Animaux en toute conscience

Posté par othoharmonie le 4 mai 2013

Par PIERRE JOUVENTIN éthologiste, directeur de recherche au CNRS (1) ET DAVID CHAUVET juriste (2)

Animaux en toute conscience dans XXX - ARTICLES DE PRESSE chienchat

Darwin affirmait, il y a cent cinquante ans, qu’il n’y a pas une différence de nature mais de degré entre l’homme et les autres espèces animales. Pourtant, il y a encore quelques décennies, parler chez l’animal de conscience, c’est-à-dire des états supérieurs de l’activité intellectuelle, eût été inconcevable dans les milieux scientifiques. Il y régnait un climat de «mentaphobie» dénoncé par Donald Griffin, fondateur de l’éthologie cognitive. Ce temps semble définitivement révolu. A l’issue d’un congrès à l’université de Cambridge sur le sujet, des scientifiques internationaux renommés, dont Stephen Hawking, ont signé le 7 juillet une Déclaration de conscience des animaux (3), dont la conclusion est que «les humains ne sont pas les seuls à posséder les substrats neurologiques qui produisent la conscience. Les animaux non humains, soit tous les mammifères, les oiseaux, et de nombreuses autres créatures, comme les poulpes, possèdent aussi ces substrats neurologiques».

Le néocortex n’est donc plus considéré comme indispensable pour penser finement. Dès 1920, on a démontré que les abeilles utilisent des concepts mathématiques pour indiquer leur butin aux congénères. Or les insectes ne possèdent pas de cerveau mais des ganglions nerveux, de même que le poulpe, mollusque de génie ! Ces vingt dernières années, une avalanche de découvertes nous a réconciliés avec le règne animal dont nous nous croyions si éloignés. Les éléphants coopèrent pour trouver des solutions. Les rats estiment plus urgent de délivrer leurs congénères enfermés que de déguster des friandises. Les chimpanzés apprennent à leurs jeunes à fabriquer et à utiliser des outils pour casser des noix. Les grands singes, les dauphins, les cochons, les éléphants et même les pies se reconnaissent dans un miroir, test classique de la conscience de soi que les enfants ne réussissent pas avant 18 mois. Mais les implications ne sont pas uniquement scientifiques. Elles sont aussi éthiques, juridiques et politiques. Pourrons-nous continuer de traiter les animaux comme des choses ? Pendant la canicule, les images de ces hangars où s’entassaient les cadavres d’animaux avaient de quoi couper l’appétit de ceux qui ont un cœur en plus d’un estomac.

Notre code civil témoigne de cette chosification de l’animal, qu’il qualifie archaïquement de bien meuble (article 528) quand, en Allemagne ou en Suisse, les animaux sont expressément distingués des choses. Opposés à la reconnaissance juridique de la sensibilité des animaux, les lobbies de la chasse et de l’élevage ont obtenu lors du quinquennat précédent la mise à l’écart de toute réforme en la matière. Bref, en France, les animaux ne pensent pas parce que les chasseurs votent.

 

(1) Auteur de «Kamala, une louve dans ma famille», Flammarion, 2012. (2) Auteur de «la Personnalité juridique des animaux jugés au Moyen Age», l’Harmattan, 2012. (3) http://io9.com/5937356/prominent-scientists-sign-declaration-that-animals-have-conscious-awareness-just-like-us.

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Un chien au fort QI

Posté par othoharmonie le 4 mai 2013

Rico, quatre pattes et un fort QI

 Un chien au fort QI dans XXX - ARTICLES DE PRESSE fort-qi-de-rico

AUTEUR : Nicolas Sanders

Un chien utilisé dans le cadre d’une expérience scientifique a démontré qu’il pouvait comprendre un vocabulaire de près de 200 mots. Petite histoire d’un toutou malin.

« Il ne lui manque que la parole ! » Les propriétaires de chien aiment à répéter cette phrase pour bien signifier toute l’intelligence de leur compagnon à quatre pattes. Médor, Rex et les autres ne sont sans doute pas prêts à discourir mais ils pourraient assimiler beaucoup mieux qu’on ne l’imagine le langage humain. C’est ce que tend à démontrer une étude récemment publiée dans la très sérieuse revue scientifique américaine « Science ». 

Tout commence en Allemagne, au sein d’une famille ordinaire qui ne se lasse pas d’admirer les prouesses de Rico, un border collie (une race de chiens de berger) capable de faire la différence entre 200 mots prononcés par son maître. 

Il suffit de prononcer à l’attention du chien un vocable concernant n’importe quel objet pour qu’il aille le chercher immédiatement sans jamais se tromper. Persuadée de posséder un chien hors normes, la petite famille décide donc de le confier à l’Institut Max-Planck pour l’anthropologie de l’évolution, à Leipzig, une référence mondiale en matière d’étude du comportement animal. Les chercheurs ont pu non seulement vérifier que Rico comprenait très bien ce qu’on lui disait mais qu’en plus, il retenait de façon instantanée les mots qu’il n’avait jamais entendu auparavant. Ainsi, si on lui demande d’aller chercher un objet inconnu dans une pièce remplie d’objets connus, il rapporte le bon objet ! 

Une preuve intéressante aux yeux des chercheurs de Leipzig pour avancer l’idée que Rico fait une déduction mentale qui lui permet de comprendre que le nouveau mot concerne fatalement l’objet inconnu. 

On peut demander à Rico de placer certains objets dans une boîte puis lui ordonner de n’en retirer que quelques-uns et, là encore, bingo ! Il ne commet jamais la moindre erreur. Contrairement au dauphin qui ne se base que sur le son produit, ce chien étonnant comprend un mot quel que soit le rythme ou la tonalité avec laquelle il est prononcé. 

Si l’intelligence verbale et l’intelligence logique sont des réalités chez les chiens, rien n’interdit de penser qu’ils possèdent une forme d’intelligence qui, sans être comparable à celle de l’homme, pourrait bien s’en rapprocher sérieusement.

Le meilleur ami de l’homme n’a pas grand chose à lui envier en matière d’intelligence !

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Mystères de l’intelligence animale

Posté par othoharmonie le 4 mai 2013

 

Peut-on prêter de l’intelligence à nos amies les bêtes ? Vu les performances de certains animaux, on pourrait bien l’affirmer. Plongez dans l’univers surprenant de l’intelligence animale.

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Koko, le singe le prouve par son QI de 90 et star de cinéma

AUTEUR : Nicolas Sanders

Koko parle anglais, maîtrise un vocabulaire de près de 2000 mots et cette gorille femelle a obtenu un résultat de 90 au test de QI.

Elle rêvait de parler avec les animaux et elle l’a fait ! En 1971, l’Américaine Francine Patterson visitait le zoo de San Francisco lorsqu’elle tomba en arrêt devant la cage d’un bébé femelle gorille. Un coup de foudre qui allait devenir une très belle histoire, celle du gorille Koko, à juste titre considéré aujourd’hui comme l’animal le plus intelligent au monde. 

A l’époque étudiante en psychologie, Francine Patterson souhaitait étudier le langage des grands singes dans le cadre de son mémoire de fin d’étude. Le temps a passé et elle a fini par y consacrer sa vie entière. Un peu plus de 30 ans plus tard, désormais Koko parle anglais et si elle n’a jamais maîtrisé l’accent d’Oxford, elle comprend près de 2000 mots du langage courant ainsi que des centaines d’expressions du langage des signes.

