LES OISEAUX DES VILLES

Posté par othoharmonie le 30 avril 2014

 

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Les oiseaux sauvages vivent tout autour de nous. Pourtant, on sait très peu de choses à leur sujet. En plus d’informer les jeunes dans les écoles, Le Nichoir, centre de réadaptation pour volatiles qui a ouvert ses portes en 1994 à Hudson, fournit tous les soins appropriés aux oiseaux sauvages blessés ou orphelins avant de les relâcher dans leur environnement naturel. Joanie Gagnon, biologiste responsable des soins de l’établissement, a répondu aux questions de La Presse. http://www.lapresse.ca/  

Q : Que doit-on faire quand on trouve un oisillon par terre ?

R : Il faut faire très attention. Souvent, on va recevoir des oiseaux qu’on appelle dans le jargon « kidnappés ». Il arrive fréquemment que les oiseaux sortent de leur nid. Si vous voyez qu’un oisillon a toutes ses plumes, qu’il peut marcher mais pas voler, c’est normal. Ça fait partie de son processus de développement : il doit apprendre à voler sur le sol pendant environ deux semaines alors que ses parents vont continuer à le nourrir. N’enlevez donc pas l’oisillon, sinon ses parents vont le chercher.

Q : Que faire dans les autres cas ?

R : Si vous trouvez un oisillon tombé du nid, qui n’a pas encore de plumes, remettez-le dans son nid. On peut le toucher : c’est un mythe de croire que, si on le touche, ses parents vont sentir l’odeur de l’humain et ne plus l’approcher. Les oiseaux ont un odorat très pauvre !

S’il s’agit d’un oiseau blessé, appelez Le Nichoir ! Apportez-le dans une petite boîte, sans le nourrir ni lui donner de l’eau avant de nous avoir parlé auparavant. Avec la mauvaise nourriture, on peut faire plus mal à l’oiseau même si on veut l’aider. C’est un animal sauvage, alors mettez des gants et lavez vos mains.

N’oubliez pas également qu’il est illégal de garder un oiseau sauvage à la maison.

Q : Doit-on nourrir les oiseaux en hiver ?

R : En hiver, plusieurs espèces vont migrer dans le Sud, d’autres vont rester, comme les pics, les geais bleus, les moineaux, les cardinaux, les mésanges, les pigeons, etc. Il y a aussi des oiseaux qui vivent plus au nord qu’ici et qui vont venir passer l’hiver chez nous, car il y a plus de nourriture, comme les petits juncos noir et blanc. Les insectes, même si on ne les voit pas, sont toujours là, en hibernation sous l’écorce ou entre les branches. Souvent, l’alimentation des oiseaux va changer : ceux qui mangent beaucoup d’insectes vont se nourrir de petits fruits et de graines gardés pour l’hiver.

Les oiseaux iront plus vers les mangeoires en hiver, car c’est plus difficile de trouver de la nourriture, mais les graines ne constituent que 25 % de leur alimentation. Alors ce n’est pas parce que vous ne mettez pas de mangeoires que les oiseaux vont mourir de faim !

Q : Qu’est-ce qu’une bonne mangeoire ?

R : Il est interdit, dans certaines municipalités, de nourrir les pigeons. Alors si vous installez une mangeoire et que les graines tombent, c’est illégal. Appelez votre ville pour connaître la réglementation. Même chose pour les écureuils, alors choisissez des mangeoires auxquelles ils n’ont pas accès.

Attention à l’endroit où vous placerez la mangeoire : il est conseillé de la placer à moins de 3 m de votre fenêtre, ainsi, si l’oiseau décolle et frappe la fenêtre, il ne le fera pas à haute vitesse. Sinon, mettez des collants aux fenêtres pour éviter les accidents.

Installer une mangeoire dans un arbre n’est pas idéal puisque les écureuils vont y accéder.

Idéalement, on peut ajouter un petit buisson à environ 10 pi de la mangeoire pour que l’oiseau se sente en sécurité.

Attention de bien laver la mangeoire une fois par semaine avec de l’eau et de l’eau de Javel.

Et assurez-vous que les graines ne soient pas mouillées, car cela pourrait entraîner des problèmes de santé.

En somme, il faut consacrer du temps. C’est une responsabilité qui doit être prise au sérieux pour ne pas transmettre des maladies.

Q : Que peut-on donner à manger aux oiseaux ?

R : Assurez-vous d’avoir de bons grains, sinon, si les oiseaux ne les aiment pas et ils vont les jeter par terre. Le choix de la nourriture dépend du genre d’oiseau qu’on veut attirer.

Surtout, évitez le pain ! C’est un mythe commun. Le pain est extrêmement pauvre en nutriments : il va remplir l’estomac, mais n’apporte rien à l’oiseau. Il devient collant et peut bloquer le réservoir où les oiseaux stockent leur nourriture dans leur oesophage.

Il reste que faire pousser des plantes qui produisent des baies aide beaucoup plus les oiseaux en hiver.

Q : En ville, quel est le principal prédateur des oiseaux ?

R : Les chats. En mai et en juin, gardez votre compagnon le plus près possible de la maison pour protéger les oiseaux qui essaient de se reproduire en ville.

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Unterdir les tests sur animaux

Posté par othoharmonie le 30 avril 2014

L’utilisation de chiens pour la recherche scientifique est autorisée au Brésil, dans le cadre des règles internationales.

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PHOTO DAN CHUNG MORPETH, REUTERS

 

L’État de Sao Paulo au Brésil a interdit jeudi l’utilisation d’animaux pour les tests et expériences dans l’industrie des cosmétiques et des parfums, mais pas dans celle des médicaments.

Le gouverneur de l’État le plus industrialisé et peuplé du Brésil, Geraldo Alckmin, a ratifié une loi interdisant l’utilisation de cobayes après avoir eu une série de réunions aussi bien avec des militants de la cause animale qu’avec des représentants de l’industrie, des vétérinaires et des scientifiques.

«Nous avons écouté tous les secteurs et avons décidé de promulguer la loi», a affirmé le gouverneur dans un communiqué à la presse.

Une amende d’un million de réais (environ 470 000$ CAN) est prévue pour l’institution ou le centre de recherches qui ne la respecterait pas.

En cas de récidive le montant de l’amende doublera. L’établissement en infraction pourra être fermé. Des amendes seront infligées également aux professionnels désobéissants.

En octobre dernier, un groupe d’activistes avait envahi un laboratoire situé à Sao Roque (à 60 km de Sao Paulo) et libéré 200 chiens, tous de la race beagle, qui servaient de cobayes pour des tests pharmaceutiques.

Les chiens étaient rasés et l’un d’eux avait été retrouvé congelé dans de l’azote liquide et plusieurs autres mutilés.

Le laboratoire pharmaceutique (Institut Royal) avait annoncé sa fermeture trois semaines plus tard «mettant fin à 10 ans de recherches» en raison «des pertes élevées et irréparables et aux dommages provoqués par l’invasion».

L’utilisation de chiens pour la recherche scientifique est autorisée au Brésil, dans le cadre des règles internationales.

SOURCE http://www.lapresse.ca/

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Un statut juridique des animaux

Posté par othoharmonie le 30 avril 2014

 

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Des défenseurs des animaux interpellent la nouvelle ministre de la Justice Stéphanie Vallée, lui demandant de modifier le Code civil en vue de bonifier le statut juridique des animaux.

Plus de 40 000 personnes dans l’ensemble du Québec ont déjà signé un manifeste à cet effet. Et les promoteurs de l’idée continuent de recueillir des signatures. Le manifeste est d’ailleurs appuyé par la SPCA de Montréal.

À l’heure actuelle, le Code civil considère l’animal comme un meuble ou un objet. Le fait de maltraiter un animal est donc considéré comme abimer un bien matériel.

«Notre droit actuellement, notre Code civil, catégorise les animaux parmi les biens meubles, alors que ce n’est pas comme ça que la plupart des Québécois pensent aux animaux et ce n’est pas non plus ce que démontrent les sciences. On sait maintenant que tous les animaux vertébrés sont sensibles à la douleur, ont la capacité de ressentir de la douleur», a commenté en entrevue Me Sophie Gaillard, coordonnatrice de campagnes pour le département de défense des animaux à la SPCA de Montréal.

Plus d’une voie peut être empruntée pour parvenir à mieux protéger les animaux dans le Code civil.

La moins contraignante serait de leur donner «un statut symboliquement différent, mais qui n’a pas vraiment d’impact sur la façon dont on les traite», comme ce qui a été fait en France cette année, avance Me Gaillard.

La plus contraignante serait d’«accorder aux animaux la personnalité juridique; on les traiterait comme des personnes». À ceux qui sursautent devant cette possibilité, Me Gaillard signale qu’«au Québec, les entreprises ont la personnalité juridique et on les considère comme des personnes au niveau du droit civil».

Entre les deux possibilités, il y a celle d’accorder aux animaux un statut intermédiaire entre celui d’un bien et celui d’une personne. «On pourrait imaginer donner aux animaux certains droits, mais quand même les assujettir au régime de propriété. Donc, on pourrait quand même continuer à en être propriétaire, à les acheter et à les vendre, mais ils auraient certains droits qui pourraient être invoqués contre leur propriétaire, par exemple», a expliqué Me Gaillard.

Déjà en 2012 et 2013, différentes mesures ont été adoptées par le gouvernement du Québec sur la protection sanitaire des animaux et en instaurant un nouveau régime de permis. Me Gaillard concède que la demande de modification du statut juridique s’inscrit dans cette mouvance de se préoccuper davantage du sort des animaux.

Le groupe n’a «pas encore» demandé de rencontre avec la nouvelle ministre de la Justice Stéphanie Vallée. «On fait des démarches pour essayer d’amener le débat à l’Assemblée nationale» dans l’espoir de faire adopter une réforme du Code civil en conséquence, note-t-elle.

«Je crois qu’on a de bonnes chances (d’obtenir l’oreille de la ministre) parce que je crois que c’est une question qui devient de plus en plus importante pour les Québécois, aussi bien les gens en ville que les gens en région. On voit aussi de plus en plus d’exemples de cruauté envers les animaux, que ce soit les animaux de compagnie ou les animaux d’élevage. Et je pense que c’est une préoccupation qui va continuer à grandir», a opiné Me Gaillard.

article de http://www.lapresse.ca/

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Animaux et messages d’amour

Posté par othoharmonie le 16 mars 2014

 

1- Symbolisme animal et messages de l’amour

La signification d’amour vient suite à pas mal de fois par de différents symboles. Certains animaux viennent dans nos vies avec un message d’amour. Ces animaux spéciaux servent de symboles d’amour ou d’icônes et transmettent des messages spécifiques à la compassion, l’ardeur, la passion et la tendresse.

2- Les Animaux qui sont des Symboles d’amour dans les cultures et les légendes

 CHAT NOR

Dauphin:
Avec la vitesse, la diligence et l’intelligence du dauphin, il est aussi un messager de l’amour. Ceci est partiellement dû à son association avec Delphin, qui signifie l’amour incarné dans le sein maternel. Aphrodite, la déesse grecque de l’amour, a dit de prendre la forme d’un dauphin et il était aussi connu comme la femme de la mer. Le dauphin est un symbole de l’église étant guidé par l’amour du Christ.

Colombe:
La colombe est considéré comme un symbole de paix, la colombe est aussi un messager de l’amour symbolique profond. Une légende slave dit que lors de la mort, l’âme se transforme en une colombe qui coulisse son chemin dans le ciel d’amour. Dans l’hindouisme, la colombe est un emblème de l’esprit, et la capacité infinie de l’esprit et de l’amour.  Dans la mythologie gréco-romaine, la colombe était une créature sacrée à Aphrodite / Venus. Les Pratiques juives antiques permissent la colombe d’être sacrifiée comme un don d’amour qui signifiait la purification d’une nouvelle mère après l’accouchement. Dans l’Ouest, la colombe symbolise l’amour et est fréquemment observée dans les traditions de mariage.

Cheval:
Tout d’abord le cheval est le septième signe du zodiaque chinois, le cheval est assimilé à la fonctionnalité et à l’amour. Comme des cavaliers hautement qualifiés, les Celtes ont attribué au cheval le nom d’Epona, aussi connu comme la déesse des chevaux.  Epona était connu pour l’abondance, l’amour et la fertilité. En Mésopotamie, il y eut une légende qui disait que le soleil a été attirée par un cheval à l’horizon – le cheval était connu comme l’incarnation de l’amour pour la terre.

Coccinelle :
Elle est connue comme un emblème de chance, la coccinelle est un symbole d’amour aussi. Les traditions asiatiques tiennent à la croyance que si capturés puis libérés, la coccinelle fidèlement vole à votre amour vrai et murmure votre nom dans sa / son oreille. Après avoir entendu le message de la coccinelle votre amour vrai se dépêche de votre côté.

Étoiles de mer:
Chez les chrétiens, l’étoile de mer représente la Vierge Marie (Stella Maris qui signifie étoile de la mer) qui crée amoureusement un voyage en toute sécurité sur les eaux troubles et est également considérée comme un emblème du salut pendant les périodes difficiles. L’étoile ainsi que les étoiles de mer sont considérés comme des symboles célestes et en tant que tels, elles représentent l’infini amour divin. En plus de l’amour, l’étoile de mer détient également des caractéristiques telles que l’orientation, la vigilance, l’inspiration, la brillance et l’intuition.

Cygne :
C’est un titulaire d’une multitude de représentations y compris l’amour, la grâce, la pureté, la beauté et la sincérité. Un autre attribut d’Aphrodite, le cygne symbolise également la chasteté. Les Celtes croyaient que les cygnes ont été des divinités bienveillantes et la légende veut que leurs images soient forgées en médaillons d’argent autour du cou pour se protéger.  Dans l’hindouisme, le cygne est connu comme l’oiseau Hamsa et signifie l’esprit divin et le souffle de l’esprit. Le cygne est aussi un autre symbole de la Vierge Marie et la pureté et l’amour qu’elle symbolise.

lire : Le totem du Chameau

 

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La Communication animale

Posté par othoharmonie le 16 janvier 2014

Tout être vivant est composé d’un Esprit (ou âme) et d’un corps ou plus exactement de plusieurs corps, du plus tangible et matériel, celui que nous terriens sommes capables de voir, de toucher et de sentir, au plus subtil.

