Orque : la Gardienne de la Mémoire Cosmique

Posté par othoharmonie le 5 mars 2017

 

Rôle : Gardienne de la Mémoire Cosmique ; leçon : Découvrir le Chant de l’Âme ; élément : Eau ; Vent : Nord – Terre des Aînés ou des Ancêtres – Sagesse ; médecine : Alchimie ; mots-clés : Gardienne de la Mémoire Cosmique, Alchimie, Créativité, Guérison par le Son, Sensibilité, Vision Spirituelle, Énergie de changement, adaptabilité, intelligence détachée, équilibre entre la lumière et l’ombre, rejet de vérités simples, polarité, dialecte et langage, être un prédateur pour obtenir ce que l’on désire, socialiser, avoir besoin des autres autour de nous, Loup de la mer.

orque

L’Orque est le plus grand représentant de la famille des Dauphins. Il est reconnu à son corps noir et blanc, sa grande intelligence, sa force et ses techniques innovatrices de chasse. Il existe cinq différents types d’Orque, dépendamment de l’endroit où elles vivent, de leur manière de chasser et ainsi de suite.

Les Orques ont des dialectes distincts, propres à la région où elles se trouvent, et on dit qu’elles ont même leur propre culture. Ces créatures sont les plus grands prédateurs, après l’homme, et ne sont la proie d’aucun animal. Elles chassent souvent des Baleines beaucoup plus grosses qu’elles pour les manger, les tuant par suffocation. On retrouve Orque dans toutes les mers, de l’arctique à l’antarctique.

D’un point de vue spirituel, elles représentent les leçons de l’âme en lien avec la polarité. Orque nous assise dans l’obtention et le maintien de l’équilibre dans un monde d’opposés. D’un point de vue physique, ses couleurs sont une stratégie de camouflage. Vu d’au-dessus des eaux, le dos de couleur noire se confond avec les profondeurs sombres de l’eau, tandis que vu d’en-dessous de l’eau, la couleur blanche de leur flanc se confond avec la lumière provenant du ciel. Cela symbolise leur habileté à se mouvoir dans ce qui est vu et ce qui ne l’est pas dans la vie, dépendamment de la situation.

Apprendre l’art du camouflage est avantageux pour ceux qui étudient la médecine d’Orque. Les actions, réactions, observations et expressions appropriées sont toutes liées à cet art. Orque nage en formation linéaire ou en rangée. Cela indique un sens de l’organisation et une habileté à travailler en coopération avec les autres. Orque ne migre pas dans le même sens que les Baleines, mais a des mouvements saisonniers liés à la migration de chasse et aux changements environnementaux.

 Il existe deux sous-groupes d’Orques : les nomades et les résidentes. Les résidentes vivent dans de plus larges communautés et ont un système matriarcal dans lequel deux ou trois femelles et leurs progénitures vivent ensemble durant toute leur vie. Les groupes nomades tendent à voyager sur de plus grandes distances et sont connus pour chasser et tuer d’autres mammifères. Leur nom anglais “Killer whale” provient des baleiniers et marins qui ont observé les orques dévorer d’autres Baleines.

Chaque groupe possède son dialecte respectif qui permet aux membres de ce groupe de se reconnaître entre eux s’ils venaient à être séparés. Ceux qui étudient la médecine de Orque seront capables d’identifier les membres de leur groupe d’âmes d’origine. Bien que leur personnalité peuvent différer, elles ont le sens de la famille. Les leçons de vie ainsi que les aspirations spirituelles sont similaires. Se réunir entre membres d’un même groupe d’âmes peut apporter une grande joie et éveiller le cœur, soulageant la peine de souvenirs tristes. Ceux et celles qui ont cet animal totem doivent se rappeler que lorsque la réunion a été établie, le support émotionnel sera toujours disponible entre tous. Les personnes qui baignent dans la médecine de Orque sont très créatives, bien qu’elles puissent avoir tendance à garder leur créativité cachée ou à laisser leur créativité gouverner leur vie.

Ceux qui possèdent le totem de l’Orque doivent porter attention à la manière dont l’Orque leur apparaît. Si elle est vue sautant hors de l’eau, elle vous demande de faire surface, de sortir des profondeurs de votre réflexion intérieure et de vous exprimer extérieurement d’une manière créative et ancrée à la terre. Si l’orque est vue blessée ou échouée, cela pourrait indiquer un besoin de prendre soin de votre santé. Les orques ont souvent des problèmes de parasites, de bactéries et des infections fongiques. Elles peuvent également être porteuses de la maladie d’Hodgkin. D’un point de vue émotionnel, cette maladie est liée à la mauvaise estime de soi et à la crainte de ne pas être accepté. Orque détient les enseignements de l’intrépidité, de la beauté, du pouvoir et de l’équilibre.

Elle peut éveiller ces qualités en vous. Tout ce que vous avez à faire, c’est de demander. • Les croyances concernant l’origine de Orque varient d’une tribu à une autre, mais certaines s’accordent sur le fait que le Loup de Mer fut créé lorsqu’un jeune homme marchait sur la plage et entendit des petits couinements. Il suivi le son pour découvrir deux Louveteaux qu’il prit avec lui jusqu’à sa hutte et les éleva jusqu’à ce qu’ils soient adultes. Un jour, il s’éveilla pour découvrir que les Loups l’avaient quitté et il suivi leurs traces jusqu’à la plage, où il les avait jadis trouvés. Alors qu’il s’approchait de l’océan, il vit les loups nageant dans la mer où ils tuèrent une Baleine.

À son grand étonnement, les Loups rapportèrent la Baleine morte sur la grève afin qu’il puisse manger sa viande et utiliser ses os et sa graisse. Ils firent de même les jours suivants jusqu’à ce que vint un moment où la plage fut remplie de Baleines mortes, les Loups chassant trop de Baleines pour un seul homme. Voyant ce grand gâchis, Celui d’en Haut, appela à l’aide les Esprits du Tonnerre, de la Pluie et du Brouillard afin que les Loups ne puissent plus être capables de trouver de Baleines à tuer. Grand-mère Océan devint si tumultueuse que les Loups furent incapables de regagner la plage et furent forcés de rester dans l’eau où ils se transformèrent en Loups de Mer.

D’autres tribus croient que la Nation-Ciel (ou Étoile) apporta l’Orque à Ina Maka (Mère Terre) depuis l’étoile Sirius (la Maison des Ancêtres). C’est depuis lors que ce “Grand Loup” devint la Gardienne des Océans, la Gardienne de la Mémoire Cosmique… Son nom, Loup de Mer, fut donné pour rappeler l’endroit d’où elle vient (Loup) et l’endroit où elle réside maintenant (Mer). Comme leur Animal Totem, les bipèdes qui nagent avec Orque (et avec tous les dauphins et baleines), ont une mémoire inconsciente de leur Origine et de leur Héritage. C’est une mémoire profondément enfouie et qui imprègne leur âme, savoir cosmique et souvenirs du monde (origine) et des Ancêtres. Bien que cette mémoire cosmique soit profondément enterrée, même au-delà du subconscient, le Dormeur peut s’éveiller à n’importe quel stade lorsque le temps du retour des Ancêtres approche. Souvent, cette mémoire est réveillée par le son ou alors que d’autres membres de ce groupe d’âmes se reconnectent ensemble. 

 orques

Orque nous enseigne le pouvoir du Souffle et de la Créativité

Plusieurs légendes et théories sur la Création sont centrées autour de la croyance que toute vie émergea de l’Océan, et les membres de la famille des Dauphins et des Baleines sont un symbole de cet élan créatif à sa plus grande expression. Orque nous enseigne le pouvoir du Souffle et de la Créativité, et en observant la manière dont respire chacun des animaux de la famille des Dauphins et des Baleines, cela est significatif, en adoptant ces mêmes principes pour celui qui nage avec un de ces animaux alliés.

Alors que l’Orque refait surface pour reprendre son souffle, elle est souvent vue sautant complètement hors de l’eau, phénomène que les biologistes marins ne s’expliquent pas complètement, car ce comportement ne semble pas avoir de but biologique ni même avoir aucune utilité. Elle pourrait simplement revenir à la surface de l’eau (comme elle le fait à d’autres moments) pour prendre l’oxygène nécessaire. Nous pouvons toutefois interpréter son saut hors de l’eau comme un désir de revenir à la “Demeure des Origines” (Ciel/Étoile).

Pour le bipède qui nage avec l’Orque, ce qui précède porte une double signification. La première, c’est qu’il y a un désir pour l’Âme Orque (Baleine ou Dauphin) de retourner à la Maison des Ancêtres et à tout ce qui fut auparavant. Ce sentiment d’appartenance varie, parfois très silencieux ou voire presque non-existent, et à d’autres moments plus insistant, et à d’autres moments encore ce sentiment est ressenti comme une douleur forte et vive au cœur, emplissant cette douce âme avec un sentiment écrasant de “déconnexion”.