Elle sait donc exprimer sa jalousie, sa joie, sa tristesse et encore bien d’autres sentiments. Symbole de la consécration, Koko est devenue la star d’un film sur sa vie, « Koko, le gorille qui parle », réalisé par Barbet Schroeder en 1978. Plus récement, Koko a même tenu un chat sur AOL avec des internautes. 

L’année dernière, Koko a refait parler d’elle à cause d’une rage de dents, parvenant à communiquer précisément son niveau de douleur sur une échelle graduée de 1 à 10. A l’aide de tableaux où des pictogrammes représentent différents états d’humeur, Koko peut suivre une conversation et même argumenter.

Histoire de faire taire les mauvaises langues qui doutaient de ce gorille pas comme les autres, Koko a donc effectué un test de QI où elle a obtenu le score surprenant de 90 points. C’est à dire tout près de ce que l’on considère comme le score moyen de référence pour les êtres humains (100 points). 

Ce travail mené sur de longues années a permis d’en savoir beaucoup plus sur l’intelligence des gorilles. Francine Patterson a ainsi pu démontrer qu’ils portent en eux la quasi-totalité des aspects du comportement humain à une échelle simplement moins développée. Quand on sait que le patrimoine génétique de l’homme est commun à plus de 95% avec celui du singe, on comprend mieux les prouesses réalisées par Koko. 

Anthropomorphisme ? Dans certains pays, on se demande si la place des gorilles est vraiment au zoo. Ainsi, en Nouvelle-Zélande, une loi votée il y a peu de temps les protège contre la détention et les expériences scientifiques.

http://psychologie.aujourdhui.com

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Le top 10 des animaux les plus intelligents

Posté par othoharmonie le 4 mai 2013

 

L’écureuil arrive en dernière position

AUTEUR : Nicolas Sanders

Il n’y a pas que l’homme qui utilise son cerveau : certaines espèces animales font preuve d’un degré d’intelligence élevé. Les bêtes aussi ont leurs grosses têtes !

Le top 10 des animaux les plus intelligents dans XXX - ARTICLES DE PRESSE ecureuil

Au fait, c’est quoi l’intelligence ? L’homme a tellement tendance à la confondre avec l’assimilation des connaissances, qu’il a du mal à admettre que les animaux puissent avoir une matière grise développée. Et pourtant… Même si il est difficile de se prononcer sur une définition précise de ce qu’est l’intelligence animale, de nombreuses recherches menées sur le sujet ont permis d’établir la liste des dix animaux les plus intelligents. 

Du moins fûté au plus brillant, il s’agit des écureuils, des corbeaux, des chiens, des cochons de Guinée, des perroquets, des éléphants, des macaques, des orang-outan, des gorilles et des dauphins. Etonnant ! 

De nombreux facteurs entrent en jeu dès lors qu’il s’agit d’évaluer et de classer l’intelligence de ces animaux. Si les gorilles et les macaques se rapprochent le plus du niveau général de l’être humain, les dauphins disposent par exemple d’un sens de l’orientation bien plus développé que le notre. 

Des études réalisées spécialement sur des perroquets et des corbeaux mettent en relief l’aptitude de ces volatiles à résoudre des problèmes complexes, alors que les chiens bénéficient avant tout d’une formidable capacité à comprendre des symboles de communication.

Les corbeaux et les perroquets possèdent ce que les scientifiques appellent « le don de la vision en couleur ». Ils sont ainsi parfaitement capables de distinguer des teintes variées et les objets ou formes qui y correspondent. 

Cela bouleverse pas mal d’idées reçues, à l’image du cochon de Guinée qui grâce à ses sens ultra-développés, possède une oreille très fine lui permettant de distinguer des sons inaudibles pour l’homme. Il jouit en conséquence d’un vocabulaire sonore bien plus large que d’autres espèces. Quant aux écureuils, ils savent mémoriser dans leurs déplacements des cartes mentales extrêmement précises et détaillées basées sur des images géométriques. 

Ces animaux qui témoignent de capacités extraordinaires ont-ils une forme de pensée ? Au nom de l’antropomorphisme, la morale humaine répugne à se comparer aux bêtes. Ce qui reste un moyen efficace de les placer systématiquement en dessous de l’homme. 

Cependant, le fait d’utiliser un langage, de se repérer dans l’environnement spatial et d’avoir la conscience de son existence en cherchant à la préserver pour survivre, voilà des caractéristiques qui sont le signe d’une forme d’intelligence.

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Evolution spirituelle des animaux

Posté par othoharmonie le 29 mars 2013

Evolution spirituelle des animaux dans XXX - ARTICLES DE PRESSE animal

Une longue et belle plaidoirie pour nos amis animaux.

Vous êtes-vous demandé si l’animal a une âme et même une vie dans l’au-delà ? Un de mes anciens maîtres disait que les animaux ont des âmes-groupes, une pour chaque espèce ou sous-espèces – dans la même idée que Jung avec l’inconscient collectif humain. Mon ancien maître disait aussi que lorsqu’un humain entre en contact, même minime, avec un animal, ce contact démarre la formation d’une âme individuelle pour cet animal.

L’animal quitte l’âme-groupe de son espèce pour acquérir une âme individuelle propre, avec son parcours propre, sa personnalité et ses expériences qui sont en partie animales par nature et en partie humaines par les interactions avec les activités partagées jour après jour avec son maître ou sa maîtresse. En aimant votre animal de compagnie vous lui créez donc une âme. Mon maître ne disait pas ce qui arrive précisément à l’âme de l’animal quand il a rejoint la grande niche à chien au ciel.

La Bible dit qu’on peut tuer et manger n’importe quoi. Les hommes qui ont écrit la Bible ne connaissaient rien du cœur humain ou de la circulation du sang, en fait ils ne connaissaient pas grand-chose et les auteurs de l’Ancien Testament n’avaient aucune notion sur la gentillesse à autrui, encore moins pour les animaux. Ils s’occupaient surtout de punir les philistins et des trucs comme ça. Vivant dans un monde masculin de survie entourés de gens cruels, violents et égocentriques, leur manque de respect envers les animaux n’est donc pas surprenant.

Nous avons tendance à penser que les animaux nous sont inférieurs, mais aucun scientifique ne serait capable de concevoir et faire fonctionner une aile de bourdon. Nous ne pouvons sauter ou courir très vite et ne pouvons porter de lourdes charges comme le fait une fourmi. Nous ne voyons pas dans le noir et ne pouvons voler sauf entassés comme des sardines dans le bruyant métro londonien, ce qui ne compte pas. Comparés aux animaux, les humains sont presque totalement sourds.

Nous sommes limités, séparés et névrotiques, alors que la conscience d’un animal est en paix et éternelle. Nous nous démenons follement pour nous rendre plus importants. Les animaux se reposent, dorment et apprécient la compagnie les uns des autres. Nous pensons avoir évolué en dépassant les animaux mais nous avons perdu presque toutes leurs qualités et capacités.

