LA MISSION DES ANIMAUX SUR LA TERRE

Posté par othoharmonie le 28 septembre 2016

 

A Telos, nous disposons de nombreuses espèces d’animaux que nous avons sauvés de l’extinction. Quand nous savions que notre continent allait être détruit, nous avons construit notre ville souterraine pour préserver nos vies et tous les anciens dossiers de notre civilisation, nous avons également sauvé quelques-unes de toutes les espèces d’animaux qui existaient à l’époque. À cet égard, nous pouvons être comparés à une version antérieure, mais beaucoup plus vaste de l’histoire biblique de Noé qui a sauvé dans l’arche deux membres de chaque espèce. La plupart de ces espèces sont encore en vie et font partie de nos soins à ce jour, à l’exception de ceux qui ont choisi comme une espèce de retourner dans leur lieu d’origine.

La disparition de la Lémurie est arrivée au moins 1500 ans avant le naufrage de l’Atlantide, et le nombre d’espèces que nous avons sauvés était beaucoup plus grand, de loin, que celui enregistré dans votre histoire biblique que le naufrage final de l’Atlantide. Au moment du naufrage de l’Atlantide, de nombreuses espèces d’animaux présents avant la destruction de notre continent ont déjà disparu de la surface.

Animaux missions - francesca

Nous vous disons que les animaux s’incarnent encore et encore, comme vous le faites. Leurs modes de réalisation sont toujours les extensions d’un ensemble plus vaste. Chacun d’entre nous, y compris les animaux, sont des extensions d’un vaste Etre de Lumière, si vaste et si merveilleux, qui vous tient dans l’émerveillement absolu de la journée lorsque vous vous ouvrez à la compréhension de votre véritable Divinité. Il est désigné comme le concept de multi-dimensionnalité, un concept qui reste très difficile d’être pleinement compris par les limites d’un esprit de la troisième dimension.

Dieu dans son grand amour de la nature a créé en permanence l’extension et lui-même en expansion dans un spectre plus large de diverses manifestations. Le règne animal est juste une parmi plusieurs de ces expansions infinies. Tous font partie de Dieu, très chers. Lorsque vous vous permettez de blesser une partie de la vie (Dieu) vous blessez l’ensemble, y compris vous-même.

Sur les plans intérieurs, tous les animaux ont une grande intelligence, et ils sont très différents, plus que vous pourriez jamais imaginer dans votre conscience actuelle. Certains d’entre eux contiennent la règle des mondes et des planètes. Les animaux vivent dans de nombreuses dimensions. Tous les animaux ont une sur-âme comme tous les humains, mais il est d’une nature légèrement différente. La différence est qu’ils sont créés pour faire partie d’un autre royaume que le vôtre. Ainsi, ils sont également des extensions d’un corps beaucoup plus grand de la conscience, un autre aspect de la Divinité.

La conscience s’étend des plus hauts niveaux de la Divinité au plus bas niveau de la première dimension des roches et des minéraux. Tous sont Dieu dans diverses expressions.

Plus la dimension est grande plus la compréhension de l’amour et plus étendu est la prise de conscience. Les animaux partagent votre planète avec vous parce que, tout comme vous, ils ont choisi de venir ici pour avoir une troisième dimension d’expérience. Ils sont également venus pour aider et sont les enseignants pour aider l’humanité de diverses façons que vous ne comprenez pas encore. Parce qu’ils ont choisi de venir dans un corps qui est différent du vôtre, il ne les rend pas inférieur à vous. Même si cela était, il n’y a pas de justification morale ni spirituelle pour la façon dont tant d’animaux sont actuellement traités à la surface de la Terre. Leurs corps sont juste un diaphonique inférieur au vôtre dans votre expression de troisième dimension.

Soyons clairs à ce sujet. Il n’y a pas de différence à que vous avez été amené à croire depuis si longtemps. Beaucoup d’humains sur la surface ont utilisé cette excuse comme un passeport pour l’exploitation animale.

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Dans votre compréhension limitée, vous vous êtes permis de voir de nombreuses espèces d’animaux devenir des marchandises pour des moyens égoïstes ou pour le profit. Nous disons : ce n’est pas ce qui ou qui ils sont. La règle d’or doit être appliquée pour tous les êtres vivants, pas seulement pour le règne humain. Si vous souhaitez aller de l’avant sur la plate-forme de votre propre évolution, vous pouvez y arriver par l’amour inconditionnel selon des mots, des pensées, des sentiments et des actes à l’égard de toutes les formes de vie et tous les royaumes qui vivent sur cette planète.

L’ amour est la seule clé. Il n’y a rien d’ autre. Il n’y a pas un grain de création qui ne soit pas manifesté par l’ amour. Ainsi, il n’y a pas un grain de création que vous puissiez choisir de « ne pas aimer » si vous voulez aller de l’ avant.

Dans le monde des esprits, des animaux fonctionnent à partir des quatrième et cinquième dimensions. Ils sont tous reliés à un corps supérieur de la Lumière. Tous les êtres humains sont également connectés à leur propre corps supérieur, appelé leur «Présence JE SUIS, » existant dans les dimensions plus élevées et vivant aussi dans le cœur de chacun.

Le Soi Supérieur de votre être, votre propre Dieu-Soi, est une glorieuse, grande intelligent, un puissant être de perfection illimitée et de splendeur. Ceci est vraiment qui vous êtes vraiment. Votre vie de troisième dimension sur la Terre ne reflète qu’une très petite partie de la divinité de qui vous êtes vraiment.

Dans la création et dans les hautes sphères, il n’y a rien qui soit moindre, inférieur, mieux que…, pas si bon que…, etc. Ce sont toutes les étiquettes de la conscience humaine limitée. Tous sont également aimés et considérés comme des expressions de Dieu en mouvement constant (évolution). Il y a une différence entre vous et les animaux, mais ce n’est pas ce que vous avez été amenés à croire. 

Mes amis, dans les villes souterraines, nous avons beaucoup de respect pour les animaux et nous les considérons comme nos jeunes frères et sœurs sur l’échelle de l’évolution. Nous les traitons avec la même considération que nous aimerions recevoir pour nous-mêmes.

Disons que dans une famille humaine, par exemple, il y a 10 enfants. Diriez-vous que les plus jeunes sont inférieurs aux plus âgés, simplement parce qu’ils ont moins d’expérience de la vie, et ne savent pas encore autant que les plus âgés? Diriez-vous que les plus jeunes ne méritent pas d’être traités avec autant d’amour et de considération parce qu’ils sont nés plus tard que vous et peuvent être légitimement maltraités, tout simplement parce qu’ils ne sont pas encore aussi développé que les plus âgés?

Je ne pense pas, parce que vous savez très bien que dans quelques années, ils vont se rattraper.  Dans la hiérarchie ou dans la famille du corps du Dieu, les animaux qui partagent notre planète sont les membres les plus jeunes. Il est d’espoir que vous comprendrez ce que je suis en train de faire. Tout dans la création a la conscience, de la plus grande à la plus petite. En fin de compte, tous sont considérés comme égaux.

Comme je l’ai mentionné précédemment, nous avons dans nos soins à Telos un grand nombre d’espèces d’animaux qui ont été éteints de la surface de la Terre pour un temps très long. D’autres civilisations qui ont été sous terre plus longtemps que nous avons également apporté dans leurs soins un grand nombre d’espèces animales qui ont été éteintes de la surface beaucoup plus longtemps. Nous avons de nombreuses espèces de chats de toutes tailles. Leur taille varie entre cinq à six livres à plusieurs centaines de livres. Nous avons des espèces de chiens et des chevaux qui sont plus évolués que ceux que vous connaissez sur la surface, et qui vous apporteront beaucoup de plaisir quand ils seront finalement autorisés à émerger parmi vous.

 

rat d'eau

La plupart de nos animaux sont plus grands que ceux que vous avez maintenant. Par exemple, la plupart des grands félins ont presque deux fois la taille de celles sur la surface. Beaucoup de chevaux sont plus grands, mais certains ont conservé une taille dont vous allez vraiment être en mesure de profiter.

Nos animaux nous sont très chers. Soyez assurés qu’ils ne seront pas libérés dans vos mains jusqu’à ce que la violence soit totalement éliminé de votre monde.

  • Tous nos animaux sont doux et n’ont jamais été exposés à la négativité ou la violence d’aucune sorte. Tout le monde peut marcher jusqu’à l’un d’eux en toute sécurité, et des câlins avec eux.
  • Aucun de nos animaux n’ont peur des humains, ni tuer, ni d’être mangés les uns par les autres. Ils sont tous végétariens.
  • Nos animaux n’ont jamais été chassés ou mis en cage. Ils sont autorisés à vivre pleinement leur durée de vie, qui est beaucoup plus longue que celle les animaux vivant en surface.

Soyez assurés que nous ne prendrons pas le risque de libérer l’un d’eux aux civilisations de surface aussi longtemps qu’il y aura la moindre possibilité pour l’un d’entre-eux d’être blessé ou de recevoir moins d’amour qu’ils n’en sont habitués à en recevoir ici.

Nous reconnaissons l’intelligence unique de chaque espèce animale, et on n’a pas besoin de plus pour essayer de les mettre à tout autre niveau de soumission. Ils sont dociles et disposés à plaire. La communication télépathique est tout ce qui est nécessaire pour nous d’avoir, c’est à dire une coopération totale avec eux.

Au nom de toutes les civilisations de la Terre intérieure, je vous dis que c’est avec une grande joie et d’anticipation que nous allons regarder tous vers vous, nos chers frères et sœurs, ouvrez vos esprits et vos cœurs au règne animal et commencer à changer la façon dont vous les avez perçus et traités.

Nous vous envoyons notre amour, notre lumière et notre amitié. Nous sommes très impatients que ce temps approche de notre émergence à la surface, et d’être à nouveau avec vous, pour vous serrer la main et de vous enseigner ce que nous avons appris de la vie pour des milliers d’années dans la vibration de l’Amour, la Paix et la Fraternité sans l’interférence des guerres, le contrôle, la cupidité, la peur, la manipulation et la bureaucratie sans fin.

Il est bientôt à portée de main pour nos deux civilisations de s’unir dans l’esprit d’une grande famille cosmique après des milliers d’années de séparation physique. Lorsque nous sortons de nos demeures souterraines, à travers un labyrinthe de tunnels menant à tous les pays et villes de la planète, ce sera un moment de grande joie pour tous ceux qui ouvriront leur cœur et leur esprit pour nous recevoir.

Ce sera pour la «délivrance» de vos luttes, des douleurs. Nos intentions seront pour vous aider à créer le genre de vie dont vous avez eu envie depuis si longtemps. Ensemble, nous allons bâtir un avenir très prometteur pour nous tous, citoyens de la Nouvelle Terre. Ce sera une situation gagnant-gagnant pour tous. Nous sommes vos frères et sœurs, et nous vous aimons tous très cher.

 

Je suis Adama, votre Lémurien Brother. Canalisé par Aurelia Louise Jones

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Les 4 ANIMAUX qui nous instruisent pour la vie

Posté par othoharmonie le 10 septembre 2016

 

 

Le deuxième livre de la Révélation divine, après la Bible, est assurément celui de la nature. Notre terre ne cesse de nous émerveiller, de nous fasciner et de nous instruire. Quelle que soit la façon dont nous l’abordons, notre belle planète bleue est interpellante. Elle fait l’objet de tant de recherches… Est-ce que notre condition humaine échappe aux lois qui régissent ce monde de la vie ? Depuis peu, une prise de conscience s’est faite autour du concept du développement durable qui prend en compte le nécessaire respect des équilibres de notre proche univers. Cette bonne volonté doit être dépassée par une observation plus attentive de notre environnement. N’y a-t-il pas matière à réflexion dans cette observation de la nature ?  N’y lit-on pas l’énoncé de valeurs importantes qui y sont inscrites ? Plus simplement est-ce que cette nature est un puits  d’éducation ?

La Parole du Créateur nous invite à tirer le meilleur profit pour nos vies de toutes ces simples  leçons de chose contenues dans ce grand livre. 

Développement : 

Salomon, dont la sagesse demeure proverbiale, nous parle de quatre petits animaux :

«  Il y a sur la terre quatre animaux petits et cependant des plus sages… » Bible L.Segond version 1975

« Il existe sur terre quatre êtres tout petits, et qui sont sages par excellence… » La Bible du Rabbinat français 1966

« Il y en a quatre qui sont tout petits sur la terre, et suprêmement sages… » Nouvelle Bible Segond 2002

«  Quatre sont des petits de la terre, mais experts en sagesse… » La Bible Chouraqui 1985.

«  Il existe sur terre quatre êtres tout petits et pourtant sages parmi les sages… » T.O.B. 1977 

Si la Bible insiste à ce point sur ces quatre tout petits animaux en nous disant qu’ils sont grands en sagesse, n’est-ce pas pour nous inviter à regarder vers le sol, à prendre le temps de nous pencher sur notre bonne terre et à chercher à comprendre ce que ces tout petits veulent nous dire ?  Ne sont-ils pas experts en sagesse, suprêmement sages, sages par excellence, sages parmi les sages ?  Voyons donc ce que nous dit la Bible à leur sujet.

 chez francesca

La Fourmi :

 

 «  Peuple sans force, elles préparent en été leur nourriture »

 v. 25 

Ailleurs, dans le même livre, Salomon reprend la même idée : « Va vers la fourmi, paresseux;  elle n’a ni capitaine, ni secrétaire, ni maître, elle prépare en été sa nourriture, elle amasse pendant la moisson de quoi manger. »Proverbes 6 : 6-8 

La fourmi apparemment sans force et d’une grande fragilité, a réussi à subsister à travers les temps grâce à sa prodigieuse capacité de communication. En effet, la fourmi utilise de nombreux et complexes moyens de communication. Ces systèmes complexes sonttactiles, chimiques, auditifs. Pour éviter que l’espèce commette des erreurs qui mettraient sa survie en danger, la fourmi développe un complexe d’interférences très perfectionné. Quelques signaux d’alarme par production de substances chimiques ont pu être décryptés, mais les chercheurs ne peuvent toujours pas prédire où une ouvrière va se diriger dans les dix minutes à venir face à de la nourriture diversifiée. Par contre, quand une fourmi a trouvé une nourriture qui lui convient, en dix minutes elle informe une foule de congénères.

Effectivement il n’y a ni capitaine, ni secrétaire, ni maître, mais elles le sont toutes les unes pour les autresAucune ne garde les informations pour elle-même. Tout est restitué pour le bien du groupe.

La transmission de la nourriture est aussi intéressante, la fourmi stocke toute sa nourriture dans un jabot social, une sorte de sac à dos, séparé de son estomac. Cette nourriture est dégurgitée en actionnant des muscles particuliers. Cela se passe sous terre entre deux ouvrières. La solliciteuse tambourine la tête de sa congénère donneuse et celle-ci place ses antennes en arrière en signe d’acceptation. Ainsi on transfert la nourriture pour le temps où on ne pourra plus sortir. Cette prudence a fait dire à La Fontaine que la fourmi n’est pas prêteuse… 

Quand la fourmi doit se défendre, elle projette le contenu de sa glande à poison, mandibules bien ouvertes, et antennes agressives… Gare au jet d’acide formique, concentré à plus de 50% ! Mêlée à d’autres substances, l’émission déclenche aussitôt un état d’alerte générale dans la fourmilière. Quand la fourmi est en danger, elle martèle le sol avec sa tête pour prévenir les copines. (3 coups selon les observations) Ainsi tout le monde est prévenu rapidement et on se passe le mot.

Comment font-elle pour se reconnaître ?

