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Dauphin de l’Indus

Posté par othoharmonie le 3 juin 2012

 

 

 Platanista minorLe dauphin de l’Indus (Platanista minor), ou plus rarement plataniste de l’Indus et localement bhulan est, selon les auteurs, une espèce de Platanista ou une sous-espèce (Platanista gangetica minor) du dauphin dulçaquicole

L’Indus (connu sous le nom de Sindh ou Sindhu dans l’Antiquité, Senge Khabab en tibétain (qui sort de la bouche du lion)) est un fleuve du Pakistan qui a donné son nom à l’Inde. Il coule depuis l’Himalaya en direction du sud-ouest et se jette dans la mer d’Oman. L’Indus fait partie des sept rivières sacrées de l’Inde.

Le dauphin de l’Indus possède un corps gris-brun d’une longueur moyenne de 2 mètres pour un poids d’environ 80 kg. Comme la plupart des dauphins d’eau douce, il possède un rostre long et étroit (pouvant mesurer jusqu’à 20 % de la taille totale de l’animal). Il est doté de larges nageoires pectorales mais ne possède pas d’aileron dorsal qui est remplacé par une simple bosse ce qui lui permet de nager en travers dans des eaux peu profondes.

Fréquentant des eaux boueuses, il est quasi aveugle, mais se sert de son écholocation pour trouver sa nourriture consistant en poissons et mollusques.

La femelle est plus grande que le mâle ; la gestation dure 11 mois et le petit mesure près d’un mètre à la naissance.

Comme son nom l’indique, cette espèce vit dans le bassin de l’Indus au Pakistan.

L'Indus vu depuis la route du Karakoram reliant le Pakistan à la Chine.C’est une espèce menacée de disparition par l’industrialisation et la chasse (pour sa viande et son huile utilisée en cosmétique et en aphrodisiaque). Seul un millier d’individus subsistent et on leur pronostique à court terme des difficultés génétiques. On le trouve rarement en groupes supérieurs à trois individus et il semble migrer au gré des saisons le long du fleuve.

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Constellation du Dauphin

Posté par othoharmonie le 2 juin 2012

 

 

Image illustrative de l'article Dauphin (constellation)Les Babyloniens placèrent dans cette région du ciel la silhouette d’un porc. Un autre mythe nous révèle que ce dauphin sauva le fameux poète grec Arion. Selon la mythologie grecque, le Dauphin fut placé parmi les constellations par Poséidon, frère de Zeus, car l’animal lui avait indiqué la cachette de sa bien-aimée, Amphitrite.

Située à proximité d’Altaïr, cette constellation, petite mais caractéristique, ne fait que 60 de long et tient dans le champ de vision de nombreuses jumelles

Le Dauphin est une petite constellation de l’hémisphère nord, proche de l’équateur céleste.

Le Dauphin est citée par Aratus de Soles et était déjà l’une des 48 constellations répertoriées par Ptolémée. L’origine de son nom, en revanche, n’est pas explicite et trois légendes s’y rattachent : la première concerne la néréide Amphitrite, dont Poséidon tomba amoureux et qu’il kidnappa. S’étant enfuie, elle fut convaincue par un dauphin que le dieu des mers était une personne correcte. En récompense, Poséidon plaça le dauphin sur la voute céleste. La deuxième raconte que le poète Arion de Méthymne, faisant route vers Tarente, fut menacé d’être jeté par-dessus bord par l’équipage qui voulait le voler et ne dut son salut qu’à un dauphin, attiré par la musique que le poète avait demandé à jouer avant son exécution, et qui le transporta à bon port. La troisième raconte le voyage de Dionysos. Il voulait aller à Argos, sa patrie, mais découvre qu’il est sur un navire de pirates. Il fait pousser une vigne pour arrêter le navire, puis il transforme les pirates qui voulait le voler en dauphins. Mais Poséidon eu pitié du chef qui faisait grand nombre d’offrandes et de sacrifices au dieu. Il décida de le prendre et le mit au ciel

Cette constellation fut également connue sous le nom du Chameau chez les astronomes arabes et de la Baleine de Jonas chez les Hébreux.

Les deux étoiles les plus brillantes de cette constellation portent des noms traditionnels étranges, Sualocin (α Delphini) et Rotanev (l’étoile β). Ils ont une origine peu commune : apparaissant pour la première fois sur une catalogue d’étoiles publié par l’observatoire de Palerme en 1814, ils viennent en fait de Nicolaus Venator écrit à l’envers, le nom latinisé de Niccolo Cacciatore (Cacciatore et Venator signifiant chasseur), l’assistant directeur de l’observatoire à la publication du catalogue.

Observation des étoiles

Le Dauphin est une constellation faible, mais sa forme est très caractéristique et se dégage facilement quand la visibilité est suffisamment bonne (Mag 4).

Il se situe immédiatement au Sud-Est du triangle d’été, directement à l’Est de l’œil d’aigle de Altaïr, et au Sud du Cygne.

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Relations du Dauphin-Mélèze

Posté par othoharmonie le 1 juin 2012



Relations du Dauphin-Mélèze dans DAUPHIN meleze2Les amis, sont très importants pour le Dauphin-Mélèze. Il vit par eux, avec eux, pour eux. Selon lui, la vie n’aurait pas de sens s’il n’y avait échange ni communication avec autrui. Se sentant heureux, délivré des soucis, il souhaite que tout le monde éprouve le même bien-être. Lorsqu’il est affligé de graves maux physiques, cela n’influe en rien sur son moral. Il est même capable de réaliser des choses inouïes malgré les handicaps. Résolument idéaliste, le Dauphin-Mélèze vît comme on devrait vivre : bienheureux, plein d’esprit et de générosité.
Ses amis sont tous les êtres sans exception. Il a simplement avec eux différents degrés d’intimité selon les particularités de chacun.

Son meilleur ami est le Héros terrestre-Peuplier. Les deux ont les mêmes buts bien qu’ils diffèrent quant aux moyens d’y parvenir. Le Héros terrestre-Peuplier croît à la réalisation de soi sur le plan individuel (l’illumination) alors que le Dauphin-Mélèze adhère aux théories sur l’évolution générale de l’ensemble des êtres, humains et non humains. Ils discutent des nuits entières, fêtant chaque affinité à grands cris de joie.

Avec le Centaure-Cognassier, ils entreprennent des recherches spéculatives sur les possibilités de devenir immortels. Leur amitié est fondée sur la confiance en leurs forces vitales ils s’exaltent l’un par l’autre. Souvent passionnés par les jeux sportifs, ils s’ébattent, s’entraînent et rient beaucoup.

Paradoxalement, le Chasseur-Cerisier est aussi un de ses amis intimes. Non qu’il partage son goût pour le sang et la nature, mais il aime partager avec ce joyeux drille les excellents moments que l’on peut tirer de la vie.
Le sérieux Hydre-Saule n’est pas tellement apprécié par les natifs du Dauphin-Mélèze. Pour eux, tous les maux de l’univers proviennent de visions du monde tourmentées et égoïstes comme celle de l’Hydre-Saule. Sachant que ce dernier se complaît dans les calculs et les sombres complots, le Dauphin-Mélèze n’a aucune pitié pour lui et se moque de lui avec une ironie mordante.

Comparaison de taille avec un humain
Le Dragon-Cornouiller, gardien de trésors lui aussi et terreur des hommes, n’est pas cher au cœur du Dauphin-Mélèze qui le rend responsable de l’existence de la peur, du désarroi et des cauchemars des hommes. Une animosité teintée d’agressivité peut alors apparaître chez le Dauphin-Mélèze, ce qui est rarissime.