La seconde signification que ce comportement peut avoir est un moyen par lequel la créativité, la perspicacité et les émotions peuvent être comme congestionnées, et lorsque c’est le cas, l’Âme Orque a réussi à repousser ces sentiments profondément en elle, ou lorsqu’elle a refoulé ses besoins et ses désirs pour répondre à ceux d’autrui, le résultat est que ses émotions doivent être relâchées d’une manière ou d’une autre. Ces sentiments refont alors surface de manière explosive, ce qui peut être assez impressionnant venant de la part de ces douces âmes. De même, lorsque leur créativité est d’une manière ou d’une autre refoulée, reniée ou oppressée, une tension intérieure s’installera dans l’âme d’Orque.

Si les émotions, pensées et créativité ne trouvent pas le moyen de ressortir, il peut y avoir une manifestation physique qui prendra la forme d’une maladie, laquelle affectera particulièrement les poumons, telle que l’asthme, la bronchite, rhume de poitrine ou même la pneumonie.

Pour combattre cela, lorsque les tensions intérieures dues aux émotions, pensées et créativité refoulées croissent, il sera sage pour le bipède qui nage avec l’Orque (ou un autre totem de la famille des Baleines et Dauphins) d’observer, d’imiter la manière dont ces mammifères marins respirent. Emplir ses poumons d’air, gonflant la poitrine avec d’autant d’oxygène que possible, comme si nous allions plonger dans les profondeurs de l’océan, retenant cette respiration aussi longtemps qu’il sera confortable de le faire, puis d’expirer de manière explosive, comme pour imiter le son que Orque fait lorsqu’elle remonte à la surface de l’eau et que l’eau est projetée hors de son évent. Il n’y a pas de nombre de fois limite pour répéter cet exercice respiratoire, toutefois gardez à l’esprit que de le faire trop longtemps pourrait provoquer des étourdissements et c’est pourquoi l’exercice est de préférence exécuté dans une position confortable et sécuritaire. Avec chaque inspiration et expiration, une affirmation personnalisée peut être répétée, par exemple, pour relâcher des émotions : « Je m’exprime de manière libre, aimante et sans effort, d’une manière respectueuse pour moi-même et les autres ».

Une autre affirmation, pour relâcher le potentiel créatif pourrait être quelque chose comme « La Force Créatrice et le Génie de l’Univers coule sans effort à travers moi. Je suis un canal à travers lequel le Grand Mystère peut s’exprimer ». Dans les deux cas, nous embrassons la Médecine de Orque, afin d’assister de manière compatissante et créative l’être à côté duquel Orque nage. Comme tous les membres de la famille des Dauphins (Orque n’est pas une Baleine comme beaucoup le croient, mais un grand Dauphin), l’Orque est une créature intelligente et sensible, dotée d’une perception et conscience étonnante. Les soins, le souci et l’attention qu’ils démontrent envers leurs petits et envers les membres malades ou blessés de leur communauté, ainsi que leur dévouement envers tous les membres de leur communauté, va bien au-delà de l’explication biologique simple, et semble indiquer un sens élevé de spiritualité et de sensibilité authentique. En tant que société matriarcale, les Orques mâles resteront aux côtés de leur mère durant toute leur vie, lui offrant protection et support.

Le seul moment où un mâle quittera sa mère sera pour répondre à l’appel d’une Orque femelle pour l’accouplement. Une fois cet accouplement accompli, le mâle retournera aux côtés de sa mère et de ses petits. Pour le bipède qui nage aux côtés d’Orque, il y aura certainement une grande part de sensibilité émotive et psychique. Ce sont des individus possédant une conscience aigüe de la souffrance des autres et qui ressentiront immédiatement la douleur se cachant sous les mots “tout va bien”. Bien qu’il y ait un degré marqué de sensibilité dans l’âme de l’Orque, il existe également une habileté à prendre de la distance face à la douleur et à la souffrance des autres. C’est une compréhension intrinsèque que ce faisant, on “vole” à celui que l’on désire assister, des Leçons de Vie que l’Âme doit apprendre ici. Toutefois, ce savoir inné n’est éveillé qu’après des leçons douloureuses, mais une fois que la mémoire est éveillée, elle les sert bien dans leurs efforts et est un “appel” pour assister leurs alliés bipèdes.

Tous les Dauphins et Baleines ont des habiletés pour la guérison, part intrinsèque de leur médecine unique. Même les scientifiques et les biologistes marins s’accordent sur cette croyance alors qu’ils assistent eux mêmes à l’interaction guérisseuse qu’ils ont eux-mêmes échangés mentalement ou physiquement avec la famille des Dauphins. Pour l’Orque en particulier, on croit que sa voix est un véritable agent guérisseur. Les bipèdes qui sont bénis d’avoir Orque comme Totem primaire (Pouvoir, Thème ou Mission), possèderont également une forte habileté pour la guérison. Ce don variera à la fois d’intensité (de léger à très puissant) et dans sa manifestation (énergie de guérison à distance, guérison par les mains, etc.), et il est un des dons que le Grand Mystère a aimablement attribué à ces Âmes. Tout comme leur animal allié, les bipèdes possédant l’âme de Orque auront l’habileté de guérir grâce à la communication. Cette habileté n’est toutefois pas limitée à l’art de la parole, mais peut inclure d’autres formes de communication comme l’écriture ainsi que d’autres expressions artistiques (peinture, instrument de musique, chant, etc.).

De manière plus commune, la guérison se fera grâce à la voix, et c’est aussi à travers la résonance du son que l’Âme Orque expérimentera l’éveil des mémoires qui ont été enfouies dans son âme. Cela peut se produire lors de l’écoute d’une certaine pièce de musique jamais entendue auparavant, par le chant des Baleines ou des Dauphins que l’on voit ou que l’on entend à la télévision, etc. Bien que cela peut prendre plusieurs années de développement afin de devenir conscient du moment où cet éveil se fait, une fois que l’habileté à le faire est acquise, l’individu Orque peut apprendre alors à plonger dans cette mémoire cosmique grâce à un chant ou un mantra qu’il chantera. Cette “chanson cosmique” pourra alors être utilisée pour guérir ou éveiller d’autres personnes, de même que l’emploi de la technique de respiration des Dauphins et Baleines les assistera dans le processus de guérison. L’Alchimie est l’habileté à transformer des matériaux bruts ou de base en une matière de haute vibration, nature ou qualité.

En lien avec le Loup de Mer, on croit que, en tant que Gardienne de la Mémoire Cosmique, Orque possède l’habileté de créer des portails à travers lesquels on peut atteindre la “Demeure d’Origine” (la porte qui mène vers la Nation-Étoile). Pour les bipèdes nageant avec cet animal de pouvoir, on croit que Orque est un puissant phare d’illumination, illuminant la voie pour ceux qui désirent aller au-delà du mondain, du monde profane de sens physiques pour gagner la rive magique de la compréhension cosmique.

Aux premiers moments de leur vie (dans leur enfance et début de l’âge adulte de la vie présente), les âmes accompagnées par Orque expérimenteront plusieurs leçons en tirant le meilleur possible de situations difficiles et douloureuses. Elles ne viennent pas au monde dans des “existences faciles”… au contraire, leur vie est souvent bouleversée par différents défis, bien plus que la majorité des personnes de son entourage, à tel point que leurs amis ou êtres chers pourront témoigner de la fréquence des difficultés rencontrées.

Malgré toute sa douleur et les traumatismes qui peuvent en découler, ces expériences amènent bien plus, au-delà de ce que l’on peut imaginer. C’est ainsi que les bipèdes qui nagent avec Orque (avec maturation suffisante et observation détachée) apprennent à façonner le Sceptre d’Or de l’Illumination à partir des minéraux des expériences passées et des leçons acquises. Orque détient les enseignements de l’intrépidité, de la beauté, du pouvoir et de l’équilibre. Elle peut éveiller ces qualités en vous. Tout ce que vous avez à faire, c’est demander…

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L’Orque nous enseigne le pouvoir du Souffle et de la Créativité

Posté par othoharmonie le 4 février 2017

 

Plusieurs légendes et théories sur la Création sont centrées autour de la croyance que toute vie émergea de l’Océan, et les membres de la famille des Dauphins et des Baleines sont un symbole de cet élan créatif à sa plus grande expression. Orque nous enseigne le pouvoir du Souffle et de la Créativité, et en observant la manière dont respire chacun des animaux de la famille des Dauphins et des Baleines, cela est significatif, en adoptant ces mêmes principes pour celui qui nage avec un de ces animaux alliés.

orque

Alors que l’Orque refait surface pour reprendre son souffle, elle est souvent vue sautant complètement hors de l’eau, phénomène que les biologistes marins ne s’expliquent pas complètement, car ce comportement ne semble pas avoir de but biologique ni même avoir aucune utilité. Elle pourrait simplement revenir à la surface de l’eau (comme elle le fait à d’autres moments) pour prendre l’oxygène nécessaire. Nous pouvons toutefois interpréter son saut hors de l’eau comme un désir de revenir à la “Demeure des Origines” (Ciel/Étoile).