Quand deux fourmis se rencontrent, on sait qu’elles peuvent se reconnaître et « parler » à toute vitesse, grâce à leurs antennes, chacune disposant d’un potentiel de plus de cent mille récepteurs. Une nouvelle clé de lecture est apparue aux chercheurs: un individu peut dire: «Attention, je cherche de la nourriture» ou encore «je suis jeune, j’ai besoin d’informations» par des substances chimiques à la surface de son corps, qui seraient liées à l’âge ou à l’activité. Certaines espèces reconnaissent les différents stades des individus simplement à l’ ‘habit’, comme nous le pourrions, nous êtres humains. Nous aurions pu poursuivre encore longtemps sur le cas des fourmis, mais que  pouvons-nous tirer comme instruction ?  

Ne pensez-vous pas que ce peuple de fourmis est une parabole du peuple de Dieu ? Sur un plan humain et ecclésial, nous non plus, nous n’avons ou devrions avoir aucun capitaine, secrétaire ou maître, car nous avons tous reçus  les mêmes informations avec nécessité de les transmettre suivant les dons distribués par le Saint-Esprit au sein de la communauté chrétienne ? «  Dieu… Nous a marqués d’un sceau et a mis dans nos cœurs les arrhes de l’Esprit » «  Dieu nous a donné les arrhes de l’Esprit » 2 Corinthiens 1 :22 et 2 Corinthiens 5 : 5

Dans le sens d’une responsabilité commune le Christ a même précisé : «  Ne vous faites pas appeler Rabbi (Maître) ; car un seul est votre Maître, et vous êtes tous frères. Et n’appelez personne sur la terre votre père ; car un seul est votre Père, celui qui est dans les cieux. Ne vous faites pas appeler chef ; car un seul est votre Chef, le Christ » Matthieu 23 : 8-10

Ayant reçu les mêmes informations, nous devrions tous être les uns pour les autres des veilleurs, des veillants. Attention à ne pas être surveillants! (Cf. Hébreux 10 : 24)

La joie du peuple de Dieu, ne doit-elle pas passer par la transmission de ce qu’il a reçu ? La solidarité devient la force du groupe ; c’est ainsi que l’on s’entraide en étant les uns pour les autres des compagnons de route, des aides de camp, des soutiens dans l’adversité. «  Par amour fraternel, soyez pleins d’affection les uns pour les autres ; par honneur, usez de prévenance réciproque. Soyez fervents d’esprit. Servez le Seigneur. »  Romains 12 : 10, 11

Qu’adviendrait-il si les fourmis avaient des rivalités entre elles ?

Peut-être faut-il apprendre, comme les fourmis, à nous reconnaître pour mieux nous connaître ? Ainsi nous pourrions mieux nous apprécier et nous réjouir dans la diversité de nos dons et talents. Quand l’esprit de Dieu anime un groupe sa force rayonnante est manifeste !

 

Le Daman : 

« Les damans, peuple sans puissance, placent leur demeure dans les rochers » Proverbes 30 : 26  Le livre du Deutéronome  associe le daman au lièvre parmi les animaux impurs… (Deutéronome 14 : 7) 

 Le daman à l’âge adulte ressemble à une grosse marmotte. Il semblerait que ce soit l’animal qui soit génétiquement la créature la plus proche de l’éléphant : Ce n’est pas évident à vue de nez ! Ce plantigrade possède des coussinets plantaires particuliers qui lui permettent de faire ventouse. Il a quatre doigts à l’avant (plantigrade) et trois à l’arrière (digitigrade), protégés par des sabots sauf un doigt sur les pattes arrières qui montre une griffe. Sur le dos, ils présentent une zone glandulaire, étroite et nue, entourée de poils érectiles dont ils se servent pour marquer leur territoire. 

Comportement : Le daman des rochers est un animal très sociable, vivant dans des colonies, pouvant dépasser les 60 individus. Il passe la plupart de son temps à se prélasser au soleil et jouer avec ses congénères. 

Ayant eu l’occasion d’en voir, lors d’un voyage en Israël, j’atteste qu’ils sont mignons, craintifs, agiles et rapides. Cet animal sans défense est aussi la proie de nombreux prédateurs.

Peut-on dire que cet animal a des caractéristiques symboliques du chrétien ?

Il est sans puissance et sans défense. N’est-ce pas là aussi notre condition ? Reconnaissons que la force et la protection nous ont été communiquées, elles ne nous sont pas propres. Par contre, l’intelligence de cet animal est de se placer sur un terrain propice à sa vie, à sa sécurité, à son bien-être. Le rocher est son univers, il évolue à son aise grâce aux coussinets ventouses de ses pattes avant. Sur un autre revêtement il a plus de difficulté.

Dans la Bible le rocher sur lequel nous devrions nous positionner est Dieu, puis Christ. Le psalmiste écrit « Dieu sera toujours le rocher de mon cœur et mon partage. » Psaume 73 : 26 « Frères, je ne veux pas que vous ignoriez que nos pères ont tous été sous la nuée, qu’ils sont tous passés au travers de la mer, qu’ils ont tous été baptisés en Moïse dans la nuée et dans la mer,  qu’ils ont tous mangé le même aliment spirituel, et qu’ils ont tous bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher était Christ. » 1 Corinthiens 10 1- 4

De plus la symbolique du rocher nous enseigne à bien construire notre vie sur le solide et non sur du sable. L’homme prudent bâtit sur le roc dit Jésus. (Cf.Matthieu 7 : 24) Le rocher est aussi symbole de solidité et de stabilité. Alors, nous avons à notre tour tout intérêt à bien développer les ventouses de notre foi, pour adhérer au rocher des siècles : Jésus-Christ. C’est sur lui que repose notre bien-être, mais aussi notre sécurité face aux nombreux prédateurs des temps modernes.

Comme le dit si bien l’apôtre Paul : « Vous avez tout pleinement en lui, qui est le chef de toute domination et de toute autorité. »Colossiens 2 : 9  D’autres versions disent « Nous sommes comblés en lui… »

Notre sécurité, notre joie d’être dépendent de notre choix de demeurer sur le rocher. Voire même de construire notre maison sur le rocher qui brisent les tempêtes de la vie. Pourquoi ?  Notre bonheur présent et futur vient de Jésus-Christ. Comme le dira l’apôtre Pierre en s’adressant aux membres du sanhédrin : « Il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. »Actes 4 : 12

 

La  Sauterelle : 

« Les sauterelles n’ont point de roi, et elles sortent toutes par divisions. »

Proverbe 30 : 27 

Cet insecte ne jouit pas dans le bassin méditerranéen d’une bonne réputation. Ces invasions destructrices sèment la désolation parmi les cultures des paysans.  Mais là, le texte met en avant une qualité, apparemment incompréhensible : leur cohésion dans le nombre. Quel cerveau programme cette organisation ?

Les sauterelles sont apparentées aux grillons, et les mâles produisent les mêmes sons stridents que ces derniers, grâce à un organe situé sur les ailes antérieures. Les femelles de plusieurs espèces, elles aussi, peuvent produire des sons. L’organe auditif des sauterelles est situé sur leurs pattes avant.

Quand la sauterelle est isolée, elle est facilement la proie des prédateurs, car elle reste souvent immobile. La sauterelle a donc tout intérêt à opter pour ces marches forcées et ces vols en formation serrée.

Les observations des scientifiques ont démontré que les mouvements migratoires sont conditionnés par la recherche de protéines et d’éléments riches en sels. La fuite en avant est aussi dictée par l’instinct de survie car en état de privation, elles se dévorent entre elles. Il faut échapper au cannibalisme qui vient de l’arrière.

Pour sourire, toute comparaison avec une situation ayant réellement existée dans la condition humaine est nulle et non avenue. Quoique !…

La sauterelle nous enseigne qu’il est important de s’assumer sans attendre de directive d’un roi ou d’un gouvernement. Le moteur de notre propulsion doit être la recherche d’une nourriture qui peut vraiment nous être profitable. C’est l’apôtre Pierre qui disait : « Désirez, comme des enfants nouveau-nés, le lait spirituel et pur, afin que par lui vous croissiez pour le salut, si vous avez goûté que le Seigneur est bon. » 1 Pierre 2 : 2,3

Nous avons quelque part à dévorer avec avidité une nourriture spirituelle :

«  Travaillez, non pour la nourriture qui périt, mais pour celle qui subsiste pour la vie éternelle, et que le  Fils de l’homme vous donnera. » Jean 6 : 27

La sauterelle indirectement nous dit aussi que l’immobilisme est source de danger. Mieux vaut avancer, prendre certainement des risques, que de se conforter dans une position d’attente. L’ange de l’Eternel dit à Gédéon «  Va avec cette force que tu as »Juges 6 : 14  Nous devons aller et partager ce que Dieu a mis dans nos cœurs et nos vies. En déployant ses ailes, la sauterelle se propulse vers l’avant. Elle le fait instinctivement. Ne devrions-nous pas avoir la même démarche de foi ?  « Sanctifiez dans vos cœurs Christ le Seigneur, étant toujours prêts à vous défendre avec douceur et respect, devant quiconque vous demande raison de l’espérance qui est en vous. » 1 Pierre 3 : 15

 

Le lézard : 

«  Le lézard saisit avec les mains, et se trouve dans le palais des rois»Proverbes 30 : 28

Le lézard a la particularité d’être à l’aise dans bien des milieux. Il constitue le plus grand groupe vivant de reptiles. Leur couleur est adaptée au milieu dans lequel ils vivent. Les lézards ne peuvent pas, comme les serpents, avaler des proies énormes, car les os de leur mâchoire sont réunis par une articulation qui limite les possibilités d’ouverture de leur gueule. Les lézards ont la faculté de percevoir la lumière même les yeux fermés, grâce à la présence d’écailles transparentes sur la paupière inférieure. Ils prélèvent avec leur langue les particules odorantes présentes dans l’atmosphère et cela leur permet d’identifier leur proie mais aussi leur partenaire. Leurs pattes adhésives ont fait l’objet d’études sérieuses car leur étonnante adhérence défie les lois de la pesanteur. Des chercheurs américains ont découvert que l’extrémité des pattes est dotée de millions de poils microscopiques élastiques, disposés selon un certain ordre. En reproduisant cette disposition, ils ont réussi à mettre au point un adhésif sec qui surpasse l’efficacité des pattes du lézard. (Geckos)

Dans notre texte les pattes du lézard fonctionnent comme des mains capables de saisir. Le créateur a placé dans nos mains, mais aussi dans nos cœurs, cette capacité de saisir les éléments essentiels à notre subsistance. L’apôtre Paul conseille à son enfant spirituel Timothée : «  Combats le bon combat de la foi, saisis la vie éternelle, à laquelle tu as été appelé... »1 Timothée 6 : 12

Le lézard entre dans le palais des rois,aucun espace ne peut lui être interdit. Cela me rappelle le discours de Paul à l’aréopage d’Athènes : « Dieu, sans tenir compte des temps d’ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu’ils ont à se repentir… » Actes 17 :30 A l’instar de la renommée de Jésus en Galilée, la bonne nouvelle du salut doit être proclamée en tous lieux. Il n’y a aucun espace interdit qui ne puisse entendre l’évangile de libération.

Cet espace de liberté, propre au lézard, est encore plus important quand dépassant les lieux et le temps, on vit la glorieuse liberté spirituelle en Christ. Et de même que le lézard  recharge son énergie aux rayons du soleil, peut-être aussi devrions-nous nous recharger auprès de Celui qui produit lumière et chaleur. Nous aussi nous pouvons voir cette lumière même les yeux fermés.

« Lève-toi, sois éclairé, car ta lumière arrive, et la gloire de L’Eternel se lève sur toi… » Esaïe 60 : 1  Zacharie dans son cantique, en parlant de la naissance de Jésus déclare : « Le soleil levant nous a visité d’en haut, pour éclairer ceux qui sont assis dans les ténèbres et dans l’ombre de la mort, pour diriger nos pas dans le chemin de paix.  » Luc 1 : 78,79 

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Conclusion :

Ces quatre petits animaux sans défense nous parlent de fragilité. Ils sont à l’image de notre nature humaine. Malgré toutes nos prétentions, il importe d’identifier les notres, car la conscience de nos manques renforce la qualité de notre vie. L’apôtre Paul  met en avant ce paradoxe : « Quand je suis faible, c’est alors que je suis fort. » 2 Corinthiens 12 : 10 Mais cette fragilité peut aussi être signe de longévité. Ces quatre animaux ont traversé le temps et l’histoire des hommes, alors ne craignons rien, notre longévité dépend aussi de la gestion de nos faiblesses.

Ces quatre petits animaux nous invitent à la sagesse. Ils ont su tirer le meilleur parti de leur condition. Leur capacité d’adaptation est devenue pérenne. Ils sont toujours présents parmi nous. Donc à nous de les imiter : « Ne vous inquiétez de rien ; mais en toutes choses faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâce. » Philippiens 4 : 6

Cela nous force quelque part à mieux prendre en compte notre condition humaine. Malgré tous les avatars de la vie, la position de l’humain est loin d’être désespérée. Nous avons à chaque instant l’occasion de faire un choix déterminant pour notre présent et notre avenir. Embrasser la foi, c’est peut-être avoir cette capacité d’adaptation pour traverser le temps. C’est aussi répondre à cette soif d’absolu qui transcende le temps, c’est désirez vivre éternellement. La Bible répond à notre angoisse existentielle en disant : c’est possible ! A toi de faire le bon choix !    

Merci à nos quatre petits animaux de nous avoir instruit par leur vie !

                     par  Jacques Eychenne        

 

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FIN DE VIE DE L’ANIMAL DE COMPAGNIE

Posté par othoharmonie le 4 juillet 2016

 

« Une communication animale représente une aide précieuse en fin de vie et alors de la transition des animaux de compagnie, elle peut également aider à clarifier la situation et apporter un certain éclairage dans les décisions délicates de fin de vie ».

Il est rarement question de savoir si nous avons assez aimé nos précieux compagnons animaux, et nous nous consacrons chaque jour à cette quête. Cependant, quand il s’agit de soins de fin de vie, de nombreux parents d’animaux ressentent le doute et pourraient se poser ces questions : « Avons-nous fait la bonne chose à la fin de sa vie ? Avons-nous choisi la bonne option au bon moment pour soulager la douleur » ? Il n’est jamais facile de penser aux sujets de fin de vie lorsqu’il s’agit d’un animal auquel nous avons consacré une grande partie de notre vie à le rendre heureux.

fin de vie

Grâce à la communication animale, il est possible d’aider à rendre l’ensemble du processus de fin de vie et du deuil beaucoup moins traumatisant pour toute votre famille. La possibilité pour vous d’être en mesure de savoir exactement ce que votre animal pense et ressent dans ces moments critiques, en particulier en ce qui concerne le niveau de la douleur peut tellement aider tous les membres de la famille. Conjointement, nous devrions faire de notre mieux pour ne pas imposer nos propres peurs et sentiments que ce soit à notre entourage ou à nos animaux en partance.

A travers la communication animale, vous serez ne mesure de répondre aux besoins de votre animal de compagnie, et comment rendre sa fin de vie plus confortable. Comme par exemple, une chaude couverture, un endroit sombre et calme pour dormir, l’aider à se nourrir, garder les autres animaux à l’écart ou certains animaux ou des membres de la famille à proximité. Toutes les choses que nous demandons quand nous ne nous sentons pas bien sont les mêmes que les animaux de compagnie.

Il est important de réaliser (comme le dit tout vétérinaire) que les animaux fonctionnent avec un système nerveux et un seuil de douleur différent de l’homme, de sorte que leur niveau de confort, lors de situations de soins ou de crise, nécessite une attention différente, et c’est certainement plus vrai lorsqu’il s’agit de soins de fin de vie. c’est pourquoi il est si important de connaître les désirs et les besoins de votre animal au moment venu.

Vous pouvez travailler avec un communicateur animalier dans le développement de signaux que peut donner votre animal lorsqu’il a atteint ses limites ou qu’il est trop fatigué. Beaucoup de vétérinaires font maintenant des visites à domicile lorsque c’est le moment, et vous avez ainsi quelques derniers instants paisibles à la maison. De plus, vous ne devriez pas conduire dans la circulation, ce qui peut être dangereux en cas de détresse émotionnelle.

