Le Coq signe chinois

Posté par othoharmonie le 12 août 2012

 

Le Coq signe chinois dans POULE et COQ 220px-Dark_Brahma_Hen_Oregon_2-99x150Orgueilleux, déterminé, sûr de lui, le coq est vaniteux et autoritaire, comme tout bon coq qui se respecte.

La loyauté est son point fort, associé à une franchise presque brutale, cela fait du coq l’ennemi du mensonge et de la diplomatie.

 La loyauté est son point fort, associé à une franchise presque brutale, cela fait du coq l’ennemi du mensonge et de la diplomatie.

Attentif aux détails, observateur aigu, le coq parvient à mener de front de nombreux projets , misant sur sa carrière et la reconnaissance sociale.
Il est très sensible aux louanges, mais attention à ne pas le contredire, car c’est lui qui a raison.

Caractéristiques – qualités et défauts du coq 

Autoritéb8265994a252aee51c37dd50352feb3b dans POULE et COQ

Franchise

honnêteté

précision

rudesse

extravagance

 

Doté d’une vitalité enviable, il possède l’énergie suffisante pour travailler et s’amuser. Le coq est un travailleur infatigable, précis, organisé, toujours prêt à lutter pour une juste cause avec le zèle d’un missionnaire. Mais le coq est intolérant, rétrograde et conservateur malgré une apparence d’anticonformisme.
Il néglige facilement ceux qui sont trop calmes et trop réservés pour attirer son attention et sa qualité première reste la ponctualité.

Souvent hautain et extravagant, à son avis, nul n’est meilleur que lui. Au plaisir d’aimer, il préfère celui d’être aimé, il multiplie donc les aventures amoureuses pour confirmer son pouvoir de séduction. Mais la véritable raison de ce comportement est une inquiétude intérieure, bien caché sous la façade de la pseudo-confiance en soi. De tempérament batailleur, le coq est aussi un être brouillon, capable de se noyer dans un verre d’eau.

Le coq exige d’être adoré, réconforté, complimenté, et ne supporte pas d’être supplanté par un rival ou que l’on dévoile ses points faibles. Plus intéressé par l’aspect extérieur que la profondeur des choses, il voue un culte à l’élégance, au bien être et aux apparences, pour lesquelles il peut dépenser des fortunes.

Le coq brille par sa vivacité et son extravagance, que l’on retrouve dans ses tenues originales qui ne passent pas inaperçues, et adore être au centre de l’attention générale. C’est un excellent ami, fiable et drôle, bien qu’un peu égocentrique et dominateur. C’est un habile gestionnaire, surtout pour son propre argent.

L’année du coq
Une année marquée par un optimisme débordant et même excessif. Il faut garder les pieds sur terre et résister aux mirages de toutes sortes. Sur les plans politique, social et familial, les contradictions sont innombrables et les désaccords se multiplieront.

Compatibilité et affinités du coq avec les autres signes chinois :
Harmonieux voir excellents rapports avec : Buffle, dragon, serpent.
Désaccords plus ou moins profond avec : Lapin, coq, chien.


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Mythes de la poule noire

Posté par othoharmonie le 12 août 2012

 

Mythes de la poule noire dans POULE et COQ photo1-vends-poules-negre-soie-hollandaises-huppees-0x3xex2w945456-225x300Dans le Morvan et en Auvergne, la poule noire apparaît à minuit dans les carrefours. Il faut alors s’emparer d’elle, lui lier les pattes, se placer dans un cercle de protection magique et crier aux quatre points cardinaux : « Qui veut acheter ma poule noire ? » Le diable surgit alors et marchande le prix de l’animal. Mais attention ; pour avoir de la valeur, l’argent du diable doit être jeté à l’intérieur du cercle, sinon il ne s’agira que de fausse monnaie ou de pièces périmées.

En Bretagne, on dit qu’au lieu des crottes de poule noire pond chaque matin une pièce de cent sous, de l’argent ou de l’or. C’est de là que vient la croyance à la fameuse « poule aux œufs d’or ».

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La poule noire, ou parfois coq noir possède des pouvoirs magiques conférant la richesse à son propriétaire, généralement un sorcier, car lesdits pouvoirs procèdent du diable, lequel offre ces gallinacés enchantés à ses affidés qui l’invoquent de nuit à la croisée des chemins.

C’est en sacrifiant une poule noire à minuit, dans un carrefour isolé, qu’on engage le diable à venir faire pacte. Il faut prononcer une conjuration, ne se point retourner, faire un trou en terre, y répandre le sang de la poule et l’y enterrer. Le même jour, et plus ordinairement neuf jours après, le diable vient et donne de l’argent ; ou bien il fait présent à celui qui a sacrifice d’une autre poule noire qui est une poule aux œufs d’or.

La poule noire a de grands pouvoirs ; mais surtout, elle est la source d’un trésor inépuisable sous le toit qu’elle gratifie de sa présence.

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Le Coq et les 5 éléments

Posté par othoharmonie le 12 août 2012

 

Coq-bois 

Moins obstiné que la moyenne des coqs, plus prévenant et prévoyant, c’est un brouillon qui se perd dans ses propres labyrinthes. Sens de la justice, sociabilité, altruisme et beaucoup d’imagination, mais trop d’enthousiasme et de prétentions.

  

Coq-feu

L’autoritarisme porte à son comble, indépendant, précis, théâtral et coléreux, ce coq poursuit le succès avec détermination et même fanatisme. C’est un leader aux talents incontestables, mais trop inflexible et qui ne se laisse pas émouvoir par les problèmes des autres.

 

Coq-terre

Le Coq et les 5 éléments dans POULE et COQ 598px-Brown_Leghorn_rooster_in_Australia1-300x300 Ce coq a le goût de l’étude et de l’analyse, il aime accumuler le savoir. Sa véritable passion, c’est son travail auquel il se consacre avec un esprit austère et dogmatique. Eloquence, sens pratique, succès durable.

 

Coq-métal

Travailleur infatigable, exigeant et ponctuel. Son obstination joue parfois en se défaveurs, et il a du mal à être impartial lorsque son image est en jeu. Inhibition des sentiments et désir immodéré de richesse.