Nous pouvons fabriquer une bombe ou sculpter une statue mais elle n’est importante que pour nous, c’est une démonstration de pouvoir, aucune des deux ne sert un but réel. Comment savons-nous que nous avons évolué ? Si on en juge par notre gentillesse et cordialité, nous sommes encore plus cruels et individualistes que les peuples des temps bibliques, qui au moins s’ils se châtiaient les uns les autres, vivaient en tribus.

Les animaux vivent normalement en collectivité ; nous vivons dans les banlieues.

Nous pensons que les animaux ne parlent ou ne communiquent mais c’est juste parce que nous sommes devenus sourds à notre propre voix intérieure. Mon chat savait parler. Il possédait douze sonorités distinctes, c’étaient ses mots et deux douzaines d’intonation pour ces sonorités. Quand j’ouvrais la porte pour un pipi à 3h du matin, il faisait un miaou de deux syllabes, du genre d’un merci avec une intonation désolée. Si j’ouvrais la porte en milieu d’après-midi les deux syllabes étaient toujours les mêmes mais l’intonation était différente. Le chat savait parler.

Le chat est tombé malade. Le vétérinaire disait qu’il n’en aurait plus pour longtemps et que pour 40 € nous pouvions l’euthanasier,  »Vous les économiserez plus tard avec les boîtes à chat, » disait-elle, espérant des sous rapidement. Le chat m’a regardé et a émis un miaou de détresse. J’ai vite décliné l’offre du vétérinaire. Le chat a vécu encore quinze mois et est mort paisiblement dans le jardin sous notre arbre préféré.

L’idée que les animaux n’ont pas de conscience ni d’âme est d’une ignorance crasse. Elle démontre un manque de conscience. Ils parlent, ils ont des familles, ils ressentent les choses, ils agissent individuellement ou ensemble pour résoudre des problèmes, ils prennent souvent soin de leurs petits en tant que groupe tribal. Ils jouent, ils voyagent et se soignent eux-mêmes s’ils sont malades. Ils pleurent quand d’autres du clan meurent, ils nous connaissent, nous humains. Bien sûr qu’ils ont une âme, une âme très pure. Nous humains n’en sommes qu’à tendre vers une récente élévation de conscience pour prendre conscience d’une âme que les animaux possèdent naturellement.

Quand je suis passé à travers le miroir en août 2001, ce fut comme j’étais dans l’au-delà tout en restant en vie ici sur terre. Dans cette dimension je voyais des tas d’animaux : des chiens, des chats, des souris, des chevaux, des girafes et deux espèces d’oiseaux, un aigle et un rouge-gorge. Je ne voyais probablement qu’une petite partie de ce vaste monde, peut-être que tous les animaux y sont. J’espère que c’est vrai.

La conscience d’un animal est éternelle parce qu’il vit hors du temps, flottant dans un présent perpétuel, alors que la conscience humaine est finie et consciente du temps. Certains humains croient en l’éternité mais leur éternité est élitiste et prétentieuse. Elle n’a que qu’un contour diffus, vague, pas grand-chose, car en vérité notre âme humaine est petite et inconséquente. Quelle éternité verront les gens quand ils passeront à travers le miroir pour l’au-delà ? Je ne connais pas la réponse à cela.

On juge un humain à sa manière de traiter les autres et non par ce qu’il a acquis ou quelle consécration il a reçu dans sa vie. Et on juge aussi les sociétés en partie sur leur manière de traiter les animaux. Ces sociétés qui maltraitent les animaux n’ont aucun avenir spirituel à long terme. Dans l’éternité des choses, leur maltraitance est l’indication d’une âme-nation en passe de devenir encore plus effrayante.

Pas besoin de tuer des animaux pour survivre et si vous deviez abattre une famille de cochons pour votre petit déjeuner, vous réfléchiriez deux fois à votre bacon. Par le fait de ne pas assister à la détresse et au sacrifice, on devient insensible à la souffrance d’un animal – c’est un terrible sentiment de perte d’un compagnon quand on le tue. Sans parler du sentiment de trahison.

Bien sûr que les animaux ont une âme et le fait de dire qu’ils n’ont pas de langage compréhensible par nous, c’est comme dire que les hommes du Kalahari ne sont pas humains parce que leur langage inclut une série d’étranges sons claquants ou que les Kogis sont stupides parce qu’ils parlent parfois en silence.

La chose la plus étonnante apprise pendant mon voyage a été que les êtres qui contrôlent l’évolution de ce monde et qui pourraient nous supprimer en un instant, ne sont pas humains. Ils sont comme des esprits de la nature, en partie humains, en partie animaux. Ils sont les esprits évolués de la forêt, le battement de cœur des grands troupeaux, le bruit d’un filet d’eau. Ils sont l’éternité de notre monde. Nous ne sommes pas l’éternité et même en ayant développé des intellects brillants nous devons encore saisir cela. Nous sommes inférieurs à la nature et aux animaux, et de beaucoup.

Un humain élevé pour être beau spirituellement doit travailler dur pour le devenir, et maintenir cette beauté spirituelle pendant longtemps est difficile car nous perdons très facilement l’équilibre, la nature, elle, maintient pourtant naturellement son effervescence et sa beauté. Pas besoin d’effort pour être divin. C’est le divin dans le cours des choses du Tao.

En continuant mon voyage dans l’au-delà, des chiens sont apparus comme des gardiens et ils nous ont suivi pendant trois ans, à certains moments ils passaient à travers le miroir et apparaissaient ici dans la 3ème dimension. Il vous faut imaginer un chien éthérique, éphémère assis toute la nuit à la porte de votre chambre d’hôtel. J’ai vu des centaines de ces chiens gardiens. Ils comprennent ce qu’il se passe et ils servent comme ils le faisaient probablement quand ils étaient en vie.

Y-a-t-il des animaux dans l’au-delà ? Oui. Toutes les espèces sont-elles représentées ? Comme je l’ai dit, je ne sais pas. Je pense que oui. Tous les animaux qui ont été aimés de nous y sont, j’imagine. C’est un crime de manger un animal ? Je dirai que non, non au sens habituel du terme, nous sommes excusés par notre manque de conscience. Mais c’est triste, car cela implique un sacrifice et de la souffrance et vous mangez cette souffrance ; elle devient vôtre. Vous ne pouvez jamais dissimuler ce qu’elle dit de vous en tant qu’être spirituel. Les corps de ces animaux sont là, dans les rayons X de votre âme dans leur entièreté, les plumes, les os, la fourrure, tout, comme des notes sur un post-it qui disent à Dieu qui vous êtes – quel balourd vous êtes.

Où cela peut être un crime de tuer des animaux est lorsque vous voyez ces gens qui sont des montagnes de graisse, d’un poids de 150 kg ou plus, qui se dandinent sur le parking de McDonalds. Ils sont un affront aux esprits divins de la nature et à toutes les choses respectables, avec les milliers d’animaux qui sont tombés sans raison dans leur gosier grassouillet. Les gens ne sont pas dans la conscience, ils sont abrutis, mais cela ne veut pas dire que c’est bien. Et bien sûr être cruel envers les animaux comme les sociétés cosmétiques le sont en testant leurs produits est également un affront. Rappelez-vous que les animaux peuvent penser et entendre. Ils savent qui vous êtes, même si vous êtes un criminel souriant leur faisant croire à un faux sentiment de sécurité.

