Papillon.

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2011

Nom d’origine : Les lépidoptères (Lepidoptera) sont un ordre d’insectes dont la forme adulte s’appelle Papillon

 

Papillon. dans PAPILLON 220px-Anthocharis-cardamines-280405-1Ils se caractérisent à l’état adulte par trois paires de pattes (comme tous les insectes) et par deux paires d’ailes recouvertes d’écailles de couleurs très variées selon les espèces. Les lépidoptères pondent des œufs qui donnent naissance à des chenilles. Ces dernières se transforment ensuite en chrysalides (s’abritant ou non dans un cocon préalablement tissé).

 

Il en émerge enfin l’imago, ou papillon. Leur cycle biologique se trouve donc composé de quatre stades distincts, œuf, chenille, chrysalide et papillon séparés par les métamorphoses (de la chenille à la chrysalide et de la chrysalide à l’adulte). Cela en fait des insectes à métamorphose complète.

 

Donc, Les lépidoptères (Papillons) sont des holométaboles comme les diptères et les coléoptères, c’est-à-dire que la vie d’un individu se décompose en trois stades de développement successif très différents. D’œuf, le lépidoptère devient larve appelée chenille, puis en imago appelé papillon. À ce stade, le papillon a une longévité variable selon l’espèce, de quelques jours (Bombyx du mûrier) ou semaines (Flambé, Papilio machaon) à plusieurs mois (jusqu’à dix pour le Citron Gonepteryx rhamni).

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Trompe de papillon

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2011

 

Leur corps est souvent caché par un épais revêtement de phanères surtout épais pour les espèces circumpolaires.

 

Trompe de papillon dans PAPILLON 320px-Historis_odius_faceLeurs pièces buccales sont transformées en trompe, enroulée en spirale pour aspirer le nectar. La trompe est formée par les galeas des maxilles qui sont fortement allongées et reliées entre elles par deux coaptations : l’antérieure formée de soies et la postérieure formée de crochets qui les solidarisent fortement, formant ainsi un canal qui permet l’aspiration du nectar. Toutes les autres pièces buccales sont atrophiées ou absentes, à l’exception des palpes labiaux qui protègent la trompe lorsqu’elle est enroulée au repos. La trompe des papillons est un outil de haute précision qui cumule les prouesses techniques. Au repos, elle reste enroulée en spirale comme un ressort de montre, sous l’effet d’une lame élastique qui court tout au long de sa paroi supérieure. Une succession d’anneaux de chitine – substance très résistante – maintient la canalisation béante quelle que soit sa courbure. Lorsque le papillon veut se nourrir, il contracte une série de plusieurs centaines de minuscules muscles obliques, situés dans l’épaisseur de la trompe, dont ils provoquent le déroulement. Au premier tiers de la longueur, des muscles spéciaux coudent la trompe vers le bas. Cette articulation souple favorise en particulier la recherche du nectar dans les corolles les plus étroites et les plus profondes. Sans même avoir à baisser la tête, le papillon déplace sa trompe pour explorer tous les recoins des fleurs qu’il visite. Dans la tête de l’insecte, une sorte de poire peut se dilater sous l’action de muscles puissants. Elle fait office d’aspirateur. Les papillons de jour se posent sur les corolles. Grâce à des organes gustatifs très sensibles situés au bout de leurs pattes, ils savent immédiatement s’il y a lieu de déployer leur encombrant attirail d’aspiration.

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Évolution du Papillon

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2011

 

Évolution du Papillon dans PAPILLON 320px-Papillon_de_nuit_01La forme actuelle des stades de développement, de l’œuf à l’imago, existe sans doute depuis 150 Ma. Les 220 000 espèces vivent partout dans le monde excepté dans l’Antarctique et sont particulièrement nombreuses dans la région des tropiques. Elles sont presque toujours associées à des plantes supérieures des angiospermes (plantes à fleurs) et ont donc coévolué. Il est en effet vraisemblable que la spéciation qui a conduit à ce groupe qui possède un organe hautement spécialisé comme la trompe s’est accomplie en même temps que le développement des plantes à fleurs avant la fin du tertiaire. Comme presque toutes les espèces ont des chenilles inféodées à une plante hôte précise, l’évolution n’a surement du se faire qu’en présence d’une seule plante hôte ancestrale, donc pas avant le tertiaire.