 

Coq-eau

Lucide et concret, il consacre tout son potentiel aux activités intellectuelles. C’est un coq avec lequel ont peut discuter sans être écrasé par son autorité. Excellent écrivain et conférencier, il peut obtenir des résultats dans le domaine médical et technologique. Il faut simplement qu’il canalise son perfectionnisme.

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Les Gallinacés

Posté par othoharmonie le 12 août 2012

Les Gallinacés dans POULE et COQ 220px-FieldMuseum4_ChicagoLes Galliformes (communément appelés « gallinacés ») sont un ordre d’oiseaux contenant entre autres les dindes, les poules, les pintades, les cailles et les faisans. Environ 295 espèces existent dans le monde.

Ces oiseaux sont de taille variable, mais sont généralement de constitution massive avec des becs épais adaptés principalement pour manger des graines ou picorer des racines de plantes. Les jeunes oiseaux attrapent aussi des insectes.

La plupart restent à longueur d’année dans la même région mais les plus petites espèces, comme la caille, migrent. Beaucoup d’espèces montrent des différences importantes entre les sexes, en taille ou en apparence.

Selon la classification de référence du Congrès ornithologique international (ordre phylogénique) (version 2.10, 2011) :

Les turnix (famille des Turnicidae) étaient traditionnellement placés parmi les Galliformes, mais désormais ils constituent une famille de l’ordre des Gruiformes. L’hoazin était autrefois inclus dans les Galliformes, mais des analyses d’ADN ont conduit à créer pour lui seul un nouvel ordre, celui des Opisthocomiformes.

Les Ansériformes (canards et leurs alliés) et les Galliformes sont des ancêtres des oiseaux néognathes et doivent suivre les ratites et tinamous dans la classification des oiseaux.

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Les vertus des poules

Posté par othoharmonie le 12 août 2012

L’oiseau domestique, appelé aussi poule, est connu de tous.

Les vertus des poules dans POULE et COQ 280px-Salmon_Faverolle_hen_headshot1] La cervelle de l’oiseau de basse-cour, en frictions, aide à la dentition des petits enfants.

2] Bue avec du vin, elle guérit les gens mordus par un scorpion.

3] Son cœur encore palpitant, attaché à la cuisse, est excellent pour faciliter l’accouchement.

4] Son foie, broyé et appliqué en cataplasme avec de la farine d’orge et de l’eau, soulage les goutteux.

5] Sa graisse, fondue avec du nard, est utile pour les maux d’oreilles ; elle sert à faire des pessaires pour les femmes, et pour les affections nerveuses.

6] Les poussins, coupés en morceaux et posés chauds sur les ulcères venimeux, tirent tout le venin : mais il faut continuellement les changer jusqu’à ce qu’ils ne deviennent plus du tout chauds; ensuite, après avoir coupé des feuilles vertes d’olivier, les appliquer avec de l’huile et du sel sur les ulcères.

7] La fiente fraîche des poules, appliquée, guérit les engelures et les blessures occasionnées par les chaussures ; elle guérit également les verrues qui causent des démangeaisons ; bue avec du vin coupé, elle protège ceux qui mangent des champignons [vénéneux]. Sèche, broyée avec du sel de nitre et de la myrrhe sèche, elle arrête rapidement l’alopécie.

Sa fiente, bue avec de l’oxymel, convient à ceux qui ont des coliques; appliquée en liniment, elle guérit les verrues qui causent des démangeaisons et le charbon.

Sa graisse, mélangée à la staphisaigre, guérit supérieurement les suppurations et le pityriasis de la tête.

Issu du livre médical sommaire d’Hermès Trismégiste De la connaissance scientifique et de l’influence physique des animaux, Composé pour son élève Asclépios

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La Poule d’eau

Posté par othoharmonie le 11 août 2012


 

La Poule d'eau dans POULE et COQ 250px-Thimindu_2009_09_04_Yala_Sri_Lanka_Junglefowl_11La poule d’eau est souvent observée, principalement lorsqu’elle quitte la végétation du bord des eaux pour se nourrir, et par conséquent elle a reçu de très nombreux noms vernaculaires dans toute son aire de répartition. Les Japonais l’appellent ban et les Malgaches aretaka. Elle se nomme mandar batu en indonésien, debar aux Palaos et ghjallinaccia en corse, tait en estonien, khokhonoka en sotho et gallozz iswed en maltais.

La Gallinule poule d’eau (Gallinula chloropus) ou plus simplement poule d’eau, est une espèce d’oiseau appartenant à l’ordre des Gruiformes et à la famille des rallidés.

Elle est très fréquente dans les étangs et les mares, ainsi que dans les cours d’eau où la végétation est suffisamment dense.

  • Longueur : 32-35 cm
  • Envergure : 50-55 cm
  • Poids : 260-400 g

On la reconnaît facilement à son bec rouge à extrémité jaune. Son plumage va du bleu foncé au noir, avec des ailes brunes et une tache blanche au croupion. Ses pattes sont vert-jaune et ne sont pas palmées.

Régime alimentaire : omnivore. Elle plonge rarement pour se nourrir mais n’hésite pas à chercher sa nourriture sur la berge.

La poule d’eau niche dans les feuillages au bord de l’eau et défend jalousement son territoire, surtout en période de reproduction. Le mâle et la femelle, une fois le couple formé, restent fidèles jusqu’à la mort de l’un ou de l’autre. Les femelles peuvent pondre dans le nid d’une autre et les adultes peuvent adopter ou enlever les poussins d’autres femelles pour les élever. Les petits sont élevés par les deux parents. Un couple de poules d’eau peut avoir jusqu’à quatre couvées chaque année,  Juvénilede mai à septembre. Les jeunes de la première couvée aident leurs parents à élever ceux de la seconde. Les poussins ont une zone de peau rouge sur la tête ; ils sont nourris par les parents jusqu’à ce qu’ils apprennent à trouver leur nourriture seuls, soit environ deux semaines.

L’aire de répartition de cette espèce est très vaste, couvrant les Amériques, les Antilles, l’Europe et l’Afrique ainsi que la région malgache, l’Asie du sud et certaines îles du Pacifique (voir les sous-espèces pour plus de précisions).