Je me suis demandé si les animaux se vengent des humains une fois que nous arrivons dans l’au-delà, je ne sais pas, peut-être pas, mais il est certain que les esprits divins de la nature qui s’occupent de tout en ont assez de nos bêtises si mes visions qui s’y rapportent sont justes. Il y a un nouveau monde qui descend sur nous, un monde doux et féminin et attentionné et cette attention s’étendra au royaume animal avec le temps. Je suis presque sûr de cela.

Quand tout sera fini, il ne restera que très peu d’humains ici sur terre. Les animaux hériteront de ce monde. Il a toujours été le leur, n’est-ce pas ? Je suis désolé si les animaux ont l’impression qu’on leur a volé leur monde et leur tranquillité.

PS : … Des psychologues de Leipzig ont testé un Border Collie nommé Rico qui a appris deux cents mots. Il peut comprendre des phrases comme  »mets ton jouet dans la boîte ». Il a correctement retrouvé 37 jouets sur 40 d’un panier et il peut rapporter un jouet au nom peu familier quand il est placé parmi six autres. On lui a montré et dénommé des jouets en ne l’autorisant pas à les revoir pendant un mois et il a pu souvent identifier l’objet correctement quand on le lui a demandé. Les scientifiques disent que la compréhension du langage par Rico correspond à celle d’un enfant de trois ans.


(Source: Daily Express – Londres Juin 2004)

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Entre l’homme et l’animal

Posté par othoharmonie le 3 février 2013

 

Il existe des talents de télékinésie ; l’homme et l’animal ont des liens étroits, liens qui sont souvent le support, le vecteur de transmissions de mes­sages d’esprit à esprit.

Entre l'homme et l'animal dans XXX - ARTICLES DE PRESSE serinCela étant, il ne faut pas confondre certaines capacités qu’ont les animaux à prévoir des dangers comme un tsunami ou un tremblement de terre avec des capacités paranormales.

Des exemples de ce type abondent. Citons ces animaux d’un zoo qui, un soir, ce sont tous mis à dormir en dehors de leurs abris bâtis qui, quel­ques heures plus tard, étaient détruits par un trem­blement de terre.

Nous pouvons aussi revenir sur ce terrible tsunami qui a ravagé récemment les côtes d’Asie du Sud-Est. Habituellement poissonneuse, les pêcheurs furent surpris de constater, dans cette zone côtière, quelques heures avant le drame, que tous les poissons avaient déserté. À terre, les récits faisant état des animaux qui fuirent sur les hauteurs furent également nombreux. Par exemple,

les élé­phants du parc touristique de l’île de Phuket, se sont libérés de leurs chaînes pour aller se réfugier dans la forêt peu de temps avant l’arrivée de la vague. Il n’y a rien de paranormal à cela, les animaux ont encore activé en eux cette capacité à sentir le danger arriver. Des microsecousses ont pu en alerter une partie, une variation subite de la pression atmosphé­rique en alerter une autre et enfin un changement inhabituel de courant sous-marin ou la perception de signes sismiques ont prévenu toute la gente aqua­tique.

Tous les êtres vivants ont capté les signaux d’alerte, tous sauf les humains. Pourtant, nous som­mes, nous aussi, des animaux (le plus évolué disent même certains) et nous n’avons rien senti venir alors que cette capacité est en nous mais reste totalement atrophiée et inexploitée.

Nous sommes des mammi­fères et contrairement aux chiens ou aux chats nous ne faisons plus appel à ces facultés particulières. Nos sociétés sont plus sûres que la jungle arpentée par notre lointain grand-père l’homme de Néandertal et du coup, nos sens liés à l’instinct de survie sont moins sollicités et s’atrophient peu à peu.

Ce constat nous mène à poser la question suivante :

Etudier les capacités paranormales des animaux, n’est-ce pas étudier nos capacités paranormales ?

N’est-ce pas étudier cette partie animale qui est en chacun de nous ?

N’est-ce pas étudier cette partie commune à tous les êtres vivants, cet héritage originel qui, une fois redécouvert, nous donnera, peut-être, accès au paradis perdu ??

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Anecdotes animalières

Posté par othoharmonie le 3 février 2013

Témoignages 

Anecdotes animalières dans XXX - ARTICLES DE PRESSE panda-241x300 Notre pays compte pas moins de 68 millions de chats, chiens, oiseaux, rongeurs ou animaux exotiques en tout genre. Les stars incontes­tables des familles françaises sont depuis longtemps les chiens et chats, ceux-ci représentent près de 46 % des animaux domestiques. On compte en France aujourd’hui 1,5 chat par foyer contre 1,3 chien par foyer. Enfin, les analystes estiment à 40 milliards d’euros, en 2003, la valeur du marché mondial des animaux de compagnie. Dans le domaine social, l’animal de compagnie est un objet d’attachement dont la présence est rassurante. Il participe à rompre la solitude et l’isolement. C’est une aide précieuse pour certaines catégories de la population, comme les personnes âgées et les enfants.

 Les témoignages ne manquent pas lorsqu’il s’agit de nos amis animaux. Il n’est pas un vétérinaire ou propriétaire qui n’ait une anecdote mettant en lumière certaines capacités étonnantes de nos compagnons.

 Certains chiens ou chats retrouvent leurs maîtres après avoir parcouru des distances incroyables et traversé des lieux qu’ils n’avaient jamais vus aupa­ravant. D’autres « sentent » l’imminence du retour de leur maître ou maîtresse une dizaine de minutes avant qu’ils ne franchissent le seuil de la maison alors que rien ne laisse présager ce retour.

 Parmi eux, il existe des surdoués comme N’Kisi, ce perroquet gris du Gabon, qui fait les mêmes rêves que sa maîtresse ou qui perçoit les images qu’elle voit.

 

Et vous ? Racontez-nous vos expériences avec vos compagnons à 4 pattes….

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Les animaux sont aussi des baromètres

Posté par othoharmonie le 3 février 2013

Insectes baromètres et thermomètres
pressentant pluie, grêle et vent

(D’après « Le Mois littéraire et pittoresque », paru en 1901)

  par LA RÉDACTION

Les animaux sont aussi des baromètres dans XXX - ARTICLES DE PRESSE 4972737chat1-150x150Sur la seule foi d’observations, nos ancêtres considéraient certains insectes comme excellents thermomètres-baromètres dont il suffisait de scruter le comportement pour prévoir pluie, orage, vent ou encore grêle, tels les grillons, rainettes ou géotrupes

Déjà chez les Anciens — maints passages d’auteurs grecs ou latins l’attestent — on cherchait à prédire le temps, et, comme les observations scientifiques manquaient alors, le peuple érigea en principes des coïncidences fortuites. Virgile, par exemple, va nous renseigner sur les préjugés météorologiques en honneur chez ses superstitieux contemporains. Citons donc quelques vers du chantre de Mantoue traduits par Delille.

Voici d’abord les signes précurseurs de l’orage :

La grue avec effroi s’élançant des vallées
Fuit ces noires vapeurs de la terre exhalées ;
Le taureau hume l’air par ses larges naseaux ;
La grenouille se plaint au fond de ses roseaux ;
L’hirondelle en volant effleure le rivage ;
Tremblante pour ses oeufs, la fourmi déménage.

