Serpents rapports sociaux
Posté par othoharmonie le 14 octobre 2011
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Posté par othoharmonie le 14 octobre 2011
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Posté par othoharmonie le 14 octobre 2011
Pour savoir à quel agent/élément annuel, un Serpent est identifié, il suffit de savoir que c’est le dernier chiffre d’une année de naissance qui le détermine :
0 et 1 = METAL
2 et 3 = EAU
4 et 5 = BOIS
6 et 7 = FEU
8 et 9 = TERRE
L’association entre l’agent/élément stable et l’agent/élément annuel détermine des caractéristiques de chaque Serpent.
Pour en savoir plus, sur les caractéristiques d’un agent/élément, consultez la page du Wu Xing
· Serpent-bois :
c’est un serpent qui a de la créativité et de l’inventivité à revendre. Il recherche la connaissance et a besoin d’appliquer concrètement ce qu’il a appris. Des représentants de son signe c’est le plus stable d’un point de vue affectif et possède un amour profond pour sa famille et ses enfants.
· Serpent-feu :
il parvient rapidement à des positions importantes grâce à son charme et son charisme. L’ennui c’est que ce serpent attache une importance démesurée à la richesse et au pouvoir, il craint toujours de perdre ce qu’il a obtenu et son attitude soupçonneuse lui attire de solides inimitiés.
· Serpent-terre :
c’est un serpent particulièrement lent et réfléchi, mais persévérant une fois qu’il a trouvé sa voie. Doté d’un sang-froid remarquable, il domine toutes les situations, mais veille à ne pas trop s’exposer car il connaît ses limites.
· Serpent-métal :
l’intelligence et le calcul au service de la volonté. Ce serpent sait parfaitement saisir les occasions au vol grâce à sa formidable acuité. C’est le plus autoritaire des serpents, sûr de lui mais soupçonneux à l’égard des autres. Son goût du luxe le pousse à rechercher argent et protection.
· Serpent-eau :
intuitif et télépathe, il est capable d’une concentration extraordinaire. Il peut errer dans les arcanes et le mystère sans perdre pour autant le contact avec la réalité. Ce serpent aime l’art, la beauté et la littérature. Il est capable de rancœurs éternelles.
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Posté par othoharmonie le 14 octobre 2011
Le Serpent est un symbole universel que l’on peut retrouver dans de nombreux mythes et cultures. Loin de cette image maléfique qu’on tentera de lui attribuer, il incarne aussi l’immortalité, l’infini, et les forces sous-jacentes menant à la création de la Vie.
Nous avons par exemple Ouroboros, le Serpent qui se mord la queue (symbole d’autofécondation et d’éternel recommencement). Quetzalcóatl, le serpent à plumes, qui serait allé dans le monde souterrain pour y créer le cinquième monde de l’humanité. Dans une optique plus chamaniste, nous avons des serpents entrelacés qui représenteraient la molécule d’ADN (porteuse de connaissance et d’information). Dans la culture aborigène, le Serpent Arc-en-Ciel joue également un rôle important dans le Temps des Rêves.
Dans la cosmogonie nordique, Yggdrasil – l’Arbre du monde, a ses racines rongées en permanence par un Serpent, Nidhögg. Dans la Bible, le Serpent symbolise la tentation, et provoquera la chute d’Adam lorsqu’il goûtera avec Eve aux fruits de l’arbre de la Connaissance. La tradition talmudique voit en ce serpent Samaël – Satan, la forme masculine du démon.
Le Serpent a aussi un rôle de protecteur, comme en Égypte où le cobra, l’uræus sacré, protégeait les pharaons. Dans l’hindouisme, mais aussi le bouddhisme (un cobra géant protège Bouddha en méditation). La Kundalini est par ailleurs représentée comme un serpent endormi, lové au niveau du premier chakra (l’éveil de cette énergie vitale permet à l’initié d’atteindre la Sagesse). Dans l’Antiquité grecque, le dieu de la Médecine, Asclépios (Esculape), avait le Serpent pour attribut. Dans les temples qui lui étaient dédiés, à Epidaure notamment, l’oracle était rendu par l’intermédiaire de serpents, serpents que l’on retrouve d’ailleurs enroulés autour du caducée.
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Posté par othoharmonie le 14 octobre 2011
Les rêves de serpent son très fréquents chez les adolescents et les adultes. Ces rêves laissent le plus souvent un sentiment de malaise. Dan la psychanalyse freudienne, le serpent est couramment assimilé à une forme phallique, au sexe masculin lui-même. Cette vision est assez réductrice. Le serpent symbolise bien plu. Il est le symbole de l’énergie sexuelle elle-même. C’est pour cela qu’il n’apparaît pas dans les rêves d’enfants à moins d’une grande précocité ou d’une confrontation à cette énergie.
Ce symbole se manifeste le plus souvent quand cette énergie n’est pas utilisée. Les causes viennent d’une difficulté à trouver un ou une partenaire quand nous refoulons notre aspect sexué par la contrainte d’une éducation trop rigide. Les rêves de serpent sont l’expression d’une crainte. Cette énergie est très puissante, peut-être la plus puissante chez l’homme. Elle doit s’exprimer. Si elle n’est pas utilisée ou transformée, elle remonte à la surface dans nos rêves. Mais elle apparaît sous une forme brutale et terrifiante, celle du serpent. La crainte qui naît en nous à ce moment est égale à celle que nous ressentons vis-à-vis de la sexualité.