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Le Coq de Bruyère

Posté par othoharmonie le 11 août 2012


ou Grand Tétras

Le Grand Tétras (Tetrao urogallus), ou Grand coq de bruyère, est un gros gallinacé habitant les forêts de conifères de montagnes.

 Tetrao urogallusCette espèce appartient à l’ancienne famille des Tetraonidae actuellement incluse dans celle, plus vaste, des Phasianidae.

Il s’agit du plus gros Gallinacé d’Europe.

  • Mâle (ou coq) : Sombre. Cou gris, menton noir, caroncules rouges, bec blanc, plastron verdâtre (voir aussi bleuté) ; dos brun-gris, ailes marron (tache blanche à l’épaule) ; ventre sombre, flancs noirs, puis blancs vers l’arrière, croupion noir et blanc ; sus-caudales grises à pointes blanches, rectrices noires à taches blanches (dont la densité varie selon les régions), sous-caudales à pointes blanches. Taille : 74 à 90 cm ; Envergure : jusqu’à 125 cm ; Poids : jusqu’à 5 kg.
  • Femelle (ou poule) : Rousse barrée de noir et de blanc. Poitrine rousse, caroncules rouges (peu visibles), bec gris ; dos et ailes marron barrés de noir et de blanc ; ventre et flancs blancs tachetés de roux et de noir. Queue rousse, barrée de noir. Taille : 54 à 63 cm.

Cet oiseau se nourrit de bourgeons, de pousses de conifères, de baies, d’herbacées, d’insectes et d’aiguilles de conifères (surtout sapins et pins) en hiver.

Le coq de Bruyère se trouve en Europe : Cordillère Cantabrique, Pyrénées (où il est encore chassé), Cévennes, Alpes (très rare en France), Jura, Vosges, Forêt-Noire, Suisse, aire dispersée en Allemagne, Pologne et Europe de l’Est (massifs montagneux), Scandinavie, Pays baltes, introduit en Écosse (à partir de 1837).

On en trouve également en Asie : Grande partie de la Russie (Oural), jusqu’au fleuve Ienisseï, nord du Kazakstan et Nord-Ouest de la Mongolie.

Le Grand Tétras habite en Europe les forêts de conifères des montagnes (Abies alba, Picea excelsa, Pinus spp.) parsemées de feuillus (avec sous-bois riche en arbustes à baies et myrtilliers); en Asie et Scandinavie, ce milieu se retrouve aussi en plaine (Taïga).

Cette espèce polygame se retrouve chaque année au printemps sur des lieux dits « places de chant ».

Les coqs paradent (queue déployée, ailes pendantes, cou et tête redressés, barbe hérissée, cou plus ou moins gonflé), chantent (séries de « te-lep » rapides, env. 6 ou 7 secondes, accéléré à la fin, puis « pokfok » semblable à un bruit de bouchon et « djedzje », bruit semblable à un bruit de scie répété 3 ou 4 fois). Les poules vagabondent ici et là sur les places de chant et chacune choisit le coq avec lequel elle s’accouplera (toujours le coq dominant).

Le Coq de Bruyère dans POULE et COQ 220px-Buff_SussexLa femelle gratte une cuvette dans le sol, au pied d’un arbre, à l’abri d’un rocher ou sous une branche basse de conifère. La ponte a lieu de mai à juillet et comporte 6 à 9 œufs, jaune clair taché de brun, couvés 4 semaines. Les petits sont nidifuges et restent avec leur mère jusqu’à l’automne.

En France, le ministère de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement Durable et de l’Aménagement du Territoire a lancé en 2009 une stratégie nationale de conservation du Grand Tétras.

C’est un groupement constitué de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), de l’Office national des forêts (ONF), du Groupe tétras France et du réseau des réserves naturelles de France qui sera responsable de la mise en place de ce plan de sauvegarde dans l’Hexagone. Les chasseurs devraient également être pleinement associés au projet qui devrait être finalisée à la fin de l’année 2009.

Fiction : Parades de coqs de Bruyère

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La Poule dinde

Posté par othoharmonie le 11 août 2012

 

 

 Une dinde blancheLa dinde est un oiseau de basse-cour élevé pour sa chair. En Mésoamérique, elle était un des seuls animaux élevés par les peuples indigènes pendant des milliers d’années. Les Européens la connaissent par les premiers colons espagnols qui la ramenèrent d’Amérique du Nord (Mexique) en Europe au XVIe siècle. Domestiquée depuis plus de 1 000 ans par les Mexicains, elle est connue depuis comme Guajolote, du nahuatl Huexōlōtl et elle représente une part importante de la gastronomie mexicaine.

Le mâle porte le nom de dindon et le petit porte le nom de dindonneau. La dinde glougloute.

La France serait le deuxième producteur mondial, avec 625 000 t/an (déclaration de la France à la FAO en 2004, pour 2 millions de tonnes de volailles de toutes espèces confondues produites en 2004 en France). Le tonnage produit en 2005 était de 550 600 tonnes équivalent carcasse (tec) selon l’OFIVAL (devenu l’Office de l’élevage en 2005). Plus du tiers de la production française est voué à l’export (220 000 tec en 2005 selon l’Office de l’élevage). La plupart de ces exportations sont destinées à des pays européens, au premier rang desquels se trouve l’Allemagne. Depuis plusieurs années, la production française de dinde, confrontée à une baisse de la consommation intérieure et des exportations sur le marché européen, se replie.

Ramené en Europe par les conquistadors espagnols en 1521, lors de la Conquête du Mexique, que l’on croyait être les Indes, ce volatile a pris le nom de « poule d’Inde », puis par usage « d’Inde » et enfin « dinde ».

  • Le mot « dinde » est parfois utilisé comme un terme péjoratif désignant une femme, et notamment une jeune fille, considérée comme sotte ou stupide. À ce sujet, voir idiotisme animalier.
  • En gaga (parler stéphanois), l’appellation est différente : on parle d’un dinde pour le mâle. La femelle est alors appelée « dindonne ».
  • Expression lorraine et champenoise : « être fier comme un dindon ». Se dit également en Bourgogne.

