, au pied des arbres. Aux ÎLES Galapagos vit un étrange iguane marin à la peau curieusement chatoyante.

L’espèce des iguanes, en butte aux poursuites de l’homme, est en voie de disparition, et connaîtra sans doute le sort de ses prédécesseurs, les iguanodons. A l’ère secondaire, la TERRE était habitée par des ANIMAUX étranges, certains de très grande taille. Les iguanodons étaient du nombre. Ces gigantesques animaux, pouvant atteindre 10 m de long, marchaient sur leurs pattes de derrière, très développées, et se servaient de leur longue queue comme d’un balancier et d’un stabilisateur. Malgré leur aspect menaçant, ils étaient totalement inoffensifs et se nourrissaient exclusivement de végétaux.

Iguane dans LEZARD iguane-300x225

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L’homéopathie ça marche sur les animaux

Posté par othoharmonie le 17 février 2013

L’homéopathie n’est pas exclusivement réservée aux humains ! Animaux d’élevage, chevaux de course, mais aussi chiens, chats et autres rongeurs peuvent être traités de cette manière.

L'homéopathie ça marche sur les animaux dans CHIEN chien4Cette approche thérapeutique est indiquée dans certaines affections respiratoires, dans les troubles digestifs notamment. Certains exploitants agricoles y recourent aussi en cas de troubles de la croissance, ou de la production laitière. C’est d’ailleurs la seule pharmacopée autorisée dans l’agriculture biologique, et elle permet d’obtenir de bons résultats. Le métabolisme de l’animal étant très différent de celui de l’homme, le dosage est apprécié au cas par cas. Les traitements coûtent généralement moins cher qu’en médecine allopathique – et sont également pris en charge par les assurances de santé animale.

L’homéopathie doit être réservée à des spécialistes. Elle exige de la part des vétérinaires, une formation spécifique et des connaissances régulièrement mises à jour. D’ailleurs, si près de 800 praticiens ont été formés en France depuis 30 ans, ils sont beaucoup moins nombreux à la pratiquer quotidiennement. Si vous êtes intéressé et si lui-même ne pratique pas, votre vétérinaire saura vous orienter.

Quelle forme pour les médicaments ? Comme pour les humains, les traitements homéopathiques destinés aux animaux se présentent généralement sous forme de granules – de petites billes qui se prennent à raison de 5 le matin et le soir – ou de globules. Ces derniers sont en fait, des microbilles en tube unidose. Les faire fondre sous la langue de votre animal serait bien compliqué… Il suffit en fait de les lui faire avaler, ou de les faire fondre dans l’eau de sa gamelle. Pour les animaux d’élevage, l’homéopathie s’administre généralement sous forme liquide, diluée dans l’eau de boisson.

N’oubliez pas que cette médecine est curative : elle sert uniquement à guérir un problème de santé avéré, et ne doit pas être utilisée à titre préventif.

 

Source : interview du Dr Gilbert Genouël, vétérinaire homéopathe à Montgermont (35), 17 février 2010.

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Entre l’homme et l’animal

Posté par othoharmonie le 3 février 2013

 

Il existe des talents de télékinésie ; l’homme et l’animal ont des liens étroits, liens qui sont souvent le support, le vecteur de transmissions de mes­sages d’esprit à esprit.

Entre l'homme et l'animal dans XXX - ARTICLES DE PRESSE serinCela étant, il ne faut pas confondre certaines capacités qu’ont les animaux à prévoir des dangers comme un tsunami ou un tremblement de terre avec des capacités paranormales.

Des exemples de ce type abondent. Citons ces animaux d’un zoo qui, un soir, ce sont tous mis à dormir en dehors de leurs abris bâtis qui, quel­ques heures plus tard, étaient détruits par un trem­blement de terre.

Nous pouvons aussi revenir sur ce terrible tsunami qui a ravagé récemment les côtes d’Asie du Sud-Est. Habituellement poissonneuse, les pêcheurs furent surpris de constater, dans cette zone côtière, quelques heures avant le drame, que tous les poissons avaient déserté. À terre, les récits faisant état des animaux qui fuirent sur les hauteurs furent également nombreux. Par exemple,

les élé­phants du parc touristique de l’île de Phuket, se sont libérés de leurs chaînes pour aller se réfugier dans la forêt peu de temps avant l’arrivée de la vague. Il n’y a rien de paranormal à cela, les animaux ont encore activé en eux cette capacité à sentir le danger arriver. Des microsecousses ont pu en alerter une partie, une variation subite de la pression atmosphé­rique en alerter une autre et enfin un changement inhabituel de courant sous-marin ou la perception de signes sismiques ont prévenu toute la gente aqua­tique.

Tous les êtres vivants ont capté les signaux d’alerte, tous sauf les humains. Pourtant, nous som­mes, nous aussi, des animaux (le plus évolué disent même certains) et nous n’avons rien senti venir alors que cette capacité est en nous mais reste totalement atrophiée et inexploitée.

Nous sommes des mammi­fères et contrairement aux chiens ou aux chats nous ne faisons plus appel à ces facultés particulières. Nos sociétés sont plus sûres que la jungle arpentée par notre lointain grand-père l’homme de Néandertal et du coup, nos sens liés à l’instinct de survie sont moins sollicités et s’atrophient peu à peu.

Ce constat nous mène à poser la question suivante :

Etudier les capacités paranormales des animaux, n’est-ce pas étudier nos capacités paranormales ?

N’est-ce pas étudier cette partie animale qui est en chacun de nous ?

N’est-ce pas étudier cette partie commune à tous les êtres vivants, cet héritage originel qui, une fois redécouvert, nous donnera, peut-être, accès au paradis perdu ??

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Les animaux sont aussi des baromètres

Posté par othoharmonie le 3 février 2013

Insectes baromètres et thermomètres
pressentant pluie, grêle et vent

(D’après « Le Mois littéraire et pittoresque », paru en 1901)

  par LA RÉDACTION

Les animaux sont aussi des baromètres dans XXX - ARTICLES DE PRESSE 4972737chat1-150x150Sur la seule foi d’observations, nos ancêtres considéraient certains insectes comme excellents thermomètres-baromètres dont il suffisait de scruter le comportement pour prévoir pluie, orage, vent ou encore grêle, tels les grillons, rainettes ou géotrupes

Déjà chez les Anciens — maints passages d’auteurs grecs ou latins l’attestent — on cherchait à prédire le temps, et, comme les observations scientifiques manquaient alors, le peuple érigea en principes des coïncidences fortuites. Virgile, par exemple, va nous renseigner sur les préjugés météorologiques en honneur chez ses superstitieux contemporains. Citons donc quelques vers du chantre de Mantoue traduits par Delille.

Voici d’abord les signes précurseurs de l’orage :

La grue avec effroi s’élançant des vallées
Fuit ces noires vapeurs de la terre exhalées ;
Le taureau hume l’air par ses larges naseaux ;
La grenouille se plaint au fond de ses roseaux ;
L’hirondelle en volant effleure le rivage ;
Tremblante pour ses oeufs, la fourmi déménage.

La pluie se pronostique également avec facilité :

Quand la jeune Phébé rassemble sa lumière,
Si son croissant terni s’émousse dans les airs,
La pluie alors menace et la terre et les mers.

Il faudra craindre les vents :

Quand des feux du soleil, l’Occident se colore
Si de taches semé, sous un voile ennemi,
Son disque renaissant se dérobe à demi.

La grêle s’abattra :

Si de son lit de pourpre on voit l’Aurore en pleurs
Sortir languissamment sans force et sans couleurs.

Au contraire, lorsque l’arc de la lune brille le quatrième jour, le beau temps se maintiendra un mois durant :

Le ciel sera sans eau, l’aquilon sans haleine.
L’océan sans tempêtes…

grenouilles dans XXX - ARTICLES DE PRESSEA quelques-uns de ces pronostics, nos populations rurales accordent encore certaine confiance, et les indications que les hommes des champs tirent des végétaux ou des animaux se sont multipliées au cours des âges. Ainsi on admet que la corolle du liseron se ferme aux approches de la pluie, que le mouron, ce « baromètre du pauvre homme », comme on le surnomme dans les campagnes, tient également ses fleurs closes dans des circonstances atmosphériques analogues, et si la rose de Jéricho contracte ses branches, on peut compter sur la sécheresse. Mais la prédiction du temps basée sur la gent animale paraissait jusqu’ici assez illusoire malgré l’intérêt que lui témoignèrent de grands savants.