La décision de l’euthanasie

Pour beaucoup d’entre nous, la seule pensée de perdre nos chers compagnons peut être si traumatisante que nous refusons même d’envisager la possibilité. Nos propres peurs de la mort et de la perte peuvent influer sur notre capacité à opter pour les meilleurs choix dans nos soins aux animaux. La peur de l’inconnu peut être une formidable source de douleur et peut nous amener à prendre des décisions entourant la mort de nos animaux que nous pourrions regretter plus tard.

En face à nos craintes et des questions diverses entourant la mort, avant que nous soyons confrontés au traumatisme d’un malade aimé, nous pouvons mieux prendre en compte les choix et les décisions dont nous pourrions avoir besoin pour prendre le temps d’élaborer des plans ou de faire des changements qui peuvent diminuer le sentiment de chaos et de confusion, de faire ainsi de notre séparation un temps d’amour partagé et de connexion.

Au bon moment et dans les meilleures circonstances, fournir une libération pacifique pour un compagnon en difficulté par l’euthanasie peut être une puissante démonstration d’amour et de respect. Une éducation sur le processus de l’euthanasie peut nous aider à éviter les surprises et à minimiser l’inconfort, le stress ou un choc qui peuvent faire partie de l’expérience pour l’homme disant au revoir à ses animaux de compagnie.

Une planification et une considération de nos propres questions, inquiétudes, peurs et croyances sur l’euthanasie peuvent nous aider à prendre les décisions éclairées et à créer la meilleure expérience de transition possible pour nos animaux. Is nous sommes capables de dépasser nos propres peurs, l’euthanasie peut devenir un acte sacré et un temps de connexion puissant.

Il est très important d’examiner nos propres besoins et facteurs de perceptions lors des décisions de soins potentiels. Il peut être utile de prendre le temps de réfléchir sur notre rapport à la mort et aux mourant, et d’examiner nos croyances sous jacentes sur l’euthanasie. Face à la mort de notre animal chéri, cette information peut nous aider à façonner une expérience qui va nous rapprocher de notre compagnon et lui faire passer un moment de grand honneur et de connexion.

Alors que toute discussion sur la mort ou mourant touche nécessairement à nos besoins émotionnels et spirituels, une communication animale se concentrera principalement sur les considérations physiques, émotionnelles, et pratiques concernant l’euthanasie dans le but d’aider le protecteur de l’animal à devenir plus à l’aise, d’évaluer les options pour ses propres animaux, et d’obtenir le soutien dans la prise de décisions de fin de vie.

Lorsqu’il est l’heure pour votre animal de partir vers l’au-delà, une communication animale peut l’aider dans ce processus. Certes, ce n’est jamais facile pour aucun d’entre nous,, après avoir passé par le processus de fin de vie et de transition avec nos propres animaux de compagnie au cours des dernières années, nous sommes tout à fait sensible set attentifs à vos besoins. Une communication animale peut offrir un espace pour atténuer les peurs et les angoisses et aider vos animaux de compagnie à mener un voyage paisible.

A travers une communication animale, vous pouvez également établir une connexion avec vote animal bien-aimé lorsqu’il aura franchi le voile pour apprendre comment il se porte. Toutefois, un délai de 40 jours sera nécessaire après qu’il ait quitté le plan terrestre.

Extrait de Syvia Kramer auteur du livre « Stop à la malbouffe croquettes de nos chiens et chats »

http://www.communictionanimaleifo.com

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Sauvons les animaux. Arrêtons le massacre.

Posté par othoharmonie le 19 juin 2016

Il est bien difficile aujourd’hui quand on défend les animaux, de voir les horreurs qu’on leur inflige tous les jours et de croire encore en Dieu ou à un monde supérieur. Pourquoi Dieu ne fait-il rien? Comment laisse-t-il une telle barbarie se faire sans punir les coupables ? En réalité, Dieu a donné tout pouvoir à l’homme de gérer la planète en bon père de famille mais l’homme l’a très vite oublié . L’intelligence animale aimerait fortement que ce dernier reprenne sa vie en main et son pouvoir créateur, qu’il redevienne le véritable roi de la terre amenant la paix à tous les règnes. Si l’homme réfléchit, il redécouvrira qu’il peut rencontrer les animaux non seulement à l’extérieur, mais également à l’intérieur de lui.

animaux

 
Les animaux et les hommes sont en guerre perpétuelle, pourrions-nous dire ! Pouvons-nous croire ce que l’on voit ? L’animal se tient sur son propre territoire mais l’humain le chasse constamment.

De toute évidence, les animaux sauvages veulent et doivent rester libres du monde conçu et géré par l’homme. Nous pouvons les admirer, les rencontrer en préservant leur intimité mais laissons-les dans leurs milieux naturels en respectant toutes les espèces et leurs besoins. Les animaux domestiques, quant à eux, ont une destinée liée à l’être humain. Il serait profitable d’aller vers un apprivoisement mutuel qui enrichirait chacune des deux parties : l’animal trouverait une élévation en la compagnie de l’homme si ce dernier était bienveillant envers lui et l’homme, de son côté, pourrait s’élever vers un monde supérieur en emmenant les règnes inférieurs avec lui.
 
Animaux, sciences et découvertes

Ce que nous constatons, c’est que depuis toujours l’être humain s’est considéré comme l’être le plus évolué et le plus intelligent de la planète. Pourtant, il n’a pas apporté grand-chose à l’animal si ce n’est de le conduire en esclavage. L’énergie circule dans un seul sens. L’homme observe les qualités de l’animal et l’imite, prend ses richesses sans rien donner en retour. Il appelle cela le biomimétisme. Notre civilisation entière s’inspire de la nature pour développer certaines techniques efficaces et accroître son profit et ses seuls intérêts. Citons quelques exemples dans nos vies quotidiennes : l’électricité est inspirée des lucioles ; les radars sont copiés sur les chauve-souris ; l’avion reprend les caractéristiques de l’oiseau ; la foreuse est née de l’observation de la taupe ; le sonar renvoie au dauphin et la liste est encore interminable. Actuellement, les scientifiques étudient le gecko (un lézard) dont les pattes sont munies de poils extrêmement fi ns et souples. Ces poils peuvent s’accrocher à toutes les surfaces. A partir de cette découverte, ils veulent concevoir un nouvel adhésif très résistant et réutilisable. Pour continuer sur cette lancée, il faut savoir que la climatisation naturelle a été exploitée par les animaux bien avant que l’homme ne le fasse. Le peuple animal connaissait les lois de la chimie, de la géométrie et de la physique sous une autre forme, d’une manière innée. On retrouve cette science chez les termites du genre macroterme, avec le puits provençal ou le puits canadien dont les spectaculaires termitières cathédrales sont un modèle exemplaire de climatisation naturelle. Des architectes se sont inspirés de ce système sophistiqué de refroidissement par le débit d’air pour réaliser des bâtiments dont la climatisation entraîne une économie d’énergie de plus de 85%. Aujourd’hui ils étudient la composition du véritable béton organique élaboré à température ambiante par les termites, car sa résistance est stupéfiante d’ingéniosité.
 
Les droits du peuple animal
 
Malgré toute cette intelligence que l’homme plagie constamment, l’animal est habituellement taxé de « bête et dénué d’intelligence ». Certains diront même que les animaux sont sans langage et ne peuvent être pris en considération. Bien entendu cela est faux, car ils ont leurs propres moyens de communiquer. D’ailleurs, n’avons-nous pas nous-mêmes, au sein de notre humanité, des êtres plus fragiles que les autres, qui ne peuvent parler le même langage que la majorité des gens, dont l’ouïe est défaillante, qui sont aveugles… mais qui en revanche ont développé d’autres sens en compensation ? Ce n’est pas pour autant qu’ils ne ressentent ni la douleur ni la souffrance… Pour ces humains fragilisés, des lois, des protections sont en vigueur. Pourtant, les animaux, quant à eux, ne sont pas pris en compte de la même manière. Les lois naturelles et les droits fondamentaux ne leurs sont pas appliqués. Ce sont néanmoins les lois et les droits que la Terre-Mère leur a donnés. Elle qui offre à tous les êtres le droit de procréer, le droit de vivre et le droit de mourir de manière décente. Pour rétablir une harmonie entre l’homme et l’animal, l’idéal serait de retrouver un travail en commun et une empathie vis-à-vis des animaux. Cela structurerait notre civilisation. Notre monde restera humain aussi longtemps que nous saurons vivre et coopérer avec eux. Dans cette optique, on pourrait dire que le degré d’évolution d’une civilisation est proportionnel à la qualité du rapport qu’elle instaure entre l’homme et l’animal. C’est le meilleur baromètre qui soit.
 
Les animaux de ferme et les hommes
 Il s’agit d’une longue histoire de collaboration. Autrefois, l’animal offrait sa force, ses produits, et en retour l’homme lui proposait sa protection contre les prédateurs et une nourriture quotidienne, dans le respect. Puis sous la pression de l’avidité, l’être humain a trahi l’animal, l’a exploité, dévalorisé jusqu’à lui voler son âme.

 
Le cochon et les lois de l’abondance
 
Le cochon est un être gentil, sociable et intelligent. Il suffit de le regarder dans les yeux pour y voir un monde de bienfaisance. Très anxieux, il nous fait comprendre que ses belles rondeurs lui permettent de laisser glisser l’excès d’émotion et par son corps trapu, pour mieux l’évacuer dans la terre. Depuis toujours il est lié à la richesse. Il est proche des gnomes et des forces primitives de la terre. La déesse nordique Freyja, déesse de l’abondance, de la fertilité et de la vie belle avait pour animal totem le cochon. Cela est tellement fort dans la psyché humaine, qu’à notre époque, il est associé à la forme d’une tirelire et que les médias l’ont pris comme symbole pour illustrer tout ce qui est financier. Bien entendu, l’être humain actuel s’est totalement fourvoyé. En massacrant les cochons, il dilapide le capital tant financier que spirituel que la Divinité a mis en lui. Une solution pour remettre le cochon dans la dignité : avoir un ou plusieurs cochons chez soi ou même une petite ferme par village ou par commune en les respectant et en honorant l’être d’abondance qui se trouve en en eux. Cela engendrera la prospérité et la vie douce et permettra à ceux qui le feront de bénéficier, entre autres, du flair en affaire.

les Hathors  
La vache
 
Mère des hommes, elle est une splendeur de la Création. Il y a des siècles, la vache était considérée comme une divinité dans le monde entier. Créatrice du monde, elle était Hathor chez les Égyptiens, Adhumla chez les Vikings. On la retrouve dessinée dans les grottes en Afrique. Elle   était approchée comme un animal sacré sur l’ensemble de la Terre. Elle représentait également la femme céleste, dame de joie et de beauté. Dotée d’un pis à quatre trayons, elle incarnait pour nos  anciens, la mère des quatre saisons. Cette dévotion est naturelle car la vache donne lieu à une alchimie entre les forces du ciel et de la terre…

 Par Marie-Christine Chevalier et Lilas Holvoet

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LA SAGESSE ANIMALE DU BISON

Posté par othoharmonie le 17 avril 2016

 

 La Nature subit les contrecoups de tout ce qui nous arrive et tout ce qui arrive à la Nature a des répercussions sur nous

La conjonction Soleil Vénus libère son énergie le 23 octobre, moment où le Soleil rentre dans le signe du Scorpion.

C’est le moment de vivre l’abondance et la prospérité nouvelles en résonance avec le signe du Scorpion dont la qualité essentielle est le PARTAGE. 

sagesse du bison

Le Tarot de Sagesse Animale » de Ted Andrews offre des textes documentés et inspirés.

« …Le bison nous rappelle que la combinaison du divin au terrestre nous assurera la réussite… La tête est un symbole très ancien de facultés supérieures; chez le bison elle rappelle que nos désirs ne sauraient se réaliser sans la dimension spirituelle… » Ce qui est très en phase avec Neptune dans le signe des Poissonsj usqu’en mars 2025. La dimension spirituelle ne sairait plus être évacuée de nos vies. Elle s’installe naturellement… 

La conjonction Soleil – Vénus facilite le séjour dans l’espace sacré de notre coeur.

Elle est active du 11 octobre au 6 novembre.

Le Scorpion nous permet d’apprivoiser notre sensibilité et nous pouvons montrer la profondeur de notre amour sans nous sentir vulnérable. Le Scorpion aime le vivre ensemble sans faux semblants. 

« …Le bison sert souvent de ses robustes épaules et de sa tête énorme pour enlever la neige sur le sol afin de se nourrir. Cela suggère que nous devons employer toute notre énergie à nos tâches. Si nous le faisons, nous serons récompensés… »

Le 13 novembre Vénus rejoint Saturne qui, comme un père attentif, un mentor sans complaisance, favorise le respect et la confiance en soi et les autres. Il mène directement à la CONSCIENCE. « …Dans ses déplacements, le bison emprunte toujours les pistes les plus faciles, nous rappellent ainsi que la route s’aplanira peut-être devant si nous travaillons à la fois sur les plans spirituels et terrestres, en alliant l’effort et la prière sincère… » 

Du 4 au 20 novembre Mars flirte avec Pluton en Capricorne et libère son énergie « atomique » le 11 novembre. Voilà le carburant nécessaire à nos nouvelles entreprises!   »…Le bison confirme que les efforts que nous avons fait seront récompensés…Nous avons posé les fondations et cela devrait donner d’excellents  résultats. 

 

La Nouvelle Lune du  22 novembre en Sagittaire se situe entre Saturne et Vénus: elle déclenche les situations et évènements latents pendant cette période. 

 La position d’Uranus en Bélier et le Noeud Sud qui s’en approche attire notre vigilance: attention à la répétiton du passé, ne renversons pas le Bison:  »…qui peut indiquer que nous tentons de forcer l’abondance. nous devons nous rappeler que la loi de synchronicité est à l’oeuvre dans nos vies – les choses se dérouleront au meilleur moment et de la façon la plus bénéfique pour nous si nous le permettons… »

Les intuitions fulgurantes d’Uranus rendent parfois impatient: »…en position renversée le bison nous rappelle que nous n’arrivons peut-être plus à suivre le rythme – à suivre le mouvement…Il peut régner une fausse impression de sécurité et nous devons prendre garde à ne pas dépasser nos limites. Il est possible que les besoins des autres aient la priorité sur les nôtres en ce moment »

 Et le boucle est bouclée: nous sommes de nouveau dans notre coeur avec Vénus et le Soleil!

 Pour faire le point sur votre climat intérieur voir Les niveaux de conscience.

Source :  Le Tarot de Sagesse Animale de Ted Andrews

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COLIBRI SUR LE CHAPEAU

Posté par othoharmonie le 20 janvier 2016

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Les colibris ont été victimes de notre admiration. On les a jadis chassés pour leur magnifique plumage. Les autochtones de l’Amérique du Sud utilisaient les plumes des colibris pour leurs ornements. Dans le marché de la mode du milieu du XIXe siècle, en Europe et en Amérique du Nord, les plumes de colibris étaient très convoitées. À cette époque, plusieurs millions de peaux de colibris ont été exportées d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud, non seulement pour décorer les chapeaux et les vêtements des dames, mais aussi pour des manufactures d’ornements et de fleurs artificielles. Plus récemment, on a commencé à en capturer en grand nombre dans des volières et des cages, afin de les observer de plus près. À moins de permis spéciaux, il est interdit de garder les colibris en captivité.