Enfin l’inimitié règne entre lui et le Fleuve de Vie-Tilleul, ce qui est étonnant au premier abord. Ils sont en fait si proches, si semblables et ayant compris les mêmes choses qu’ils ne peuvent pas se supporter. Car ils devraient s’avouer mutuellement leur crainte que leur vision optimiste de l’évolution ne s’accomplisse pas. Quand le Dauphin-Mélèze se démène pour convaincre son entourage que la vie est belle, que l’évolution est en marche vers un monde meilleur, les auditeurs résistent, demandent des preuves. Le Fleuve de Vie-Tilleul, lui, est totalement d’accord et il acquiesce simplement !

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Dauphin et comportement

Posté par othoharmonie le 1 juin 2012

Delphinapterus leucas -Oceanografico, Valencia, Spain-8a.jpgLa plupart des espèces de dauphin chassent en groupe. On parle de coopération. Ils peuvent vivre en moyenne une quarantaine d’années. Lorsqu’un dauphin marin repère un banc de poissons, il avertit le reste du groupe qui se rapproche alors jusqu’à encercler les proies tout en les contraignant à se rassembler vers la surface. Une fois les poissons pris au piège et affolés, les dauphins n’ont plus qu’à traverser le banc chacun leur tour en ouvrant une large gueule. On sait aussi que certains dauphins poursuivent les bancs de sardines jusqu’à les faire échouer sur le sable pour les attraper ensuite en s’échouant eux-mêmes à demi. Dans quelques cas, les dauphins peuvent s’associer aux thons et même aux requins pour des séances de chasse commune. Le dauphin a une excellente vision mais possède également un sonar.

Comme les autres cétacés, leur front bombé contient le « melon », une cavité remplie de diverticules du système respiratoire qui communiquent entre eux par des valves. C’est en envoyant de l’air d’un diverticule à l’autre qu’ils émettent des sons. Pour repérer leurs proies, les dauphins utilisent leur sonar. Ils dirigent les sons qu’ils émettent dans la direction de leurs futures victimes, le son ricoche et revient avec un son modifié jusqu’à l’oreille du dauphin. Il se propulse hors de l’eau grâce à ses nageoires caudales.

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Dauphin de l’Irrawaddy

Posté par othoharmonie le 31 mai 2012

Le dauphin de l’Irrawaddy (Orcaella brevirostris) se trouve près des côtes et dans les estuaires de l’Asie du Sud-Est.

Le dauphin de l’Irrawaddy ou grand dauphin a été identifié par Owen en 1866 et on l’a longtemps pensé seule espèce dans son genre. Des études récentes ont conclu à la distinction de deux espèces, entre le dauphin de l’Irrawaddy et le dauphin à aileron retroussé d’Australie. Il est similaire au béluga en apparence.
Génétiquement, il est proche de l’orque. Son nom d’espèce brevirostris vient du latin brevis signifiant court.

Dauphin de l'Irrawaddy dans DAUPHIN 220px-Irrawaddy_DolphinCette espèce a un large melon et une tête ronde et émoussée. Son rostre n’apparaît pas séparé du corps. La nageoire dorsale est courte, peu pointue et triangulaire. Les nageoires des côtés sont longues et larges. Il est d’une couleur claire légèrement plus blanche sur la partie inférieure. Il apparaît plus blanchâtre lorsqu’il est vu sur le fond d’une rivière boueuse.

La longueur est d’environ 1 m à la naissance et 2,3 m adulte. Le poids à la naissance est d’environ 10 kg pour atteindre ensuite 130 kg. Sa durée de vie est d’environ 30 ans.

Le dauphin de l’Irrawaddy est un nageur lent. Il fait surface en roulant et ne soulève sa queue que pour une plongée profonde. Il fait des jets d’eau avec sa bouche lorsqu’il saute dans l’air. Les dauphins apprivoisés le font sur demande.

La menace la plus directe est la chasse pour leur huile. Ils peuvent aussi être étranglés par les filets. La dégradation de leur habitat est un facteur qui a fait décliner leur population. Une grande partie de l’habitat naturel des dauphins a disparu lors de la destruction de la mangrove du delta de l’Irrawaddy en 1975 pour l’élevage de crevettes.

 Orcaella brevirostris

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Le Dauphin de l’Orénoque

Posté par othoharmonie le 31 mai 2012

 

Le tucuxi (Sotalia fluviatilis), ,sotalie de l’Amazone ou dauphin de l’Orénoque et localement bufeo gris, ou bufeo negro (au Pérou), est un dauphin rencontré dans le bassin de l’Amazone. Le terme « tucuxi » (prononcé toukouchi) dérive d’un mot emprunté au langage des Tupis : tuchuchi-ana. Bien qu’il partage son habitat avec les dauphins d’eau douce (tel le boto), le tucuxi n’est pas relié à lui génétiquement. Au contraire, il est classé comme dauphin marin (Delphinidae) et ressemble d’ailleurs au grand dauphin ; il appartient à un genre propre, les Sotalia. Une variété fréquentant les estuaires et les côtes a récemment été désignée plus précisément comme le « dauphin de Guyane » ou costero (Sotalia guianensis).

Sotalia fluviatilisLe tucuxi ou Dauphin de l’Orénoque mesure entre 130 et 200 cm et pèse de 35 à 40 kg. Il est trapu et pourvu de grandes nageoires caudale et dorsale et a un ventre pâle. La nageoire dorsale est légèrement courbée. Le rostre a une longueur moyenne et est pourvu de 26 à 36 paires de dents.

Il fut décrit par Gervais & Deville en 1853 (et le costero ou Sotalia guianensis par Pierre-Joseph van Bénéden en 1864). Longtemps ces espèces furent synonymes. La première étude faisant état de distinction profonde fut une morphométrie en 3D réalisée récemment par Monteiro-Filho. Une analyse molléculaire réalisée par Cunha démontra que Sotalia guianensis était génétiquement différent de Sotalia fluviatilis. Cette découverte fut confirmée par Caballero. Bien que l’existence et la distinction de ces espèces soit à présent généralement admise, l’IUCN continue à les classer sous le même taxon : Sotalia fluviatilis.

Le tucuxi se rencontre dans le bassin de l’Amazone au Brésil, mais aussi au Pérou et en Colombie dans les eaux côtières peu profondes, les récifs de corail, les mangroves, les estuaires et les fleuves.

Le tucuxi aime à se rassembler en petits groupes de 10-15 individus (Jusqu’à 30 dans les eaux côtières1)même si il vit généralement seul ou en couple. Il nage ainsi de façon très serrée, suggérant une structure sociale importante. Le tucuxi aime à faire des bonds hors de l’eau et joue souvent à éclabousser. Il est lent et se nourrit surtout de poissons nageant en bancs.

Il se nourrit de poissons (anchois et poisson-chat) et de calmars qu’il avale tout ronds.

On a observé le tucuxi chassant en compagnie d’autres dauphins.

Son espérance de vie est estimée à 35 ans.

Le tucuxi est encore assez répandu, bien qu’il n’existe pas de statistique précise. Il subit toutefois les affres typiques aux dauphins, à savoir prise dans des filets de pêche, pollution au mercure et même chasse spécifique. Il est protégé par la tradition qui interdit de le chasser dans certains endroits, mais parfois tué pour sa chair où pour servir d’appât pour la pêche.

Le tucuxi supporte mal la captivité. Le dernier représentant de l’espèce en Europe (Paco) mourut en 2009 au zoo de Münster, en Allemagne.