Sous ce rapport, l’exemple de la rainette est typique. Le naturaliste Dumeril n’écrivait-il pas, en 1863, à propos de cette jolie petite grenouille verte : « On se fait un hygromètre ou un baromètre vivant en mettant une de ces bestioles dans un vase où l’on a soin de lui donner de l’eau et des insectes pour sa nourriture. Munie dans sa prison de verre d’une petite échelle, son ascension indique que le temps sera sec. » Le maréchal Vaillant soutenait la même thèse, lors d’une discussion relative à l’établissement d’observatoires météorologiques sur toute l’étendue de nos possessions africaines : « La grenouille du père Bugeaud, disait-il, égayé encore aujourd’hui les bivouacs de nos soldats en Afrique. Ce grand homme de guerre consultait sa rainette avant de mettre ses troupes en marche pour une expédition » et, poursuivait l’orateur, il faut se livrer à des observations analogues dans notre colonie afin de démontrer ou d’infirmer leur exactitude. Eh bien, l’expérience a prononcé aujourd’hui. La rainette ne saurait donner un renseignement atmosphérique sérieux.

Au début du XXe siècle, une revue américaine estimée, Popular science monthly, proposa de déterminer la température de l’air par un procédé assez singulier reposant sur le nombre de cris lancés par le grillon dans l’espace d’une minute, nombre variable suivant les oscillations thermométriques. Mlle W. Brooke y formula, en effet, la règle mathématique suivante. Adoptez 72 stridulations par minute à 60° Fahrenheit (15,5°C) et pour chaque série de quatre stridulations en plus, ajoutez 1° Farhenheit ; pour chaque période de quatre stridulations en moins, diminuez de la même quantité et vous obtiendrez une concordance parfaite entre les températures ainsi déterminées et celles relevées au thermomètre — du moins la Broooke nous l’affirme.

Vers le même temps, l’entomologiste avignonnais bien connu J.-H. Fabre, a montré que les géotrupes étaient de distingués météorologistes. Voyons à l’œuvre ces sagaces insectes, et d’abord un mot sur leurs mœurs. Parmi les assainisseurs des champs, les uns, tels que les mouches, les dermestes et les nécrophages, sont chargés de disséquer les cadavres. Une taupe gît-elle éventrée sur le chemin, au pied de la haie, un enfant sans pitié a-t-il lapidé un lézard qu’avril venait de revêtir de sa splendide parure d’émeraude, vite ces petits croque-morts accourent, attirés par le fumet du morceau. Ils charcutent, ils dissèquent et en une journée les minuscules fossoyeurs ont accompli leur tâche. La place est nette.

La seconde catégorie d’insectes préposés par la Nature à la salubrité rurale ne met pas moins d’empressement à faire disparaître les bouses de vaches, le crottin du cheval ou autres déjections d’animaux, et les géotrupes se distinguent entre tous. Ils épurent, ces pauvres « bousiers », avec toute l’ardeur de leurs mandibules, de leurs pattes, et nous n’accordons à ces utiles auxiliaires qu’un regard dédaigneux.

Les géotrupes abandonnent seulement leurs repaires vers le crépuscule et, à condition toutefois que l’atmosphère soit calme et chaude, ils se mettent à la recherche des matériaux nauséabonds dont ils vont se repaître avec délice. En une séance nocturne, la souillure choisie par chaque groupe sera enfouie. Mais si la pluie menace ou si le vent souffle, nos stercoraires restent tranquilles, car ils ont amassé sous terre des victuailles suffisantes pour un long chômage.

Fabre décrit dans son mémoire les curieuses expériences qui lui ont permis de tirer ces conclusions et il en résume les grandes lignes en trois cas généraux.

Premier exemple : soirée magnifique. Les géotrupes s’agitent dans la cage où le naturaliste les a enfermés et se montrent impatients d’accomplir leur tournée vespérale, signe de beau temps pour le lendemain. Effectivement, le jour suivant, l’atmosphère fut d’une remarquable pureté.

Deuxième observation : nuit superbe encore. Selon les indications du baromètre et l’état du ciel, le savant naturaliste croit à la continuation du beau temps. Les bousiers ne partagent pas cet avis. Ils ne mettent pas le nez dehors contrairement à leur habitude. L’insecte, plus subtil que l’homme, avait senti l’averse qui tomba un peu avant l’aurore.

Troisième fait, non moins typique. Cette fois, le ciel est couvert et la venue d’une forte ondée semble prochaine. Cependant, grâce à la subtilité de leurs organes, les géotrupes pensent sans doute le contraire puisqu’ils bourdonnent dans leur geôle. La justesse de leur pronostic s’affirme du reste bientôt, les nimbus menaçants se dissipent et, dès son lever, le soleil se montre radieux.

images-3De même, l’état électrique de l’atmosphère influence beaucoup les bousiers. Aux approches de l’orage, par de lourdes et chaudes soirées, ils s’agitent et s’inquiètent plus que de coutume. A cet égard, J.-H. Fabre relate une expérience bien remarquable. Les 12, 13, 14 novembre, les géotrupes de ses volières firent preuve d’une extraordinaire agitation. Quelle était donc le pourquoi ? Une bourrasque avait éclaté sur le nord de la France, et la forte dépression barométrique, cause de la tempête, se répercutait dans la région d’Avignon. Comme le constate le sagace entomologiste, les géotrupes lui parlaient de l’ouragan « avant son journal » ! Faut-il regarder ces constatations comme des coïncidences fortuites ?

Cependant Fabre a vu de même les chenilles processionnaires du pin subir l’influence des perturbations atmosphériques. Bien mieux, elles paraissent pourvues d’organes curieux, véritable arsenal d’instruments météorologiques. Alors, tandis que la rainette serait impuissante à prédire le temps, les géotrupes et les processionnaires constitueraient de merveilleux insectes-baromètres dont la délicatesse laisserait bien loin les indications brutales de la colonne de mercure.

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Morsure de chien

Posté par othoharmonie le 1 février 2013

les bons réflexes

La salive de chien est un épouvantable bouillon de culture où sont présentes de nombreuses bactéries. Si une personne de votre entourage a été mordue, vous devez agir selon un protocole bien précis. Lequel commence par… ne pas paniquer ! Facile à dire.

Tout d’abord, vérifiez visuellement la blessure. Il s’agit d’une plaie du visage ? Emmenez tout de suite le blessé à l’hôpital. Elle doit être suturée et, au préalable, très soigneusement désinfectée.

Morsure de chien dans CHIEN chien2Si la lésion se situe au niveau du bras ou de la jambe, demandez à la personne de réaliser de petits mouvements des extrémités afin de voir si un nerf ou un tendon n’a pas été atteint. Lavez ensuite la plaie à grande eau pendant cinq minutes.

Le chien a-t-il bien été vacciné contre la rage ?

La gueule d’un chien héberge des germes en grands nombres. La désinfection est donc une étape essentielle. Pour cela, utilisez de l’eau de Javel diluée, de la Bétadine® ou du Dakin®. Recouvrez ensuite la plaie d’une compresse imprégnée du même désinfectant, et conduisez la victime chez le médecin.

Dans un second temps, réclamez au propriétaire le carnet de vaccinations de l’animal. Vous vérifierez ainsi qu’il a bien été vacciné contre la rage. Le chien devra ensuite être surveillé par un vétérinaire, afin de détecter une éventuelle présence de la maladie.

Sachez qu’il ne s’agit pas là d’une option : tout chien ou chat, ou tout autre carnivore ayant mordu ou griffé un homme doit être présenté dans les 24 heures à un vétérinaire, par son propriétaire. Si l’animal n’a pas été vacciné ou s’il s’agit d’un chien errant, rendez-vous au centre antirabique le plus proche, afin que le blessé puisse directement être vacciné contre la rage. Un rappel antitétanique est également très recommandé.

Source : Le guide du chien heureux, de Sophie de Villenoisy, éditions Leduc.s, 215 pages- le 31 juillet 2012

 

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Le chat…moine

Posté par othoharmonie le 31 janvier 2013

  – Conte de Mongolie !

Il était une fois, un chat qui avait volé un vénérable moine à maintes reprises. Un jour qu’il s’enfuyait avec un chapelet entre les dents, le moine le poursuivit, l’attrapa par la queue et la lui arracha. Ainsi troussé, le chat n’osa plus se montrer ni chasser; il perdit toutes ses forces et faillit mourir de faim. Mais il eut une idée : il pendit le chapelet à son cou et se posta près d’un passage très fréquenté. Une souris l’y aperçut, s’effraya et voulut se sauver, mais le chat lui adressa la parole : 
«Mon enfant, sois sans crainte. Je suis un chat-moine, j’ai fait mes voeux et ne tuerai point. Dieu veuille que vous autres souris suiviez, comme moi, les chemins de la religion!».

Le chat...moine dans CHAT chat14La petite souris, très impressionnée par ces douces paroles, devint pieuse. Elle réunit un grand nombre de ses compagnes et leur transmit le message. Toutes venaient entourer le chat dévôt pour l’écouter. Alors, il leur dit:
«Maintenant, après avoir entendu le saint enseignement, faites cercle autour de moi et défilez l’une derrière l’autre, afin de me faire votre profession de foi, avant de rentrer chez vous.»