La pluie se pronostique également avec facilité :

Quand la jeune Phébé rassemble sa lumière,
Si son croissant terni s’émousse dans les airs,
La pluie alors menace et la terre et les mers.

Il faudra craindre les vents :

Quand des feux du soleil, l’Occident se colore
Si de taches semé, sous un voile ennemi,
Son disque renaissant se dérobe à demi.

La grêle s’abattra :

Si de son lit de pourpre on voit l’Aurore en pleurs
Sortir languissamment sans force et sans couleurs.

Au contraire, lorsque l’arc de la lune brille le quatrième jour, le beau temps se maintiendra un mois durant :

Le ciel sera sans eau, l’aquilon sans haleine.
L’océan sans tempêtes…

grenouilles dans XXX - ARTICLES DE PRESSEA quelques-uns de ces pronostics, nos populations rurales accordent encore certaine confiance, et les indications que les hommes des champs tirent des végétaux ou des animaux se sont multipliées au cours des âges. Ainsi on admet que la corolle du liseron se ferme aux approches de la pluie, que le mouron, ce « baromètre du pauvre homme », comme on le surnomme dans les campagnes, tient également ses fleurs closes dans des circonstances atmosphériques analogues, et si la rose de Jéricho contracte ses branches, on peut compter sur la sécheresse. Mais la prédiction du temps basée sur la gent animale paraissait jusqu’ici assez illusoire malgré l’intérêt que lui témoignèrent de grands savants.

Sous ce rapport, l’exemple de la rainette est typique. Le naturaliste Dumeril n’écrivait-il pas, en 1863, à propos de cette jolie petite grenouille verte : « On se fait un hygromètre ou un baromètre vivant en mettant une de ces bestioles dans un vase où l’on a soin de lui donner de l’eau et des insectes pour sa nourriture. Munie dans sa prison de verre d’une petite échelle, son ascension indique que le temps sera sec. » Le maréchal Vaillant soutenait la même thèse, lors d’une discussion relative à l’établissement d’observatoires météorologiques sur toute l’étendue de nos possessions africaines : « La grenouille du père Bugeaud, disait-il, égayé encore aujourd’hui les bivouacs de nos soldats en Afrique. Ce grand homme de guerre consultait sa rainette avant de mettre ses troupes en marche pour une expédition » et, poursuivait l’orateur, il faut se livrer à des observations analogues dans notre colonie afin de démontrer ou d’infirmer leur exactitude. Eh bien, l’expérience a prononcé aujourd’hui. La rainette ne saurait donner un renseignement atmosphérique sérieux.

Au début du XXe siècle, une revue américaine estimée, Popular science monthly, proposa de déterminer la température de l’air par un procédé assez singulier reposant sur le nombre de cris lancés par le grillon dans l’espace d’une minute, nombre variable suivant les oscillations thermométriques. Mlle W. Brooke y formula, en effet, la règle mathématique suivante. Adoptez 72 stridulations par minute à 60° Fahrenheit (15,5°C) et pour chaque série de quatre stridulations en plus, ajoutez 1° Farhenheit ; pour chaque période de quatre stridulations en moins, diminuez de la même quantité et vous obtiendrez une concordance parfaite entre les températures ainsi déterminées et celles relevées au thermomètre — du moins la Broooke nous l’affirme.

Vers le même temps, l’entomologiste avignonnais bien connu J.-H. Fabre, a montré que les géotrupes étaient de distingués météorologistes. Voyons à l’œuvre ces sagaces insectes, et d’abord un mot sur leurs mœurs. Parmi les assainisseurs des champs, les uns, tels que les mouches, les dermestes et les nécrophages, sont chargés de disséquer les cadavres. Une taupe gît-elle éventrée sur le chemin, au pied de la haie, un enfant sans pitié a-t-il lapidé un lézard qu’avril venait de revêtir de sa splendide parure d’émeraude, vite ces petits croque-morts accourent, attirés par le fumet du morceau. Ils charcutent, ils dissèquent et en une journée les minuscules fossoyeurs ont accompli leur tâche. La place est nette.

La seconde catégorie d’insectes préposés par la Nature à la salubrité rurale ne met pas moins d’empressement à faire disparaître les bouses de vaches, le crottin du cheval ou autres déjections d’animaux, et les géotrupes se distinguent entre tous. Ils épurent, ces pauvres « bousiers », avec toute l’ardeur de leurs mandibules, de leurs pattes, et nous n’accordons à ces utiles auxiliaires qu’un regard dédaigneux.

Les géotrupes abandonnent seulement leurs repaires vers le crépuscule et, à condition toutefois que l’atmosphère soit calme et chaude, ils se mettent à la recherche des matériaux nauséabonds dont ils vont se repaître avec délice. En une séance nocturne, la souillure choisie par chaque groupe sera enfouie. Mais si la pluie menace ou si le vent souffle, nos stercoraires restent tranquilles, car ils ont amassé sous terre des victuailles suffisantes pour un long chômage.

Fabre décrit dans son mémoire les curieuses expériences qui lui ont permis de tirer ces conclusions et il en résume les grandes lignes en trois cas généraux.

Premier exemple : soirée magnifique. Les géotrupes s’agitent dans la cage où le naturaliste les a enfermés et se montrent impatients d’accomplir leur tournée vespérale, signe de beau temps pour le lendemain. Effectivement, le jour suivant, l’atmosphère fut d’une remarquable pureté.

Deuxième observation : nuit superbe encore. Selon les indications du baromètre et l’état du ciel, le savant naturaliste croit à la continuation du beau temps. Les bousiers ne partagent pas cet avis. Ils ne mettent pas le nez dehors contrairement à leur habitude. L’insecte, plus subtil que l’homme, avait senti l’averse qui tomba un peu avant l’aurore.

Troisième fait, non moins typique. Cette fois, le ciel est couvert et la venue d’une forte ondée semble prochaine. Cependant, grâce à la subtilité de leurs organes, les géotrupes pensent sans doute le contraire puisqu’ils bourdonnent dans leur geôle. La justesse de leur pronostic s’affirme du reste bientôt, les nimbus menaçants se dissipent et, dès son lever, le soleil se montre radieux.

images-3De même, l’état électrique de l’atmosphère influence beaucoup les bousiers. Aux approches de l’orage, par de lourdes et chaudes soirées, ils s’agitent et s’inquiètent plus que de coutume. A cet égard, J.-H. Fabre relate une expérience bien remarquable. Les 12, 13, 14 novembre, les géotrupes de ses volières firent preuve d’une extraordinaire agitation. Quelle était donc le pourquoi ? Une bourrasque avait éclaté sur le nord de la France, et la forte dépression barométrique, cause de la tempête, se répercutait dans la région d’Avignon. Comme le constate le sagace entomologiste, les géotrupes lui parlaient de l’ouragan « avant son journal » ! Faut-il regarder ces constatations comme des coïncidences fortuites ?

Cependant Fabre a vu de même les chenilles processionnaires du pin subir l’influence des perturbations atmosphériques. Bien mieux, elles paraissent pourvues d’organes curieux, véritable arsenal d’instruments météorologiques. Alors, tandis que la rainette serait impuissante à prédire le temps, les géotrupes et les processionnaires constitueraient de merveilleux insectes-baromètres dont la délicatesse laisserait bien loin les indications brutales de la colonne de mercure.

