Le Crocodile du Nil

Posté par othoharmonie le 19 novembre 2016

 

Le crocodile du Nil, l’un des plus grands reptiles vivants avec le crocodile marin, l’anaconda et le python réticulé, est aussi l’un des plus lourds avec la tortue luth.

Comme chez la plupart des reptiles, les écailles qui couvrent tout son corps sont des reliefs épidermiques, et sont donc différentes de celles « détachables » des poissons. Elles sont jointives et quadrangulaires sur le dos et sur le ventre, et espacées les unes des autres sur les flancs. Les écailles ventrales sont alignées sur 26 ou 32 rangées qui s’échelonnent du collier ventral à l’anus. Ce nombre varie selon les espèces et constitue un bon critère d’identification.

Les flancs ne sont revêtus que de petites plaques réparties sur 16 ou 17 rangées transversales et sur 6 à 8 rangées longitudinales. La main est palmée uniquement à la base, mais les orteils sont reliés par une véritable palmure. Les pattes sont terminées par des griffes (étuis cornés).

Crocodile-du-nil

Un crocodile peut avancer très rapidement et atteindre 17 km/h sur plusieurs kilomètres en effectuant une sorte de galop. Le corps, étiré vers l’avant, est comme poussé par les pattes postérieures. Les pattes antérieures reçoivent le poids du corps et amortissent la fin du « saut ». Puis le dos s’arrondit et les pattes postérieures se portent vers l’avant, propulsant le corps dans un nouveau bond.

Une sorte de baguette cartilagineuse part de la dernière vertèbre et forme la queue. Peu mobile, elle repousse parfois lorsqu’elle a été amputée.

Les anatomistes considèrent le crocodile comme faisant partie des reptiles les plus évolués. Il possède, à l’égal des mammifères, un cœur divisé en quatre cavités qui effectue de 22 à 47 pulsations par minute ; il se caractérise par de grandes oreillettes recouvrant en partie les ventricules et présente une autre différence avec celui des reptiles « inférieurs » : il est séparé en deux chambres distinctes par une cloison interventriculaire complète. Grâce à cette paroi, le sang oxygéné est séparé du sang veineux. Ces deux flux sanguins peuvent cependant se mélanger lorsqu’un clapet, appelé foramen de Panizza et situé entre les crosses aortiques, s’ouvre et fait communiquer les ventricules. Lorsque l’animal plonge, ce clapet se ferme, permettant au cœur et au cerveau de continuer à être irrigués de sang oxygéné, et ce au détriment des muscles.

En rétrécissant ou en dilatant ses vaisseaux sanguins, le crocodile peut régler le flux de son sang et régler par le même fait la température des diverses parties de son corps. Et la fréquence des battements du cœur dépend de cet afflux nouveau d’oxygène ou non dans le système sanguin.

La bouche est isolée du pharynx du reptile par le repli gulaire, un tissu recouvrant le pli osseux du palais. C’est une sorte de voile qui empêche l’eau de pénétrer dans la gorge. Le crocodile peut ainsi rester sous l’eau la gueule ouverte, sans que ses poumons ou son œsophage soient noyés. Il continue de respirer la gueule remplie d’eau grâce à des fosses nasales qui conduisent l’air au-delà du repli. En plongée, deux valves ferment automatiquement les narines et empêchent l’eau de pénétrer dans les fosses
nasales.

Les deux poumons, de forme ovoïde, sont subdivisés en cavités et ressemblent à des éponges. L’air qui arrive de l’extérieur les emplit par succion, comme aspiré par le piston d’une seringue. Ce rôle de piston est joué par le foie, lui-même tiré vers l’arrière sous l’effet des muscles qui se contractent. Le crocodile peut en même temps fermer sa glotte et son repli gulaire, formant ainsi un circuit clos. Le pharynx s’abaisse, ce qui aspire l’air et le fait pénétrer dans la cavité olfactive. Selon les chercheurs Pooley et Gors, l’air stimulerait la partie du cerveau commandant le sens de l’odorat, particulièrement développé chez le crocodile du Nil. À l’extrémité du museau, les narines transmettent aussi les stimuli chimiques, émis par les proies ou les partenaires sexuels, directement à des sacs olfactifs qui les analysent. Ce système de transmission des odeurs est particulier aux crocodiles ; chez les autres reptiles, c’est la langue qui, en liaison avec l’organe de Jacobson, véhicule les particules odorantes.

On a cru longtemps, et à tort, que les reptiles étaient sourds. Les crocodiles du Nil possèdent, au contraire, une audition très développée grâce à une oreille interne dont la structure est comparable à celle des vertébrés supérieurs. Le tympan, très grand, est recouvert sur sa face externe par un volet mobile qui se ferme en plongée, comme les clapets des narines, afin de limiter les infiltrations d’eau. La qualité de l’oreille interne de ces reptiles leur permet de communiquer vocalement entre eux par des sons variés, ce qui enrichit leur vie sociale.

La rétine des crocodiles leur donne la possibilité de voir aussi bien dans la pénombre qu’en pleine lumière : on dit qu’ils sont euryphotes. Leurs yeux sont situés très haut sur la tête et de chaque côté. De cette façon, ils affleurent la surface de l’eau lorsque l’animal est immergé

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Les bébés crocodiles

Posté par othoharmonie le 19 novembre 2016

Les petits naissent sur la terre ferme

Peu avant la ponte, les femelles deviennent agressives et se disputent parfois les meilleurs sites de nidification. Dressées sur leurs pattes, elles se poussent l’une l’autre, cherchant à renverser leur rivale et n’hésitant pas à mordre.

 Bébé

Elles creusent leur nid sur la partie terrestre commune à plusieurs domaines, dans le sable ou la terre meuble du rivage, à plus ou moins grande distance de l’eau, mais presque toujours au-dessus du niveau des hautes eaux. À l’aide des pattes postérieures, chaque femelle creuse un puits de 30 à 45 cm de profondeur ; une fois le puits creusé, la femelle s’installe, cloaque au-dessus du trou et pattes traînantes, et pond de 16 à 80 œufs.

L’oviposition dure de 20 minutes à une heure. Sitôt la ponte terminée, la mère recouvre le trou, tassant le sol sur les œufs. Dans ce nid où les œufs vont incuber, la température n’est pas la même au centre et à la périphérie. Il semble que cette différence ait une influence sur la détermination du sexe des petits (des chercheurs ont observé que les femelles étaient le produit de températures basse ou très élevée, alors que les mâles naissaient de températures intermédiaires ; la période critique a lieu pendant la première moitié de l’incubation). L’incubation dure de 84 à 90 jours. Pendant tout ce temps, la femelle jeûne et ne cesse de surveiller le nid. Elle ne s’éloigne que pour boire de temps en temps ou pour se mettre à l’ombre. Le mâle reste lui aussi à proximité du nid, sans toutefois s’en approcher. Quelquefois, il va capturer une proie mais revient vite.

À la fin de la période d’incubation, les petits crocodiles, prêts à sortir de leur coquille, poussent de légers glapissements. Leur mère les dégage, creusant le nid des pattes et du museau, et les saisit délicatement dans sa gueule. La peau de sa gorge s’enfonce sous leur poids, formant une poche. Chaque nouveau-né pèse environ 500 g. La femelle les transporte ainsi jusqu’à la rivière où elle les lâche dans une eau peu profonde. Ce premier habitat provisoire a le double avantage de cacher les nouveau-nés aux prédateurs et d’éviter qu’ils ne se déshydratent.

Le nid une fois dégagé, aucun œuf n’est laissé à l’intérieur. La mère saisit ceux qui ne sont pas encore éclos dans sa gueule et les roule entre la langue et le palais jusqu’à ce que la coquille se brise.

crocodile

Des crèches protectrices

Pendant les six à huit premières semaines de leur vie, les jeunes crocodiles sont regroupés dans des crèches. Celles-ci sont situées sur la terre ferme, dans un endroit un peu retiré. Les petits se débrouillent seuls, mais leur mère ou toute femelle adulte veille, attentive au moindre de leurs cris et répondant immédiatement à ces appels. À cette époque, les petits sont des proies faciles et recherchées par toutes sortes de prédateurs. Des chercheurs ont observé que des mâles étaient capables, à l’occasion, de prendre soin de leur progéniture
avec la même délicatesse que les femelles.

Au contraire des adultes, les jeunes crocodiles ont besoin de la protection d’un abri pour ne pas se faire manger par plus gros qu’eux. Après la période de crèche, ils s’éloignent du groupe des adultes pour se chercher un terrier en commun. Celui-ci est généralement assez éloigné du bord de l’eau. Parmi ces jeunes apprenant ensemble à se nourrir, s’instaure une hiérarchie où les plus grands décident pour les autres. Puis, les groupes se disloquent d’eux-mêmes, chaque crocodile devient plus indépendant et s’en va, solitaire, à la recherche d’un territoire à coloniser

La zoologiste E. Hamard, en 1979, a étudié les estomacs de plusieurs dizaines de crocodiles du Nil et a ainsi montré que leur régime alimentaire variait en fonction de leur taille.

Ainsi, les insectes constituent 70 % de la nourriture des jeunes crocodiles de moins de 0,30 m et
encore 30 % de celle des animaux de 1,50 m ; mais ils ne font plus partie de l’alimentation des crocodiles de plus de 3,50 m. Lorsqu’ils mesurent entre 1,50 m et 3,50 m, les crocodiles consomment
surtout des poissons et des mollusques. Les grands crocodiles mesurant plus de 3,50  m se nourrissent principalement de mammifères (de 15 à 40 %) et de poissons (de 35 à 80 %). Leur alimentation se compose aussi de reptiles, de mollusques et de quelques oiseaux (environ 10 %),
mais ils préfèrent capturer de grosses proies plutôt que dépenser leur énergie à chasser des animaux de moindre importance.

Le crocodile adulte, protégé par son impressionnante cuirasse, a pour seuls ennemis l’homme et… ses propres congénères. Il en va tout autrement des œufs et des petits. La phase importante de la nidification a lieu sur la terre ferme.

La majorité des espèces choisit des bancs de sable non inondables pour nidifier. Ces nids terrestres ont l’inconvénient d’être très facilement accessibles aux divers oiseaux et mammifères, mais surtout aux lézards, qui les pillent. Le plus redoutable de ces prédateurs est le varan du Nil. Profitant de l’inattention des parents, il fouille et déterre les nids avec son long museau. S’il est surpris
par un crocodile, sa rapidité lui permet de s’enfuir. Il reviendra plus tard. Certaines années, le varan du Nil détruit jusqu’à 50 % des nids de Crocodylus niloticus.

Les œufs sont très recherchés en Afrique noire et en Nouvelle-Guinée autant pour être consommés que pour leurs vertus médicinales. Les zoologistes estiment que près de 90 % des animaux
meurent durant la première année de leur vie.