Ainsi, après chaque sermon, les souris s’en allaient en marchant à la queue leu-leu . Et le chat mangeait la dernière. Voyant diminuer leur nombre, un doute vint aux souris et elles délibérèrent. Le président de l’assemblée conclut : 
«Allons examiner les crottes du chat!» 
En y trouvant des os et des poils, les souris furent fixées : le chat les trompait. Au sermon suivant, on posa la question au chat : «Maître, de quoi vous nourrissez-vous?» 
Le chat : 
«Je me contente, mes frères et mes soeurs, de feuilles et d’herbes sèches.»
Le président réunit encore l’assemblée et décida : 
«Procurez-vous une clochette avec un ruban, que vous trouverez dans la maison du voisin. Nous l’attacherons au cou du chat. Si, en le quittant, vous entendez le son de cette clochette, retournez-vous toutes pour voir ce qu’il fait!».

Au sermon suivant, le président dit au chat, en attachant la sonnette à son cou : 
«Veuillez accepter, oh Maître, ce modeste bijou!» 
Et quand les souris s’en allèrent à la queue leu-leu, comme d’habitude, elles entendirent soudain tinter la clochette, se retournèrent et virent le chat dévorer la dernière de la procession. Alors, le président s’écria :
«Le ventre du saint chat augmente au fur et à mesure que le nombre des souris diminue. Maître, comment se fait-il qu’on trouve des os et des poils dans vos crottes, si vous ne consommez que des feuilles et des herbes?» 
Ainsi parla-t-il, et toutes les souris se sauvèrent chez elles pour ne plus jamais revenir. Le chat reconnut : 
«J’ai été pris pour ne pas avoir recouvert mes crottes.»
À partir de ce jour, il ne manqua plus jamais de le faire, et voilà pourquoi tous les chats en font autant. Du moins, c’est ce que l’on dit.

Auteur inconnu

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Protection du Héron

Posté par othoharmonie le 19 janvier 2013

 

/ MENACES / STATUTS 

Protection du Héron dans HERON 220px-Purple_heron2Le héron cendré souffre beaucoup pendant les hivers trop rigoureux qui gèlent les plans d’eau, et les populations nordiques ont un taux de mortalité important lors des longues vagues de froid. Cette espèce montre cependant une bonne capacité de récupération dans les années qui suivent.

A cette cause de mortalité naturelle, s’ajoutent la chasse et le piégeage. 
Mais l’espèce est menacée par les changements dans son habitat avec le drainage des zones humides, la déforestation et les dérangements sur les aires de nidification. 
L’espèce est très protégée et les chiffres augmentent dans la plupart des zones d’habitat. Actuellement, les populations sont stables et ne semblent pas menacées. 

Citation:

Loi ducale n° 3922 : 

Art. 1. Lorsque les nécessités de la préservation du  » patrimoine biologique normand » justifient la conservation d’espèces animales non domestiques et sujettes à l’influence néfaste de l’homme et plus particulièrement de son vorace appétit, sont interdits : 

1° La destruction ou l’enlèvement des oeufs ou des sites de nidification, la mutilation, la terrination barbare, la destruction, l’utilisation à des fins culinaires, la capture ou l’enlèvement,  » la perturbation intentionnelle « , la naturalisation d’animaux de ces espèces afin qu’ils servent d’ornementations de très mauvais goût, leur détention, leur colportage, leur mise en vente, leur vente ou leur achat. 

2° La destruction, la coupe, la mutilation, l’arrachage, la cueillette, le broutage intensif ou l’enlèvement de végétaux ou animaux, ou de toute autre forme nécessaire à ces espèces au cours de leur cycle biologique, ainsi que leur transport, leur colportage, leur utilisation, leur mise en vente ou leur achat. 

3° La destruction, l’altération ou la dégradation du milieu de vie particulier à ces espèces animales ou végétales. 

4° En cas d’intérêt scientifique soudain ou d’une passion intense pour l’ornithologie, les autorités administratives normandes elles seules se verront habilitées à fournir des autorisations temporaires exceptionnelles et sous haute surveillance pour l’étude et l’observation à caractère scientifique sans interférences dans le respect du dit-décret. 

Art. 2. Afin de ne porter préjudice ni aux milieux naturels ni à la faune et à la flore sauvages, est interdite l’introduction dans le milieu naturel, volontaire, par négligence ou par imprudence : 

1° de tout spécimen d’une espèce animale à la fois non indigène au territoire d’introduction et non domestique ; 
2° de tout spécimen d’une espèce végétale à la fois non indigène au territoire d’introduction et non cultivée. 
3° Dès qu’une infraction est constatée, l’autorité administrative peut procéder à la capture, au prélèvement, à la garde ou à la destruction des spécimens de l’espèce introduite. 

Art. 3. Paragraphe exceptionnel adressé au dénommé « Terrineur Fou » ou Cronos de son vrai nom, dans lequel lui est interdit : 

1° De s’approcher d’animaux de cette espèce dans un rayon de 100m afin qu’il ne cède pas à ses pulsions meurtrières sociopathes incontrôlables 

2° De promouvoir et de faire usage de l’image ou du nom d’animaux de cette espèce à des fins personnelles. 

3° De déambuler dans les lieux publics avec une faux dont il a été établi qu’elle a été l’instrument de tant de barbarie et qui inspire crainte et horreur à bon nombre de normands. 

4°Il sera autorisé dans certains cas exceptionnels d’abattre des hérons cendrés (régulation de la population, maladie, famine avérée…..) et ils pourront donc être utilisés, si tant est qu’il ne représentent pas de danger pour la santé des hommes, à se sustenter. Ces demandes de dérogations seront soumises à une étude rigoureuse des autorités compétentes. 

Art. 4. Toute infraction constatée aux dispositions édictées dans les articles précédents est passible de sanctions variant selon la gravité et les circonstances du délit : 

1° Sont punies d’une amende de 6 écus et d’un emprisonnement d’une durée maximale de 1 jour ou de l’une de ces deux peines (qui peuvent être réévaluées par la suite) les infractions aux dispositions des articles 1,2 et 3 exceptions faites pour les perturbations intentionnelles et l’usage de l’image et du nom du héron cendré. 

2° En cas de récidive, les peines peuvent être portées au double. 

3° Les préposés chargés de constater les infractions mentionnées dans les articles 1, 2 et 3 peuvent procéder à la saisie de l’objet de l’infraction ainsi que des instruments et ayant servi à commettre l’infraction.

 Description de cette image, également commentée ci-après

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Mythes et Légendes du Lapin

Posté par othoharmonie le 23 décembre 2012

 

Le lapin, omniprésent à l’état sauvage puis domestique, est de facto un animal qui « hante toutes nos mythologies, nos croyances, nos folklores », sans que l’on puisse savoir de quelle espèce il est question, et encore moins si l’on parle de lapin domestique ou sauvage. Il est même confondu avec le lièvre, en raison de mœurs et de morphologie similaires entre ces deux espèces.

Mythes et Légendes du Lapin dans LAPIN - LIEVRE 250px-tsukibunny-238x300Le lapin peut faire partie des douze animaux du zodiaque chinois, en remplacement du lièvre ou du chat. Il est étroitement lié à la lune, en partie « parce qu’il dort le jour et gambade la nuit » et diverses légendes le relient à cet astre, en particulier chez les Aztèques et les Japonais. C’est aussi un symbole de fertilité, comme le prouve le lapin de Pâques qui apporte les œufs dans les pays germaniques et anglo-saxons. Selon Hélène Renard dans son Dictionnaire des rêves, la symbolique du lapin est clairement associée à la fécondité et les rêves de lapins sont très souvent présents chez les femmes issues d’une famille nombreuse ou ayant eu de nombreux enfants (plus de six).

 Superstitions

Le lapin est l’objet de nombreuses superstitions. Si les pattes de lapin sont censées porter chance, ces lagomorphes sont considérés comme attirant la poisse dans la mythologie maritime, il s’agit là du tabou le plus connu chez les marins. De ce fait, les lapins sont bannis physiquement de tout bateau, mais aussi mentalement, le mot « lapin » ne devant pas être prononcé (il est habituellement remplacé par l’expression « la bête aux grandes oreilles »). Une explication serait issue du temps de la marine à voile, où les animaux (vraisemblablement des lapins domestiques) étaient embarqués vivants : le lapin aurait causé de nombreux naufrages en rongeant les cordages ou la coque des bateaux. Une autre évoque la symbolique sexuelle du lapin.

 La consommation du lapin est soumise à des traditions et tabous culinaires. Certaines religions l’interdisent comme la religion juive.