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Les animaux ne sont pas différents des humains, quand à cette organisation. C’est pourquoi, il nous est possible de communiquer avec eux, avec la voix du cœur ou, d’âme à âme. Certains diront télépathie… Qu’importe le vocabulaire, les faits sont là : nous sommes capables de communiquer avec les animaux, comme avec les autres humains, en utilisant cette faculté enfouie au fond de chacun de nous, qu’est la médiumnité.

Bien entendu, tout comme pour l’utilisation d’une langue autre que notre langue maternelle, certain seront « plus doués que d’autres » ou du moins, auront des connaissances acquises antérieurement, qu’ils auront su faire « remonter à la surface ». C’est pour cela que, si nous avons tous des facultés médiumniques nous permettant de communiquer d’âme à âme avec d’autres êtres du monde humain ou animal, ces facultés faisant parties de nos « bagages » qui nous suivent de vies en vies, peuvent être de niveaux très différents, en fonction de notre propre évolution.

A la naissance, ces acquis de connaissances sont entièrement disponibles, c’est pourquoi nous pouvons constater chez de jeunes enfants de très nombreux cas de médiumnité, sous différentes formes. Par contre, en entrant de plain-pied dans la vie par l’apprentissage des règles régissant notre vie d’humain, ils perdent en quelques années l’utilisation de ces facultés naturelles, en les recouvrant du voile de la socialisation…

Ces facultés ne sont pas perdues mais, enfouies au fond de chaque être, comme s’il s’agissait d’un sujet tabou qu’il est convenable d’oublier. En conclusion nous avons tous, peu ou prou, des facultés de communications avec d’autres êtres. Il nous appartient de les découvrir en nous et de les développer, tout comme pour l’usage d’une langue étrangère.

Par contre les animaux, eux, ne perdent pas l’usage de ces facultés et faisant parties intégrantes de leur processus d’évolution, ils les utilisent en permanence, entre eux et pour nous parler, ou plutôt à notre âme, même si nous n’en sommes pas toujours conscients, à moins d’en prendre conscience et d’y prêter attention.

Sans nous en rendre compte, nous communiquons beaucoup plus que nous le pensons avec nos animaux. Comment cela ? Par la pensée – ou télépathie pour certains – tout simplement. Qui n’a pas déjà constaté que curieusement, lorsqu’il devait conduire son animal de compagnie (chat, chien…) chez le vétérinaire, celui-ci se cachait ou, bien sa peur, son appréhension le faisait uriner partout… Tout simplement, il avait capté le message que nous lui avions délivré par la pensée : «viens, nous avons rendez-vous chez le vétérinaire pour…». Aussi, si une telle visite s’avère nécessaire, il est important de lui en parler, tout simplement par la pensée, afin de le sécuriser, que c’est pour son bien, pour le soigner… que nous devons consulter le vétérinaire…

Comment nous parlent-ils ?

Comme précisé ci-dessus, par le langage de l’âme. Cette communication peut être matérialisée pour nous, de différentes façons : elle peut prendre la forme d’image, de sensations, d’émotions, d’intuitions… mais aussi de paroles qui peuvent résonner au fond de nous. Certains reçoivent même ces communications 

Le corbeau intelligent

au moyen de la psychographie ou, écriture automatique. En fait, tout comme nous, les animaux sont des êtres en cours d’évolution et, si leur route vient à croiser la nôtre, de façon marquée, ce n’est pas par hasard !

Si l’on accepte ce précepte, il ne nous reste plus qu’à ouvrir notre cœur et nos sens à leurs tentatives de communication, et de commencer à recevoir ce qu’ils veulent nous transmettre comme information. La communication animale nous permet non seulement d’entrer en contact avec les animaux, mais également de véritablement dialoguer avec eux. Du fait de la spécificité de la communication animale qui implique de communiquer d’âme à âme, nous avons la possibilité si l’animal le veut bien, de dialoguer avec lui à un niveau psychique et intellectuel très profond et sincère, car l’animal ne porte pas de masque comme nous le faisons tous, pour « tenir notre place dans la société ».

Le corbeau intelligent - Un corbeau intelligent observe, étudie, les habitudes et comportements des humains, afin de bénéficier de leur aide facilement. Dans ce vidéo, il utilise les voitures pour casser ses noix. Il les laisse tomber sur la route et les roues des voitures font le travail. Pour plus de sécurité il utilise le passage piéton

Pourquoi communiquer avec les animaux ?

Pour les mêmes raisons que nous communiquons avec d’autres humains ! Ces êtres qui sont à un autre état d’évolution que nous, ont certainement beaucoup plus à nous apprendre que nous pouvons l’imaginer et, sont tout à fait disposés à nous aider, même si la plupart du temps, nous les considérons comme des inférieurs…

Qui n’a pas entendu parler de la thérapie animale, où des animaux aident des humains à guérir des dysfonctionnements comportementaux, des stress, des traumatismes récents ou anciens… Pour beaucoup d’entre-nous, un animal « domestique » est un compagnon… mais en fait, il est beaucoup plus que cela…

Ils ont également besoins de nous pour avancer dans leur cheminement. C’est pour cela que la communication animale devient très importante, car elle nous permet, par le dialogue devenu possible, de nous aider mutuellement, les animaux et nous, les humains, dans notre évolution.

Que peut-on attendre d’une communication animale ?

Une communication animale peut s’avérer très concrète : nombreux sont les exemples où l’animal à clairement indiqué, lors l’une communication, le mal dont il souffre : allergies, douleurs, pourquoi il urine partout… ce qui a pu être vérifié par la suite par un thérapeute soignant l’animal. Les animaux, tels des éponges, tentent d’absorber nos maux, notre mal être, car ils font tout leur possible pour que nous soyons toujours sans douleurs physique ou mentale. Ils peuvent même aller jusqu’à mourir pour nous aider. Aussi, lorsque vous constatez un problème chez un animal qui vous est proche, posez-vous la question de savoir si le problème n’est pas le vôtre, qu’il essaie de vous soustraire. Dans ce cas, dites-lui que vous allez faire ce qu’il faut pour régler votre problème et, vous verrez qu’il ira très vite beaucoup mieux.

Mais il peut aussi nous apporter l’explication, le conseil dont nous avons besoin pour notre cheminement ou tout simplement pour le déroulement harmonieux de notre quotidien. Nous devrions considérer les animaux plus comme des partenaires de vie que comme des esclaves de nos caprices ou de la nourriture en développement et notre évolution réciproque en bénéficierait.

Quel est le rôle du communicateur animal ?

images (17)Il est important d’être bien conscient que la personne qui communique avec l’animal, n’est qu’un interprète, un intermédiaire… un médium entre l’animal et le destinataire final de la communication et, que son rôle consiste seulement à retransmettre le plus fidèlement possible les éléments de la communication que l’animal lui transmet.

Donc, le communicateur animal est en fait un facilitateur, entre l’animal et celui qui désire communiquer avec lui ou, qui est destinataire d’un message de l’animal. Le rôle du communicateur est très délicat, car il se doit de capter et de retransmettre l’intégralité du message de l’animal, sans le déformer ou tout simplement, sans le “colorer” involontairement par sa propre sensibilité, sa propre évolution, ses propres croyances.

Pour assurer une bonne communication, il doit s’efforcer de rester neutre tout au long de la communication et, en se faisant confiance, laisser des émotions et états d’âme de côté.

Jean-Paul Thouny
Thérapeute énergéticien
Courriel : jean-paul@thouny fr
www.jean-paul.thouny.fr

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Conversation animalière avec S.Ward

Posté par othoharmonie le 1 janvier 2014

« Conversations with Animals » de Suzanne Ward

 

                                                                               Suzy Ward

Dans ce livre qui vient d’être édité, Suzanne Ward, qui depuis de nombreuses années reçoit télépathiquement les messages de son fils Matthew, a eu la surprise, il y a 7 ans environ, d’entendre un des nombreux chiens abandonnés, dont elle s’occupe, lui adresser la parole…et depuis, elle a le plaisir de converser télépathiquement avec la plupart d’entre eux. Nous découvrons dans ce témoignage combien ces fidèles compagnons sont sensibles à l’attention que les humains leurs prêtent. Nous apprenons que tout chien, avant de venir au monde, est instruit par l’Ange de leur espèce, « Le Grand Chien », qui les prépare à l’aventure qui les attend sur Terre et à leur rôle auprès des humains. 

Suzy après avoir conversé avec ses chiens, a étendu son répertoire pour communiquer avec d’autres animaux dont elle livre le contenu dans son livre. Elle souligne que les animaux ont une gamme d’intelligence et d’émotions plus large que la plupart des hommes leurs attribuent et particulièrement chez les espèces les plus évoluées. Ces dernières sont très réceptives et reconnaissent, par exemple, lorsque les esprits des « défunts » animaux et humains sont présents. Comme êtres multidimensionnels, ils vont et viennent entre les mondes de l’esprit et la matière, de telle sorte ils savent qu’il n’y a pas de mort.
Les animaux sont honnêtes et loyaux et leur amour est inconditionnel. Les animaux qui étaient particulièrement liés à des humains peuvent retourner plus tard à eux, sous la même forme physique ou une espèce différente, mais ayant gardé la même personnalité et les mêmes dispositions.
Tout comme les âmes humaines évoluent à travers de nombreuses vies et apprennent par des expériences, il en est de même pour les animaux et il n’est pas inhabituel pour l’énergie de l’âme humaine de s’incarner dans un animal pour expérimenter ce genre de vie. 

Voici un extrait significatif d’une rencontre peu commune :  » L’été dernier, alors que j’arrosais les pétunias de la banquette de fleurs située le long de la barrière, j’aperçus ce qui avait l’air d’un minuscule criquet jaunâtre, posé sur une feuille. Un « criquet » me vint à l’esprit, bien que j’en avais jamais vu de pareil ! Pourquoi n’a-t-il pas fui, lorsque j’ai arrosé juste à ses côtés ?

« Il a commencé à me parler. Après qu’il m’ait dit que ce qu’il allait me confier était destiné au livre que j’étais en train d’écrire, il s’embarqua dans un monologue. A ce moment-là mon livre n’était qu’une ébauche, mais j’écoutai plein d’étonnement et tout ce que je pus dire après-coup, c’est que je serais incapable de me souvenir de tout ce qu’il avait raconté. Le criquet me dit qu’il n’y avait pas besoin que je m’en souvienne, qu’il me rappellerait cela au moment opportun. Je levai les yeux un instant, puis regardai à nouveau la feuille où le criquet se trouvait précédemment, il avait disparu…

« Oui, je suis ici, juste comme je te l’avais dit que je serai. Les gens n’ont pas de respect pour les insectes, ne reconnaissent pas l’importance que nous jouons dans vos vies. Il est vrai que certains parmi nous sont juste une plaie, comme les mouches, mais la plupart d’entre nous, jouons une part significative dans la chaîne de la vie, dont vous pensez être au sommet. Ce n’est pas vrai, en ce qui concerne l’intelligence et la connaissance spirituelle, ce sont les baleines et les dauphins qui détiennent cette place, mais il y a une part d’intelligence que vous nommez instinct, que vous ne pouvez même pas concevoir ou que vous ne prenez pas la peine de considérer dans la vie des insectes sur cette planète. 

« Vous ne nous remarquez même pas, à moins que ce soit avec un sentiment de répugnance, comme envers les cafards et les fourmis dans vos cuisines, puis c’est avec dégout que vous nous exterminez. J’ai choisi cette forme, afin de porter attention et honneur aux insectes, qui sont de loin les formes de vie les plus répandues sur la planète. Nous sommes interconnectés avec toute autre vie ici, y compris celle des humains et une part de votre éveil est la reconnaissance que nous avons tous, tout comme vous, part à ce drame. Vous avez besoin de nous honorer comme êtres interconnectés que nous sommes et respecter nos vies comme nous respectons les vôtres. Vous êtes à un moment où vous devez choisir entre vous élever, ou chuter, et nous voyons que nombreux parmi vous ne s’élèveront pas, parce que vous fermez vos yeux à notre importance, tout comme vous fermez vos yeux à l’importance de toute vie humaine. 

« Je pense que ça suffit, Madame Suzy. Je crois avoir été clair que les humains tomberont, à moins qu’ils élèvent leurs yeux et leurs cœurs et ressentent l’unité en chaque vie dans ce monde, que chaque fourmi et escargot a sa place dans cette conscience une, ainsi le sont chaque arbre, la fleur la plus petite, ainsi l’est chaque enfant affamé et chaque homme riche. Il n’y a pas de séparations. Les humains doivent commencer à comprendre cela et agir avec respect et honneur et aider chacun, chaque âme vivant sur Terre, car nous TOUS sommes des âmes, tout comme vous.

« Merci de bien vouloir transmettre mon message. Je n’ai plus besoin du corps que vous aviez vu, puis vu disparaître. Je l’ai fait afin que vous puissiez me voir et me prêter attention. » 

SOURCE / GalacticChannelings.com January 1 2014

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ANIMAUX EN QUESTIONS

Posté par othoharmonie le 24 décembre 2013

220px-YellowLabradorLooking_newQUESTION - Je vois tant d’animaux abandonnés et chaque fois que j’en vois un, mon coeur me fait mal… J’aimerais savoir plus à leur sujet.

RÉPONSE – Chère, en effet la réponse a déjà été donnée, mais donnons-la encore afin que vous tous compreniez. Les animaux sont sur terre pour trois motifs :

1 – pour l’équilibre de la vie biologique… Le cercle d’énergie qui vous est nécessaire pour exister, dans ce que vous appelez « la nature ».

2 – pour être capturés. Oui, c’est vrai. Beaucoup existent pour vous servir de nourriture et c’est approprié. Il y a une harmonie entre l’Être humain et l’animal et cela a toujours été. Souvenez-vous des buffles qui vinrent volontairement auprès des tribus indigènes pour être sacrifiés quand on les appelait ? Ce sont des histoires que vous devriez examiner à nouveau.