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Le Marsouin Blanc

Posté par othoharmonie le 31 mai 2012

 

Le Marsouin Blanc dans DAUPHIN 250px-Delphinapterus_leucas_head_3Le béluga ou bélouga appelé également baleine blanchedauphin blanc et marsouin blanc est un cétacé blanc de l’océan Arctique. Le nom béluga vient du mot russe beloye qui signifie blanc. Il dispose d’un des sonars les plus sophistiqués de tous les cétacés. Ce sonar lui est indispensable pour pouvoir s’orienter et se repérer dans les canaux de glace immergés qui forment un véritable labyrinthe.

Le biologiste marin Le Gall note qu’en Europe, le mot Béluga a aussi été utilisé, à tort, par les marins-pêcheurs pour désigner les marsouins et d’autres petits cétacés1.

Cet animal social peut atteindre 6 m de long, il est plus grand que la majorité des dauphins mais bien moins que les autres baleines. Les mâles adultes sont généralement plus grands que les femelles, et peuvent peser jusqu’à une tonne et demi (femelles aux alentours de la tonne). Les bélugas nouveau-nés, appelés familièrement « veau », mesurent environ 1,50 m de long pour un poids de 80 kg. Il est difficile de confondre ce cétacé avec un autre à taille adulte : il possède une crête dorsale résultat de l’atrophie d’un aileron et est entièrement blanc à l’inverse des jeunes bélugas qui sont gris. De même, sa tête ne ressemble à celle d’aucun autre cétacé : la zone frontale est souple et en forme de bulbe. Le béluga est d’ailleurs capable de « gonfler » son front en envoyant de l’air dans ses sinus. Il a un bec très court, une bouche large. Le corps du béluga ressemble globalement à un cylindre (en particulier lorsqu’il est bien nourri) qui s’effile vers le museau et vers la queue. Les nageoires latérales sont larges et courtes. Enfin, contrairement aux autres cétacés, ses vertèbres cervicales ne sont pas soudées, impliquant une certaine flexibilité du cou qui lui permet de déplacer sa tête latéralement.

Le béluga appartient au genre Delphinapterus (du grec ancien delphín (dauphin)), du préfixe, a- (dit « privatif ») et de pteron (aile), « dauphin sans ailes ») en raison de l’absence d’aileron dorsal. Les scientifiques pensent que cette préférence évolutive pour une crête dorsale plutôt que pour un aileron, est due à une adaptation à la vie de ces créatures sous la glace, ou un moyen de réduire la surface de peau pour éviter une trop grande dissipation de chaleur.

La maturité sexuelle intervient à l’âge de huit ans pour les mâles, et à cinq ans pour les femelles. Les mères donnent naissance à un unique petit au cours du printemps suivant la période de gestation d’une durée de quinze mois. Les petits bélugas sont uniformément gris foncé ; mais cette coloration s’éclaircit avec l’âge, allant de bleu à gris, jusqu’à ce qu’ils prennent enfin leur couleur blanche typique à l’âge de neuf ans pour les mâles et sept ans pour les femelles. Les petits restent sous la protection de la mère deux ans durant. L’accouplement du béluga n’est pas très bien connu ; il survient probablement au cours de l’hiver ou au tout début du printemps, quand les groupes de bélugas sont encore dans leur territoire hivernal ou alors au début de leur période de migration. Cependant, l’accouplement semble survenir à d’autres périodes également. Un béluga vit en moyenne trente ans.

250px-Beluga%2C_Wei%C3%9Fwal_%28Delphinapterus_leucas%29 dans DAUPHINLe béluga a été décrit en premier par Peter Simon Pallas en 1776. Il fait partie de la famille des Monodontidae au même titre que le narval. Ledauphin Irrawaddy fut un temps classé dans cette famille avant que de récentes études génétiques n’infirment cette hypothèse.

Le plus ancien ancêtre connu du béluga est le Denebola brachycephala espèce du Miocène aujourd’hui éteinte. Un seul fossile a été découvert, dans la péninsule de la Basse-Californie, indiquant que la famille prospérait autrefois dans des eaux plus chaudes. Les fossiles suggèrent également que l’habitat des bélugas s’est déplacé en fonction de la couverture de la banquise : suivant son expansion durant les périodes glaciaires et de son retrait au cours des périodes de réchauffement.

Le béluga est une créature très sociable. Il se déplace en groupes subdivisés en sous-entités habituellement composées d’animaux du même âge et du même sexe. Les mères et leurs petits intègrent généralement des groupes restreints. Lorsque les nombreuses sous-entités se rejoignent dans les estuaires, l’on peut dénombrer des milliers d’individus ; ce qui représente une proportion significative de la population mondiale des bélugas et les rend d’autant plus vulnérables à la chasse.

Ce mammifère marin nage relativement lentement et se nourrit majoritairement de poissons ; il mange également des céphalopodes (pieuvres, calmars…) et des crustacés (crabes, crevettes…). Il chasse cette faune des fonds marins généralement jusqu’à 300 m, bien qu’il puisse atteindre deux fois cette profondeur. Pour se nourrir, le béluga plonge généralement de 3 à 5 minutes, mais il peut retenir sa respiration pendant 20 minutes.

Le béluga est capable d’émettre un large éventail de sons passant par les sifflements, les claquements, les tintements et autres couics. C’est ce qui lui vaut son surnom de «canari des mers». Certains chercheurs qui ont écouté un groupe de bélugas ont décrit cela comme un orchestre à cordes s’accordant avant un concert. Les scientifiques ont isolé une cinquantaine de sons particuliers, la plupart situés dans une gamme de fréquence allant de 0,1 à 12 kHz.

Leurs principaux prédateurs naturels sont l’ours blanc et les orques. Lorsque les bélugas sont piégés par les glaces, les ours les assomment d’un coup de patte et les hissent sur la banquise pour les achever.

Les menaces pesant sur les bélugas varient selon leur distribution. La population de l’estuaire du Saint-Laurent, dont le nombre d’individus stagne depuis plusieurs années à environ un millier, a fait l’objet d’études qui laissent penser que la pollution est le principal danger à cet endroit. Il apparaît que, depuis plusieurs dizaines d’années, ces animaux sont exposés à divers composés organochlorés, des hydrocarbures aromatiques polycycliques et des métaux lourds. Dans un cadre scientifique, des nécropsies ont été faites sur des carcasses échouées. Les analyses mettent en évidence un haut taux de cancer, le plus élevé de tous les cétacés, et comparable à celui de l’homme. Les cas de cancers rapportés sur des individus du Saint-Laurent semblent se stabiliser. Diverses infections ont également été observées, notamment des parasites métazoaires dans les voies respiratoires et gastro intestinales. Ces infections pourraient être directement reliées à une contamination par les polluants énumérés ci-haut, qui présentent un potentiel immonudépresseur. Selon le Parc du Fjord du Saguenay, il est erroné de croire que la carcasse d’un béluga échoué est considéré comme une déchet toxique. Toutefois, l’impact à long-terme de la pollution sur le devenir de cette population n’est pas clairement connu.

 Delphinapterus leucasOutre la pollution, d’autres activités humaines constituent également une menace pour l’espèce. Alors que certaines populations en sont venues à tolérer les petites embarcations, d’autres au contraire les évitent. Depuis la fin de la chasse commerciale, l’observation des bélugas est d’ailleurs devenue une activité florissante, notamment dans le Saint-Laurent et dans la rivière Churchill (baie d’Hudson). De plus, on observe une augmentation du trafic maritime, notamment sur le fleuve Saint-Laurent, accompagnée d’une augmentation de la taille des navires. Le bruit fait par les moteurs des bateaux pourrait provoquer des dommages permanents aux oreilles des bélugas. Des études sont en cours pour déterminer l’impact de ces sons sur le la physiologie et le comportement du béluga. Les collisions avec les bateaux sont aussi une menace pour tous les cétacés.