Comment on chasse les oiseaux de paradis à la Nouvelle-Guinée

Quelques lignes n’eussent pas suffi à dénombrer ici toutes les cruautés de la mode. Comment se procure-t-on ces admirables oiseaux de paradis qui font l’ornement des chapeaux de nos élégantes et valent par leur beauté et leur rareté de véritables fortunes ?… Notre gravure montrera à nos lecteurs comment s’opère cette chasse ; et notre Variété leur dira par quelles ruses, et au prix de quels préjudices pour l’agriculture, on s’empare de tant d’oiseaux utiles, de tant de jolies bêtes qui faisaient la joie de la nature et la richesse des campagnes, pour les faire périr dans de hideuses tortures, afin de parer de leurs dépouilles les chapeaux des belles dames.

VARIETÉ
Les Cruautés de la mode

Un paradisier de dix mille francs. – Hécatombes d’oiseaux. – Goélands et mouettes. -Un désastre pour l’agriculture.- La chouette porte-bonheur. – L’électrocution des hirondelles. – Oiseaux étouffés ou écorchés vifs. – Le héron scalpé. Comment on obtient la plume d’autruche: – Les ligues pour la protection des oiseaux. – La mode criminelle et triomphante.

Les cruautés de la mode… En lisant ce titre, mes lectrices vont me taxer d’exagération. -
– Est-il possible, diront-elles, d’accuser la mode de cruauté ?… La mode peut être absurde, ridicule, baroque, elle peut commettre des excentricités… Mais des cruautés ?
Oui, des cruautés !… je maintiens mon titre, mesdames, et je vous demande la permission de dresser un acte d’accusation documenté qui vous convaincra, je l’espère.

Vous avez pu lire, ces jours derniers, dans les journaux, que le Jardin zoologique de Londres venait de recevoir d’Océanie un admirable oiseau de paradis dont on estimait la valeur à dix mille francs pour le moins, en raison de sa rareté.
Eh bien, savez-vous, mesdames, pourquoi ce paradisier est si rare ?… Parce que, sans relâche, depuis des années, on lui fait une guerre impitoyable: on le poursuit, on le capture, on le tue pour que vous puissiez vous en faire une parure.
Et ce qui se passe pour l’oiseau de paradis se produit également pour tous les oiseaux dont la beauté tente votre coquetterie.

Pour vous permettre de satisfaire à cette mode barbare et criminelle, on détruit tout ce que la nature a créé de plus beau, de plus joyeux et de plus inoffensif.
Il faut que vous sachiez pourtant à quels chiffres fantastiques s’élèvent les hécatombes d’oiseaux dont les plumes servent à orner vos chapeaux.

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Les seuls modistes parisiennes consomment annuellement jusqu’à 40,000 hirondelles de mer. Un marchand de Londres, – un seul marchand – a vendu, dans l’année 1907, 32,000 oiseaux-mouches, 80,000 oiseaux de mer et 800,000 paires d’ailes d’oiseaux de diverses espèces. On estime à 300,000,000 le chiffre des oiseaux sacrifiés, tous les ans, dans les pays civilisés, à la mode féminine.
Certains pays sont presque complètement dépeuplés d’oiseaux qui leur sont spéciaux. Tels sont le canard du Labrador, le pigeon de l’île Maurice, le râle d’Auckland, l’étourneau de la Réunion, le bouvreuil de Açores et la mésange à tête blanche.

Mais cette frénésie de massacre ne s’exerce pas que sur les oiseaux exotiques. Les hôtes ailés de nos campagnes et de nos côtes en sont aussi les victimes.
Il y a deux ou trois ans, la chasse des goélands et des mouettes avait pris, en France et en Angleterre, des proportions inquiétantes. Les jolis oiseaux de mer n’eussent pas tardé à disparaître jusqu’au dernier, si ou n’eût apporté en maints endroits des entraves à cette destruction systématique. Dans le comte de Devonshire, près de l’île Lundy, où les mouettes étaient très abondantes, on vit, à maintes reprises, les chasseurs arracher aux oiseaux blessés leurs ailes – qui seules pouvaient servir à l’ornementation des chapeaux féminins – et rejeter à la mer les corps pantelants des pauvres bêtes.

A Granville, un arrêté municipal défendit la chasse aux oiseaux de mer. A Camaret, les pêcheurs eux-mêmes réclamèrent la protection du préfet du Finistère pour ces mouettes et ces goélands qui, disaient-ils, « rendent d’immenses services aux pêcheurs, à qui ils indiquent les bancs de sardines qu’ils suivent dans leur marche. »
Sans cette intervention intéressée, il est probable que l’on ne verrait plus aujourd’hui une seule mouette sur nos côtes.

***

Quant aux jolis oiseaux de nos champs et de nos bois, on sait quelle guerre acharnée leur est faite. Des intérêts électoraux empêchent le plus souvent l’application des lois qui les protègent. Ces lois, dans le Midi surtout; sont lettres mortes. L’extermination en masse des oiseaux par les engins prohibés est ouvertement tolérée. Il n’y a plus d’oiseaux en Provence. Il n’y en a plus guère dans maintes autres provinces françaises. Or, la disparition des oiseaux n’est pas seulement un préjudice pour le pittoresque et le charme des campagnes, c’est encore un désastre pour les récoltes. Un professeur d’agriculture a calculé que 45,000 chenilles, vers et autres insectes étaient nécessaires pour alimenter, dans l’espace d’une saison, une seule nichée de mésanges. C’est au chiffre de 300 millions de francs que les calculs les plus modérés évaluent les dégâts que font subir annuellement à l’agriculture les insectes dont les oiseaux font leur nourriture habituelle. Plus le nombre de ceux-ci diminuera, plus augmentera, par conséquent, le chiffre des déprédations dues à la vermine des champs.

La prospérité économique du pays en sera fatalement ralentie… Mais qu’est-ce que ça peut bien faire aux despotes qui créent la mode et aux brebis de Panurge qui la suivent ?…

Ces oracles avaient, l’an dernier, à pareille époque, décrété que rien ne serait mieux porté sur un chapeau féminin que la tête de la chouette, du hibou, du grandduc et de l’effraie. On se mit donc à faire une chasse furibonde à ces oiseaux de nuit. Or, ils sont de ceux, qu’on devrait protéger envers et contre tout, car chacun sait qu’ils ne vivent que de rats, de souris et de tous ces petits rongeurs qui causent tant de dégâts dans les cultures… Eh bien ! non, pour obéir aux ukases de l’élégance, et pour la satisfaction d’une mode grotesque et barbare, on les détruisit en masse.

Ces bêtes si utiles étaient autrefois victimes d’une superstition qui régnait dans les villages. En liberté, disait-on, elles portaient malheur, alors que, clouées à la porte d’une grange, elles portaient bonheur au logis. Il n’y a pas plus de vingt-cinq à trente ans, j’ai vu encore de ces pauvres oiseaux crucifiés, dont les ailes pleuraient du sang autour des clous.

L’instruction a chassé des campagnes cette croyance féroce. Et c’est le monde des villes, le « beau monde » qui la recueille à présent !… Une feuille mondaine, annonçant cette mode nouvelle, assurait que, « fixée au-dessus d’un joli front, la tête d’une chouette présageait toutes sortes de prospérités ».

Peut-on penser vraiment qu’il y ait chez nous des femmes assez dénuées de bon sens et de sensibilité pour croire qu’un bonheur puisse leur venir d’une aussi imbécile cruauté ?…

La mode, qui ne respecte rien, s’attaqua même, voici quelques années, aux pauvres petites hirondelles qui sont les bons génies de nos toits. Il y eut un moment où l’hirondelle était l’ornement obligé de tout chapeau féminin.

C’est à l’époque de leur migration, quand elles s’apprêtaient à traverser la Méditerranée, ou bien quand elles nous revenaient après l’avoir traversée, que les habitants de certaines contrées du Midi les sacrifiaient par milliers.
Il y avait plusieurs moyens de les prendre. Voici le piège indigne qu’on leur tendait généralement, et qui constituait le moyen le plus expéditif de s’emparer d’elles : on tendait des rangées de fil de fer pareilles à celles des fils télégraphiques. Les hirondelles venaient s’y poser sans défiance. Quand le chasseur jugeait qu’elles étaient en nombre suffisant, il les foudroyait en faisant passer dans les fils un courant électrique d’une grande intensité.

Un de nos confrères rapportait alors ce détail typique sur l’hécatombe des hirondelles : « J’ai vu un jour, disait-il, un plumassier de Paris télégraphier à Marseille pour une commande d’hirondelles. Quatre jours après, il en avait reçu 220 prises en même temps de cette façon expéditive…» Et voilà à quelles inexcusables barbaries la coquetterie féminine doit ses coutumières satisfactions…

***

Mais ces cruautés ne sont rien auprès de celles qu’on fait subir aux jolies bêtes des Tropiques pour leur conserver, mortes, le brillant de leur plumage. Le colibri, l’oiseau-mouche, ces « flammes ailées », comme les appelle Michelet, sont si frêles qu’on ne peut les chasser avec le plomb le plus petit. On les prend avec un piège placé dans la corolle des fleurs dont ils vont sucer le suc, ou bien encore on les étourdit soit en leur lançant du sable au moyen d’une sarbacane, soit en tirant un coup de fusil à poudre, dont la répercussion suffit à les jeter à terre.
Pour prendre les marabouts, les bengalis et les sénégalis, les noirs d’Afrique creusent un trou dans le sable, en des endroits où ils savent que l’eau peut suinter ; ils dissimulent un filet sur le bord de cette mare improvisée. Après le coucher du soleil, les oiseaux viennent en masse s’y baigner et s’y désaltérer. Alors, le filet se rabat brusquement et les pauvres petites bêtes sont captives.

Quant aux paradisiers, les Papous de la Nouvelle-Guinée les prennent à la glu ou avec des lacets. Ils réussissent même parfois à les saisir vivants, en grimpant sur les arbres où les oiseaux dorment. Mais le moyen le plus répandu consiste à les étourdir et à les abattre au moyen d’une flèche faite avec la nervure d’une feuille de latanier, dont le bout est garni d’une lourde boule de gutta-percha.
Tous ces animaux pris vivants ou simplement étourdis sont écorchés vifs ou étouffés dans un four ad hoc. Ainsi, leur plumage n’est point endommagé, ne porte aucune trace de sang, et les belles dames peuvent se parer avec fierté de leurs dépouilles.

1000990-ColibriMais la barbarie la plus abominable est celle qu’on emploie pour se procurer l’aigrette du héron blanc, la plus belle, la plus recherchée de toutes les aigrettes.
Le héron blanc, qui fournit cet ornement si convoité par toutes les modistes de la terre, n’en est lui-même avantagé par la nature que pendant la saison des nids. Très sauvage, en temps ordinaire, il reste, une fois père, auprès de ses enfants, et, absorbé par sa tendresse, se laisse approcher avec facilité. On ne le capture pas, on se contente de lui enlever la peau de la tête, garnie du précieux duvet, et l’infortuné, ainsi scalpé, meurt lentement et douloureusement, près de ses petits, qui ne tardent pas, eux aussi, à périr, faute de nourriture.

Chaque aigrette de héron blanc représente une somme terrible de souffrances subies par une jolie bête inoffensive, et la mort de toute une nichée d’oiseaux… Réjouissez-vous, ô fastueuses élégantes qui pouvez garnir vos chapeaux de ces plumets merveilleux, dont le kilogramme se vend. jusqu’à cinq mille francs sur les marchés de Londres et de New-York, réjouissez-vous ! il n’est pas donné à tout le monde de se parer au prix de tant de cruautés.

La plume d’autruche elle-même ne s’obtient pas, quoiqu’on puisse en croire, sans faire souffrir l’animal. On sait que le fermage des autruches est une industrie qui se pratique en Afrique et dans l’Amérique du Sud. Il y a, au Cap, des fermes d’autruches depuis plus de quarante ans. On récolte les plumes au moment de la mue, c’est-à-dire vers les mois de Juin ou Juillet. Les plumes du dos et du ventre tombent naturellement, mais il faut tirer celles de la queue et des ailes, et ce tirage ne va pas sans brutalité.

Voici comment on s’y prend dans les fermes du Cap. Un gardien attire à l’écart l’autruche en lui jetant du grain. Pendant que la bête baisse la tête, le gardien la saisit par le cou. En même temps, quelques hommes vigoureux se jettent sur elle, se cramponnent aux pattes, aux ailes, et la forcent à s’accroupir. Maintenue en cet état, on lui arrache les plumes des ailes et de la queue. Ce procédé barbare est souvent fatal à l’autruche qui, en se défendant, peut se briser une jambe.
« Il faut souffrir pour être belle » disait un proverbe d’autrefois… « Il faut faire souffrir pour être belle », devrait dire plus justement ce proverbe, aujourd’hui.

***

Au printemps dernier, j’assistais à une conférence antivivisectionniste faite à Paris, dans une salle très mondaine, par un savant médecin. L’auditoire était des plus selects : messieurs en habit, dames en grands falbalas… Car l’antivivisectionnisme devient, à ce qu’il paraît, un petit jeu pour snobs et snobinettes. Or, je remarquai que ces personnes sensibles, qui frémissaient d’horreur au récit des souffrances subies par de pauvres animaux dans les chambres de tortures de la science, avaient toutes d’immenses chapeaux chargés de plumes, d’ailes, d’oiseaux entier… Et ces dames ne semblaient même pas se douter qu’elles étaient elles-mêmes complices de cruautés tout aussi répréhensibles que celles qui soulevaient leur indignation.
0 inconscience !…

Pourtant, les femmes ne peuvent arguer de leur ignorance. Partout, en Allemagne, en Angleterre, en Suisse, des ligues se sont créées pour combattre le port des plumes d’oiseaux. La reine d’Angleterre est, elle-même, à la tête de la ligue anglaise. Elle ne permet, dans son entourage, que les plumes provenant de l’autruche ou de la volaille de basse-cour.

On conte même, à ce-propos, une jolie anecdote. Un jour, la reine Maud de Norvège se présenta à une fête de charité, à Londres, avec un chapeau orné d’une superbe orfraie. La reine d’Angleterre fut informée de ce manquement à ses principes.

Elle manda sa fille et lui intima l’ordre d’enlever immédiatement ce chapeau. Et la reine Maud obéit et donna désormais l’exemple du respect aux volontés si généreuses et si humaines de sa mère.

En Amérique, certains États ont même fait des lois contre cette mode barbare « Aucune femme, mariée ou non, dit une de ces lois, ne pourra porter sur son chapeau d’autres plumes que celles provenant d’un dindon, d’un coq ou de tout autre oiseau de basse-cour destiné à l’alimentation… »

Des amendes considérables punissent toute infraction à cette loi.
Eh bien, en dépit de tout cela, cette mode absurde et cruelle subsiste, plus forte, plus impérieuse que jamais. Le ruban, la fleur, ces industries si françaises, sont abandonnées: la plume triomphe ! Il paraît que les chapeaux de femmes, cette saison, seront encore plus garnis de dépouilles d’oiseaux qu’ils ne le furent jusqu’ici.
Allons !… Nous vivons décidément en des temps singuliers. Les objurgations en faveur de la raison et de la pitié ne rencontrent qu’indifférence et cynisme, et il en est, hélas !des crimes de la mode comme des autres crimes : ils restent impunis.

Ernest LAUT. Le Petit Journal illustré du 8 Novembre 1908

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Le Peuple Animal nous accompagne

Posté par othoharmonie le 22 décembre 2015

CHEVAL

Le Peuple Animal, par sa grande proximité, charnelle et émotionnelle, nous touche et nous accompagne. Il fait rêver notre esprit, il nous attire et, ainsi, la communication vers le Vivant est déjà en marche, rien que par cet espace et instant de Rêve, siège de notre Amour.

Par son élan de vie, l’Animal libère et guérit. Il apaise par sa bienveillance et cet amour profond et sincère toujours disponible, quoi qu’il pense de nous ou d’une situation. Accueil, absence de jugement, liberté d’aimer… et de recevoir également notre amour enfin libre de se déverser chez un être qui ne critique pas et ne se juge pas non plus, donc ne juge pas et ne se limite pas. Ainsi, quand nous aimons un animal (sauvage, presque virtuellement à distance, ou domestique), ou quand nous nous laissons aimer par un animal, nous touchons au plus près cet Amour enveloppant qui sublime tout détail de Vie, au-delà et en dedans des vivants. 