Ce qui est inapproprié aujourd’hui c’est la manière dont ces chères créatures sont traitées. Saviez-vous que s’il y avait une cérémonie les honorant à leur mort, qu’elles vous nourriraient mieux ? Savez-vous qu’il y a une cérémonie qui pourrait bénéficier à toute humanité de cette manière. Peut-être est-il temps que vous la connaissiez.

3 – pour être aimés et aimer. Dans beaucoup de cultures, les animaux font office d’enfants de substitution, en les aimant et en prenant soin d’eux. Cela donne une chance aux Etres humains de témoigner de la compassion et de l’amour inconditionnel lorsqu’ ils en ont besoin. C’est extrêmement important pour beaucoup et produit un équilibre à beaucoup et une occasion de se centrer.

Est-ce que les animaux savent tout cela ? Oui, à un certain niveau de base, ils le savent. Pas de la manière selon laquelle vous « savez », mais dans leur conscience cellulaire ils comprennent qu’ils sont ici de service pour la planète terre.

Si vous les honorez selon ces trois modes, alors le résultat en sera l’équilibre. Vos sensations concernant leur traitement sont importantes. Tempérez vos réactions avec la logique spirituelle pour leur disposition et leur service à humanité. Honorez-les dans tous ces trois cas.

QUESTION - Cher Kryeon. Qu’arrive-t-il aux animaux (tels que chiens et chats) lorsqu’ils meurent ? Est-ce qu’ils vivent après leur décès ? Est-ce qu’ils se réincarnent aussi ? Est-ce qu’ils évoluent ?

RÉPONSE – Ta question concerne spécifiquement les animaux de compagnie. Ce sont des animaux dont le but est d’aider l’humanité. Ils agissent à cet égard et se réincarnent dans ce même groupe. Ce sont des entités qui ne sont pas forcément programmées à évoluer  » et devenir des Êtres humains; de même que Kryeon n’est pas destiné à évoluer « vers une autre forme ».

Quelques-uns parmi nous sont des travailleurs divins universels et pour vous, dans votre réalité, notre aspect est très différent, mais de ce côté du voile cela est parfaitement compréhensible et approprié. Nous l’avons déjà dit précédemment : nous avons tous des tâches différentes, mais nous ne sommes pas compartimentés. La « soupe » de la divinité a de nombreuses saveurs, mais c’est toujours  » la soupe.  Donc considérez la question animale comme une part de la saveur de Dieu.

Pour ces Êtres humains qui ont perdu des animaux (puisqu’ils ne vivent pas très longtemps), voici quelques conseils : lorsque vous perdez un ami bien-aimé, un animal qui a donné son existence inconditionnellement pour vous aider toute sa vie, il est tout naturel que vous soyez triste.

Voici la bonne nouvelle : Ils se réincarnent ! Mais pas seulement cela, ils le font dans la région où ils ont vécu et ceci dans le seul but de vous permettre de les retrouver à nouveau !

Les règles afin de retrouver l’énergie de la même   »âme ».

- Attendez trois mois. *

- Ne pensez pas que l’animal sera de la même espèce ou grandeur. En fait, ne supposez même pas qu’il sera le même genre d’animal ! Il est commun pour les chats et les chiens d’alterner, uniquement afin de maintenir correctement l’équilibre.

- Regardez-le dans les yeux… rien d’autre. Il se révélera à vous.

- Donnez-lui le nom que vous voulez. Il n’est pas lié à quoique ce soit, si ce n’est à votre énergie.

- Si vous ne le retrouvez pas, il n’y a rien de négatif lié à cela. C’était uniquement une occasion. Il ira son chemin aimer l’humanité et aider d’autres comme il vous a aidé.

Tous les animaux que vous trouvez n’ont pas forcement été ici auparavant. Beaucoup viennent ici pour la première fois, s’étant proposé de faire leur part; afin que vous vous sentiez plus aimés et plus paisibles, afin que vous puissiez être un Phare plus puissant.

Le but des animaux sur la planète est de soutenir l’humanité, alors qu’ils répandent la paix sur Terre. Ils sont aussi divins. En revanche, vous saviez cela, n’est-ce pas …

[NDT - Dans le dernier livre de Kryeon, LIFTING THE VEIL, chap. 5, je vous signale que Kryeon indique ceci : lorsque votre animal de compagnie, votre ami, meurt, allez immédiatement le rechercher. N'attendez pas. N'attendez pas ! Je vous dirai pourquoi. Allez immédiatement chercher intuitivement dans les endroits ou se trouvent des petits (bébés-animaux)]

http://www.elishean.org/2011/05/01/reponses-de-kryeon/  

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L’âme animale

Posté par othoharmonie le 24 décembre 2013

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L’âme animale et l’âme humaine s’incarnent et ont le ont le même but qui est d’expérimenter la vie, d’apprendre et d’évoluer grâce à l’Amour.

Chaque famille d’animaux possède une mission planétaire  

Un des plus grands enseignements qu’un animal peut donner à l’humain, c’est sa grande faculté à vivre le moment présent, à ne pas spéculer sur l’avenir ou à se sentir coupable pour des choses du passé. 

Les animaux ont un plan émotionnel aussi développé que les humains mais différent car cette capacité de vivre dans le présent ne les font pas se perdre dans leur mental ou dans l’intellectualisation. 

Par ailleurs, l’animal a de grandes capacités mentales, un capital de créativité et la conscience de faire partie d’un Tout. Il est en contact avec une réalité globale. 

Il peut lire les courants de pensées non-verbaux tout comme les courants vibratoires. Face à l’évolution de cette planète, il nous offre sa collaboration et son entraide, par pur amour inconditionnel. En plus d’être potentiellement un télépathe et un guérisseur, l’animal sert d’intermédiaire pour des messages qu’un humain doit recevoir.

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la communication animale

Posté par othoharmonie le 24 décembre 2013

 

Animal_diversityLes animaux évoluent eux aussi comme les êtres humains et ils évoluent beaucoup au contact des êtres humains. Ils permettent aux être humains aussi, ceux qui choisissent de les regarder autrement que comme des bêtes, d’accéder à leur qualité d’être. Les animaux, selon le type, l’espèce, ont vraiment tous quelque chose à apporter à l’être humain. Que ce soit la capacité presque instantanée de rapatrier toute l’énergie dans une direction, que ce soit une capacité de concentration, que ce soit une capacité de relaxation, de méditation, que ce soit le don extraordinaire de soi, que ce soit une capacité de transférer des charges, les animaux, beaucoup d’animaux domestiques prennent consciemment des charges émotionnelles des êtres tout autour d’eux uniquement par Amour. Ils le font dans l’anonymat le plus complet et le font spontanément, tout simplement par ce qu’ils ont ce don, ce don d’eux mêmes, ils ont un sens précieux pour la vie : si ils sentent qu’ils peuvent apporter une contribution aux êtres qu’ils aiment, ils le feront intuitivement… (…) 

 Au fur et à mesure qu’un être s’ouvre à la reconnaissance du Divin en lui, à un moment donné, l’individu est amené, et ceci est incontournable, à ouvrir son regard sur le peuple animal et à cesser aussi de faire certaines distinctions entre les animaux domestiques et ceux qui ne le sont pas. Vous êtes consterné ou préoccupé par le bien-être de votre animal et vous n’êtes pas préoccupé par le bien-être des animaux que vous ne connaissez pas. Vous ne pouvez pas associer votre conscience uniquement à l’amour. Ce que vous aimez, voilà, ceci vous préoccupe, mais ce que vous n’aimez pas ou ne connaissez pas, et bien vous ne voulez pas vous en préoccuper. Nous ne voulons point vous choquer, mais si vous avez des enfants, la violence portée à votre enfant vous est intolérable. Songez-vous parfois à la violence faite aux autres enfants, vous est-elle aussi intolérable ? Les êtres en cheminement sont tout près d’une plus grande conscientisation planétaire. Ceci veut dire que vous allez vous impliquer de plus en plus au niveau planétaire. Attention, nous ne vous disons pas voilà : demain matin prenez vos bagages et puis partez. C’est à l’intérieur de vous, à l’intérieur de vous premièrement que vous avez à vous positionner.

Cherchez à respecter toutes formes de vie. Premièrement, observez les autres formes de vie, observez-les, regardez à quel point elles sont différentes, belles et captez leur vibration sans jugement. Vous allez vous apercevoir que chaque forme de vie peut vous offrir quelque chose de très réel, qui vous nourrisse vibratoirement, qui vous permette de vous sentir meilleur.

Lorsque l’être humain est capable d’avoir un contact profond, un contact vrai avec un animal, qu’est ce qui se passe ? L’être humain se sent digne, il est fier de lui, parce qu’il sait qu’il vient de pénétrer quelque chose de précieux. Vous venez, au contact de cet animal, de toucher un niveau de conscience qui dépasse le niveau de conscience que vous touchez entre les humains. Pour vous contacter entre vous tous, cela demande un niveau de conscience, une ouverture évidemment, mais vous êtes tous une même forme de vie, ou des formes de vies similaires. Alors, lorsque vous dépassez certaines limites et que vous entrez en contact avec l’animal pour saisir qui il est, ce qu’il vit, ce qu’il éprouve, ce qu’il veut vous communiquer et bien vous venez de faire un pas de plus au niveau d’une conscience plus planétaire. Vous savez à l’intérieur de vous que vous touchez à quelque chose de particulier, de précieux. Notez la capacité que vous avez de contacter les animaux, de les contacter réellement par le Cœur et par l’observation-contemplation.

(…)

Les animaux sont là aussi pour vous aider à guérir beaucoup de peurs. Vous pouvez choisir de les éloigner de vous ou vous pouvez choisir de travailler tout doucement, progressivement à guérir vos peurs. La peur ou les peurs liées aux animaux sont souvent des projections, l’animal était là dans une situation de cette vie ou que dans une autre vie, et très souvent vous avez rencontré vos propres peurs.

(…)

Les animaux vivent aussi toutes les poussées vibratoires, ils ressentent aussi le changement et ce sont des êtres dotés aussi de la capacité de choisir, différemment de vous les humains. Mais il est important de comprendre que cette planète offre l’extraordinaire possibilité de choix absolu, et n’allez surtout pas croire que sur toutes les possibilités des planètes d’incarnation il y ait cette possibilité absolue, aucunement.

(…) 

Le peuple animal est géré par une conscience planétaire, appelez ceci une âme planétaire pour les animaux, nous préférons appeler ceci un grand courant ou un archétype planétaire et cet archétype planétaire inclut toute la diversité du peuple animal passée, présente et future. Cet archétype planétaire concernant le peuple animal, et nous pourrions aussi dire grâce à l’archétype planétaire concernant aussi l’être humain physique passé, présent, futur, permet aux formes de vie existantes sur une planète de croître évidemment au cours d’un cycle de vie, mais aussi de muter, de se transformer. Donc cet archétype planétaire, il est là, il émane aussi et il influence les êtres humains. Il influence directement l’archétype des animaux grâce à cette interdépendance ou à cette intercommunication au niveau des archétypes planétaires, c’est pourquoi il y a la possibilité entre les différentes formes de vie de communication, de liens d’Amour même, d’une plus grande compréhension et d’une plus grande collaboration.

(…) 

Grâce au lien de communication avec ces archétypes, il est possible qu’il y ait une communication entre vous et les animaux. N’allez surtout pas croire que, si vous avez un animal domestique, il comprenne tous les mots que vous lui dites. Il saisit par télépathie supérieure parce que l’animal a des sens sensoriels internes et externes bien développés. Pas tous les sens, mais au niveau de la télépathie, pour certains au niveau clair-ressenti évidemment, l’instinct que vous pourriez relier à l’intuition et aussi à la claire-audience, les jeunes animaux entendent par claire-audience leurs parents. Il y a tout un contact qui se fait entre les membres d’une communauté par télépathie, par clair-ressenti et ainsi de suite… donc leurs sens sont très développés.

(…)

Beaucoup d’êtres humains se sentent appelés vers le peuple Animal et si vous vous sentez appelé et bien vous pouvez travailler à partir de l’Archétype, c’est-à-dire émaner de l’Amour vers l’Archétype du peuple Animal en leur transmettant tout simplement des messages de fraternité, des messages de gratitude, des témoignages aussi de vos expérimentations envers leur peuple. Contactez sur une base respectueuse le peuple animal, une variété du peuple animal ou plusieurs variétés à travers le peuple animal. Visez intérieurement à entrer en contact avec ceux-ci uniquement dans le but de fraterniser. Donc, si vous êtes une personne qui aimez profondément, qui avez un Amour du peuple animal et que vous vous sentez interpellé à soutenir ces autres formes de vie, et bien faites-le à distance, faites-le à travers votre animal, à travers la conscience que vous avez des animaux, faites-le à travers le partage que vous faites aux autres êtres humains, faites-le au niveau planétaire en ensemençant vos méditations et visualisations ! Visualisez que vous répandez autour du peuple animal beaucoup d’Amour et ceci sera très productif.

Le peuple animal est un peuple qui est digne du plus grand respect de tous les êtres humains. N’oubliez pas… qu’ils sont des Maîtres pour vous, comme vous êtes des Maîtres pour eux. Ils ont autant à vous apprendre, à vous apporter que vous pouvez leur apporter et leur apprendre

Dites-vous bien qu’au niveau de l’expression de sagesse pure, certains d’entre eux ont atteints des niveaux très élevés, de compassion, de respect, d’humilité, de don de soi… Chaque forme de vie existe pour enrichir tout ce qui est autour, laissez-vous enrichir par le peuple animal et permettez qu’à l’intérieur de vous s’exprime votre bonté, votre gratitude, votre respect, votre fraternité envers ceux-ci.