Nouveau-nés et jeunes crocodiles sont également des proies faciles pour les gros poissons comme les silures et les requins d’estuaire ; pour les grands oiseaux comme les rapaces, les hérons, les
marabouts, les cormorans et les spatules. Les félins, les chacals, les hyènes, les mangoustes et les genettes apprécient aussi ces jeunes animaux. L’hécatombe serait encore plus grande sans la stratégie des crèches où les parents protègent les petits pendant les douze semaines où ils sont le plus vulnérables.  

Dès qu’il atteint la maturité sexuelle, le crocodile n’a plus rien à craindre de ces prédateurs, mais il devient alors l’hôte de nombreux parasites. Un oiseau, le pluvian d’Égypte, vivrait ainsi sur le dos du
crocodile du Nil et pénétrerait dans sa gueule pour becqueter les fragments de nourriture restés dans les dents du reptile. L’entomologiste Villiers ne nie pas une certaine association entre les deux animaux, mais il émet des doutes sur ce que trouve l’oiseau entre les dents du reptile. L’oiseau
débarrasse peut-être le palais de son hôte des sangsues qui le parasitent.

Un rôle essentiel à l’équilibre écologique 

En tant que grands prédateurs, les crocodiles ont un rôle clef dans le maintien de la stabilité de la chaîne alimentaire en participant au recyclage des substances nutritives. Capables de creuser des flaques en période sèche, ils créent de petits habitats non négligeables pour de nombreuses espèces animales et maintiennent ouverts des canaux amenant l’eau dans les marais.  

Les crocodiles sont aussi des « nettoyeurs ». Leur rôle de charognard, à l’occasion, peut avoir une importance considérable en cas d’épidémie, surtout pour les poissons, qu’ils protègent aussi en assurant la régulation des populations de leurs prédateurs : loutres et poissons ichtyophages. De plus, à Madagascar, on a noté une recrudescence de rage canine après le massacre des grands reptiles qui se nourrissaient de chiens malades

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Les crocodiles sont partisans du moindre effort

Posté par othoharmonie le 15 novembre 2016

 

Les crocodiles vivent l’estomac vide. Un crocodile du Nil adulte ne fait, en moyenne, que 50 repas par an, parce qu’il utilise l’énergie apportée par son alimentation de façon beaucoup plus efficace que les autres animaux. Il stocke environ 60 % de la nourriture  qu’il absorbe dans le gras de la queue, dans l’abdomen et le long du dos. Un vieux crocodile peut ainsi rester deux ans sans se nourrir, de même qu’un nouveau-né quatre mois ; le crocodile adulte mange plutôt pendant les saisons chaudes. Les plus grands se nourrissent d’oiseaux, de poissons ou de mammifères (buffle, zèbre ou antilope), et parfois de charognes qu’ils repèrent à l’odeur. En période de froid, la digestion est ralentie, et seuls les jeunes s’alimentent, consommant surtout des insectes.

crocodile

Au Kwazulu-Natal, vers avril ou mai, les jeunes crocodiles profitent de la migration des mulets qu’ils chassent à plusieurs en se plaçant en demi-cercle, bouchant ainsi le passage aux poissons. Lors de ces chasses en groupe, chacun reste à son poste sans bouger jusqu’à l’encerclement final.  

Lorsqu’il pêche seul, le crocodile nage lentement, recourbant la queue pour créer un arc avec son corps. Un coup de gueule latéral de son museau plat, et les petits poissons qui se sont laissés prendre dans ce filet sont avalés sans être mâchés. Le crocodile fait glisser les gros poissons dans sa gorge en levant la tête verticalement. Mais, en général, il évite les efforts superflus. Son long corps dissimulé dans l’eau, il guette, immobile, pendant de longues journées, des proies éventuelles venues se désaltérer. Seules ses narines et le haut de sa tête émergent. Parfois, d’un coup de queue, il décroche d’une branche un nid d’oiseaux.

Lorsqu’une antilope ou un buffle approche sur la berge boueuse, le crocodile glisse silencieusement et, de ses puissantes mâchoires, saisit une patte ou le museau de sa proie qu’il déséquilibre, l’assomme ou lui casse les pattes d’un coup de sa lourde tête. Puis il l’entraîne dans l’eau pour la noyer. Et le festin commence. Le crocodile déchiquette l’animal et avale tout sans mâcher, os compris. S’il ne peut déplacer seul une proie trop grosse, un ou plusieurs congénères l’aident. Le zoologiste sud-africain Pooley a observé deux animaux transportant au-dessus du sol une antilope que l’un d’eux avait tuée sur la berge.

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Le CROCODILE est hiérarchisé

Posté par othoharmonie le 15 novembre 2016

 

Reptile aux allures préhistoriques, ce très lointain cousin des oiseaux  primitifs et des dinosaures a une solide réputation de tueur. Depuis  65 millions d’années, le crocodile s’adapte à tous les changements. Il aura  disparu dans quelques décennies si l’homme ne cesse de pourchasser ce survivant  des temps anciens.

Les crocodiles du Nil vivent en communautés réunissant des groupes distincts  d’animaux de même âge et de même sexe. Tous respectent une hiérarchie stricte, excepté  en période de grande sécheresse. Les crocodiles de tous âges se retrouvent alors sur les seuls points d’eau qui restent et les comportements de territorialité ou de hiérarchie s’estompent. Les mâles les plus grands et les plus agressifs dominent, vivant en permanence sur leur territoire, à proximité les uns des autres. Le territoire est à la fois terrestre et aquatique, l’animal défendant une portion de berge le long d’un point d’eau. Les femelles, soumises aux mâles, ont des territoires qui se chevauchent, englobant les sites de ponte sur la partie terrestre du territoire commun.

Crocodile

La position de la tête, du dos et de la queue donnent des  informations importantes sur le statut social d’un crocodile et sur ses intentions. Ainsi, un mâle dominant nage ostensiblement à la surface de l’eau, tandis qu’un animal moins élevé dans la hiérarchie ne laisse dépasser que la tête, et se tient toujours prêt à s’immerger complètement. Devant un animal dominant, il relève le museau hors de l’eau et entrouvre ses mâchoires. La tête immobile, il annonce, par des mouvements du museau, qui il est – mâle, femelle ou jeune – à celui qu’il approche.  

Il est très rare que les crocodiles se combattent, même lors de grands rassemblements d’animaux. Pour faire fuir son rival, le crocodile dominant se contente en général de rester immobile, tête et queue dressées, en gonflant son corps le plus possible afin d’exagérer sa taille. Si cela ne suffit pas, il attaque, mordant son adversaire à la base de la queue et derrière les pattes. Les cicatrices laissées à ces endroits indiquent donc des animaux de rang inférieur.

On distingue 13 espèces de crocodiles, réparties dans toutes les régions chaudes du globe, y compris dans les îles : Australie, Madagascar, qu’ils ont pu gagner à la nage, car toutes les espèces s’aventurent en mer. Mais ce sont surtout des animaux des fleuves et des lacs, aux pattes trop faibles pour les porter longtemps hors de l’eau. Ils se nourrissent de proies animales, vivantes ou mortes. Le crocodile du Nil, qui atteint 4 m de long, attaque parfois l’homme. Les crocodiles pondent à terre des œufs, que dévorent de nombreux prédateurs. Leur cuir est recherché par l’homme, qui les chasse ou, de nos jours, les élève dans des fermes.

Croco femelle

C’est la femelle qui fait les premiers pas  

Selon certains zoologistes, le crocodile du Nil mâle est monogame, selon d’autres, le mâle courtise quatre ou cinq femelles à la fois, ce qui semble plus probable, la proportion moyenne de la population étant d’un mâle pour dix à vingt femelles.

 
Les préliminaires amoureux commencent souvent quatre à cinq mois avant la ponte. C’est la femelle qui fait les premiers pas, visitant tour à tour les territoires de plusieurs mâles et se présentant à eux tête et queue complètement immergées. Elle doit bien marquer sa soumission à son partenaire, particulièrement agressif en cette période. Après parfois plusieurs jours de séduction, l’accouplement a lieu sous l’eau.

 

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BIBLIOGRAPHIE du Crocodile

Posté par othoharmonie le 15 novembre 2016

 

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VOIR LA FERME AUX CROCODILES : http://www.lafermeauxcrocodiles.com/

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L’image du rat pour le grand public

Posté par othoharmonie le 13 novembre 2016

 

Comment le rat est-il perçu par le grand public, tous ceux qui ne considèrent pas le rat comme un animal domestique ? Découvrez notre tour d’horizon.

rat

L’image du rat, tout comme celle de n’importe quel autre sujet, est conditionnée par la façon dont on la voit depuis la petite enfance. Mais également dans la façon dont l’image évolue. Cette image est véhiculée par les médias, les livres, la télévision et tous les moyens de communications.

Pour exemple, le Ratzine essaie de véhiculer une image neutre ou positive du rat ; cependant, ce magazine n’est encore accessible qu’aux lecteurs avertis.

Qu’en est-il de l’image actuelle du rat dans les médias ?

Par « image actuelle », on entend l’image du rat sur une période de 10 ans, en partant du principe que les films de 1999 encore diffusés ne sont pas jugés comme ‘trop’ vieux. Nous y ajoutons également les ‘classiques’. Nous ne définissons pas, par contre, de limite pour les livres, pour la raison évidente qu’ils peuvent toujours être lus et relus, nous nous arrêterons seulement au vieux français. Il en va de même pour les arts graphiques.

Outre les médias dits « classique », l’Art peut également véhiculer une certaine image du rat. Nous avons donc regardé également du côté de la peinture, de la sculpture … Concernant ces Arts, puisqu’ils produisent une image que nous pouvons vous soumettre facilement, nous laissons vous faire une idée personnelle de leurs consonances.

Articles détaillés

L’image du rat, véhiculée dans les médias, reste le plus souvent négative. Cependant, même lorsqu’elle est positive, le manque d’accès à l’information pour le grand public laisse le rat être un animal méconnu. Cette méconnaissance peut malheureusement entraîner de la maltraitance passive.

Koen DU SITE http://www.ratzine.fr/Societe/Art_Soc_ImagePublic.html

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CHAUVE SOURIS : ou Vampires

Posté par othoharmonie le 11 novembre 2016

 

 

Représentées par quelque 1 000 espèces, qui forment l’ordre des chiroptères, et répandues dans le monde entier, les chauves-souris sont pour la plupart nocturnes.

Ce sont les seuls mammifères à pratiquer un vol battu similaire à celui des oiseaux. L’aile est formée par un repli de peau, ou patagium, tendu entre les membres antérieurs et les chevilles, qui inclut fréquemment la queue. Quatre des cinq doigts sont fortement allongés et soutiennent le patagium ; le pouce, libre, porte une griffe.

vampire

 Les chauves-souris volent et recherchent leur nourriture dans l’obscurité grâce à l’écholocation : elles émettent, par le nez ou la bouche, des ultrasons dont elles recueillent l’écho. Les modifications subies par l’onde réfléchie permettent d’apprécier la distance de l’objet, mais aussi de l’identifier (proie ou obstacle). L’écholocation est surtout utilisée par les chauves-souris insectivores, qui capturent souvent les insectes en vol. Les frugivores se servent plus de leur odorat et bénéficient d’une bonne vision nocturne.

si prompte à grimper furtivement sur les mammifères endormis pour leur sucer le sang, est pour les hommes une figure de cauchemar. Mais, pour ses congénères, c’est un être doté d’une extrême sociabilité, capable de partager sa nourriture.