L’Animal nous aide à comprendre tant le monde de l’Esprit (et des Esprits) que celui de la Matière qui s’exprime en toute échelle du corps et du mental, et sans qui peut-être rien ne serait envisageable. Les Animaux nous aident à entendre, réunir et équilibrer l’immensité et la particularité, le Tout et l’individualité, et je suis de celles qui pensent qu’ils sont pour nous une véritable bénédiction. Certains imaginent que si nous portions et exprimions une partie de leur sagesse et amour, la Terre rayonnerait d’amour, de respect et de paix.

L’Animal, de par toutes ses manifestations, y compris physiques, nous exhorte à aller vers un rythme BIO-logique : en accord et en sens avec et pour la vie : ralentir ou pour certains se motiver mais toujours écouter le Temps de la Vie et son expression.

Florence Emmeline Lombardini

Ostéopathe animalière de formation vétérinaire, communicante animale, claire-sentante

Facebook : Florence Lombardini

Association Wakama Nagi – Esprit Animal : www.wakama-nagi.org

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L’Animal et le Non Jugement

Posté par othoharmonie le 20 décembre 2015

Non jugementLe Temps est silencieux, comme un grand sage qui ne dévoile pas même sa raison d’être car il ne la quête pas. Ce point de Silence où tout est possible ; cet espace de silence qui s’ouvre, offrant un temps infini et illimité ( ?) à chaque accueil et appel vers le Soin.

Au-delà de toute idée sur la vie et les mœurs de chacun, les Animaux offrent leur tempérance, l’accueil du Juste, sans oublier leur fougue vivante ! Vers le Non Jugement pour laisser s’éveiller librement la Vie en nous… et en chaque vivant.

Un Animal ne va pas penser à travers nous pour nous dire ce qui devrait être différent pour nous, comme pourrait le faire un thérapeute humain, ou comme nous le faisons chaque jour pour nous ! Par contre, il saura nous orienter indéniablement vers notre mieux, ainsi et toujours, c’est juste merveilleux ! Et quand son cœur sent que la voie est bonne et généreuse, pour nous, alors il fonce et y met tout son engagement et sa foi, son énergie, en nous accompagnant, nous poussant, sans lâcher… tout en accueillant le fait que nous puissions choisir de ne pas écouter le sens vers lequel nous pousse la Vie, tout en accueillant et acceptant le fait qu’il nous faille parfois un certain temps pour être touché et réaliser. Tout ceci, sans nous aimer moins. C’est incroyable cette constance que les Animaux manifestent à notre égard, cette confiance à l’égard de la vie elle-même ! Ce n’est pas grave, tout se fera, en son temps, selon les modalités les plus propices pour chacun, peuvent-ils dirent ! Mais quel bonheur quand ils se sentent entendus !!!

Il n’y a donc pas forcément d’acharnement thérapeutique au point de renier le son de la Vie. Mais aussi sans doute leur lien à la mort n’est pas construit comme celui des Humains, il est vécu, de même que le lien vécu à la notion de maladie. En toute conscience animale, un échec apparent n’est pas grave à l’échelle du vivant… l’essentiel est de trouver son Cœur, à un moment. On peut mettre des milliards d’années pour cela. Les Animaux ont foi dans ce processus global, qui dépasse et englobe tout vivant, d’ici et maintenant, d’ailleurs et du passé-futur. Les Animaux savent écouter ce qui est détail tout autant ce qui est plus vaste que l’individu et leur compréhension ne cherche pas à s’arrêter et à se nourrir en désignant des causes ou des conséquences forcément, leur compréhension est là juste pour accueillir la vie, « prendre avec eux» et non classifier, ordonner et légiférer dans la partialité et le jugement.. ils ne forcent en rien les candidats humains au soin, ils soutiennent et accompagnent, tout en leur insufflant tellement d’amour et de mouvement ! Un soin enseigné auprès d’eux réactive nos voies des possibles, y compris dans le miracle du temps : chacun est libre d’évoluer à son rythme : celui proposé par la rencontre entre l’Être et sa Vie. L’Animal, de par sa présence toute généreuse, crée une ouverture dans laquelle le miracle du repositionnement instantané est possible, l’abandon imminent de toute souffrance et même de toute addiction à n’importe quelle souffrance, quelles qu’en soient ses croyances ou illusions fondatrices.

Pour l’Animal, pas de technique de soin car il n’y a pas établissement d’un diagnostic ou de détails morbides à changer, rien à reconnaître d’autre que la Grâce qui vit en chacun et qui est disponible partout. Lors d’un soin animal, tout est entendu, écouté et accepté, rien n’est rejeté… car tout est ok, de la matière à l’esprit, car c’est la liberté qui prime sur les lois psychiques et autres. L’Homme, quel qu’il soit, auprès d’un Animal en pleine conscience, ne croit plus être aliéné à une logique mentale, temporelle pensée par une culture ; il se sent libre d’opérer des changements, en vue de vivre, tout simplement. Blotti dans le cœur d’un Animal, ou recevant le cadeau de l’impulsion de vie présente dans un Animal, l’Homme va à nouveau avoir ENVIE de ne plus appartenir à une catégorie, de ne plus s’identifier… sauf à un vivant qui sait sentir la Vie ! L’Animal, en conscience, est libéré de ses attentes et nous offre en retour la même chose : sortir d’un soin libre d’attente, déjà satisfait !

Extrait de Florence Emmeline Lombardini

Ostéopathe animalière de formation vétérinaire, communicante animale, claire-sentante

Facebook : Florence Lombardini

Association Wakama Nagi – Esprit Animal : www.wakama-nagi.org

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L’ANIMAL TOTEM Le Totem de vie

Posté par othoharmonie le 29 novembre 2015

 Le totem de vie est le totem qui nous suivra durant toute notre existence, sauf si nous avons subi un changement important dans notre vie, tel un choc psychologique ou une prise de conscience soudaine. Quoi qu’il en soit, seul un changement brusque de personnalité entraîne un changement de totem de vie imminent.

animaux réunis

Sans cela, notre totem de vie nous reste attribué tout au long de celle-ci. Le Totem de voyage Le totem de voyage est un messager temporaire, un guide à suivre qui nous instruit. Observer l’apparition d’un Animal dans notre vie, une affection soudaine que l’on porte à un Animal. Le Totem messager Ce totem est présent pour nous avertir, ou nous donner un message spirituel pour le jour en cours et/ou ceux proches à venir. Observer les comportements ou l’apparition d’Animaux pour le découvrir. Le Totem ombre Ce totem nous montre nos points faibles, ce que nous devons combattre en nous. Il nous teste, et une fois vaincus ces défauts qu’il décèle en nous, il disparaît satisfait. Il peut alors y en avoir un second, qui fera son apparition. Pour le trouver, analyser nos peurs et tous ce que nous appréhendons. Les Totems directionnels Selon la tradition Amérindienne, nous possédons tous un Totem animal directionnel ; ils sont au nombre de 9 et appartiennent à chacun des neuf mondes :

Est : L’animal nous guide vers nos plus grands défis spirituels et nous protège sur la voie de l’illumination.

Sud : L’animal protège notre enfant intérieur ; il nous rappelle aussi les moments où nous devons faire preuve d’humilité et accorder notre confiance afin que l’innocence équilibre notre personnalité.

Ouest : L’animal nous mène vers notre vérité personnelle et vers nos réponses intérieures. Il nous indique aussi le sentier à prendre pour atteindre nos buts.

Nord : L’animal donne de sages conseils sur quand parler et quand se taire. Il nous rappelle aussi de rendre grâce pour les bénédictions de chaque jour.

Au-delà : L’animal nous enseigne à rendre hommage à la Grande Nation des Étoiles ; il nous rappelle que nous venons des étoiles et que nous retournerons vers les étoiles. Cet animal est aussi le gardien de l’espace du rêve ; c’est notre clé personnelle d’accès aux autres dimensions.

En deçà : L’animal nous renseigne sur l’intérieur de la Terre ; il nous indique comment rester branché et dans la bonne voie.

Au-dedans : L’animal nous enseigne comment trouver la joie de notre cœur et comment rester fidèle à nos vérités personnelles. C’est aussi le gardien de notre espace sacré, de la place qui nous appartient à nous seul et que nous partageons seulement sur invitation.

À la droite : Cet animal protège notre aspect masculin et nous enseigne que, quel que soit le côté où nous nous tournons, il restera notre protecteur intime. Cet animal est aussi garant de notre courage et de notre esprit guerrier.

À la gauche : Cet animal protège notre aspect féminin et nous enseigne que nous devons apprendre à recevoir l’abondance aussi bien qu’à nous nourrir et à nourrir les autres. L’animal est aussi notre maître face aux liens et au maternage. Les Totems primordiaux Mais par-delà tous les Totems, les plus important dans notre être sont le Totem Âme, qui est notre Totem primordial, le Totem Esprit et le Totem de personnalité.

Le Totem Âme, comme le nom l’indique, est notre nature profonde, notre être véritable, notre identité propre.

Le Totem Esprit est celui de nos aspirations, de notre voie, de nos choix, de nos décisions…

Le Totem de Personnalité, quant à lui, englobe notre caractère, notre comportement, notre apparence, nos buts et notre destinée. N’oublions pas qu’un Totem peut changer ; mais ceci ne se fera que si nous décider de changer le cours de notre vie, ou par un choc psychologique par exemple.

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A la découverte de votre animal TOTEM

Posté par othoharmonie le 29 novembre 2015

Le mot « totem » est dérivé d’un mot objibway : le mot « odem », qui fait référence au lien mystique qui unit l’esprit à un lieu ou à une nation.

totémismeLes animaux totémiques étaient souvent attribués lors d’une vision ou simplement par décision d’un conseil pour la tribu. Par exemple, chez les Mohawks il existe trois clans dont les totems sont : l’Ours, le Loup et la Tortue. De même chez les Objibways, à la suite de l’arrivée des Européens, il fut décidé par le Conseil de créer deux nouveaux clans pour les enfants de la nation qui avaient du sang anglais ou américain. Les animaux totémiques pour ces deux clans étaient le Lion et l’Aigle à tête blanche, qui sont en fait les animaux emblématiques des deux pays.

Dans plusieurs nations amérindiennes, lorsque les jeunes gens voulaient connaître leur animal totem, ils partaient en quête de visions. Ils devaient passer quatre jours et quatre nuits dans les montagnes ou dans la forêt sans manger ni boire. Pendant ce temps de jeûne ils priaient et demandaient au Grand-Esprit de bien vouloir leur envoyer une vision. Un animal apparaissait souvent d’une façon très réelle et cet animal devenait l’animal totem de la personne à qui il était apparu. Il devait apporter sa protection, son courage et sa sagesse tout au long de la vie de cette personne. De même, les hommes s’attribuaient souvent les caractéristiques propres à leur totem.

Chez les Indiens des Plaines, surtout chez les Sioux et les Chippewas, les pouvoirs de l’Ours étaient souvent invoqués avant d’aller à la guerre. Les hommes peignaient sur leur visage des marques qui ressemblaient à des griffes d’Ours, ou ils portaient sur eux un couteau à double lame, dont la poignée était sculptée dans la mâchoire d’un Ours. Il est certain que les animaux utilisés comme totems peuvent varier d’une nation à l’autre ainsi que leur signification. Mais dans l’ensemble nous pouvons observer une constante qui relie tous les peuples d’Amérique du Nord.

Pour chaque grande religion, l’existence d’êtres spirituels et leur aide aux créatures dans le monde matériel a toujours été une réalité. Les Grecs parlaient aux esprits et aux dieux par le biais de leurs oracles. Les Boschimans ont développé des rituels et des mythes autour des mouvements et activités d’animaux comme l’Élan et la Mante Religieuse. Les Amérindiens imitaient, dans leurs danses, différents animaux pour entrer en contact avec le monde des esprits. La croyance en les dimensions spirituelles de la vie et toutes ses multiples manifestations est universelle.

L’idée la plus répandue dans ce contexte est que les guides spirituels se servent souvent d’animaux ou de représentations animales pour renseigner l’être humain de leurs intentions et de leur fonction ou rôle dans sa vie et dans le monde. Notre société moderne et rationnelle a plutôt tendance à se moquer de ces moyens de communication. Cependant, celui qui étudie sérieusement notre patrimoine culturel, nos anciens mythes et écrits, rencontrera un grand nombre d’être spirituels – qu’il s’agisse de saints, d’anges, de contacts avec les ancêtres, de fées et d’elfes, de démons ou même d’animaux totem… Quand une croyance comme celle-ci est tellement universelle, elle doit posséder, me semble-t-il, au moins une certaine crédibilité. Dans les descriptions, ces êtres se présentent d’une manière aussi diverse que les personnes qu’on rencontre dans la vie de tous les jours. Ils remplissent de nombreuses fonctions.

Ils peuvent vous aider à devenir conscient de vos dons. D’autres vous procurent de la force et vous protègent. Ils peuvent procurer de l’inspiration et leurs énergies peuvent stimuler votre guérison et évolution. Une des formes que les guides spirituels adoptent le plus souvent est celle des animaux. Dans la plupart des anciennes cultures, les gens étudiaient la nature afin de mieux comprendre le surnaturel. La nature – et plus particulièrement les animaux – peut établir un lien entre TOTEMles dimensions spirituelles et matérielles. Un totem peut être n’importe quel objet, végétal, animal ou être de la nature, représentant les phénomènes et les énergies avec lesquels nous avons une grande affinité. Nous nous concentrerons ici sur les esprits totems animaux. L’étude et les connaissances d’animaux totem sont d’une valeur inestimable pour comprendre la façon dont le monde spirituel se manifeste dans votre vie. Vous pouvez utiliser les animaux totem et leurs représentations comme moyen pour en apprendre plus sur vous-même et le monde invisible.

En déterminant quel est votre animal totem, en l’étudiant par la suite et apprenant à devenir un avec lui, vous pouvez invoquer ses forces chaque fois que vous en avez besoin. Grâce à l’animal en tant que medium, vous pouvez entrer en relation avec des forces et patterns archétypaux. En même temps, vous comprendrez mieux les patterns dans votre propre vie. Une fois que vous aurez reconnu vos animaux totem, vous aurez une vision plus claire de la vie. Vous verrez vous-même la réalité par d’autres yeux. Vous recevrez de nouvelles inspirations et deviendrez plus créatif. Mieux vous comprenez votre totem, mieux vous vous comprenez vous-même.

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DECLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L’ANIMAL

Posté par othoharmonie le 24 octobre 2015

 

Préambule :

Considérant que la vie est une , tous les êtres vivants ayant une origine commune et s’étant différenciés au cours de l’évolution des espèces, Considérant que tout être vivant possède des droits naturels et que tout animal doté d’un système nerveux possède des droits particuliers , Considérant que le mépris , voire la simple méconnaissance de ces droits naturels provoquent de graves atteintes à la Nature et conduisent l’homme à commettre des crimes envers les animaux , Considérant que la coexistence des espèces dans le monde implique la reconnaissance par l’espèce humaine du droit à l’existence des autres espèces animales . Considérant que le respect des animaux par l’homme est inséparable du respect des hommes entre eux ,

Déclaration-Universelle-des-Droits-de-lAnimal

IL EST PROCLAME CE QUI SUIT :

Article 1

Tous les animaux ont des droits égaux à l’existence dans le cadre des équilibres biologiques. Cette égalité n’occulte pas la diversité des espèces et des individus.

Article 2

Toute vie animale a droit au respect .

Article 3

1-      Aucun animal ne doit être soumis à de mauvais traitements ou à des actes cruels.