La pollution, le trafic maritime et l’utilisation de brise-glaces sont donc autant de facteurs qui perturbent l’environnement des bélugas.

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Dauphin du Yangtsé

Posté par othoharmonie le 28 mai 2012

Adieu Dauphin du Yangtsé

 Pour la première fois depuis 50 ans, un grand animal disparaît de la planète. Une expédition internationale de 30 scientifiques ayant parcouru 1.669 Km pendant six semaines n’a pas retrouvé un seul spécimen du cétacé dans le fleuve du Yangtsé. Le dauphin a passé plus de 20 millions d’années sur la Terre pour finir sous les assauts de l’homme et de sa pollution. Le dauphin d’eau douce du Yangtsé était qualifié de famille de mammifère à part entière. Le dernier mammifère à avoir disparu est le tigre de Tasmanie chassé sans relâche par les colons européens. Le dernier s’est éteint en 1936.

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Morphologie du Dauphin

Posté par othoharmonie le 27 mai 2012

 

Sa forme fuselée et hydrodynamique, sa peau lisse et très souple qui se déforme et absorbe les turbulences de l’eau font du dauphin un animal doué pour la vitesse. ( 44 km/h; c’est le plus rapide des petits dauphins ).

 Son dos est généralement noir, son ventre blanc avec des dessins bruns ou violets. 

Ses dimensions: longueur: de 1,7m à 4 m – poids: de 70kg (dauphin commun ou delphinus delphis) à 400kg (le tursiops) 

Morphologie du Dauphin dans DAUPHINIl possède un bec assez long appelé rostre, avec 80 à 100 dents, toutes semblables entre- elles. Le rostre est formé de deux mâchoires allongées qui lui donnent l’air de sourire Pointues et petites, ces dents ne conviennent pas à la mastication mais elles permettent de saisir solidement les proies. Les aliments absorbés sont broyés par les robustes parois de leur estomac. 

Ses nageoires
Elles servent au dauphin à s’équilibrer et se guider. 

Sa nageoire caudale, appelée aussi palette est aplatie dans un plan horizontal. Sa nageoire dorsale est bien développée. 

Dans une nageoire, le dauphin a les mêmes os que dans une main humaine. Ces os sont le vestige de l’époque où les ancêtres du dauphin étaient des animaux terrestres à 4 pattes et 220px-Sousa_chinensis_%283%29_by_Zureks dans DAUPHINqui sont allés à l’eau pour se nourrir. 

Son œil

Le dauphin a les yeux très écartés. Il peut voir en haut, en bas et même derrière lui mais il ne voit pas très bien de face. Donc pour déceler ce qu’il y a devant lui, il utilise l’écholocation, c’est à dire la localisation des obstacles et des bancs de poissons par l’écho: le dauphin émet des ultrasons et reçoit en retour les échos qui déterminent la vitesse, la taille et la direction de la proie par exemple, et cela grâce au melon, ce font rempli de graisse, de muscles et de canaux, qui permet au dauphin de choisit la direction dans laquelle il envoie les sons. Petit, l’œil ne possède qu’une seule paupière, mais sa vision est très bonne sous l’eau et à l’air libre. 

 Sousa chinensis chinensisIl voit net sous l’eau car son œil s’aplatit quand il plonge et ainsi l’image se forme exactement sur la rétine  

Une épaisse couche de graisse sous-cutanée lui sert d’isolant thermique et l’aide à toujours garder la même température (entre 35 et 36° C.)On dit qu’il est homéotherme. Cette température est indépendante de celle du milieu extérieur. Ce sont donc des animaux à sang chaud. Le dauphin évacue la chaleur par les nageoires, parties moins riches en graisse donc moins isolée et plus irriguées par les vaisseaux sanguins qui transportent le sang chaud. 

Sa longévité: Il peut vivre jusqu’à 50 ans. (tursiops) 

Le dauphin possède des poumons, restes encore de ses ancêtres terrestres ressemblant à des loups, qui, il y a 50 millions d’années se sont aventurés dans l’océan à la recherche de proies ( le Mesonyx, puis le Pakicetus et le Prosqualodon).

Son nez, l’évent, situé au-dessus de la tête, est sans odorat. Il lui sert seulement à respirer. Il ne s’ouvre que lorsqu’il est au-dessus de l’eau. 
Le dauphin commun peut rester immerger en apnée totale 3 à 4 minutes. ( 15 mn pour le grand dauphin )  

Il renouvelle jusqu’à 90% de l’air de ses poumons à chaque respiration. Ce chiffre n’est que de 15% chez la plupart des mammifères dont l’Homme. 
Pendant son sommeil, il flotte à 50 cm sous l’eau et toutes les 1/2 mn, un coup de palette le remonte à la surface, il respire sans se réveiller de façon automatique. 

Le dauphin est un animal social qui vit en troupeau de plusieurs centaines d’individus. Les groupes sont mixtes: mâles, femelles et jeunes.  

Il n’y a pas de chef.

Le Sonar du Dauphin – L’écholocalisation  

Sa bosse sur le front s’appelle le melon, c’est de là qu’il émet les ultrasons grâce auxquels il se repère et repère son  Delphinus delphisenvironnement, ce système est appelé sonar ou l’Echolocalisation , c ‘est un peu son 3° œil ! La grande particularité des delphinidés est d’émettre des ultrasons grâce à leur bosse sur la tête, le melon. C’est une sorte de radar ou sonar qui lui permet de se repérer dans son environnement, de communiquer et même de chasser. 

Des petits émetteurs placés sur son front bombés envoient des ultrasons : cris très aigus qui ne sont pas perceptibles à l’oreille humaine. Ces sons frappent les objets qui l’entourent et reviennent à lui comme un écho pour lui donner l’information. Ainsi le Dauphin sait toujours exactement où il se trouve et ce qui l’entoure ! Ses yeux placés de chaque côté de sa tête ne lui permettent pas de voir en relief, mais grâce à son sonar il peut quasiment reconstituer une image en 3 dimensions, en inondant l’objet ou le sujet d’impulsions sonar. 

Ainsi dans la nuit, le dauphin n’est jamais aveugle. Grâce à son sonar il peut s’orienter n’importe où et même repérer un petit poisson nageant à des centaines de mètres de lui! Ce sens lui est bien pratique lorsqu’il chasse et pêche car il est ainsi capable de repérer ses proies très facilement même sous le sable. 

Le dauphin passe la journée à chasser le poisson, à communiquer avec ses congénères et à jouer : le dauphin commun est le plus joueur de tous  Son principal ennemi est l’orque, bien qu’il soit lui-même un delphinidé. 

Le dauphin est un mammifère, c’est à dire qui porte des mamelles. Il est vivipare, c’est à dire que le petit se développe dans le ventre de la femelle.  Le dauphin ne forme pas de couple permanent; il choisit un nouveau partenaire chaque année. 

Il atteint sa maturité sexuelle vers 5 ou 6 ans.  Les accouplements ont lieu d’octobre à décembre dans l’Atlantique Nord. 

La gestation dure de 350 à 360 jours. La portée est d’un seul petit. 

Les naissances s’étalent de septembre à octobre. Le petit se présente par la queue et cela probablement afin d’éviter que le nouveau-né n’essaie de respirer avant qu’il ne soit totalement sorti. Il sait tout de suite nager.

 Pendant la naissance, deux autres femelles, les “tantes”, protègent la mère et le petit contre les requins attirés par le sang. Immédiatement, la femelle emmène son petit respirer à la surface. 