Les chauves-souris vampires ont d’abord été classées dans une famille particulière appelée vampiridés, puis desmodontidés. La singularité de leur régime alimentaire, hématophage, justifiait, aux yeux des taxinomistes, la création d’une famille à part entière. De nos jours, celle-ci a été supprimée, les vampires ayant été intégrés dans la grande famille des phyllostomidés (au sein de laquelle ils forment la sous-famille des desmodontinés), dont font aussi partie de nombreuses autres espèces de chiroptères, aux régimes alimentaires variés (frugivores, nectarivores, insectivores, carnivores).

Les phyllostomidés auraient évolué en Amérique du Sud à partir de formes primitives insectivores telles qu’Icaronycteris, qui fait partie des plus anciens fossiles connus de chauves-souris : il date du début de l’éocène (au tertiaire), il y a environ 52 millions d’années. Mais on connaît mal l’origine des vampires au sein des phyllostomidés. Tous les fossiles retrouvés, plutôt récents, datent du quaternaire (pléistocène et holocène).

Outre les espèces actuelles, on en a découvert trois autres, aujourd’hui disparues : Desmodus archaeodaptes, de Floride, Desmodus stocki, des États-Unis et du Mexique, et, enfin, Desmodus draculae (dont le nom s’inspire du héros de l’écrivain Bram Stoker, Dracula), un vampire de grande taille découvert au Venezuela, et présent également au Brésil, et qui existait peut-être encore assez récemment. La rareté des fossiles a obligé les chercheurs à reconstituer l’évolution des phyllostomidés à partir de données empruntées à la fois à la morphologie, l’immunologie, la biochimie, l’étude des chromosomes, etc. Selon ces données, il a été avancé que les vampires proviennent d’un rameau de la lignée de chauves-souris omnivores dotées, aujourd’hui encore, de certains caractères primitifs, et rassemblées dans le genre Macrotus. Alors que les vampires actuels vivent en Amérique latine, on a trouvé aux États-Unis, dans des terrains du pléistocène vieux de quelques dizaines de milliers d’années, des fossiles de deux, voire de trois espèces de vampires. L’extinction de certains groupes de grands mammifères, leurs proies, et la rigueur des hivers à la fin du pléistocène, incompatible avec leur métabolisme, ont sans doute entraîné la disparition de ces vampires nord-américains.

Il existe trois espèces de vampires actuelles, cantonnées à l’Amérique du Sud et à l’Amérique centrale : le vampire commun, Desmodus rotundus, le vampire à ailes blanches, Diaemus youngi, et le vampire à pattes velues, Diphylla ecaudata.

Des animaux qui s’entraident


Quand les vampires reviennent bredouilles au gîte, ils sont nourris de sang régurgité par leurs compagnons. Ceux-ci assurent ainsi leur survie, puisqu’un vampire meurt d’inanition s’il est privé de sang pendant 60 heures.

Signe de la forte cohésion du groupe, ces dons ne se font pourtant qu’entre animaux apparentés ou vivant depuis longtemps ensemble. Dans ce dernier cas, les rôles de receveur et de donneur alternent régulièrement.

 

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Comprendre l’Hirondelle : la Bonne Compagnie, la Fidélité, la Fécondité, l’Alternance

Posté par othoharmonie le 11 novembre 2016

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hirondelleL’Hirondelle est symbole du renoncement et de la bonne compagnie en Islam. En Lorraine, plus particulièrement dans la région de Metz, l’hirondelle préserve de la foudre et porte bonheur à la maison qu’elle a choisie pour y bâtir son nid. Celui qui tue une Hirondelle deviendra victime d’un malheur. On dit que les Hirondelles arrivent pour le jour de l’Annonciation (25 mars), et quittent le pays le 8 septembre, jour de la Nativité de la Vierge. Chez les Celtes, l’Hirondelle est représentée dans le domaine mythique par le nom de Fand, épouse du dieu de la mer Manannan. Tombée amoureuse de Cùchulainn, elle l’invite dans l’Autre Monde, et il y passe un mois auprès d’elle. Puis il l’abandonne et est repris par sa femme Emer.

Avec beaucoup de mélancolie Fand retourne alors vers son mari, qui est revenu la chercher. Un autre personnage mythique du panthéon celtique est Fandle, l’un des trois fils de Nechtan-Soene, tué par Cùchulainn lors de sa première expédition sur la frontière de l’Ulster. Fandle, d’une extrême légèreté combattait au-dessus de l’eau. Dans cette mythologie celtique, l’Hirondelle apparaît liée à un symbolisme de la fécondité et de l’alternance.

En Chine, comme le rapporte Lie-Tseu, on pensait que les Hirondelles disparaissaient à l’automne, au fond de l’eau pour y passer l’hiver, elles s’y transformaient en coquillages, puis redevenaient Hirondelles, en accompagnant le mouvement ascendant du soleil. On faisait même correspondre à l’arrivée et au départ des hirondelles, la date exacte des équinoxes.

Le jour du retour des hirondelles, était l’occasion de rite de fécondité. Plusieurs légendes rapportent la fécondation merveilleuse de jeunes filles par l’ingestion d’un œuf d’hirondelle, (histoire de Hien-Ti, histoire de la famille Chang dont descendait Confucius). Confucius n’en n’est pas moins si l’on ose dire, le fils de l’Hirondelle.

En Chine toujours, des galettes en forme d’hirondelles étaient fixées au-dessus des portes ; l’Hirondelle paraît d’ailleurs se confondre ici avec un autre oiseau du printemps qui pourrait être le Loriot.

hirondelle.rustique

Légende de l’Attique : Pandion, roi de l’Attique, épousa une naïade, nommée Zeuxippé, et en eut deux garçons, Erechté et Boutès, et deux filles, Philomèle et Procné. Au temps où régnait Pandion, le roi de Thèbes était Labdacos, et, ainsi qu’il arriva très souvent aux temps historiques, la guerre avait éclaté entre les gens de l’Attique et les Béotiens. Pandion sollicita l’alliance d’un roi de Thrace, Térée, qui était fils d’Arès, et, pour sceller l’alliance, lui donna en mariage sa fille aînée, Procné. Bientôt celle-ci eut de son mari un fils, nommé Itys. Mais Procné s’ennuyait en Thrace, loin d’Athènes, et elle voulut faire venir auprès d’elle sa sœur Philomèle. Térée y consentit et partit chercher la jeune fille. Mais, pendant le voyage, il devint amoureux de celle-ci et lui fit violence. Puis, pour l’empêcher de se plaindre à sa sœur, il lui coupa la langue. Mais Philomèle imagina un moyen de se faire entendre ; sur une tapisserie, elle broda l’histoire de la violence qui lui avait été faite. Procné décida de la venger. Pour cela, elle tua Itys, son propre fils, le fit bouillir, et donna cette chair à manger à Térée.

Après quoi, elle s’enfuit avec sa sœur. Lorsqu’il sut ce qu’avait fait sa femme, Térée saisit une hache et se lança à la poursuite des deux sœurs. Il les rejoignit à Daulis, en Phocide. Mais Philomèle et Procné, en le voyant arriver, implorèrent les dieux, qui eurent pitié d’elles et les transformèrent en Oiseaux. Procné devint un Rossignol et Philomèle une Hirondelle. Térée fut lui aussi métamorphosé et devint une Huppe. Pour les Bambaras du Mali, Hirondelle est un auxiliaire, une manifestation, du démiurge Faro, maître des eaux et du verbe et de l’expression suprême de la pureté, par opposition à la terre originellement souillée. Hirondelle doit son rôle important au fait qu’elle ne se pose jamais sur la terre ; elle est donc exempte de souillure.

C’est elle qui recueille le sang des victimes des sacrifices offerts à Faro, pour l’emporter dans les espaces supérieurs, d’où il redescendra sous forme de pluie fécondante. Elle joue donc un rôle de véhicule dans le mécanisme cyclique de la fécondation de la terre ; mais aussi dans la fécondation de la femme, par l’intermédiaire du jus de la tomate sauvage qu’elle apporte également au ciel (Note : l’hirondelle ne construit pas de nid durant son séjour en Afrique, on ne l’y voit donc jamais à terre). Chez les Persans, le gazouillement de l’Hirondelle sépare les voisins et les camarades, elle signifie solitude, émigration, séparation, sans doute à cause de sa nature d’Oiseau Migrateur.

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Superstitions liées au rat

Posté par othoharmonie le 9 novembre 2016

 

On trouve par le passé et encore à l’époque actuelle, ici et dans d’autres pays, de nombreuses superstitions liées aux rats, donnant parfois lieu à des expressions toujours d’actualité. En voici un petit tour du monde.

Rappelons qu’une superstition est une croyance donnant à une situation une signification bien précise, ayant des conséquences soit positives, soit négatives. Par exemple, certains animaux ou la rencontre avec un animal dans certaines conditions va porter bonheur ou malheur. Les superstitions sont irrationnelles et n’ont aucun fondement scientifique. Les superstitions sont en général d’origine culturelle et varient donc fortement d’une région à l’autre et sont également dépendante du milieu social.

Café des rats

Nous avons choisi de faire un article sur ces superstitions car elles reflètent également l’image du rat dans l’esprit populaire. Nous le faisons donc de façon neutre, et tenons à rappeler que certaines de ces pratiques sont considérées comme de la maltraitance. Par conséquent, certaines superstitions reportées ici peuvent être choquantes.

Superstitions diverses

  • Si les rats rongent des meubles dans votre maison, particulièrement dans la chambre à coucher, quelqu’un de votre famille va bientôt mourir.
  • Si les rats quittent une maison sans en être chassés, celle-ci va s’écrouler.
  • Si les rats quittent le navire, c’est qu’il va sombrer.
  • Des rats sur un navire neuf sont signe de chance.
  • Des rats qui pénètrent dans une maison sans raison apparente sont une fois de plus annonciateurs de mort.
  • Un enfant qui jette au rat une dent de lait qu’il vient de perdre, en lui en demandant une nouvelle, plus belle et plus solide, aura une jolie dentition.
  • Une augmentation importante du nombre de rats prédit une guerre.
  • C’est un signe de bonne chance de voir un rat sauter d’un tiroir que vous avez ouvert.
  • Les rats ne restent pas dans une cave où il y a une taupe.

En Chine
En Chine, le rat est l’emblème de la timidité et de la mesquinerie. Heureusement, le rat est aussi le symbole de l’industrie et de la prospérité, étant donné son ingéniosité et son habilité à trouver et entasser d’importantes réserves de nourriture.

La superstition voulait que les rats soient doués du pouvoir de se métamorphoser en cailles au printemps, pour redevenir des rats à la huitième lune.