L’être humain est en train de cumuler une grande dette karmique envers le monde animal. Ce qui est merveilleux, c’est qu’au cours du présent âge, le niveau de conscience s’accroissant, de plus en plus d’individus vont choisir de cohabiter en paix avec le peuple animal, vont choisir de retourner regarder ce peuple pour retrouver le sens du Sacré. Ces bêtes ne sont pas bêtes. Ces bêtes sont de sages et précieux Maîtres.

http://guerirautrement.canalblog.com/archives/les_animaux/index.html

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La sagesse du peuple animal

Posté par othoharmonie le 30 novembre 2013

 

Je vous fais partager une très belle canalisation sur le peuple animal.

J’ai volontairement enlevé certains extraits car elle est très très très longue, vous pouvez la retrouver en intégralité sur ce lien : http://www.sna-cma.com/Conf-rences.html

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Si vous souhaitez copier certains passages, merci d’indiquer l’origine du message (le lien ci-dessus) et de respecter le travail de retranscription du médium qui a reçu ce message.

Comme à chaque fois, ne prenez pas tout au pied de la lettre, faite toujours preuve de discernement sur des messages reçus en canalisation d’où qu’ils viennent.

 

Il est très difficile pour un médium de retranscrire des ressentis, émotions en mots, il faut le vivre pour le comprendre c’est pourquoi il est juste et respectueux de toujours afficher le nom de la personne qui a canalisé.

Pour ma part, je ne suis pas très adepte du channeling, je prends toujours beaucoup de recul par rapport à ça, je ne mets sur le blog que les messages qui touche mon cœur comme celui-ci :

La Sagesse du Peuple Animal

Vous habitez sur une très belle planète. En fait, vous habitez sur une splendide planète regorgeant de ressources, regorgeant de lieux qui vous nourrissent, une planète qui inconditionnellement vous supporte et vous accueille tout au long de vos incarnations. Cette planète est habitée par différentes formes de vie, des formes de vie visibles et des formes de vie plus subtiles. Il n’en demeure pas moins qu’elle est grandement habitée par une très grande diversité de vies et c’est ce qui fait en somme la richesse de votre planète.

Tout ce qui vit sur cette planète y est dans le but d’un développement (…)

L’animal n’est pas constitué comme l’être humain, il lui ressemble grandement évidemment, mais il n’est pas constitué physiquement, émotionnellement, mentalement, au niveau de ces antécédents karmiques de la même façon. Tout son système énergétique incluant évidemment son corps physique et nous tenons à signaler son corps émotionnel et mental, est différent. Tout ce système n’est pas constitué exactement comme les êtres humains, mais il est important de comprendre que les animaux aussi ont le sentiment de leur corps physique. Ils ressentent leur corps physique. Ils le ressentent mais ils n’anticipent pas, ils n’anticipent pas la douleur, ils n’anticipent pas par exemple : « Que se passera t’il s’ils perdent quelque chose par exemple, leur enfant, leur progéniture » car dans le peuple animal, une des très grandes particularités est sa capacité d’exister, sa conscience n’existe que dans le présent. (…) Le peuple animal a la sagesse au niveau émotionnel, il vit ce qu’il ressent mais sans aucune vengeance, ni rancœur. La vengeance, la violence gratuite, la rancoeur n’appartient pas à ce règne. (…) un animal maltraité développera son instinct et évidemment si il craint, si il a peur d’être maltraité à nouveau, il se défendra, mais il ne le fera pas par rancœur, il le fera parce que dans le moment présent, voilà il a peur, la mémoire lui revient et il a peur, donc il se défend. Au niveau émotionnel, les animaux n’accumulent pas de bagage de frustrations émotionnelles, ils ont une plus grande capacité d’être dans le présent. (…) 

 Ils utilisent leur plan mental qui est très différent de celui de l’être humain. Ils vont l’utiliser, nous dirons, avec beaucoup de bienveillance, c’est-à-dire qu’ils vont chercher à assurer leur survie tout simplement. Mais un animal ne cherchera pas par exemple à assurer sa survie pour 15 ans. Il assurera sa survie pour quelques semaines, quelques mois, suivant le rythme des saisons. Il le fait en respectant certaines lois. Au niveau du plan mental, les animaux vont plutôt utiliser leur plan mental pour rechercher les signes de guidance auprès de l’énergie de la Mère-Terre, à travers la force des éléments. Ils vont sentir, capter à travers le vent, à travers les grands courants, à travers l’eau, à travers la chaleur, ils vont capter tout ceci grâce à cette forme d’intelligence associée à leur instinct. Ils vont ainsi se guider, en fait ils sont très près de leur instinct qui est pour eux une forme de guidance intérieure, car ils sont conscients que leur survie en dépend. L’animal cherchera toujours à rester aux aguets face à ce qu’il ressent, ce qu’il perçoit même à travers différentes activités. Il a la capacité d’être actif et en même temps de rester, somme toute, assez bien en connexion avec son ressenti intérieur.

 

Les animaux évoluent eux aussi comme les êtres humains et ils évoluent beaucoup au contact des êtres humains. Ils permettent aux être humains aussi, ceux qui choisissent de les regarder autrement que comme des bêtes, d’accéder à leur qualité d’être. Les animaux, selon le type, l’espèce, ont vraiment tous quelque chose à apporter à l’être humain. Que ce soit la capacité presque instantanée de rapatrier toute l’énergie dans une direction, que ce soit une capacité de concentration, que ce soit une capacité de relaxation, de méditation, que ce soit le don extraordinaire de soi, que ce soit une capacité de transférer des charges, les animaux, beaucoup d’animaux domestiques prennent consciemment des charges émotionnelles des êtres tout autour d’eux uniquement par Amour. Ils le font dans l’anonymat le plus complet et le font spontanément, tout simplement par ce qu’ils ont ce don, ce don d’eux mêmes, ils ont un sens précieux pour la vie : si ils sentent qu’ils peuvent apporter une contribution aux êtres qu’ils aiment, ils le feront intuitivement… (…) 

 Au fur et à mesure qu’un être s’ouvre à la reconnaissance du Divin en lui, à un moment donné, l’individu est amené, et ceci est incontournable, à ouvrir son regard sur le peuple animal et à cesser aussi de faire certaines distinctions entre les animaux domestiques et ceux qui ne le sont pas. Vous êtes consterné ou préoccupé par le bien-être de votre animal et vous n’êtes pas préoccupé par le bien-être des animaux que vous ne connaissez pas. Vous ne pouvez pas associer votre conscience uniquement à l’amour. Ce que vous aimez, voilà, ceci vous préoccupe, mais ce que vous n’aimez pas ou ne connaissez pas, et bien vous ne voulez pas vous en préoccuper. Nous ne voulons point vous choquer, mais si vous avez des enfants, la violence portée à votre enfant vous est intolérable. Songez-vous parfois à la violence faite aux autres enfants, vous est-elle aussi intolérable ? Les êtres en cheminement sont tout près d’une plus grande conscientisation planétaire. Ceci veut dire que vous allez vous impliquer de plus en plus au niveau planétaire. Attention, nous ne vous disons pas voilà : demain matin prenez vos bagages et puis partez. C’est à l’intérieur de vous, à l’intérieur de vous premièrement que vous avez à vous positionner.

Cherchez à respecter toutes formes de vie. Premièrement, observez les autres formes de vie, observez-les, regardez à quel point elles sont différentes, belles et captez leur vibration sans jugement. Vous allez vous apercevoir que chaque forme de vie peut vous offrir quelque chose de très réel, qui vous nourrisse vibratoirement, qui vous permette de vous sentir meilleur.

Lorsque l’être humain est capable d’avoir un contact profond, un contact vrai avec un animal, qu’est ce qui se passe ? L’être humain se sent digne, il est fier de lui, parce qu’il sait qu’il vient de pénétrer quelque chose de précieux. Vous venez, au contact de cet animal, de toucher un niveau de conscience qui dépasse le niveau de conscience que vous touchez entre les humains. Pour vous contacter entre vous tous, cela demande un niveau de conscience, une ouverture évidemment, mais vous êtes tous une même forme de vie, ou des formes de vies similaires. Alors, lorsque vous dépassez certaines limites et que vous entrez en contact avec l’animal pour saisir qui il est, ce qu’il vit, ce qu’il éprouve, ce qu’il veut vous communiquer et bien vous venez de faire un pas de plus au niveau d’une conscience plus planétaire. Vous savez à l’intérieur de vous que vous touchez à quelque chose de particulier, de précieux. Notez la capacité que vous avez de contacter les animaux, de les contacter réellement par le Cœur et par l’observation-contemplation.

(…)

Les animaux sont là aussi pour vous aider à guérir beaucoup de peurs. Vous pouvez choisir de les éloigner de vous ou vous pouvez choisir de travailler tout doucement, progressivement à guérir vos peurs. La peur ou les peurs liées aux animaux sont souvent des projections, l’animal était là dans une situation de cette vie ou que dans une autre vie, et très souvent vous avez rencontré vos propres peurs.

(…)

Les animaux vivent aussi toutes les poussées vibratoires, ils ressentent aussi le changement et ce sont des êtres dotés aussi de la capacité de choisir, différemment de vous les humains. Mais il est important de comprendre que cette planète offre l’extraordinaire possibilité de choix absolu, et n’allez surtout pas croire que sur toutes les possibilités des planètes d’incarnation il y ait cette possibilité absolue, aucunement.

(…) 

Le peuple animal est géré par une conscience planétaire, appelez ceci une âme planétaire pour les animaux, nous préférons appeler ceci un grand courant ou un archétype planétaire et cet archétype planétaire inclut toute la diversité du peuple animal passée, présente et future. Cet archétype planétaire concernant le peuple animal, et nous pourrions aussi dire grâce à l’archétype planétaire concernant aussi l’être humain physique passé, présent, futur, permet aux formes de vie existantes sur une planète de croître évidemment au cours d’un cycle de vie, mais aussi de muter, de se transformer. Donc cet archétype planétaire, il est là, il émane aussi et il influence les êtres humains. Il influence directement l’archétype des animaux grâce à cette interdépendance ou à cette intercommunication au niveau des archétypes planétaires, c’est pourquoi il y a la possibilité entre les différentes formes de vie de communication, de liens d’Amour même, d’une plus grande compréhension et d’une plus grande collaboration.

(…) 

Grâce au lien de communication avec ces archétypes, il est possible qu’il y ait une communication entre vous et les animaux. N’allez surtout pas croire que, si vous avez un animal domestique, il comprenne tous les mots que vous lui dites. Il saisit par télépathie supérieure parce que l’animal a des sens sensoriels internes et externes bien développés. Pas tous les sens, mais au niveau de la télépathie, pour certains au niveau clair-ressenti évidemment, l’instinct que vous pourriez relier à l’intuition et aussi à la claire-audience, les jeunes animaux entendent par claire-audience leurs parents. Il y a tout un contact qui se fait entre les membres d’une communauté par télépathie, par clair-ressenti et ainsi de suite… donc leurs sens sont très développés.

(…)

Beaucoup d’êtres humains se sentent appelés vers le peuple Animal et si vous vous sentez appelé et bien vous pouvez travailler à partir de l’Archétype, c’est-à-dire émaner de l’Amour vers l’Archétype du peuple Animal en leur transmettant tout simplement des messages de fraternité, des messages de gratitude, des témoignages aussi de vos expérimentations envers leur peuple. Contactez sur une base respectueuse le peuple animal, une variété du peuple animal ou plusieurs variétés à travers le peuple animal. Visez intérieurement à entrer en contact avec ceux-ci uniquement dans le but de fraterniser. Donc, si vous êtes une personne qui aimez profondément, qui avez un Amour du peuple animal et que vous vous sentez interpellé à soutenir ces autres formes de vie, et bien faites-le à distance, faites-le à travers votre animal, à travers la conscience que vous avez des animaux, faites-le à travers le partage que vous faites aux autres êtres humains, faites-le au niveau planétaire en ensemençant vos méditations et visualisations ! Visualisez que vous répandez autour du peuple animal beaucoup d’Amour et ceci sera très productif.

Le peuple animal est un peuple qui est digne du plus grand respect de tous les êtres humains. N’oubliez pas… qu’ils sont des Maîtres pour vous, comme vous êtes des Maîtres pour eux. Ils ont autant à vous apprendre, à vous apporter que vous pouvez leur apporter et leur apprendre

Dites-vous bien qu’au niveau de l’expression de sagesse pure, certains d’entre eux ont atteints des niveaux très élevés, de compassion, de respect, d’humilité, de don de soi… Chaque forme de vie existe pour enrichir tout ce qui est autour, laissez-vous enrichir par le peuple animal et permettez qu’à l’intérieur de vous s’exprime votre bonté, votre gratitude, votre respect, votre fraternité envers ceux-ci.

L’être humain est en train de cumuler une grande dette karmique envers le monde animal. Ce qui est merveilleux, c’est qu’au cours du présent âge, le niveau de conscience s’accroissant, de plus en plus d’individus vont choisir de cohabiter en paix avec le peuple animal, vont choisir de retourner regarder ce peuple pour retrouver le sens du Sacré. Ces bêtes ne sont pas bêtes. Ces bêtes sont de sages et précieux Maîtres.

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Brevet sur les animaux

Posté par othoharmonie le 30 novembre 2013

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Dans une lettre ouverte à l’OEB, Misereor, Swissaid, la Déclaration de Berne, Pas de brevet sur le vivant!, Greenpeace et les associations paysannes italienne (Coldiretti), argentine (Federación Agraria Argentina) et indienne (Bharat Krishak Samaj) appellent l’OEB à prendre une décision de principe qui interdit l’octroi de brevets sur des plantes issues de méthodes conventionnelles d’obtention. Avec un site web commun www.no-patents—on—seeds.org , l’alliance rend publique cette protestation et recherche d’autres soutiens. D’autres associations paysannes d’Espagne, de Suisse, du Nicaragua, du Pérou et du Brésil l’ont déjà rejointe.

«Nos animaux et nos semences sont le résultat de sélections opérées durant des centaines d’années par les agriculteurs», déclare Krishan Bir Chaudhary, le président de l’Association paysanne indienne Bharat Krishak Samaj. «Les multinationales exproprient les petits paysans dans les pays en développement par le biais des brevets.»