 

Les lépidoptères fossiles ont tendance à être plus rares que ceux des autres insectes, parce qu’ils étaient moins abondants dans des types d’environnement comme les lacs et les étangs propices à la fossilisation et que les stades larvaires n’ont que la tête chitineuse comme partie dure susceptible d’être fossilisée.

 

.ammonite-fossile-argile_405_s dans PAPILLONIl existe cependant quelques fossiles, dans l’ambre ou dans des sédiments très fins. Des traces de galeries peuvent être observées sur des feuilles fossiles mais leur interprétation est délicate.

Le fossile le plus ancien Archaeolepis mane est issue de roches britannique, il a été daté d’environ 190 Ma, au jurassique. Ce sont des restes d’ailes qui montrent des écailles à cannelures parallèles sous microscope électronique et le réseau de nervures caractéristique commun aux lépidoptères et trichoptères. On ne connaît que deux autres fossiles du jurassique et treize du crétacé. La période suivante, le tertiaire, est beaucoup plus riche en fossiles.

 

L’éocène en particulier, avec les gisements d’ambre de la Baltique est riche. Ceux-ci ne sont pas d’une grande utilité pour établir la phylogénie des lépidoptères car ils sont déjà très proches des espèces modernes. Plus rarement, les Lépidoptères peuvent se trouver dans des sédiments de type lacustre : diatomite. Un bel exemple a été publié dans le Bulletin des Lépidoptères de France.

 

D’après les fossiles du jurassique d’Amphiesménoptères découverts (groupe constitué des ancêtres des Trichoptères et lepidoptères, selon la classification de Willi Hennig), ces groupes se sont différenciés il y 56 Ma.

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Classification du Papillon

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2011

 

La taxinomie des insectes est en pleine évolution voire révolution, et les différentes classifications sont très disparates notamment concernant les sections situées entre les ordres et les genres.

 

Classification du Papillon dans PAPILLON 220px-Carolus_Linnaeus_by_Hendrik_Hollander_1853Carl von Linné dans Systema Naturae (1758) reconnaît trois groupes de lépidoptères : les Papilio, les Sphinx et les Phalaena avec sept sous-groupes dans les Phalaena (Scoble, 1995). Cette séparation se retrouve aujourd’hui dans 9 des super-familles de lépidoptères.

 

Après Linné, Denis et Schiffermüller (1775) sont suivis par Fabricius (1775) et Latreille (1796). Ils identifient beaucoup plus d’espèces en les regroupant dans ce qui sera reconnu comme des genres.

 

Hübner décrit beaucoup des genres modernes et Ochsenheimer et Friedrich Treitschke (1776-1842), dans une série de volumes sur la faune de lépidoptères européens publiés entre 1807 et 1835, renforcent les fondements de leur classification en genres (Scoble, 1995).

 

G.A.W. Herrich-Schaffer (plusieurs volumes, 1843-1856), et Edward Meyrick (1895) basent leur classification sur le nervurage des ailes. Au même moment, Sir George Hampson travaille sur la distinction entre Microlepidoptera et Macrolepidoptera.

 

Parmi les premiers entomologistes à étudier les fossiles d’insectes et leur évolution, Samuel Hubbard Scudder (1837-1911) travaille sur les papillons. Il publiera une étude des gisements du Colorado. Andrey Vasilyevich Martynov (1879-1938) met en évidence la proximité des lépidoptères et des trichoptères (Grimaldi et Engel, 2005).

 

animaux-papillon-00014 dans PAPILLONParmi les apports majeurs du XXe siècle figure la séparation basée sur la structure de l’appareil génital des femelles en Monotrysia et Ditrysia par Carl Julius Bernhard Börner (1880-1953) en 1925 et 1939 (Scoble, 1995).

 

Willi Hennig (1913-1976) développe l’analyse cladistique et l’applique à la phylogénie des insectes. Niels P. Kristensen, E. S. Nielsen et D.R. Davis étudient les relations entre les familles de Monotrysia, Kristensen ayant travaillé sur la phylogénie des insectes et des grands groupes de lépidoptères (Scoble 1995, Grimaldi et Engel, 2005). Alors qu’en général, les phylogénies basées sur les analyses de l’ADN diffèrent des phylogénies basées sur les analyses morphologiques, ce n’est pas le cas pour les lépidoptères, au moins à grande échelle (Grimaldi et Engel, 2005). Les tentatives de regroupement des super-familles de lépidoptères en grand groupes naturels ont toutes échoué car les critères actuels Microlepidoptera et Macrolepidoptera, Heterocera et Rhopalocera, Jugatae et Frenatae, Monotrysia et Ditrysia (Scoble 1995) ne permettent pas de définir des groupes monophylétiques.