En Chine du sud, on mangeait aussi du rat en considérant que c’était un remède efficace contre la calvitie.

Comment faire fuir des rats de sa maison (choquant)

  • Enduire les rats de colle et de plumes et y mettre le feu.
  • Introduire de l’ail dans le rectum du rat, recoudre, et le laisser retourner auprès des siens. Le rat était alors censé raconter ses malheurs à ses copains et les décourager de s’approcher des hommes.
  • Planter dans les champs à protéger un écriteau avec la formule magique suivante: « Je vous conjure tous, méchants rats qui êtes ici, de ne me faire aucun tort. Je vous défends ce champ, et si après ma défense, je vous y retrouve jamais, j’atteste la mère des dieux que je vous couperai en sept morceaux! »
  • Placer un baril de bière là où il y avait des rats et faire flotter sur la bière une grande quantité de bouchons de liège. Les rats sont censés prendre les bouchons pour un couvercle stable et s’y aventurer. Les bouchons se dérobent sous leurs pattes, et ils n’arrivent plus à sortir du tonneau. Ivres sous l’effet de l’alcool, ils se noient.
  • Le premier dimanche du carême, aspergez trois coins de votre grenier d’eau bénite. Les rats sont alors censés s’enfuir par le quatrième coin.
  • Adopter un rat albinos. En le voyant, les rats sauvages le prennent pour un fantôme et déguerpissent.
  • Lire l’Evangile selon saint Jean dans trois coins d’une maison: les rats s’échapperont par le quatrième. Sagement choisi, ce quatrième coin peut même les diriger vers la maison d’un voisin trop riche que vous méprisez.

Rituel pour chasser les nuisibles
Un rituel est un acte ou une série d’actions ayant une valeur symbolique et effectué dans un but précis. Ce n’est pas un acte spontané, il est codifié et ses règles doivent être suivies très précisément. Quand on parle de rituel, on pense souvent aux rituels sacrés ou magiques. Pourtant il existe tout un tas de rituels (ou de rites) dans la vie de tous les jours, par exemple le fait de faire la bise à une amie (rituel social), de se brosser les dents toujours de la même façon (rituel privé) ou d’aller au bowling tous les jeudis soirs (rituel profane).

Dans le cas que nous vous présentons ici, il s’agit d’un rituel de type « sacré » mais qui trouve sa source dans les superstitions plus que dans la religion. Nous vous le livrons donc dans le même esprit que précédemment.

Matériel nécessaire

  • Des déjections ou des cadavres des animaux que vous voulez chasser, si possible desséchés.
  • De la poudre de pyrèthre (pour les insectes), des semences d’une plante toxique quelconque pour les rats.
  • Un mortier et un pilon.
  • Une poignée de sel consacré (consécration simple).

Préparation :
Pilez la poudre de pyrèthre (ou tout autre toxique naturel pour les animaux que vous voulez chasser) avec les cadavres ou les déjections desséchées et du sel consacré

Rituel :
Répandez la poudre sur les lieux en prononçant la prière suivante :

« Dieu Tout-Puissant et Éternel, Rétributeur de toute justice, Toi qui par la voix de Ton Ange, comme le rapporte en sa vision Ton serviteur l’apôtre Jean, a ordonné aux sauterelles du dernier jour de ne point nuire aux herbes de la Terre ni à tout ce qui est verdoyant, ni aux arbres, mais seulement aux Hommes qui ne portent point sur le front le signe du Salut par excellence, nous te supplions, ô Seigneur de toutes choses, afin que de ce lieu disparaissent tous les insectes nuisibles, qu’ils sortent de ce lieu (de cette demeure, de ce jardin, de ces champs) et qu’ils s’en aillent au loin en des lieux déserts sans apporter aucun dommage à l’homme, aux animaux et aux végétaux. Et s’ils s’obstinent ou si à leur instinct se substituent la volonté mauvaise et le désir de nuisance d’un homme ou des mauvais esprits, nous te supplions alors Seigneur, d’envoyer ton Ange exterminateur sur eux afin que le glaive de Ta Colère les fasse disparaître à jamais. Par Jésus-Christ notre maître et Seigneur et par Saint Jean son serviteur Amen. +++ ! »



Sur ces mots, vous jetez votre poudre, traçant devant vous un grand signe de croix.

Observation : ce rituel convient pour les jardins, mais il peut également être utilisé dans une maison.

rat d'eau

Rêver de rats
De tous temps, les rêves ont fasciné les hommes. On y voit souvent une représentation déformée de ce qui occupe nos pensées, mais pour d’autres il s’agit de quelque chose de plus « magique ». On parle par exemple de rêves prémonitoires, ou de présages. Essayer de comprendre la signification de nos rêves s’appelle « l’interprétation des rêves ». Ce dont l’on rêve prend alors un sens bien précis, dicté par une symbolique codifiée, qui dépend là aussi des cultures, comme pour les superstitions.

Voici quelques interprétations que l’on peut trouver lorsqu’un rat apparaît dans un rêve :

  • Relations perfides et nuisibles
  • Hypocrisie
  • Le tuer : victoire sur vos ennemis
  • Rêve de mauvaise augure qui annonce des problèmes de santé
  • Voir des rats en nombre : baisse de vitalité, fatigue
  • Etre attaqué par des rats : état dépressif
  • Les entendre ronger ou se déplacer : des soucis vous perturbent, une coupure affective peut engendrer également ce genre de rêve
  • Les voir courir librement : on est ardemment aimé
  • Voir des rats blancs : des plaintes et contestations
  • Vous êtes victime de la médisance de faux amis

Voyez-vous des rats dans vos rêves ? Quelles impressions en gardez-vous ? Une chose est sûre, nous sommes encore loin de comprendre le fonctionnement des rêves…

Le rat comme moyen de torture

Malheureusement, les rats ont été utilisés pour torturer. Cette image du rat suppliciant l’homme est restée, donnant une image de méchanceté et de cruauté au rat. Cette image, outre le fait d’être fausse, permet, je crois, de se détourner du fait que c’était des hommes qui torturaient d’autres hommes en étant cruels avec des animaux.

 Torture

« Dans les temps de torture », gravure du début du 20e siècle

L’un de ces supplices est abordés dans « L’homme aux rats » de Freud mais également dans « Le Jardin des supplices » d’Octave Mirbeau.

Koen DU SITE http://www.ratzine.fr/Societe/Art_Soc_Superstitions.html

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Boites à oracle de la souris

Posté par othoharmonie le 9 novembre 2016

« L’oiseau se fait prendre par les pattes et l’Homme par la bouche… … «  
Sagesse Africaine


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Ce type de boîte porte aussi le nom « d’oracle à souris« . Cet objet en bois ou en terre cuite était destiné à la divination, et accompagnait les devins lors de leurs voyages.

Techniquement, il s’agit d’un pot dont l’intérieur est divisé à l’horizontale par un plancher percé d’un orifice.

Le devin plaçait une ou plusieurs souris à jeun dans la chambre inférieure, et lors d’une consultation, il disposait dans la partie du haut des bâtonnets, épines de porc-épic, écailles de tortues, et un peu de nourriture, dans un ordre soigneusement étudié.

Une fois le pot refermé, le devin récitait des incantations. La souris affamée grimpait aussitôt dans la partie supérieure pour y manger la nourriture.

Elle modifiait involontairement la disposition des objets que le devin se chargeait ensuite de déchiffrer et d’interpréter.

Autre Boîte à souris Baoulé ou boîte à oracles. Les Baoulé utilisaient ces boîtes pour lire les présages à l’aide de souris. Patine d’usage. Artafrica a une exposition d’Arts Africains, plus de 600 pièces, à Pézenas dans l’Hérault.

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L’orifice du bas permettant le passage de la souris a été bouché (depuis longtemps), la boîte a du avoir un autre usage par la suite. On peut encore voir le trou à l’intérieur de la boîte.

On notera la sculpture figure d’ancêtre adossée à la boîte à oracle, tel un gardien des présages. Le couvercle est surmonté d’un animal (bélier stylisé). On notera les traces de brillances par endroits, dues aux manipulations de l’objet.

Technique de divination : des graines et des cauries étaient placés dans la boîte. La souris passait par une ouverture sous la boîte pour aller manger les graines et déplaçait les cauries. Le féticheur, ensuite interprétait la figure représentée par les cauries; l’oracle.

En savoir plus sur Boite oracle a souris – Baoule – Côte d’Ivoire – Oracles Africains – Objet n°2980 – Galerie Bruno Mignot sur www.bruno-mignot.com

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LE RAT N’EST PAS RESPONSABLE

Posté par othoharmonie le 7 novembre 2016

 

L’ARTICLE

Et si les rats n’étaient pas les responsables de la Peste Noire? Et si ces animaux que l’on a tant blâmés pendant des années n’avaient en fait rien à voir avec la propagation de cette épidémie qui a frappé l’Europe au XIVe siècle? Grâce à l’analyse de fouilles archéologiques, des scientifiques avancent cette nouvelle théorie.

A Londres, en mars, 25 corps sont déterrés, raconte le quotidien britannique The Telegraph. Douze d’entre eux sont analysés:

 «Sur les 12 corps prélevés qui ont été analysés, quatre ont été testés positifs pour la bactérie Yersinia Pestis, bien que l’on pensait qu’ils en étaient tous victimes.»

Yersinia Pestis, c’est la fameuse bactérie responsable de la peste. S’il n’y en a qu’une seule, il y a en revanche différents développements de la maladie. La peste bubonique est transmise par «la morsure d’une puce infectée en se nourrissant du sang d’un rongeur pestiféré, un rat par exemple», explique le site de l’Agence de la santé publique du Canada. C’est la forme la plus courante. Mais la peste peut également être «pneumonique»: plus mortelle, «elle se propage par des gouttelettes en suspension dans l’air lorsqu’une personne infectée tousse ou éternue, ou par le contact avec des liquides organiques infectés».

Ratus

Dans nos esprits, la Peste Noire qui a sévi au Moyen-Age est associée aux rats. Et pour cause: les scientifiques pensaient, jusqu’à aujourd’hui, que cette peste était bubonique.

Mais les squelettes de Londres ont révélé de nouveaux éléments. The Telegraph détaille les découvertes de Tim Brooks, expert des maladies infectieuses au Public Health England:

«Il a identifié ce qu’il considère comme une mutation de la peste bubonique, transmise par les rats, vers une variante de la peste pneumonique.»

Cette découverte coïncide avec les hypothèses de l’équipe de Tim Brooks, qui s’étonnait de la rapidité avec laquelle la Peste Noire s’était répandue. The Guardian rappelle les faits:

«La Peste Noire est arrivée de l’Asie centrale en Grande-Bretagne à l’automne 1348, et à la fin du printemps de l’année suivante, elle avait déjà tué six personnes sur dix à Londres. Un tel taux de destruction tuerait cinq millions de personnes aujourd’hui.»

