Histoire du Chapon

Posté par othoharmonie le 4 août 2012

 

Histoire du Chapon dans POULE et COQ 220px-Landauer_I_120_rPline l’Ancien écrit que la production du chapon remonte à Rome en l’an 162 av. J.-C., lorsque le sénateur Caius Fannius Strabo fit voter une loi somptuaire qui limitait la consommation de viande de poule. Pline écrit dans L’Histoire Naturelle, livre X, paragraphe LXXI (Caput L), que la Lex Fannia limitait à une poule par banquet, poule qui ne devrait pas avoir été engraissée à cet effet ; en tant que parade, on aurait imaginé de nourrir de jeune coqs avec des produits laitiers. L’objectif était d’économiser le grain réservé à l’alimentation de la plèbe et de revenir à l’idéal de frugalité préconisée par Caton le Censeur, les nouveaux Romains étant contaminés par le luxe des Grecs qui avaient inventé l’engraissement des poulardes. Les éleveurs découvrirent que les coqs castrés prenaient rapidement du poids, économisant le grain et permettaient de contourner la loi.

En France, le chapon est une spécialité de la Bresse. Pour obtenir sa certification, il doit avoir au moins huit mois, dont sept de vie dans le pré, et peser 3 kg.

En Italie, le cappone (chapon) dispose d’une certification PAC (Prodotto agroalimentare tradizionale) pour les régions du Frioul-Vénétie julienne et des Marches ainsi que pour les communes piémontaises de Monasterolo di Savigliano, Morozzo, San Damiano d’Asti et Vesime.

Au Portugal, le capão (chapon) de Freamunde est en voie de recevoir une appellation d’origine protégée. Le cahier des charges de la production certifiée  est en cours d’analyse par les services de la Commission européenne depuis courant 2011.

En Espagne, est connu le capón (chapon) de Vilalba.

Un chapon est un coq de l’espèce Gallus gallus domesticus qui a été castré afin d’atteindre une plus grande tendreté et une plus grande masse. Ses pattes sont bleues, sa peau fine et nacrée.

Les testicules des volailles sont à l’intérieur du corps, il faut deux incisions pour enfoncer les doigts et arriver à les arracher avec des pinces à castrer (technique du chaponnage) . Le chapon est élevé au minimum 150 jours, il est nourri avec au moins 75 % de céréales jusqu’à un mois avant son abattage, il est ensuite nourri avec des produits laitiers. Il est enfermé dans l’obscurité dans une petite cage en bois appelée « épinette ». Le chapon ne développe pas une couche de gras mais il en « picore sa chair », ce qui la rendra plus tendre et moelleuse.

Par extension, il désigne le mâle castré d’autres volailles, par exemple, le chapon de pintade.

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Poule de Bresse

Posté par othoharmonie le 4 août 2012

Il faut distinguer deux sortes de volailles de Bresse :

  • La poule de Bresse originale, sélectionnée selon le standard de la Société centrale d’aviculture de France, afin de concourir dans les expositions nationales et internationales.
  • Le poulet de Bresse destiné à l’industrie agro-alimentaire et bénéficiant d’une Appellation d’origine contrôlée (AOC) depuis 1957.
  • Volailles Bresse.JPGIl existe enfin une dinde de Bresse (AOC), dite « Perle noire », mais d’une importance numérique bien moindre: alors qu’environ 1 million de poulets de Bresse (poulet, chapon, poularde) sont élevés tous les ans, seulement 32 000 dindes de Bresse sont élevées chaque année.

Dans les concours avicoles, La Bresse s’appelle ainsi dans son aire de répartition géographique définie. Au delà, l’appellation légale est « Bresse-Gauloise ». Elle ressemble à sa cousine la Gauloise dorée, mais s’en distingue par une crête tombante chez la poule. Ce sont toutes les deux des poules de type méditerranéenne, caractérisé par des oreillons blancs, une ossature fine et une crête simple et régulière (Leghorn, Andalouse, Minorque…).

Elle est élevée en lignée pure par des éleveurs sélectionneurs, afin d’en préserver son patrimoine génétique et d’en améliorer ses qualités tout en sélectionnant les sujets conformes au standard

250 éleveurs et une dizaine de volaillers assurent la production et l’abattage de la volaille de Bresse, assurant la production d’environ un million de volailles. Les élevages traditionnels sont de taille réduite parce qu’il n’est pas conseillé de mettre deux coqs dans le même élevage, afin d’éviter les conflits. Ce type d’élevage extensif présente l’avantage de diminuer le risque de propagation de maladies, permettant à cette volaille de ne pas être traitée aux antibiotiques, qui augmentent la teneur en eau de la chair. La volaille de Bresse a ainsi une chair ferme et des filets gras.