Pour le bipède qui nage avec l’Orque, ce qui précède porte une double signification. La première, c’est qu’il y a un désir pour l’Âme Orque (Baleine ou Dauphin) de retourner à la Maison des Ancêtres et à tout ce qui fut auparavant. Ce sentiment d’appartenance varie, parfois très silencieux ou voire presque non-existent, et à d’autres moments plus insistant, et à d’autres moments encore ce sentiment est ressenti comme une douleur forte et vive au cœur, emplissant cette douce âme avec un sentiment écrasant de “déconnexion”.

La seconde signification que ce comportement peut avoir est un moyen par lequel la créativité, la perspicacité et les émotions peuvent être comme congestionnées, et lorsque c’est le cas, l’Âme Orque a réussi à repousser ces sentiments profondément en elle, ou lorsqu’elle a refoulé ses besoins et ses désirs pour répondre à ceux d’autrui, le résultat est que ses émotions doivent être relâchées d’une manière ou d’une autre. Ces sentiments refont alors surface de manière explosive, ce qui peut être assez impressionnant venant de la part de ces douces âmes. De même, lorsque leur créativité est d’une manière ou d’une autre refoulée, reniée ou oppressée, une tension intérieure s’installera dans l’âme d’Orque.

Si les émotions, pensées et créativité ne trouvent pas le moyen de ressortir, il peut y avoir une manifestation physique qui prendra la forme d’une maladie, laquelle affectera particulièrement les poumons, telle que l’asthme, la bronchite, rhume de poitrine ou même la pneumonie.

Pour combattre cela, lorsque les tensions intérieures dues aux émotions, pensées et créativité refoulées croissent, il sera sage pour le bipède qui nage avec l’Orque (ou un autre totem de la famille des Baleines et Dauphins) d’observer, d’imiter la manière dont ces mammifères marins respirent. Emplir ses poumons d’air, gonflant la poitrine avec d’autant d’oxygène que possible, comme si nous allions plonger dans les profondeurs de l’océan, retenant cette respiration aussi longtemps qu’il sera confortable de le faire, puis d’expirer de manière explosive, comme pour imiter le son que Orque fait lorsqu’elle remonte à la surface de l’eau et que l’eau est projetée hors de son évent. Il n’y a pas de nombre de fois limite pour répéter cet exercice respiratoire, toutefois gardez à l’esprit que de le faire trop longtemps pourrait provoquer des étourdissements et c’est pourquoi l’exercice est de préférence exécuté dans une position confortable et sécuritaire. Avec chaque inspiration et expiration, une affirmation personnalisée peut être répétée, par exemple, pour relâcher des émotions : « Je m’exprime de manière libre, aimante et sans effort, d’une manière respectueuse pour moi-même et les autres ».

orque baleine

Une autre affirmation, pour relâcher le potentiel créatif pourrait être quelque chose comme « La Force Créatrice et le Génie de l’Univers coule sans effort à travers moi. Je suis un canal à travers lequel le Grand Mystère peut s’exprimer ». Dans les deux cas, nous embrassons la Médecine de Orque, afin d’assister de manière compatissante et créative l’être à côté duquel Orque nage. Comme tous les membres de la famille des Dauphins (Orque n’est pas une Baleine comme beaucoup le croient, mais un grand Dauphin), l’Orque est une créature intelligente et sensible, dotée d’une perception et conscience étonnante. Les soins, le souci et l’attention qu’ils démontrent envers leurs petits et envers les membres malades ou blessés de leur communauté, ainsi que leur dévouement envers tous les membres de leur communauté, va bien au-delà de l’explication biologique simple, et semble indiquer un sens élevé de spiritualité et de sensibilité authentique. En tant que société matriarcale, les Orques mâles resteront aux côtés de leur mère durant toute leur vie, lui offrant protection et support.

Le seul moment où un mâle quittera sa mère sera pour répondre à l’appel d’une Orque femelle pour l’accouplement. Une fois cet accouplement accompli, le mâle retournera aux côtés de sa mère et de ses petits. Pour le bipède qui nage aux côtés d’Orque, il y aura certainement une grande part de sensibilité émotive et psychique. Ce sont des individus possédant une conscience aigüe de la souffrance des autres et qui ressentiront immédiatement la douleur se cachant sous les mots “tout va bien”. Bien qu’il y ait un degré marqué de sensibilité dans l’âme de l’Orque, il existe également une habileté à prendre de la distance face à la douleur et à la souffrance des autres. C’est une compréhension intrinsèque que ce faisant, on “vole” à celui que l’on désire assister, des Leçons de Vie que l’Âme doit apprendre ici. Toutefois, ce savoir inné n’est éveillé qu’après des leçons douloureuses, mais une fois que la mémoire est éveillée, elle les sert bien dans leurs efforts et est un “appel” pour assister leurs alliés bipèdes.

Tous les Dauphins et Baleines ont des habiletés pour la guérison, part intrinsèque de leur médecine unique. Même les scientifiques et les biologistes marins s’accordent sur cette croyance alors qu’ils assistent eux mêmes à l’interaction guérisseuse qu’ils ont eux-mêmes échangés mentalement ou physiquement avec la famille des Dauphins. Pour l’Orque en particulier, on croit que sa voix est un véritable agent guérisseur. Les bipèdes qui sont bénis d’avoir Orque comme Totem primaire (Pouvoir, Thème ou Mission), possèderont également une forte habileté pour la guérison. Ce don variera à la fois d’intensité (de léger à très puissant) et dans sa manifestation (énergie de guérison à distance, guérison par les mains, etc.), et il est un des dons que le Grand Mystère a aimablement attribué à ces Âmes. Tout comme leur animal allié, les bipèdes possédant l’âme de Orque auront l’habileté de guérir grâce à la communication. Cette habileté n’est toutefois pas limitée à l’art de la parole, mais peut inclure d’autres formes de communication comme l’écriture ainsi que d’autres expressions artistiques (peinture, instrument de musique, chant, etc.).

De manière plus commune, la guérison se fera grâce à la voix, et c’est aussi à travers la résonance du son que l’Âme Orque expérimentera l’éveil des mémoires qui ont été enfouies dans son âme. Cela peut se produire lors de l’écoute d’une certaine pièce de musique jamais entendue auparavant, par le chant des Baleines ou des Dauphins que l’on voit ou que l’on entend à la télévision, etc. Bien que cela peut prendre plusieurs années de développement afin de devenir conscient du moment où cet éveil se fait, une fois que l’habileté à le faire est acquise, l’individu Orque peut apprendre alors à plonger dans cette mémoire cosmique grâce à un chant ou un mantra qu’il chantera. Cette “chanson cosmique” pourra alors être utilisée pour guérir ou éveiller d’autres personnes, de même que l’emploi de la technique de respiration des Dauphins et Baleines les assistera dans le processus de guérison. L’Alchimie est l’habileté à transformer des matériaux bruts ou de base en une matière de haute vibration, nature ou qualité.

En lien avec le Loup de Mer, on croit que, en tant que Gardienne de la Mémoire Cosmique, Orque possède l’habileté de créer des portails à travers lesquels on peut atteindre la “Demeure d’Origine” (la porte qui mène vers la Nation-Étoile). Pour les bipèdes nageant avec cet animal de pouvoir, on croit que Orque est un puissant phare d’illumination, illuminant la voie pour ceux qui désirent aller au-delà du mondain, du monde profane de sens physiques pour gagner la rive magique de la compréhension cosmique.

Aux premiers moments de leur vie (dans leur enfance et début de l’âge adulte de la vie présente), les âmes accompagnées par Orque expérimenteront plusieurs leçons en tirant le meilleur possible de situations difficiles et douloureuses. Elles ne viennent pas au monde dans des “existences faciles”… au contraire, leur vie est souvent bouleversée par différents défis, bien plus que la majorité des personnes de son entourage, à tel point que leurs amis ou êtres chers pourront témoigner de la fréquence des difficultés rencontrées.