L’image du serpent représente la froideur de la sexualité si elle n’est pas transcendée par le sentiment amoureux et quand le corps est nié dans son expression. L’amour, par sa chaleur, réchauffe et transforme ces pulsions archaïques pour mener l’individu vers une plus grande humanité. Seul l’amour est capable de guider et de contrôler cette énergie.
L’énergie sexuelle est la plus puissante de nos énergies. C’est la pulsion de vie primitive. Si cette énergie du serpent est bien intégrée, elle s’épanouie alors en nous comme une énergie porteuse d e nos désirs de vie.
L’expression de cette énergie est plus perceptible cher un homme. Un rêve où se dresse un serpent de taille humaine peut ainsi représenter un homme qui exprime plus son désir impulsif que sa passion amoureuse. Cette image est terrorisante pour une femme qui ressent des blocages physiques vis-à-vis des hommes, celle qui est effrayée par les pulsions masculines.
Certaines religions demandent à ceux ou celles qui veulent mieux les servir d e ne plus avoir de rapports sexuels. Cette énergie ne doit pas être dépensée, mais transformée, une fois reconnue, pour les porter encore plus loin dans leur quête d’absolu et de spiritualité.
En Inde, dans la tradition tantrique, l’énergie sexuelle est utilisée pour réveiller le premier chakra situé à la base de la colonne vertébrale. A l’intérieur de celui-ci est lové un serpent endormi, enroulé sur lui-même. Il est identifié à Shakti, l’aspect féminin de Shiva. Quand ce serpent s’éveille, il se déroule et monte le long de la colonne vertébrale. C’est la montée de la Kundalini. A cet instant l’être accède à la connaissance et la conscience de sa nature divine.
Dans la Genèse, le serpent est assimilé à la connaissance interdite, au péché. Ici, l’énergie sexuelle est taboue et tend donc à être réprimée. C’est la connaissance de soi, de sa nature individuelle qui est condamnée, mais c’est sans doute une mauvaise interprétation. C’est plutôt une mise en garde qui est évoquée. L’individu qui accède à son désir quitte le monde l’enfance pour entrer dans le monde adulte. Il devient responsable de ses gestes et de ses actes. Il n’a plus personne pour lui tenir la main, à moins qu’il préfère rester un enfant qui obéit à la voix du père. L’évocation même de cette énergie dans la Genève est une mise en garde tout autant qu’une invitation relative à l’évolution des êtres humains qui doivent se connaître « bibliquement », c’est-à-dire dans leur chair. La femme, réceptacle et éveilleuse de cette énergie, est l’égérie qui guide l’homme vers son individuation et sa maturation.
Positif : Energie sexuelle, pulsions sexuelles, connaissance. Négatif : peur ou refus de la sexualité, des comportements liés à la sexualité, manque d’amour et d’humanité.
D’après Le site de Tristan-Frédéric Moir : http://tristan.moir.free.fr/Nouveausite/index.html Psychanalyste – Psychothérapeute – Onirologue – Analyse et interprétation de rêves
En direct chaque mercredi de 23h à 1h30 sur « Radio Ici & Maintenant ! » 95.2 FM
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Posté par othoharmonie le 14 octobre 2011
Un rêve de reptile, quand son apparence est indéfinie, correspond à la résurgence d’une mémoire archaïque interne. Nous possédons tous un cerveau reptilien qui est en relation avec des fonctions vitales élémentaires et inconscientes du corps. C’est une forme du « ça.
Les rêves de reptiles sont le plus souvent négatifs, inquiétants en tous cas. Le caractère dominant des reptiles est celui de bêtes dangereuses ou affamées. Cette caractéristique leur donne une apparence menaçante alors que ce peut être eux qui sont menacés. Si nous voyons des reptiles qui semblent menaçants, c’est peut-être nous qui devenons dangereux pour nous-mêmes. Nous pouvons l’être aussi pour les autres dans nos comportements.
D’un autre côté, si notre « ça » est trop réprimé, il peut se manifester sous une forme reptilienne. Le corps oublié réclame son dû, de la reconnaissance, de l’amour, de l’exercice, une nourriture plus équilibrée, l’expression de sa sexualité et moins d’emprise du mental. Si nous oublions nos fonctions élémentaires, celles des besoins du corps, cela peut signifier que nous sommes pris dans une activité cérébrale trop importante. Si ces conditions ne sont pas remplies, notre santé comme notre équilibre psychique risquent d’être sérieusement perturbés.
La taille du reptile est importante dans un rêve. Plus il est gros, plus il est dangereux. Plus il est petit, plus il peut côtoyer l’homme.
Fonctions vitales élémentaires, psychisme archaïque, ça, comportements et risques pour soi ou dangereux pour les autres.
Le site de Tristan-Frédéric Moir : http://tristan.moir.free.fr/Nouveausite/index.html
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Posté par othoharmonie le 14 octobre 2011
Le serpent est la seconde lame de la série des oppositions. Dans le tirage d’une seule carte, pour une réponse divinatoire immédiate: Vous avez tiré le serpent, vous serez déterminé à vous venger d’une injustice ou d’une nuisance que vous avez subi.
Pour une question sentimentale: vous vous montrerez cruel vis a vis de l’être aimé, votre jalousie pourrait vous jouer de mauvais tours. Pour une question d’ordre professionnel ou financier: méfiez vous de la sournoiserie de certaines personnes qui vous pousseraient à commettre une faute grave..
En position 1 dans le tirage en croix: vos propos séducteurs cachent votre véritable pensée.
En position 2 dans le tirage: vous serez entouré de personnes envieuses et agressives à votre égard.
