Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011
L’eau est l’élément le plus important pour la vie de vos poissons. Il faut donc surveiller régulièrement ses caractéristiques, sa température, son pH, sa dureté, le taux de nitrites, de nitrates, etc.
Quand tous ces éléments sont à leur taux optimal vos poissons sont alors dans de bonnes conditions de vie. N’oublions pas que les poissons maintenus en aquarium tombent malades principalement à cause de la mauvaise qualité de l’eau de leur aquarium.
L’eau du robinet n’est pas parfaitement adaptée à l’aquariophilie. Elle contient toujours du chlore, des métaux lourds comme le cuivre, sa dureté et son taux de nitrates varient selon les régions. C’est pourquoi il faut la tester et la traiter si besoin est. L’eau de pluie est inadaptée car elle est toujours chargée en pollution, qu’elle retient pendant sa chute dans l’atmosphère. L’eau de puits peut être utilisée dans 50% des cas, des tests préalable sont nécessaires pour connaitre la teneur en nitrates et pesticides de cette eau. L’eau en provenance d’un adoucisseur domestique n’est pas adaptée car l’appareil charge l’eau d’éléments néfastes pour les poissons.
Chaque jour vous devez regarder et vérifier que tout va bien dans l’aquarium. Pendant que vous nourrissez vos poissons regardez si le filtre fonctionne bien, jetez un oeil au thermomètre, comptez vos poissons et faite régulièrement des tests de votre eau d’aquarium. Si vous débutez vous pourrez dans un premier temps faire tester gratuitement votre eau en animalerie/jardinerie (principalement dans les grosses enseignes). Cela vous permettra de vous familiariser avec les tests et à les interpréter.
Afin de surveiller les paramètres tels que le pH, la dureté, les nitrites et les nitrates, il existe dans le commerce des tests prêts à l’emploi. Dans l’ordre de précision on trouve en premier les tests électroniques, les tests sous forme de réaction chimique et les bandelettes en papier multi résultats.
Association Française du Poisson Rouge
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Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011
http://fr.wikipedia.org/wiki/Poissons
Les Poissons sont une constellation du zodiaque traversée par le Soleil du 12 mars au 18 avril. Dans l’ordre du zodiaque, elle se situe entre le Verseau à l’ouest et le Bélier à l’est. Bien qu’assez grande, elle découpe un pan du ciel éloigné du plan de la Voie lactée et ne contient que peu d’étoiles visibles, toutes assez peu lumineuses. Elle était l’une des 50 constellations identifiées par Ptolémée.
Les Poissons sont également un signe du zodiaque correspondant au secteur de 30° de l’écliptique traversé par le Soleil du 19 février au 20 mars.
La constellation des Poissons est une des constellations les plus anciennes. Son origine remonte vraisemblablement aux babyloniens qui la décrivaient déjà comme composée de deux poissons poussant un œuf géant (l’astérisme de « l’Anneau »).
La mythologie grecque veut que ces poissons soient les formes assumées par Aphrodite et Éros poursuivis par le monstre Typhon. Ils auraient relié leurs queues avec de la corde afin de ne pas se séparer. Les anciennes cartes du ciel nomment d’ailleurs la partie orientale Piscis Boreus et la partie occidentale Piscis Austrinus (qui n’a rien à voir avec le Poisson austral contemporain).
Le point « gamma », le nœud ascendant solaire, celui qu’occupe le Soleil lors de l’équinoxe de printemps, se trouve actuellement à 8° au sud d’ω Piscium. Cependant, à cause du phénomène de précession des équinoxes, ce point se trouvait dans le Bélier pendant les deux derniers millénaires avant J.-C., c’est-à-dire au moment où le Zodiaque fut établi. En conséquence, les Poissons sont toujours considérés comme le dernier signe du Zodiaque (l’année commençait alors vers l’équinoxe de printemps) bien qu’ils soient désormais le premier. Selon Rudolf Steiner, l’entrée dans l’Ère des Poissons s’est produite en 1413 après J.C et s’achèvera en 3573; en effet une hypothèse évoque le coucher héliaque des étoiles, se trouvant à 15° du point vernal lors de l’équinoxe de printemps, comme repère pour se situer dans une constellation et non pas le point vernal (une constellation comportant en moyenne 30°, lorsque le point vernal est au milieu d’une constellation, les étoiles en coucher héliaque sont au début de cette constellation).
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Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011
Dans la classification classique, les poissons sont des animaux vertébrés aquatiques à branchies, pourvus de nageoires et dont le corps est le plus souvent couvert d’écailles. On les trouve abondamment aussi bien en eau douce que dans les mers : on trouve des espèces depuis les sources de montagnes (omble de fontaine, goujon) jusqu’au plus profond des océans (grandgousier, poisson-ogre). Leur répartition est toutefois très inégale : 50 % des poissons vivraient dans 17 % de la surface des océans (qui sont souvent aussi les plus surexploités). Le milieu marin étant moins accessible aux humains, de nombreuses espèces restent encore probablement à découvrir.