Malgré toute sa douleur et les traumatismes qui peuvent en découler, ces expériences amènent bien plus, au-delà de ce que l’on peut imaginer. C’est ainsi que les bipèdes qui nagent avec Orque (avec maturation suffisante et observation détachée) apprennent à façonner le Sceptre d’Or de l’Illumination à partir des minéraux des expériences passées et des leçons acquises. Orque détient les enseignements de l’intrépidité, de la beauté, du pouvoir et de l’équilibre. Elle peut éveiller ces qualités en vous. Tout ce que vous avez à faire, c’est demander…

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Baleines et bataille de l’Antarctique

Posté par othoharmonie le 23 octobre 2013

Baleines et bataille de l'Antarctique dans BALEINE sea-shepherd-drone-baleines-japon-466262-jpg_315886

Les drones volants du capitaine Watson ont déjà repéré les baleiniers japonais au large de l’Australie, en route pour l’océan Austral. Cet hiver (l’été pour l’hémisphère austral), la confrontation entre l’organisation Sea Shepherd et la flotte japonaise s’annonce féroce. Dans les deux camps, on s’est équipé des matériels les plus sophistiqués pour écraser l’ennemi. Pas de quartier !

Les Japonais, qui persistent à nous faire prendre des vessies pour des lanternes en prétendant se livrer à une chasse scientifique des baleines, sont décidés, coûte que coûte, à se venger de l’affront de l’an dernier quand ils durent rentrer au port avec à peine le cinquième du butin prévu. Comme cette chasse est très largement déficitaire, ils ont commencé par détourner 23 millions de dollars de l’aide destinée aux victimes du tsunami pour armer leur flotte. Puis les gardes-côtes japonais ont annoncé qu’ils enverraient des navires escorter leurs pêcheurs. Tandis que ces derniers ont reçu la consigne ferme de revenir avec leurs neuf cents carcasses de baleine. L’honneur du Japon en dépend ! Gonflés à bloc, les marins ont donc appareillé le 6 décembre de Shimonoseki pour rejoindre leur lieu de chasse.

Malheureusement pour eux, le capitaine Paul Watson les attendait en embuscade avec ses trois navires habituels – le Steve Irwin, leBob Barker et l’ultra-rapide Brigitte Bardot -, un hélicoptère et deux drones volants capables de parcourir plusieurs centaines de kilomètres pour repérer l’ennemi et prendre des photos. De petits bijoux technologiques qui lui ont été offerts par des entreprises américaines qui soutiennent son combat. 

« Ils nous donnent un avantage que nous n’avions jamais eu auparavant », déclare Watson. C’est ainsi que le 24 décembre, la veille de Noël, ces drones interceptent, le Nisshin Maru, le navire-usine de la flotte, accompagné par trois baleinières, en route pour l’Antarctique. Les gardes-côtes japonais ne l’avaient pas encore rejoint. Sans doute ne s’attendaient-ils pas à cette attaque portée à 1 800 kilomètres du sanctuaire des baleines, où la chasse se déroule. Mais aussi, les Japonais n’avaient pas prévu que les écologistes de Sea Shepherd bénéficient d’un important réseau d’indics chez les pêcheurs du monde entier.

Les Japonais ont immédiatement adopté leur stratégie habituelle quand ils sont surpris par l’ennemi : former un barrage avec les baleinières pour permettre au Nisshin Maru d’échapper aux navires poursuivants. Mais cette fois-ci, la tactique est tombée à l’eau, car les drones ont aussitôt pris l’air pour se coller dans le sillage du navire-usine avec la détermination d’un poisson-pilote accroché aux flancs d’un requin.

Jamais au cours des saisons passées, la bagarre n’avait commencé aussi tôt. En restant à proximité du navire-usine, Paul Watson a l’intention d’empêcher tout chargement de carcasses de baleine à son bord. Il faut toutefois tenir en plein milieu de l’océan Austral, souvent secoué par d’énormes tempêtes, et si loin de tout ravitaillement. Le capitaine sait pouvoir compter sur ses trois navires pour se relayer. Mais cette année, fait nouveau, il devra affronter les gardes-côtes japonais et des chasseurs de baleines qui savent qu’un nouvel échec ne leur serait pas pardonné par la mère patrie. La partie ne sera pas facile. D’autant que cette année les Australiens, qui condamnent la campagne japonaise, ont fait savoir qu’ils n’enverraient pas de navire pour faire la police entre les deux camps.

Les années précédentes, les combats de l’Antarctique n’avaient pas fait de victime. Faut-il craindre le pire, en 2012 ? De son côté, le capitaine Watson répète que son combat reste « extrêmement non violent ». Ses bateaux s’interposent entre les baleiniers et les cétacés, ses hommes envoient des gaz puants ou glissants sur les ponts ennemis, mais jamais la moindre action pouvant mettre en danger la vie d’autrui n’est entreprise.

Lamya Essemlali, présidente de Sea Shepherd France, a participé par le passé à plusieurs campagnes antarctiques. « Cette année, on craint une escalade sans précédent de la violence à notre encontre. Le Japon, pays extrêmement fier, a très mal pris sa défaite de l’an passé alors que Sea Shepherd avait forcé sa flotte baleinière à quitter le sanctuaire avec seulement 16 % de son quota de baleines tuées. Cette année, le gouvernement japonais n’a pas hésité à allouer 23 millions de dollars sur les fonds récoltés pour la reconstruction du pays après le tsunami afin de permettre à la flotte baleinière de contrer les actions de Sea Shepherd en Antarctique. Ce détournement de fonds est un scandale pour les victimes du tsunami, pour les baleines et pour tous ceux qui ont envoyé des dons au Japon. »

La bataille va donc faire rage. Autrefois, Greenpeace participait à la bataille de l’Antarctique, mais aujourd’hui, le capitaine Watson et ses 88 hommes (et femmes) sont les derniers à vouloir faire respecter la loi au milieu des flots rugissants. Tiendront-ils face aux Japonais ? On vous tiendra au courant.

SOURCE : Le Point.fr – article de 

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La Baleine par Aigle Bleu

Posté par othoharmonie le 2 septembre 2012

 

La baleine est un animal très important pour la planète. D’après les vieilles traditions, les Anciens l’ont placée sur la terre au tout début afin qu’elle soit le gardien de ses archives; c’est un peu celle qui garde l’historique de l’évolution planétaire et des énergies présentes au cours des différents âges de la planète. Elle est en quelque sorte comme une librairie qui nage.

 La Baleine par Aigle Bleu dans BALEINE images-1Cela est significatif aujourd’hui puisque, il y a environ une trentaine d’années, les baleines ont commencé à venir s’échouer sur les rivages de différents pays du monde, ce qui était un comportement nouveau que les humains n’avaient jamais vu. Il s’agissait en fait d’un message: les baleines acceptaient de donner leur vie dans l’espoir que les hommes comprendraient que leurs actions finiraient par détruire cette belle planète. Dès lors, quelle utilité y aurait-il à garder les archives de cet être merveilleux qu’est la Terre Mère? Ce message n’a pas été entendu; de plus, il s’est développé une chasse à la baleine pour différents usages économiques qui a créé un véritable état de déséquilibre dans la population des baleines au sein du monde.

Les baleines gardent les archives et les mémoires de deux façons: premièrement dans leur ADN, dans leur masse cellulaire très importante, et deuxièmement dans leurs chants, qui sont très élaborés et comportent beaucoup d’informations. Ces chants sont très longs et couvrent beaucoup de fréquences. Les baleines sont clairaudiantes, passablement télépathes, très développées psychiquement et entendent les basses et hautes fréquences sonores.

 Ceux qui ont la médecine de la baleine peuvent avoir accès à l’intelligence universelle pour y puiser les informations dont ils ont besoin. Ils ont souvent la capacité d’utiliser les sons et la musique pour effectuer la guérison particulièrement sur les plans émotionnel et physique. Le tambour est leur instrument de prédilection, car ce sont souvent des gens qui ont de fortes aptitudes chamaniques. Le tambour, nous en avons déjà parlé, permet de garder le lien avec la terre, crée un ancrage sécuritaire, donc est beaucoup utilisé par ceux qui voyagent dans les plans subtiles et dans les d’autres dimensions de la manifestation.

 La baleine enseigne également la capacité à écouter; en effet, pour avoir accès à l’information universelle, pour entendre des messages très profonds, il faut souvent une bonne mesure de silence et d’écoute. La baleine peut nous aider, avec sa médecine, à parvenir à cette réceptivité essentielle.

 

Issu du site d’AIGLE BLEU par infolettre : http://www.aiglebleu.net/16-categorie-11273758.html

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Le suicide des baleines

Posté par othoharmonie le 2 septembre 2012

 

Extrait du channeling entre les internautes et l’entité de Kryeon, canalisée par Lee Carroll.

Le suicide des baleines dans BALEINE images

QUESTION : Cher Kryeon, je suis une femme turque musulmane de 57 ans et je vis à Ankara, où je travaille pour le projet de la Commission européenne en Turquie. J’ai lu deux fois presque tous les ouvrages de Kryeon et j’ai l’intention de les relire encore. Ma question porte sur les baleines. Pourquoi se suicident-elles collectivement ? Quelle est la raison de ce triste phénomène ? Est-ce un genre de protestation contre les humains.