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Papillon et espèces

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2011

  

Papillon et espèces dans PAPILLON 220px-Anaea_archidona_%28Male%29Outre qu’il y a encore des désaccords sur certaines espèces, il est parfois délicat d’établir l’appartenance d’un papillon à une espèce ou à une autre, à cause du phénomène d’hybridation ou parce qu’un nom d’espèce couvre parfois en réalité plusieurs sous-espèces morphologiquement très proches et non encore identifiées en tant qu’espèces. Ces deux phénomènes sont plus fréquents que ne l’indiquent les guides de naturalistes. Les taxonomistes ne prennent pas en compte des individus « douteux » (probablement des hybrides le plus souvent), parce que ces derniers rendent plus difficile la discrimination des espèces.

 

L’hybridation naturelle se produirait entre environ 10 % de toutes les espèces animales, assez rarement en moyenne, mais avec des taux d’hybridation qui peuvent être plus importants pour certaines espèces (Mallet, 2005). Les données disponibles pour les papillons d’Europe (l’un des plus étudiés dans le monde) laissent penser qu’environ 16 % des 440 espèces de papillons européens sont connus pour hybrider dans la nature avec au moins une autre espèce proche de la leur. Parmi ceux-ci peut-être la moitié ou plus sont fertiles et ont montré des preuves de « rétrocroisements » dans la nature.

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Le chuchotement d’un Papillon

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2011

 

Extrait (volume 1) Nous nous envolerons 

 

Comment envisager ce qui relève du vouloir ? 

 

 VulcainNaturellement, nous vient l’idée que les êtres vivants sont comme les petites mains ouvrières de la nature, celle qui nature, qui met en forme les forces contenues, dans une direction bien précise, mais qui semble échapper à notre entendement. 

 

C’est banal de dire que les animaux ne savent faire que ce qu’ils savent et qu’ils le font à l’aveugle sans se poser de questions. Les hommes, dits supérieurs à la nature, semblent savoir ce qu’ils font, se posent les questions et tombent à côté de la plaque, si l’on en juge aux résultats. S’il y a de bonnes choses, il y en a de catastrophiques. 

 

L’ensemble des hommes fait que non seulement les hommes ne font pas un ensemble conscient et une volonté orientés dans une même direction, mais c’est un ensemble inconscient et orienté dans de multiples directions, antagonistes. 

 

Est-ce le fait de l’inconscience ou le fait d’aller en tous sens? 

 

Ou autre hypothèse, est-ce le fait de vouloir et d’imposer une seule direction, un seul sens qui génère de la catastrophe? 

 

Concernant les hommes, le rôle de la conscience est directeur. Nous disons que la vie allait vers l’inconnu. La conscience serait le connu. La conscience se dirige vers l’inconnu. Elle se développe dans ce sens. À partir de ce qu’elle est, de son connu, de sa base terrienne, ou de son donné corporel spécifique. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il est nécessairement multiforme entre les gens, que ceux-ci ne sont pas prêts à l’uniformisation, au nivellement et à la pensée unique sinon comme pis aller. Il y aura toujours quelqu’un qui lèvera le pouce et dira non. 

 

Le chuchotement d'un Papillon  dans PAPILLON 320px-Cithaerias_Esmeralda_MHNT.ZOO.2004.0.976Parce que ce ne sera pas son choix, et qu’il ne lui sera pas nécessaire de se justifier aux yeux du monde. En principe, c’est ainsi que les choses devraient se passer, pour que la vie soit un jeu et non une douloureuse expérience. Et s’il s’avère que les joueurs sont radicalement mauvais, nous avons vu qu’ils ne pourraient durer, qu’ils sont pris dans leurs règles, dans leurs logiques internes. Ou se heurtent alors à la logique de la terre qui, nous l’avons vu, est tendue vers un but bien précis. Ceci n’exclut nullement les points extrêmes, les points limites où la survie collective n’est plus assurée. Mais la raison à cela? C’est bien que la nature soit passivité, don, chance. Obéissance. Et que les hommes sont esclaves d’impératifs perdus dans la nuit des temps. 