Voici l’explication de Tim Brooks:

«Pour qu’une peste se propage à cette allure, elle a nécessairement atteint les poumons des victimes, qui étaient malnutris et qu’ils ont ensuite transmise par des toux et des éternuements.»

Le quotidien poursuit:

«C’était donc une peste pneumonique plutôt qu’une peste bubonique. L’infection a été transmise d’humain à humain, et non par des puces de rats qui auraient piqué une personne malade, puis une autre victime.»

L’International Business Times parle d’un «fait qui pourrait réécrire les livres d’histoire». Et qui peut-être nous fera un peu moins détester les rats.

Commentaire de Olivier soulier.LE RAT

Décidément c’est la fin des mythes. La médecine qui sauvera tout. Les autorités sanitaires fiables, les microbes aussi changent. De méchants ils deviennent utiles. Et puis des microbes partout même dans l’autisme. Où allons nous ? 

Mais il y a pire ! Le rat ennemi mortel de l’homme ne serait pas le transmetteur de la peste. Pire, ce serait l’humain qui se débrouillerait bien lui même tout seul.

Tout s’effondre ; Albert Camus, vas ré écrire ton livre. Tu t’es trompé.

En fait depuis la nuit des temps le rat est celui qui se nourrit des déchets que nous générons et transporterait beaucoup de nos maladies. Il devient alors facilement le bouc émissaire de notre vie. Il partage dans l’antiquité ce privilège avec le porc.

Pire, il nous ressemble ou pire encore, nous lui ressemblons. Nous sommes tous le petit rat de Henri Laborit dans «Mon oncle d’Amérique».  Cherchant notre intérêt en toute situation. Laborit nous le dit « sous le vernis des bons sentiments, l’homme maintient férocement les dominances ». Nous ressemblons tellement au rat que nous pouvons tester sur lui nos comportements psychiques et sociaux.

Symboliquement, le rat et la peur du rat vient parler de nos égoïsmes, de nos peurs, de nos réactions primaires, reptiliennes, d’une survie dans laquelle seul notre intérêt compte. Fin des grands sentiments.

Camus dans «La Peste», décrit ce monde d’égoïsme ou la peste va pouvoir prospérer.

Il reprend bien la valeur symbolique du rat.

Logique, alors que pendant des années on a accrédité le rôle du rat dans la peste. Mais cet article vient nous dire que l’homme n’a pas eu besoin du rat pour transmettre la peste, qu’il s’est bien débrouillé seul, comme si son propre égoïsme n’avait même pas besoin du rat  pour se transmettre. Le symbole nous montre la réalité. Fort quand même !

Par Camille Jourdan | publié le 31/03/2014 à 18h03, mis à jour le 31/03/2014 à 18h11

http://www.slate.fr/life/85359/rats-pas-responsables-peste-noire

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LE RAT ET LA SOURIS SPIRITUALISES

Posté par othoharmonie le 7 novembre 2016

 

Le rat et la souris sont, comme beaucoup d’autres symboles animaliers, un symbole ambivalent. Cette ambivalence se démarque dans ses excès : symbole de la maladie et de la mort, de ce qui ronge et de ce qui se cache, d’une créature répugnante et impure qui souille et déleste les denrées avec fracas ; il s’agit aussi et pourtant d’un symbole de prospérité et de richesse, de fertilité et de guérison. Mythologie grecque ou indienne, le dieu rat propage la maladie, tuant ainsi hommes et récoltes, mais il est aussi celui qui guérit et offre la prospérité, le Dieu des moissons. Apollon Sminthée pour la grande tradition grecque et Ganesha pour la tradition indienne sont des dieux rats (ou souris, selon la traduction) portant toute l’ambivalence de ce qui ronge dans les souterrains et rend malade, mais porte tout autant la vigueur de la guérison et de la grande santé. Plus généralement dans toutes les traditions (chinoise ou japonaise, européenne ou sibérienne), le rat ou la souris est tout autant valorisé comme fécondité que connoté comme avare et  inquiétant. Ces deux rongeurs, rat et souris, sont souvent associés et véhiculent les mêmes motifs symboliques dans l’imaginaire populaire et au sein de la littérature (Jean de La Fontaine ou Esope utilisant l’un pour l’autre les deux termes pour désigner le même animal). L’identification est aussi biologique, ces deux animaux appartenant à la sous-famille des Murinae avec les mulots.

 RAT

Symbole transcivilisationnel par excellence, portant la mort et la grande santé retrouvée, de quoi ce petit animal des entrailles est-il le nom ? Nous allons suivre la piste dostoïevskienne : cet animal qui symbolise les entrailles et la vie souterraine vise aussi l’ambivalence de l’homme, car les profondeurs de l’âme et de sa structure réflexive sont aussi bien le lieu de la conscience de soi que le lieu de l’animal malade de ses sous-sols (la métaphore du sous-sol désignant aussi bien l’animalité refoulée de l’humanité que le ressentiment que l’on ressasse avec conscience). Plus précisément, c’est le rat ou la souris comme symbole de l’intériorité qui nous occupera en nous aidant des grands penseurs de l’intériorité. De Dostoïevski et Kafka à Nietzsche et Freud, tous ont vu que l’homme s’explique par sa vie souterraine et que ces tréfonds de l’âme humaine ont souvent été ignorés au profit d’une valorisation de l’esprit pleinement maître de ses capacités intellectuelles. Le rat, ici, symbolise cette vie infra-consciente que l’on préfère ignorée : cette lutte en sous-sols entre divers instincts et affects que traduit avec plus ou moins d’honnêteté, en tout cas avec beaucoup d’ignorance des processus sous-jacent, le flux conscient de notre pensée. Il symbolise les arrière-pensées, ce qui se joue derrière le masque humain, la bête que l’on cache avec plus ou moins de soin et d’hypocrisie ontologique.

Si le rat symbolise si bien l’animal qui s’agite derrière toute pensée et derrière le visage civilisé, c’est parce qu’il est l’animal vermine par excellence : vecteur de la peste et plus généralement de maladies, il s’immisce partout et souille les denrées qu’il vole et disperse dans un geste sans ordre, il prolifère et contamine tout son environnement si on ne dératise pas ce dernier.

 RAT1

« A un certain  niveau de connaissance de soi-même […], on en viendra à se trouver exécrable. Pour mesurer le bien […], tout étalon sera jugé trop grand. On se rendra compte qu’on n’est rien de plus qu’un nid à rats peuplé d’arrière-pensées. L’acte le plus infime ne sera pas exempt d’arrière-pensées » écrit Kafka comparant la face ignoble de l’homme à un nid à rats, autrement dit à la prolifération de la vermine la plus impure. Le rat symbolise cette vie souterraine de l’esprit qui grouille de bas instincts, le siège du Mal, alors qu’on croyait cet esprit si prompt à la contemplation de la beauté, du bien et du vrai. Ce diagnostic nietzschéo-dostoïevskien (Nietzsche systématisant la profondeur des vue du grand psychologue Dostoïevski) peint l’homme torturé par son intériorité et on peut voir dans ce duo Dostoïevski-Nietzsche la préfiguration d’un Freud à venir et d’une discipline s’intéressant à la vie souterraine de l’âme : qu’il s’agisse d’un inconscient, des ruminations de la vie intérieure ou d’une pensée infra-conscience (non unifiée et réifiée en inconscient topique ou cognitif).

Mais l’homme des sous-sols, c’est aussi l’homme piégé dans son intériorité, non plus seulement celui qui rumine telle une vache à tête de rat, mais celui qui creuse de nouvelles galeries pour y blottir une conscience de soi de plus en plus individuée, comme une excroissance spirituelle handicapante que la civilisation impose à l’intériorité. C’est l’homme kafkaïen qui tombe en lui-même, mais aussi l’homme freudien expliqué par Pierre-Henri Castel : cet homme moderne si individué et si autonome que sa maîtrise de soi exige une hyperconscience pour tenir fermement la bête ; la civilisation se paie d’une individuation plus forte, résultat de l’intériorisation des valeurs et de la haute maîtrise de soi, et se paie aussi d’une duplicité plus grande, résultat d’un impératif de refouler l’animalité.

La vie souterraine est une sorte de pharmakon : le poison devient le remède. La pression de la conscience sur l’animalité infra-consciente civilise et cache à l’homme la face hideuse qui parfois se rappelle à lui, mais c’est aussi la puissance de la conscience réflexive, capable d’aller sonder les bas fonds (de connaître la pensée infra-consciente) mais aussi capable d’émanciper l’esprit de ses fonctions naturelles et sociales et de créer ce dialogue intérieur de l’âme avec elle-même. C’est cette thèse dialectique que nous essaierons de justifier tout au long de notre texte.

 RAT2

L’homme moderne individué radicalement se ronge en quelque sorte lui-même par sa structure réflexive et sa vie mentale intériorisée. Nous expliquerons cette hypothèse en rapprochant l’interprétation de Nietzsche par Patrick Wotling et l’interprétation du freudisme par Pierre-Henri Castel, mais nous ferons le pari que le rat est bien un symbole ambivalent et porte en soi la grande santé : l’esprit est un poison qui porte avec soi son remède et est l’invention géniale de l’humanité. Le pharmakon de l’âme est bien l’âme elle-même : malade de ses sous-sols par la structure réflexive, elle ne se soignera que par elle-même. On ne dératise pas l’esprit, on l’apprivoise ; tout comme on n’extirpe pas le corps, on le spiritualise.

Extrait du site http://www.implications-philosophiques.org

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SOUS LE SIGNE DU RAT

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2016

 

ratLes Rats sont réputés pour leurs qualités de persuasion, et leur propension à accumuler, amasser, épargner. Leur charme naturel et leur caractère dégourdi et agréable en font des amis attirants pour presque tout le monde.

Toutefois, sous sa nonchalance apparente, le Rat sera un fin calculateur, adroit et sans embarras. Son intérêt personnel est sa seule vraie motivation, et l’avarice n’est jamais bien loin si le Rat se laisse aller à ses penchants naturels.

Foncièrement matérialiste, le Rat ne renonce pas à quelques écarts pour protéger et encourager un proche.

Le rat n’a pas sa langue dans sa poche, la moutarde lui monte souvent au nez, mais lors de ses violents accès de colère, il n’est jamais grossier.

On aime le Rat, ou on le déteste.

Intellectuellement, le Rat a l’esprit vif et se trouve toujours en quête de nouvelles connaissances, qu’il amasse avidement, dans l’éventualité d’un usage futur. Curieux dans l’âme, le Rat accueille les défis comme une manière de rester dans la course.

Lorsque le rat laissera un peu de place aux autres dans sa vie, il trouvera le vrai bonheur.