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La Poule en général

Posté par othoharmonie le 11 août 2012


 Gallinula chloropusPoule est un nom vernaculaire ambigu en français. « Poule » est le nom donné généralement à la femelle de plusieurs espèces d’oiseaux, principalement des galliformes et en particulier à la poule domestique (Gallus gallus domesticus) mais ce terme peut désigner d’autres espèces parmi les oiseaux.

Comme poulet et poulain, le terme poule dérive du latin pullus, qui signifie petit animal. Ce terme a vite remplacé l’ancien français geline qui avait le sens de jeune poule. C’est le terme poulette qui porte aujourd’hui ce sens.

Poule pondeuse se dit d’une poule domestique que l’aviculteur élève pour obtenir des œufs.

Bantam, cayenne, bassette, gallinette : se dit d’une petite poule ou poule naine.

Chez les autres espèces que Gallus gallus domesticus, le nom vernaculaire précise un élément permettant d’identifier l’espèce ou le genre, comme poule faisane, poule de bruyère car la distinction de sexe n’est pas toujours précise, par exemple la poule d’eau est un nom vernaculaire qui désigne les spécimens mâles aussi bien que les femelles de plusieurs espèces. La « poulette de roche », quant à elle, dérive directement du terme « poule ».

Le terme poule est utilisé dans de nombreuses expressions, comme « poule mouillée » ou « avoir la chair de poule » à propos d’une personne qui a peur. « Poule » désigne aussi une femme en argot.

Quelques oiseaux appelés « poules »

Note : certains noms ont plusieurs significations. Ptilopachus petrosus

et par analogie avec l’aspect des poules :

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La Poule des Pharaons

Posté par othoharmonie le 11 août 2012

 

OU Percnoptère

 percnoptère (Neophron percnopterus)Le Percnoptère ou Vautour percnoptère (Neophron percnopterus), aussi appelé Percnoptère d’Égypte, est une espèce de vautour de l’Ancien Monde que l’on trouve en Afrique autour du Sahara (Maghreb et sud saharien), dans le sud de l’Europe (Espagne, Italie, Grèce, bassin de la mer Noire et sud de la France), et en Asie de la Turquie jusqu’à l’Inde.

Il peut être désigné de façon désuète par le nom de Alimoche ou Catharte alimoche. En Béarn, il est également appelé la Marie-Blanque (En béarnais : Maria Blanca), et a donné son nom au col de Marie-Blanque, un col des Pyrénées françaises situé dans le département des Pyrénées-Atlantiques (64) sur la route de liaison entre la vallée d’Aspe et la vallée d’Ossau.

La taille de la Poule des Pharaons est de 58 à 78 cm, avec une envergure de 150 à 180 cm, pour un poids 1,5 à 2 kg, en fait le plus petit vautour de l’ancien Monde.

Il se caractérise par une face jaune, un bec long et mince, de couleur jaune également (le bout du bec peut être noir), un plumage blanc sauf pour la partie terminale des ailes (rémiges) qui est noire.

Le percnoptère ou Poule des Pharaon peut se nourrir de tout, la plupart du temps d’animaux morts (dépeçage des carcasses), mais aussi d’œufs dont il brise la coquille (œufs d’autruche en Afrique : il utilise des cailloux de 100 à 300 grammes pour briser la coquille). Il peut également être coprophage. L’estomac des percnoptères est parfaitement conçu pour affronter le plus dur des régimes alimentaires. Grâce à son jabot et à son gésier très extensibles, le charognard peut se bourrer d’un énorme repas avant d’affronter des jours et parfois des semaines de jeûne. Ses sucs digestifs puissants l’aident à digérer de la viande en putréfaction renfermant des toxines mortelles pour les autres carnivores.

Les Poules du Pharaon adultes vivent généralement en couple. Fidèles et farouches, ils établissent leur nid en des lieux accidentés, des falaises ou des gorges. Dans une cavité bien abritée, ils amassent des branches sèches, des ossements, des débris divers puis un matelas feutré de laine et de poils.

Il existe des spectacles avec des rapaces. Dans le cas particulier du percnoptère, on montre aux spectateurs un percnoptère qui casse une imitation d’oeuf d’autruche avec une pierre. L’objet contient de la viande : le percnoptère casse le faux œuf devant les spectateurs et dévore la viande. Ce spectacle peut par exemple être observé au Donjon des Aigles situé à Beaucens, près de Lourdes. On peut aussi l’observer aux Aigles d’Aure à Arreau.

Protégé depuis 1976, le plus petit vautour présent en France a vu sa population remonter à 87 couples en 2007. Son alimentation se raréfie du fait des lois sanitaires.

Vautour nubien (Torgos tracheliotus)Le Percnoptère d’Egypte bénéficie d’une protection totale sur le territoire français depuis l’arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l’ensemble du territoire. Il est inscrit à l’annexe I de la directive Oiseaux de l’Union européenne. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l’enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les oeufs et les nids et de détruire, altérer ou dégrader leur milieu. Qu’il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l’utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l’acheter.

D’après Alan P. Peterson, cette espèce est constituée des trois sous-espèces suivantes :

  • Neophron percnopterus ginginianus (Latham) 1790
  • Neophron percnopterus majorensis Donazar, J.J. Negro, C.J. Palacios, L. Gangoso, J.A. Godoy, O. Ceballos, F. Hiraldo & N. Capote 2002
  • Neophron percnopterus percnopterus (Linnaeus) 1758

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Poule Sultane

Posté par othoharmonie le 8 août 2012

 

La talève sultane , ou poule sultane, est une espèce d’oiseau de la famille des Rallidés.

 Sous-espèce néo-zélandaise de talève sultane,le pukeko (Porphyrio porphyrio melanotus)Cet oiseau se trouve par exemple en Europe du Sud (Espagne…), en Afrique (Égypte…), en Asie et jusqu’en Nouvelle-Zélande (sous-espèce appelée « pukeko »). Très commune à Madagascar, elle a disparu dans l’île voisine de la Réunion, cependant elle s’est implantée relativement récemment en France notamment dans l’Aude où une dizaine de couples vivent dans le marais de Saint Louis le Maritime à Narbonne.