 

Comme des conditionnements dont il est impossible de se défaire. Ou encore que les hommes sont à côté de leur nature d’homme? Pas facile en tous les cas de démêler le nœud ; les liens qui nous enserrent. Comment concilier les contraires sans éliminer l’adversaire? Laisser aller le monde en terrain inconnu qui risque de nous coûter la vie? Nous ne pouvons l’accepter, du moins sur le papier, et ce papier ne fait pas peur aux méchants qui persistent dans cette direction sinistre. Ou bien aller vers une révolution inconnue mais qui ne connaît pas son passé? 

 

Ainsi, nous contribuons selon nos moyens à cette illumination, ce qui est à mon avis la plus belle façon de vivre. Ainsi, cet être extérieur qui illumine notre terre et donne vie à nos corps, nous savons que nous sommes liés à lui, qu’il est dans notre sixième sens comme à un degré supérieur de l’échelle et plus simplement il relève de la conscience, d’un regard sur le regard, ce qui ne peut que poser une autre suite de questions. Comme par exemple la destinée de cette conscience, ce qu’elle advient quand nous mourrons. 

 

Nous ne parlerions pas trop en vain. Nos mots auraient pris un tout petit peu leur envol comme s’ils étaient les chuchotements délicats d’un papillon. 

 

 

Extrait de : Le chuchotement d’un Papillon (volume 1) Ecrit par ERIC LE NY


essai d’explication du bruit de fond
par
Chromoz Home : un lien http://nous-les-dieux.org/index.php?title=PDF:Le_chuchotement_d’un_papillon.pdf&limit=50

 

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L’homme papillon

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2011

L'homme papillon  dans PAPILLON Sirius%20-%204652842316735436L’homme-papillon (ou homme-phalène) est une créature ailée mystérieuse qui aurait été observée dans plusieurs pays, notamment à Point Pleasant dans l’État de la Virginie-Occidentale, aux États-Unis, en 1966. Connue en Amérique du Nord sous le nom de Mothman, cette créature mythique, photographiée à quelques reprises, semble apparaître durant les derniers instants précédant une catastrophe.

 

L’une des plus incroyables apparitions documentées de l’homme-phalène remonte au 12 novembre 1966. Ce soir-là, cinq hommes préparaient une tombe dans un petit cimetière près de Clendenin en Virginie-Occidentale (États-Unis), lorsque ce qu’ils décrivirent comme une « forme humaine brunâtre avec des ailes » prit son envol depuis un bosquet à proximité des lieux et passa au-dessus de leurs têtes. Toutefois, cette apparition ne fut pas tout de suite rendue publique ; elle ne fut reprise que trois jours plus tard par les médias américains.

 

Cet évènement allait être suivi de nombreux autres, toujours localisés dans la région. Tard dans la nuit du 15 novembre, deux jeunes couples mariés de Point Pleasant, Roger et Linda Scarberry ainsi que Steve et Mary Mallette, sortirent se promener en voiture. Ils passèrent devant une usine de fabrication de TNT (datant de la Seconde Guerre mondiale) à environ 11 kilomètres à l’extérieur de Point Pleasant (à 10 kilomètres de McClintic Wildlife Station), lorsqu’ils aperçurent deux étranges lueurs rouges dans l’obscurité, à côté d’un vieux réservoir proche de la clôture de l’usine. Ils s’arrêtèrent et furent impressionnés de voir qu’il s’agissait d’yeux brillants provenant manifestement d’un gros animal, « de forme humaine, mais plus gros, peut-être six et demi ou sept pieds de hauteur (2m10 environ) ; avec de grosses ailes rabattues sur le dos », selon Roger Scarberry. Terrifiés, les deux couples prirent la fuite en direction de la Route 62.