Aujourd’hui, les poussins sont élevés dans un lieu clos, près d’une couveuse artificielle, pendant une durée ne pouvant excéder cinq semaines. Ils sont alors nourris avec des aliments composites. Naguère, ils étaient élevés dès leur naissance en plein air, avec un mélange de farine de maïs blanc, de riz cuit et de mie de pain délayée dans du lait écrémé. Un coq peut vivre avec une vingtaine de poules en assurant la production d’œufs (en moyenne un peu moins d’un œuf par jour et par poule en liberté). Elles sont nourries deux fois par jour avec un mélange céréales (principalement maïs hybride)/lait , à quoi s’ajoute le picorage permettant d’intégrer vitamines et matières azotées. Il faut leur permettre de picorer tôt le matin et le soir, ce qui implique des horaires stricts pour l’éleveur. Après une période en liberté d’environ 9 semaines, durant laquelle se forme la chair, la période d’engraissage (8 à 15 jours) commence, qui s’effectue dans une enceinte close, l’épinette. Chaque poule est alors baguée, et les pointes de ses ongles coupées pour éviter toute blessure.

Chapons et poulardes restent plus longtemps en épinette. L’alimentation est alors très surveillée et nécessite un travail de précision (alimentation à intervalles réguliers, précision des doses, etc.). Du sarrasin et du maïs blanc est parfois utilisé pour ces types. L’éleveur assure le plus souvent l’abattage des chapons et poulardes, opération très soignée (plumage à sec, duvet coupé aux ciseaux, etc.). Le « roulage » constitue la dernière opération.

Chaque année, est organisé à Bourg-en-Bresse, à Louhans, à (Montrevel-en-Bresse) et à Pont-de-Vaux, au mois de décembre, le concours des « Glorieuses » où les éleveurs présentent leurs produits, prêts à la vente. Ce sont les Glorieuses de Bresse, en rapport aux quatre villes organisatrices. Un jury sélectionne les meilleurs spécimens. Le prix du chapon, qui doit faire au moins 4 kilos, et qui a reçu le prix d’honneur, peut atteindre un prix relativement élevé.

  • Diamètre des bagues : Coq : 20 mm ; Poule : 18 mm

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Processus pour créer une basse-cour

Posté par othoharmonie le 2 août 2012

  • Avoir une idée claire du type de basse-cour recherchée (agrément seul, agrément et production, production de chair ou d’œuf à consommer, reproduction)
  • Identifier les ressources d’espace (surface totale, surface en pré, point d’eau, zone « constructible » pour l’hébergement)
  • Se documenter sur l’animal visé (caractéristique, spécificité, hébergement, nourriture, reproduction, productivité en chair ou en œuf, maladie, nuisance, exigence légale, prédateur, soin, surface par animal) ; la littérature est abondante
  • Choisir une première liste d’animaux et de race possibles selon les points précédents
  • Quantifier approximativement le nombre probable de chaque type d’animal (selon la finalité, la productivité, le besoin de consommation, l’espace disponible…)
  • Demander à la mairie quelles sont les contraintes légales pour une nouvelle basse-cour
  • Rencontrer d’autres éleveurs en basse-cour de la région afin de voir leur installation et recevoir leurs conseils ou recommandations (nourriture, prédateur, maladie)
  • Prendre l’avis des voisins immédiats à l’idée d’avoir une basse-cour à côté de chez eux
  • Arrêter la liste des animaux retenus
  • Aménager l’hébergement adapté aux animaux et à leur nombre
  • Acquérir les moyens et nourriture nécessaires
  • Acquérir et installer les animaux démarrés (les jeunes sujets achetés autonomes dans le commerce s’acclimatent bien et ne sont pas fragiles contrairement aux jeunes produits par soi-même qui nécessitent beaucoup d’attention et d’expérience)
Processus pour créer une basse-cour dans POULE et COQ

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La basse-cour d’élevage

Posté par othoharmonie le 2 août 2012

 

Une basse-cour d’élevage est un élevage, non industriel et de petite taille, de petits animaux domestiques ou sauvages destinés ou non à la consommation. On parle aussi de basse-cour, basse-cour de ferme, basse-cour paysanne, basse-cour campagnarde, basse-cour familiale. À l’origine, la basse-cour d’élevage vise à nourrir la famille, à remplir les édredons, fournir de l’engrais… Les animaux sont nourris en partie à partir des déchets agricoles de la ferme et participent ainsi à l’entretien des abords (pré, cour, étable, hangar, mare, voire potager). Les animaux non volants (« désailage ») y sont en liberté ou semi-liberté le jour et sont enfermés la nuit à l’abri des vols et prédations.

La basse-cour d'élevage dans POULE et COQ basse-cour420

La finalité de la basse-cour d’élevage est double :

  • produire de la viande, des œufs ou d’autres produits (plumes, duvet…) à des fins de consommation personnelle ou de commercialisation locale,
  • entretenir de petits animaux pour l’agrément (esthétique, reproduction, soins, compagnie), tout en les consommant ou pas.

Elle est située, le plus souvent, au sein d’une ferme familiale agricole (on peut la nommer « basse-cour de ferme » ou « basse-cour paysanne ») mais elle peut être également attenante à une maison d’habitation.
La campagne est le lieu de prédilection des basses-cours d’élevage. On en trouve quelques-unes en ville mais le manque d’espace et les nuisances occasionnées aux voisins en ont limité les espèces.