2-      Si la mise à mort d’un animal est nécessaire , elle doit être instantanée , indolore et non génératrice d’angoisse.

3-      L’animal mort doit être traité avec décence .

Article 4

1-      L’animal sauvage a le droit de vivre libre dans son milieu naturel et de s’y reproduire .

2-      La privation prolongée de sa liberté , la chasse et la pêche de loisir, ainsi que toute utilisation de l’animal sauvage à d’autres fins que vitales , sont contraires à ce droit .

Article 5

1-      L’animal que l’homme tient sous sa dépendance a droit à un entretien et à des soins attentifs .

2-      Il ne doit en aucun cas être abandonné , ou mis à mort de manière injustifiée.

3-      Toutes les formes d’élevage et d’utilisation de l’animal doivent respecter la physiologie et le comportement propres à l’espèce .

4-      Les exhibitions , les spectacles, les films utilisant des animaux doivent aussi respecter leur dignité et ne comporter aucune violence .

Article 6

1-      L’expérimentation sur l’animal impliquant une souffrance physique ou psychique viole les droits de l’animal .

2-      Les méthodes de remplacement doivent être développées et systématiquement mises en œuvre.

Article 7

Tout acte impliquant sans nécessité la mort d’un animal et toute décision conduisant à un tel acte constituent un crime contre la vie .

Article 8

1-      Tout acte compromettant la survie d’une espèce sauvage , et toute décision conduisant à un tel acte constituent un génocide , c’est à dire un crime contre l’espèce .

2-      2- Le massacre des animaux sauvages , la pollution et la destruction des biotopes sont des génocides .

Article 9

1-      La personnalité juridique de l’animal et ses droits doivent être reconnus par la loi .

2-      La défense et la sauvegarde de l’animal doivent avoir des représentants au sein des organismes gouvernementaux .

Article 10

L’éducation et l’instruction publique doivent conduire l’homme , dès son enfance , à observer, à comprendre, et à respecter les animaux

La Déclaration Universelle des Droits de l’Animal a été proclamée solennellement à Paris , le 15 octobre 1978, à la Maison de l’Unesco . Son texte révisé par la Ligue Internationale des Droits de l’Animal en 1989, a été rendu public en 1990.

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Les plumes et le duvet

Posté par othoharmonie le 10 octobre 2015

 

 

Contrairement aux discours de l’EDFA (ASSOCIATION EUROPÉENNE DES INDUSTRIES DE PLUMES ET ARTICLES DE LITERIE), les plumes et le duvet (1)  utilisés très largement par les industries de l’habillement et de la literie sont bel et bien issus de la cruauté.

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En effet, la majorité des plumes et du duvet utilisés pour garnir divers textiles ne sont pas issus du plumage d’animaux déjà morts, ni de la récupération de plumes tombées à terre dans les élevages !

Le plumage à vif est la méthode standard dans les principaux pays producteurs ! 

En 2009 les journalistes de France 2 ont filmé un élevage d’oies en Hongrie. Ces volatiles sont plumés à vif, leur douleur est insoutenable tout comme les images diffusées dans le cadre de ce reportage.

La Hongrie n’est malheureusement pas le seul pays à pratiquer cet acte cruel… 

Le plumage des oies vivantes peut représenter jusqu’à 80% de la collecte mondiale des plumes et si la Chine prend une importance croissante, les principaux producteurs de plumes sont européens, parmi lesquels la Hongrie, la Pologne et… la France.

Les plumes sont arrachées du cou, du dos et de la poitrine, en blessant souvent grièvement les animaux. Les plaies sont, dans le meilleur des cas, cousues immédiatement et sans anesthésie par les ouvriers et les ouvrières.​

Les animaux sont ensuite soit laissés dehors – c’est ainsi que les animaux plumés vivants souffrent, en plus de leurs blessures, du froid, et cela afin que nous ayons bien chaud ! – soit ré-entassés dans des hangars dans des conditions désastreuses.

Le 30 Juin 2009, à 40 km de Hambourg, dans le village de Königsmoor, Allemagne…

En secret et dans la plus grande sécurité le personnel de l’une des plus grandes installations d’élevage d’oies en Allemagne commet des cruautés illégales envers les animaux. Systématiquement, des centaines d’oies sont brutalement poussées vers une machine à plumer, machine créée en réalité pour le plumage d’animaux morts.

Sur cette vidéo tournée à leur insu, on peut voir les disques rotatifs en métal cassant le duvet de la peau des oies pleurantes. Les machines résonnent comme les scies circulaires, et on peut entendre les cris de panique des oies. Un employé attrape les oies grossièrement à l’aile ou la gorge, pour les plumer. Les oies essaient de fuir et elles sont poussées à coup de pied dans la machine à plumer. Un membre du personnel se met en colère et frappe sur une oie. Les animaux une fois plumés sont jetés dans le pâturage – ils s’enfuient, ils sont paniqués. Quelques animaux restent, la procédure de plumage leur a infligée des blessures trop graves pour survivre, bon nombre d’entre eux mourront. 

(1)Lexique spécialisé :

  • Le duvet : Plumage formant la première couche des oiseaux aquatiques et se composant de touffes de filaments légers et moelleux qui poussent à partir d’un noyau faiblement ébauché, mais n’ont ni tige ni vexille.
  • La plume : Enveloppe cornée des volailles. Elle a un vexille plus court et plus doux que les pennes et, contrairement aux flocons de duvets, elle a une tige bien développée.

 

téléchargement (2)Dans le doute, n’achetez pas !

D’une part, des produits déclarés « sans plumage à vif » peuvent provenir d’animaux qui avaient été précédemment plumés à vif ! Les magasins qui vendent des oreillers et des couettes ne savent pas toujours d’où viennent les plumes ni comment elles sont produites à causes de nombreux intermédiaires de la filière.

​Et si vous vous demandez si les plumes qui se trouvent dans vos oreillers, doudounes, coussins et autre proviennent d’une oie ou d’un canard vivant à qui on a arraché les plumes  ou si elles proviennent d’un volatile mort, vous constaterez qu’il n’y a à ce jour aucun moyen de le savoir.

Explications dans l’excellent et très complet article fait par l’association Respect Animal.

A noter : même si la production de volailles (poulets, dindes, pintades) est la seconde production de viande en France après le porc et devant le bœuf et le veau, les plumes ne représentent environ que 5% du poids vif des animaux, et la production de  »plumes neuves », par opposition aux « plumes de récupération », via ce canal, est d’une importance toute relative.​​

 

 

Le cas du duvet de canard…

Selon l’état actuel de nos informations, on ne plume pas les canards, vivants s’entend… Malheureusement, là encore, il y a de nombreuses possibilités de fraude : on pourrait y mêler du duvet d’oie, et les éleveurs de canards pourraient être incités à plumer également leurs animaux.

En outre, la plupart des canards sont engraissés dans des élevages de masse cruels, et souffrent par millions pour la production de foie gras..

 Pour comprendre ce qu’est le foie gras, n’hésitez pas à vous rendre sur le site de l’association L214 !​​

 Au 21ème siècle …

Il existe tant de matières alternatives pour assurer notre confort ! Les produits synthétiques sont tout aussi efficaces et confortables !

Ainsi le polyester ou le gel microfibre reproduisent de nos jours parfaitement dans les couettes et autres articles de literie l’effet gonflant typique du duvet de canard ou du duvet d’oie. Il existe de nombreuses variétés de fibres en polyester (Quallofil Air, Hollofil, Cyclafill…). Plus les fibres sont élaborées de façon à contenir de l’air, plus elles sont légères tout en restant isolantes. Certaines sont siliconées pour avoir un toucher proche des couettes naturelles, les fibres glissent plus facilement les unes sur les autres comme le duvet.

Ces matières synthétiques ont également un très bon pouvoir isolant comme en témoigne leur emploi par les unités spéciales de l’armée ou les fabricants de vêtements et literie pour les sports extrêmes… – « Sur le plan du confort thermique, notre test ne montre pas de réelle différence entre naturelle et synthétique » Que Choisir, article sur les couettes, décembre 2011. 

De plus, ces alternatives synthétiques sont moins chères, plus résistantes à l’humidité, et conviennent également aux allergiques (certaines personne le sont aux plumes et duvet).

Et les alternatives synthétiques aux plumes et duvet ont également tout bon côté environnemental, si on les compare avec les bilans environnementaux de la production de plumes et de duvet (élevages industriels + traitement par des procédés chimiques complexes), lesquels sont extrêmement négatifs !

Sans parler bien sûr du nettoyage : pour le nettoyage des couettes en plumes et duvet, direction le pressing ! Les couettes synthétiques présentent de grands avantages écologiques également en termes d’entretien : elles passent à la machine à laver, de 30 à 90°, ainsi qu’au sèche-linge !

Enfin, la plupart des fabricants développent des gammes à base de polyester recyclé, souvent associées à des enveloppes également « vertes », coton « bio », viscose de bambou, etc. 

​Ces souffrances inimaginables sont infligées pour des raisons évidentes de rentabilité.

Les vétérinaires contactés parlent de torture, ces pauvres bêtes pourront être plumées 4 fois pour récolter des plumes ou du duvet toujours plus doux pour contenter les acheteurs…

 

 oies-blanches

​ Le cas du duvet d’OIES…

 

Au cours de leur brève existence, les oies sont plumées 2 à 4 fois à la main par des « brigades de plumage ». Ce travail est payé à la pièce : en l’espace de 5 heures, on plume ainsi à nu environ 3000 animaux. L’Union Européenne interdit cette façon de procéder mais il n’y a pas de sanction!

Les usages méconnus des plumes….

En sus des utilisations connues des plumes pour habillement et literie, les industriels exploitent de bien d’autres manières ces produits de la souffrance animale ! Ainsi on trouve des plumes dans les matériaux d’isolation, l’industrie automobile, les engrais et les farines animales (ainsi, entre autres utilisations, la poudre de plume ou farine sert comme farine animale, et transformée, donne la cystéine, utilisée en boulangerie comme correcteur de la force de la pâte à pain…).

 

Des articles pour aller plus loin …

Un très bon article synthétique sur le sujet, avec deux vidéos, d’Animalier.

Un article de la FAO, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, qui explique de façon pragmatique les réalités de l’industrie : « Production de plumes et de duvets«  

L’article de l’association One Voice dénonçant la prise de position en 2010 de l’EFSA, favorable à la collecte sur animaux vivants !

​Un article de la fondation « 30 millions d’amis » faisant le point sur la situation et la législation européenne.

Un article en français expliquant le scandale allemand de 2009.

Une vidéo de campagne de PETA à la fois sur le plumage et le foie gras.

SOURCE DE l’ARTICLE : http://www.laissons-leur-peau-aux-animaux.org/

 

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L’Animal offre un soin

Posté par othoharmonie le 6 septembre 2015

Là où l’esprit – le mental – humain peut porter des limites ou des jugements de valeurs fondés sur des croyances… l’Animal, en tout point du globe, au-delà de son histoire particulière, y voit des espaces possibles où la vie peut s’exprimer en toute liberté. A notre image aussi, le message conscient des Animaux est le même sur tout le globe… amour, écoute, échange, entente….et non attachement à ce que l’on croit vivre pour se nourrir que de ce que l’on Vit vraiment. L’Animal offre un soin (ou nous aide à aller vers la pratique d’un soin) dépouillé de l’ancrage à la souffrance, à la répétition du drame comme passage obligé. Un soin où l’Animal propose de voir et de recevoir du NEUF, du direct du Grand Cœur de la Grande Âme du Monde, comme une mère à tous, toute bienveillante. Un soin où même les apparents résultats, ne sont ni jugés ni même attendus sous une forme précise, totalement libres de se manifester ici ou ailleurs, maintenant ou plus tard ou déjà, remodelant l’Histoire…

soin animal

Celui qui est soigné, cet individu totalement Sacré, est parfait à chaque moment et le restera même en exprimant encore des incapacités physiques ou des limitations à l’expression de sa toute lumière. Un soin où rien n’est attendu… mais où Tout est possible, le plus beau est possible car il est déjà inscrit au plus profond de chaque vivant, dans la moindre parcelle de chaque matière vivante. Il n’y aura plus qu’à le laisser se Manifester, pour notre plus grand bonheur, même si à certains niveaux d’intellectualisation, nous ne comprenons sa manifestation car nous n’avons pas les antennes pour le capter ! Et cela n’est pour les Animaux qu’une question toute relative de temps et non une question duelle comme « est-ce possible ou est-ce impossible ? ». L’Animal reconnaît notre potentiel infini à Tous et ne cherche pas à influencer ou limiter la façon et le déroulement selon lesquels le soin va s’exprimer. Car une part de l’essentiel est que ce soit déjà inscrit au fond de Nous, tous, et que sans nul doute, la Foi en action de la vie va pousser à toutes ses manifestations d’abondance, de béatitude, de profit sous toutes ses formes.

Et aussi le Soin, ou (se) porter soin, c’est donc juste accueillir ce qui est, et accepter comme l’on est dans tout ce que l’on porte et tout ce que l’on réussit à exprimer, dans l’instant plus ou moins en accord avec la Vie qui coule en nous. Cet Accueil est riche de possibles et d’ouvertures qui nous rendent libres et heureux de participer au collectif Vie, au point de décider consciemment de lâcher tout simplement toutes nos identifications, même les plus soit-disantes spirituelles!

Pour moi, c’est LA force animale, celle de réunir par-delà les masques et idées et de nous redire à chaque moment : tu peux, tu es libre, c’est possible, mais si tu ne peux complètement, viens dans la Vie et vis le bien.

Cette force qu’ont les Animaux, force d’écoute intime de l’autre, dans toutes ses réalités et dimensions, en les accueillant toutes, mêmes celles qui dépassent leur cadre de vision, sans les séparer, les juger, les comparer, mais en les sentant et les sachant de l’intérieur en ce qu’elles représentent. Une véritable attitude de Soignant qui crée un espace libre de Vie. Cette force de Non Jugement, qui ne trie pas, ne crie pas non plus à tort ou à raison, qui respecte à l’infini ce que nous sommes et comment nous sommes et sous quelles formes nous évoluons. Cette force qui comprend bien au-delà de ce que nous savons de nous et de ce que nous savons mettre en mots ou en pensées. Cette force qui t’enveloppe tel que tu es, tel que tu ES, tout simplement, comme une Mère et tout en t’insufflant l’Energie d’avancer et de t’aimer, comme un Père, car, pour les Animaux, sans distinction aucune, tous ensemble, nous formons l’Unique. Pour Eux, dans leur cœur conscient, pas de doute qui alarme et fait peur, juste une infinie Bonté qui nous mène, nous aussi Humains, amis et alliés car vivants, vers la réalisation de notre Paix et Entente, vers l’harmonie, vers l’accueil, même petit, même partiel, même intermittent, de la douce sensation que la Grande Vie coule en nous, nourrissant notre vie, nous parlant délicatement sans jamais faillir, pour nous permettre de susciter en nous et autour de nous un certain bonheur immense. Il s’agit, dans ma compréhension, d’un Foi absolue en la Grande Vie que nous montrent les Animaux. Et ainsi, ils ne forcent jamais personne à changer. D’eux émanent une immense bonté, une richesse de cœur, de compréhension et d’écoute qui ne croît pas aux dogmes.

Dans leur regard, qu’il soit quotidien ou en lien conscient, les Animaux ne portent jamais trace de jugement, car ils vous savent, ils nous savent, comme ils savent – au-delà de tout apprentissage ou expérience de vie — que la vie est bonne en chacun, insécable et illimitable, dans l’instant et dans l’espace.

Extrait de Florence Emmeline Lombardini

Ostéopathe animalière de formation vétérinaire, communicante animale, claire-sentante

Facebook : Florence Lombardini

Association Wakama Nagi – Esprit Animal : www.wakama-nagi.org

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Communication émouvante avec une panthère

Posté par othoharmonie le 2 septembre 2015

Communication

Voici une vidéo qui démontre que la communication est très possible avec les animaux.