 

REPONSE de l’entité Kryeon : Très chers, nous avons évoqué les baleines au cours de plusieurs transmissions. En résumé, disons qu’elles sont les parties vivantes du système de grilles ! Elles portent dans leur être l’histoire de la Terre, ce qui les rend sacrées. Elles coopèrent avec la grille cristalline de votre planète, qui est présentement en remaniement (voir, dans le site Internet de Kryeon le channeling intitulé « What’s next ?’ [Qu’arrivera-t-il ensuite ?] daté du 8 décembre 2002). Ne trouvez-vous pas étrange que la pêche à la baleine soit interdite par plus de 90 % des pays de la planète, même ceux qui sont loin des océans ? Croyez-vous que ce n’est là qu’une coïncidence ? L’humanité entière a reçu l’injonction cellulaire de protéger les baleines. Les dauphins sont leurs cousins et constituent leur groupe de soutien ; ils jouent un rôle dans leur développement. Voilà pourquoi ces mammifères vous attirent.

 

Les baleines ne se livrent pas à un suicide collectif. Elles n’ont pas la conscience voulue pour le faire, et ne l’ont jamais fait. Elles échouent plutôt sur des plages, où des humains les sauvent, après quoi elles échouent encore et meurent. Cela se produit surtout sur les côtes de vos continents, et souvent sur des terres qui dépassent, tels les isthmes ou les péninsules ; cape Cod, aux Etats Unis, en offre un excellent exemple. Quarante sept baleines y ont récemment échoué.

 

C’est que les baleines, les dauphins, les amphibiens, les oiseaux et même les insectes voyagent tous annuellement jusqu’à leur lieu de reproduction oud e migration au moyen de la grille magnétique de la planète ! Ces animaux suivent les lignes d’influence magnétique, comme s’ils avaient un compas interne. En fait, ils en ont un !

 

La grille magnétique de la terre a tellement bougé, et si rapidement, tout comme nous vous l’avions prédit en 1989, que les troupeaux de baleines n’ont pas eu le temps de s’y adapter. Plusieurs suivent donc encore les anciennes lignes magnétiques de migration et se retrouvent sur une plage au lieu d  l’océan. Désorientées, elles se rassemblent une nouvelle fois et essaient encore. Ce phénomène est temporaire et, aussi tragique qu’il puisse vous parâtre, il relève de l’émondage du système. Les futurs baleineaux sauront instinctivement suivre une route conforme au déplacement de la grille. Cette information a même été confirmée par vos scientifiques en 2003.

 

Série Kryeon : TOME 8 – Un nouveau don de lumière – canalisé par Lee Carroll – Forum des questions – page 326 – Aux Editions Ariane. 

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Message des grandes Baleines et des Grands Dauphins

Posté par othoharmonie le 19 mai 2012

les Q’iquoq’i de Gaia

Message des Grandes Baleines et des Grands Dauphins

 Image baleines - baleine, adorable, cachalot, requin, poisson, océan, mer, bleu, plongeur, orque

Nous sommes ici pour garder ensemble les océans ; c’est là notre raison d’être. Nous sommes les tisseurs du chant des mers qui entretient l’équilibre du corps émotionnel de la Grande Mère. Toutes les lignées familiales de nos nombreuses espèces ont la capacité d’émettre une large gamme de fréquences sonores et de vibrations de lumière dans les eaux  de la Terre, parlant ainsi aux molécules de l’eau, à l’essence spirituelle de la mer. Ces vibrations sont nécessaires pour conserver le rythme des mouvements ondulatoires, et ce, en vue d’établir la vitesse de la détérioration et de la nouvelle croissance dans les communautés végétales de la mer.

Nous parcourons d’énormes distances pour répandre cette musique partout sur le globe afin de nous assurer que l’équilibre demeure et que le corps émotionnel de Gaia conserve ses rythmes. Nous remplissons ce rôle ici sur la Terre, tout comme nos frères et sœurs Q’iquiq’i le font sur plusieurs autres stations célestes de ce grand univers. Notre objectif consiste toujours à tisser la lumière et à apporter la musique dans les mers et les océans de plusieurs mondes.

Vous croyez nous connaître, mais vous ne nous connaissez toujours pas. Presque toute votre espèce est extrêmement déconnectée des mondes spirituels et du royaume des animaux qui embellissent ce plan. Vous rendez-vous compte que tous les arbres de la planète pleurent quand l’un d’eux est abattu ?

Nulle distance ne peut empêcher d’atteindre le cœur conscient de la nature.

Les êtres ailés volent tous selon les courants magnétiques que Gaia leur procure dans sa sagesse. Leur chant est la dentelle du tissu musical terrestre où nous tissons les fils émotionnels de la voix unique de la Déité. Très peu d’entre vous comprennent que nous ne somme spas de simples mammifères marins vaguement apparentés à votre espèce. Ceux et celles qui sont bien éveillés sentent que nous portons la musique de ce monde. Nous avons une mission très précise à remplir, une mission qui touche l’entière population cosmique des mondes, car tout est interconnecté.

 

Nous sommes les Q’iquoq’i de Gaia, les maîtres de ce royaume.

Nous sommes ici avec vous juste un souffle 
Nous ne laisserons pas vos côtés. 
Nous n’avons jamais, à partir de votre création. 
Alors, respirez profondément … 
Tenez bon 
Utilisez votre discernement pour filtrer les images déformées de la lentille bondée et opaque 
Et marcher, noble et courageux que vous seuls savez comment, dans le New Dawn.

Bénis soient les enfants de Gaia. 
Soyez bénis. 
-Nous sommes les Présidents du Conseil Sirien haute

 Message des grandes Baleines et des Grands Dauphins dans BALEINE baleinbleu

Extrait de 2012 – Le Grand Rassemblement – Propos de Kryeon, Marie-Madeleine et les Hathors recueillis par Martine Vallée. Participation de Patricia CORI –  En supplément – Page 279.

 

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Les baleines nous disent

Posté par othoharmonie le 19 mai 2012

Extrait: 
Avant de nous ne vous laissons 
des messages à partir des grandes baleines et les dauphins Êtres

Les baleines nous disent dans BALEINE principale_baleines

Nous sommes ici pour tenir les océans ensemble – qui est notre but ici. Nous sommes les tisserands de la chanson des mers, maintenir l’équilibre de tout le corps émotionnel de la Grande Mère. A travers les lignes de la famille de nos nombreuses espèces, nous avons la capacité d’envoyer une vaste gamme de fréquences de sonar et les vibrations de lumière à travers les eaux de la Terre, en parlant à des molécules de l’eau; parler à l’essence esprit de la mer. Ces vibrations essentielles sont nécessaires pour maintenir les mouvements ondulatoires à leurs rythmes … pour définir le rythme de croissance nouvelle et à la détérioration dans les communautés végétales de la mer.

Nous sonnons la musique autour du globe et parcourir de grandes distances afin de s’assurer que l’équilibre demeure et le corps émotionnel qui Gaïa tient ses rythmes. Nous servons à ce titre, ici sur Terre, tout comme nos frères et sœurs Q’iquoq’i servir à de nombreuses autres stations célestes dans le vaste univers et toujours notre objectif est de tisser la lumière et apporter la musique aux mers et des océans de plusieurs mondes.

Vous croyez que vous nous le faire savoir … mais toujours pas vous. En tant qu’espèce, la plupart d’entre vous sont tellement déconnectés de le royaume des esprits, les royaumes de la vie – les animaux qui embellissent ce plan. Tu te rends compte que lorsque un arbre est abattu, chaque arbre sur la planète pleure?

Il n’ya pas de distance qui peut sensibilisation au cœur conscient de la nature. Les êtres ailés tous les vols à destination de flux magnétiques qui les Gaia, dans sa sagesse, fournit. Leur chanson, tu vois, c’est la dentelle de laquelle la musique de la Terre est le tissu – où nous tisser les fils émotionnels de la Divinité est la voix tout à fait unique.

Très peu d’entre vous comprendre que nous ne sommes pas tout simplement de marins des mammifères – à distance pour vous, mais pour la conscience très parmi vous, qui que nous nous sentions l’exécution de la musique de ce monde. Nous avons une mission très spécifique ici, celui qui effectue toute la population cosmique des mondes, car tout est relié.

Nous sommes le Q’iquoq’i de Gaia: Maîtres de ce royaume. 