En position 3 dans le tirage: on cherchera à vous rabaisser par des propos agressifs, ne tombez pas dans le piège.
En position 4 dans le tirage: on cherchera à vous voler, échappez vous des ambiances négatives.
la tradition populaire ressent un profond sentiment de rejet du serpent et pourtant, dans de nombreuses civilisations, il est le symbole de l’énergie vitale, de l’immortalité et le protecteur des secrets ésotériques.
Dans la tradition bouddhiste, le serpent est associé à la roue du karma, il représente tous les cycles de la réincarnation. Pour d’autres civilisations, le serpent a le pouvoir de tuer mais également le pouvoir de guérir. Le serpent est intimement lié à la connaissance absolue.
Bibliquement, il représente le protecteur de la connaissance divine et le célèbre tentateur funeste.
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Posté par othoharmonie le 14 octobre 2011
Créateur et Destructeur [Visions des Aborigènes]
Le Serpent-Arc-en-ciel est connu comme l’un des plus puissant être ancestral de l’Australie aborigène. Il est associé aux actes de création et de destruction. Les images les plus anciennes du Serpent-Arc-en-ciel dateraient de 6000 ans.
destruction : Au début, le monde était stérile. Aucun être vivant, végétal ou animal n’existait. Le dieu Baiame décida un jour de créer la vie, mais désirait qu’une moitié des êtres vivent dans l’eau et l’autre sur la terre ferme. Le « Serpent Arc-en-ciel » s’opposa à sa volonté, voulant que tous les êtres vivent dans l’eau. Pour être sûr que sa volonté soit faite, il fit déchaîner sur Terre un immense et puissant déluge noyant toutes les terres.
Création : Il est sorti de l’eau souterraine au Temps du rêve. En rampant sur la terre, il a créé par ses ondulations les plaines et les montagnes. C’est aussi lui qui a créé l’eau de pluie et les premiers ancêtres.
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Posté par othoharmonie le 14 octobre 2011
De nombreuses déesses peuvent paraître sous forme d’un cobra irrité (uræus) (d’ailleurs, son nom est du féminin en ancien égyptien), à savoir :
Certains dieux pouvaient aussi prendre l’aspect d’un serpent autre que celui du cobra :
Le mode de vie des serpents, grouillant dans l’eau ou se glissant dans des grottes terrestres, ondulant sur le sable et le cailloutis désertique, correspond à l’idée que les Anciens se faisaient de l’existence des êtres primordiaux. Aussi, les femelles des quatre couples préexistants d’Hermopolis sont-elles des serpents.
Apophis, enfin, énorme serpent divin, incarnant les forces primitives et chaotiques, est à identifier au gigantesque python de Séba, qui peut atteindre une longueur de six mètres et qui est capable d’attaquer et d’ingurgiter un être humain. Il a disparu d’Égypte, mais peuple encore l’Afrique au sud du Sahara.
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Posté par othoharmonie le 12 octobre 2011
Légende :
Le grand dieu celte Dagda, muni de son chaudron magique qui confère l’immortalité, se promène sur la lande brumeuse. Il s’approche d’une source et y rencontre une belle fée. Celle-ci, désirant devenir égale aux dieux et immortelle, déploie tous ses charmes pour séduire Dagda. Il se laisse attirer contre son sein et la féconde deux fois. Comme il étire ses membres voluptueusement après cet agréable intermède (même pour un dieu, l’amour est un délice ), survient le terrible Serpent dont l’oreille, toujours collée à la terre, a tout entendu des ébats érotiques de Dagda et de celle qu’il considère comme sa féale, sa propriété personnelle. La belle s’enfuit, terrorisée par son regard féroce et ses sifflements horribles. Dagda, immortel, ne craint rien du Serpent et sans se lever, il réfléchit calmement, à la manière de se débarrasser de l’importun animal sans pour autant se mettre en colère ni sortir de l’état bienheureux où il se trouve. Pendant ce temps-là, le Serpent se dresse et hume le fumet qui sort du chaudron magique. Son intelligence est vive et son savoir étendu : il comprend rapidement qu’il n’a pas affaire au commun des mortels mais à Dagda. Malgré la violente piqûre de sa jalousie, il renonce à l’attaque et plonge sa tête dans le chaudron. Il la ressort aussitôt, et lorsque Dagda, excédé par son audace, se lève enfin pour lui briser les vertèbres cervicales de sa massue, il parvient à s’éloigner. Dagda le saisit par l’extrémité de la queue et reste bouche bée devant le prodige : le Serpent s’enfuit en lui abandonnant sa peau. Il est devenu immortel et voilà pourquoi aujourd’hui encore il mue, nous rapporte la légende.
L’histoire ne s’arrête pas là. Le Serpent se met à la poursuite de la fée par de-là les mers et les montagnes, décidé à se venger de ce qu’il considère comme une trahison. La fée arrive sur une île et là, elle donne naissance à une fille. Aussitôt née, celle-ci aide sa mère à mettre au monde un extraordinaire garçon qui, au lieu de regretter le bienheureux ventre maternel, demande aux chasseurs présents un arc et des flèches. Le Serpent, déchaîné, arrive avec ses sifflements stridents, prêts à planter ses dents dégoulinantes de venin dans la gorge de la fée. Le jeune enfant bande son arc et décoche sa flèche contre le Serpent, l’atteignant à l’œil. La seconde flèche crève le second œil et le Serpent s’enfuit en sifflant (de rage et de douleur cette fois).