LE RAT

Le profil de la femme Rat

La femme Rat est élégante dans sa façon d’être et de bouger. Elle s’habille avec goût, sans trop en faire, elle est aussi très attentive aux détails et sait comment se mettre en valeur. Énergique et créative, la femme Rat a de nombreux talents et sans doute est-elle douée dans un domaine artistique. Elle est aussi très exigeante avec elle-même et déteste le laisser-aller. L’apparence ou plutôt les apparences comptent donc beaucoup pour elle : elle cherche à s’entourer de belles choses et de belles personnes. La femme Rat déclenche souvent les jalousies féminines car elle n’hésite pas à exprimer ses ambitions et à se mettre en avant. Mais elle est aussi sociable et souvent bien entourée. Elle virevolte et semble toujours pressée. La femme Rat noue facilement des relations et sait mettre à l’aise les gens. Surtout les hommes, avec lesquels elle n’entre pas en concurrence.

La femme Rat et les hommes

La femme Rat est extrêmement séduisante et attire le regard des hommes. Elle est romantique et passionnée, mais manque parfois de constance amoureuse. Ce qu’elle aime ce sont les commencements, un premier regard, un premier rendez-vous, le cœur qui s’emballe… Elle déteste s’ennuyer et cherche la personne qui saura faire en sorte que son cœur continue à battre la chamade même après plusieurs années. Si ce n’est pas le cas, la femme Rat sait très bien passer à autre chose, le changement ne lui fait pas peur. Elle devrait s’entendre à merveille avec les hommes Dragon et Singe, énergiques et créatifs comme elle, les hommes Cochon, qui l’attirent et la flattent, les hommes Serpent, ambitieux et respectueux, les hommes Boeuf dont elle se sent proche et complémentaire, et les hommes Chien qui peuvent lui apporter une bonne stabilité. Cela se complique avec les hommes Lapin et Tigre, plus amis qu’amants, les hommes Mouton, trop différents d’elle, les hommes Coq avec lesquels la femme Rat a tendance à entrer en compétition, les hommes Rat, trop semblables à elle, et enfin, les hommes Cheval, diamétralement opposés à la femme Rat.

Le profil de l’homme RatRat et rate

L’homme Rat est adaptable, imaginatif et ingénieux, mais aussi fuyant, difficile à saisir et à comprendre. Ces proches peuvent avoir le sentiment de ne pas le connaître totalement. En réalité, l’homme Rat se protège et n’aime pas dévoiler ses sentiments, qu’il a tendance à considérer comme des failles empêchant l’esprit pratique d’atteindre ses objectifs. Mais l’homme Rat n’est pas froid pour autant, il est même charmeur et en général très sociable. Il garde en revanche toujours son vernis protecteur afin de préserver fermement son intimité. L’homme Rat aime la fête et être au courant de ce qui se passe autour de lui. Il est très observateur et à tendance à tout analyser. Cette qualité fait de lui un très bon stratège, perspicace et ingénieux. Mais il peut être aussi un brin égoïste et difficile à satisfaire. Ces connaissances diront sans doute de lui qu’il est charmeur, admirable et brillant ; et ses plus proches amis commenceront peut-être à déceler dans son attitude un caractère exigeant, une grande ambition et une certaine avidité. Mais ils savent aussi qu’il est énergique, créatif et malin. Capable de se sortir des situations les plus compliquées.

L’homme Rat et les femmes

L’homme Rat a un pouvoir de séduction très développé. Il dégage en général un magnétisme qui ne laisse personne indifférent. Les femmes le voient comme un homme fort sur qui s’appuyer. Charmeur et élégant, il joue de son magnétisme et soigne son image, si bien qu’il peut même avoir un petit côté personnage de roman à l’eau de rose pour jeune fille. L’homme Rat devrait s’entendre à merveille avec les femmes Boeuf et Chien, car ils se complètent très bien, mais également avec les femmes Dragon et Cochon qui comprennent son fonctionnement, les femmes Singe et Serpent qui admirent la personnalité de l’homme Rat, enfin, les femmes Lapin devraient créer avec lui une belle amitié. Cela se complique avec les femmes Rat et Tigre, souvent en concurrence, les femmes Cheval et Coq qui auront du mal à s’accorder avec le caractère de l’homme Rat et enfin les femmes Mouton, peut-être trop dispersées pour lui. 

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Des rats dans les murs

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2016

 

ANIMAUX – C’est un voisin que les habitants des grandes villes connaissent bien, même s’ils ne le croisent pas tous les jours. Plutôt du genre à prendre l’air la nuit, il lui arrive de devoir montrer le bout de son museau en pleine journée, en général pour un déjeuner dans les poubelles. Ce voisin qui peut se faire envahissant, c’est le rat, cette boule de poils qui inspire, la plupart du temps, peur et dégoût.

les-rats

La journaliste Zineb Dryef lui a consacré un livre, Dans les murs. Les rats de la grande peste à Ratatouille, sorti en librairie le 8 octobre. A l’origine de ce récit, il y a des bruits. Quelques temps après avoir emménagé dans un nouvel appartement à Paris, la jeune femme entend des craquements et autres grattements dans les murs. Soupçonnant la présence de rats, elle se renseigne sur ces animaux qu’on qualifie volontiers de « nuisibles ». De ses recherches découle une enquête surprenante et passionnante, riche en anecdotes insoupçonnables et en informations méconnues. Le HuffPost vous en fait découvrir trois.

La peste, les rats et leurs puces

Si le rat révulse, c’est que bien souvent, dans les esprits, il est synonyme de saleté et de maladies. Et il y en a une en particulier à laquelle on associe automatiquement le rat: la peste. S’il est vrai que le rongeur est un des principaux réservoirs de la maladie, le rat ne la transmet pas à l’homme en le mordant, comme on le croit souvent.

En fait, la contamination se fait par le biais de la morsure d’une puce. Lorsqu’un rat, porteur de la peste, y succombe, les puces qui se nourrissaient de son sang cherchent à se nourrir ailleurs. Elles trouvent donc soit un autre animal, soit un homme, qu’elles contaminent en les piquant. C’est le pasteurien Paul-Louis Simond qui a mis au jour ce processus de contamination, en 1898.

« La police des rats »

Les rats sont un casse-tête pour les pouvoirs publics. Ces derniers tentent de surveiller et de réguler la population de rats, afin de limiter les problèmes sanitaires. Dans son dispositif, Paris possède par exemple une unité spéciale, couramment appelée la « police des rats ». Dans les murs y consacre un chapitre. Appelée « laboratoire du rat » au début du XXe, l’Unité de prévention des nuisances animales, comme on l’appelle maintenant, ne s’occupe cependant pas uniquement des rongeurs.

Le policier qui supervise l’équipe de quatre personnes de l’unité a expliqué à Zineb Dryef leur mission. Celle-ci « n’est pas de faire de la chasse aux rats mais de la prévention, de protéger les Parisiens contre les nuisibles, de faire respecter, dans toute la capitale, la réglementation sanitaire touchant aux ‘animaux vertébrés vivants hors faune sauvage’ [...] Ca veut dire qu’on s’occupe des rats mais aussi des pigeons, des chats, des chiens et des souris », détaille le policier. Concernant le rat, cette unité procède à des « enquêtes de dératisation », l’idée étant de trouver comment les rats envahissent un immeuble, par exemple, pour ensuite indiquer aux propriétaires comment stopper l’invasion.

Quand les Parisiens goûtaient au rat

1870, Paris est assiégée par les Prussiens. Si la question des stocks de nourriture ne s’impose pas tout de suite, elle va pourtant devenir centrale. Le siège dure plus longtemps que prévu. Les viandes de bœufs et de moutons se font plus rares, les Parisiens ont déjà pris l’habitude de manger du cheval. La privation donne lieu à quelques « nouveautés ». Comme l’explique l’auteure de Dans les murs, le jardin des Plantes et d’Acclimatation manque de fourrage et vend ses bêtes aux bouchers. Certains restaurants huppés servent alors du yack ou du cormoran.

Mais, écrit Zineb Dryef, « en réalité, rares étaient les Parisiens qui s’offraient de l’éléphant, du perroquet et de l’agneau. La majorité faisait la queue dans les boucheries municipales, où l’on trouvait des viandes peu exotiques et, à mesure que passaient les semaines, de moins en moins identifiables ». Ce qui va jusqu’à inquiéter Victor Hugo qui se demande s’il ne mange pas du chien ou du rat. Certaines boucheries ne s’en cachent d’ailleurs pas et indiquent en vitrine la vente de viande de chiens, de chats et de rats. A propos de ce dernier, l’auteure temporise toutefois: « Il est incontestable qu’il fut consommé, mais les témoignages, s’ils sont nombreux, démontrent qu’au début du siège, pour la plupart, manger du rat s’apparentait davantage à une expérience culinaire qu’à une nouvelle habitude de consommation ».

rats dans les murs

Ratodromes, légendes, destruction du quartier des Halles… d’autres anecdotes sont à découvrir avec « Dans les murs. Les rats, de la grande peste à Ratatouille » de Zineb Dryef aux Editions Don Quichotte. 326 pages, 18,90 €. En librairie.

Le HuffPost  Publication: 10/10/2015 

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La chauve-souris … symbole de bonheur en Chine

Posté par othoharmonie le 1 novembre 2016


 

La chauve-souris est un symbole de bonheur pour les chinois, car le mot « chauve-souris », biàn fû, joue sur le mot « bonheur » fû. Le dessin de deux chauves-souris se faisant face représente un « double bonheur », shùang fû.

Une chauve-souris rouge est particulièrement bénéfique puisque cette couleur a le pouvoir d’éloigner le démon et que « rouge » se prononce comme le mot « immense », hâng.

 1CHAUVE SOURIS

Le rébus d’une image ou se trouve une chauve-souris avec une pièce de monnaie signifie « le bonheur sous les yeux », fû zài yân qian.

La chauve-souris est aussi un symbole de longévité. Dans « Le Livre de la médecine des plantes », écrit à la fin du seizième siècle, il est dit que la chauve-souris vit jusqu’à un âge très avancé et que son sang, sa vésicule biliaire et ses ailes ont des propriétés curatives qui améliorent la vue et prolongent la vie.

Le motif de cinq chauves-souris réunies est un motif particulièrement favorable et populaire. Ces « cinq bonnes fortunes », wù fû, représentent longévité, richesse, santé, amour de la vertu et mort naturelle. L’expression « que cinq fortunes frappent à votre porte », wù fû lin mén, est un vœu communément formulé.

Cinq chauves-souris disposées en cercle autour de l’idéogramme de la longévité sont un rébus qui se dit wù fû pëng shou, un motif très puissant de bonne fortune et de longévité.

Cinq chauves-souris volant au-dessus d’un récipient ou d’une boîte ronde signifient « harmonie et cinq fortunes », wù fû hé hé, car « boîte » et « harmonie » se prononcent tous deux hé.

La pipistrelle est le nom d’une variété de chauves-souris commune en Europe.


Mais ce qui nous intéresse ici est tout autre chose… c’est l’impression que la chauve-souris a exercée sur les humains et les histoires qui courent sur elle…

Cet animal a éveillé l’intérêt de nombreuses civilisations en raison de sa nature bâtarde de mammifère ailé. En Occident, la chauve-souris est perçue comme un être inquiétant, voire malfaisant, qui vient s’accrocher dans les cheveux des gens la nuit! Quelques récits sur des chauve-souris buveuses de sang vivant en Amérique du Sud ont suffi pour qu’on les considère comme des êtres effrayants, alors qu’elles sont inoffensives et chasseuses de moustiques.