La Grande Chambre de Recours de l’OEB prendra sa décision de principe lors du réexamen d’un brevet sur le brocoli déjà en vigueur (EP 1069819 B1). La décision de la Grande Chambre de Recours servira de précédent à tous les autres brevets sur des plantes conventionnelles. L’octroi de ce brevet ouvrira la porte à un flot de nouveaux brevets sur les plantes et les animaux. Les plantes brevetées dans l’agriculture ne seront plus l’exception, mais deviendront la règle Les détenteurs de brevets pourraient contrôler l’obtention ultérieure de plantes et d’animaux ainsi que leur utilisation dans l’agriculture. L’OEB organisera probablement une audition publique dans le courant de cette année, mais la décision ne tombera qu’en 2008. En cas d’acceptation de brevets sur des procédés conventionnels d’obtention des plantes et des animaux, de nombreux recours contre les brevets resteraient largement sans effet à l’avenir.

«A cause du brevet sur le brocoli, les marchands pourraient s’approprier toute la nature vivante», estime Christoph Then de Greenpeace Allemagne. «Le droit des brevets se transformerait en une pieuvre gigantesque, dont les tentacules enserreraient les plantes et animaux qui sont la base de l’alimentation mondiale et les soumettrait au contrôle des multinationales.» 

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Langage des animaux : mythe ou réalité ?

Posté par othoharmonie le 30 novembre 2013

(D’après « La Science française », paru en 1893)

 

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Le sujet d’une émission raisonnée chez l’animal n’est point nouveau. Dans l’antiquité, on croyait à leur âme : ainsi de Platon et Flavius Josèphe quiont cru au langage et à la raison des bêtes. Saint Basile lui-même dit dans son Homélie du Paradis terrestre, dont il fait une belle description, qu’il était peuplé de bêtes qui s’entendaient entre elles et qui parlaient sensément.

Nous pourrions citer bien d’autres auteurs, mais cela nous mènerait trop loin. Dupont de Nemours a cherché à comprendre et à traduire la langue de quelques animaux et surtout le chant des oiseaux ; et, bien que ses opinions soient hasardées, elles doivent du moins fixer l’attention sur une foule de faits curieux, car il est certain que les animaux, vivant en société ou en famille, doivent avoir quelques moyens de s’entendre et de se communiquer leurs idées.

C’est, selon cet observateur curieux, une erreur de croire que les oiseaux répètent toujours le même son. II assure que le croassement des corbeaux ne comprend pas moins de vingt-cinq mots différents, que voici :

Cra, cré, cro, cron, cronon.
Grass. gress, gross, gronss, grononess.
Crac, crea, crae, crona, groness.
Crao, creo, croe, crone, gronass.
Craon, creo, croo, crono, gronoss.

« Si nous pensons, ajoute Dupont, qu’avec nos dix chiffres arabes, qui sont dix lettres, dix mots, en les combinant deux à deux, trois à trois, quatre à quatre, on forme les chiffres diplomatiques de 100, de 1000, de 10000 caractères, et si on les combinait de cinq à cinq, on en ferait un chiffre de 100000 caractères, ou de plus de mots que n’en a aucune langue connue, on aura moins de peine à comprendre que les corbeaux puissent se communiquer leurs idées. Leurs vingt-cinq mots suffisent bien pour exprimer là, droite, armé, froid, chaud, partir, je t’aime, moi de même, un nid, et une dizaine d’autres avis qu’ils ont à se donner, selon leurs besoins. »

Le chien n’emploie que des voyelles, et quelquefois, mais seulement dans la colère, les deux consonnes get z. Le chat emploie les mêmes voyelles que le chien, et de plus six consonnes, m, n, g, r, v, f. Les araignées emploient deux voyelles et deux consonnes, puisqu’elles prononcent les mots tak et tok.

A propos du chant des oiseaux, Dupont continue ainsi : « Cette énergique accentuation du discours tient à la surabondance de l’amour. Les oiseaux ne peuvent trouver cette force énorme dans leurs muscles, si frêles, que par un excès de vie dont les éléments donnent à leur amour une extrême ardeur. En pareil cas, il ne suffit pas d’aimer, il faut ajouter à la pensée même par les intonations et le rythme. C’est ce qui fait nos poètes et ce qui rend nos oiseaux musiciens. »

Le coq parle la langue de ses poules, mais, de plus, il chante sa vaillance et sa gloire. Le chardonneret, la linotte, la fauvette, chantent leurs amours. Le pinson chante son amour et son amour-propre ; le serin, son amour et son talent réel. Le mâle alouette chante un hymne sur les beautés de la nature, et déploie toute sa vigueur lorsqu’il fend les airs et s’élève aux yeux de la femelle qui l’admire. L’hirondelle, toute tendresse, toute affection, chante rarement seule, mais en duo, trio, en quatuor, en sextuor, en autant de parties qu’il y a de membres dans la famille sa gamme n’a que peu d’étendue et pourtant ce petit concert est plein de charmes.

Le rossignol a trois chansons : celle de l’amour suppliant, d’abord langoureuse, puis mêlée d’accents d’impatience très vive, qui se termine par des sons filés, respectueux, qui vont au cœur. Dans cette chanson, la femelle fait la partie en interrompant le couplet par des sons très doux, auquel succède un oui timide et plein d’expression. Elle fuit alors, mais les deux amants voltigent de branche en branche, le mâle chante avec éclat très peu de paroles rapides, coupées, suspendues par des poursuites qu’on prendrait pour de la colère : aimable colère !… C’est sa seconde chanson, à laquelle la femelle répond par des mots plus courts encore : Ami, mon ami.

Enfin on travaille au nid : c’est une affaire trop grande, on ne chante plus. Le dialogue continue, mais il n’est que parlé, et on y distingue à peine le sexe de ces interlocuteurs. C’est après la ponte que, perché sur une jeune branche voisine de celle qui porte sa famille, un peu au-dessus d’elle, battant la mesure par le petit mouvement qu’il imprime au rameau, et quelquefois par un léger mouvement des ailes, il distrait sa compagne des soins pénibles de l’incubation par les charmes d’une harmonie indicible.

Les deux couplets suivants rappelleront peut-être les vers de Du Bartas, qui essaya par des onomatopées bizarres de figurer le chant de l’alouette : du moins ceux-ci rendent en partie ce qu’en musique on appelle motif : c’est tout ce qu’il était possible de faire.

Dors, dors, dors, dors, ma douce amie,
Amie, amie,
Si belle et si chérie ;
Dors en aimant,
Dors en couvant,
Ma belle amie,
Nos jolis enfants,
Nos jolis, jolis, jolis, jolis, jolis,
Si jolis, si jolis, si jolis
Petits enfants.
(Un silence)

Mon amie,
Ma belle amie,
A l’amour,
A l’amour ils doivent la vie.
A tes soins ils devront le jour.
Dors, dors, dors, dors, ma douce amie,
Auprès de toi veille l’amour,
L’amour,
Auprès de toi veille l’amour.

Le rossignol cherche la solitude. Cependant on ne trouve point cet oiseau dans l’intérieur des grandes forêts, ni surtout dans les montagnes couvertes de sapins. Cet oiseau sédentaire se tient dans les-bosquets ou sur la lisière des bois.

Un observateur s’est assuré que la sphère remploie par la voix du rossignol n’avait pas moins d’un tiers de lieue de diamètre, lorsque l’air était calme, et Beichstein est parvenu à rendre assez exactement, par les combinaisons de nos lettres, l’effet produit par le rossignol. Beichstein recommande de les siffler et d’essayer de prononcer en sifflant les sons indiqués par les lettres.

Voici la chanson du rossignol dans la langue de ces oiseaux. C’est vraisemblablement l’original rossignolier dont Dupont nous a donné la traduction en français.

Tiouou, tiouou, tiouou, tiouou,
Shpetiou tokoua,
Tio, tio, tio, tio,
Kououtio, kououtio, kououtio, kououtio,
Tsii, tsii, tsii, tsii, tsii, tsii, tsii, tsii, tsii, tsii,
Kouorortiou, Tskoua pipistkouisi,
Tso, tso, tso, tso, tso, tso, tso, tso, tso, tso, tso, tso, tsirrhading !
Tsisi si tosi si si si si si si si,
Tsorre tsosrre tsorse tsorrchi ;

Tsatn, tsatn, tsatn, tsatn, tsatn, tsatn, tsatn,tsi.
Dlo dlo dlo dla dlo dlo dlo dlo dlo
Kouioo trrrrrrrrtzt.
Lu lu lu ly ly ly lil li li li
Kouio didl li loulybi.
Ila guour guour, koui kouio !
Kouio, kououi kououi kououikoui koui koui koui
Ghi, ghi, ghi.
Gholl gholl gholl gholl ghia hududoi.
Koui koui horr ha dia dia dillhi !
Hets, hets, hets, hets, hets, hets, hets, hets, hets,
hets, hets, hets, hets, hets, hets.
Touarrho hostehoi.
Kouia kouia kouia kouia kouia kouia kouia kouiati ;
Koui koui koui io io io io io io io koui
Lu lyle lolo didi io kouia.
Higuai guai guay guai guai guai guai guai kouior tsio tsiopi.

Jeunes lecteurs, chantez, égayez-vous en accompagnant les oiseaux qui s’ébattent au printemps.

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L’étonnant pouvoir des animaux

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2013


de Gordon Smith

 Par son travail de médium, Gordon Smith est reconnu à travers le monde pour la transmission de messages précis de la part des êtres décédés. Très souvent, lors de ces transmissions, il n’y a pas que les parents ou amis décédés qui se présentent à Gordon afin de communiquer avec leurs bien-aimés. Les animaux qui ont vécu en étroite relation avec les personnes reviennent les visiter après leur mort. Gordon Smith relate pour nous quelques-uns des cas les plus marquants et étonnants qu’il ait vécus concernant la visite d’animaux décédés, tout en nous expliquant le phénomène et les différentes raisons pour lesquelles nos animaux préférés continuent de vivre dans notre entourage.

L'étonnant pouvoir des animaux dans XXX - ARTICLES DE PRESSE etonnant-pouvoir-des-animaux-500x550Gordon Smith ne s’intéresse pas qu’à la survie animale. Il est également très sensible à toutes les manifestations inusitées qu’il remarque chez les animaux, que ce soit la compassion dont ils savent faire preuve, les dons de télépathie et de clairvoyance qu’ils semblent posséder et leur instinct remarquable.

Touchantes et intrigantes, les histoires relatées dans le livre et les explications de Gordon Smith nous démontrent non seulement la survie après la mort de nos animaux préférés et le rôle qu’ils continuent à jouer auprès de nous, mais également toute l’intensité de leur vie intérieure.

Au sommaire

Introduction
Ch.1 – Animaux et autres membres de la famille
Ch.2 – Un sixième sens ?
Ch.3 – Compassion animale
Ch.4 – Liens entre animaux
Ch.5 – Synchronicité animale
Ch.6 – Personnes qui peuvent parler aux animaux
Ch.7 – Télépathie
Ch.8 – Les animaux, l’esprit et la guérison
Ch.9 – Messages de l’au-delà
Ch.10 – Réincarnation ?
Ch.11 – Charlie
Ch.12 – Compagnons spirituels

Quelques extraits

Ces morceaux choisis proviennent des chapitres que l’éditeur a eu l’amabilité de m’envoyer. Une fois le livre acheté, je ferai une mise à jour de ce post et j’ajouterai alors probablement d’autres passages issus des chapitres suivants.

Des extraits du chapitre 2 : Un sixième sens ?

En commençant ce livre, j’ai demandé à mes amis de partager avec moi leurs histoires d’animaux et du monde des esprits. Résultat : j’ai reçu plein de courriels dont les remarquables récits mettaient en vedette toutes sortes d’animaux, des porcs ventrus aux perruches. Tous ont bien voulu les partager avec vous aussi. Il fut très difficile de choisir parmi tous ces récits assez uniques. D’entre les nombreux thèmes qui en émergent, je vous parlerai d’abord d’une sorte de «sixième sens» qu’avaient en commun plusieurs des animaux de compagnie. Tous avaient détecté quelque chose bien avant que les gens qui les côtoyaient aient remarqué quoi que ce soit. Très souvent, leur premier instinct était de protéger ou d’être avec les humains qui leur étaient chers. Ce sixième sens est-il naturel ou surnaturel ?

Le premier récit vient de Kevin Wiggill de Benoni, en Afrique du Sud. ../..

../.. Un jour, j’ai couru dans le jardin dès que [la chienne Bonnie] a aboyé. Grondant en montrant les dents devant le jardin d’herbes aromatiques, elle tournait en rond autour d’un enfant de cinq ans appartenant à une famille logeant à notre auberge. Quelque chose n’allait pas et Bonnie cherchait clairement à empêcher l’enfant d’entrer dans cette partie du jardin, en s’interposant entre lui et le jardin d’herbes pour ensuite s’éloigner un peu et aboyer férocement dans la direction des herbes.

Prenant l’enfant dans mes bras, je l’ai emmené à ses parents pour ensuite retourner voir ce qui troublait Bonnie. À ma surprise, j’ai découvert un serpent de deux mètres – un cracheur – caché parmi les plantes. S’il avait mordu l’enfant, il l’aurait sûrement tué. Bonnie avait donc protégé l’enfant. Qu’est-ce qui l’a poussée à le faire ? Quelle force invisible de la nature lui a fait prendre ce risque ?

De toute évidence, les sens très développés de Bonnie l’ont aidée à repérer le serpent caché. Mais, avant tout, l’histoire de Bonnie est à mes yeux un excellent exemple du naturel des animaux. Ce n’était pas une force de la nature qui opérait à travers elle, mais quelque chose de plus pur encore – l’instinct de protéger un enfant qu’elle connaissait à peine imprégnait chaque fibre de son être. Un humain aurait peut-être pris le temps de considérer la possibilité que le serpent l’attaque ou de repasser dans sa tête les impondérables négatifs. L’animal, lui, n’est prisonnier ni de la logique ni du doute.

La réaction purement instinctive de Bonnie est un phénomène presque quotidien qui survient de diverses façons, si nous regardons de plus près nos animaux. Les aboiements de votre chien vous semblent peut-être irritants, mais ils révèlent simplement qu’il se soucie de votre bien-être. ../..