La Talève, poule sultane bénéficie d’une protection totale sur le territoire français depuis 1976. Elle est inscrite à l’annexe I de la directive Oiseaux de l’Union européenne. Il est donc interdit de la détruire, la mutiler, la capturer ou l’enlever, de la perturber intentionnellement ou de la naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids et de détruire, altérer ou dégrader leur milieu. Qu’elle soit vivante ou morte, il est aussi interdit de la transporter, colporter, de l’utiliser, de la détenir, de la vendre ou de l’acheter.

Cet oiseau est représenté par treize sous-espèces :

  • Porphyrio porphyrio bellus Gould, 1841 ;
  • Porphyrio porphyrio caspius Hartert, 1917 ;
  • Porphyrio porphyrio indicus Horsfield, 1821 ;
  • Porphyrio porphyrio madagascariensis (Latham, 1802) ;
  • Porphyrio porphyrio melanopterus Bonaparte, 1856 ;
  • Porphyrio porphyrio melanotus Temminck, 1820 ;
  • Porphyrio porphyrio pelewensis Hartlaub & Finsch, 1872 ;
  • Porphyrio porphyrio poliocephalus (Latham, 1802) ;
  • Porphyrio porphyrio porphyrio (Linnaeus, 1758) ;
  • Porphyrio porphyrio pulverulentus Temminck, 1826 ;
  • Porphyrio porphyrio samoensis Peale, 1848 ;
  • Porphyrio porphyrio seistanicus Zarudny & Harms, 1911 ;
  • Porphyrio porphyrio viridis Begbie, 1834.

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Poule rouge

Posté par othoharmonie le 8 août 2012

 Aphanapteryx bonasiaLa Poule Rouge aussi appelée Râle de Maurice ou poule rouge à bec de bécasse (Aphanapteryx bonasia) est une espèce d’oiseau gruiforme de la famille des rallidés autrefois endémique de l’île Maurice et aujourd’hui disparu.

Son existence est attestée par un certain nombre de récits et d’illustrations de voyageurs et par de nombreux os.

François Leguat signale dès 1693 qu’elle est devenue rare. Comme il n’y eut plus de mentions à l’oiseau dans la littérature de voyage par la suite, on estime que la chasse a fait disparaître cette espèce incapable de voler et dont la chair était agréable au palais vers 1700.

La poule rouge figure sur un timbre émis par la Poste mauricienne d’une valeur de cinq roupies.

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Poule Faisane

Posté par othoharmonie le 8 août 2012

 

 Faisan de Colchide, femelle & mâle(Phasianus colchicus)Le Faisan est le nom vernaculaire de nombreuses espèces d’oiseaux de la sous-famille des Phasianinae même si en Europe, il désigne en premier lieu le Faisan de Colchide Phasianus colchicus. Tous ces oiseaux sont des gibiers réputés. Leur femelle s’appelle la faisane ou poule faisane.

Plusieurs espèces utilisent le terme de faisan dans leur nom vernaculaire composé comme le Coucal faisan.

On le trouve partout, sauf en altitude: lisières de forêts, bosquets, fourrés au voisinage de l’eau.

Le faisan est omnivore: il se nourrit aussi bien de larves, d’insectes, de lézards que de pousses vertes, baies, fruits et graines.

Le nid est un creux du sol dissimulé dans les hautes herbes et garni de feuilles sèches. La ponte a lieu en mai et comprend une douzaine d’œufs, brun ou vert olive, couvés 23-25 jours par la femelle.

Le terme faisan dérive du latin phasianus (emprunté au grec « oiseau du fleuve Phase »). Le terme latin a directement donné son nom au genre Phasianus, celui de l’espèce faisan de Colchide qui vivait sur ce fleuve.

Voici la liste des espèces dont le nom normalisé français comporte le terme faisan :

Source Wikipédia.

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C’est quoi le poulet ?

Posté par othoharmonie le 8 août 2012

 

C'est quoi le poulet ? dans POULE et COQ 220px-Volailles_Bresse_cropUn poulet est une jeune volaille, mâle ou femelle, de la sous-espèce Gallus gallus domesticus, élevée pour sa chair.

En France, le poulet est abattu entre quarante et quatre-vingt-dix jours après sa naissance, selon le mode de production (élevage industriel ou traditionnel). La sélection des reproducteurs et le développement de nouveaux types d’alimentation permettent désormais d’accélérer la croissance.

On distingue les parties suivantes dans la découpe du poulet :

  • les filets ou blancs, dits aussi « poitrines » au Québec, masse pectorale de part et d’autre du bréchet ; ces parties ont parfois tendance à se dessécher lors des cuissons rôties ;
  • la cuisse ;
  • les pattes ;
  • les pilons ;
  • les ailes ;
  • le gésier ;
  • le foie ;
  • le cœur ;
  • les sot-l’y-laisse.

En France et dans d’autres pays, le poulet est une des viandes les moins chères. En 2011, une étude a suggéré que les poulets bio contenaient moins de salmonelles que les poulets issus de l’élevage industriel intensif.

 

200px-Kfc_chicken_potato dans POULE et COQLe poulet se cuisine de multiples façons. Citons notamment :

  • le poulet rôti, qui peut se préparer dans un plat au four ou à la broche, sur une rôtissoire ; le poulet peut être farci avec une préparation aromatique ;
  • diverses préparations en sauce ;
  • le poulet frit est typique, entre autres, du sud des États-Unis ;
  • le poulet Marengo, préparé avec du vin, de la farine et de l’eau ; ainsi nommé en référence à une recette préparé par le cuisinier de Napoléon Bonaparte, à la veille de la Bataille de Marengo

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Le coq en général

Posté par othoharmonie le 7 août 2012

 

Le coq en général dans POULE et COQ 598px-Brown_Leghorn_rooster_in_Australia-300x300Le coq est le représentant mâle adulte, principalement de plusieurs espèces presque exclusivement de galliformes, en particulier le coq domestique. Sa femelle est la poule. Certaines espèces portent ce qualificatif dans leur nom vernaculaire comme le Coq de bruyère, Coq de Java, Coq de Lafayette, Coq de Sonnerat. Le Coq de roche péruvien est le nom donné à un passereau sud-américain. Chez ces espèces le dimorphisme sexuel est assez marqué.