 

En prenant la sortie, ils virent encore la créature, qui se tenait sur le bas-côté de la route. Elle écarta ses ailes et s’envola, en prenant en chasse l’automobile. Les témoins affirmèrent avoir tenté de prendre de vitesse la « chose » en roulant jusqu’à la vitesse de 100 miles par heure (environ 160 km/h), mais sans succès : la créature les suivait toujours de près et « ne battait presque pas des ailes », selon leur témoignage. Lorsqu’ils approchèrent de la ville, la créature disparut. Ils se rendirent alors au palais de justice du Comté de Mason et racontèrent leur histoire au shérif-adjoint Millard Halstead, qui, questionné plus tard, aurait déclaré : « Je connais ces enfants depuis longtemps. Ils n’ont jamais eu de problème avec la justice et ils étaient vraiment apeurés cette nuit-là. Je les ai pris au sérieux ». Il se rendit sur les lieux de l’observation, mais ne trouva aucune trace de l’étrange créature.

 

phalene dans PAPILLONLa nuit suivante, le 16 novembre, les citadins locaux, armés, organisèrent une battue dans la zone environnante de l’usine de TNT pour tenter de dénicher la créature. M. et Mme Raymond Wamsley, ainsi que Mme Marcella Bennett et sa fille cadette Teena partaient en voiture rendre visite à des amis, M. et Mme Ralph Thomas, qui vivaient dans un bungalow parmi les « igloos » (structures en forme de dôme érigées pour le stockage d’explosifs pendant la Seconde Guerre mondiale) près de l’usine de TNT. Les igloos n’étaient pas vides, quelques-uns appartenaient au comté, d’autres à des entreprises qui s’en servaient comme espace de stockage. Aussitôt sortis de la voiture, ils virent une figure apparaître derrière l’automobile en stationnement. C’est à cet endroit qu’eut lieu la deuxième observation de l’homme phalène. Mme Bennett déclara plus tard que c’était comme si cette « chose » se relevait lentement du sol, large et grise, avec des yeux rougeoyants. Pendant que Wamsley téléphonait à la police, la créature avança sous le porche de la maison et les dévisagea au travers de la fenêtre.

 

Le 24 novembre, quatre personnes virent la créature voler au-dessus de la zone de l’usine TNT. Le matin du 25 novembre, Thomas Ury, qui conduisait sur la Route 62 au nord de l’usine, dit avoir vu la créature se tenir dans le champ près de la route, ouvrir ses ailes et décoller, en suivant son automobile alors qu’il filait vers Point Pleasant pour relater l’évènement au shérif.

 

Le 26 novembre, Mme Ruth Foster de Charleston Virginie-Occidentale, banlieue de St. Albans, dit avoir vu ce qu’on appelait déjà le mothman (homme-phalène) se tenir sur sa pelouse, mais il n’était plus là lorsque son beau-frère vérifia. Le matin du 27 novembre, la créature poursuivit une jeune femme près de Mason, Virginie-Occidentale, ce qui fut rapporté de nouveau à St. Albans la même nuit par deux enfants.

 

L’homme-phalène (homme-papillon) fut aperçu une autre fois le 11 janvier 1967, et encore à plusieurs reprises dans l’année. Il faut cependant considérer avec prudence les derniers témoignages, du fait de l’influence des premières observations sur la population: dans une atmosphère américaine prise de fièvre de l’irrationnel, et particulièrement pour la vie extra-terrestre, les derniers cas survenus à Point Pleasant semblent peu fiables.

 

Le 15 décembre 1967, l’autoroute 35 reliant Point Pleasant, (Virginie) et Kanauga, (Ohio) proche du lieu des apparitions, s’effondre dans la rivière Ohio, tuant 46 personnes, dont Marvin Wamsley.

 

Pour les observateurs, l’effondrement du pont semble être en lien étroit avec les apparitions de l’homme-phalène : une des premières théories avancées suppose que la créature jouait, par ses apparitions successives à proximité du lieu de la catastrophe, le rôle d’annonciatrice de l’imminence du drame.

 

Un livre de John A. Keel et un film de Mark Pellington (avec Richard Gere, Laura Linney, Will Patton…) traite des évènements de Point Pleasant : La Prophétie des Ombres (The Mothman Prophecies).

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Morphée

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2011

ELFE FEEMorphée (en grec ancien Μορφεύς / Morpheús, de μορφή / morphế, « forme »), dans la mythologie grecque, est une divinité des rêves prophétiques. Il est, selon certains théologiens antiques, le fils d’Hypnos (le Sommeil) et de Nyx (la Nuit), et selon d’autres, la principale divinité des mille Oneiroi engendrés par Nyx seule. Il a pour vocation d’endormir les mortels.