Les animaux élevés sont, en général, en nombre réduit (quelques dizaines d’unités) et de plusieurs types (poule et canard, poule et lapin, …).

L’alimentation des animaux peut être mixte, une part est prélevée par les animaux sur leur parcours, une autre part complémentaire est éventuellement apportée par l’homme si une production et reproduction est espérée.

En France, l’avènement de la Révolution verte et la baisse du nombre d’agriculteurs ont entrainé la régression des basse-cours que l’on rencontrait systématiquement dans les cours de fermes jusque dans les années 1950. Nombre de familles ne disposent plus de temps suffisant pour s’occuper de la basse-cour.
Également, l’industrialisation de l’élevage des volailles a mis sur le marché ses produits « bon marché » à la dénomination identique mais pourtant de qualité largement inférieure rendant banale et quelconque une viande dite « du dimanche » excellente et autrefois très prisée.

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Aujourd’hui dans les campagnes, les basse-cours sont à usage essentiellement familial. Les animaux produits ne se retrouvent dorénavant que très peu sur les marchés. Elles sont tenues assez fréquemment par des personnes âgées ce qui leur assure un complément nutritionnel et pécuniaire parfois indispensable à leurs petites pensions de retraites.
La qualité des produits de la basse-cour comparée à celle de l’élevage industriel, ainsi qu’un plus faible coût à l’achat comparé à celui de l’élevage en série de type biologique ou fermier, incitent tout campagnard à avoir une petite basse-cour adaptée à ses possibilités et à sa consommation.

Avec l’emploi majoritaire de garnitures synthétiques pour des literies à durée de vie réduite, ainsi que l’élévation du niveau de vie, le besoin de produire des plumes et du duvet pour ses besoins propres est tombé en désuétude.

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Les avantages de basse-cour

Posté par othoharmonie le 2 août 2012

  • Poules dans un champ avec un bâtiment au lionPour le « coup d’œil » et l’ambiance: de belles races de volailles, de canards et de lapins présentent des animaux agréable à regarder (canard huppé, poule nègre-soie, lapin nain angora ou paon…)
  • Pour le goût et la nutrition: absence de chimie, viandes produites de qualité, fraîcheur des œufs produits par des volailles libres et à l’alimentation variée
  • Pour l’engrais: production d’engrais/amendement pour les plantes, le jardin nourricier..
  • Pour les satisfactions, joies, plaisir et éducation des enfants: le moment du ramassage des œufs, les visiteurs sont souvent charmés par les progénitures diverses (poussins, canetons et minuscules cailleteaux).
  • le sacrifice des animaux peut être très éducatif dans la mesure ou il rend concret la provenance de la viande que l’on consomme et la nécessité de ne pas la gaspiller par respect envers l’animal qui la fournit.

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Les contraintes de basse-cour

Posté par othoharmonie le 2 août 2012

En contrepartie de la qualité obtenue et des joies procurées par l’élevage familial, une basse-cour d’élevage présente des contraintes :

  • Fichier:Ducks and poultry.jpgEn milieu urbain, une basse-cour donnera beaucoup de travail pour ne pas déranger le voisinage souvent trop proche.
  • il faut de l’espace, une infrastructure d’hébergement adaptée, du petit matériel, des aliments, des produits de nettoyage, des moyens adaptés de lutte contre les maladies éventuelles et les prédateurs ;
  • il faut du temps quasi-quotidien à consacrer aux animaux et ne pas quitter les lieux plus d’une semaine d’affilée ; le temps de construction de l’infrastructure peut s’avérer important si l’on n’a pas de structure déjà existante mais on peut observer;
  • les nuisances sonores peuvent être importantes selon les animaux (oie et paon sont très bruyants ; le chant du coq à 5 heures du matin peut agacer beaucoup les voisins)[1] ; Les nuisances olfactives arrivent rapidement par manque de nettoyage des litières par temps chaud ;
  • le sacrifice des animaux peut s’avérer pénible voire insupportable pour certains qui n’y sont pas habitués ;
  • un enfant qui a joué avec un lapin risque d’être ensuite incapable de consommer du lapin d’où qu’il provienne.

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La poule « Chabo »

Posté par othoharmonie le 2 août 2012

La poule « Chabo » (anciennement Nagasaki ou Japonaise est une race de poule domestique.

La poule La Chabo est une très jolie race de poule naine d’ornement, très répandu dans les expositions en France et en Europe; Elle se distingue des autres races par son gêne « pattes courtes*, une grande crête et une queue très longue portée haute, 1/3 au dessus de la tête, surtout chez le coq. Le port du dos est horizontal et l’allure ramassée. La poule est très docile et bonne couveuse. C’est une bonne pondeuse pour une naine.

Les ailes sont tombantes, touchant le sol.

La Chabo est une vraie naine, elle n’a pas d’équivalent en grande race.

  • Le gêne « pattes courtes » est létal à l’état homozygote, c’est-à-dire que 25% des poussins meurent dans l’œuf et que 25% naissent avec les pattes « normales », qu’il faut écarter de la reproduction.