L’astrologie celtique attribue le Bouleau à la constellation du Serpent : lui aussi mue, remplace son écorce, et reste considéré par les anciens druides comme une des voies d’accès à l’illumination et à l’immortalité, à condition que l’on fasse l’ascension de son tronc à une certaine époque avec les chants et les rythmes appropriés.
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Posté par othoharmonie le 12 octobre 2011
Jaloux, coléreux, possessif et parfois envieux, le Serpent-Bouleau passe par toutes les couleurs des émotions négatives. Son entourage le trouve insupportable et pourtant il est toujours accompagné d’une véritable cour de gens désireux d’apprendre sa science. Il les maintient à ses côtés en les séduisant et les terrorisant à la fois. Si vous connaissez bien un Serpent-Bouleau vous savez comme il est dur de se débarrasser d’un personnage aussi difficile et passionnant. Il possède l’art oratoire, une manière de persuader et de convaincre les autres que leur intérêt est de faire ce que lui a décidé.
Hors de la relation sociale toujours animée et ambiguë, le Serpent-Bouleau est plutôt un aventurier, un errant. Il ne se connaît pas lui-même et cela le désespère. Souvent mal dans sa peau et, bien qu’il passe son temps à en changer, il cherche une paix intérieure qui le fuit sans cesse. Il paraît souvent pathétique et ce n’est pas de la comédie. Il se sent maudit et se croit fréquemment menacé, sur le point d’être trahi, entouré d’ennemis.
Très nerveux et inquiet, le Serpent-Bouleau traverse la vie comme s’il devait éviter de rencontrer quelqu’un, un ennemi appartenant à un passé si lointain qu’il ne parvient pas à s’en souvenir. Stratège de génie, il n’est à l’aise et ne montre toute sa force que lorsqu’il se trouve réellement confronté à des difficultés ou à des ennemis « en chair et en os ».
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Posté par othoharmonie le 12 octobre 2011
C’est un « animal politique », toujours très occupé, qui travaille et téléphone jusqu’à des heures avancées de la nuit. Le plaisir dans le repos et l’isolement : il ne connaît pas l’essentiel de ses contacts sont professionnels. L’amitié peut se greffer sur les rapports de travail mais il ne la recherche pas, bien qu’il y invite par ses demandes permanentes. En effet, c’est le signe le plus exigeant de la roue de la vie astrologique celte. Opposé au Triangle-Chêne, il est toujours en attente des lumières et des forces des autres. C’est l’être le moins généreux en acte qui soit, et le plus généreux en paroles. Il fait bien sûr de multiples promesses et entretient au début de bonnes relations. Mais elles ne durent guère lorsque l’on apprend à mieux le connaître.
Les natifs du Petit Cheval-Cyprès sont ses compagnons favoris parce que dévoués, endurants, ne refusant aucune tâche. Il les apprécie et se sert d’eux tant et plus. Eux-mêmes trouvent en lui un « maître » et finissent par être heureux à ses côtés.
La Petite Ourse-Sapin, qui ne perd jamais le Nord, est une amie fidèle. Avec elle, il sait où il va, il n’erre plus. Elle le trouve bien un peu « bizarre » mais tellement séduisant et entreprenant. Elle aime jouer avec lui un rôle de guide et s’extasie devant les travaux extraordinaires qu’il accomplit sans cesse.
Le Serpent-Bouleau aimerait beaucoup être l’ami intime du Roi-Sureau. Cela le rassurerait sur sa propre valeur et lui conférerait les avantages politiques dont il est friand, son seul vrai amour dans la vie étant le pouvoir.
C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il déteste tant être en face d’un Triangle-Chêne, signe du dieu Dagda. Devant un natif de ce signe, le Serpent-Bouleau perd tous ses moyens, il se sent faible, fragile, même un peu bête, tiraillé émotionnellement entre la dévotion et l’envie de tuer. Il faut dire que le Triangle-Chêne ne manque jamais une occasion de jouer à bastonner « Guignol », comme il appelle volontiers le Serpent-Bouleau.
Avec le natif de la Couronne hyperboréenne-Noisetier, la mésentente est flagrante. Ensemble, ils parlent sans arrêt du monde invisible, des rapports entre la vie et la mort. Tout cela, on le sait, met le Serpent dans tous ses états : si seulement il parvenait à se rappeler ce qui lui est arrivé, s’il arrivait à comprendre le véritable sens de la peur qu’il éprouve à son contact !
Avec le Lièvre-Hêtre, les relations sont inversées. Toutes les tendances perverses du Serpent-Bouleau se trouvent exacerbées lorsqu’il se trouve face à l’animal aux longues oreilles. Il se réjouit à l’idée de le fasciner, pour mieux, ensuite, en faire ce qu’il veut. Le pauvre Lièvre-Hêtre a vraiment intérêt à éviter la rencontre. Il n’est pas assez fort pour un tel affrontement. Et la meilleure des solutions pour lui serait de fuir avant qu’il ne soit trop tard !
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Posté par othoharmonie le 12 octobre 2011
Homme politique, leader religieux, animateur de foyer, chef militaire élu : telles sont les professions où il excelle et où ses dons de menteur et de dissimulateur sont utilisés dans leur pleine mesure. A vrai dire, il ne ment jamais, s’arrangeant pour mettre à profit vérités ou contrevérités lorsque nécessaire, afin d’épater son public ou servir ses propres intérêts.
Versatile et passant d’une extrême à l’autre, il réussit cet exploit (courant en politique) de faire croire à ceux qui l’entourent qu’il veut leur bien. C’est un arriviste forcené complotant sans cesse pour obtenir davantage de responsabilités et de pouvoir. Doté d’une énergie exceptionnelle et d’une phénoménale capacité de travail, il parvient généralement à des postes très élevés dans la hiérarchie. Très apprécié pour les services rendus, on n’hésite pas à lui confier de hautes fonctions.