Voici les grandes lignes de ce qui est dit, car la vidéo est en anglais :

C’est une partie de l’histoire de cet homme, ancien policier, qui a décidé de consacrer sa vie pour aider les félins venus de zoos, où ils étaient quelques fois, maltraités.

Un jour, il va chercher une panthère, appelé Diablo, qui est très agressif, réagit aux humains en mordant et blessant et qui ne se laisse approcher par personne. L’animal reste dans son enclos nocturne tout le temps. Pendant six mois, c’est la même chose : aucun moyen d’approcher la panthère. Cet homme dit qu’il ne croit pas du tout que les animaux peuvent communiquer leurs pensées aux humains … il est plus que sceptique.

Une femme vient communiquer avec l’animal, qui lui fait savoir qu’il a été mal traité par le personnel du zoo où il était. Il y avait toujours des attentes envers lui et il n’aimait pas cela. Il se méfie des humains, au plus haut point.

Aussitôt que cette femme s’approche de la cage, il ne grogne même pas, il est calme et relaxé. Elle dit que l’animal est inquiet du sort de deux bébés qui se trouvaient dans sa cage, au zoo.

Ce message bouleverse l’homme, car il sait que la femme n’avait aucun moyen de savoir ce détail, car tous les membres de son équipe, l’incluant lui-même, ne se souvenait de cela. 

Il n’en revient pas ! Ils s’informent donc de l’état des bébés et donne de bonnes nouvelles à la panthère. L’animal dit être content de savoir cela et est aussi content de savoir que personne n’attend rien de lui. Il peut vivre sa vie en paix. La panthère dit qu’il n’aime pas le Nom Diablo, qui a une connotation sombre et le nom de Spirit lui est alors donné. La femme dit que cet animal est empli de sagesse et mérite le respect. 

Plus tard, on voit la panthère sort de son enclos pour la première fois et explorer son nouvel environnement. On voit que l’homme est vraiment ému du message de l’animal et a décidé, par la suite, de suivre une formation en communication animale, ce qui lui sert régulièrement pour son travail avec les félins.

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Le rôle spirituel de nos animaux de compagnie

Posté par othoharmonie le 22 juillet 2015

 

chien-handicapSi chaque espèce s’incarne dans le but d’expérimenter une certaine perspective sur la vie, les animaux de « compagnie » tels que le chien et le chat par exemple, s’incarnent, eux, dans le but de partager une expérience avec l’Homme. Ils sont là pour apporter quelque chose à l’Humain et pour vivre cette expérience du lien avec l’Humain (cela sert les deux perspectives).

La raison pour laquelle il est si facile d’aimer les animaux, c’est qu’ils sont naturellement en alignement avec eux-mêmes (sauf dans le cas d’animaux qui ont trop été influencés et contrôlés par l’Homme, par exemple un chien maltraité qui vivra dans la peur d’être lui-même et s’alignera sur la volonté de son maître en s’oubliant lui-même).

Ce que nous appelons vulgairement « l’instinct », est un en fait un haut état d’alignement avec soi-même. Que veut dire être aligné avec soi-même ? Cela veut dire être aligné avec qui nous sommes réellement et ce que nous désirons et ne désirons pas à chaque instant. Cela veut dire être parfaitement aligné à nos émotions. Cela veut dire avoir suffisamment d’amour pour soi pour ne pas avoir besoin d’être sans cesse à la recherche de reconnaissance et d’amour de la part des autres, comme c’est le cas pour l’Humain.

L’humain, incapable d’écouter ses émotions, d’être lui-même, de s’aimer (car la société lui a fait croire que c’était « égocentrique » et « égoïste » de s’aimer), aura donc toute sa vie des difficultés à aimer les autres, en rejetant toujours la faute sur les autres au lieu de se demander si son incapacité à aimer ne vient pas de lui-même.

Pourquoi les animaux sont-ils capables d’aimer « inconditionnellement » ?

L’amour inconditionnel c’est l’amour qui s’exerce sans conditions. L’amour inconditionnel c’est l’amour qui se donne sans rien n’attendre en retour si sans exiger que la personne fasse, dise ou soit quelque chose de différent de ce qu’elle est sur le moment présent. Jamais un animal ne se dit « J’aimerai que mon maître soit plus jeune / plus riche / moins ci ou ça… qu’on habite dans une maison plus grande / qu’on habite dans un autre pays… » ou alors faire la tête car il a trop donné d’amour comparé à ce qu’il a reçu… se vexer car il n’aura pas reçu en retour la caresse qu’il aura donné… L’Animal est toujours en parfait accord avec « ce qui est ». Il ne cherche jamais à changer les choses, comme le fait l’humain, ou à toujours vouloir que les choses soient différentes et se plaindre.

Certains diront que c’est justement la preuve qu’ils ne sont pas intelligents. Mais de l’autre côté les plus grands enseignements spirituels prônent la même chose : le plus haut état d’avancement spirituel est la capacité de vivre dans le moment présent et d’accepter tout ce qui est. Alors, qui fait preuve du plus haut état d’alignement et d’avancement spirituel ? L’animal qui lorsqu’il n’est pas avec l’Homme ne se développe pas de maladies, qui est en parfait alignement avec lui-même et qui vit dans le moment présent sans jamais se soucier du futur, en étant dans le lâcher prise et dans la confiance en ses propres capacités (même malgré des conditions de vie souvent bien pires que celles de l’Homme) ?

Ou alors, l’humain (supposé « plus intelligent »), qui ne vit jamais dans le moment présent, qui vit dans un état de manque, de stress, d’inquiétude, de colère, de frustration, d’attente, d’autodestruction, et souvent de désir également de nuire aux autres ? Lequel des deux est le plus « avancé » et a à apprendre de l’autre ?

Les animaux sont un reflet très puissant de ce que l’Homme est loin d’arriver à faire et à être. Pourtant, c’est véritablement ce qui sauverait l’humanité et nous permettrait de nous reconnecter à notre vraie nature : consciente, connectée à nous-même, à nos émotions, à nos désirs, à nos besoins, et capables de nous aimer, afin de pouvoir être capable de donner sans rien n’attendre en retour (étant « pleins » d’amour pour nous-mêmes, le reste étant du « surplus » que nous pourrions donner sans mesurer).

Un animal ne se regardera jamais dans la glace en se disant : « Mais qu’est ce que tu es moche, regardes tes cuisses, regardes ton gros nez, regardes tes poils, regardes la couleur que tu as ».
Encore une fois, est-ce un signe de bêtise ou au contraire de profonde intelligence ?
Est-ce une preuve d’intelligence de la part de l’être humain que de se détester à ce point ? Combien d’êtres humains sur Terre s’aiment tels qu’ils sont ?

Un animal se compare-t-il aux autres de son espèce ? Se compare-t-il aux autres espèces ? Un singe se demande-t-il pourquoi lui, il n’a pas une trompe comme l’éléphant ? Le chat se demande-t-il pourquoi lui, il doit se laver alors que les chiens non, passant ses journées à ruminer sur le fait que la vie n’est pas juste ? Se demande-t-il pourquoi le chat du voisin a plus de nourriture, ou plus de câlins, ou un panier plus douillet ?

Pourtant l’humain, lui, passe sa vie à se comparer aux autres, à son voisin, aux autres races, aux autres pays, se détruisant intérieurement en pensant à ce qu’il estime « juste » ou « pas juste » (selon ses propres critères bien souvent en plus erronés car incapable de voir « le plus grand plan » des choses, et ne jugeant bien souvent que par rapport à sa propre petite personne), au lieu de tout simplement vivre sa vie avec les moyens qu’il a et ce qu’il est et en devenir la meilleure version.

C’est donc cela que les animaux de compagnie, qui ont décidé de venir s’incarner pour aider les humains, viennent nous apporter et nous enseigner : l’Amour de soi et des autres, l’amour inconditionnel, le lâcher prise, la confiance en la vie et en ses propres capacités.

Le chat ou le chien ne se demandent pas, quand vous leur servez à manger, s’ils auront à manger demain. Ils mangent leur repas, et vont jouer ou dormir. Ils ne passent pas la nuit à se dire « Mais imagines si demain en partant au bureau mon maître a un accident ? et qu’il ne peut pas rentrer me donner à manger ? Qu’est ce que je vais devenir ? Je vais mourir de faim ! Oh non… vite, des antidépresseurs, un verre d’alcool, ou une cigarette pour me calmer ». L’animal a une parfaite confiance en la vie, et en ses aptitudes à faire face aux circonstances extérieures si jamais il en avait besoin, autrement dit en ses propres capacités.

L’animal ne va pas s’inquiéter en avance du fait de manquer de nourriture ou de quoi que ce soit dans le futur, il vit au jour le jour. Par contre, si jamais un jour il manque de nourriture, il aura encore une fois parfaitement confiance en ses propres aptitudes à trouver de la nourriture, et à se sortir de ce pétrin, jusqu’à la prochaine étape de sa vie. Et bien sûr, tout cela, sans ne jamais avoir à blâmer qui que ce soit, ni la vie, ni les humains, ni les autres chiens, ni les autres espèces, ni le gouvernement ! Il sera toujours en alignement avec lui-même et continuera simplement sa vie chaque jour, dans la joie de découvrir ce que chaque journée va lui apporter et lui faire vivre. Également, l’animal, recevant une caresse de son maître, ne va jamais se demander « Et si un jour il ne m’aime plus ? et si un jour il aime un autre animal ? » Il profite simplement du moment présent et du bonheur de recevoir de l’amour à ce moment-là, sans exiger que cela dure toute la vie, ou que cela soit fait de telle manière ou telle manière plutôt qu’une autre.

Autrement dit, l’Animal, au contraire de l’Homme, ne se place JAMAIS en tant que victime. Il est le créateur de sa réalité et ne blâmera jamais les autres de ce qu’il a ou n’a pas, il prend l’entière responsabilité de sa vie, et ça, n’est-ce pas le plus haut degré d’avancement spirituel ? N’est ce pas tout ce que tous les livres d’enseignants de développement personnel ou spirituel tentent de transmettre ?

Extrait de  Laura Marie sur www.lauramarietv.com

 

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TÉLÉPATHIE, SENS DE L’ORIENTATION ET SENS PRÉMONITOIRE

Posté par othoharmonie le 22 juillet 2015

 

Trois grands types de perceptions inexpliquées rencontrées chez les animaux ont retenu l’attention de R. Sheldrake : la télépathie, le sens de l’orientation et le sens prémonitoire.

La télépathie : certains chiens ainsi que d’autres animaux de compagnie sont en mesure de «connaître» le moment du retour de leur maître à la maison. Des vidéos l’ont prouvé en utilisant des heures choisies de manière aléatoire et par des moyens de transport différents. Certains animaux répondent également par le moyen de la télépathie, à des appels ou à des ordres silencieux. Certains «savent» qui téléphone, d’autres réagissent quand leur maître se trouve en danger. Nous supposons que ces communications télépathiques reposent sur des liens – qui ne sont pas des métaphores mais des connexions réelles – existant entre humains et animaux. Formé à partir d’une double racine grecque, le mot télépathie signifie littéralement «sentiment à distance». Si les chiens répondent télépathiquement à leur maître, c’est bien qu’ils captent, d’une manière ou d’une autre, les pensées ou les sentiments de celui-ci.

HirondelleLe sens de l’orientation : Les pigeons voyageurs et les hirondelles sont parfaitement capables de retrouver le lieu d’où ils sont partis après avoir survolé d’immenses territoires inconnus, alors qu’aucun sens olfactif ne peut rendre compte de cette capacité. Les chats, les chiens et les chevaux sont aussi capables de retrouver le chemin de leur domicile depuis des lieux non familiers très éloignés. Tout se passe comme si un cordon élastique les attachait à ce lieu. Il arrive aussi que ce lien relie l’animal à un être humain, certains animaux étant capables de retrouver leur compagnon dans un lieu qui leur est inconnu.

Le sens prémonitoire : Certaines prémonitions peuvent s’expliquer en termes de stimuli physiques. Il en est ainsi probablement pour la survenue des tremblements de terre ou pour l’imminence d’une crise d’épilepsie pour le maître d’un chien, mais il en existe d’autres qui sont plus mystérieuses. Tout cela relève de perceptions extrasensorielles, c’est-à-dire qui s’établissent au-delà ou en dehors des sens connus. La science ne peut progresser qu’en dépassant les limites courantes. R. Sheldrake espère démontrer avec cet ouvrage qu’il est possible d’enquêter scientifiquement sur les pouvoirs encore inexpliqués des animaux. Nous avons beaucoup à apprendre de nos compagnons animaux. Ils ont également beaucoup à apprendre de nous.

article source SACREE PLANETE

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ELEPHANTS SANS DEFENSE

Posté par othoharmonie le 21 juillet 2015

 

 

Elephant d´AfriqueSymbole de l’Afrique, l’éléphant risque de disparaître d’ici à vingt ans. L’ivoire se raréfie et sa valeur marchande augmente. Une aubaine pour les braconniers et les organisations criminelles…

Février 2012, quelque part près de la ville centrafricaine de Birao. Une colonne de cavaliers pénètre au pas en territoire soudanais. En uniformes dépareillés, fusils-mitrailleurs en bandoulière, cette centaine d’hommes rentre au pays après six semaines d’expédition et plus de 2 000 km parcourus entre le Darfour et le nord du Cameroun. Dans leur sillage pourrissent des carcasses d’éléphants, défenses coupées à la hache, comme les trois cents et quelques pachydermes retrouvés les semaines précédentes dans le parc national camerounais de Bouba Ndjida.  À voir dromadaires et mulets ployer sous la charge, la chasse a été bonne pour les miliciens Djanjawid qui, comme à chaque fin de saison sèche, vont empocher un bon paquet de dollars une fois que l’ivoire revendu aura pris la direction de Khartoum.

Avril 2012, dans le nord-est de la RDC, les gardiens du parc national de la Garamba s’affairent, perplexes, autour de l’un des vingt-deux cadavres d’éléphants édentés et exécutés d’une balle de gros calibre dans la tête. Aucune trace dans l’herbe haute, pas de viande prélevée… Puis l’un des gardes se souvient avoir aperçu un hélicoptère de l’armée ougandaise survoler la zone quelques jours plus tôt, à la recherche du rebelle Joseph Kony – du moins officiellement. Deux mois plus tard, trente-six défenses sont saisies à l’aéroport d’Entebbe (Ouganda), en partance pour l’Asie via le port de Mombasa (Kenya), où elles devaient être chargées dans un conteneur de piments pour échapper aux douaniers. L’armée ougandaise expédierait chaque année sous le manteau pour près de 1 million de dollars (763 000 euros) d’ivoire.

Plus de 500 éléphants massacrés en deux ans

Septembre 2012, des agents du Kenya Wildlife Service (KWS) encerclent une douzaine de Shebab, près du village de Garsen, à 200 km au sud de la frontière somalienne. Depuis que les cheikhs leur ont ordonné de trouver de l’ivoire pour remplir les caisses, les islamistes s’enfoncent de plus en plus loin au sud, jusqu’au Mozambique parfois. Les rangers kényans osent quelques tirs de sommation avant de se faire accueillir à coup de grenades. Ils laissent quatre des leurs sur le terrain pendant que les Shebab repartent avec leur butin vers Kismayo (Somalie) et son port de contrebandiers. Après avoir vu ses effectifs se stabiliser pendant plus de vingt ans, le troupeau kényan subit une nouvelle saignée. Selon le KWS, 384 éléphants ont été abattus illégalement en 2012, en plus des 289 massacrés un an plus tôt. Comme le coltan et le diamant, l’ivoire fait couler le sang en Afrique. Certes, forces armées régulières et mouvements rebelles ont déjà été accusés de braconner l’or blanc – l’Union nationale pour l’indépendance totale de l’Angola (Unita) et la Résistance nationale mozambicaine (Renamo) ont su, dans les années 1980, profiter de la complicité d’officiers sud-africains pour alimenter la demande, essentiellement japonaise à l’époque.