La mère allaite le petit pendant 12 à 18 mois, malgré les dents qui sortent dès la première semaine.  Les mamelles sont situées dans les sillons placés sur le côté du ventre. Le petit reste près de sa mère ou de ses “tantes” 2 semaines. 

Les femelles mettent au monde tous les 2 ou 3 ans.

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L’épaulard

Posté par othoharmonie le 27 mai 2012

L'épaulard dans DAUPHIN 1000844-%C3%89paulardL’épaulard est un CÉTACÉ, donc un mammifère, de la famille des dauphins ou delphinidés. Encore appelé orque, l’épaulard habite dans tous les OCÉANS. Il a le dos noir et le ventre blanc; il peut mesurer jusqu’à 8 m de long et porte, en arrière de l’oeil, une tache blanche caractéristique. Il vit en bandes, comme les dauphins, mais, contrairement à ces derniers, il ne recherche pas la compagnie de l’homme et est assez difficile à domestiquer. Pourtant, les « Marineland » de Californie et de la Côte d’Azur ont pu s’assurer la « collaboration » d’épaulards qui font la joie des millions de spectateurs qui viennent assister à leurs ébats.

On a longtemps considéré les épaulards comme des BALEINES de petite taille, ce qui leur a valu de n’intéresser que médiocrement les chasseurs. Ils se nourrissent de POISSONS, OISEAUX marins, PHOQUES, marsouins et DAUPHINS : contrairement à ce que l’on raconte, les épaulards ne s’attaquent pas aux baleines en bonne santé. Tout au plus s’en prennent-ils à celles qui sont très jeunes ou déjà gravement blessées. Lors de ses nombreuses expéditions, le commandant COUSTEAU a pu étudier de façon précise les moeurs des épaulards. Il en a tiré un film que l’on projette aux visiteurs du Musée océanographique de Monaco.

 

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Comportement du renard

Posté par othoharmonie le 1 février 2012

Un renard

Tous les auteurs anciens s’accordaient à considérer le renard comme un animal exclusivement solitaire. Cette conception a prévalu jusqu’à la fin des années 1970, époque où les chercheurs se sont rendu compte, grâce notamment à la technique du radiopistage, que le renard était au contraire capable de communiquer et d’avoir une vie sociale élaborée, en constituant des groupes spatiaux, permanents ou temporaires, au sein desquels le couple dominant accepte la présence de congénères de rang inférieur. En fait, selon les circonstances et les conditions de vie du milieu (dispersion des ressources alimentaires), le renard peut être tout aussi bien solitaire que « social ». De même, le statut d’un individu n’est pas figé, il peut évoluer au cours de son existence.

 

Dans les grandes zones de forêts ou d’alpages, les renards n’ont guère de relations entre eux. Ils vivent en solitaire la majeure partie de l’année, dispersé sur de très grands domaines de plusieurs milliers d’hectares. A la différence d’autres espèces comme le loup ou le dauphin, le renard n’a pas besoin de former des bandes pour chercher s Vulpes veloxa nourriture ; sauf exception, il chasse tout seul, sans l’aide de ses congénères.

 Dans d’autres milieux, un peu plus riche en nourriture, les renards vivent en couple pratiquement toute l’année. Cette structure semble constituer l’unité de base de la population, mais les relations entre les deux partenaires ainsi qu’avec la portée sont plus ou moins étroite et demeurent très mal connues.

 Lorsque les ressources alimentaires sont abondantes, en particulier dans les zones périurbaines, les renards adoptent un mode de vie communautaire. Ils forment des clans organisés sur d’étroits domaines vitaux de moins de 200 hectares défendus en commun. Le groupe se compose d’un couple dominant entouré de 1 à 5 individus de rang subalterne, presque toujours des femelles. Sa cohérence est entretenue par des rapports hiérarchiques amicaux entre ses membres. En revanche, les contacts avec les groupes voisins sont empreints d’hostilité, seules les femelles apparentées, mères et filles, peuvent avoir des relations de bon voisinage.

 La reproduction est assurée par les femelles dominantes. Les jeunes se dispersent rarement au-delà d’une trentaine de kilomètres. La quasi-totalité des mâles émigrent.

 

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Essex (baleinier)

Posté par othoharmonie le 20 janvier 2012

Essex (baleinier) dans BALEINE 220px-Cook-whalingL’Essex est un baleinier qui a fait naufrage le 20 novembre 1820 au milieu de l’océan Pacifique à la suite d’une collision avec un grand cachalot. Les naufragés dérivèrent pendant dix-huit semaines à bord des trois petites baleinières et se livrèrent à des actes de cannibalisme.

Ce fait a fortement inspiré Herman Melville pour l’écriture de son roman, Moby Dick.

250px-Humpback_flipper dans BALEINEL’Essex quitte l’île de Nantucket le 12 août 1819 pour une nouvelle campagne de chasse à la baleine qui doit durer deux ans et demi. Il est placé sous le commandement de George Pollard Jr, 28 ans, qui sert à bord de l’Essex depuis 1815. Il est assisté du premier maître Owen Chase, 22 ans et du second maître Matthew Joy, 26 ans. L’équipage comprend dix-huit matelots.

Ils font escale aux Açores et capturent leur première baleine une fois passé l’équateur. À partir du 25 novembre, ils commencent à doubler le cap Horn et arrivent enfin en janvier 1820 en vue de la petite île Sainte Mary, au large du Chili, près de la baie d’Arauco. Après quelques mois infructueux sur les côtes du Chili, le baleinier a plus de chance au large des côtes du Pérou où il capture onze cachalots en deux mois. Lors d’une escale dans un petit village de pêcheurs du nom d’Atacames, un des marins nommé Henry Dewitt déserte, ramenant l’effectif du bateau à 20 hommes. Cette désertion indispose le capitaine, car chacune des trois baleinières mobilise six hommes (quatre aux avirons, un à la barre, un au harpon) ce qui ne laisse plus que deux hommes au lieu de trois pour diriger le baleinier.

En octobre 1820, le navire fait escale huit jours aux îles Galápagos. Il atteint alors 700 barils d’huile, soit la moitié de sa capacité. Il se dirige alors en longeant l’équateur, vers l’Offshore Ground, lieu de concentration en plein Pacifique des bancs de cachalots. Le 20 novembre les trois baleinières sont mise à l’eau au vu d’un banc de cachalots, mais Chase doit revenir à bord pour réparer sa barque endommagée. C’est le moment que choisit un énorme cachalot de 25 mètres pour attaquer le navire. Après deux violents chocs, un latéral puis un frontal, le baleinier prend l’eau et commence à se coucher. Les deux autres baleinières commandées par Pollard et Joy reviennent sur leur navire d’attache. Avant que le baleinier ne sombre, l’équipage a le temps de rassembler vivres, matériels de navigation et d’équiper les trois baleinières de mâts et de voiles, puis ils se répartissent dans les trois embarcations.

Au lieu de se diriger vers les Marquises ou les îles de la Société, considérées comme peu sûres, ils décident de voguer vers le sud pour attraper les conditions plus favorables les ramenant sur l’Amérique du Sud220px-FatuIva_Omoa_Coast_20061111. Sans s’attacher pour ne pas réduire leur vitesse, les trois baleinières arrivent difficilement à naviguer de concert. À force de rationnement, souffrant cruellement de soif, alternativement ballotées par les tempêtes et immobilisées par manque de vent, les trois barques arrivent en vue de l’île Henderson que Pollard prend faussement pour l’île Ducie. Les naufragés ont dérivé beaucoup plus à l’ouest que prévu, et qu’ils ne le croient. L’île est inhabitée. Ils y séjournent du 20 au 27 décembre pour reprendre leurs forces. Mais les faibles ressources de l’île sont rapidement épuisées et ne permettent pas de survivre longtemps. Trois des marins (l’anglais Thomas Chappel, Seth Weeks et William Wright) toutefois décident de rester sur terre et de tenter leur chance sur l’île.