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Intelligence Bélouga

Posté par othoharmonie le 9 décembre 2012

Le bélouga, ou baleine blanche, a essayé de communiquer ainsi durant 4 ans, avant d’atteindre sa maturité sexuelle. L’analyse acoustique des conversations de Noc ont montré que l’empreinte vocale était plus proche de celle de l’humain que des sons usuels de la baleine. Il aurait étudié le langage humain en écoutant les plongeurs et les équipiers gérant son bassin. Voilà une preuve d’intelligence car pour y parvenir, Noc a changé de mode d’émission des sons.

 Intelligence Bélouga dans XXX - ARTICLES DE PRESSE baleine

Une baleine n’ayant pas de larynx comme l’être humain, elle utilise ses conduits nasaux. Pour reproduire les sons humains qu’il percevait, le bélouga devait donc moduler la pression de sa voie nasale. Réaliser ces variations de pression nécessite des ajustements musculaires ainsi que des modifications du sac vestibulaire. Le volume d’air de la poche, qui débouche sur l’évent de l’animal, influe sur la tonalité du son. Noc souhaitait plus que tout de communiquer avec l’Homme, tâche loin d’être évidente. Malheureusement, il n’aura pas été compris à temps, car après 30 ans en aquarium, il est décédé.

 

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Noc le bélouga a fait preuve d’une intelligence remarquable ! Une récente publication révèle que cette baleine blanche, imitant le langage humain, essayait de communiquer avec les plongeurs.

Un jour de 1984, Sam Ridgway, du National marine mammal foundation (NMMF), a entendu d’étranges sons provenant du bassin des cétacés. Puis l’un des plongeurs est sorti de l’eau, s’étonnant : « Qui m’a demandé de sortir ? ». Le plongeur avait interprété les sons émis par le bélouga ! En modifiant sa mécanique vocale, Noc tentait de reproduire les sons du langage humain. Un impressionnant effort qui montre l’envie de l’animal de converser avec l’Homme.

 

 

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Les animaux traversent les dimensions

Posté par othoharmonie le 9 décembre 2012

 

Les animaux traversent les dimensions dans XXX - ARTICLES DE PRESSE panda-241x300Les animaux sont des adeptes des domaines multidimensionnels et de la fusion. Ils traversent les dimensions. Avez-vous déjà vu un animal ou un oiseau l’espace d’un instant disparaître l’instant d’après ? Les animaux se préoccupent intensément de la qualité de vie et beaucoup plus que vous ne l’êtes. Lorsque cette qualité de vie est menacée, ils migrent immédiatement vers une réalité plus amicale. Ils s’enfuient vers d’autres domaines d’existence, car ils sont programmés pour survivre.

 Les animaux sont intelligents et souples, et vivent beaucoup plus d’aventures que les humains. Ils n’ont pas besoin d’ériger des centres commerciaux et des cimetières, de regarder la télévision, de voir des films et de se distraire avec des divertissements superficiels. Croyez-vous que les animaux s’ennuient ? Qu’ils se demandent quoi faire ? Ils vivent un grand nombre d’aventures que vous n’êtes pas encore en mesure de comprendre, bien que vous le serez un jour.

 Les insectes et les grenouilles par exemple, ouvrent des voies dimensionnelles grâce aux sons qu’ils émettent. D’autres voyagent avec le son. Chaque être rêve, vagabondant vers plusieurs réalités. La meilleure façon d’envisager le concept de rêve est de savoir que lorsque vous dormez, vous partez vers un autre monde qui existe véritablement ; l’existence du tout est due au fait que tout est interrelié, que la mémoire soit ouverte ou non. Les scarabées, les lombrics et les grenouilles savent qu’ils passent d’une réalité à l’autre. Ils pénètrent d’autres mondes et pourtant, ils existent bien ici en ce monde.

 Les insectes sont représentés en plus grand nombre sur votre planète que n’importe quelle autre catégorie d’animaux et ils occupent moins d’espace. Ils préservent un équilibre, car en leur absence, votre planète ne pourrait exister. Les insectes sont multdimensionnels et agissent comme gardiens invisibles de plusieurs mondes. Certains dieux créateurs ont l’apparence et le tempérament d’insectes. Certaines personnes ont photographié ou fait la rencontre d’êtres partiellement humains et partiellement insectes. Les dieux créateurs se sont reproduits sous plusieurs formes afin d’être présents comme représentants silencieux de leur espèce.

 Les insectes collaborent avec vous d’une façon que vous ne pouvez encore concevoir. Vous croyez qu’ils se posent ou rampent sur vous accidentellement, alors qu’en réalité ils vérifient votre fréquence électromagnétique. Vous n’apparaissez pas aux insectes sous votre forme ordinaire. Vous êtes un champ magnétique, et certaines parties de vous paraissent très attirantes pour les insectes à cause des phéromones que vous émettez. Lorsqu’ils vous mordillent ici et là, peut-être vous habituez-vous  leur identité.

 Plusieurs formes de vie prendront conscience et vie. Vous voudrez capturer ces formes de vie et les mettre dans un zoo. Pour elles, vous êtes dans le zoo, comme dans une prison, captifs derrière les barreaux. Elles cherchent à vous aider et à vous ramener à la communication entre espèces. Elles attendent de voir si vous êtes capables d’entrer en relation avec des animaux ou avec des espèces spécifiques. En manifestant votre reconnaissance de l’intelligence en toute forme de vie, vous vous qualifiez comme ambassadeur ou représentants diplomatiques de ces diverses espèces. La vie peut prendre une tournure très étrange en effet.

 Lorsqu’une grenouille émet un coassement, elle crée une ouverture vers d’autres dimensions pour le règne animal, pour les insectes en particulier, mais aussi pour plusieurs membres du règne animal. Les grenouilles et les insectes maintiennent des fréquences et sont doués de certaines facultés. Les grenouilles coassant dans le silence du jour ou de la nuit créent un moment harmonique et tourbillonnant. Les énergies environnantes peuvent pénétrer ce son et connaître assez facilement ce qu’il en est d’être une autre forme de vie.

 Tous les animaux sont davantage accordés à différentes réalités que ne le sont les humains, et ils peuvent vous enseigner au sujet de ces réalités. Certaines personnes sont capables de fusionner avec les animaux et d’explorer le règne animal pour découvrir ce que c’est que d’être dans la Bibliothèque vivante.

 Plusieurs formes de vie très intelligentes peuvent se manifester en fusionnant avec les règnes animal et végétal. Elles peuvent ainsi jeter un coup d’œil à votre réalité. Aujourd’hui ces formes de vie intelligentes souhaitent se fusionner avec vous, les cartes de bibliothèque. Le mode d’accès à la bibliothèque par le biais des humains diffère grandement du mode d’accès à travers les écureuils. Vous êtes complexes. Vous avez une formidable somme de connaissance en vous. Et tout en vous préparant à fusionner avec d’autres formes d’existences sensibles, vous aurez la capacité d’amener la paix à votre planète. Vous serez capables d’amener une magnifique élévation nouvelle, une autre façon d’être, une prière nouvelle.