L’onomatopée imitant le cri du coq domestique serait à l’origine du terme.

La poule caquète, le poussin pépie, le coq chante.

Selon les langues et les pays, la transcription phonétique de son chant prend des formes très différentes. Le chant du coq est inné, il n’est pas appris.

  • En français, le chant du coq est traduit par l’onomatopée Cocorico !
  • Cock-a-doodle-doo en anglais
  • Quiquiriqui en espagnol
  • Kikeriki en allemand
  • Kokeriko en espéranto
  • Cucuriguuuu en roumain
  • Cocorococo en portugais (cocoricó au Brésil)
  • Ake-e-ake-ake en thaïlandais
  • U-urru-urru en turc
  • Chicchirichi en italien
  • Ky-ky-ri-ký en tchèque
  • kuckeliku en suédois
  • kokekoko en japonais
  • Co Co Co en chinois
  • coucouricou en grec
  • Coucarékou en russe
  • Kukuruyuk en indonésien
  • kokouukuuu en marocain
  • gaggalagaggalagó en islandais

« Cocorico ! » est utilisé par certains Français pour manifester leur chauvinisme, probablement parce que ce cri est interprété comme une manifestation d’orgueil de la part du coq, mais surtout parce que le coq gaulois est devenu un emblème du pays.

Avant l’invention de l’horloge mécanique et de la montre, le cri du coq a longtemps servi pour donner l’heure (heure solaire), dans toute l’Eurasie et parfois de manière quasi-légale. Ainsi l’une des lois sultanienne de l’empire ottoman (le kânûn) éditctée par Mehmed II (le conquérant de Constantinople), décrétait qu’à propos des moulins dont les roues tournent dans ses états : « Les meuniers seront surveillés. Il est interdit d’élever des poules dans un moulin afin que la farine et le blé des particuliers ne subissent de dommages. On gardera tout au plus un coq pour connaître l’heure. »

Le coq, comme les passereaux, produit un premier pic sonore à l’aube et un dernier au crépuscule avec un petit creux en cours de journée, mais il chante (à un niveau sonore de 50 à 60 dB) toute la journée. On remarque plus son chant à l’aube car il émerge alors du « bruit de fond » présent dans la journée.

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Fonctions de la Crête de coq

Posté par othoharmonie le 7 août 2012

Elles sont mal comprises.

Présente chez des oiseaux souvent d’origine tropicale (Gallus gallus), elle pourrait jouer un rôle dans la thermorégulation de l’animal.

Fonctions de la Crête de coq dans POULE et COQ 200px-Rooster_portrait2Elle semble d’abord être un caractère sexuel secondaire, apparaissant avec la maturité sexuelle et pour toute la vie, distinguant le mâle de la femelle et pourrait jouer un rôle dans la reproduction. La rougeur et la turgescence de la crête de nombreux Gallinacés existe ainsi à la fois chez le Coq et la Poule, et sont dues à des hormones sexuelles dont les effets disparaissent chez les animaux castrés. La crête dressée chez le Coq est « retombante » chez la femelle, en raison d’un muscle fibro-élastique absent chez elle.

La crête a peut être des fonctions immunitaires (Elle gonfle rapidement lors d’une infection de type aviaire).

Une crête est un appendice charnu présent sur la tête de certains gallinacés retrouvée aussi autrefois sur la tête et/ou le dos de certains dinosaures.

On nomme aussi crête des structures de forme approchante chez d’autres oiseaux, mais on parle souvent de huppe quand il s’agit de plumes (ex : crête de la grue royale, des Cacatuinae).

La crête des gallinacés est en général dentelée, les dents étant appelées crêtillons.
Si la crête se termine en pointe vers l’arrière, on parle d’éperon.

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Coq de Sonnerat

Posté par othoharmonie le 7 août 2012

Le Coq de Sonnerat ou grey jungle fowl en Anglais (Gallus sonneratii), est une espèce de la famille des Phasianidae.

 Coq gallus sonneratiiSa crête est simple et dentelée comme Gallus gallus, mais son plumage diffère des autres coqs sauvages par sa structure, car le rachis des plumes est aplati et brillant et la base de la queue n’a pas de lancettes. Les oreillons et les barbillons sont rouges.

Chez cette espèce, il y a une « phase d’éclipse » du plumage du coq comme pour les sous-espèces sauvages de Gallus gallus, période durant laquelle les faucilles tombent et l’ensemble des plumes du camail raccourcissent et deviennent noires.

C’est l’espèce du genre Gallus qui s’adapte le mieux a la captivité.

  • Une mutation maintenant fixée de Gallus sonneratii a eu lieu en captivité en Angleterre en 1975, ayant transmis un plumage « lavande » plus pâle que la variété sauvage. Par conséquent, cette variété est considérée comme domestique.
  • Une équipe de chercheurs Franco-suédois (dont la Française madame Texier -Boichard) ont découvert que Gallus sonneratii a transmis son gène récessif « peau jaune » (w*y) a plusieurs races de poules domestiques, inexistant chez les coqs dorés sauvages (source : La Revue Avicole, n°1683,janv.-fev. 2009). Néanmoins, les races domestiques sont classées comme sous-espèce de Gallus gallus, cette espèce dominant dans son patrimoine génétique.

Comme tous les phasianidés, le dimorphisme sexuel est très marqué : le coq est plus grand et vivement coloré avec des ergots sur les tarses, alors que la poule est plus petite et plus terne, afin de se camoufler lors de la couvaison.
La Crête est développé chez le coq, alors qu’elle est quasi inexistante chez la poule.

Cette espèce est essentiellement monogame.

La période de reproduction est généralement de février à mai, mais peut varier selon les régions.

La poule construit son nid dans un endroit isolé de ses prédateurs (souches d’arbres creux, terriers abandonnés, dans les broussailles et les buissons…), généralement au niveau du sol car les poussins sont nidifuges.