La Chabo est une très ancienne race japonaise, présente en Europe depuis 1854.

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La Poule Brahma

Posté par othoharmonie le 30 juillet 2012

La Brahma est une des plus grosses races de nos poulaillers.

D’une taille massive, elle donne une impression de force caractérisée par sa grande taille et sa forme très large, profonde, emplumée jusqu’aux tarses. Le corps est charnu et volumineux, la poitrine large et l’abdomen bien développé et une petite tête avec sourcils saillants et petite crête à pois. Son tempérament est doux.

Les poulets sont de croissance relativement lente. C’est une pondeuse d’hiver. Les œufs sont relativement petits pour une race d’une telle taille.

 La Poule Brahma dans POULE et COQ 220px-Dark_Brahma_Hen_Oregon_2-199x300

La sélection a pour but d’obtenir une poule de grande taille, bien fournie en chair. La Brahma est une volaille très rustique, docile, facile à élever, s’adaptant bien à tous les climats. C’est une grosse mangeuse peu habile à chercher seule sa nourriture, elle s’habitue donc bien à la claustration! Même si sa croissance n’est pas des plus rapides, et si sa ponte n’est pas exceptionnelle, la Brahma est une race prisée par de nombreux éleveurs qui aiment les grosses poules. Par des croisements, elle a contribué à la création de nombreuses races françaises.

Volaille géante d’origine asiatique, créée aux États-Unis à partir de Cochin auquel du sang de combattant Malais a été ajouté donnant cette « tête de rapace » caractéristique. Elle fut importée en Europe occidentale vers 1850.

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La Poule Faverolles Française

Posté par othoharmonie le 30 juillet 2012

La faverolles est une race de poule originaire de la commune de Faverolles (Eure-et-Loir) (Eure-et-Loir) dans le Centre de la France. Elle est caractérisée par une silhouette puissante et un plumage abondant.

Cette race de volaille possède un corps puissant, large, profond, pas trop long ; un tête de hibou, à la barbe et aux favoris bien développés ; des tarses légèrement emplumés ; cinq doigts, le tout donnant une impression majestueuse, puissante, mais sans lourdeur. Elle est élevée et sélectionnée pour sa chair fine, sa croissance rapide, sa ponte précoce ainsi que pour la beauté et la particularité de son plumage.

Elle prend son origine dans le village de Faverolles (Eure-et-Loir). Elle est issue de poules fermières croisées avec la brahma, la houdan, la poule de Dorking, la cochin, la Langshan. Au début du siècle, c’était une volaille sans standard. Ce qui préoccupait les éleveurs, c’était de produire une excellente volaille de chair pour les consommateurs de la capitale toute proche.

La Poule Faverolles Française dans POULE et COQ 280px-Salmon_Faverolle_hen_headshot

 

 

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La Poule de Sussex

Posté par othoharmonie le 30 juillet 2012

 

La « sussex » est une race de poule domestique d’origine anglaise.

La Poule de Sussex dans POULE et COQ 220px-Buff_SussexLa sussex est une race très répandue à travers le monde, et c’est même une des seules races pures de volailles qui soient encore proposées par les élevages intensifs, c’est dire si ses qualités sont reconnues.

La sussex est une race à deux fins, élevée surtout pour sa rusticité et sa qualité de chair à peau blanche. Honorable pondeuse, elle est aussi bonne couveuse. Cette race est caractérisée par sa forme rectangulaire, avec un dos large et plat, des cuisses dégagées et assez musclées et un plumage abondant mais sans bouffant.

Les variétés blanc herminé et tricolore sont les plus répandus. La perfection du type doit dominer sur la qualité du coloris.

Volaille originaire du sud de l’Angleterre, du comté de Sussex. Les Anglais la considèrent comme le fleuron de leur aviculture.

Elle est issue de volailles fermières indigènes (pour la ponte) croisées avec la brahma.

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La Poule Dorking

Posté par othoharmonie le 30 juillet 2012


La poule de Dorking est une race ancienne de poule domestique à l’origine de la faverolles française et de la poule de Sussex.

La dorking est vraisemblablement issue des poules fermières romaines, puisque Columelle la décrit exactement au milieu du Ier siècle après J.C. Ainsi dans ses Libri de re rustica, il évoque une poule à cinq doigts à la poitrine large, au corps solide et carré avec une grosse tête et une crête dressée. Les soldats romains l’ont introduite en Angleterre et cette race s’est développée au cours des siècles, jusqu’à ce qu’elle soit fixée au XIXe siècle et que des spécimens apparaissent sur les lieux d’exposition, comme le premier Poultry Show de 1845 en Angleterre. Son nom provient du bourg de Dorking dans le Surrey.

La Poule Dorking dans POULE et COQ

La dorking a un corps rectangulaire avec des tarses clairs et cinq doigts plutôt petits. Elle a besoin de protection l’hiver. Elle est élevée à deux fins, c’est-à-dire pour sa chair bien goûteuse et ses œufs. La poule est une excellente couveuse, au caractère parfois versatile qui a besoin d’espace et qui craint l’humidité. Le coq peut parfois dépasser les six kilos.