 Cela semblera provenir de vous, mais vous saurez qu’il y a davantage que vous. Comprenez qu’une grande intelligence existe dans toutes les formes de vie et que l’expérience de toute la vie vous attend. Ouvrez vos « moi émotionnels » et employez la force vitale de l’amour comme clé pour votre évolution spirituelle.

Extrait de Terre, clés pléiadiennes de la Bibliothèque vivante – Les Pléiadiens canalisés par Barbara Marciniack page 152.

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Les cinq animaux ou l’art du placement

Posté par othoharmonie le 9 décembre 2012

 

Par Philippe Sorstein

Le Tao, dont est issu le Feng Shui, place l’humanité entre le ciel et la terre. Il la considère comme un médiateur capable d’être, de relier ou de transformer l’Univers. Notons que d’une certaine façon, cette définition de l’humanité rejoint ce que professent certaines traditions occidentales : La Kabbale par exemple.

Le Feng shui accorde une importance vitale aux formes des paysages, et de notre environnement. Ces principes sont la base de l’école des formes, l’école la plus connue et la mieux représentée en occident. La règle des cinq animaux est l’expression symbolique qui va permettre, non seulement, de placer le lieu d’habitation, mais aussi les meubles, le lit, les objets porteurs de sens. Cela peut sembler avoir un côté surprenant mais il faut le voir comme une codification de l’espace et vous verrez que ce n’est pas qu’un rite culturel. 

  Les Cinq animaux :

Les cinq animaux ou l'art du placement dans XXX - ARTICLES DE PRESSE tortueLe Serpent : Il nous représente en tant que centre. Il est vigilant, bien posé, bien protégé, prêt à agir, à bondir. Comme un général, il reçoit ses informations de tous les cotés et est assez au calme ou paisible pour en faire la synthèse avec paix et sagesse. Tout le but de l’art du placement est de nous préparer à agir ou à être en paix. Sa couleur est le marron, le brun couleur de la terre.

La Tortue : Elle symbolise l’abri, l’assise. Il faut l’imaginer solide, forte prête à protéger des agressions. Cela peut être le coteau d’une colline ou un mur porteur derrière un canapé. Sa position naturelle est derrière le Serpent bien ancrée. C’est l’endroit sur lequel on peut s’appuyer de la même façon qu’une tortue peut compter sur la solidité de sa carapace. Elle est le nord, l’hiver, sa couleur est le noir, elle est associée à l’élément Eau

Le Phoenix : autant la Tortue est derrière, symbolise le passé et se doit d’être solide, autant le Phoenix, lui, se doit de se sentir libre, vif, ouvert. Il est devant, il représente l’avenir. Il lui faut un espace dégagé pour prendre son envol. Il est le sud, sa couleur est le rouge, il est associé à l’été et au Feu

imag dans XXX - ARTICLES DE PRESSE Le Dragon : L’énergie Yin du Feng shui. Sa position est à gauche du Serpent, il représente la sagesse de l’esprit et des valeurs spirituelles. Comme le Phoenix il a besoin de voir loin. Il est à l’est, sa couleur est le vert, il représente le printemps et son élément est le Bois.

Le Tigre : L’énergie Yang, il se situe à droite du Serpent, il est en éveil et prêt à bondir à la moindre menace, le Tigre se défend mais il peut aussi attaquer. Les arbres par exemple sont de bons éléments Tigre. Ils sont forts, hauts, puissants. C’est un secteur que l’on peut vivifier pour éviter les agressions. Il est à l’ouest, sa couleur est le blanc. Il représente l’automne et l’élément Métal. 

Rêve de Shui 
Imaginez une colline avec une maison à flanc de coteau, l’arrière protégé par la colline, protégé mais surtout pas assommé ou oppressé, la façade orientée vers la vallée au creux de laquelle coule une rivière qui serpente et quelques arbres, harmonie entre le Yin et Yang. Le Phoenix peut prendre son envol et observer l’emplacement d’une telle habitation. Le Serpent sent cette douceur et cette sécurité. Cette sérénité indispensable est indissociable de la paix intérieure, but du Feng Shui. A droite de la maison, le Tigre symbole du Yang, le mouvement permanent du Tao est constitué par des arbres, un bois pas trop dense, avec une clairière forte et chaleureuse permettant une respiration, une touche de yin. Comme dans le symbole du Tao, une goutte de Yang dans le Yin et une goutte de Yin au cœur du Yang, et à gauche le Dragon, le Yin, émanation de la réceptivité, de l’intuition, une prairie avec un ruisseau par exemple, où paissent quelques vaches, pour induire un léger mouvement de Yang.

Voici le rêve du Feng Shui, l’harmonie idéale dans laquelle nous devrions vivre et nous ressourcer, La science du Qi et du praticien de Feng Shui va être de rétablir cet équilibre, quelque soit l’endroit où on vit, pavillon, appartement, qu’il soit en plaine ou en montagne, la première chose à observer est le terrain, où sont les éléments ? 

A quoi ressemble la Tortue, l’assise, « le dos » de l’habitation, elle doit être solide, on doit pouvoir sentir qu’elle nous protége sans jamais nous oppresser, c’est pour cette raison que nous mettons toujours les assises, fauteuils, ou canapés contre les murs afin qu’il ne se passe rien dans notre dos ! 
Qu’avons-nous sur notre gauche, que vit « notre Dragon », quels sont les éléments Yin que nous y observons ? Est-il équilibré par rapport au Yang ou bien y a-t-il un trop gros décalage. 

Et notre Tigre est il puissant, généreux ? 
Par exemple une maison dont le coteau serait sur un des cotés serait déséquilibrée, ce qui aurait pour conséquence de nombreuses fuites énergétiques. Il faut imaginer le QI comme du vent qui passe partout où il peut et nourrit tous les endroits qu’il visite. Un Qi trop lent ou absent laisse derrière lui de mauvaises énergies comme un vent trop lent qui permettrait à la poussière ou aux saletés de s’accumuler sans jamais les nettoyer. Un QI trop rapide, énerve et effraie en permanence et ne permet pas de se reposer. 

D’où l’importance de l’implantation de notre lieu d’habitation et du paysage environnant. 
Il est évident que nous n’avons pas toujours le choix, nous sommes obligés de nous nous contenter de ce que nous trouvons et de toute façon les règles du Feng Shui sont un idéal, un absolu vers lequel il faut tendre mais tout l’art du praticien sera de reconstituer cet environnement et d’équilibrer soit le terrain quand c’est possible, soit l’appartement notamment la pièce principale, soit et le terrain et la maison elle même ce qui est, bien sur l’idéal. S’il est impossible de détourner un cours d’eau ou de faire sauter une montagne, il est très facile de créer une allée sinueuse pour briser une ligne trop droite ou de planter quelques arbres pour créer un contre champ à un paysage trop agressif, d’autres techniques existent aussi pour permettre la circulation d’une énergie ou la faire ralentir. La science de mon Maître était de jouer sur la lumière et la couleur afin d’occuper le terrain et de permettre au QI de s’imposer en quasiment toute circonstance. 