L’ironie de la superstition concernant la patte de lapin n’a pas échappé à certains. « La patte de lapin, ça porte bonheur, mais pas au lapin. » a dit Louis Aragon dans La Diane Française. Dans les années 1950 aux États-Unis, une publicité de sécurité routière rappelait cette vérité aux conducteurs supposés porter ce type de talisman sur eux ou dans la voiture.

 La variété de laîcheCarex ovalis est parfois appelée laîche patte de lièvre, mais elle est plus connue sous le nom « laîche des lièvres ».

L’île Patte de Lièvre se situe dans l’estuaire maritime du Saint-Laurent

Rabbit’s foot (patte de lapin en anglais) est le nom de code d’une substance dangereuse dans le film Mission: Impossible III

 La patte de lièvre peut aussi désigner une partie d’aiguillage.

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Les Mythologies du Lièvre

Posté par othoharmonie le 21 décembre 2012

 

Les Mythologies du Lièvre dans LAPIN - LIEVRE lepus_californicus-244x300S’il figure en bonne place dans l’astrologie chinoise (sous le double signe de la vertu et de la prudence, mais aussi du butinage amoureux!), le lièvre n’a pas toujours eu bonne réputation. Dans la tradition païenne, il était le compagnon des déesses de la fertilité, qu’elles soient Vénus chez les Romains, Ostara dans les pays germaniques ou Easter en Grande-Bretagne. Cela vient sans doute de ce que la hase, la femelle du lièvre, peut s’accoupler avec un mâle alors qu’elle a déjà été fécondée par un autre et porter ainsi des levrauts de deux mâles ou bouquins différents…

Une façon d’être qui a beaucoup dérangé les moralistes du Moyen Age. Ainsi le pape Zacharie. En l’an 751, il décréta impure la viande de lièvre, l’animal étant considéré comme «lubrique, possédant des vices ignobles qui se transmettraient à l’homme» s’il mangeait de cette chair… Dans certaines religions, la viande de lièvre est impure pour une autre raison: l’animal digère ses aliments en deux temps, en réabsorbant ses crottes de la première digestion.

Dans l’art roman, la capture du lièvre symbolise le paganisme vaincu, tandis que dans l’art gothique, le lièvre représente l’un des péchés capitaux, à savoir la luxure. Pour pouvoir supplanter la tradition païenne, le christianisme a parfois dû composer avec elle, afin de mieux lutter contre elle. C’est ainsi que les deux croyances se sont mêlées. Par exemple Pâques, fête de la Résurrection du Christ pour les uns, fête de la déesse Easter pour les autres. En anglais, on dit du reste toujours «Easter» pour Pâques et en Allemagne «Ostern»! De là, probablement, la tradition d’offrir des œufs à Pâques et un lapin ou plutôt… un lièvre en chocolat !

Ostara


Le mois d’avril porte, chez les anciens germains, le nom de mois d’Ostara. Ce nom apparaît encore dans les dénominations actuelles de la fête de Pâques en Angleterre (Easter) et allemande (Ostern). Ostara est en réalité une ancienne divinité à la fois du printemps et de l’aurore. Le printemps étant l’aurore de l’année. Nous sommes en fait là face à une très ancienne fête indo-européenne célébrée à l’équinoxe de printemps, période où les jours deviennent de plus en plus longs, raccourcissant de ce fait les heures consacrées à l’obscurité hivernale, et où en quelque sorte la nouvelle année renaît au monde, comme il en est ainsi, à chaque aube du jour, pour le soleil invaincu. L’étymologie nous permet d’attester notre interprétation : chez tous les peuples indo-européens, on retrouve un terme proche d’Ostara pour désigner l’Aurore (ushas chez les Indiens, aurora chez les Latins, eos chez les Grecs, ustra chez les Slaves, etc…). Les peuples indo-européens ont tous une déesse de l’aurore ou du printemps. Symbolisant le printemps, la déesse Ostara met donc un terme à l’hiver ; symbolisant aussi l’Aurore, elle permet au soleil de supplanter la nuit.

Le lièvre est l’animal favori d’Ostara. Pas étonnant qu’il soit omniprésent dans les fêtes pascales. Dans maints récits populaires, il fait office de guide du chasseur qui doit rejoindre une jeune femme – manifestation de la déesse – vivant au pied d’un arbre et dispensatrice de cadeaux. Le lièvre se retrouve dans de nombreuses légendes et comptines enfantines. Ses représentations abondent dans l’art pictural et architectural.

En pays germanique, c’est lui qui souvent apporte les œufs de Pâques. On dit même qu’il les pond ! Cet œuf, que nos ancêtres décoraient avec minutie, était à l’origine plutôt peint en rouge, couleur associée au printemps. Mais cet œuf symbolise aussi l’éternité et la fécondité de la vie et surtout d’une vie qui semble s’auto générer. C’est pourquoi l’œuf faisait l’objet d’un culte au moment de l’équinoxe de printemps. D’où son assimilation naturelle par la christianisme qui l’associe à la résurrection du Christ. On notera également le fait que l’œuf, dans les traditions indo-européennes, était considéré comme étant le principe à l’origine de toute chose.

barre chat blanc
Ferg in Devenir n°12

 http://www.lagruyere.ch/archives/2004/04.02.24/magazine.htm

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Vipères trépassant

Posté par othoharmonie le 15 décembre 2012

Vipères trépassant au seul contact
de la salive humaine ?

Conte

(D’après « Des erreurs et des préjugés répandus
dans la société » paru en 1810)

Enracinée depuis plus de deux millénaires et relayée plus récemment par Voltaire, une opinion populaire répandue voulait que la salive humaine fît mourir les vipères…

Vipères trépassant dans SERPENT vipera_aspis_pyrenees_orientalesSi vous avez des serpents ou des vipères dans votre jardin, consultez Aristote et Claude Galien, ils vous diront que rien n’est plus facile que de vous en délivrer. Il suffit de cracher dessus avant déjeuner ; Galien prétend en avoir fait l’expérience à la satisfaction d’un grand nombre de personnes qui en furent témoins. Suivant Avicenne, la salive de l’homme tue non seulement les reptiles mais tous les animaux qui portent aiguillon.

Varron et Pline attestent que de leur temps on a vu des hommes qui faisaient mourir des vipères avec leur salive ; plus proche de nous, Voltaire rapporte un certificat de son chirurgien Figuier, lequel dit : « Je certifie que j’ai tué, en diverses fois, plusieurs serpents, en mouillant un peu avec ma salive un bâton ou une pierre, et en donnant sur le milieu du corps du serpent, un petit coup qui pouvait à peine occasionner une légère contusion. »

Le poète Lucrèce est du même avis que le chirurgien Figuier ; il affirme dans on quatrième livre : « Crachez sur un serpent ; en sa douleur extrême / Il se roule, s’agite et se mange lui-même. » Personne avant Lucrèce n’avait dit que les serpents se mangeassent eux-mêmes ; mais tout est permis aux poètes.

Voltaire observe à ce sujet qu’il est triste que notre mère Eve n’eût pas au connaissance de ce secret ; que de peines elle aurait épargné au pauvre genre humain, si au lieu d’écouter le mauvais propos du serpent, elle lui eût craché au nez.

La tradition affirme que le consul romain Marcus Atilius Regulus fut obligé de faire en règle le siège d’un gros serpent long de 37 mètres, qui menaçait son armée se dirigeant vers Carthage lors de la Première Guerre punique (qui se déroula de 264 à 241 avant J.-C.). Si Regulus eût seulement ordonné à ses soldats de cracher dessus, il n’aurait eu besoin ni de balistes, ni de catapultes, ni de toutes les machines de guerre qu’il employa pour le réduire.

Le savant Redi a voulu vérifier les expériences d’Aristote, de Galien et du chirurgien Figuier. Il a craché à jeun et dans un temps de rhume, sur une multitude de vipères que le grand duc de Toscane avait fait rassembler pour composer la thériaque ; mais à la grande confusion de ce savant, toutes les vipères se sont moquées de ses crachats, et pas une seule n’a fait semblant de s’en apercevoir. Il semble qu’on puisse tuer les vipères avec un peu de salive, pourvu qu’on ait soin d’y ajouter… un bon coup de bâton.

Ce qu’on a prétendu de la salive de l’homme, on l’a également dit de sa transpiration. C’était une opinion populaire qu’un morceau de pain placé sous l’aisselle d’une personne en sueur devenait un poison mortel et qu’il suffisait de le donner à manger à un chien pour que celui-ci devînt aussitôt enragé. Mais la sueur de l’homme ne tue personne, pas plus que sa salive.

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Entre chats et chiens

Posté par othoharmonie le 8 décembre 2012

 

Entre chats et chiens dans CHAT thomy-domino-oc-11-640x480-300x225Les chats sont des animaux indépendants, mais aimants qui ajoutent une touche merveilleuse à tous les foyers. Comme les chiens et les autres animaux domestiques, les chats ont besoin d’amour et sont sensibles à la présence de compagnons. Chaque chat a sa propre personnalité et inclination individuelle, comme on l’a vu.