 

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Baleine et cachalot

Posté par othoharmonie le 8 mai 2012

CACHALOT                                       

Grand cachalot (Physeter macrocephalus)Le cachalot est le plus grand cétacé à dents : le mâle peut atteindre 20 mètres de longueur. Sa tête, énorme, s’ouvre sur une bouche dont seule la mâchoire inférieure porte des dents normalement développées. Très voisin de la baleine, il est, comme elle, un mammifère aquatique. Les cachalots vivent en troupes nombreuses. On les rencontre dans toutes les mers du globe. Nageant avec rapidité, ils se nourrissent principalement de calmars. Les intestins du cachalot renferment une concrétion, l’AMBRE gris, qui est peut-être le résultat de la dégradation des mollusques dont se nourrit l’animal.

La CHASSE des cachalots, comme celle des BALEINES, se pratique depuis le XIVe siècle. Elle était particulièrement dangereuse. Un navire spécialisé, le baleinier, parcourait les MERS à la recherche de sa proie. Lorsqu’un cachalot était en vue, on menait à la mer de petits canots, les doris. Ceux-ci s’approchaient de l’ANIMAL et, dressé à l’avant du canot, le harponneur lançait son arme. Si le harpon s’enfonçait dans la chair de l’animal, la poursuite commençait, longue et exténuante, dans le dessein d’épuiser le CÉTACÉ et de le ramener jusqu’au baleinier. Aujourd’hui, la chasse des cachalots se pratique dans de véritables navires-usines, munis de canons, qui amarrent et dépècent leurs prises en toute sécurité.                                                                                                                                                                        

 

BALEINE                                   

Baleine et cachalot dans BALEINE 320px-Dirk_Claesen_-_Sperm_WhaleLongue de 25 à 30 m, pesant 150 tonnes et plus, la baleine bleue est un mammifère CÉTACÉ. Sa tête, énorme, s’ouvre sur une bouche immense, garnie de fanons ; son corps, trapu, s’amincit brusquement vers la queue. La baleine, qui a un gosier étroit, se nourrit de petits CRUSTACÉS (CREVETTES) qu’elle avale par centaines de kilos. Les baleines vivent en troupeaux, dans les MERS FROIDES. Elles ont le plus souvent un seul petit qui pèse 6 tonnes à sa naissance. Alors qu’en 1930, on comptait encore dans le monde 300.000 baleines, les zoologistes estiment qu’il ne reste plus actuellement que 1.000 baleines bleues. Leur CHASSE est aujourd’hui soumise à une sévère réglementation, mais malheureusement celle-ci n’est pas respectée…

ANIMAL monstrueux, la baleine a, de tout temps, impressionné les hommes. Ainsi le prophète Jonas, plus de 700 ANS av. J.-C., fut, dit-on, avalé par un énorme POISSON qui fut, par la suite, assimilé à une baleine. Au XIXe siècle, l’écrivain Herman Melville a mis en scène une fabuleuse baleine blanche. Moby Dick – c’est son nom et le titre de ce roman – a arraché jadis la jambe du capitaine Achab qui la poursuit, depuis, sans relâche. Hélas ! lorsqu’il la rattrapera enfin, ce sera pour mourir, le cou enserré dans le filin du harpon qu’il vient d’enfoncer dans le flanc de son ennemie, Cette « baleine » était, en fait, un CACHALOT.

 

 

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Essex (baleinier)

Posté par othoharmonie le 20 janvier 2012

Essex (baleinier) dans BALEINE 220px-Cook-whalingL’Essex est un baleinier qui a fait naufrage le 20 novembre 1820 au milieu de l’océan Pacifique à la suite d’une collision avec un grand cachalot. Les naufragés dérivèrent pendant dix-huit semaines à bord des trois petites baleinières et se livrèrent à des actes de cannibalisme.

Ce fait a fortement inspiré Herman Melville pour l’écriture de son roman, Moby Dick.

250px-Humpback_flipper dans BALEINEL’Essex quitte l’île de Nantucket le 12 août 1819 pour une nouvelle campagne de chasse à la baleine qui doit durer deux ans et demi. Il est placé sous le commandement de George Pollard Jr, 28 ans, qui sert à bord de l’Essex depuis 1815. Il est assisté du premier maître Owen Chase, 22 ans et du second maître Matthew Joy, 26 ans. L’équipage comprend dix-huit matelots.

Ils font escale aux Açores et capturent leur première baleine une fois passé l’équateur. À partir du 25 novembre, ils commencent à doubler le cap Horn et arrivent enfin en janvier 1820 en vue de la petite île Sainte Mary, au large du Chili, près de la baie d’Arauco. Après quelques mois infructueux sur les côtes du Chili, le baleinier a plus de chance au large des côtes du Pérou où il capture onze cachalots en deux mois. Lors d’une escale dans un petit village de pêcheurs du nom d’Atacames, un des marins nommé Henry Dewitt déserte, ramenant l’effectif du bateau à 20 hommes. Cette désertion indispose le capitaine, car chacune des trois baleinières mobilise six hommes (quatre aux avirons, un à la barre, un au harpon) ce qui ne laisse plus que deux hommes au lieu de trois pour diriger le baleinier.

En octobre 1820, le navire fait escale huit jours aux îles Galápagos. Il atteint alors 700 barils d’huile, soit la moitié de sa capacité. Il se dirige alors en longeant l’équateur, vers l’Offshore Ground, lieu de concentration en plein Pacifique des bancs de cachalots. Le 20 novembre les trois baleinières sont mise à l’eau au vu d’un banc de cachalots, mais Chase doit revenir à bord pour réparer sa barque endommagée. C’est le moment que choisit un énorme cachalot de 25 mètres pour attaquer le navire. Après deux violents chocs, un latéral puis un frontal, le baleinier prend l’eau et commence à se coucher. Les deux autres baleinières commandées par Pollard et Joy reviennent sur leur navire d’attache. Avant que le baleinier ne sombre, l’équipage a le temps de rassembler vivres, matériels de navigation et d’équiper les trois baleinières de mâts et de voiles, puis ils se répartissent dans les trois embarcations.

Au lieu de se diriger vers les Marquises ou les îles de la Société, considérées comme peu sûres, ils décident de voguer vers le sud pour attraper les conditions plus favorables les ramenant sur l’Amérique du Sud220px-FatuIva_Omoa_Coast_20061111. Sans s’attacher pour ne pas réduire leur vitesse, les trois baleinières arrivent difficilement à naviguer de concert. À force de rationnement, souffrant cruellement de soif, alternativement ballotées par les tempêtes et immobilisées par manque de vent, les trois barques arrivent en vue de l’île Henderson que Pollard prend faussement pour l’île Ducie. Les naufragés ont dérivé beaucoup plus à l’ouest que prévu, et qu’ils ne le croient. L’île est inhabitée. Ils y séjournent du 20 au 27 décembre pour reprendre leurs forces. Mais les faibles ressources de l’île sont rapidement épuisées et ne permettent pas de survivre longtemps. Trois des marins (l’anglais Thomas Chappel, Seth Weeks et William Wright) toutefois décident de rester sur terre et de tenter leur chance sur l’île.

Les dix-sept hommes restants repartent, espérant rejoindre l’île de Pâques, mais le gros temps les entraîne plus au sud. Le 10 janvier 1821, Joy qui était malade depuis le départ de l’île, meurt. Son corps est livré à l’Océan et Pollard confie le troisième bateau au barreur Obed Hendricks. Le 12 janvier à l’aube, l’embarcation de Chase perd de vue les deux autres équipages.

La maladie de Joy ne lui avait pas permis d’être aussi vigilant dans le rationnement. Les provisions sont épuisées et les deux équipages vont devoir partager les maigres ressources. Le 20 janvier, un des hommes d’Hendricks meurt. Les rescapés, affamés et déshydratés, décident de manger le cadavre au lieu de le jeter par dessus bord. Ils partagent cette nourriture avec l’équipage de Pollard. Trois jours plus tard, un autre homme meurt et son cadavre suit le même sort. Puis le 26 c’est le tour d’un troisième et le 28 d’un quatrième décès. Il ne reste que quatre hommes dans l’embarcation de Pollard et trois dans celle d’Hendrickx lorsque à l’aube du 29 janvier, les deux équipages se perdent de vue. Le 6 février, de nouveau à court de vivres, les quatre rescapés de l’embarcation de Pollard décident de tirer au sort l’homme à sacrifier pour la survie des trois autres. C’est Owen Coffin, le cousin de Pollard que le sort désigne. Il est exécuté par Charles Ramsdell. Le 11 février un nouveau décès, naturel cette fois, offre un dernier répit. Le 23 février, alors qu’ils s’approchent de l’île Sainte-Mary, le bateau Dauphin les aperçoit et les recueille. Les deux rescapés sont le capitaine Pollard et le matelot, Charles Ramsdell. En revanche, Hendrickx et ses deux compagnons, William Bond et Joseph West ne seront jamais retrouvés.