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La Poule Cochin

Posté par othoharmonie le 30 juillet 2012

La poule cochin est une race de poule domestique, devenue rare en France.

  • Note: Il n’existe pas de race naine contrairement aux dires des pays étrangers à la France : ce qu’ils appellent « cochin naine » est en réalité la Pékin.

La Poule Cochin dans POULE et COQ 220px-Cochin3Remarquable de par son volume : c’est en effet une des races existantes les plus grosses, avec un poids avoisinant les cinq kilogrammes pour les coqs adultes. Des tarses jaunes et très emplumés sont les caractéristiques de cette volaille au plumage abondant.

Sa ponte est médiocre et la chair n’est pas en quantité. En revanche, ces poules sont de bonnes couveuses. Cette race est plus ornementale que productive. Les coloris principaux sont le noir, le blanc, le bleu, le perdrix et le coucou. Elle est d’un caractère particulièrement calme et facile à élever.

Cette race de poule est originaire du sud de la Chine (mais pas de Cochinchine comme son nom pourrait le laisser supposer). Au départ cette poule est appelée poule de Changhaï par les ornithologues, en référence au port chinois qui l’exportait en Europe et d’abord en Angleterre et en France. Les Anglais l’importent autour de 1845 via les Indes britanniques, comme les américains le font avec la brahma. En France, c’est le vice-amiral Cécil qui l’importe à Macao en 1846, à partir du Kouang-Toung et qui fait expédier six poules et deux coqs au ministre de la guerre français de l’époque. Ces volailles sont dénommées alors poules de Cochinchine ou cochinchinoises. Le ministre offre un coq et trois poules au muséum d’Histoire naturelle de Paris, laissant les autres aux vice-amiral Cécil.

La reine Victoria est immédiatement fascinée par ces volailles. La société royale de Dublin les expose et elle est réclamée par des éleveurs, puis exposée aux États-Unis qui la sélectionnent pour un plumage de plus en plus volumineux et doux. Depuis lors cette race s’est imposée comme une race ornementale.

  • Masse idéale : coq : 4 à 5,5 kg et plus ; poule : 3,5 à 4,5 kg
  • Crête : simple
  • Oreillons : rouges
  • Couleur des yeux : rouge-orangé / brun / foncé / miel
  • Couleur des Tarses : jaune
  • Variétés de plumage : fauve, noir, perdrix maillé doré, blanc, coucou, bleu, noir caillouté blanc
  • Œufs à couver : min. 55g, coquille brun-jaune
  • Diamètre des bagues : coq : 27mm ; poule : 24mm

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Poule de Houdan

Posté par othoharmonie le 30 juillet 2012


La poule de Houdan est une race française de poule originaire de la commune éponyme dans les Yvelines.

Poule de Houdan dans POULE et COQ 220px-Houdan_FemaleCette race ancienne — elle est attestée dès le XIVe siècle — a connu son apogée dans la première moitié du XXe siècle. Sa zone d’élevage couvrait plusieurs cantons des Yvelines et d’Eure-et-Loir. Elle a failli disparaître par la suite face à la concurrence de races plus productives, mais des éleveurs passionnés ont conservé la race. Une dizaine d’éleveurs de la région de Houdan et de Mantes tentent de la faire revivre. En 1979, l’ancien club est remis sur pieds sous l’impulsion de Daniel Cordier, habitant de Saclay, également à l’origine de la Société Avicole, Cunicole et Colombicole des Yvelines (SACCY) et prend l’appellation de Houdan-Faverolles Club de France (HFCF). Son président lance un appel à tous les éleveurs isolés dans tout l’hexagone et organise un championnat de France de la race à l’occasion de la foire de la Saint Matthieu à Houdan (plus ancienne foire de France). Il en profite ainsi pour relancer cette exposition nationale qui avait également cessé d’exister.

La poule de Houdan se reconnait à sa crête double et à sa huppe de plume sur la tête. C’est, avec la Faverolles, la seule poule de France ayant des pattes à cinq doigts. Elle existe en plusieurs variétés de couleur, la plus connue étant à plumage noir parsemé de taches blanches (on dit noir caillouté blanc), mais elle peut aussi être noire, blanche ou gris perle. Elle est réputée pour la finesse de sa chair comparée par les amateurs à celle de la perdrix. C’est aussi une pondeuse moyenne. Elle bénéficie aujourd’hui d’un label rouge ce qui est extrêmement rare pour une volaille de race pure.

La Houdan est une race de poule domestique

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La Poule nègre-Soie

Posté par othoharmonie le 28 juillet 2012

La Poule nègre-Soie dans POULE et COQ 220px-A_fuzzy_baby_chicken_and_its_momLa Poule-Soie, anciennement Nègre-soie est une race de poule domestique.