Il s’entend fort bien au travail avec les natifs des signes suivants Reine-Orme, Cocher-Gui, Hydre-Saule, Corbeau-Genévrier.
Le Serpent-Bouleau a tout pour accomplir une évolution spirituelle rapide, si seulement il cesse de se traîner sur le sol, dans la boue et la fange, dans les milieux les plus sordides où règnent les puissants de ce monde. Le seul véritable handicap c’est sa complaisance à l’égard de ses émotions négatives et son excessive indulgence envers lui-même. Il passe son temps à se permettre des choses interdites, puis à chercher à échapper à la culpabilité et surtout à la punition. Il serait plus facile et plus rationnel, pour cet être intelligent, d’analyser ses actes et leurs conséquences à court et long terme. Il découvrirait alors que ce qui lui importe le plus, c’est le chemin spirituel, la compréhension du sens de la vie sur le plan mystique, et non le pouvoir temporel et les manigances politiques. Humain, trop humain, le Serpent-Bouleau ferait mieux de se redresser et de tenter l’ascension de l’arbre pivot du monde !
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Posté par othoharmonie le 12 octobre 2011
L’ADN et les origines du savoir
Editeur : GEORG éditeur (Juillet 1997)
Collection : Terra magna
image :
Résumé du livre : Depuis le XIXe siècle et le grand développement de la science occidentale, la pensée des peuples indigènes semble sans rapport avec les connaissances apportées par les sciences modernes en biologie, chimie et médecine. cependant, de grands auteurs, et parmi eux Mircea Eliade, nous ont fait entrevoir que les cultures autres que celles de la pensée rationnelle étaient arrivées à un niveau de connaissance – exprimée le plus souvent dans le langage du symbolisme mythologique – par des moyens à nos yeux mystérieux, sans relation avec leur niveau de technologie. « La première fois qu’un homme ashaninca m’a dit que les propriétés médicinales des plantes s’apprenaient en absorbant une mixture hallucinogène, j’ai cru qu’il s’agissait d’une plaisanterie. » Un anthropologue étudiant l’écologie d’un peuple indigène de l’Amazonie péruvienne se trouve confronté à une énigme : les Indiens, dont les connaissances botaniques sont admirées par les scientifiques, lui expliquent invariablement que leur savoir provient des hallucinations induites par certaines plantes. Dans une enquête qui s’étale sur dix ans, de la forêt amazonienne aux bibliothèques d’Europe, il réunit suffisamment d’indices pour être convaincu que la réponse à l’énigme se trouve dans l’ADN, la molécule de vie présente dans chaque cellule de chaque être vivant. Son hypothèse ouvre de nouvelles perspectives sur la biologie, le savoir des peuples indigènes, l’anthropologie et les limites du rationalisme.
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Posté par othoharmonie le 11 octobre 2011
Ainsi, partout en Inde, en divinisant le serpent, en lui réservant des bosquets sacrés, les populations de l’Inde ont réussi à sauvegarder une créature dangereuse mais utile dans le maintien de l’équilibre naturel. Sans le culte du serpent, il est fort probable que cet ennemi tant redouté par la race humaine aurait été exterminé sans merci !!
Sona, une villageoise du Maharashtra, raconte comment, il y quelques années, elle blessa un serpent en jetant une pierre. Après cela, elle perdit son sommeil. Une femme n’est pas supposée faire du mal à cette créature sacrée. Chaque nuit, elle faisait des cauchemars de serpents qui l’éveillaient tout en sueur. C’est alors, que pour arrêter cette torture, elle décida de jeûner tous les lundis. Il faut savoir que le lundi est le jour de Shiva et Shiva est le dieu le plus communément associé au serpent car la parure du dieu de la destruction est un cobra lové autour de son cou. Les cobras sont les gardiens du linga de Shiva. Depuis, Sona jeûne tous les lundis et n’est plus jamais dérangée par ces rêves de mauvaises augures. Bien sûr, elle n’ose plus jamais toucher les serpents qui entrent chez elle et se glissent dans les plis de ses saris suspendus à la corde à linge !! Les hommes se chargent de cette besogne peu honorable.
Il existe 236 espèces de serpents en Inde dont 50 sont venimeuses. Parmi ces 50 serpents venimeux, 4 sont particulièrement dangereux et sont appelées les quatre grands venimeux de l’Inde : le cobra (Naja naja), la vipère de russell (Vipera russelli), l’échide carénée (Echis carinatus, une vipère qui se frotte pour émettre un son continu), et le bongore indien ((Bungarus caeruleus reconnaissable à ses bandes transversales blanches). Avec 50 000 morts par an dû à des morsures de serpents, on peut comprendre que les indiens soient plutôt paranoïdes à la vue de ces reptiles! 56% des morsures se produisent dans les champs et 42% à la maison. Les serpents ont la mauvaise habitude de se glisser dans les habitations de terre battue avec toit de chaume où les rongeurs, à la recherche de nourriture, pullulent. De plus, les piles de galettes de bouse de vache et les tas de bois de feu stockés près des maisons fournissent un refuge agréable pour les rats ainsi que les serpents.
Le problème est qu’il est difficile de distinguer les serpents venimeux des serpents non venimeux. A première vue, le cobra ressemble à un serpent ratier banal, la vipère de russell à un python… Et trop souvent, des serpents inoffensifs comme le serpent ratier oriental (Ptyas mucosus), serpent non venimeux de la famille des couleuvres qui se nourrit des rats et souris de champs et joue donc un rôle important dans la régulation des populations de rongeurs nuisibles à l’agriculture, sont éliminés.