Certains sont très sociables, voire extravertis, avec des personnalités hardies. Ils aiment être avec les gens ou avec d’autres animaux et s’adaptent vite à des styles de vie et des milieux variés.

Ces chats sociables aiment explorer, ils sont très confiants et aiment les contacts physiques et les interactions fortes dans les jeux avec leur famille d’adoption ainsi qu’avec les autres animaux de compagnie de la famille.

Les chats timides ou farouches préfèrent être dans un environnement bien connu en présence des gens et des animaux de compagnie auxquels ils sont familiers et avec lesquels ils se sentent à l’aise. Cela leur prend habituellement longtemps pour s’adapter aux changements importants tels que les déplacements ou l’arrivée d’un autre animal de compagnie dans la maison.

Que le chat soit confiant et extraverti ou farouche et timide, il existe plusieurs moyens, donnant de bons résultats, pour l’aider à s’adapter aussi facilement que possible aux changements importants tels que présenter le chat à de nouveaux animaux domestiques de la famille ou aux enfants.

Plusieurs personnes sentent que leur famille est incomplète s’ils n’ont pas au minimum un chien et un chat auprès d’eux, et même si leur cohabitation peut parfois se révéler difficile au début, cela en vaut certainement la peine.

Il existe plusieurs étapes que vous pouvez suivre pour aider le chien et le chat à s’adapter l’un à l’autre, mais ne les mettez pas d’emblée ensemble en pensant qu’ils parviendront d’eux-mêmes à s’habituer l’un à l’autre.

Cela pourrait être très stressant pour les animaux et même, dans de rares cas, dangereux pour le chat, parce que certains chiens considèrent les chats comme une proie et les chassent ou les attaquent instinctivement.

En effet, des chiens tels que certains terriers et d’autres chiens de chasse considèrent le chat comme un petit jouet qu’ils chasseront et blesseront peut-être. Il faut donc s’en faire une raison, certaines races de chiens ne sont malheureusement pas compatibles avec la présence de chats dans la maison…

Lorsque vous présentez un chat nouvellement adopté à un chien, assurez-vous de disposer d’une zone sûre, telle qu’une chambre d’ami, avec de la nourriture, de l’eau, les jouets, le lit du chat et autres éléments indispensables.

Maintenez le chat dans cette pièce, en permettant au chien et au chat de se sentir mutuellement sous la porte. De cette manière, le chat s’habitue aux nouvelles odeurs et aux sons propres au  chien, tout en se sentant en sécurité. Assurez-vous également que les membres de votre famille rendent fréquemment visite au chat.

Après un jour ou deux, placez une barrière pour bébé à la porte, ce qui permettra de garder le chien dehors tout en laissant les animaux se familiariser progressivement l’un à l’autre. Ne permettez jamais au chien de chasser le chat et gardez toujours le chien en laisse en présence du chat jusqu’à ce qu’ils s’adaptent l’un à l’autre.

Félicitez régulièrement les deux animaux pour leur bon comportement l’un envers l’autre et offrez-leur des cadeaux sous forme de nourriture ou de jouets pour les récompenser et il ne faudra pas longtemps pour que le chat et le chien se tolèrent. Dans de nombreux cas, le chat et le chien deviendront de merveilleux amis et deviendront vite inséparables.

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Penser comme un chat

Posté par othoharmonie le 30 novembre 2012

 

Un des meilleurs moyens pour comprendre votre chat consiste à être capable de vous défaire momentanément de vos perspectives et perceptions d’humain et de tenter d’adopter une vision du monde plus proche de celle d’un chat. Si vous maîtrisez cet art, vous êtes sur le point de devenir un maître empathique et éclairé, capable de répondre aux besoins et aux comportements de votre chat sans aucune hésitation.

Se mettre dans la tête de votre chat

Penser comme un chat dans CHAT chatonLe meilleur moyen d’en apprendre plus sur votre chat est de passer du temps à l’observer tranquillement. Regardez attentivement ce qu’il fait, quels sont ses centres d’intérêt et comment il répond aux changements qui interviennent dans son environnement.

Une fois que vous avez une bonne perception de la manière dont il répond et interagit, il est facile de prédire comment il répondra à vos propres comportements. Il devient également possible d’anticiper ce qui pourrait devenir des problèmes dans votre environnement pour votre chat.

Lorsque vous essayez de réfléchir comme un chat, rappelez-vous qu’il est, par nature, un chasseur, même s’il peut se révéler amical et joueur, il garde les instincts de ses ancêtres.

Ne partez jamais du principe qu’un chat ne sera pas agressif, mais observez plutôt et essayez d’apprendre ce qui déclenche chez lui son agressivité, la peur ou l’envie de jouer. Si vous avez deux chats ou plus, les regarder interagir est un très riche enseignement. À travers leurs jeux ou l’absence de jeux, vous apprendrez bientôt quel chat est dominant, lequel est plus soumis et dans quelle mesure leur tempérament est compatible.

Rappelez-vous que les chats doivent être actifs, et même s’ils sont capables de passer un temps extraordinaire à dormir, ils ont besoin de grimper, courir et jouer pour rester heureux et en bonne santé. Il faut donc savoir leur en donner l’opportunité, notamment grâce au jeu, mais aussi leur offrir des endroits où ils pourraient grimper et s’étirer.

La présence d’autres animaux dans la maison contribue également à maintenir votre chat en bonne santé physique et mentale. S’il sort, il est également important de penser à sa sécurité et de faire en sorte qu’il reste dans les limites de votre propriété.

Si votre chat a de mauvais comportements, ne le punissez pas, essayez plutôt de considérer l’environnement de son point de vue… Que lui manque-t-il ? Et qu’est-ce qui doit être changé ? Qu’est-ce qui n’est pas comme cela devrait être ? Ce sont là autant de bonnes questions à se poser. Habituellement, si nous, en tant qu’êtres humains, pouvons identifier les réponses à ces questions, les problèmes de comportements devraient se corriger chez le chat.

Par malheur, des dizaines de milliers de chats et de chatons sont abandonnés dans des refuges animaliers et finalement détruits parce que leurs propriétaires n’ont pas pris le temps de considérer ce dont le chat a besoin pour être heureux dans son environnement.

Chercher des solutions et obtenir de l’aide

domino-300x225 dans CHATGrâce à la possibilité d’accéder rapidement à des informations fiables sur le web et grâce à bon nombre d’articles, de sites, ou de forums chats, trouver des idées et chercher de l’aide ou de l’assistance pour comprendre votre chat n’a jamais été aussi facile.

Cependant, précaution élémentaire, si vous avez recours à un site Internet, assurez-vous de sa réputation, et plus spécifiquement de la qualité de ses contributeurs et de leur niveau de connaissances.

Les sites web qui conseillent tout type de punition ou des dressages négatifs sont à éviter, mais ceux faits par des vétérinaires, des éleveurs de chats, des passionnés avertis, ou des experts en comportement animal peuvent se révéler être des mines d’informations.

En plus de l’aide en ligne, n’oubliez pas qu’il existe toujours une littérature abondante sur le sujet sous forme de livres ! Ceux-ci peuvent être très utiles, particulièrement en ce qui concerne les soins à prodiguer à votre chat et pour vous aider à comprendre son comportement. Là aussi, prenez en compte les références et l’expérience de l’auteur ; l’idéal est de faire quelques recherches pour vous aider à choisir.

Si vous avez acheté un chaton de race, l’éleveur sera pour vous la meilleure source d’aide et d’assistance, ainsi que les membres des différentes associations d’éleveurs de chats de race.

Les personnes travaillant dans divers refuges pour animaux, si vous avez adopté un chat ou un chaton, sont également une ressource précieuse pour vous aider à accueillir votre nouvel animal de compagnie.

Votre vétérinaire est une autre personne ressource fiable pour obtenir des informations pratiques et sûres quant à la manière d’élever votre chat, de gérer les petits problèmes au quotidien et pour lui prodiguer les meilleurs soins.

Dans certains cas, votre vétérinaire pourra vous orienter vers un expert en comportement animal qui déterminera ce qui ne va pas et vous aidera dans les changements environnementaux à apporter pour améliorer l’adaptation de votre chat.

Prendre soin d’un chat ou de chats est une expérience merveilleuse ! Ces animaux, petits, mais très indépendants, vous offriront de belles années d’amitié. Vous vous amuserez avec eux, ils vous distrairont, et vous pourrez parfois faire l’expérience singulière de ce que signifie penser comme un chat !