220px-W_Buckelwale_GruppeSur le bateau de Chase, le premier décès a lieu le 20 janvier. Le corps est jeté à la mer. Le 8 février, un autre homme meurt et les survivants décident de garder son corps pour se nourrir. Le 18 février les trois rescapés, Chase, Lawrence et Nickerson sont récupérés par un vaisseau anglais l’Indian.

Le 10 mars, le Surry appareille de Valparaíso pour Sydney. Informé des événements, il a accepté de faire escale à l’île Ducie pour vérifier si les trois naufragés de l’île sont encore vivants. Ne trouvant personne sur l’île, il poursuit jusqu’à celle d’Henderson où il arrive le 9 avril 1821. Les trois hommes épuisés mais vivants sont récupérés.

 

 

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Le Baleinier

Posté par othoharmonie le 20 janvier 2012

Le Baleinier dans BALEINE 220px-ChassebaleineUn baleinier est un navire utilisé pour la chasse à la baleine, équipé pour la capture (en utilisant des harpons) et le traitement de la chair en huile notamment. Le mot désigne aussi un membre de l’équipage d’un tel navire.

Autrefois le baleinier disposait d’une ou plusieurs baleinières manœuvrées par les membres de l’équipage, elles embarquaient le harponneur qui était chargé de harponner la baleine en s’approchant au plus près de celle-ci. Aujourd’hui, la plupart des baleiniers disposent d’un canon pour lancer le harpon.

Dans le roman Moby Dick de Herman Melville, le narrateur embarque sur le Pequod, baleinier du XIXe siècle.

Article à lire

                                                                          bal04 dans BALEINE

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Mocha Dick

Posté par othoharmonie le 19 janvier 2012

 

Dessin en niveaux de gris d'un bord de mer, où trois cachalots gisent sur le sable. D'autres sont dans l'eau, peut-être sur le point de s'échouer également.Mocha Dick est un cachalot mâle fameux qui vivait dans le sud de l’Océan Pacifique aux débuts du XIXe siècle. Il fréquentait souvent les eaux de l’île Mocha, île côtière du sud du Chili. Contrairement à la plupart des cachalots, Mocha Dick était de couleur blanche, due peut-être à un albinisme. Il a peut-être été l’inspirateur de la baleine Moby Dick dans le roman éponyme d’Herman Melville en 1851 : le fait n’est pas établi faute de références à ce cachalot dans la correspondance et les manuscrits du romancier qui n’y parle que du navirel’Essex détruit par un cachalot noir anonyme. Dick renvoyait vraisemblablement au prénom, diminutif de Richard, comme ce fut le cas de plusieurs cachalots combatifs évoqués par Melville dans Moby Dick affublés par les marins d’un prénom.

Gravure ancienne représentant un cachalot échoué et titrée « Le Physale Cylindrique »Mocha Dick était célèbre pour avoir survécu à de nombreux harponnages ou tentatives de harponnages de chasseurs de baleines (selon certains décomptes, plus d’une centaine) avant d’être finalement tué. Il était grand et puissant, capable de faire sombrer de petites embarcations juste avec ses nageoires. Selon J.N. Reynolds, qui a rassemblé des informations de témoins directs de Mocha Dick, le cachalot avait une méthode particulière de souffler :

« Au lieu de projeter son jet vers l’avant en oblique, et de broncher en un effort bref et compulsif avec un bruit de reniflement comme le font en général ceux de son espèce, il chassait l’eau par son nez en un large volume altier et perpendiculaire à des intervalles réguliers et passablement distants ; son expulsion produisait un rugissement continu, comme la fumée s’échappant de la valve de sécurité d’une puissante machine à vapeur. »

« Instead of projecting his spout obliquely forward, and puffing with a short, convulsive effort, accompanied by a snorting noise, as usual with his species, he flung the water from his nose in a lofty, perpendicular, expanded volume, at regular and somewhat distant intervals; its expulsion producing a continuous roar, like that of vapor struggling from the safety valve of a powerful steam engine. »

Mocha Dick dans BALEINE 220px-Walfang_zwischen_1856_und_1907Mocha Dick était couvert par une énorme quantité de pouce-pieds, beaucoup plus que la normale pour son espèce, ce qui lui donnait un aspect rugueux.

Selon Reynolds, Mocha Dick a probablement été chassé une première fois avant l’année 1810 au large de l’île Mocha. Sa survie aux premiers harponnages ainsi que son apparence inhabituelle le rendirent rapidement célèbre parmi les baleiniers de Nantucket. Beaucoup de capitaines essayèrent de le chasser après avoir contourné le Cap Horn. Il était docile et amical s’il n’était pas attaqué, nageant quelquefois le long des navires. Cependant, très destructeur et capable d’une grande férocité quand on l’attaquait, il était craint des harponneurs.

Dessin du pont d'un bateau, avec la tête d'un cachalot découpée. Un homme se tient au milieu du spermaceti de la carcasse charcutée, plusieurs autres s'affairent autour, lui tendant notamment une bassine pour mettre le précieux produit.

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Moby Dick

Posté par othoharmonie le 19 janvier 2012

Moby Dick est le nom donné à un cachalot blanc, animal au centre du célèbre roman d’Herman Melville dont le titre original en anglais est Moby-Dick, or The Whale (Moby-Dick ou le Cachalot). Il est cité par William Somerset Maugham en 1954, dans son essai : Ten Novels and Their Authors parmi les dix plus grands romans.

Moby Dick dans BALEINE 270px-Essex_photo_03_bLe roman raconte comment Ismaël, le narrateur, attiré par la mer et le large, décide de partir à la chasse à la baleine. Il embarque sur le Pequod, baleinier commandé par le capitaine Achab. Ismaël se rend vite compte que le bateau ne chasse pas uniquement pour alimenter le marché de la baleine. Achab recherche Moby Dick, un cachalot blanc d’une taille impressionnante et particulièrement féroce, qui lui a arraché une jambe par le passé. Achab emmène son équipage dans un périple autour du monde à la poursuite du cachalot dont il a juré de se venger. Le Pequod finira par sombrer au large des îles Gilbert en laissant Ismaël seul survivant, flottant sur un cercueil.

Le roman est loin de se réduire à son aspect fictionnel : de nombreux chapitres sont consacrés à décrire minutieusement la technique de la chasse à la baleine ainsi qu’à s’interroger sur la nature (réelle ou symbolique) des cétacés, et peuvent se lire comme une seconde traque, spéculative et métaphysique.

Dans Moby-Dick, Melville emploie un langage stylisé, symbolique et métaphorique pour explore Saut d'une baleine à bosser de nombreux et complexes thèmes qu’il estime universels. À travers le voyage de son personnage principal, les concepts de classe et de statut social, du Bien et du Mal, et de l’existence de Dieu sont tous aussi bien explorés que les interrogations d’Ismaël sur ses convictions et sa place dans l’univers.

Ce livre est souvent considéré comme l’emblème du romantisme américain. Bien que sa première édition n’ait pas soulevé l’enthousiasme de la critique, Moby-Dick est aujourd’hui considéré comme l’un des plus importants romans de langue anglaise.

Origines du roman

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Melville s’est inspiré de deux faits réels :

  • le naufrage du baleinier Essex, qui sombra en 1820, après avoir affronté un grand cachalot, 3 700 km au large des côtes de l’Amérique du Sud. L’un des marins survivants, Owen Chase, consigna cette aventure dans un livre qui parut en 1821.
  • l’existence d’une baleine blanche, dans les années 1830, souvent aperçue à proximité de l’île chilienne de Mocha. Criblée de harpons, Mocha Dick attaquait régulièrement les baleiniers. Mais contrairement au drame de l’Essex aucune allusion dans le roman ni dans la correspondance de l’auteur n’authentifie cette référence. Les cachalots poursuivis portaient tous un nom.

Melville fut lui aussi marin comme la plupart de ses héros de roman. La rédaction du livre fut entamée en 1850. Le roman fut d’abord publié à Londres en octobre 1851 sous le titre The Whale (Le Cachalot) — cette édition était incomplète et le titre n’était pas celui voulu par Melville. C’est peu de temps après, lors de sa parution américaine, en novembre de la même année, que l’ouvrage prit le nom de Moby-Dick; or, The Whale (Moby-Dick ou le Cachalot).

Melville a été influencé par plusieurs écrivains romantiques (Walter Scott, Washington Irving, Lord Byron, Mary Shelley) dans sa jeunesse. Il souhaitait les imiter dans un livre qui soit captivant et vivant, à la fois sur les plans de l’émotion et de la poésie.

Moby Dick est paru à un moment important de la littérature américaine. En 1850, son ami et voisin Nathaniel Hawthorne publiait la Lettre écarlate. En 1852, Harriet Beecher Stowe publia La Case de l’oncle Tom.