Le nom de Poule soie a été voté en 2009 par la commission des Standards (section de la SCAF des juges volailles), Jugeant le mot « nègre » péjoratif de nos jours, même si cela définissait parfaitement l’une des caractéristiques principales de la race, son mélanisme total. Le nom de Poule soie semble insuffisant, car il existe d’autres races avec un plumage « soyeux », comme la Chabo « soie ». Le Nom de Soyeuse ou poule soyeuse aurait été possible, car elle est appelée ainsi dans certains pays comme le Royaume-Uni ou les États-Unis où elle est appelée « Silkie », c’est-à-dire soyeuse.

Son nom fait référence à son plumage très duveteux, ressemblant à de la soie. Son ancienne appellation « nègre » fait référence à sa peau et sa chair noire, mais également son ossature.

Existant en plusieurs couleurs, la Poule-soie a également la particularité d’avoir cinq doigts à chaque patte. La race est très présente lors d’expositions de volailles et est relativement commune.

La Poule-soie est également connue pour son tempérament calme et amical. Très docile, elle est parfois considérée comme un animal de compagnie. La Poule soie est une très bonne couveuse et bonne mère et elle est communément utilisée comme couveuses d’œufs d’autres races ou espèces de volailles. Elle ne pond généralement que trois œufs par semaine.

  • Note: cet article traite de la Poule soie grande race mais également de la naine
  • La Poule-soie est l’une des races de poules les plus anciennes. Bien que l’endroit exact du développement de la race soit discutable, l’endroit le plus documenté reste la Chine, puis plus tard le Japon. D’autres hypothèses placent l’origine de la race en Indonésie, où il existe des races à peau noire (Sumatra et Java).

 

photo1-vends-poules-negre-soie-hollandaises-huppees-0x3xex2w945456-225x300 dans POULE et COQAu XIIIe siècle, Marco Polo dans ses écrits sur la Chine, parle déjà d’une « poule à peau noire et aux plumes ressemblant à de la soie ». En 1599, Ulisse Aldrovandi, écrivain et naturaliste de l’université de Bologne en Italie, publie un traité sur les poules où il parle de poules au plumage « similaire à de la laine » et d’autres « vêtues de cheveux comme ceux d’un chat noir ».

La Poule-soie est probablement arrivée en Europe par l’intermédiaire de la route de la soie et par le commerce maritime. La race est officiellement reconnue en Amérique du Nord en entrant dans le Standard of Perfection en 1874, dès la première année de publication. Dès que la nègre-soie devint commune, de nombreuses légendes furent colportées à leur propos : les éleveurs malhonnêtes déclaraient à leurs acheteurs qu’elles étaient le résultat d’un croisement avec le lapin, tandis que les cirques promouvaient leur « poule à fourrure ».

Il existe deux types de Poule soie, la grande (l’origine) et la naine créée en Europe.

Le plumage de la Poule-soie est rare dans le monde des poules : abondant, soyeux et mou. La Chabo est également reconnue en variété « soyeuse ». Le gêne « soyeux » provient d’une mutation récessive, donc disparaît en première génération lors de croisement avec des sujets au plumage normal. Le plumage a été comparé a de la soie et à de la fourrure. Ces plumes ne sont pas équipées de barbules et de hampe rigides et sont similaires au duvet des autres oiseaux. Le résultat est une apparence soyeuse et toute en volume. La Poule-soie, du fait de ce plumage, n’est pas adaptée pour résister aux temps exécrables. Elle possède également une légère huppe.

Il existe une variété de Poule soie barbue qui possède un manchon de plumes supplémentaire recouvrant les oreillons et les barbillons. La variété la plus fréquente est la blanche, mais en compétition, de nombreuses couleurs sont reconnues : noir, fauve, bleu, gris argenté, perdrix-doré et blanc. Des teintes alternatives comme le roux, le lavande, blanc sale « splash » et le coucou existent, mais ne sont pas « encore » homologuées. La Poule-soie possède une petite crête, une caroncule en forme de noix couleur mûre, et des oreillons bleu turquoise. De plus, elle possède cinq doigts à chaque patte. Les dorking, Faverolles française, Faverolles allemande, sultane, Javanaise et la poule de Houdan possèdent cette caractéristique

  • C’est une race au mélanisme total : la peau, la viande et les os sont noirs. En chinois, son nom est, ce qui signifie la poule aux os noirs.
  • Cette poule très sociable et calme est facilement manipulable et ne peut pas voler. Elles se comportent bien dans des situations de confinement et interagissent bien avec les enfants. Leur caractère doux peut cependant les exposer à des blessures lorsqu’elles sont en contact avec des races plus agressives.

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La Poule ornementale et couveuse

Posté par othoharmonie le 28 juillet 2012

Silky bantam.jpgAu XXIe siècle, la Poule soie est une des poules ornementales les plus populaires et communes. Elle est souvent gardée comme animal de compagnie ou d’ornementation par les zoos. Elle est aussi fréquemment utilisée comme couveuse et éleveuse d’autres volailles (y compris les canards et les oies) et les oiseaux de chasse comme les faisans, les perdrix et les cailles.