Il est représenté avec des ailes de papillon battant rapidement et silencieusement, qui lui permettent de voler. Pour se présenter aux mortels, il se transforme en êtres chers (d’où son nom signifiant « forme »), permettant aux mortels l’espace d’un instant de sortir des machinations des dieux.

On le retrouve notamment dans l’œuvre d’Ovide. Messager des dieux, il apparaît généralement dans le sommeil des rois comme un humain sous forme de fantasme. Il est peut-être le rêve envoyé par Zeus auprès d’Agamemnon dans l’Iliade, mais dans ce passage il n’est pas explicitement nommé. Il joue un rôle important dans l’histoire d’Alcyone et Céyx.

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De la Chenille au papillon

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2011

 

Chenille

 

De la Chenille au papillon dans PAPILLON 220px-Inachis_io_caterpillar_20070607Les chenilles sont très variables suivant leurs différents stades. Tout juste nées, elles n’excèdent pas 3 mm. Leur grosse tête noire et luisante est disproportionnée par rapport à leur petit corps blanc-verdâtre. Petit à petit, les proportions s’équilibrent et leur coloration vire au vert/brun. Enfin, elles acquièrent leur morphe définitive à savoir une robe noire brillante ornée de rangées de soies épineuses agrémentées de séries de points blancs sur chaque segment. À ce stade, elles atteignent à peine le centimètre mais au bout de 4 semaines d’une voracité effrénée, elles pourront dépasser les 4cm de long. Malgré leur aspect de « barbelé », elles sont d’une totale innocuité (non urticantes et non vulnérantes). À terme, la chenille, jusqu’alors grégaire et vorace, cesse de s’alimenter et part en errance à la recherche d’un endroit pour se nymphoser.

 

Les chenilles se rencontrent de mai à septembre en colonies groupées sur des massifs d’orties desquelles elles se nourrissent.

 

Chrysalide 

220px-Inachis_io_output_chrysalis dans PAPILLONAprès avoir trouvé un support idéal, la chenille s’y amarre par sa dernière paire de pattes et se laisse pendre la tête en bas. En un peu moins de 2 jours, les organes internes de la chenille vont se métamorphoser en chrysalide. L’enveloppe corporelle va alors se fendre dorsalement et la laisser apparaître. Au contact de l’air, la chrysalide va se durcir et se pigmenter. Une métamorphose tout aussi complexe que la première va alors se dérouler durant environ 2 semaines, les organes de l’insecte adulte se substituant cette fois-ci à ceux de la chrysalide. La dépouille que formera bientôt la chrysalide s’ouvre alors ventralement, laissant apparaître l’imago, stade terminal du papillon. Sous la pression de l’hémolymphe circulant dans les nervures, les ailes initialement « fripées » vont se déployer peu à peu (de l’ordre de 5 à 10 min) et gagner en rigidité. L’envol se fera après le durcissement des téguments, et l’élimination du méconium, déchet organique liquide et plus ou moins rougeâtre.

 

 

 

 Paon du jour (Aglais io)

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Le Papillon des étoiles

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2011

gifs papillonCitations « Le Papillon des étoiles » sur Wikiquote, le recueil de citations libre

Le Papillon des étoiles est un roman français de Bernard Werber paru en 2006. Dans ce livre, qui présente une théorie relative à la panspermie, la fuite est présentée comme l’ultime recours face à l’autodestruction de l’humanité sur Terre.

Citations

L’amour peut être une illusion. L’amour peut rendre fou. On peut tuer par amour. On se trompe souvent par amour. En revanche la lumière, elle, ne trompe pas. Elle est partout. Elle éclaire. Elle dévoile. Elle réchauffe. La lumière faire pousser les fleurs et les arbres. Elle réveille nos hormones, nourrit notre organisme. On peut vivre sans amour, on ne peut pas vivre sans lumière. — Bernard Werber 

 Le Papillon des étoiles, Bernard Werber, éd. Albin Michel, 2006 (ISBN 2-226-17349-8), partie I – L’ombre d’un rêve, chap. 7. Lueur dans la nuit, p. 19 – Citation choisie citation du jour pour le 29 mai 2009. 