Les dix-sept hommes restants repartent, espérant rejoindre l’île de Pâques, mais le gros temps les entraîne plus au sud. Le 10 janvier 1821, Joy qui était malade depuis le départ de l’île, meurt. Son corps est livré à l’Océan et Pollard confie le troisième bateau au barreur Obed Hendricks. Le 12 janvier à l’aube, l’embarcation de Chase perd de vue les deux autres équipages.

La maladie de Joy ne lui avait pas permis d’être aussi vigilant dans le rationnement. Les provisions sont épuisées et les deux équipages vont devoir partager les maigres ressources. Le 20 janvier, un des hommes d’Hendricks meurt. Les rescapés, affamés et déshydratés, décident de manger le cadavre au lieu de le jeter par dessus bord. Ils partagent cette nourriture avec l’équipage de Pollard. Trois jours plus tard, un autre homme meurt et son cadavre suit le même sort. Puis le 26 c’est le tour d’un troisième et le 28 d’un quatrième décès. Il ne reste que quatre hommes dans l’embarcation de Pollard et trois dans celle d’Hendrickx lorsque à l’aube du 29 janvier, les deux équipages se perdent de vue. Le 6 février, de nouveau à court de vivres, les quatre rescapés de l’embarcation de Pollard décident de tirer au sort l’homme à sacrifier pour la survie des trois autres. C’est Owen Coffin, le cousin de Pollard que le sort désigne. Il est exécuté par Charles Ramsdell. Le 11 février un nouveau décès, naturel cette fois, offre un dernier répit. Le 23 février, alors qu’ils s’approchent de l’île Sainte-Mary, le bateau Dauphin les aperçoit et les recueille. Les deux rescapés sont le capitaine Pollard et le matelot, Charles Ramsdell. En revanche, Hendrickx et ses deux compagnons, William Bond et Joseph West ne seront jamais retrouvés.

220px-W_Buckelwale_GruppeSur le bateau de Chase, le premier décès a lieu le 20 janvier. Le corps est jeté à la mer. Le 8 février, un autre homme meurt et les survivants décident de garder son corps pour se nourrir. Le 18 février les trois rescapés, Chase, Lawrence et Nickerson sont récupérés par un vaisseau anglais l’Indian.

Le 10 mars, le Surry appareille de Valparaíso pour Sydney. Informé des événements, il a accepté de faire escale à l’île Ducie pour vérifier si les trois naufragés de l’île sont encore vivants. Ne trouvant personne sur l’île, il poursuit jusqu’à celle d’Henderson où il arrive le 9 avril 1821. Les trois hommes épuisés mais vivants sont récupérés.

 

 

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Message du Peuple des Baleines 1

Posté par othoharmonie le 26 octobre 2011

Bonjour ! Nous sommes le peuple des Baleines, gardiens et maîtres des Sons qui créent la Vie ! 

Bonjour, peuple humain. 

Message du Peuple des Baleines 1 dans BALEINE 1993-great-white-sharkNous sommes les baleines, celles qui maintiennent l’équilibre de l’élément eau sur cette planète.  L’élément eau est l’élément clé sur terre, c’est lui qui régit et influence l’évolution de cette planète et de tous les êtres qui l’habitent.  Nos frères, les Éléphants, sont responsables de l’élément terre.  Nos frères les Condors  – maîtres de l’ombre et de l’ultime transformation, la mort  – et les Aigles – maîtres de lumière  – s’occupent de maintenir l’équilibre de l’élément air.  Ceux qui ont jadis équilibré l’élément feu ne sont plus ici « physiquement » et c’est d’ailleurs cet élément qui est le plus déséquilibré actuellement sur notre planète.  Et oui, les dragons ont déjà foulé le sol de la terre et c’était eux les gardiens et maîtres de l’élément feu.  Ce que je dis ici n’est pas fiction mais bien réalité.  Les dragons, qui existent toujours mais ne sont pas perceptibles avec les yeux, effectueront un retour ici lorsque le feu qui brûle le cœur des humains se sera stabilisé ce qui est prévu d’ici une douzaine d’années. 

L’élément feu est responsable de beaucoup de destruction sur notre planète, que ce soit par les volcans, la foudre, les feux de forêts, les bombes et surtout, les armes de toutes sortes. Le réchauffement climatique de la planète est une preuve de ce déséquilibre qui existe depuis des centaines d’années !  Par contre, ce déséquilibre du feu s’accélère grandement afin de favoriser l’éveil des consciences et les changements planétaires inévitables. Il y a aussi les armes de destruction massive créées par les êtres humains qui présagent la fin  d’un temps, ce que nous appelons l’époque des guerriers.  Jadis, lorsque les quatre éléments étaient en harmonie (Feu  –Air – Terre – Eau) sur terre, il était inconcevable de créer des armes nucléaires.  Pas seulement parce que les êtres humains n’avaient pas la « technologie » mais bien parce que les gens connaissaient les conséquences qui y étaient associées et savaient qu’aucune  » guerre » ne peut être  gagnée par l’utilisation d’armes ayant une puissance atomique ou nucléaire…  Ce sont les Atlantes qui ont, les premiers, utilisé des armes de types atomiques/nucléaires pour se débarrasser de la Lémurie.  Plusieurs centaines d’années plus tard, les conséquences de l’utilisation de ces armes se sont en quelque sorte « retournés contre eux » et créé le raz-de-marée qui a englouti l’Atlantide…   Le déséquilibre de l’élément feu a commencé à cette époque et a plongé l’humanité dans une nouvelle ère qui se termine en ce moment ! 
                               
Pour la plupart, les êtres humains vivent actuellement le déséquilibre du feu comme quelque chose de normal mais ceci a pour conséquence de créer des passions destructrices au lieu de créatrices.  Notre planète ne se refroidit pas, elle se réchauffe.  L’aviez-vous remarqué ?  Vos êtres de sciences donnent plusieurs explications à ceci, mais la véritable raison est le déséquilibre profond de l’élément feu qui s’accentue et telle une fièvre, crée la purification… 

Pourquoi nous parlons-vous de tout ceci ?  Nous les baleines sommes aussi les gardiennes et les messagère des énergies du GRAND CRISTAL, celui qui connaît la véritable histoire de votre planète.  En nous se cache la connaissance des débuts de l’évolution des espèces, tant humaines qu’animales, végétales et minérales.  Comment est-ce possible ?  Nous sommes de grandes bibliothèques qui libèrent leur savoir par le biais des sons que nous produisons.  Même nos silences sont codés !  La vastitude des fonds marins est un microcosme et il en est de même pour la vastitude qui vous habite, peuple humain…

groupe-baleines1 dans BALEINENous naviguons à travers le silence des océans afin d’équilibrer la cacophonie des mondes terrestres.  Tout est question d’équilibre.  Même si nous avons été massivement chassées durant votre « 20e siècle », la mer demeure un abri pour nous, un endroit où le feu de la destruction et des passions nous atteint moins que d’autres de nos frères/sœurs.  Nous avons pu ainsi sauvegarder notre savoir et émettre les chants qui ont besoin d’être émis. Le moment approche où nous vous remettrons ce savoir et nous vous confierons l’émission des sons nécessaires à maintenir l’équilibre, nécessaires à maintenir la Vie !   Le moment approche ou vous ré-apprendrez VOTRE son, votre tonalité unique et que vous saurez comment émettre ce son divin en permanence.