Ils ont un rôle fondamental pour les hommes ;
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en tant que nourriture, partout dans le monde ; qu’ils soient pêchés dans la nature ou élevés en pisciculture.
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ils sont aussi exploités à des fins récréatives, avec la pêche et l’aquariophilie, et sont parfois exposés dans de grands aquariums publics.
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ils jouent et ont joué un rôle significatif dans de nombreuses cultures, en tant que déités et symboles religieux, ou sujets de contes, légendes, livres et films.
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en jouant un rôle écosystémique important
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en contribuant au cycles biogéochimiques, dont le cycle du carbone et en particulier en contribuant au puits de carbone océanique (voir plus bas).
Dans la classification phylogénétique, obtenue par application des méthodes cladistiques, le groupe des poissons est généralement considéré comme paraphylétique et n’existe donc plus en tant que « classe » dans la taxinomie moderne, mais seulement comme grade évolutif primitif des Vertébrés. Selon leur phylogénie, les poissons actuels sont principalement répartis dans les taxons des Chondrichtyens, des Actinoptérygiens, des Dipneustes, des Actinistiens, des Myxinoïdes et des Pétromyzontides.
Le premier inventaire ichtyologique de France semble être celui de Belon P., en 1555, intitulé La nature et la diversité des poissons avec leurs portraits représentés au plus près du naturel.
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Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011
Le terme « poisson » est plus précisément employé pour désigner les chordés non tétrapodes, c’est-à-dire un animal avec une colonne vertébrale possédant des branchies toute sa vie et qui peuvent posséder des nageoires. Les poissons ne forment pas un groupe phylogénétiquement homogène, à l’inverse des oiseaux ou des mammifères.
Un poisson typique est « à sang froid » ; il possède un corps allongé lui permettant de nager rapidement ; il extrait le dioxygène de l’eau en utilisant ses branchies ou un organe respiratoire annexe lui permettant de respirer le dioxygène atmosphérique ; il possède deux paires de nageoires, les nageoires pelviennes et latérales, habituellement une ou deux (plus rarement trois) nageoires dorsales, une nageoire anale et une nageoire caudale; il possède une double mâchoire pour les gnathostome et simple pour les agnathes ; il possède une peau généralement recouverte d’écailles ; ovipare, il pond des œufs et la fécondation peut être interne ou externe.
Chacune de ces caractéristiques comporte toutefois des exceptions. Les thons, les espadons et certaines espèces de requins sont entre sang chaud et sang froid, et peuvent élever leur température corporelle au-dessus de celle de l’eau ambiante. La forme du corps et les performances natatoires varient considérablement des nageurs très rapides capables de parcourir dix à vingt longueurs de leur corps par seconde (thons, saumons) aux poissons très lents mais mieux manœuvrants comme les anguilles ou les raies) qui ne dépassent pas 0,5 longueur par seconde. Plusieurs groupes de poissons d’eau douce extraient le dioxygène de l’air comme de l’eau en utilisant des organes variés. Les dipneustes possèdent deux poumons similaires à ceux des tétrapodes ; les gouramis ont un « organe labyrinthe » qui fonctionne de la même manière ; les Corydoras extraient le dioxygène par l’estomac ou l’intestin. La forme du corps et la position des nageoires varient énormément, comme en témoigne la différence entre les hippocampes, les lophiiformes, les poissons globes ou les saccopharyngiformes. De même, la surface de la peau peut être nue (murènes) ou couverte d’écailles de différents types : placoïdes (requins et raies), cosmoïdes (cœlacanthes), ganoïdes, cycloïdes et cténoïdes. Certains poissons passent même davantage de temps hors de l’eau que dedans, comme les périophthalmes qui se nourrissent et interagissent entre eux sur des terrains boueux et ne retournent dans l’eau que pour se cacher dans leur terrier. Certaines espèces peuvent être ovovivipares ou vivipares.
La taille d’un poisson varie du requin baleine de 16 m au Schindleria brevipinguis d’à peine 8 mm.
Quelques espèces de poisson dulçaquicole disposent de poumons, si les Erythrinus de l’Amazone extraient 60% du dioxygène dont ils ont besoin avec ceux-ci, les poumons sont l’unique moyen de respiration des Arapaima gigas ou des gymnotes.
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Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011
Devant le problème d’échelle de valeur selon « chacun », Rudolf Steiner a écrit en 1894 son livre intitulé « La philosophie de la liberté.