Il existe cependant un serpent particulièrement dangereux que les indiens hésitent à tuer : le Nag ou cobra ou serpent à lunette. ll est considéré sacré et donc adoré et même parfois épousé ! En juin 2006, à Bhubaneshwar dans l’Orissa, une jeune fille, Bimbala Das, se mariait avec un cobra selon les rites traditionnels du mariage Hindou. Malheureusement, Mr Coby, peut-être trop ému, ne sortit pas de sa résidence, une fourmilière. (Herald Sun 12 July 2006).
Peut-être à cause de ses mouvements rapides et glissants, ses yeux hypnotisants, sa coiffe déployée impressionnante et sa morsure mortelle, le cobra occupe une place exaltée dans l’hindouisme. Dans la mythologie hindoue, il existe huit cobras divins considérés comme les protecteurs de la terre. Le plus important est Shesha ou Ananta. Il est le grand serpent cosmique à mille têtes sur lequel repose Vishnu. Vasuki, le roi des serpents, aida les Devas et Assuras (dieux et démons) à récupérer le nectar de l’immortalité lors du barratage de l’océan cosmique. Manasadevi, la sœur de Vasuki, est la reine des serpents. Elle possède des pouvoirs divins pour neutraliser le venin des serpents et protéger les mortels contre leurs morsures. Dans le Bengale où elle est particulièrement adorée, des idoles d’argile de la déesse avec deux cobras reposant sur ses épaules, sont façonnées pour le culte du serpent. Le dernier jour du festival, la déesse est immergée. Mais avant cela, les deux serpents sont enlevés de ses épaules car l’argile avec laquelle ils ont été fabriqués est supposée avoir des propriétés médicinales pour soigner les maladies infantiles.
Le cobra est particulièrement vénéré dans l’état du Kerala dans le sud de l’Inde. De nombreuses demeures ancestrales et temples ont dans leur enceinte, un peu à l’écart, un bosquet sacré appelé Sarpa Kavu dédié au culte du serpent. Ce bosquet où la végétation luxuriante est laissée totalement vierge, est considéré comme la résidence des serpents. Là, se trouve le Nagakal ou statue en granit du cobra avec sa coiffe déployée. Cette statue consacrée est placée sur une structure de pierre édifiée au pied d’un arbre dans le Sarpa Kavu. Les femmes offrent le lait, allument les lampes à huile et tournent autour de cet arrangement pour rendre propice les dieux serpents.
Dans ces bosquets sacrés, le rituel le plus impressif est Sarpam Thullal, un rituel qui dure de 3 à 11 jours. Tout d’abord, un pandal (un abri) est édifié et décoré de fleurs, feuilles et fruits symbolisant la fertilité. Ce théâtre ouvert représente l’écologie d’un village typique du Kerala. Le sol est aplatit et enduit de bouse de vache. A l’intérieur du pandal, les Pulluvars exécutent le Nagakkalam.
Le Nagakkalam, un dessin représentant plusieurs serpents entrelacés, est exécuté au sol, comme un rangoli, à partir de cinq poudres colorées naturellement : jaune, vert, rouge, noir et blanc. Le dessin le plus compliqué est Ashta Nagakkalam, un dessin de plusieurs mètres, représentant 8 cobras entrelacés. Ces 8 cobras sont les 8 serpents divins de la mythologie hindoue. L’exécution de ce dessin curvilinéaire au sol est un art demandant une grande expertise de la part des Pulluvars.
Voir le Vidéo India : http://www.indiavideo.org/kerala/arts/ritual-art-forms/snake-worship-nagakkalam-1270.php
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Posté par othoharmonie le 11 octobre 2011
La symbolique du serpent est l’une des plus profondes et complexes. Il n’est guère de cultures et de mythologies qui n’aient leur Grand Serpent, presque toujours marin et ambigu, sinon ambivalent.
Serpents et dragons, amphisbènes, basilics, guivres, hydres, chimères, les monstres ophidiens sont présents sous de nombreuses formes dans presque tous les folklores. Ils y jouent deux rôles principaux : celui de gardien (légendes de la Toison d’Or, de saint Georges) ou d’initiateur (Fáfnir et Sigurd).
Le « Grand Serpent », le Trimégiste, cosmogonique ou cosmique, n’a cessé de hanter l’imaginaire des hommes, de Ras Shamra au Loch Ness ; il cristallise les peurs, les angoisses, les désirs, les espoirs. On remarquera d’ailleurs que la figure serpentine est souvent présente dans les « hallucinations », chamaniques ou non, provoquées par des plantes psychotropes.
Le serpent ne peut être regardé en face, comme le Soleil dont il semble l’antagoniste parce que le serpent qui a les paupières soudées ne cille pas ni ne semble jamais dormir. Opposé au « Feu Primal », il est cependant fortement associé à la Terre à cause de son mode de déplacement. Puisque chthonien et rival de la lumière primale, il est associé au monde des morts et de la nuit ; certainement aussi parce que son corps étrangement froid semble se passer de la chaleur de la vie. Puisqu’il connaît les secrets de l’après-vie et qu’il est une figure de patience, il devient symbole de toute sagesse et de gnose ; il est souvent le hiérophante du héros perdu (comme Sigurd encore ainsi que Marduk). Il possède un savoir inquiétant et mystérieux, essentiel et vital, capable de révéler l’avenir et le passé. Il est aussi associé à l’Eau parce que ses écailles le rapprochent du poisson (sinon que comme tous les reptiles elles sont soudées contrairement aux poissons) et par sa reptation qui le fait se mouvoir comme une vague mouvante. Il est l’être qui se joue des catégories topiques, semblable de corps et de régime qu’il habite dans l’eau ou sur terre ; rien d’étonnant alors que plusieurs mythes l’aient doté d’ailes. Le Grand Serpent porteur de connaissance, évoque un autre porteur de lumière, Lucifer.