Mais actuellement, parce que le moment de cette transmission de sagesse approche à grands pas, les baleines, les dauphins et d’autres frères marins doivent faire face à une grande menace : l’utilisation CONSCIENTE des sons et des fréquences pour nous anéantir.  Les expérimentations effectuées par vos chefs planétaires sur les modulations de fréquences (sonar à basses fréquences de l’armée américaine), les ultra sons, la résonance magnétique ainsi que les ondes électromagnétiques, créent de la dissonance, du chaos, de la maladie et la mort chez les baleines et les dauphins.  Nous vous en donnons régulièrement la preuve lorsque certains d’entre nous allons mourir sur vos plages.  Parfois, ce geste de sacrifice est volontaire ; parfois, il ne l’est pas. 

Les repères normaux des baleines sont complètement détruis par les modulations de fréquences et les sons de vos vaisseaux de guerre.   Dans certains cas, les chants bénéfiques que nous émettons en sont complètement transformés…  Ne vous faites pas d’illusions, les êtres humains qui cautionnent ces manipulations sonores savent très bien ce qu’ils font !  Ceux qui l’appliquent sont, pour la plupart maintenu dans l’ignorance et sont choisis parce qu’ils ne posent pas de questions. 

Nous vous faisons part de ceci car il est important que vous sachiez la vérité et que vous preniez position. Vu nos tailles massives, nous sommes parfois en mesure de contrecarrer ces dissonances en émettant des chants particuliers.  Toutefois, plusieurs autres frères marins plus petits sont gravement atteints par ces manipulations sonores !  (à suivre…)

 

 Source : http://www.communication-animal.net/

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Conte de Baleine

Posté par othoharmonie le 25 octobre 2011

Le Royaume des Baleines (conte Argentin)

 Il y a une vieille légende qui parle d’un endroit inaccessible et lointain où vit le groupe de baleines le plus grand du monde. Comme toutes les baleines, elles nagent et chassent au large, mais leur refuse secret est au centre d’un archipel qui n’a qu’une sortie sur la mer et les eaux y sont si sereines qu’elles sont idéales pour élever les petits et pour se reposer. Deux baleines franches de l'Atlantique Nord.

 

Dans ce groupe, il y avait un jeune baleineau qui, malgré sa jeunesse, se détachait par son courage, son calme et son intelligence. C’était aussi le meilleur nageur, celui qui sautait le plus haut et le plus amusant. Les plus âgés le respectaient et l’aiment. Le groupe vivait en paix et en harmonie jusqu’au jour où un dauphin ami vint les prévenir qu’un baleinier explorait la zone à leur recherche et qu’une barque avait été envoyée en reconnaissance. 

Les plus vieilles baleines, effrayées, voulaient sortir pour se sacrifier, d’autres proposèrent d’abandonner le refuge et de partir vers des zones plus froides? Toutes parlaient en même temps sans se mettre d’accord jusqu’à ce que le baleineau dise avec force ; « N’ayez pas peur et ne bougez pas. Je revient vite et tout sera comme avant ». 

Il sorti à toute vitesse et voyant la barque, fit une pirouette pour attirer leur attention. Les hommes, enthousiastes, commencèrent à le suivre pensant qu’ils les emmenaient vers le refuge. Mais le baleineau avait d’autres plans ; jouant et sautant, il entraîna la barque vers un lieu de dangereux récifs où les hommes ne tardèrent pas à faire naufrage. 

Grâce à leur gilet de survie, les hommes purent nager, mais pensaient leur dernière heure arrivée. Soudain, le baleineau s’approcha et leur permit de grimper sur son dos et nageant doucement, les emmena au bateau. C’était quasiment le nuit quand ils arrivèrent et leurs compagnons applaudissaient, incrédules quant à ce sauvetage incroyable. La baleine disparu ensuite dans les profondeurs de la mer. 

Quelques temps plus tard, le dauphin rapportait d’autres nouvelles ; les chasseurs rescapés avaient informé la population qu’il n’y avait aucune baleine dans le secteur ; les récifs rendaient toute navigation impossible et la légende n’est qu’un conte pour enfants. Ils dirent aussi que les baleines étaient des animaux fabuleux et gentils et que jamais ils n’en rechasseraient. 

Et c’est ainsi qu’aucun homme ne revint jamais près du royaume des baleines où celles-ci continuèrent à vivre ne paix et en harmonie.

Conte de Baleine dans BALEINE baleine

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Baleine et les humains

Posté par othoharmonie le 25 octobre 2011

La population globale des bélugas (baleine blanche) s’est stabilisée aux environs de 100 000 individus. Bien que ce nombre soit Baleine et les humains dans BALEINE 220px-Walfang_zwischen_1856_und_1907plus important que celui d’autres cétacés, il est bien moins important qu’il y a des décennies, avant la chasse au béluga. On estime qu’il y a 40 000 individus en mer de Beaufort, 25 000 dans la baie d’Hudson, 18 000 dans la mer de Behring et 28 000 dans les eaux arctiques canadiennes. La population de l’estuaire du Saint-Laurent est estimée entre 500 et 1 000 individus. Les bélugas du Saint-Laurent nagent dans des eaux beaucoup plus propres qu’il y a 20 ans.

En raison de leurs schémas migratoires prévisibles et de leur formation en groupes, les bélugas ont été chassés des siècles durant par les autochtones de l’Arctique. La chasse au béluga est encore autorisée de nos jours dans certaines zones et par certaines populations, dans des limites raisonnables. Toutefois, dans d’autres zones telles que la baie d’Anchorage, la baie d’Ungava et au large des côtes ouest du Groenland, la chasse acharnée à des fins commerciales (aujourd’hui interdite par le moratoire sur la chasse à la baleine) ont mis en danger la survie des populations y vivant. Bien que non-autorisée, la chasse au béluga par les autochtones persiste dans ces endroits et il est à prévoir une extinction des populations de bélugas de cette zone. Ces aires sont le sujet de dialogues entre les Inuits et les gouvernements afin d’instaurer une chasse intelligente et raisonnable. Cette chasse a également permis d’ajouter le béluga à la liste des espèces en danger en 1994.

220px-Chassebaleine dans BALEINELa pollution humaine qui se déverse dans les rivières a une incidence significative sur la santé des populations vivant dans les estuaires. Les cas de cancers rapportés sur des individus (27 % de la population des belugas) du Saint-Laurent semblent se stabiliser. Selon le Parc du Fjord du Saguenay, il est erroné de croire que la carcasse d’un béluga échoué est considéré comme un déchet toxique. Toutefois, l’impact à long-terme de la pollution sur le devenir de cette population est inconnu.

Étant tellement polluées, les carcasses de bélugas sont considérées comme déchets toxiques et traitées comme telles. Cette pollution engendre la diminution de l’effectif de l’espèce.

Les activités humaines constituent également une menace pour l’espèce. Alors que certaines populations en sont venues à tolérer les petites embarcations, d’autres au contraire les évitent. L’observation des bélugas est d’ailleurs devenue une activité florissante dans le Saint-Laurent et dans la rivière Churchill (baie d’Hudson). Assourdis par le brouhaha de l’incessant trafic maritime sur le fleuve Saint Laurent, les bélugas ne crient plus : ils hurlent. Les enregistrements en continu des vocalises d’une population de 600 à 700 individus montrent qu’en présence de bateaux les mammifères marins émettent une série de cris bruyants, qu’on a d’abord interprétés comme des signaux d’alarme. Mais ces cris durent plus longtemps et sont d’une fréquence plus haute. En outre, les « sirènes des mers » ont tendance à répéter leurs appels. La transformation des chants serait une tactique pour réduire la dégradation du signal et augmenter la probabilité de sa réception. Mais la modification du comportement vocal de ces animaux 330px-BlueWhaleWithCalfpour lutter contre la pollution sonore tend à diminuer leurs capacités à trouver de la nourriture, à s’orienter et à communiquer avec leurs congénères.