Seule la poule se charge de la couvaison, durant environ 20-21 jours de 3 à 5 œufs, pondus au rythme d’un par jour, mais les poussins « synchronisent » leur éclosion.

Durant cette période, la poule quitte le nid furtivement pour se nourrir et s’abreuver afin de conserver la chaleur nécessaire au bon développement des embryons (37,5 à 38,5 °C).

Une foi éclos, les poussins resteront durant au moins 2 semaines avec leur mère, celle-ci grattant le sol à la recherche de nourriture (végétaux, insectes, mollusques…) afin de leur « apprendre » tout en leur distribuant ses « trouvailles » et la nuit tombante, ils se réfugient sous elle afin de rester au chaud et d’être en sécurité.

Coq de Sonnerat dans POULE et COQ 220px-Coq_de_Sonnerat_MHNTDurant la couvaison, le coq surveille attentivement sa ou ses poules et les protège d’éventuels prédateurs, avec acharnement jusqu’à la mort si nécessaire, usant de son bec et de ses ergots. Une foi les œufs éclos, il surveille attentivement sa progéniture, leur distribuant les petites proies qu’il trouve.

Les poussins naissent recouvert d’un duvet jaunâtre, le dessus de la tête et du dos sont couverts d’une bande marron (d’avant en arrière), elle-même recouverte de 2 petites bandes sur les côtés de cette première, une plus claire et l’autre plus sombre, les camouflant sur le sol, les feuilles mortes et les branchages. Ils sont identiques aux poussins des races domestiques des variétés dorée (doré-saumoné, perdrix-doré) qui sont les couleurs rencontrées chez les sous-espèces sauvages et ne diffèrent guère en coloris des poussins des autres espèces de phasianidés.

  • Les coq de cette espèce atteignent leur pleine maturité à 2 ans.

Il vit au sud et à l’ouest de l’Inde, dans des environnements très diversifiées. Son principal prédateur en milieu naturel est l’Aigle montagnard (Spizaetus nipaliensis).

Omnivore, il se nourrit principalement de graines et d’insectes.

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Coq-de-Roche péruvien

Posté par othoharmonie le 7 août 2012

Le Coq-de-roche péruvien (Rupicola peruvianus) ou Tunqui (du quechua: tunki) est l’oiseau national du Pérou. C’est un passereau qui, selon certain, a le plus beau plumage parmi les oiseaux du monde.

Son parent le plus proche est le Coq-de-roche orange (Rupicola rupicola), qui a aussi un très beau plumage. Le Coq-de-roche péruvien habite les bois de la Haute Forêt du Pérou et de la forêt bolivienne, et il est distribué tout au long des bois de montagne du flanc oriental andin dès la Colombie jusqu’à la Bolivie.

Les Coqs-de-roche péruviens sont classés dans la famille des Cotingidés, mais il y a quelques auteurs qui les classent dans une famille exclusive avec l’autre espèce de coq-de-roche: Rupicolidae.

 Rupicola rupicola

Le Coq-de-roche péruvien est un oiseau de taille moyenne (32 cm). Il existe un dimorphisme sexuel très net : tandis que le mâle est d’une couleur rouge-orange bien intense, avec un bec et des pattes de couleur jaune-orange, une crête dressée sur le bec et le front, des ailes et une queue noires et quelques plumes grises dans les ailes; la femelle est complètement de couleur marron-rouge foncée et elle a une crête plus petite (cette combinaison des couleurs lui permettra de se cacher entre les branches des arbres).

Le bec est similaire à celui des Galliformes ; les pattes et les doigts sont forts. Malgré les couleurs criardes des mâles, ce n’est pas facile de les observer en dehors de l’époque de la parade nuptiale car ils sont farouches et habitent des endroits inaccessibles.

La distribution géographique du Coq-de-roche péruvien s’étend du Venezuela jusqu’à la Bolivie, à travers la Colombie, l’Équateur et le Pérou, entre 1400 et 2500 mètres au-dessus niveau de la mer, dans les bois humides et denses de la région amazonienne.

Le Coq-de-roche péruvien n’est pas trouvé partout dans la Haute Forêt. Il préfère certaines zones des bois qui sont généralement situées près de ruisseaux, et qui ont des surfaces rocheuses ou des pentes. Il est en général un oiseau silencieux, qui seulement émet des sons lorsqu’il est à l’époque de parade nuptiale, ou quand il est effrayé ou loin de son territoire.

 Rupicola peruvianus mâleÀ l’époque de parade nuptiale, plusieurs mâles se réunissent dans une zone bien définie, l’aire de parade ou lek. Ils sont environ 40 sur un espace d’approximativement 12m, où ils espèrent être choisis par la femelle.

Dans les premiers moments de la parade nuptiale, la crête et les plumes du mâle se hérissent en changeant complètement l’apparence de l’animal. Ils émettent deux sons différents à la fois : un type de craquement qu’ils produisent avec le bec et un sifflement décroissant comme une conséquence de la perforation de l’une des plumes de l’aile. Quand la femelle s’approche du lek, les mâles s’efforcent de l’attirer. Cette danse dure la plupart du jour, jusqu’à ce que la femelle s’approche d’un mâle pour s’accoupler.

Les mâles essaient d’attirer les femelles vers les lek traditionnels pendant presque toute l’année. L’accouplement est l’unique moment où les sexes se rencontrent : les femelles effectuent seules toutes les activités nidificatrices.

Les Coqs-de-roche péruviens nichent sur les surfaces rocheuses, près de l’eau. Ils font leurs nids avec des mousses, des lichens et des autres matériaux d’origine végétale. Pendant l’époque d’incubation, il devient très difficile de détecter les femelles à cause de leur couleur qui imite celle des roches et des matériaux du nid. Elles pondent deux œufs. L’époque de reproduction est comprise entre les mois de janvier et septembre.

Le Coq-de-roche péruvien est un oiseau presque exclusivement frugivore, sauf les poussins, qui sont nourris avec des insectes pendant la première semaine après leur naissance.

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Le Coq de Lafayette

Posté par othoharmonie le 4 août 2012

Le Coq de Lafayette, est une espèce de la famille des Phasianidae.