La Poule soie pond un nombre moyen d’œufs de couleur crème, mais sa production est souvent arrêtée en raison de sa grande tendance à couver. Elle pond environ 5 fois son poids par an d’où l’importance d’une bonne alimentation. Une poule produit 100 à 150 œufs, 150 à 200 pour une bonne année ou une bonne souche, jamais plus. Leur capacité à couver a été sélectionnée et la Poule soie est surtout recommandée et utilisée pour couver les œufs délicats. Elle peut vivre de 10 à 12 ans et pondre jusqu’à 8 ans.

La chair noire de la Poule-soie est généralement considérée comme inhabituelle et peu ragoutante dans les cuisines européennes et américaines. Quelques restaurants de cuisine fusion de l’ère métropolitaine ouest des États-Unis utilisent la Poule-soie dans des plats traditionnels américains ou français, par exemple en confit.

Au contraire, de nombreuses cuisines traditionnelles asiatiques considèrent la Poule soie comme un mets raffiné. Très utilisée dans la cuisine chinoise, elle est aussi un ingrédient commun des tables japonaises, cambodgiennes et coréennes. Les pays fortement influencés par la culture chinoise peuvent aussi cuisiner la Poule soie comme en Malaisie. Dès le VIIe siècle, la médecine traditionnelle chinoise soutenait que la soupe de poulet à la viande de Poule-soie était une nourriture curative. Les méthodes habituelles de cuisine incluent les bouillons, les braisés et les currys.

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Coq Gaulois

Posté par othoharmonie le 28 juillet 2012


 

Coq Gaulois dans POULE et COQ 220px-Cochin3La Gauloise Dorée est une race de poule française, probablement la plus ancienne et celle qui serait génétiquement la plus proche des coqs sauvages. Au-delà de l’oiseau, la Gauloise est incarnée par le Coq Gaulois, souvent considéré comme un symbole national de la France, sans que cela ait un caractère officiel comme c’est le cas pour le pygargue à tête blanche pour les États-Unis. En latin gallus signifie à la fois coq et gaulois.

Le coq figure au sommet de très nombreux clochers, en raison du coq des Évangiles et non d’un symbole national. Il surmonte aussi bon nombre de monuments aux morts érigés après la Première Guerre mondiale.

L’emblème du Mouvement wallon, de la Communauté française de Belgique et de la Région wallonne est également le coq gaulois, cependant il est représenté combattant plutôt que chantant.

La Gauloise Dorée est de taille modeste. La poule pond régulièrement au printemps et durant l’été des œufs blancs d’au moins 60 grammes.

En dépit de sa domestication, cette race a conservé une partie de son caractère sauvage. En particulier la poule peut voler sur plusieurs dizaines de mètres à 5-6 mètres au-dessus du sol sans difficulté.

La gauloise dorée a bien failli disparaître au sortir de la Seconde Guerre mondiale mais connait un nouvel essor grâce aux élevages amateurs.

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Coq, symbole de la France

Posté par othoharmonie le 28 juillet 2012

Suétone, dans sa Vie des douze Césars, fit remarquer qu’en latin, coq et gaulois se disaient tous deux gallus mallus ortinigus. Au début du Bas Moyen Âge (XIIe), les ennemis de la France réutilisèrent le calembour par dérision, faisant remarquer que les Français (tout particulièrement leur roi Philippe Auguste) étaient tout aussi orgueilleux que l’animal de basse-cour. Par esprit de contradiction, les Français reprirent à leur compte cette expression en mettant en avant ce fier animal.

Fichier:Brown Leghorn rooster in Australia.jpgBien que présent comme figure symbolique en France depuis l’époque médiévale, c’est à partir de l’époque de la Renaissance que le coq commence à être rattaché à l’idée de Nation française qui émerge peu à peu. Sous le règne des Valois et des Bourbons, l’effigie des Rois est souvent accompagnée de cet animal censé représenter la France dans les gravures, sur les monnaies. Même s’il reste un emblème mineur, le coq est présent au Louvre et à Versailles.

Le coq gagna une popularité particulière à l’occasion de la Révolution française et de la monarchie de Juillet, où il fut introduit en remplacement du lys dynastique.

Ainsi, à la période révolutionnaire, on le voit figurer sur un écu, orné du bonnet phrygien, sur le sceau du Premier consul et l’allégorie de la fraternité porte souvent un bâton surmonté d’un coq.

Napoléon Bonaparte substitue l’Empire à la République et dès lors l’aigle remplace le coq car pour l’Empereur : « Le coq n’a point de force, il ne peut être l’image d’un empire tel que la France ».

Après une période d’éclipse, les « Trois Glorieuses » de 1830 réhabilitent l’image du coq français et le Duc d’Orléans, c’est-à-dire Louis-Philippe, signera une ordonnance indiquant que le coq devrait figurer sur les drapeaux et les boutons d’uniformes de la garde nationale.

L’aigle impérial retrouve sa place avec Napoléon III, comme signe de la permanence de l’Empire.