Nous sommes tous des chenilles qui ont une métamorphose à réussir pour se transformer en papillons. Une fois papillons, il nous faut déployer les ailes pour nous envoler vers la lumière. 

 Le Papillon des étoiles, Bernard Werber, éd. Albin Michel, 2006 (ISBN 2-226-17349-8), partie I – L’ombre d’un rêve, chap. 7. Lueur dans la nuit, p. 20

 

Cette planète était notre berceau mais nous l’avons saccagée. Nous ne pourrons plus jamais la soigner et la retrouver comme avant. Quand la maison s’effondre il faut partir? Recommencer tout, ailleurs et autrement. Actuellement je crois que le Dernier Espoir c’est… la fuite. – Bernard Werber 

Le Papillon des étoiles, Bernard Werber, éd. Albin Michel, 2006, partie I – L’ombre d’un rêve, chap. 10. Évaporation de l’or, p. 30

 

Tout homme qui entreprend quelque chose de nouveau doit affronter trois sortes d’ennemis. Un : ceux qui pensent qu’il faut faire le contraire? Deux : ceux qui veulent faire la même chose, et qui considèrent que vous leur avez volé leur idée, et qui n’attendent que de vous descendre pour s’empresser de vous copier. Trois : la masse de ceux qui ne font rien et qui sont hostiles à tout changement et à toute initiative originale. Ceux là sont les plus nombreux et souvent les plus acharnés à vous empêcher de mener votre projet à bien.

 Le Papillon des étoiles, Bernard Werber, éd. Albin Michel, 2006, partie I – L’ombre d’un rêve, chap. 11. Premier chaudron : Le creuset, p. 31

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L’art et le papillon

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2011

Les papillons ont été représenté et il en reste des peintures datant pour la plus ancienne, en Égypte dans la tombe de Neferhotep de vers 3 000 ans avant notre ère.

En Europe, les plus anciennes peintures de papillons retrouvées sont celles d’enluminures du IXe siècle, puis dans divers tableaux de la peinture flamande, de la peinture hollandaise et de la peinture italienne mais ils sont particulièrement présents dans les natures mortes flamandes et hollandaises du XVIIe siècle.

Il existe également une toile de OTTO MARSEUS VAN SCHRIECK au Musée du Louvre, OTTO, peintre néerlandais du XVIIè siècle, intitulée « Serpents et Papillons » dont le décor est une forêt profonde et obscure au coucher du soleil.

·        

L'art et le papillon  dans PAPILLON 393px-Otto_Marseus_van_Schrieck_-_Bosgrond_met_een_slang%2C_hagedissen%2C_vlinders_en_andere_insecten%2C_ca_1650-1678

               Image : Serpents et papillons dans un sous-bois, 1670, huile sur toile, 70 x 55 cm (Musée du Louvre, Paris). 

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Morphologie du papillon

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2011

Morphologie d’un papillon: insecte lépidoptère adulte dont les ailes sont couvertes de fines écailles de différentes couleurs.
 

Apex: pointe de l’aile du papillon. Papillons et chenillesde lépidoptères (Leipzig, 1932)
Marge externe: partie extérieure de l’aile.
Nervure: ligne saillante de l’aile du papillon.
Cellule: partie de l’aile du papillon qui est délimitée par les nervures.
Aile antérieure: membre avant de locomotion aérienne.
Aile postérieure: membre arrière de locomotion aérienne.
Thorax: partie centrale du corps du papillon.
Patte postérieure: membre de locomotion terrestre arrière du papillon.
Abdomen: partie postérieure du corps du papillon.
Segment: une des parties du corps du papillon.
Patte médiane: membre de locomotion terrestre central.
Griffe: ongle pointu du papillon.
Tarse: dernière partie de la patte du papillon.
Tibia: partie centrale de la patte du papillon.
Fémur: première partie de la patte du papillon.
Patte antérieure: membre de locomotion terrestre avant.
Trompe: partie buccale allongée du papillon.
Oeil composé: organe visuel complexe du papillon.
Tête: partie antérieure du corps du papillon.
Antenne: organe tactile du papillon.
Nervure costale: ligne saillante du côté de l’aile.

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Bibliographie du Papillon

Posté par othoharmonie le 5 novembre 2011

 

Films :

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