Sa crête est simple, de taille moyenne, rouge (avec du jaune en son centre) et légèrement dentelée. Son plumage est abondant et effilé, sa silhouette plus affinée que Gallus gallus. Les oreillons sont rouges et les tarses couleur chair.

Le Coq de Lafayette dans POULE et COQ 250px-Thimindu_2009_09_04_Yala_Sri_Lanka_Junglefowl_1Comme tous les phasianidés, le dimorphisme sexuel est très marqué : le coq est plus grand et vivement coloré avec des ergots sur les tarses, alors que la poule est plus petite et plus terne, afin de se camoufler lors de la couvaison. La Crête est développée et colorée chez le coq, alors que celle de la poule est quasi inexistante.

  • Chez cette espèce, il n’y pas de « phase d’éclipse » (double mue) du plumage comme pour les autres espèces du genre Gallus.

La poule construit son nid dans un endroit isolé de ses prédateurs (souches d’arbres creux, terriers abandonnés, dans les broussailles et les buissons…), généralement au niveau du sol car les poussins sont nidifuges.

Seule la poule se charge de la couvaison, durant environ 21 jours de 2 à 4 œufs couleur blanc sale, pondus bien sur au rythme d’un par jour, mais les poussins « synchronisent » leur éclosion.

Durant cette période, la poule quitte le nid furtivement pour se nourrir et s’abreuver afin de conserver le chaleur nécessaire au bon développement des embryons (entre 37,5 à 38,5°C).

Une foi éclos, les poussins resteront durant au moins 2 semaines avec leur mère, celle-ci grattant le sol a la recherche de nourriture (végétaux, insectes, mollusques…) afin de leur « apprendre » tout en leurs distribuant ses « trouvailles » et la nuit tombante, ils se réfugient sous elle afin de rester au chaud et d’être en sécurité.

Durant la couvaison, le coq surveille attentivement sa ou ses poules et les protège d’éventuels prédateurs, avec acharnement jusqu’à la mort si nécessaire, usant de son bec et de ses ergots. Une foi les œufs éclos, il surveille attentivement sa progéniture, leur distribuant les petites proies qu’il trouve.

220px-Csibik dans POULE et COQLes poussins naissent recouvert d’un duvet jaunâtre, le dessus de la tête et du dos sont couverts d’une bande marron (d’avant en arrière), elle même recouverte de 2 petites bandes sur les côtés de cette première, une plus claire et l’autre plus sombre, les camouflant sur le sol, les feuilles mortes et les branchage. Ils sont identiques aux poussins des races domestiques des variétés dorées (doré-saumoné, perdrix-doré) qui sont les couleurs rencontrées chez les sous-espèces sauvages et ne diffèrent guère en coloris des poussins des autres espèces de phasianidés.

  • Les coqs de cette espèce atteignent leur pleine maturité à 2 ans.

Il vit exclusivement au Sri Lanka, dans des habitats variés, des zones arides ouvertes aux zones boisées et humides. Il s’adapte mal en captivité en Europe et est très rare en France.

Herbivore, se nourri principalement de graines.

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Le Coq Vert de Java

Posté par othoharmonie le 4 août 2012

Le Coq vert de Java (Gallus varius) est une espèce de la famille des Phasianidae.

 Gallus variusC’est le plus vivement coloré du genre Gallus, avec une crête non dentelée tricolore (verte, bleue puis rouge au sommet) et un barbillon unique (jaune, rouge et bleu). Les plumes du camail sont noires, courtes, larges, arrondies et liserées bleues et vertes. Les lancettes sont abondantes et développées, de couleur vert foncé bordé de jaune.

Il vivent en petits groupes de 2 à 5 individus, dirigés par un mâle dominant.

Cette espèces vole très bien sur 4 à 6 mètres de haut

Comme tous les phasianidés, le dimorphisme sexuel est très marqué : le coq est plus grand et vivement coloré avec des ergots sur les tarses, alors que la poule est plus petite et plus terne, afin de se camoufler lors de la couvaison. La Crête est développé et colorée chez le coq, alors que celle de la poule est quasi inexistante.

La poule construit son nid dans un endroit isolé de ses prédateurs (souches d’arbres creux, terriers abandonnés, dans les broussailles et les buissons…), généralement au niveau du sol car les poussins sont nidifuges.

Seule la poule se charge de la couvaison, durant environ 21 à 24 jours de 3 à 5 œufs à coquille blanche avec de lègères nuances de gris ou jaune, pondus bien sûr au rythme d’un par jour, mais les poussins « synchronisent » leur éclosion. Seulement environ 60% des œufs couvés donneront naissance à un poussin.

Durant cette période, la poule quitte le nid furtivement pour se nourrir et s’abreuver afin de conserver le chaleur nécessaire au bon développement des embryons.

Une foi éclos, les poussins pourront voler au bout d’une semaine et resteront souvent plusieurs années avec leur parents. Leur mère, les premières semaines, gratte le sol a la recherche de nourriture (végétaux, insectes, mollusques…) afin de leur « apprendre » tout en leurs distribuant ses « trouvailles » et la nuit tombante, ils se réfugient sous elle afin de rester au chaud et d’être en sécurité.

Durant la couvaison, le coq surveille attentivement sa ou ses poules et les protègent d’éventuels prédateurs, avec acharnement jusqu’à la mort si nécessaire, usant de son bec et de ses ergots. Une foi les œufs éclos, il surveille attentivement sa progéniture, leur distribuant les petites proies qu’il trouve.

  • Les coqs de cette espèce atteignent leur pleine maturité à 2 ans.

Stavenn Gallus varius 00.jpgIl vit sur les Iles de Java (partie orientale), Bali, Komodo, Lombok, Sumbawa ainsi que les petites îles environnantes ou le climat est chaud et humide toute l’année sous des températures autour de 30°C.

Il habite les régions côtières et les vallées semi-arides : les mangroves, les plages, les rizières et les grottes.

Essentiellement carnivore, se nourri principalement d’espèces organiques marines et cotières (mollusques, crustacés, méduses, étoiles de mer, puces d’eau, termites, larves d’insectes…)

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