Après cela, le coq ne retrouva jamais une véritable autorité au niveau politique. On peut seulement trouver quelques références éparses, telles que :

  • le sceau de la IIe République représentant la figure de la Liberté tenant un gouvernail marqué du coq ;
  • sous la IIIe République :
    • la grille du Palais de l’Elysée fut ornée d’un coq, « la grille du coq » que l’on peut voir encore actuellement ;
    • le coq apparaît occasionnellement sur des timbres ;
    • les pièces de 10 Francs et de 20 Francs (en or) frappées de 1899 à 1914 portent un coq au revers ;
  • sous la IVe République :
    • les pièces de 10 Francs, de 20 Francs et de 50 Francs frappées de 1950 à 1958 portent un coq au revers ;
  • sous la Ve République :
    • la pièce de 10 Francs (Joaquin Jimenez) frappée en 1986 porte un coq à l’avers.

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Le Coq d’Esope

Posté par othoharmonie le 28 juillet 2012

Du Coq et du Coq d’Inde.
 

 Le Coq est jaloux de son naturel. Celui-ci remarqua qu’un Coq d’Inde, qui vivait avec lui dans la même basse-cour, faisait la roue en présence de ses Poules, et en prit ombrage.  » Traître, lui disait-il, ce n’est pas sans dessein que tu fais montre de tes plumes. Tu cherches sans doute à plaire à mes femmes, et par conséquent à me les débaucher. – Moi, repartit l’autre, c’est à quoi je n’ai jamais pensé, et tu t’alarmes bien mal-à-propos. Eh quoi ! ne saurais-tu souffrir que je fasse la roue devant tes femmes, quand je souffre, moi, que tu viennes chanter tout autant qu’il te plaît devant les miennes. « 

Analyse de fables d’Esope

Le Coq d'Esope dans POULE et COQ esope_fable_33

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Le Coq républicains

Posté par othoharmonie le 28 juillet 2012

Le Coq républicains dans POULE et COQ 180px-Scotland_roosterCréé par un décret du 22 novembre 1951, l’insigne officiel des maires aux couleurs nationales est conforme au modèle ci-après : « Sur un fond d’émail bleu, blanc et rouge portant « MAIRE » sur le blanc et « R.F. » sur le bleu ; entouré de deux rameaux de sinople, d’olivier à dextre et de chêne à senestre, le tout brochant sur un faisceau de licteur d’argent sommé d’une tête de coq d’or barbée et crêtée de gueules. »

Le port de l’insigne officiel des maires aux couleurs nationales, dont l’usage est facultatif, est réservé aux maires dans l’exercice de leurs fonctions et ne dispense pas du port de l’écharpe lorsque celui-ci est prescrit par les textes en vigueur.

Monuments aux morts français surmontés d’un coq

Article détaillé wikipédia : Liste de monuments aux morts français surmontés d’un coq.

Le coq gaulois est un des motifs assez fréquents parmi les ornements des monuments aux morts de France. Ce symbole patriotique n’est pas privilégié dans une région plutôt que dans une autre. Il peut être représenté :

  • de face ou de côté
  • les ailes plus ou moins déployées
  • en train de chanter ou pas
  • perché éventuellement sur une sphère dominant le sommet pyramidal de l’édifice en forme d’obélisque.

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Coq sportif

Posté par othoharmonie le 25 juillet 2012

 

Coq sportif dans POULE et COQ 598px-Brown_Leghorn_rooster_in_Australia-300x300Depuis les années 1980, le coq gaulois a eu un regain de popularité important avec les compétitions sportives (en particulier le football et le rugby), où il est l’emblème incontesté de la nation française. Cependant, sa présence sur les logos et autres maillots des équipes et fédérations est souvent discutée. Ainsi lorsqu’en 1997, le CNOSF décide de retirer le coq du logo officiel, certaines personnalités célèbres (dont la plus indignée était Alain Mimoun) s’élevèrent pour dénoncer cette atteinte aux valeurs de la France. Beaucoup de sportifs ne cachent pas que porter un maillot frappé du coq constitue un honneur supplémentaire.

Logos de fédérations françaises de sport

  • Logo de la Fédération française de football. Il maintient deux caractéristiques identitaires traditionnelles : le coq emblématique et les couleurs nationales. Le logo représente « un coq issu de la forme arrondie d’un ballon délié, en même temps qu’il évoque le dynamisme du football français. Les rubans qui le composent sont le symbole de la continuité entre le passé et l’avenir, mais aussi la mise en perspective des valeurs de fête et d’enthousiasme que suscite le football. »
  • Le logotype de l’Équipe de France de football reprend les mêmes codes symboliques que celui de la FFF, mais voit son coq revêtir la couleur Or afin d’établir le lien avec le blason que l’on retrouve sur le maillot des Bleus.
  • Logo de la Fédération française de rugby à XV
  • Logo de la Fédération française de rugby à XIII
  • Logo de la Fédération française d’escrime(remplacé en 2010 avec suppression du coq)

Logos d’entreprises commerciales

Mascottes (coqs personnifiés)

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