Mais « ce qui frappe aujourd’hui, c’est l’échelle quasi industrielle à laquelle les massacres sont perpétrés, et la débauche de moyens militaires et logistiques utilisés à travers le continent », s’alarme Bas Huijbregts, responsable du World Wildlife Fund (WWF) pour l’Afrique centrale. Depuis 2007 et l’explosion de la consommation asiatique, dopée par l’émergence d’une classe moyenne chinoise avide de signes extérieurs de richesse, les volumes de contrebande atteignent des proportions inégalées, même dans les années 1980. À l’époque, la situation était pourtant si désespérée que la communauté internationale avait été contrainte d’imposer un moratoire interdisant toute forme de commercialisation de l’ivoire africain, en 1989. Avec plus de 24 tonnes d’ivoire illégal saisies aux quatre coins du monde, 2011 a battu un triste record. « Sachant que les douanes estiment mettre la main sur 10 % à peine de l’ivoire trafiqué, près de 250 tonnes sont sans doute illégalement vendues chaque année », calcule Céline Sissler-Bienvenu, directrice France et Afrique francophone du Fonds international pour la protection des animaux (IFAW). Comme les autres ONG, ce fonds évalue à entre 25 000 et 35 000 le nombre de pachydermes abattus annuellement. « Toutes les quinze minutes, un éléphant est tué en Afrique », poursuit la responsable de l’IFAW.

Et ce rythme n’est pas près de ralentir, car à mesure que diminue la population – estimée à un demi-million d’individus sur le continent -, les prix flambent. Négocié autour de 2 000 dollars à Pékin, le kilo d’ivoire s’échange à plus de 250 dollars en Afrique, contre à peine une trentaine dix ans plus tôt. « De quoi faire naître les vocations », confirme Bas Huijbregts. Aussi bien chez les paysans installés près des parcs nationaux et qui, fatigués de voir leurs champs piétinés, guident les braconniers en échange d’un peu de viande ou de quelques billets, que chez les fonctionnaires désireux d’arrondir leurs fins de mois. Sans oublier les mafias asiatiques, bien décidées à profiter d’un trafic orienté à 90 % vers la Chine ou la Thaïlande, et qui représenterait chaque année entre 500 et 900 millions de dollars. « L’augmentation impressionnante du nombre de saisies massives [supérieures à 800 kg] témoigne de l’implication des grands réseaux criminels, seuls capables d’organiser et de financer de telles expéditions », affirme Tom Milliken, directeur du Système d’information sur le commerce des éléphants (Etis).

1024px-ElephantTrainingCampExploitant au mieux l’instabilité politique de certains États, la porosité des frontières et la faiblesse, voire l’inexistence, des peines encourues, les syndicats du crime peuvent aussi s’appuyer sur la diaspora chinoise pour jouer les intermédiaires ou les passeurs. Avec leur importante communauté asiatique, des pays comme le Nigeria, l’Angola ou le Soudan occupent une place centrale dans le transit de l’ivoire illégal, alors que leurs éléphants ont disparu depuis longtemps. « Les organisations mafieuses en profitent pour complexifier les voies de sortie », observe Bas Huijbregts. Elles utilisent des bateaux de pêche immatriculés en République populaire de Chine dans le golfe de Guinée, ou multiplient les points de passage.

>> Lire aussi : Kenya : le gouvernement hausse le ton contre les braconniers d’éléphants

 

 


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Les chiens – les chats et les Humains

Posté par othoharmonie le 21 juillet 2015

 

Dogue_de_BordeauxLES CHIENS  /

Lorsque Edward rentre à sa maison de Wickword, ses setters irlandais se trouvent toujours quasiment au portail pour l’accueillir. Sa femme raconte qu’ils commencent à l’attendre entre dix et vingt minutes avant son arrivée, et en tout cas bien avant qu’il n’engage sa voiture dans l’allée. Ceci l’intrigue d’autant plus que son mari travaille à Londres, selon des horaires irréguliers, et ne lui donne généralement aucune indication sur son heure de retour. La capacité des setters irlandais à percevoir le retour de leur maître est commune à bien des chiens. Au cours de ses recherches aux Etats-Unis et en Europe, R. Sheldrake rassembla sur le sujet, plus de 500 témoignages.

La première tentation fut d’attribuer ce comportement à des automatismes routiniers acquis par l’espèce ou au fait que le chien est équipé d’un odorat très performant et d’une ouïe très fi ne. Après étude, R. Sheldrake s’aperçut que ces éléments ne suffisaient pas à expliquer totalement le phénomène. Ce comportement routinier pouvait être évoqué si les maîtres rentraient tous les jours à la même heure. Mais dans nombre d’observations, ce n’était pas le cas, les allées et venues des maîtres étaient aléatoires.

La plupart des chiens possèdent un sens olfactif plus développé que le nô- tre ; ils sont donc probablement en mesure de flairer leur maître ou le véhicule à une distance bien supérieure à la nôtre. Mais jusqu’où au juste ? Pour flairer quelqu’un qui rentre chez lui, le chien doit humer l’air. À supposer que le vent souffle dans la bonne direction, que l’animal soit dehors, jusqu’à quelle distance est-il physiquement possible à l’animal de sentir l’approche d’une personne ? Les estimations les plus fi ables considèrent que cette distance est considérablement inférieure à un mille (soit 1,6 km) avec un chien saint hubert, le plus olfactivement sensible de toutes les races. Les spécialistes ont constaté que cette race, placée vent arrière, est capable de détecter la présence d’une personne cachée dans une haie jusqu’à 800 mètres de distance, à condition que le vent souffle dans la bonne direction et que la personne reste immobile…

Ceci peut expliquer pourquoi certains chiens réagissent une minute ou deux avant l’arrivée de leur maître, mais pas pourquoi certains le font dix ou vingt minutes avant, et indépendamment de l’ouverture de la fenêtre ou du sens du vent. On sait également que l’animal peut percevoir des sons émis à des distances bien supérieures aux possibilités humaines ainsi que des fréquences auditives inaudibles à l’oreille humaine. Des études scientifiques menées en Angleterre par Kevin Munro, selon la méthode du «Potentiel évoqué Auditif», ont établi que les différences de perceptions entre l’homme et le chien étaient quasiment identiques, excepté pour la perception des fréquences aiguës.

Ceci écarte l’explication par l’acuité auditive. Nombreux sont aussi les maîtres qui peuvent témoigner de la capacité de leur chien à anticiper leur retour en l’absence de tout bruit. Ainsi le mari de madame Gavitt, habitant Morrow en Géorgie a pu constater que leur chien commençait à réagir au moment où sa femme décidait de regagner son domicile et se dirigeait vers le véhicule qu’elle avait choisi de prendre. En fait, un certain nombre de témoignages attestent que le chien «perçoit», quel que soit le moyen de locomotion utilisé, le moment où la personne se met en route. Pendant plus d’une année, R. Sheldrake se livra alors à une série d’expériences qui furent filmées, avec un chien qui montrait cette faculté de pressentir le retour de sa maîtresse : tout fut soigneusement consigné par écrit. Aucun autre animal n’a encore été observé aussi minutieusement, mais plusieurs séries de vidéos ont été réalisées avec d’autres chiens. Les conclusions sont que les chiens semblent en effet réellement savoir quand leur compagnon humain rentre à la maison, même lorsque ce retour s’effectue à des heures choisies au hasard et dans des véhicules non habituels.

LES CHATS

800px-Chat_angora_noirBien des chats semblent également savoir quand leur maître va rentrer à la maison, mais dans une moindre proportion : 359 témoignages collectés contre 585 pour les chiens. Il est probable qu’une des raisons en est que les chats sont plus indépendants et éprouvent moins le besoin d’évoluer dans l’intimité de leur maître. Les chats ayant la possibilité de vagabonder librement à l’extérieur, ils adaptent généralement leur comportement aux conditions météorologiques. Ces fluctuations gênent la mise sur pied d’expériences filmées pour les chats, mais des observations écrites dé- taillées ont toutefois été réalisées. Elles ont amené à des conclusions semblables. À l’instar de celles des chiens, ces manifestations sont de nature télépathique et dépendent de la force des liens unissant le chat et l’homme. J’avance l’hypothèse que ces liens s’établissent par le truchement des champs morphiques et que ces derniers s’étirent mais ne se rompent pas lorsque l’homme part et laisse le chat derrière lui. Les réactions des chiens et des chats anticipant le retour de leur maître reposent sur de puissants liens sociaux noués entre les hommes et les animaux. Il existe toutefois suffisamment de matériau permettant de penser qu’au moins 17 autres espèces animales paraissent capables de prévoir le retour d’un compagnon humain. On y trouve des oiseaux et notamment des perroquets (Sur 33 témoignages reçus à propos des oiseaux, 20 concernent les perroquets) et bien sûr les chevaux.

ET CHEZ LES HUMAINS ?

Si les réactions anticipatives sont tellement répandues chez les animaux, tout donne à penser qu’il en va de même chez les humains. Ceux qui ont vécu ou voyagé en Afrique connaissent bien les capacités de certains indigènes à pressentir le retour des leurs en dehors de tout moyen de communication. Ainsi, Laurens van der Post découvrit que les Bushmen du Kalahari étaient en mesure de «savoir» que des membres de leur tribu regagnaient leur camp après avoir tué une antilope à 80 km de là. Ils entendaient la mélopée entonnée en de telles circonstances dès leur arrivée au camp.

Dès la mort de l’antilope, ils avaient été informés «subtilement». Il est probable que le terreau qui fonde les sociétés traditionnelles favorise davantage l’enracinement de telles facultés. Nous citerons encore le célèbre «don de double vue» des populations celtiques implantées dans les Highlands d’Écosse qui incluait, entre autres, la «perception» anticipative du retour de personnes provisoirement absentes. En Norvège, ce phénomène porte même le nom de «Vardoger» qui signifie littéralement «esprit avertisseur». Les personnes déclarent entendre celui qui arrive dans la maison alors qu’en réalité, il n’arrive que 10 à 30 minutes plus tard. Analysé dans le contexte du comportement anticipatif chez les animaux, ce type de réactions s’intègre dans une typologie beaucoup plus vaste. Le pressentiment de l’arrivée peut constituer un aspect important de l’histoire naturelle de la télépathie. Le fait que ce type de réactions peut affecter des bébés ou des personnes endormies montre qu’elles ne font pas appel aux sphères les plus élevées du mental mais cheminent à des niveaux plus fondamentaux.

article source SACREE PLANETE

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Animaux et Vibration

Posté par othoharmonie le 11 juillet 2015

images (1)Nous émettons tous une vibration, une fréquence vibratoire, un taux vibratoire (humains, animaux, plantes et mêmes objets). Tout ce qui existe a une vibration et peut être mesuré (en ce que l’on appelle « unités de Bovis »). Plus notre vibration est élevée, plus nous sommes dans les émotions dites « positives » (joie, gratitude, enthousiasme, amour…). Plus notre vibration est basse, plus nous sommes dans les émotions dites « négatives » (tristesse, impuissance, colère, frustration…). Nous comprenons donc bien que la chose la plus importante est d’avoir une vibration élevée, et cela doit être une volonté consciente et quotidienne que de travailler sur sa vibration en faisant les choix de vie et de pensée qui nous « élèvent » le plus.

L’Animal, lui, est très souvent dans une vibration élevée par nature (sauf dans le cas où encore une fois il a trop fréquenté l’Homme à vibration négative, cela peut l’atteindre car il absorbe les émotions). Il y a également des variations de taux vibratoire selon les espèces car eux aussi sont à des stades d’évolution qui leur sont propres. Mais les chiens et les chats ont une vibration très élevée. Avoir un animal de compagnie c’est donc véritablement détenir une énorme boule d’énergie positive chez soi qui nous déverse ses ondes positives en permanence. Bon nombre d’humains considèrent leurs animaux de compagnie comme quelque chose certes d’agréable, mais n’ont pas conscience de l’effet que ces boules d’énergie ont sur eux, sur leur corps, leur santé, et donc sur toute leur vie entière. Puisque nous créons notre réalité extérieure en fonction de notre réalité intérieure et plus précisément de notre vibration intérieure, alors un animal de compagnie peut véritablement impacter la vie entière d’un humain. Un animal peut véritablement transformer un humain. Et cela se produit des millions de fois chaque année. Ils sont là pour ça. Ils entrent dans nos vies, et notre vie n’est plus jamais la même, sans qu’ils n’aient jamais eu besoin de prononcer un seul mot.

La plupart des « alliances » entre animaux et humains ont été prévues d’avance, avant l’incarnation. Parfois certaines rencontres sont tellement bouleversantes que l’on sent bien que « cela devait se faire ». Le lien est tellement fort. Est-ce un hasard que vous ayez tel ou tel chat, ou tel ou tel chien ? Bien sûr que non. Nous avons l’animal qui nous correspond et l’animal qu’il nous fallait pour apprendre les leçons que nous devions apprendre et expérimenter les sentiments que nous devions expérimenter.

Extrait de  Laura Marie sur www.lauramarietv.com

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Le rôle spirituel des Animaux

Posté par othoharmonie le 11 juillet 2015

 

 

animauman-dogBeaucoup d’êtres humains pensent encore qu’ils sont sur Terre par hasard, et qu’il en est de même pour les animaux. Encore trop d’êtres humains pensent également que l’Homme est supérieur à l’Animal, quel qu’il soit, et qu’il a tous les droits sur lui.

C’est parce que l’Homme base le degré d’intelligence et de conscience d’un animal sur sa capacité à parler ou à créer des outils, comme l’a fait l’Homme. Mais il ne peut pas être plus loin de la vérité quand il pense que l’Animal n’a pas de conscience, et qu’il est stupide et primitif.

Ce qu’il faut comprendre, c’est que la Terre est une planète « école », et qu’au même titre que les humains sont ici pour apprendre, évoluer et expérimenter, il en est de même également pour toutes les autres espèces (animales et végétales), qui elles aussi sont ici pour vivre et expérimenter. Certaines espèces animales sont plus proches de l’Homme et ont un rôle précis envers l’Homme, alors que d’autres vivent plus éloignées de l’Homme, ce qui ne veut pas dire qu’elles n’ont pas non plus un impact énergétique sur lui ni sur le reste de la planète.

Nous provenons tous (Humains, Animaux, Végétaux, Minéraux) du même souffle de vie, de la même conscience universelle créatrice, raison pour laquelle nous ne pouvons véritablement nous considérer comme séparés les uns des autres. Ceux qui ressentent ce lien, ressentent qu’ils ne font qu’un avec les animaux et avec la Terre, et que chaque arbre coupé les coupe aussi, et que chaque animal maltraité est une partie d’eux-mêmes que l’on arrache et que l’on fait souffrir aussi. Pour les personnes empathiques, il y a de quoi devenir fou, dans un monde qui bafoue et massacre autant l’Animal. L’Homme tue près de 470 milliards d’Animaux par an, c’est plus qu’un génocide, c’est un massacre à la chaîne qui se produit chaque jour sous nos yeux et que la plupart des humains laissent faire, soit ne se sentant pas concernés, soit se sentant impuissants, ignorant leur propre pouvoir de dire NON.

L’article d’aujourd’hui est plus particulièrement sur nos animaux de compagnie, qui eux ont la chance, en général, d’être mieux traités que le reste des animaux peuplant notre planète (en comparaison par exemple avec ceux que l’Homme a décidé de manger ou d’utiliser pour les tests sur animaux, ou leur fourrure). Pourtant, un cochon par exemple est encore plus « intelligent » qu’un chien, y compris au niveau de ses émotions.

Extrait de  Laura Marie sur www.lauramarietv.com

 

 

 

 

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