Le diable, l’ange déchu, est représenté dans l’art avec des ailes de chauve-souris car il craint la lumière comme elles. Sur presque toutes les images des sabbats de sorcières figurent aussi des chauves-souris. Et de tous temps, on les a cruellement clouées aux portes pour protéger des démons de la nuit et des mauvais sorts. 

Notre animal a meilleure réputation dans d’autres contrées, et c’est fort heureux.

Les Mayas la vénéraient comme un être protecteur, nommé Z’otz.

Chez les indiens, la chauve-souris symbolise la renaissance, elle est pendue la tête en bas, comme un bébé qui vient au monde. Elles étaient aussi idolâtrées par les civilisations Aztèques et Toltèque. Lorsque vous voyez une chauve-souris voler dans vos rêves, elle vous avertit qu’il est temps de vous débarrasser d’une partie de vous-même. Il faut savoir faire une mort symbolique pour pouvoir avancer spirituellement.

chauve-souris-lune

Dans la Chine ancienne, la chauve-souris était un symbole de bonheur, essentiellement en raison de l’analogie phonétique, entre les mots chauve-souris et bonheur .

Les chauves-souris rouges, dont la couleur était censée chasser les êtres démoniaques, étaient considérées comme de véritables signes de bénédiction!

Dans les mythes africains, notre mammifère est présenté parfois comme un être particulièrement intelligent, car elle sait éviter tous les obstacles quand elle est en vol.

Dans l’antiquité, réputée pour ne jamais s’assoupir, la chauve-souris était le symbole de la vigilance.

La chauve-souris était encore censée détourner les invasions de fourmis, de chenilles, de sauterelles, et protéger des morsures de serpent. On appelait aussi par plaisanterie du nom de chauve-souris (en latin, vespertilio, en grec, nykteris) les individus à la vie nocturne dévergondée !

 

Les bestiaires médiévaux soulignent également l’aspect positif des chauves-souris, appréciant notamment leurs mœurs de groupe, leur attachement les unes aux autres et leurs marques d’amour comme on en rencontre peu même chez l’homme (Unterkircher).

Au XIIème siècle, Sainte Hildegarde de Bingen, qui la classait parmi les oiseaux, l’évoque notamment en tant que remède de la jaunisse.

*D’après l’Encyclopédie des Symboles, la Pochothèque.

 

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Une réhabilitation de l’animal

Posté par othoharmonie le 31 octobre 2016

 

Aujourd’hui, c’est tout juste si les animaux ne doivent pas nous prouver qu’ils sont conscients. Nous ne cessons d’être étonnés de toutes ces nouvelles recherches scientifiques qui démontrent l’étendue de leur intelligence. Capables de fabriquer des objets, de faire des maths, de tenir des conversations structurées, de se reconnaître dans des miroirs, d’avoir de l’humour et de rire, de faire preuve d’empathie ou même d’un sens inné de l’éthique, de faire des œuvres d’art ou d’honorer leur morts – comme on le voit chez les éléphants… les animaux sont des êtres conscients, ça ne devrait plus être discutable. « Et ce qui est sûr c’est que nous ne connaissons pas encore l’étendue de la conscience animale. Tous les tests scientifiques sont basés sur notre façon à nous de concevoir les choses. Ils sont faussés parce que basés sur notre idée de ce qui fait la conscience ou l’intelligence », nous dit Laïla del Monte, formatrice en communication animale et dotée de la capacité à entrer en contact télépathique avec les animaux.

un animauxinteligents

Et c’est ce que soutient aussi Tom Regan, un philosophe, dans son livre Les droits des animaux. « Loin d’être sans pensée, comme l’affirmait Descartes, les animaux que nous mangeons, chassons ou livrons aux expériences scientifiques sont conscients du monde. Leur esprit est empreint de croyances et de désirs, de souvenirs et d’attentes. Ce sont, à ce titre, des êtres dotés d’une valeur morale propre »

Alors petit à petit, certains pays changent leurs lois pour améliorer la condition animale. Depuis mai 2013, les cétacés sont par exemple considérés comme des Personnes non-humaines en Inde. Le ministre indien de l’environnement a même déclaré que leur mise en captivité et leur exploitation pouvait être assimilés à la séquestration de personnes et à l’esclavage. Et que ce passe-t-il chez nous ? La France, pays des droits de l’homme, pays des droits des animaux ? Malheureusement, non. « En France le code civil, pilier du droit français, ne prévoit que 2 régimes juridiques : celui des « personnes », et celui des « biens » incluant les animaux. Au regard de ce texte, il n’y a donc aucune différence entre une table et un animal », explique l’association 30 millions d’amis. C’est impensable, légalement un animal est un objet. 30 millions d’amis vient alors de lancer une pétition pour qu’un 3ème statut, « conforme à leur nature d’êtres vivants et sensibles » soit créé. Visiblement, il reste du pain sur la planche pour les nombreuses institutions qui se démènent de part le monde pour essayer de changer nos consciences et nos comportements. Avons-nous, par exemple, besoin de manger de la viande à tous les repas ? 

Signez la pétition de 30 millions d’amis soutenue par Christophe André, Boris Cyrulnik, Matthieu Ricard, Frédéric Lenoir, Pierre Rabhi, Edgar Morin et beaucoup d’autres…

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Chiens versus Chats

Posté par othoharmonie le 31 octobre 2016

Souvent, nous constatons des ressemblances entre certains animaux et leurs maîtres. Que ce soit physique ou au niveau de la personnalité. C’est tout simplement parce que l’animal absorbe les émotions et la personnalité de l’Homme. Du fait de leur vibration extrêmement élevée, ils sont capables souvent d’absorber une grande quantité d’émotions négatives de leur maître pour les soulager (ils peuvent ainsi même les sauver de maladies). Quand le maître est triste, le chien le sent, et vient immédiatement se mettre contre son maître pour absorber sa tristesse et lui donner son énergie positive. L’humain se met soudainement à sourire, à se sentir mieux, par la vibration de l’amour qui le transperce encore une fois même sans un mot.

chien et chat

Le chat, lui, n’agit pas de la même manière, mais émet une vibration extrêmement forte également (au même titre que les dauphins, baleines, éléphants…). Le chat est un animal tellement en alignement avec lui-même (beaucoup plus que le chien qui est tout de même très dépendant de son maître), qu’il émane une vibration très puissante, vibration qui soit est un véritable bonheur divin pour ceux qui ressentent justement cette vibration extrêmement haute (en particulier quand le chat ronronne), soit rebute.

Celui qui aime les chats a compris l’enseignement du chat : s’aimer (personnellement j’aime regarder cet acte d’amour pour soi que de prendre le temps de se laver tout le corps chaque jour avec sa petite langue), dormir quand il en a envie, aller chercher des câlins quand lui en a envie. C’est une véritable leçon que de comprendre ce que c’est que de s’aimer suffisamment au point de n’attendre après personne pour satisfaire nos propres besoins et de prendre l’entière responsabilité de notre vie. Le chat ne compte sur personne. Par contre si on lui offre de l’amour il sait le rendre et le montrer aussi. Mais il n’est pas dépendant de nous et c’est ça le véritable enseignement que nous devrions en retirer (ne pas être dépendant des autres dans nos propres relations, pour déterminer notre bonheur).

L’humain qui n’aime pas les chats est un humain qui a du mal avec les personnes s’autorisant à être en alignement avec elles-mêmes avant toute chose. C’est souvent une personne qui ne s’autorise pas par exemple de s’écouter et qui fait sa vie en fonction des autres (le chat lui, faisant tout l’inverse, est un puissant miroir qu’il va donc rejeter), ou qui pense que les gens sont trop égoïstes en général et donc le chat est la représentation de tout ce qu’il déteste (et il adore en général les chiens à l’inverse car il peut s’y reconnaître ou retrouver les qualités qu’il souhaiterait plus trouver chez les humains). Cela peut être aussi le reflet de son propre égoïsme qu’il ne supporte pas chez les autres… 

Mais celui qui n’aime pas les chats devrait plutôt se demander : qu’y a-t-il chez le chat qui reflète en moi quelque chose sur quoi je dois travailler ?

Le chien, lui, nous enseigne le don de soi, à l’inverse pour les personnes qui sont trop dans la restriction et l’amour conditionnel, ils sont de profonds enseignants sur ce que c’est que de donner sans rien n’attendre en retour, et sans conditions, et d’aimer tout le monde, ainsi que d’être dans l’enthousiasme, la joie, et le bonheur de toutes petites choses (une baballe envoyée, une sortie avec son maître, une friandise…).

Bien sûr, il y a tellement d’autres espèces extraordinaires d’enseignement pour l’Homme, mais je ne peux pas toutes les citer, l’article serait trop long, j’ai donc évoqué les deux principaux animaux de compagnie de l’Homme à l’heure actuelle. Chaque animal a sa particularité et chaque animal est une profonde source d’enseignements pour l’Homme. Certains hommes l’ont compris mais encore beaucoup ne considèrent l’animal que comme un objet sans conscience, et incapable de ressentir, mais le jour où l’Homme réalisera ces joyaux que sont les animaux, pour la Terre (ils envoient en permanence leurs hautes vibrations sur la Terre pour contrebalancer l’énergie négative envoyée par les Humains), et pour eux-mêmes, la leçon sera très dure… Nous réaliserons tout ce que nous leur avons fait subir et cela sera très dur pour la conscience. En attendant, si vous lisez cet article, il y a de fortes chances pour que justement vous ayez conscience de ces merveilles que sont les animaux, et à quel point nous devons les honorer, les respecter et les chérir, nous qui avons justement la capacité de développer des outils, des refuges, des moyens de soigner, ce n’est pas pour détruire mais pour protéger.

Comme le disait Gandhi « Toute âme qui s’élève, élève le Monde »… et c’est véritablement à cela que l’animal contribue chaque jour, en côtoyant l’Humain. Il l’aide à élever sa vibration, pour qu’à son tour l’Humain soit une force positive pour le reste de la planète…

Extrait de  Laura Marie sur www.lauramarietv.com

 

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Le rat et la souris, symboles défavorables

Posté par othoharmonie le 28 octobre 2016

 

 

Le rat et les souris symbolisent nos angoisses et l’on comprend mieux pourquoi la phobie des souris est si répandue.

S’il n’existe pas de bons et de mauvais rêves, il existe en revanche des symboles favorables et d’autres défavorables. Généralement, en fonction du scénario du rêve d’une part et des références de l’auteur du rêve d’autre part, un même symbole peut acquérir un caractère plus ou moins positif. En ce qui concerne le rat, les choses sont plus compliquées.