Si vous prenez vraiment le temps de comprendre votre chat, vous verrez qu’à travers lui vous pourrez avoir une perspective différente sur le monde et vous acquerrez par ce processus une meilleure compréhension de vous-même…

 

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Les chats et la sorcellerie

Posté par othoharmonie le 30 novembre 2012

 

Les chats et la sorcellerie dans CHAT 150px-cat_silhouette.svg_Par ailleurs, les chats ont longtemps été associés à la magie noire et aux sorcières particulièrement dans les années 1400 ainsi que beaucoup plus tôt, au début du Moyen âge. Au cours du Moyen âge en Europe, le sort ou la destinée des chats changea radicalement, ils furent alors associés aux démons comme d’autres objets de superstition.

En Europe, l’Église Chrétienne commença une énorme campagne de chasse aux sorcières et aux chats. Durant cette période, la population massacra les chats presque jusqu’à leur quasi-extinction parce qu’on croyait que les chats, incarnations du mal, étaient les associés des sorcières et partageaient avec elles les pouvoirs de la magie noire. Les gens chassaient les chats, les torturaient et ensuite les tuaient, souvent en même temps que leur maître.

En plus du massacre des chats jusqu’à leur quasi-extinction, l’Église accusa de sorcellerie une multitude d’hommes et femmes innocents, les tortura et les brûla vivants sur des bûchers. En effet, posséder simplement un chat ou aider un animal blessé ou malade était un motif suffisant pour torturer et tuer quelqu’un.

Cependant, le nombre de rats, vecteurs de maladies, augmentait au fur et à mesure que la population des chats diminuait, contribuant au développement d’épidémies et à la diffusion de la peste à travers toute l’Europe.

C’est donc au cours de la période médiévale que le mal et les chats noirs furent associés. Beaucoup croyaient que les chats étaient des sorcières ou des serviteurs surnaturels de ces dernières, simplement parce qu’ils étaient des animaux nocturnes, errant dans la nuit avec leurs yeux brillants si particuliers et leurs mouvements légers.

Les chats étaient devenus l’incarnation du mal, du mystère tapi dans l’ombre et on les croyait doués de pouvoirs terrifiants. Tandis que certains associaient les chats noirs et les sorcières, d’autres pensaient que les chats noirs étaient eux-mêmes des sorcières déguisées en chats noirs !

Ce n’est qu’au dix-septième siècle que les chats revinrent en grâce, remontant dans l’estime de la population, et redevenant des compagnons aimés et des régulateurs naturels empêchant par la prédation la prolifération des rats et autres rongeurs.

 

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Domestication ancienne du chat

Posté par othoharmonie le 30 novembre 2012

 

Il existe un doute quant à la domesticité du chat sur ce qui l’a conduit à devenir aujourd’hui l’un des compagnons favoris de l’homme, comptant ainsi au rang du petit nombre d’animaux qui ont le privilège de vivre à l’intérieur des maisons.

Le mystère qui entoure le chat vient autant des superstitions et mythes sur les félins que de la personnalité indépendante de cet animal parfois difficile à comprendre…

Domestication ancienne du chat dans CHAT chats-00031Le chat, contrairement aux autres animaux domestiques, a choisi de lui-même de rester aux côtés des humains. Il n’a pas été domestiqué de manière sélective.

Des spécialistes estiment que les premiers chats ont été probablement attirés vers les villages et les camps d’humains depuis leurs forêts natales, en raison du nombre de rongeurs et autres petits animaux de proie qui étaient attirés par les habitations humaines.

Ces chats, encore sauvages, seraient progressivement devenus plus « calmes et détendus » dans l’environnement humain. Les chatons nés dans les villages auraient été habitués dès leur naissance au contact humain ou, tout au moins, à la présence humaine. Une fois que les hommes comprirent la formidable aptitude du chat à maîtriser la prolifération des rongeurs, leur avenir était tracé : ils étaient là pour rester…

Différentes indications archéologiques montrent que les relations humain-chat ont été continues depuis des milliers d’années. Sur les sites de sépultures isolées, dans les îles de la Méditerranée, on a ainsi trouvé des squelettes de chats, souris et humains, tous retrouvés dans le même lieu !

Si les souris ont pu atteindre l’île en se cachant dans les paquets de nourriture et d’autres fournitures, la seule manière qui rend plausible la présence de chats sur ces mêmes îles est qu’ils aient été amenés sur l’île par les marins et les colons. Il est probable que ces îles éloignées eussent été littéralement envahies de rongeurs sans la présence de ces chats importés.

La première culture à domestiquer et à transformer les chats en compagnon d’intérieur a été la civilisation égyptienne. Ce processus commença il y a près de 4000 ans. Les fermiers et commerçants égyptiens nourrirent alors les chats pour les inciter à rester à proximité, contrôlant ainsi par ce biais la population de rongeurs dans les surfaces de stockage de nourriture.

À partir de ce timide début de domestication, le chat atteignit bientôt un pic d’importance dans la culture des Égyptiens.

On les adorait alors  en tant qu’incarnation terrestre des dieux et déesses de la chasse et de la fertilité. Les chats étaient libres de circuler parmi les habitations et un site de sépulture sacré leur était même consacré, le Temple à Bubastis, où les chats étaient momifiés et conservés selon la coutume de ces temps anciens. La mort d’un chat dans une maison mettait toute la  famille en deuil.

Des lois interdisant la mise à mort des chats sous peine de mort sont restées en vigueur pendant plusieurs centaines d’années dans les villes égyptiennes. Les chats africains étaient également domestiqués et traités avec révérence et respect de par leur valeur symbolique.

Les chats étaient également utilisés comme monnaie d’échange entre différentes cultures. À l’origine ils étaient les animaux de compagnie et compagnons des seuls commerçants les plus riches.

En raison de la grande capacité de reproduction des chats, cette valeur d’animal symbole de richesse n’a pas perduré puisque le nombre de chats a rapidement augmenté dans de nombreux ports et villes de l’hinterland jusqu’à ce qu’ils deviennent une nuisance pour la population humaine.

chats-00032 dans CHATAujourd’hui encore, plusieurs villes dans du monde ont toujours des problèmes avec l’énorme population de chats sauvages qui s’y sont installés.

L’élevage sélectif de chats pour produire des races différentes et reconnaissables devint fréquent à l’époque moderne. Cependant, la grande majorité des chats domestiques de la terre ne sont pas de race pure, seuls 5 % de la population domestique totale appartient à une race reconnue. Les autres chats sauvages ou domestiques sont généralement classés en deux catégories, les chats à poils courts domestiques et les chats à longs poils domestiques.

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Les chats et la météo

Posté par othoharmonie le 30 novembre 2012

 

À travers l’histoire, de nombreux mythes sur les chats ont vu le jour dans presque toutes les cultures et sociétés où les chats étaient domestiqués et avaient acquis le statut d’animaux de compagnie.

Les chats et la météo dans CHAT chat-parapluieCes représentations ont évolué au fil du temps. Ainsi, certaines cultures ont repris et modifié les mythes et superstitions d’autres civilisations sur les chats, tendant à accroître encore certaines idées négatives, voire sinistres, sur le comportement des chats.

Dans les temps anciens, les marins pensaient que regarder la manière dont les chats se comportent pouvait réellement prédire le temps. Les marins croyaient que les chats noirs étaient un présage de malchance et causeraient du mauvais temps tandis que d’autres marins tenaient les chats à la robe écaille de tortue en grande estime parce qu’ils pensaient qu’ils leur porteraient chance.

Un autre exemple de croyance largement répandue était que si le chat du bateau commençait à jouer bruyamment, cela signifiait qu’un vent violent s’approchait. Sur une mer calme, les petites ondulations à la surface étaient appelées « pattes de chat » parce que les marins pensaient que les fantômes des chats de bateaux dansaient sur l’eau face au vent.

Les marins japonais, quant à eux, croyaient qu’un chat tricolore à bord d’un bateau les avertirait si le bateau se dirigeait vers une zone d’orages, suffisamment tôt pour permettre aux marins de faire rentrer le bateau au port avant que frappe l’orage.