../.. Anita Robertson de Keighley, en Angleterre, m’a parlé d’un autre chien qui prédit l’avenir.

Ann, la mère de mon amie, m’a un jour raconté une histoire dans laquelle son golden labrador joue un rôle. Par un dimanche d’hiver, ses beaux-parents sont arrivés comme d’habitude pour le dîner. Curieusement, ce jour-là, le chien ne laissait pas la belle-mère d’Ann tranquille. Alors qu’elle était assise à la table et mangeait, le chien mit sa tête sur ses genoux et lorsqu’elle se dirigea vers le divan, il alla s’asseoir à ses pieds, gémissant. À la fin, on l’envoya au jardin.

Plus tard dans la soirée, une fois les beaux-parents partis, Ann ouvrit la porte d’entrée pour sortir les pintes de lait. Sortant à toute allure de la maison, le labrador en profita pour s’enfuir. Comme ce chien était si dorloté qu’on lui donnait chaque jour de la viande hachée fraîche et beaucoup d’amour et d’attention, son comportement n’avait pas de sens. Affolée, Ann mit aussitôt ses souliers et appela son mari, Roy. Le couple partit alors à la recherche du chien dans les rues mal éclairées. Le sort du labrador les préoccupait puisqu’ils habitaient dans un endroit où les routes étaient achalandées et qu’ils ne le laissaient jamais errer seul, mais le tenaient toujours en laisse.

Quoi qu’il en soit, revenant bredouilles, ils espéraient que le chien les attendrait devant la porte. Ce n’était pas le cas. Le téléphone sonna alors; c’était la belle-mère d’Ann qui lui dit : «Tu ne me croiras pas, mais ton chien est ici et il refuse de me laisser seule.» Comme il était vingt-deux heures, Ann et son mari ont décidé d’aller chercher le chien le lendemain.

Quelques heures plus tard, Ann et Roy reçurent un appel du père de ce dernier. La belle-mère d’Ann avait eu un malaise et était morte aussitôt après leur avoir parlé – sans préavis, sans maladie, elle était simplement partie. Le docteur leur avait expliqué qu’elle souffrait d’un anévrisme cérébral. Selon Ann, le chien savait que sa belle-mère allait mourir et était donc allé la réconforter.

Ce labrador me rappelle Oscar, le chat qui visite les mourants de la maison de retraite, mais il y a une différence importante. Certains biologistes spéculent qu’Oscar sait réconforter les patients âgés, car il peut détecter les symptômes physiques du fait qu’ils vont quitter leur corps. Or, la belle-mère d’Ann était décédée à l’improviste et d’une condition sans symptômes physiques apparents.

Les animaux sont reliés à la mort de façon plus subtile que les humains. Ils savent quand un des leurs va mourir et s’il faut les réconforter ou les laisser seuls. De plus, ils savent souvent quand ils vont eux-mêmes mourir. Il n’est pas inhabituel pour les chats, par exemple, de s’en aller sans bruit lorsque sonne leur dernière heure. ../..

Un extrait du chapitre 3 : La compassion

../.. Voici une histoire que nous a racontée Bill et dont je me souviens.

Un jour, alors qu’il voyageait à l’étranger en quête d’informations, Bill observait un éléphant qu’on utilisait pour poser les fondations d’un nouvel édifice. Sur l’ordre de son maître, il prenait un énorme poteau de bois dans sa trompe et, après l’avoir verticalement redressé, le faisait descendre avec précaution dans un orifice.

Tout se déroulait bien lorsque le mastodonte s’arrêta. Son maître le frappa alors en criant, mais l’animal refusait de bouger. Tenant fermement le tronc d’arbre dans sa trompe, il ne voulait pas le poser. Tous se mirent à crier et à l’injurier tout en le tirant dans tous les sens, mais l’éléphant restait planté là.

Finalement, tous sont allés voir dans le prochain trou s’il ne contenait pas quelque chose qui effrayait l’animal. Quelques mètres plus bas, tout au fond, se trouvait un petit chat, qui était tombé là de toute évidence. Si l’éléphant y avait laissé tomber le tronc, le chat aurait été écrasé. Lorsque les ouvriers ont retiré ce dernier du trou à la vue de l’éléphant, le travail a repris et l’éléphant de nouveau obéissait à leurs ordres sans faire d’histoires.

Pourquoi l’éléphant s’est-il fait du souci pour le chaton ? Ce dernier ne pouvait pas lui servir de nourriture, pas plus qu’il ne pouvait l’aider ou lui être utile. Et Nellie n’aurait certes pas pris un chat pour un autre éléphant. Bill fut le témoin d’une forme très animale d’empathie qui permit à l’éléphant d’établir un lien profond avec le chaton et d’avoir peur de le blesser. Dès qu’il réalisa la situation, il n’a pu que le protéger. ../..

 Procurez vous le livre…. http://www.librairie-odyssee.net/ltonnant-pouvoir-des-animaux

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Les animaux et le paranormal

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2013


Les animaux et le paranormal dans XXX - ARTICLES DE PRESSE images-11Bien que nous soyons en haut de la hiérarchie animale, nous gardons en héritage de la lointaine période où nous marchions à quatre pattes des tré­sors que nous n’exploitons pas ou plus. Les phéno­mènes paranormaux sont-ils des réminiscences de ces temps où l’homme était à la fois prédateur et gibier ? Avoir la prémonition d’un danger imminent,  sentir  qu’un membre du groupe est en danger, bref toute une série de capacités qui garantissaient une survie dans un milieu hostile.

De nos jours, ces capacités primitives ne sont plus utiles (quoique, dans certaines grandes villes…) Elles se sont atrophiées et ne surgissent que dans de rares cas et chez quelques personnes. En revanche, les animaux que nous côtoyons, les chats, les chiens et autres ont sans doute gardé ces capacités actives.

Leur observation est d’autant plus facile que la France se classe au second rang des pays européens concernant le nombre de foyers ayant un animal de compagnie. En effet selon les chiffres datant de 2006, 52 % de foyers français ont un ou plusieurs animaux de compagnie.

Nous sommes juste derrière le Danemark et les Pays-Bas et juste devant la Grande-Bretagne, l’Italie ou encore l’Irlande. Notre pays compte pas moins de 68 millions de chats, chiens, oiseaux, rongeurs ou animaux exotiques en tout genre. Les stars incontes­tables des familles françaises sont depuis longtemps les chiens et chats, ceux-ci représentent près de 46 % des animaux domestiques. On compte en France aujourd’hui 1,5 chat par foyer contre 1,3 chien par foyer. Enfin, les analystes estiment à 40 milliards d’euros, en 2003, la valeur du marché mondial des animaux de compagnie. Dans le domaine social, l’animal de compagnie est un objet d’attachement dont la présence est rassurante. Il participe à rompre la solitude et l’isolement. C’est une aide précieuse pour certaines catégories de la population, comme les personnes âgées et les enfants.

Les témoignages ne manquent pas lorsqu’il s’agit de nos amis animaux. Il n’est pas un vétérinaire ou propriétaire qui n’ait une anecdote mettant en lumière certaines capacités étonnantes de nos compagnons.

Certains chiens ou chats retrouvent leurs maîtres après avoir parcouru des distances incroyables et traversé des lieux qu’ils n’avaient jamais vus aupa­ravant. D’autres «sentent» l’imminence du retour de leur maître ou maîtresse une dizaine de minutes avant qu’ils ne franchissent le seuil de la maison alors que rien ne laisse présager ce retour.

Parmi eux, il existe des surdoués comme N’Kisi, ce perroquet gris du Gabon, qui fait les mêmes rêves que sa maîtresse ou qui perçoit les images qu’elle voit.

Vous découvrirez dans cet ouvrage que les pous­sins peuvent développer des talents de télékinésies (déplacer un objet avec la force de son esprit) tout à fait incroyables. Le Dr René Péoch en a fait la démonstration scientifique. Vous découvrirez éga­lement plusieurs témoignages mettant en avant ce lien étroit entre l’homme et son animal, un lien qui a été le support, le vecteur de transmission de mes­sages d’esprit à esprit.

Cela étant, il ne faut pas confondre certaines capacités qu’ont les animaux à prévoir des dangers comme un tsunami ou un tremblement de terre avec des capacités paranormales.

Des exemples de ce type abondent. Citons ces animaux d’un zoo qui, un soir, ce sont tous mis à dormir en dehors de leurs abris bâtis qui, quel­ques heures plus tard, étaient détruits par un trem­blement de terre. Nous pouvons aussi revenir sur ce terrible tsunami qui a ravagé récemment les côtes d’Asie du Sud-Est. Habituellement poissonneuse, les pêcheurs furent surpris de constater, dans cette zone côtière, quelques heures avant le drame, que tous les poissons avaient déserté. À terre, les récits faisant état des animaux qui fuirent sur les hauteurs furent également nombreux. Par exemple, les élé­phants du parc touristique de l’île de Phuket, se sont libérés de leurs chaînes pour aller se réfugier dans la forêt peu de temps avant l’arrivée de la vague. Il n’y a rien de paranormal à cela, les animaux ont encore activé en eux cette capacité à sentir le danger arriver. Des microsecousses ont pu en alerter une partie, une variation subite de la pression atmosphé­rique en alerter une autre et enfin un changement inhabituel de courant sous-marin ou la perception de signes sismiques ont prévenu toute la gente aqua­tique.

Tous les êtres vivants ont capté les signaux d’alerte, tous sauf les humains. Pourtant, nous som­mes, nous aussi, des animaux (le plus évolué disent même certains) et nous n’avons rien senti venir alors que cette capacité est en nous mais reste totalement atrophiée et inexploitée. Nous sommes des mammi­fères et contrairement aux chiens ou aux chats nous ne faisons plus appel à ces facultés particulières. Nos sociétés sont plus sûres que la jungle arpentée par notre lointain grand-père l’homme de Néandertal et du coup, nos sens liés à l’instinct de survie sont moins sollicités et s’atrophient peu à peu. Ce constat nous mène à poser la question suivante : étudier les capacités paranormales des animaux, n’est-ce pas étudier nos capacités paranormales? N’est-ce pas étudier cette partie animale qui est en chacun de nous ? N’est-ce pas étudier cette partie commune à tous les êtres vivants, cet héritage originel qui, une fois redécouvert, nous donnera, peut-être, accès au paradis perdu.

 Voir le livre ici

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Nos Animaux, Amis de nos Maux

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2013

Nos Animaux, Amis de nos Maux dans XXX - ARTICLES DE PRESSE images-10

Lorsque je suis sorti de l’école vétérinaire, il y a environ trente-cinq ans, je me suis senti comme tout jeune diplômé, j’imagine, prêt à soigner toutes les maladies de tous les animaux. Après de si longues étude,s rien en pouvait échapper à nos connaissances ! 

Hélas, lors de la première consultation avec mon « maître d’apprentissage », j’ai entendu de sa propre bouche : « après tout ce qui a été fait pour votre animal, on ne peut plus rien ». Je suis tombé de très haut. Comment comprendre qu’un vétérinaire, pratiquant son art depuis une trentaine d’années, puisse avouer une telle impuissance ? Ce n’était pas ce que j’avais appris à l’école, bien au contraire, l’arsenal thérapeutique étant chaque année plus performant, la science devait pouvoir résoudre tous les problèmes.

Il m’a fallu longtemps pour réaliser que cette phrase de mon « maître » se confirmait de jour en jour, consultation après consultation. J’ai donc décidé de chercher « ailleurs ».

C’est alors que j’ai entendu parler d’homéopathie par des éleveuses de chèvres. Elles soignaient elles-mêmes leurs animaux de cette manière et obtenaient de très bons résultats. Les vrais éleveurs de chèvres conduisent leurs animaux au pâturage tous les jours et les observent. Cette attention constante leur permet de réaliser combien chacun d’eux est unique et nécessite une approche différente, adaptée. J’ai donc entrepris une formation en homéopathie et les chèvres m’ont permis de tester les effets de cette médecine alternative.

Mal à dire. Qui le dit ?

Très rapidement, j’ai pu adapter cette pratique à toutes les espèces animales (et humaines !) l’important étant de s’intéresser à ce qui rend l’individu « différent ». Hahnemann, l’inventeur de l’homéopathie, disait qu’il faut regarder non pas la maladie mais le malade dans ce qui le rend « rare, bizarre ou étrange ». Cette approche oblige le médecin ou le vétérinaire à s’intéresser à l’individu dans son intégralité, à pratiquer une médecine holistique. Actuellement plus personne n’ignore les bienfaits de l’homéopathie. Cependant, j’ai constaté qu’elle montre ses limites lorsque l’intégrité de l’individu n’est plus respectée et que trop de tensions physiques et psychiques entrent en jeu. J’ai donc fait appel à d’autres techniques. L’ostéopathie, particulièrement dans son approche énergétique, m’a beaucoup aidé. Puis, au « toucher ostéopathique », j’ai ajouté le ressenti énergétique de l’AURA (Pranathérapie). Très vite alors, j’ai pu ressentir ces zones de tensions qui entraînent les « MAL à DIRE » de nos animaux et donc de leurs maîtres.

Tel chien, tel maître

Le mot vient d’être lâché. En effet, si nous avons tant d’échecs dans nos soins aux animaux malades, c’est parce que nous ne voulons soigner (soi nié) que ce que le malade veut bien nous montrer. En répertoriant au fil des années les différents symptômes que les animaux présentaient, j’ai compris que j’entrais rapidement dans l’intimité u maître, que l’animal était souvent « l’éponge de son maître ». Nous avons tous déjà remarqué, en croisant des couples maître/chien, combien les deux se ressemblaient physiquement. Il en est de même intérieurement. Il suffit de savoir comprendre le message de l’animal. Derrière un animal en pleine santé, nous aurons la chance d’avoir un maître plutôt bien portant, dans un état très proche du « bien-être ».  Mais lorsqu’un animal malade m’est présenté, je découvre rapidement un maître souffrant.