Rares sont ceux qui portent un rat à l’épaule, moyen parmi d’autres d’affirmer sa différence. Car pour les autres justement, le rat est un symbole de destruction. Dans un cauchemar interprété par un visiteur, l’information suivante a été apportée : la salive des rats permet d’anesthésier leur proie pour la dévorer sans même qu’elle s’en rende compte. Ainsi, dans les tranchées, des poilus se réveillaient avec une partie de leur corps rongée par les rats.

rattus norvegicus   brown rat

Au Moyen-Age, les rats grouillaient dans les cuisines, les aliments étaient attachés aux poutres du plafond, et les enfants aussi, car jamais on ne laissait un nourrisson au ras du sol.

Le rat et les souris sont voraces, discrets on ne les voit jamais, sauf en cas de disette, se ruant sur les réserves de blé, provoquant la famine des Hommes. De plus, ils véhiculent des maladies mortelles. Et si le rat effraie tellement, c’est que l’homme le sait intelligent, et que les rats vivent en communauté, la peur des rats et souris étant souvent liée à cette foule grouillante.

La signification du rat dans un rêve

Le rat dévore nos forces psychiques et met en péril une partie de notre personnalité. Mais il attaque toujours en silence, on ne le perçoit pas, jusqu’au jour où le mal se déclare, comme dans le cas d’une névrose.

Aussi, il s’agit de savoir dans quel environnement (dans quelle ombre) se développe les rats du rêve. Quelles sont les pulsions refoulées dans la lignée desquelles les rats se multiplient ? Quelle sont ces forces instinctives enfouies et démasquées par l’inconscient qui les représentent alors sous la forme de cet animal qui rôde autour des Hommes en difficulté ?

sur http://www.signification-reves.fr/

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Les signes caractéristiques des rats

Posté par othoharmonie le 28 octobre 2016

 

Les rats sont des animaux nocturnes, comme les souris. La chance de les croiser est donc vraiment minime. Mais les rats laissent des traces, par lesquelles vous pouvez constatez leur présence. Vous avez des présomptions sur la présence de rats dans votre maison, dans le jardin ou le grenier, essayez de rester calme et prenez les bonnes mesures le plus rapidement possibles. Les rats présentent un danger pour la santé.

Signes caractéristiques des rats dans la maison

Les infestations de rats ne se ressemblent rarement, il faut avoir l’œil pour bien reconnaître les signes de leur présence. Il existe des signes très caractéristiques pour signaler une infestation. Il faut faire une inspection minutieuse dans toute la maison, grenier, cave et jardin, car il est rare d’apercevoir les rats eux-mêmes.

Rat

Voici les signes à rechercher :

Bruits de grattement

Les rats bruns sont de mauvais grimpeurs et ont besoin d’un point d’eau à proximité. C’est pour cela qu’ils vivent souvent dans les rez de chaussée et que vous entendez des bruits en provenance de la cave ou en-dessous de la maison. Le rat noir est plus agile et sait grimper. Il est connu comme rat des greniers.

Excréments de rats

Trouver des excréments est la meilleure preuve pour une présence de rats. Les rats laissent derrière eux des excréments longs et foncés de 10 à 20 mm. Les rats en produisent une quarantaine par jour et on les retrouve souvent groupés. Les excréments du rat noir sont souvent fusiformes, ceux du rat brun sont en forme de banane.

Si les excréments sont mous et brillants, l’infestation de rats est active. Le nombre d’excréments vous donne une estimation sur l’étendue de l’infestation. Des excréments de même forme mais de taille différente, démontrent que les rats sont en reproduction. Lavez soigneusement vos mains après avoir débarrassé les excréments pour éviter toute contamination.

Traces de dents

Les dents des rats n’arrêtent pas de pousser, voilà pourquoi ils ont besoin de ronger constamment, que ce soit du bois ou du plastique et même d’autres matériaux comme l’aluminium ou le béton. Les traces de dents sont facilement reconnaissables par deux bandes parallèles légèrement enfoncées espacées de 4mm. Les rats peuvent même occasionner des incendies en rongeant les câbles de toutes vos installations électriques et des ordinateurs. En plus ils s’attaquent volontiers aux réserves alimentaires que vous devez alors éliminer complètement pour éviter tout risque de contamination.

Traces de gras

Dans la maison respectivement dans la cave les rats utilisent souvent le même trajet. Au passage les rats se frottent contre les murs et mobiliers et laissent derrière eux des traces de gras. Ces excrétions grasses ensemble avec la poussière et la saleté forment des signes très distinctifs pour la présence de rats. Ces traces mènent souvent aux nids et aux réserves de nourritures que les rats se constituent.

Empreintes

Quand les rats traversent des espaces poussiéreux, ils laissent des empreintes de pattes et de queue derrière eux. Comme les rats sont beaucoup plus grands que les souris, leurs empreintes sont nettement plus grandes et facile à différencier de celles des souris. Une astuce pour vérifier que les rats se trouvent encore dans la maison, mettez de la farine ou du talc par terre. Si le lendemain vous découvrez encore des traces les rats sont bien installés chez vous.

Odeurs caractéristiques

Les rats émettent une odeur de musque et d’ammoniaque, qui peut s’avérer très forte dans des espaces confins. L’odeur est une combinaison d’excréments, d’urines et d’excrétion de glandes. Les rats utilisent cette odeur pour leur orientation ils marquent leurs trajets et reconnaissent leur famille à l’odeur.

Nids et terriers

Les rats installent leurs nids dans des endroits chauds et protégés et ils utilisent pour leur confection des bouts de carton ou de tissu. Ils se trouvent souvent dans les caves ou dans le cas du rat brun dans le grenier. Il n’est pas si facile de les dénicher. Ils peuvent également les cacher sous les étagères de jardin.

A l’extérieur les rats creusent des terriers, surtout dans les composts ou sous les remises. Ils construisent des galeries souterraines – souvent à côté d’une maison ou d’une remise et ils s’installent toujours à côté » d’une source de nourriture. Pendant l’hiver les rats bruns se réfugient à l’intérieur des maisons, sous les planchers et entre les murs.

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Avoir peur des souris

Posté par othoharmonie le 26 octobre 2016

 

La phobie des rongeurs évoque la peur des souris, des rats : des petites bêtes pas toujours amicales qui ne font pas l’unanimité parmi les femmes. Comment expliquer cette peur irraisonnée? Voici quelques éléments.

peur de souris

La peur des rongeurs concerne principalement les femmes : elle s’explique par un souvenir traumatisant  qui remonte à l’enfance associé à ces petites bêtes.

Comme tout traumatisme, un événement négatif reste associé à l’objet de cette angoisse : mais le rongeur peut aussi être le support  d’une autre peur liée  par un concours de circonstances au rongeur…L’événement qui a déclenché cette  peur peut être oublié, ce qu’il en reste c’est la symbolique de la peur : le rongeur…

La vue d’un rongeur provoque en général la paralysie, subitement, l’angoisse et la peur vous envahit, votre respiration se bloque et si le petit animal n’a pas été neutralisé, impossible pour vous de remettre les pieds dans la pièce en question et comme toutes les phobies, il vous est impossible de vous raisonner ou de relativiser…

Les rats suscitent plus de dégoût chez les phobiques : moins sympathique que son cousin la souris, il est considéré comme un nuisible et il symbolise la peste… Et par conséquent on le fuit !

Cette peur peut aisément s’expliquer : un rongeur est difficile à  neutraliser, il est très rapide et il parvient à se faufiler partout… Heureusement pour tous, on ne croise pas des rongeurs tous les jours et rats comme souris, ils ne s’invitent pas à votre table selon leur bon vouloir…

Outre une petite thérapie, la solution pour les éviter, c’est un bon produit répulsif ! Sinon, un animal de compagnie comme un chat ou chien pour vous en débarrasser.
 
Notre  conseil  
Comme toutes les peurs, pour les surmonter il faut les affronter. Une thérapie cognitive comportementale peut vous aider à comprendre ce qui déclenche la phobie et vous guérir.

 souris

Il y a chez tous les phobiques une atteinte profonde de l’amour et de l’estime de soi – moins vous vous aimez, et moins vous vous sentez en sécurité. Par conséquent, toutes les expériences qui redorent le blason de notre narcissisme – tomber amoureux, voir ses qualités reconnues… – peuvent alléger une phobie. Mais aimer peut, à long terme, se révéler dramatique, car la personne phobique est souvent tentée de fusionner avec son partenaire et de s’imaginer qu’elle n’est rien sans lui. Ce qui, généralement, se révèle inexact. En effet, paradoxalement, c’est dans la solitude que la personne phobique se reconstruit le plus facilement.

C’est pas la petite bête qui va manger la grosse ! Alors pourquoi cette phobie des rongeurs ? Nombreuses sont les femmes qui sont terrorisées à la vue d’une petite souris. Mais pourquoi ?

 

Les rongeurs, souris, rats, lapins, hamsters….ont souvent une étiquette assez négative qui leur colle à la peau.On peut probablement expliquer cette peur par différents points. Déjà, on a cette idée de petite bête rapide qui peut se faufiler partout…. Sous votre frigidaire, sous la porte, même dans votre lit…. On ne sait pas où elle traine ! Sûrement dans des endroits pas forcément très propres… On pense aussi que cette petite bête se multiplie à vitesse grand « V »…. Personne n’aimerait avoir un nid de souris derrière un radiateur.

On peut imaginer aussi un véritable clan de rongeurs, comme dans le fameux dessin animé Ratatouille. Le nombre, l’idée qu’il peut y en avoir partout, que ça puisse grouiller chez vous, cachés quelque part, amène un véritable dégout. Ce dégoût, on peut le comprendre. Mais la peur, peut-elle aussi être comprise ?

Cette peur provient certainement d’une accumulation d’histoires qui remontent à l’enfance. Par exemple, tout le monde a connu quelqu’un qui s’était fait mordre le doigt par son hamster, sa souris ou encore son cochon d’inde, même s’il n’y avait rien de grave !

Dans les livres, on peut aussi souvent lire que les épidémies ont été propagées par des rats…. Bien souvent connus pour être porteurs de maladies. Quelle horreur ! Même les marins avaient peur des lapins, c’est pour dire ! En même temps, cela s’explique tout simplement par le fait que les lapins ont provoqué de nombreux naufrages en rongeant le bois des bateaux…. Tous ces souvenirs continuent de nourrir l’angoisse générale que peuvent présenter les rongeurs.

Mais soyez rassurées, Mesdames, une souris ne viendra pas grignoter vos doigts de pieds pendant que vous dormez !!

Irène Diamantis est psychanalyste. Dans ce livre (Aubier-Flammarion), Les Phobies ou l’impossible séparation : Les comprendre, les résoudre elle nous offre une analyse originale des phobies, des plus ordinaires aux plus étranges. Plusieurs histoires sont décryptées au moyen d’un même fil conducteur : le ressort de la phobie ne tient pas à la nature de l’objet ou de la situation qui fait peur, mais réside dans une histoire familiale qui empêche la personne d’affronter la vie, avec son cortège de séparations et de changements nécessaires.

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