A défaut de cet environnement idéal, on peut aussi quand on n’a pas la possibilité d’intervenir au dehors, en appartement par exemple, utiliser l’espace de la pièce centrale pour reconstituer cet équilibre : le canapé protégé par un mur, jouer sur la décoration pour créer un tigre ou un Dragon et quitte à avoir une télé (pas du tout Feng Shui mais ………..) pourquoi ne pas la mettre sur une partie du phoenix et utiliser son pouvoir sur l’imaginaire comme un tremplin pour prendre son envol. 

  Philippe Sorstein est psychothérapeute et énergéticien. Spécialiste du Feng Shui. Infos : 01 44 07 11 06

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Les animaux en toute conscience

Posté par othoharmonie le 21 octobre 2012

 

Une déclaration sur la conscience des animaux a été signée le 7 juillet dernier par des scientifiques internationaux. Cette reconnaissance, impensable il y a encore quelques années, marque un premier pas vers une évolution de notre façon de considérer et de traiter les animaux soulevant de nombreuses questions éthiques, juridiques et politiques.

Les animaux en toute conscience dans XXX - ARTICLES DE PRESSE image-animaux

Darwin affirmait, il y a cent cinquante ans, qu’il n’y a pas une différence de nature mais de degré entre l’homme et les autres espèces animales. Pourtant, il y a encore quelques décennies, parler chez l’animal de conscience, c’est-à-dire des états supérieurs de l’activité intellectuelle, eût été inconcevable dans les milieux scientifiques. Il y régnait un climat de « mentaphobie » dénoncé par Donald Griffin, fondateur de l’éthologie cognitive. Ce temps semble définitivement révolu. A 220px-favve_mysko dans XXX - ARTICLES DE PRESSEl’issue d’un congrès à l’université de Cambridge sur le sujet, des scientifiques internationaux renommés, dont Stephen Hawking, ont signé le 7 juillet une Déclaration de conscience des animaux, dont la conclusion est que « les humains ne sont pas les seuls à posséder les substrats neurologiques qui produisent la conscience. Les animaux non humains, soit tous les mammifères, les oiseaux, et de nombreuses autres créatures, comme les poulpes, possèdent aussi ces substrats neurologiques ».

Le néocortex n’est donc plus considéré comme indispensable pour penser finement. Dès 1920, on a démontré que les abeilles utilisent des concepts mathématiques pour indiquer leur butin aux congénères. Or les insectes ne possèdent pas de cerveau mais des ganglions nerveux, de même que le poulpe, mollusque de génie ! Ces vingt dernières années, une avalanche de découvertes nous a réconciliés avec le règne animal dont nous nous croyions si éloignés. Les éléphants coopèrent pour trouver des solutions. Les rats estiment plus urgent de délivrer leurs congénères enfermés que de déguster des friandises. Les chimpanzés apprennent à leurs jeunes à fabriquer et à utiliser des outils pour casser des noix. Les grands singes, les dauphins, les cochons, les éléphants et même les pies se reconnaissent dans un miroir, test classique de la conscience de soi que les enfants ne réussissent pas avant 18 mois. Mais les implications ne sont pas uniquement scientifiques. Elles sont aussi éthiques, juridiques et politiques. Pourrons-nous continuer de traiter les animaux comme des choses ?

Pendant la canicule, les images de ces hangars où s’entassaient les cadavres d’animaux avaient de quoi couper l’appétit de ceux qui ont un cœur en plus d’un estomac.

Notre code civil témoigne de cette chosification de l’animal, qu’il qualifie archaïquement de bien meuble (article 528) quand, en Allemagne ou en Suisse, les animaux sont expressément distingués des choses. Opposés à la reconnaissance juridique de la sensibilité des animaux, les lobbies de la chasse et de l’élevage ont obtenu lors du quinquennat précédent la mise à l’écart de toute réforme en la matière.

Bref, en France, les animaux ne pensent pas parce que les chasseurs votent.

Lire l’article de Pierre Jouventin sur Libération.fr

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L’animal nous donne l’exemple

Posté par othoharmonie le 21 octobre 2012

 

Lily est un Grand Danois devenu aveugle suite à une maladie bizarre qui à nécessité  

l’ablation des deux yeux.  


 

Depuis 5 ans, Maddison, un autre Grand Danois est sa vue. 


 

Ils sont, naturellement inséparables. 

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Qui leur a donné cette faculté d’Amour, de Confiance….???? 


 

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Les gens oublieront ce que tu as dit, ils oublieront ce que tu as fait  

mais ils n’oublieront jamais  

comment tu leur as fait ressentir ton amour. 


 

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Splendeur et beauté du règne animal. 

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L’empathie des chiens pour les humains

Posté par othoharmonie le 21 octobre 2012

L’empathie des chiens 
pour les humains

Le chien deviendrait-il un exemple de compassion pour l’homme ? A la vue d’une personne en pleurs, et même si le chien ne la connaît pas, celui-ci se dirigera spontanément vers elle et tentera de lui apporter un certain réconfort par sa présence, confirmant le vieil adage consistant à dire que le chien est le meilleur ami de l’homme.

L'empathie des chiens pour les humains dans CHIEN 1281948569-30b8276Plusieurs études tendent à prouver que les chiens pourraient sympathiser avec les hommes plus que tout autres animaux. La dernière en date (Empathic-like responding by domestic dogs (Canis familiaris) to distress in humans : An exploratory study) a remarqué que les chiens pourraient réellement être le meilleur ami de l’homme, encore plus si celui-ci était en détresse morale ou physique. Un point important à retenir est que l’animal n’a pas besoin de connaître l’individu pour ressentir sa peine. D’après la co-auteure de l’étude, Deborah Custance (Université de Londres) : « Je pense qu’il y a de bonnes raisons pour soupçonner que les chiens seraient plus sensibles aux émotions humaines que les autres espèces. Nous avons domestiqué les chiens sur une longue période de temps. Nous avons effectué un élevage sélectif pour qu’ils agissent comme des compagnons. ».

Les chiens seraient donc prédestinés à réagir rapidement à nos signaux émotionnels puisqu’ils ont été habitués depuis longtemps à notre compagnie. Sans compter que les hommes ont fait se reproduire les chiens qui agissaient comme de vrais compagnons. Deborah Custance et sa collègue Jennifer Mayer, appartenant toutes deux au département de psychologie de l’Université de Londres, Goldsmiths College, ont mené une expérience pour déterminer la capacité d’empathie du chien. Celle-ci a consisté à regrouper 18 chiens de compagnie et de les confronter avec des humains dans différentes situations. Parmi les participants de l’expérience, se trouvaient les maîtres des chiens mais aussi de parfaits inconnus. Lors de la mise en situation, les participants ont fait semblant de pleurer et les chiens sont venus les consoler. Les amis canins ont réagi de la même manière avec leur maître qu’avec les inconnus, en allant frotter leur truffe et en léchant l’individu faisant semblant d’être triste. Une preuve que le chien est capable de faire preuve d’empathie envers l’humain.

L’étude de Deborah Custance et Jennifer Mayer publiée sur le site du Goldsmiths college, Université de Londres : Empathic-like responding by domestic dogs (Canis familiaris) to distress in humans: An exploratory study

Pensiez-vous les chiens capables de tels sentiments envers l’homme ?

 
Lire l’article sur daily geek show

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