Ce livre décrit « Le penser » comme acte de liberté. Car penser n’est ni objectif ni subjectif, donc ne crée pas d’échelle de valeur. Cela consiste à penser ce qui est en soi et pour soi sans parti pris. Les valeurs naissent quand je m’approprie une certaine « pensée » et que je la mets comme point de référence. Or si je me maintiens dans le mouvement qu’opère le penser, je ne me fige pas dans une pensée, ainsi n’apparaît pas d’échelle de tri. Ayant le sentiment que son livre La philosophie de la liberté n’a pas été compris à sa parution en 1894, Rudolf Steiner a créé l’anthroposophie. Certains pouvoirs empêchent les hommes de retrouver le pur penser en les maintenant dans la foi, d’autres comme Rudolf Steiner, dans sa philosophie de la liberté ont cherché à contribuer à l’évolution de l’âme. La foi n’est pas à rejeter mais à comprendre comme un principe d’évolution car nous avons tous besoin de nos parents comme guides, étant enfants et de croire en eux et ensuite nous partons vivre de nos propre ailes.
On ne trouve pas ici un problème de « supérieur » et d’ « inférieur » mais bien ce que Hermès Trismégiste disait : « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas et ce qui est en bas est comme ce qui est en haut », et pour Rudolf Steiner entre les deux se trouve « le Penser » car même le « supérieur peut devenir extrême mais il retrouve son équilibre à l’aide de l ‘inférieur ». Le Penser permet de rétablir l’harmonie et d’effacer la chute du paradis qui a été provoquée par des « supérieurs ».
Le « penser » de l’homme nouveau
Le Verseau qui émergera de la période du poisson donnera un homme qui ne pensera plus selon l’intellect ordinaire. Ceci est désigné habituellement sous le nom d’entendement et raison symbolisé par deux poissons. Les critères de subjectif, ou d’objectif n’auront plus lieux d’être, car le penser nouveau ne consommera plus au fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal mais puisera ses Pensées pur à l’arbre de vie. Comprenons bien, que l’intellect humain prônant le Bien n’est que l’outil de Lucifer pour assujettir l’homme dans sa sphère de chute et de domination. L’image est clair, un homme déversant de l’eau, symbole des pensées intuitive, pensées qui ne sont pas de ce monde. Pas mes pensées, mais le penser en Moi, ou selon l’expression ésotérique de Rudolf Steiner : « Cela pense en moi, cela ressent en moi, cela agit en moi. Précepte que l’on retrouve déjà dans la rose-croix. EDN IJM PSSR selon Christian Rosenkreutz Né de Dieu Mort en Jésus Ressuscité par le Saint Esprit.
Selon ce point de vue, les mystères ésotériques ont ainsi levé leurs voiles, mais cela ne sera effectif pour un plus grand nombre qu’à partir de 2493. Et, ainsi, pourra se lever le jour nouveau de l’ère du Verseau en 3573.
- Pour Paul Le Cour (1871-1954), l’Ère des Poissons a commencé à la naissance de Jésus-Christ et prendra fin en 2160. Elle correspondrait à la période pendant laquelle le point vernal se trouverait au moment de l’équinoxe de printemps dans le signe des Poissons (un douzième du cercle zodiacal).
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Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011
Dans un contexte évolutif, l’ensemble des taxons désignés par le terme poisson n’est plus considéré comme tel, ces taxons ayant des histoires évolutives différentes et formant donc différents clades.
Certains pensent que les poissons ont évolué à partir d’une créature du type ascidie (dont les larves ont des ressemblances avec les poissons primitifs) ; les premiers ancêtres des poissons auraient alors conservé leur forme larvaire à l’état adulte par néoténie, mais l’inverse est aussi possible. Les fossiles candidats au statut de « premier poisson » connus sont Haikouichthys, Myllokunmingia et Pikaia.
Les tous premiers fossiles de poissons ne sont guère nombreux, ni de bonne qualité : peut-être les poissons primitifs étaient-ils rares ou mal fossilisables ou les conditions taphonomiques mauvaises. Cependant, le poisson devint une des formes de vie dominantes du milieu aquatique et a donné naissance aux branches évolutives menant aux vertébrés terrestres comme les amphibiens, les reptiles et les mammifères.
L’apparition d’une mâchoire articulée semble être la raison majeure de la prolifération ultérieure des poissons, car le nombre d’espèces de poissons agnathes devint très faible. Les premières mâchoires ont été trouvées dans les fossiles de placodermes. On ignore si le fait de posséder une mâchoire articulée procure un avantage, par exemple pour la préhension ou la respiration.
Les poissons ont aussi coévolué avec d’autres espèces (prédateur, pathogènes et parasites notamment, mais aussi parfois des espèces symbiotes). Durant leurs migrations (longues et sur de longues distances pour les saumons et lamproies, et plus encore pour les anguilles), ils peuvent transporter (Dispersion (biologie) (Dispersion) un certain nombre de propagules d’autres organismes (ectoparasitisme, endozoochorie, oeufs viables non-digérés….)
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Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011
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