Une main à l’écoute…

Je parle, bien sûr, des animaux de compagnie que je côtoie le plus souvent, comme le chat, le chien et le cheval en priorité. Je constate toujours une plus grande sensibilité pour le chat que l’on peut appeler « ce malade silencieux ». Quand un animal n’est pas bien depuis un certain temps, que toutes les analyses ont été faites et les traitements nécessaires effectués, souvent sans résultats, le couperet tombe ; « on ne peut plus rien faire pour lui ». J’ai alors l’impression que l’animal attend « la main qui l’écoutera » pour pouvoir livrer son secret car il s’agit bien là d’un fardeau trop lourd à porter que l’animal endure depuis longtemps, par « sympathie » avec son maître.

Très souvent, le maître reçoit le message de son animal qui jour alors en quelques sorte, un rôle de thérapeute. En effet, on ne vient pas me consulter par hasard. N’est-ce pas ce fameux clin d’œil du Bon Dieu qui place les bonnes personnes au bon moment et au bon endroit ? Toutefois, il est très important et évident que le maître doit être prêt à entendre le message dont son animal est porteur et qui va mettre en lumière son propre mal-être profond. Par sa propre maladie, l’animal veut l’entraîner sur le chemin de la guérison. Lorsque celui-ci n’est pas prêt à entendre ce que l’animal l lui suggère, quelques dommages collatéraux sont à craindre. Si le maître ne se sent en rien responsable ou pas encore prêt à encaisser les conséquences utiles au changement, la guérison durable ne pourra s’accomplir. S’il attend tout du vétérinaire et que l’animal ne guérit pas, celui-ci devient alors un incapable et un charlatan.

Victoria, un sauvetage douloureux.

Moi-même, je n’ai pas toujours été à l’écoute de l’animal et n’ai pas toujours su dire les paroles qu’il fallait, au moment où i l le fallait, pour sauver un animal, ou son maître. C’est ainsi qu’il m’a été donné d’adopter une chatte nommée Victoria. Cette petite chatte persane était destinée à enrichir sa propriétaire par la production de chatons de race. Cette dame possédait donc un couple de chats Sacrés de Birmanie et un couple de chats Persans. Quand Victoria est arrivée, elle était en état d’anorexie depuis plusieurs jours et ne pesait plus qu’un kilo et demi au lieu de trois. Les soins hospitaliers n’apportaient aucune amélioration, surtout lorsque la propriétaire venait lui rendre visite en compagnie de ses deux filles. Elle rudoyait autant ses propres enfants que son animal. J’ai donc décidé de prendre Victoria à la maison. Elle s’est remise à manger progressivement. Au bout d’un mois, elle pesait 2,6 kilos et… nous l’avons rendue à sa propriétaire.

Quel message entendre ?

Six semaines plus tard, elle m’était ramenée, de nouveau en anorexie, ne pesant que 2,5 kilos alors qu’elle était gestante de cinq petits. A peine arrivée à la maison, elle a sauté de la voiture et s’est précipitée sur la nourriture. Elle a mangé pendant une demi-heure. Quatre semaines plus tard, elle adonné naissance à cinq chatons. Le plus gros pesait 45 grammes et le plus petit 25. Dans des conditions normales, le poids moyen d’un chaton à la naissance est de 75 grammes. J’ai réussi à en sauver deux qui sont de superbes mâles maintenant, les autres n’étaient pas viables. Hélas, pendant que Victoria allaitait ses petits, les trois autres chats de cette dame sont morts ; deux à cause d’ulcères de l’estomac perforés, le troisième s’est défenestré. Je me rendais bien compte que tous ces animaux vivaient dans le mal-être, mais je n’avais spas encore atteint, à l’époque, la capacité énergétique de faire passer un message de guérison au maître au contraire, j’était souvent moi-même en colère de voir tant d’énergies négatives laissées livres. Je pense maintenant que  j’aurais pu essayer de faire passer un message de guérison et d’amour, au lieu de laisser ces animaux venir se faire « soi niée » et mourir d’une « vraie maladie » ou d’un « malheureux accident ».

S’accompagner pour comprendre

En écrivant ce lignes, je me rends compte que je suis passé à côté de nombreuses possibilités de guérir, mais j’avais aussi à cheminer personnellement vers cette compréhension qui m’a permis de faire évoluer mon « Art de GERIR ». je ne réalise d’ailleurs pas vraiment comment cette évolution s’est faite, car elle s’est faite naturellement, un peu comme la lumière du jour qui se lève et devient progressivement de plus en plus forte. La manière dont j’abord la maladie aujourd’hui est devenue tellement naturelle que je ne vois pas comment il pourrait en être autrement, même si cela blesse quelques susceptibilités médicales.

Pour conclure

Je pense pouvoir parler ici de ma rencontre avec Jean-Claude Genel à qui je dois le plaisir de rédiger ces quelques lignes. L’animais une formation d’ostéopathie pour six vétérinaires. Lorsqu’un client arrivait,  son animal avait droit à sept paires de mains, avides de l’explorer, pendant que je m’entretenais avec le propriétaire. Jean-Claude est venu me consulter pour son chat pendant cette semaine de formation. Celui-ci a donc lui aussi profité de ces sept paires de mains. Dès le premier contact avec ce chat, j’ai très vite abordé le concept de l’empathie homme-animal et nous nous sommes tout de suite trouvés dans une intimité de réflexion qui nous a amenés à nous rencontre ultérieurement, avec Yannick Le Cam et ma compagne, pour parler de nos expériences relationnelles. Jean-Claude et Yannick m’ont demandé de mettre en mots, cette approche car m’ont-ils dit, « faire part de votre vécu de thérapeute, au-delà d’un discours enthousiasmant, pourrait intéresser d’autres personnes en recherche ».

Article de Marc LEGROS www.veterinairebuissandescaves.com

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Non au massacre des NUISIBLES

Posté par othoharmonie le 19 septembre 2013

 

 Non au massacre des NUISIBLES dans XXX - ARTICLES DE PRESSE images-5

Issu du site http://cousin.pascal1.free.fr/chasse/nuisibles.html

Ne sont pas traités le problème des rats et souris ni des insectes tués eux aussi massivement. 
En France tout animal peut être considéré comme « nuisible » (même s’il est dans la liste nationale des espèces protégées) par les pouvoirs publics. Mais les procédures sont diverses suivant l’espèce considérée. 
Toute la loi est organisée pour pouvoir tuer sans encombre tout animal considéré comme nuisible. Il ne faut pas trop s’attarder aux textes de lois qui de toute façon sont modifiés suivant les circonstances. Mais il reste un grand principe directeur : l’animal n’a aucun droit et dès qu’il gêne un groupe de pression divers il est systématiquement éliminé. C’est la seule solution qu’on a trouvée pour gérer la difficile cohabitation de l’homme civilisé et hyper-envahissant avec l’animal. Un peu facile non ?

LOIS FRANÇAISES
la liberté de tuer

logo dans XXX - ARTICLES DE PRESSE
Espèces protégées : autorisation ministérielle (domaine public et privé). 
Espèces sauvages diverses sans prescriptions particulières : autorisation préfectorale ou municipale (domaine public et privé). 
Espèces sauvages classées nuisibles dans le département choisies sur une liste nationale que les personnes privées peuvent tuer (souvent toute l’année) sur leur propriété. 
Espèces sauvages dites fauves que les personnes privées peuvent tuer sur leur propriété. 
Oiseaux domestiques considérés comme nuisibles que les personnes privées peuvent tuer sur leur propriété. 
Espèces sauvages « gros gibier » soumises à un plan de chasse obligatoire et à des battues ordonnées par le préfet ou par le maire sur délégation. 
Les animaux de compagnie ou domestique de rente abandonnés, euthanasiés au bout d’un délai de garde obligatoire. 
Les animaux domestiques ou sauvages propagateurs de maladies contagieuses : autorisation ministérielle.

D’un point de vu scientifique la notion de nuisibles n’a aucun sens. Les parasites d’une espèce non sujet de sollicitude (le plus souvent non domestiquée) ne sont pas qualifiés de nuisibles. Cette notion n’est donc pas utilisée en écologie, tous les animaux jouant un rôle dans leur écosystème. Un organisme nuisible est un organisme dont l’activité est considérée comme négative envers l’homme. Il peut s’agir de plantes, d’animaux, de virus, de bactéries, de mycoplasmes ou autres agents pathogènes. C’est un concept relatif à un lieu et à une époque : aujourd’hui, certaines espèces considérées autrefois comme nuisibles sont protégées et bénéficient parfois de programmes de réintroductions : c’est par exemple le cas en France de grands carnassiers comme le lynx, ou encore l’ours, du Hamster d’Europe ou de certains vautours. 

Dans la majorité des cas des méthodes indirectes de prévention suffisent à contenir les « nuisibles » sans les massacres de masses habituels mais encore faut-il s’en donner les moyens; mais c’est tellement plus facile de tuer! 

En fait il existe une grande variété dans la nocivité d »un animal. Quoi de commun entre un requin attaquant un homme, des termites détruisant une charpente et un pigeon biset de ville qui fiente sur le bord de votre fenêtre? S’ils sont tous considérés comme nuisibles ce n’est pas au même titre. 
Pour le requin : on peut considérer qu’il est normal de tuer un animal (sans le faire souffrir et si on ne pas d’autres méthodes disponibles) pour protéger sa vie. 

Si vous découvrez une maison infestée de termite, là aussi vous n’avez pas le choix car ces insectes sont de véritables nuisibles. Mais à l’avenir il faudrait privilégier les structures naturellement non cibles de ces animaux pour la construction (méthodes alternatives). 

Pour le pigeon cela devient plus que subjectif, tolérez-vous la nature, le vivant ou ne suivez-vous pas la tendance moderne hygiéniste qui ne supporte plus aucun animal. C’est une tendance profonde de notre civilisation technoscientifique où la population vit enfermée dans des bâtiments aseptisés autour de machines et communiquant sur de longues distances de manière instantanée avec des outils toujours plus raffinée. Un monde virtuel coupé de la nature et des animaux sauvages qui font peur et qu’on doit détruire. L’animal devient une machine, de la viande, une ressource, un vecteur de microbes, un danger, une nuisance, qu’on utilise, fait multiplier, détruit sans considération de sa valeur en soi, de sa richesse; plus aucun respect dans un monde obnubilé par le culte de la puissance de soi baigné de croyances pseudo-scientifiques matérialistes. Un réductionnisme matérialiste fatal pour les animaux. 

Dans la mouvance appropriatrice du vivant une nouvelle tendance conceptuelle a pris de l’ampleur ces dernières années. Les espèces invasives. On considère ici que les écosystèmes doivent être permanents et inchangés et qu’on doit intervenir pour les protéger en détruisant les nouveaux entrants indésirables. Une ineptie scientifique puisque les équilibres naturels sont impermanents par nature et les écosystèmes interdépendants. A l’époque de la mondialisation qui génère un déplacement toujours plus important des hommes il est normal que des espèces sauvages fassent de même. C’est inévitable. La mondialisation pour l’homme oui mais pas pour les animaux! Il va falloir en tuer beaucoup d’espèces invasives si on veut maintenir artificiellement les territoires isolés et inchangés, aux paysages simplifiés par l’activité humaine. 

En fait en asservissant égoïstement la nature à son appétit jamais satisfait l’homme détruit peu à peu celle-ci. 

Massacres en pure perte puisque selon certains experts : 
il est difficile de soutenir que l’expansion d’une minorité d’espèces exotiques puisse être à l’origine du bouleversement généralisé des écosystèmes et de la raréfaction des espèces spécialistes, en France et ailleurs. 


C’est bien plutôt la transformation massive des habitats depuis quelques décennies, due au changement d’usage des terres, à l’intensification de l’agriculture, au changement climatique, qui a fragilisé les espèces spécialistes ( en particulier celles des milieux agricoles) et permis l’expansion d’espèces généralistes ou adaptées aux milieux perturbés – qu’elles soient natives ou exotiques. Plus exigeantes sur leurs conditions de vie, les espèces spécialistes deviennent moins compétitives que les généralistes dans les habitats perturbés, et leur cèdent la place. 


La conversion de forêts en terres agricoles et la pollution des sols ne font pas que modifier la composition des communautés animales, végétales et microbiennes ; elles réduiront aussi considérablement le nombre d’espèces qui peupleront la biosphère.
 

Et si nous relâchions notre mainmise sur les êtres et les choses et renoncions à les asservir à nos projets et leur rendions leur liberté primitive, peut-être que nos entraves se briseraient

 

Retrouver la suite sur le site http://cousin.pascal1.free.fr/chasse/nuisibles.html

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Rigel le terre-neuve devient le héros du « Titanic »

Posté par othoharmonie le 19 septembre 2013

14 avril 1912.  en sauvant plusieurs naufragés.

Article Le Point.fr - 

Sur les dizaines de chiens à bord du paquebot, seuls trois survivent. Ils sont les grands oubliés de la catastrophe. Injustice !

Rigel le terre-neuve devient le héros du

Les êtres humains ont-ils un iceberg à la place du coeur ? Depuis un siècle, ils sanglotent sur les 1 500 hommes, femmes et enfants victimes du naufrage du Titanic, et se fichent royalement des milliers d’animaux martyrs qui ont partagé leur sort. On oublie que le paquebot est une véritable Arche de Noé. Pour cette première traversée, il compte à son bord une cinquantaine de chiens, quatre poules, un coq, une trentaine de poulets, un canari jaune, un petit cochon de compagnie et Margaret Thatcher… Sans compter les très nombreux passagers clandestins habituels : 6 000 rats, 350 000 cafards, 2 milliards d’acariens, selon le décompte d’un expert. Et encore, pour être complet, faut-il ajouter les dizaines de milliers de puces, morpions et autres sympathiques compagnons des voyageurs de troisième classe… La quasi-majorité d’entre eux mourront sans une plainte, sans un cri, en dignes héros. Sans même avoir droit à un couplet dans la chanson de Céline Dion ! C’est peut-être ça le plus dur…

Pas de chat à bord ? Si, une chatte tigrée nommée Mouser, qu’un chauffeur (l’homme chargé d’enfourner le charbon dans une des chaudières) nommé Big Joe avait embarquée à Belfast. Elle avait même mis bas quatre chatons, mais eut la bonne idée de quitter le navire à Southampton, juste avant le départ. Prémonition animale ? En tout cas, voyant sa protégée quitter le bateau, Big Joe y vit un signe du destin et chercha un autre engagement, ce qui lui sauva probablement la vie.