Le serpent est aussi l’animal qui se régénère puisque la saison venue il mue, il change de peau : il fait peau neuve. Il représente l’une des plus vieilles aspirations chimériques à la jeunesse éternelle, rajeuni ou plutôt jamais mort. Les Alchimistes pensent que la pierre philosophale est logée dans sa tête oblongue.
Il semble souvent s’opposer à un dieu, au Dieu, à l’aigle, symbole de Zeus olympien qui affronte Typhon, le Satan qui s’oppose au Dieu biblique, Marduk et Tiamat, Thor pêchant Midgardsorm (terrifié et momentanément paralysé par son regard), Thraetona et Azi Dahaka en Iran, Apollon et Python, Héraclès et l’Hydre de Lerne, Saint Georges et le Dragon.
Toutes les traditions ont des reptiles titanesques et volants qui mêlent la puissance physique à l’intelligence, tandis que d’autres opposent au travers du serpent et du héros salvateur, la domination de l’esprit sur le corps, ou la domination de l’homme sur la nature, ou sa nature sauvage.
L’art martial du serpent symbolise le serpent : Fluidité, rapidité. Les mains (telles la tête du serpent) sont « dressées et prêtes à mordre ». Les bouts des doigts y frappent directement les points vitaux.
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Posté par othoharmonie le 11 octobre 2011
L’oursin fossile qui, d’après Pline, jouissait en Gaule d’une grande popularité, relève du symbolisme général de l’œuf du monde. Pline l’appelle d’ailleurs avum anguinum (« œuf de serpent »), et il le met en relation directe avec les doctrines druidiques, sans toutefois estimer ces dernières plus que d’assez vagues superstitions : « Il est une espèce d’œuf, oubliée par les Grecs, mais en grand renom dans les Gaules ; en été, des serpents innombrables se rassemblent, enlacés et collés les uns aux autres par la bave et l’écume de leur corps ; cela s’appelle œuf de serpent.
Les druides disent que cet œuf est projet é en l’air par les sifflements des reptiles et qu’il faut le recevoir dans une saie avant qu’il touche la terre. Le ravisseur doit s’enfuir à cheval, car les serpents le poursuivent jusqu’à ce qu’ils en soient empêchés par l’obstacle d’une rivière. On reconnaît cet œuf à ce qu’il flotte contre le courant. Mais comme les mages sont habiles à dissimuler leurs fraudes, ils affirment qu’il faut attendre une certaine lune pour recueillir cet œuf, comme is la volonté humaine pouvait faire coïncider la réunion des serpents avec la date indiquée.
Vu cet œuf ; il est de la grosseur d’une pomme ronde moyenne et la coque en est cartilagineuse, avec de nombreuses cupules, comme celles des bras des poulpes. Il est célèbre chez les druides. On en loue l’effet merveilleux pour le gain des procès et l’accès auprès des rois ; mais ceci est faux ; un chevalier romain du pays des Voconces qui, pendant un procès, en portait un dans son sein, fut mis à mort par le divin Claude, empereur, sans aucune autre raison, (hist.Nat. 29;52-54).
Les Celtes pensent que le serpent détient d’immenses pouvoirs. Animal associé à de nombreux rites initiatiques, il se cache sous le Tertre Douloureux et garde la pierre de la richesse. Le serpent étant un animal dont la peau se renouvelle, il est associé à l’enfer et à la régénération. D’après les légendes, Pérédur arrive finalement à le vaincre.
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Posté par othoharmonie le 11 octobre 2011
Même si cela peut paraître saugrenue pour certaines, le venin de serpent possède des vertus bénéfiques pour lutter contre les rides. Le laboratoire Armonia a conçu pour vous une crème venin de serpent anti-rides.
Grâce à sa protéine SYN ®-AKE, vous pourrez bénéficier de tous les effets de relaxation musculaire de la creme venin de serpent. L’épiderme de votre visage se verra repulpée et adoucie grâce à ce soin anti age, vous permettant ainsi de dire adieu aux rides d’expression et ridules.
La protéine SYN® -AKE bloque les récepteurs cellulaires entraînant un relâchement musculaire et une diminution des rides d’expression de 52% en 28 jours*.
* test clinique sur 45 volontaires à raison de 2 applications par jour.
La protéine qui compose la crème Armonia est similaire à celle contenue dans le venin de serpent et appelée Waglerin 1. Ce tripeptide (protéine composée de trois peptides) a pour propriété de conserver le relâchement de la peau pour éviter l’apparition des rides au fil du temps. Vos rides seront ainsi lissées, permettant ainsi un véritable effet lifting.
La formule de la crème Armonia venin serpent est complété par du Nopal et de l’Aloe vera qui permettent à vos cellules de garder leur élasticité grâce à une hydratation en profondeur ; ainsi qu’un protecteur solaire d’indice SPF 15.
Grâce à la crème venin de serpent d’Armonia, redonnez une seconde jeunesse à votre peau !