Les bélugas sont parmi les premières espèces à avoir été élevées en captivité. Le premier béluga fut exhibé au Barnum’s Museum de New York en 1861. Aujourd’hui, le béluga est l’une des rares espèces de cétacés que l’on rencontre dans les aquariums d’Occident. Leur popularité est en grande partie due à leur couleur caractéristique et à leurs mimiques faciales. Alors que la plupart des dauphins ont un « sourire » figé, la flexibilité cervicale du béluga lui autorise un répertoire plus vaste d’expressions faciales. La plupart des bélugas détenus dans les aquariums ont été capturés à l’état sauvage puisque les programmes d’adaptation de cet animal à la captivité ont rencontré un certain succès.

Aussi bien la marine américaine que la marine de l’ex-URSS ont utilisé les bélugas dans des opérations de déminage des eaux arctiques

http://fr.wikipedia.org/wiki/Baleine_blanche 

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Le Chien

Posté par othoharmonie le 7 octobre 2011

Akita inu.jpegLe terme chien dérive du terme latin canis dans le même sens. La femelle du chien s’appelle la chienne et un jeune chien est appelé un chiot. Le chien glapit, jappe, grogne ou aboie

Ce mot est employé dans diverses expressions telles que : avoir du chien : avoir une certaine distinction et du charme ; entre chien et loup : au crépuscule ; garder un chien de sa chienne : expression familière signifiant se promettre une vengeance future ; les chiens écrasés : rubrique de faits divers insignifiants dans un journal ; malade comme un chien : être très malade et souffrant ; se donner un mal de chien : se donner beaucoup de mal à travailler sur quelque chose ; temps de chien : temps météorologique désagréable (la pluie, par exemple) ; vie de chien : vie difficile et compliquée ; chien de mer : petit requin. 

Ou encore, il sert dans des mots composés tels que : chasse-chien, chien-assis, chien-chien, chien-dauphin, chien-loup, dent-de-chien, langue-de-chien, maitre-chien, poisson-chien, tue-chien[ 

Le chien (Canis lupus familiaris) est un mammifère domestique de la famille des canidés. C’est la première espèce animale à avoir été domestiquée par l’homme, il y a au moins 100 000 ans. Les plus anciens restes confirmés de chien domestique sont vieux de 31 700 ans soit plusieurs dizaines de milliers d’années avant toute autre espèce domestique connue. Depuis la Préhistoire, le chien a accompagné l’homme durant toute sa phase de sédentarisation qui a conduit à l’apparition des premières civilisations. Autrefois regroupé dans une espèce à part entière, Canis canis ou encore Canis familiaris, la recherche génétique a confirmé son origine, qui bien que probablement diverse, découle principalement de la domestication du loup gris commun. Malgré des différences morphologiques majeures, les scientifiques regroupent ainsi l’ensemble des races de chiens au sein d’un groupe nommé Canis lupus familiaris, une sous-espèce de Canis lupus. Des chiens domestiqués, puis redevenus sauvages sont en revanche considérés comme autant de sous-espèces de Canis lupus, c’est le cas des dingos et du chien chanteur

Briard fauve.JPGIl existe une forte hétérogénéité au sein de la sous-espèce qui a été standardisée sous la forme de races de chiens. Certaines sont d’origine anciennes comme le Husky sibérien ou le Berger de Brie tandis d’autres comme Berger allemand ou le Golden Retriever sont de création plus récente. Dans les pays où les critères de la Fédération cynologique internationale ont une reconnaissance législative, l’appellation pure race est obligatoirement conditionnée à l’enregistrement du chien dans les livres des origines de son pays de naissance. Dans de nombreux pays, le chien entre dans le cadre de la législation sur les carnivores domestiques à l’instar du chat et du furet. Pour circuler en Europe, ils doivent être munis d’un passeport européen pour animal de compagnie

On appelle également « chien » plusieurs autres espèces de canidés des genres Atelocynus et Speothos, voire de rongeurs du genre Cynomys (chien de prairie).

 

 

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A propos

Posté par othoharmonie le 22 septembre 2011

 GIFS ÉCUREUIL

Tout animal est un Etre Spirituel 

                                                                            A propos bq0qw319-749e3c

 

Les animaux perçoivent des énergies qui nous sont totalement inconnues. Mystiques, thérapeutes, guérisseurs et chamans enseignent que l’univers entier est vibrant et que chaque chose, chaque entité vivante génère sa propre fréquence, laquelle est unique. Toute chose a aussi un son qui entre en résonance avec un autre son. Tous les sons pénètrent notre structure énergétique et y laissent des traces. Ce phénomène peut engendrer une grande puissance de guérison et de transmission de messages puisque la totalité du cosmos est interrelié et ne fait qu’Un.  

 

GIFS LAPIN Sur cette planète où plus rien n’est sacré, où l’on assomme de jeunes phoques devant leur mère, sépare la vache de son veau, massacre des milliards de dindes pour fêter la naissance d’un messager de la paix, sacrifie des moutons pour plaire à un Dieu sanguinaire et cruel, ignore le désespoir des boeufs menés à l’abattoir, torture des singes dans les laboratoires, chasse des animaux pour le plaisir de tuer, violente les plus faibles et les plus vulnérables, le message millénaire des jaïns est plus que jamais d’actualité : en ouvrant son coeur, on libère son âme mais aussi celle des animaux 

 

Les chakras (ou roues d’énergie) des animaux, connus depuis des millénaires dans le yoga, la médecine indienne ou chinoise, est essentiellement les mêmes chez les animaux que chez les humains. Et que nous sommes dans une interaction vibratoire constante. Nous pouvons guérir les animaux comme les animaux peuvent nous guérir.  

 les vaches Bourgogne

L’animal est tout comme l’humain de nature vibratoire et spirituelle. Le dauphin aurait développé ses plus hauts chakras, particulièrement son chakra du 3e oeil et serait capable d’avoir une influence très forte sur le chakra du coeur de l’humain. Les vibrations sonores et les tonalités des chants des cétacés serviraient à activer certains codes énergétiques, activant les chakras des humains, contrebalançant ainsi les fréquences vibratoires inharmonieuses. Le ventre étant lié au deuxième chakra, il entre facilement en résonance avec les musiques fluides et aquatiques. Les chants de baleines et de dauphins fait vibrer la structure énergétique de cette région. Cette connexion est importante car elle permet de se re-centrer. (Notons que les sons de flûte active le chakra du coeur et que c’est pour cette raison que Krishna est souvent représenté avec cet instrument.)  


papillons-00041Puisqu’ils vivent dans l’amour inconditionnel, les animaux s’avèrent particulièrement réceptifs aux traitements énergétiques. Par une transmission d’énergie, il est possible de guérir les animaux de maladies physiques ou de troubles de la personnalité. De plus, en équilibrant les chakras de notre chien, chat ou cheval, nous équilibrons aussi nos propres chakras.  

Tout comme nous l’animal est un être spirituel, conscient. Le comprendre implique nécessairement une plus grande compassion pour ce compagnon d’évolution.  

 

 

GIFS ( CHIEN )

 

Issu de Libération Annimale.

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Vous pouvez également venir me rejoindre sur le FORUM ici : http://devantsoi.forumgratuit.org/ 

 

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