En Égypte, dans les temps anciens, les gens croyaient que lorsqu’un chat commençait à nettoyer l’arrière de ses oreilles, cela annonçait l’arrivée du beau temps alors qu’en Chine le même geste signalait l’imminence de la pluie de la même manière qu’un chat clignant de l’œil. On pourrait encore citer d’autres mythes concernant les chats et le temps, notamment :

  • Que les chats pourraient prédire le temps et, ainsi, un chat qui nettoyait son visage ou ses oreilles prédisait la pluie, ou encore s’il grattait les rideaux et les tapis, cela prévoyait du vent.
  • Que les chats prédisent le mauvais temps lorsqu’ils glissent leurs pattes sous eux pour dormir.
  • Que, d’après certains marins, la pluie tomberait après qu’un chat ait éternué une fois et encore, qu’un chat léchant sa fourrure à rebrousse-poil annonçait une averse de grêle !
  • Les premiers colons américains pensaient que si leur chat s’asseyait devant le feu avec son dos tourné vers les flammes, il y aurait bientôt une grosse vague de froid.
  • Que pour les marins utilisant des chats pour prédire le temps avant d’embarquer pour un voyage, un chat joueur annonçait un vent qui soufflerait par rafales et un bon voyage, tandis qu’un chat miaulant fort et faisant du bruit signifiait un voyage très difficile et orageux.
  • Une autre croyance populaire de marins était que les chats pouvaient emmagasiner de la magie dans leur queue et qu’ils avaient le pouvoir de l’utiliser pour déclencher les orages. Ainsi, les marins s’assuraient que les chats étaient toujours contents et bien nourris pour qu’ils ne fassent pas usage contre eux de cette magie !

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La stérilisation de la chatte

Posté par othoharmonie le 30 novembre 2012

 

La stérilisation est encore de nos jours sujette à controverse. Certains propriétaires hésitent à faire stériliser leur chatte car ils pensent que cela va la rendre malheureuse. Ce n’est pas le cas et voici pourquoi cette chirurgie permet au contraire à une chatte une vie plus longue et plus sereine.

 

 

http://www.dailymotion.com/video/xcdkva

 

Une hésitation ?

On a trop souvent tendance à considérer nos animaux comme des personnes, or ce n’est pas le cas : ils ne fonctionnent pas comme nous et n’ont pas du tout les mêmes préoccupations ni le même ressenti sur les choses de la vie.
Une chatte est guidée par son instinct animal et ses hormones : en dehors des périodes de chaleur, tout intérêt reproducteur disparaît : une chatte n’a pas « envie » d’avoir des petits. Il est donc faux de croire qu’il est bon pour son équilibre mental d’avoir fait une portée.
La stérilisation ne « diminue » pas une chatte, cela ne la mutile pas, elle ne s’en rend pas compte.
Autre idée reçue : faire une portée n’augmente pas l’espérance de vie d’une chatte, au contraire.

Une chatte n’a pas besoin de faire une portée pour être en bonne santé ni pour être heureuse

Intérêts

La stérilisation a de nombreux intérêts chez la chatte :
– La suppression des chaleurs et des comportements sexuels (miaulements, fugues, bagarres…)
– La suppression du risque de gestation non désirée (de nombreux chatons, plusieurs fois par an…)
– La diminution du risque de survenue de tumeurs mammaires
– La diminution du risque de survenue de pathologie utérine (pyomètre, métrite…)
– La diminution du risque de transmission du virus du sida félin (transmis principalement par les morsures, griffures et les rapports sexuels) pour lequel il n’existe aucun vaccin, et de la leucose. 

Bien plus qu’un acte simple de suppression des chaleurs, la stérilisation est donc bien un acte important de prévention médicale. Toutefois, il est important de noter que le risque d’apparition de tumeurs mammaires est d’autant plus faible que la stérilisation est réalisée tôt (l’idéal étant avant les 1ères chaleurs).

Notez bien que la contraception médicale (pilule en cachet ou injection de contraceptif) n’empêche pas les maladies citées ci dessus, au contraire, elle provoque un dérèglement hormonal et des pathologies graves peuvent apparaître plus rapidement.

Faire stériliser une chatte avant ses premières chaleurs c’est lui éviter de graves maladies

Inconvénients

La stérilisation ne présente que peu d’inconvénients. Le seul véritable réside dans une augmentation de l’appétit de la chatte après la stérilisation, ce qui peut induire une prise de poids si l’on ne surveille pas son alimentation.

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Le Lièvre d’Amérique

Posté par othoharmonie le 28 novembre 2012

 

Le Lièvre d’Amérique, Lièvre variable ou Lièvre à raquettes (Lepus americanus) est un petit mammifère de l’ordre des lagomorphes, de la famille des léporidés et du genre lepus. Il est largement répandu aux États-Unis et au Canada. La femelle du lièvre d’Amérique s’appelle la hase et le petit le levraut.

Bien qu’il n’ait aucune valeur commerciale pour sa fourrure et très peu pour sa viande, il est très apprécié par les chasseurs de petit gibier, car il est relativement facile à chasser grâce aux traces qu’il laisse derrière lui dans la neige. Il porte d’ailleurs aussi le nom de « Lièvre à raquettes », surtout aux États-Unis sous la forme anglaise de Snowshoe hare, à cause des traces de ces pattes arrières.

Description de cette image, également commentée ci-aprèsLe pelage du Lièvre d’Amérique est de couleur brun grisâtre durant la saison estivale et il devient blanc pour la saison hivernale. En fait, le lièvre d’Amérique mue deux fois par année, une fois l’automne entre août et septembre et une fois au printemps entre mars et avril. C’est ce qui entraine ce changement saisonnier de la couleur de son pelage. Ce changement se manifeste par le remplacement des jarres extérieurs. Son pelage est composé de trois couches de poils : un duvet de couleur gris ardoise qui est dense et soyeux, des poils plus longs aux extrémités beige jaunâtre ainsi que de longs jarres plus raides. Un bon moyen de le différencier du Lièvre arctique en dehors de sa plus petite taille est le fait que la base des poils du Lièvre d’Amérique demeure foncée même en hiver. La couleur de la queue est aussi un bon moyen. En effet, la queue du Lièvre arctique est blanche même en été tandis que la queue du Lièvre d’Amérique est brune durant la même saison. La queue du Lièvre d’Europe est noire.

Le Lièvre d’Amérique a une longueur totale de 38 à 50,6 cm incluant une queue de 2,5 à 4,5 cm de long et une hauteur à l’épaule entre 20 et 22 cm. Ses pieds mesurent entre 12 et 15 mm. Le Lièvre d’Amérique a les oreilles plus petites que la plupart des autres lièvres. Celles-ci mesurent entre 62 et 68 mm. Les individus adultes ont un poids allant de 1,3 à 2,3 kg tandis que les nouveau-nés pèsent entre 50 et 96 g. Les femelles sont souvent légèrement plus grosses que les mâles.

La longévité du lièvre ne dépasse que rarement 5 ans dû à leurs nombreux prédateurs. Son principal prédateur est le lynx du Canada. La liste de ses prédateurs comprend la belette, le coyote, la loutre de rivière, le renard roux et le vison d’Amérique. Elle comprend aussi des oiseaux de proie tels que l’autour, la buse à queue rousse, la buse pattue, le faucon gerfaut, le grand duc et l’harfang des neiges. Il arrive aussi qu’il soit la victime d’un chat domestique.

Les populations de Lièvres d’Amérique subissent des fluctuations cycliques qui atteignent leur sommet sur un cyle de dix ans.

Comportement :

Le Lièvre d'Amérique dans LAPIN - LIEVRE 220px-Lepus_americanusLe Lièvre d’Amérique vit de manière solitaire et sédentaire sur un domaine de deux à seize hectares. Il marque clairement des sentiers qui forment un réseau à l’intérieur de son domaine pour se déplacer entre les secteurs de repos et les secteurs d’alimentation. D’ailleurs, ces sentiers sont facilement observables en hiver avec les traces laissées dans la neige. Il demeure caché sous les branches basses, des arbres tombés ou des débris de coupe toute la longueur de la journée. Il tolère la présence de ses congénères bien que des affrontements surviennent surtout en période de tur.

Il peut faire des bonds jusqu’à 3 mètres et atteindre une vitesse de 45 km/h.

Le Lièvre d’Amérique est chassé pour sa fourrure. Il est aussi chassé pour sa chair. Son statut est considéré comme étant de préoccupation mineure par l’Union internationale pour la conservation de la nature.

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La Mule du diable

Posté par othoharmonie le 20 novembre 2012

Mule du diable (La)
et le seigneur Geoffroi le Mauvais (Deux-Sèvres)

(D’après « Revue de l’Aunis » paru en 1869)

par LA RÉDACTION

 

 

La Mule du diable dans ANE Sil-00722.1LOn voyait autrefois sur la rive gauche du Thoué, à peu de distance de la ville de Thouars, un château en ruines dont les sombres murailles contrastaient singulièrement avec le riant paysage qui les entourait. Ses tours éventrées, asile des corbeaux et des oiseaux de nuit, ses fossés fangeux, où les reptiles grouillaient en paix au milieu des ronces, lui donnaient un aspect des plus sinistres. Ce vieux logis féodal s’appelait le château de Marsais. A la fin du XIIIe siècle, il était habité par un seigneur cruel et batailleur, redouté de tous ses voisins. On comptait par centaines les victimes qu’il avait tuées en combat singulier. Il s’appelait Geoffroi mais le peuple avait ajouté à ce nom une épithète bien méritée : partout on le nommait Geoffroi le Mauvais.