La crème venin de serpent antirides ne possède aucune trace de parabène dans sa composition.
site à visiter : http://www.institut-phytoceutic.fr/articles/tous-les-bienfaits-du-venin-de-serpent-dans-une-creme.html
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Posté par othoharmonie le 10 octobre 2011
Parmi les serpents, on distingue, généralement, ceux qui sont venimeux de ceux qui ne le sont pas. Parmi ces derniers, certains étouffent leurs proies en les serrant avec leurs anneaux musculeux. Ces serpents sont dits constricteurs. La couleuvre d’Esculape ou la coronelle lisse sont des représentants des serpents constricteurs dans notre faune paléarctique. La plupart des autres couleuvres avalent leurs proies vivantes.
Les serpents venimeux de la faune paléarctique sont :
soit opisthoglyphes, cela veut dire qu’ils possèdent des crochets venimeux placés très en arrière dans la bouche. Ils injectent leur venin au cours de l’ingestion de leur proie. La couleuvre de Montpellier, bien que possédant un venin redoutable, est quasi sans danger pour l’homme, même si elle le mord volontiers quand il la saisit, puisque ces crochets sont de ce type. Il faudrait, pour subir l’action de son venin, enfoncer profondément un doigt dans sa bouche…
soit solénoglyphes, cela veut dire qu’ils possèdent des crochets mobiles, placés en avant dans la bouche et dont ils se servent pour frapper leurs proies. Celles-ci meurent dans les quelques instants qui suivent la morsure et sont retrouvées par le serpent qui les suit à la trace. Les vipères aspic, péliade, ammodyte, d’Orsini, de Lataste ou du Levant sont les représentants des serpents solénoglyphes de notre faune paléarctique.
En Europe, la plupart des espèces de vipères dépassent rarement 50 à 60 cm de longueur. Leur morsure, bien que grave, ne devrait pas être normalement mortelle pour un homme adulte en bonne santé. Il arrive aussi quelquefois que l’on se fasse mordre sans que la vipère n’injecte de venin ou très peu. Il est vrai que la frappe d’une vipère sur une souris quand elle la capture ou la frappe horizontalement, bouche fermée, en soufflant, d’une vipère qui a peur et veut faire peur n’ont rien en commun.
En Turquie, la vipère du Levant peut atteindre 1 m 50 de longueur.
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Posté par othoharmonie le 10 octobre 2011
Un reptile (Reptilia en latin) est un animal vertébré, généralement tétrapode, amniote, et membre de la classe des sauropsides. Les premiers animaux à pouvoir être classés dans les reptiles sont apparus sur Terre dès le Carbonifère.
Dans le monde vivant actuel, ils sont représentés par quatre ordres :
les crocodiliens (crocodiles, gavials, caïmans et alligators) : 23 espèces ;
les rhynchocéphales (sphénodons de Nouvelle-Zélande) : 2 espèces ;
les squamates (lézards, serpents et amphisbènes (« lézard-ver ») : environ 7 900 espèces ;
les testudines (tortues) : environ 300 espèces.
Les reptiles, au sens courant, regroupent les animaux terrestres à température variable (ectothermes) et dont le corps est recouvert par des écailles. Autrefois considéré comme un taxon scientifique, ce regroupement s’est révélé, notamment avec l’essor de la cladistique, être non pertinent[2]. En effet les reptiles ne forment pas un groupe monophylétique mais un groupe paraphylétique : certains reptiles théropodes ont donné naissance aux oiseaux, et les reptiles mammaliens ont donné naissance aux mammifères.
« Reptile » signifie « qui rampe », bien que ce ne soit pas une caractéristique universelle de cette classe.
La partie de l’histoire naturelle traitant des reptiles se nomme l’herpétologie (accès à la liste des herpétologistes). Wikipédia.
C’est Josephus Nicolaus Laurenti (1735-1805) qui, en 1768, dans sa thèse consacrée à la fonction venimeuse chez les reptiles et les amphibiens, définit le premier précisément la classe des reptilia.
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Posté par othoharmonie le 10 octobre 2011
Les serpents (sous-ordre des Serpentes) sont des reptiles au corps cylindrique et allongé, dépourvus de membres apparents. Ils partagent cette dernière caractéristique avec un groupe de vertébrés tétrapodes : les gymnophiones, qui appartiennent au groupe des lissamphibiens.
On regroupe sous le nom de « serpents » ou « ophidiens » des reptiles tous dépourvus de pattes ; leur corps, recouvert de fines écailles et de plaques cornées, est de forme cylindrique et allongée. Leurs yeux ont des paupières soudées et transparentes qui leur confèrent un regard fixe. Il existe des serpents de toutes tailles et de toutes couleurs. Ils sont tous zoophages ; la plupart sont ovipares mais quelques-uns sont ovovivipares, surtout dans les régions froides : l’ovoviviparité est probablement une adaptation nécessaire là où la période estivale est courte. Ainsi la femelle peut mieux régler la température de développement des petits que si elle pondait simplement ses œufs dans le sol. Dans les régions tempérées, les femelles pondent leurs œufs à la fin de l’été, et sont parfois incapables de se nourrir suffisamment avant l’hibernation. Les mâchoires fortes peuvent se désarticuler de telle façon que l’animal peut engloutir des proies plus volumineuses que lui. Les crochets peuvent contenir des glandes à venin selon les espèces, pouvant rendre la morsure mortelle. Le serpent, malgré ce que l’on pense, peut sauter jusqu’à plusieurs mètres de hauteur; ceci ne se produit certes pas beaucoup car il n’utilise cette fonction que pour attaquer une proie plus grande que lui.
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