Minuscules chiens

De nombreuses races de chien sont représentées à bord, surtout parmi les plus snobs, car seuls les passagers de première classe ont les moyens de voyager avec leurs compagnons : bouledogues, loulous de Poméranie, chows-chows, terre-neuve, épagneuls, airedales… Pour les occuper, un défilé canin était même prévu sur le pont de la première classe, le 15 avril. Le projet est bien sûr tombé à l’eau. S’il y a un passager que ces Américaines snobinardes agacent avec leurs toutous, c’est bien le peintre et essayiste américain Francis Davis Millet. Il l’écrit à un ami dans une lettre qu’il poste à Queenstown, en Irlande, dernière escale du paquebot avant la traversée : « La plupart d’entre elles sont affublées de minuscules chiens-chiens, mais ce sont leurs maris qu’elles tiennent solidement en laisse, comme des agneaux bêlants. » Et encore Millet a-t-il échappé à Alain Delon, qui voulait embarquer avec ses trente-cinq chiens : « J’aurais tellement adoré mourir au milieu d’eux », gémit-il. C’est Rocco qui ricane…

Les chiens ont à leur disposition un chenil de luxe, situé derrière les cuisines de la troisième classe, où chacun possède sa niche. À tout moment, leurs maîtres peuvent les sortir pour effectuer une promenade sur le pont. Lors du choc avec l’iceberg, la majorité des chiens dorment dans « leur cabine », à l’exception de quelques-uns qui ont l’autorisation exceptionnelle de dormir avec leur maître. Tel Sun Yat-Sen, un petit pékinois appartenant à Henry Sleeper Harper et à son épouse Myra. Ce qui lui sauve la vie, puisqu’il peut embarquer avec son « papa » et sa « maman » à bord du canot n° 3. En revanche, Frou-Frou, petite chienne de race inconnue, est moins chanceuse, car sa maîtresse, en voyage de noces, l’abandonne dans sa cabine, croyant avoir moins de chances d’être acceptée à bord d’un canot de sauvetage si elle se présente avec elle. Kitty, une magnifique chienne airedale, fait également partie des victimes abandonnées à bord, mais au moins a-t-elle le réconfort de mourir en compagnie de son maître qui n’a pas trouvé de place à bord d’un canot. 

Le héros Rigel

Quoique milliardaire, le colonel John Jacob Astor n’est pas autorisé à accompagner sa jeune épouse Madeleine enceinte. Après l’avoir regardée s’éloigner, il va libérer leur chienne du chenil, laquelle se met à courir de long en large sur le pont. Tous deux disparaîtront avec le Titanic. En revanche, Madame Rothschild, épouse de Martin Rothschild, fabricant de vêtements à New York, est une vraie héroïne. Elle sauve son loulou de Poméranie en le cachant dans son manteau et, quand les marins duCarpathia qui la recueillent lui donnent l’ordre de l’abandonner dans le canot, elle refuse. Mais cet imbécile de cabot se fait écraser par une voiture dès son arrivée à New York…

Il y a encore les trente-quatre pékinois de la milliardaire américaine Charlotte Drake Cardeza, dont pas un ne réchappe. Saluons le geste d’Ann Elizabeth Isham, qui préfère accompagner son danois dans la mort plutôt que de l’abandonner à son triste destin. Le seul chien à ne pas s’en faire dans cette histoire, c’est Rantanplan. Il refuse de quitter la salle de spectacle, attendant l’entrée en scène de Céline Dion…

Terminons, enfin, avec l’admirable comportement de Rigel le terre-neuve. Appartenant au premier officier du Titanic, il saute à l’eau dès que le navire se met à couler. Durant trois heures, il nage à proximité d’un canot de sauvetage où il n’y a pas de place pour l’accueillir. Quand le Carpathia, qui a répondu au SOS, surgit dans la nuit, les passagers du canot, à bout de forces, sont incapables d’attirer l’attention du navire. Seul Rigel est encore capable d’aboyer pour alerter le commandant du Carpathia. Après les rescapés, le chien est hissé à bord du navire et aussitôt adopté par un marin. C’est lui le vrai héros du Titanic. Nom d’un chien !

 

REGARDEZ la complainte des chiens du Titanic (parodie) : http://www.lepoint.fr/c-est-arrive-aujourd-hui/14-avril-1912-video-et-nous-on-compte-pour-du-beurre-signe-les-chiens-du-titanic-14-04-2012-1451494_494.php

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Bientôt un « bar à chats » à Paris, les défenseurs des animaux s’inquiètent

Posté par othoharmonie le 19 septembre 2013

Bientôt un

Siroter un thé, un café, ou déguster une tarte en caressant un chat : une Parisienne veut ouvrir un salon de thé peuplé de chats, à Paris, « pour le bien être des clients », à l’image des Neko cafés japonais, un projet qui inquiète les défenseurs des bêtes.

Margaux Gandelon, amoureuse des chats qui revendique les bienfaits du ronron sur la santé humaine, veut ouvrir son « bar à chats » en septembre 2013.

Les professionnels animaliers s’accordent à dire que le stress, l’insomnie ou l’anxiété peuvent aussi se soigner ponctuellement sans médicament grâce au ronronnement du chat.

Jean-Yves Gauchet, vétérinaire à Toulouse, qui revendique la paternité en France de la « ronron thérapie », assurait récemment à l’AFP que le ronronnement « apaise » et agit comme « un médicament sans effet secondaire ».

« Le chat est un éternel bébé qui aime se faire cajoler et ne demande qu’à jouer et dans certains cas il comble un manque affectif pour ceux qui n’ont pas d’enfant », ajoutait-il.

« J’ai toutes les autorisations et grâce à mes associés et au crowdfunding, un site de participation financière collective sur le web, j’ai réuni les 40.000 euros nécessaires », explique la jeune femme de 26 ans qui veut loger ses chats dans le Marais.

« Ce sera un e ndroit zen et convivial. Les clients pourront caresser les animaux en buvant un thé ou un café ou bien en dégustant une tarte », dit-elle.

Claire Bentolila, comportementaliste animalier, trouve « cette idée géniale ».

« Le chat est un anti-stress, il fait baisser la tension artérielle et nous ramène à l’instant présent », estime-t-elle. « Si on respecte sa nature indépendante et qu’il peut partir quand il en a envie, tout devrait bien se passer ».

Des matous de la SPA

Margaux Gandelon , en quête d’un local, dit qu’elle réservera une salle de repos à ses « greffiers » (chats en vieil argot).

Une fois dans ses locaux, elle compte adopter une dizaine de matous, « des laissés-pour-compte à la SPA pour leur donner une seconde chance ».

Mais aujourd’hui, la SPA dit « avoir donné uniquement son soutien moral dans l’attente de l’ouverture du café ».

« On est neutre. On attend de voir si le café ouvre. Alors, on ira voir si les chats seront bien installés avant de céder les bêtes de nos refuges », commente Oriane Vatin, porte-parole de la SPA.

La porteuse du projet martèle que « les chats seront avant tout chez eux et qu’elle respectera leur indépendance ».

« Ils viendront se faire caresser uniquement s’ils en ont envie. Pas question comme au Japon de réserver un chat une heure pour le cajoler ! »

Plus réservé, Christophe Marie, de la Fondation Bardot, « n’apprécie guère que l’animal soit relégué au rang de d’objet ».

« Ce qui me gêne dans la démarche c’est que l’animal soit relégué au rang de peluche. Les chats n’ont pas forcément envie d’être tripotés par les clients d’un bar », estime-t-il. « La Fondation Brigitte Bardot ne souhaite pas voir ce genre d’initiative se multiplier. »

Reha Hutin, présidente de la Fondation 30 millions d’amis, s’interroge aussi sur le bien-être animal : « qui s’occupera des chats et dans quelles conditions en dehors des heures d’ouverture de l’établissement ? »

Il reste deux mois à la jeune femme amoureuse des chats pour apporter des réponses et rassurer les défenseurs des bêtes.

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Les petites bêtes et autres animaux de la ferme

Posté par othoharmonie le 16 juillet 2013

Auteur : Yoneo Morita
Date de parution : 05/2006
ISBN : 9782258068896
Editeur : Hors Collection
Collection: Hana deka club
Nombre de pages : 58
Dimensions : 20X20 cm

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Présentation :

Adorables, irrésistiblement drôles et craquantes, les Petites Bêtes d’Hanadeka –  » Gros nez  » en japonais – ressemblent à des peluches vivantes ! 
Après le succès du « Livre des petites truffes », du « Livre des grosses truffes », des « Petits chiens » et des « Petits chats », un nouvel ouvrage du même auteur, consacré cette fois-ci à toutes les bêtes, grosses ou petites, qui peuplent les basses-cours. Craquant à souhait !

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Expériences éléphant

Posté par othoharmonie le 18 juin 2013

Les animaux ont-ils conscience d’eux mêmes?

On a montré pour l’instant que la capacité de distinguer soi-même des autres est très rare dans le genre animal : seuls les humains, les chimpanzés et, dans une moindre mesure, les dauphins en étaient capables jusqu’à présent. 

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L’expérience : éléphant devant le miroir

La connaissance de soi de l’éléphant relève peut-être de la complexité sociale des groupes de ces animaux géants. Cela pourrait être lié à l’empathie et à l’altruisme que l’on connaît chez l’éléphant.

L’expérience réalisée en 2005 consistait à mettre l’éléphant femelle nommé « Happy » en face d’un grand miroir après avoir peint un grand X au dessus d’un des yeux (voir la vidéo). Il était impossible à l’éléphant de remarquer ce X sans l’aide du miroir. Or, l’éléphant a bien souvent touché le X avec sa trompe et de manière répétée. L’éléphant a ignoré un deuxième dessin en croix qui était de couleur invisible sauf à sous l’ultraviolet.

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Cette expérience s’est avérée convaincante avec « Happy » mais deux autres éléphants femelles ont échoué au test. Cependant, le comportement des trois éléphants face au miroir semblait montrer une véritable conscience de soi. Ainsi, un des deux autres éléphants s’est consciemment servi du miroir pour explorer sa bouche avec sa trompe.

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Le célèbre psychologue Gordon Gallup, qui avait conçu ce test de la marque sur le front et appliqué pour la première fois sur des chimpanzés, a trouvé les résultats très solides et convaincants.

Les éléphants n’ont pas montré de signaux de type social devant le miroir : ils ne confondaient donc pas leur image avec un congénère, comme le font la grande majorité des mammifères testés. Il est cependant nécessaire de poursuivre les tests afin de déterminer le niveau de conscience de soi.

Comme les espèces divergentes que sont les éléphants et les dauphins partagent cette capacité de se reconnaître dans le miroir, on peut conclure que cette caractéristique a évolué indépendamment.

Les éléphants et mammouths sont originaires d’un même animal nommés mastodonte qui s’est éteint il y a 24 millions d’années. Une actualité récente vient d’ailleurs de trouver le lien manquant entre les éléphants et ses lointains ancêtres.

Source :Livescience , .imaginascience.com  et vivantinfo.com)

Fabienne Delfour & Pascal Carlier  

Les animaux ont-ils une conscience ?

Question éminemment difficile que l’on peut aborder en étudiant si des animaux manifestent des comportements de reconnaissance d’eux-mêmes. Dès les années 1970, on a pu montrer que les chimpanzés sont capables d’utiliser un miroir pour explorer leur corps. Plus surprenant peut-être, les dauphins et les orques sont eux aussi capables de comportements cognitifs aussi élaborés. 

Poser la question de l’existence de la conscience de soi chez les animaux nécessite de considérer l’animal comme un (vrai) sujet. Or la culture occidentale porte l’héritage de la pensée dualiste de René Descartes (1596-1650) qui opposait le corps, parfait automate dénué de pensée, à l’âme, émanation du divin et siège de la vie psychique.

De tous les êtres vivants, seul l’homme possédait une âme et se trouvait donc placé, intouchable, au sommet de la pyramide de l’évolution. La question de la conscience chez un « animal-machine » ne se posait donc pas. Cette vision mécaniste de l’animalité, en faisant l’économie des phénomènes non observables, a facilité l’établissement des bases de la biologie moderne sur des faits d’observation et d’expérimentation. L’éthologie n’est devenue véritablement cognitive que dans les années 1970-1980 en s’intéressant notamment à la question de la conscience (voir l’encadré 1).

L’analyse de la conscience de soi, question particulièrement complexe, concerne principalement les grands singes anthropoïdes, mais aussi les mammifères marins, qui ont des cerveaux bien développés, une vie sociale complexe et des capacités cognitives proches de celles des grands primates. Cependant, démontrer l’existence d’une conscience chez un individu est très difficile : le concept de la conscience est fondamentalement réflexif ; on ne peut en effet être sûr d’être conscient d’un moment ou d’une action que lorsque l’on est, à l’instant présent, « conscient d’être conscient ». Autrement dit, nous sommes ici dans un processus de « second ordre », une« métaconscience » qui n’a pas besoin d’être démontrée car elle fait l’objet d’un consensus intersubjectif au sein de l’espèce humaine. L’existence de la simple conscience est, elle, difficilement démontrable ; on peut même penser que c’est cette conscience de « premier ordre » qui est recherchée dans certains types de méditation traditionnelle. Dans le bouddhisme zen, par exemple, on prescrit à l’individu de ne pas« s’accrocher » à ses pensées, et il lui est préconisé d’atteindre un état « d’intense présence ».La question qui nous préoccupe se rapporte donc plutôt à un « Soi », entité unifiée, qui se reconnaît. Notre question, que l’on soumettra plus aisément à l’épreuve des faits que celle de la conscience, devient : « que signifie être capable de se reconnaître ? ».

VOIR la suite de cet article …

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