Personne n’osait s’aventurer sur la terre de ce farouche châtelain. Un soir d’hiver il arriva quelque chose d’insolite à Marsais. Geoffroi sommeillait depuis quelques minutes au coin de son feu, lorsqu’un bruyant son de trompe se fit entendre à la porte du château. La nuit était proche. L’arrivée d’un visiteur, à pareille heure surtout, était quelque chose de si étrange que le seigneur réveillé en sursaut s’élança d’un bond, pour donner l’ordre de courir sus à l’insolent qui venait troubler son repos. Au moment où il arrivait à la fenêtre, un spectacle singulier frappa ses regards : le pont s’abaissait de lui-même et la herse se relevait devant un chevalier qui arrivait monté sur une mule noire. Les serviteurs, accourus pour barrer le passage à l’inconnu, restaient cloués sur place et s’inclinaient sans oser lever la tête.

L’apparition du personnage avait en effet quelque chose d’effrayant. Revêtu d’une armure aussi sombre que la nuit, il s’avançait lentement en étendant le bras comme pour commander le silence. Sous la visière de son casque, on voyait, à l’endroit où devaient se trouver les yeux deux lueurs éclairant d’une façon sinistre la vaste cour du château. Les yeux de la mule lançaient aussi des sortes de flammes. Parvenu en face du seigneur, l’inconnu s’arrêta et lui adressa la parole en ces termes :

« Geoffroi, je viens de bien loin pour t’offrir le combat. Jusqu’à présent tu as toujours été heureux, mais le destin se lasse de t’être favorable. Il faut enfin que tu sois vaincu ». Le seigneur lui répondit : « Je n’ai pas l’habitude de me battre avec ceux que je ne connais pas. Qui es-tu ? Montre-moi ta figure ». Et l’étranger de lui rétorquer : « Je te croyais brave : je me trompais. Si tu veux voir mes traits, viens à minuit dans la forêt, au carrefour des Trépassés. Je suis le chevalier maudit. Oseras-tu croiser le fer avec moi ? ».

Geoffroi lui répondit : « Il suffit. Tu ne saurais m’effrayer. Je me battrais avec le diable même, si je me trouvais en face de lui. A minuit, chevalier de la sombre figure, je t’enverrai rejoindre le roi des ténèbres, qui est sans doute un de tes proches ». L’inconnu se contenta de lui dire : « En attendant, tu peux faire préparer ta fosse ». A ces mots, le chevalier maudit disparut en laissant derrière lui un sillon de fumée. Malgré sa grande bravoure, Geoffroi le Mauvais n’était pas sans inquiétude. Ce sombre personnage, pensait-il, est sans doute Satan lui-même. Comment faire pour le battre ? Tout à coup une pensée lui vint : « Je le vaincrai », s’écria-t-il !

Le seigneur de Marsais croyait beaucoup au diable et fort peu à Dieu. Il avait cependant conservé, dans son château, une petite chapelle dans laquelle on célébrait quelquefois le service divin. Il se dirigea de ce coté et courut au bénitier. Il tressaillit de joie en voyant qu’il était encore à moitié plein. L’eau bénite versée dans le fourreau de son épée devait lui assurer la victoire. A minuit il arrivait au carrefour des Trépassés. L’inconnu s’y trouvait déjà. Debout à côté de sa mule, il attendait son adversaire. Suivant sa promesse, il avait le visage découvert.

L’horrible expression de ses traits ne pouvait laisser aucun doute dans l’esprit : c’était bien le souverain de l’enfer. Geoffroi se plaça en face de lui et tira précipitamment son épée. Aussitôt le diable poussa un cri de douleur ; l’eau bénite venait de frapper sa figure. Couvert de brûlures, aveuglé, il était hors d’état de se défendre. « Je suis vaincu », s’écria-t-il avec rage. « Comme preuve de ta victoire je te laisse ma mule. Prends-la sans crainte, elle te rendra de grands services. C’est une bête précieuse ; elle ne se lasse jamais et n’a pas besoin de nourriture ; il ne faut pas même lui donner à boire » Sans attendre la réponse de Geoffroi, le démon disparut. La mule était restée à la même place. Le seigneur de Marsais ne savait trop s’il devait accepter ce singulier cadeau. Il finit cependant par se décider à l’emmener.

 dans ANELe diable avait dit vrai ; sa monture était infatigable. Geoffroi s’en servit pour la reconstruction de son vieux château. Elle fut employée au transport des matériaux. Les ouvriers ne pouvaient suffire à mettre en œuvre les pierres qu’elle apportait sans trêve ni repos, le jour et la nuit. L’édifice s’élevait comme par enchantement à la grande satisfaction de Geoffroi, mais au grand effroi des paysans de la contrée. En voyant monter si vite les hautes tours du château, ces derniers se signaient et disaient tout bas que c’était une œuvre infernale.

Comme pour donner raison à leurs propos, le seigneur acheva sa construction sans relever la chapelle qu’il avait démolie. Le travail se termina pourtant sans accident et Geoffroi put s’installer dans sa nouvelle demeure. Il l’habitait depuis quelques jours, lorsqu’un soir un valet d’écurie croyant bien faire donna de l’avoine à la mule. Celle-ci, mise aussitôt en fureur, lança contre la muraille une si terrible ruade que le château s’ écroula tout entier, en ensevelissant sous ses ruines le seigneur et ses gens.

Le chevalier maudit apparut, dit-on, alors au milieu des ruines. « Je suis vengé », s’écria-t-il. Il s’élança ensuite sur sa mule, qui prit en galopant le chemin de Maranzais. On voit encore, sur le piédestal de la croix Mathon une trace de son passage. C’est l’empreinte du fer de la monture de Satan. La mule avait voulu renverser la croix en passant, mais elle n’avait réussi qu’à entamer légèrement la pierre.

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Enquêtes extraordinaires

Posté par othoharmonie le 7 novembre 2012

 L’INTELLIGENCE DANS LA NATURE – Enquêtes Extraordinaires

 

http://www.inexplique-endebat.com/article-l-intelligence-dans-la-nature-enquetes-extraordinaires-70816395-comments.html

PASSIONNANT film sur le site ! A VOIR 

 

L’intelligence dans la nature, est un documentaire (1h23) de la série Enquêtes Extraordinaires de Stephane Allix sur le sixième sens des animaux et leur interaction avec les humains.

Autour de nous, quantité d’événements inexpliqués se produisent. Ces expériences, qualifiées de surnaturelles, sont rapportées en toute bonne foi par de très nombreux témoins. Depuis plusieurs années, des scientifiques, physiciens, biologistes, neurologues et psychiatres, étudient ces sujets, proposent des hypothèses et tentent de les expliquer. Enquêtes Extraordinaires plonge au cœur des phénomènes inexpliqués les plus incroyables de manière approfondie.

Stéphane Allix, ancien reporter de guerre et fondateur de l’INREES, dont l’expertise est reconnue et appréciée des scientifiques, applique des méthodes d’enquête rigoureuses au domaine de l’inexpliqué, qui jusqu’alors, n’était pas toujours abordé avec sérieux.

Nous avons tous entendu parler de ces chats qui retrouvent leur maître, parti à 200km de leur habitation, de ces chiens qui savent lorsque leur maître rentre, quelle que soit l’heure. Comment font-ils ? Les animaux sont-ils doués de télépathie ? D’un sixième sens ? Le travail du biologiste anglais Rupert Scheldrake tendrait à le prouver.


Ce documentaire relate ces nombreux phénomènes où l’animal nous a surpris par son comportement, comme s’il lisait dans nos pensées ou prévoyait nos réactions. Et si une communication entre les animaux et les hommes était possible ?

Rencontre avec trois femmes exceptionnelles : La première, Anna Evans, vétérinaire, semble communiquer avec les animaux de compagnie, la deuxième, Laila del Monte, obtient des informations d’une grande précision de la part de chevaux qu’elle ne connaît pas, la troisième, Marta Williams, nous apprend que nous en serions tous capables.
L’intelligence dans la nature présente l’histoire d’Oscar, un chat capable de prédire la mort des patients; celle de J.T un chien qui prévoit le retour de sa maîtresse Pam; le mystère de l’orientation des pigeons voyageurs; des chamanes en Amazonie qui communiquent avec des plantes; la communication intuitive avec les animaux et d’autres phénomènes relatifs à la télépathie.


Parmi les intervenants : David Dosa, Philippe de Wailly, Marc Giraud, Rupert Sheldrake, Marie-Noëlle Baroni, Anna Evans, Laila Del Monte, Marta Williams, Sandra Van Den Hof.
Un film qui fera probablement considérer les animaux de compagnie d’un autre oeil…
 

 

http://www.inexplique-endebat.com/article-l-intelligence-dans-la-nature-enquetes-extraordinaires-70816395-comments.html

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