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Monstres marins au coeur de l’histoire

Posté par othoharmonie le 19 janvier 2012

Dans l’antiquité, tout ce que l’homme ne peut pas atteindre (le ciel, le fond des mers) est le domaine des dieux et des héros. Ainsi, l’un des douze travaux d’Hercule fut de tuer l’Hydre de Lerne, serpent d’au à corps de chien possédant plusieurs têtes.

Monstres marins au coeur de l'histoire dans BALEINE 220px-Mosaico_Trabajos_H%C3%A9rcules_%28M.A.N._Madrid%29_13Poséidon, le dieu grec des mers et des océans (Neptune chez les romains) apparaît dans de nombreux récits dont « L’Odyssée » d’Homère où il poursuit Ulysse de sa vengeance, car le héros a tué son fils, le cyclope Polyphème.

A la renaissance, l’homme sait peu de choses du monde marin. Sur les cartes marines ou portulans, les cartographes font apparaître des monstres marins pour orner les espaces vides, mais aussi parce que l’on croyait encore en leur existence et qu’ls apparaissaient comme des démonstrations divines.

Dans la « Cosmographie » de Münster, publiée en 1552, les contours du monde sont plus précis ; les océans sont mieux dessinés et le continent américain, récemment découvert, est inséré. Et l’on note, aussi étonnant que cela puisse paraître, la présence de monstres marins. Ces ouvrages remportaient beaucoup de succès. Cela peut expliquer en partie la persistance de ces images dans les traités géographies ou scientifiques.

En 1561, Olaus Magnus évoque les horribles monstres marins qui se trouvent sur la côte norvégienne : « Il se trouve dans la mer de Norvège, des poissons forts étranges et monstrueux, dont on ne connaît pas le nom, ils provoquent une grande frayeur quand on les regarde et semblent fort cruels ».

Dans de nombreux ouvrages (Ambroise Paré, Ulysse Aldrovandi, Conrad Gesner…) sont évoqués les montres marins avec des noms toujours évocateurs :

-          La vache marine

-          Le monstre marin rhinocéros

-          Le poisson dit ailé

-          Le limaçon de la mer Sarmatique

-          Le lion marin couvert d’écailles

-          Le moine marin

-          La hyène cétacée qui possède trois yeux sur le corps

-          Le cheval de mer

-          Le veau marin

-          La truie marine

-          L’aigle de mer

-          Le diable de mer décrit comme ayant « la tête fort curieuse, avec deux cornes et longues oreilles, et tout le reste du corps d’un poisson hors les bras qui approchaient du naturel ».

Cette liste n’étant pas exhaustive !

300px-Petun_thevet dans BALEINECes monstres de la Renaissance recoupent en fait des catégories animales réelles, pas encore bien identifiées. Ainsi, Ambroise Paré écrit à propos de la baleine qu’elle est « le plus grand monstre poisson qui se trouve en la mer ».

Le requin quant à lui est évoqué sous le nom général de « lamie ». Ambroise Paré dépeint la voracité de ce poisson qui s’attaque à ses congénères, mais également aux hommes : ainsi, il écrit qu’un « homme entier tout armé » a été retrouvé dans l’estomac d’un « lamie ».

Les encyclopédies zoologiques, ouvrages par nature rigoureux et descriptifs, contiennent également des illustrations de monstres marins. En 1555, Pierre Belon ‘naturaliste et médecin) consacre dans son livre une rubrique aux montres marins avec, entre autre, une illustration d’un « monstre marin ayant façon d’un moyne » ; Il est pourtant considéré comme le premier écrivain scientifique en langue française. Traversant les siècles, les montres marins réapparaissent au 17ème et 18ème siècle, se déclinant en figures de proue ou en éléments de décoration. Au 19ème, des écrivains comme Victor Hugo ou Jules Vernes les font revivre : pieuvre géante dans « les travailleurs de la mer » (1866) ou poulpe gigantesque dans « Vingt Mille lieues sous les mers » (1870). Au 20ème siècle, le cinéma (science-fiction, horreur, aventure…) s’empare des montres marins : « Vingt Mille Lieues sous les mers » de Richard Fleisher (1954) ; « Moby Dick » de John Juston (1956) ; « Le sous-marin de l’apocalypse » d’Irwin Allen (1961) ; « Abyss » de James Cameron (1989)…

 

 

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Baleine, monstre marin

Posté par othoharmonie le 19 janvier 2012

 

Certaines monstres fabuleux ont, au fil du temps, acquis une existence certaine, grâce à des preuves irréfutables. Pourtant, ils restent ancrés dans la légende. Au moyen âge, ce sont les récits scandinaves et islandais qui donnent le plus d’informations sur les cétacés. Le principal de ces textes, le « Speculum Regale » paru au milieu du 13ème siècle, décrit diverses espèces de cétacés vivant dans les mers autour de l’Islande. Ces monstres sont décrits comme féroces et cruels détruisant navires et hommes.

A l’exemple de la baleine.

Baleine, monstre marin dans BALEINE 220px-Saint_brendan_german_manuscriptAu moyen âge, les marins islandais craignent ce qu’ils appellent les « baleines du diable ». Il est même interdit de prononcer leur nom en mer (sous peine de privation de nourriture). Car si l’on en parle, elles s’approchent du bateau et tentent de le détruire…

D’ailleurs, certains d’entre eux pensent que les baleines sont friandes de chair humaine et qu’elles restent pendant une année entière à l’endroit où elles ont trouvé ce type de nourriture. Les marins évitent donc les  hauts-fonds où des baleines ont déjà coulé des navires. Plus généralement, les baleines sont qualifiées par les marins de « tueuses ».

On trouve dans de nombreux pays des histoires de marins prenant par erreur une baleine endormie pour une île… Par exemple : la légende de Saint Brendan l’irlandais, qui date du Moyen Age. Elle raconte l’histoire du moine Brendan qui prit la mer avec ses frères à la recherche du Paradis, un jour, ils décidèrent d’amarrer leur navire à un îlot étrange de forme ronde et dépourvu de végétation.

Après qu’ils eurent allumé un feu et mangé de la viande bouillie, le sol se mit à onduler et à s’éloigner du navire. Resté à bord, le moine aida ses frères à regagner le bateau. Ils comprirent alors que ce qu’ils avaient pris pour une île était en fait « le plus grand des poissons de la mer ». La légende raconte que, chaque année à Pâques, les frères revinrent sur le dos du monstre dénommé « Jasconius » pour y célébrer une messe et réembarquèrent sur leur bateau sans histoires.

issu de dossier thématique – La Cité de la Mer : Mars 2006

 

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Baleine en danger

Posté par othoharmonie le 14 janvier 2012

Baleine en danger dans BALEINE 220px-Walfang_zwischen_1856_und_1907Les populations de cétacés ont diminué d’au moins 75 % avec l’avènement de la pêche industrielle au XIXe siècle, l’appauvrissement de leurs principales sources de nourriture et la chasse à la baleine. Cette diminution provoque un important recul du nombre d’individus susceptibles de couler jusqu’au fond entrainant un déséquilibre de la chaîne alimentaire dans les abysses. Mais la méconnaissance et le manque de données ne permet pas d’évaluer avec précision l’impact de l’homme sur cet écosystème. Toutefois, on estime qu’entre 65 et 90% des écosystèmes formés par les carcasses de baleine ont disparu à cause de la chasse. Il semblerait que la survie de certaines espèces repose sur les carcasses de baleines, la chasse à la baleine serait donc à l’origine de l’extinction de certaines espèces des grands fonds.

220px-Chassebaleine dans BALEINEEn raclant le fond marin, le chalutage de fond détruit les habitats constitués par les carcasses de baleines de manière irréversible.

Le mythe du cimetière des baleines, comme le mythe du cimetière des éléphants, est un endroit où, selon une croyance européenne, les baleines se rendraient d’elles-mêmes pour mourir. Aucune preuve ne soutenait cette croyance, mais les connaissances sur le devenir des baleines après leur mort en pleine mer étaient quasiment nulles jusqu’à la fin du XXe siècle. Bien qu’on se doutait qu’elles mouraient le long de leurs couloirs de migration, la découverte et l’étude des carcasses de baleines ont permis d’établir un schéma type, qui contredit ce mythe.

                                                                         220px-Humpback_anglerfish

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Utilité et ancienneté de la baleine

Posté par othoharmonie le 14 janvier 2012

Utilité et ancienneté de la baleine dans BALEINE 220px-Plesiosaurus_dolich1DBLes communautés des carcasses, des suintements froids et des monts hydrothermaux ont de nombreux points en commun. Ainsi, les scientifiques supposent que certaines espèces d’animaux abyssaux se servent de ces carcasses, pour étendre leur aire de répartition et ainsi coloniser d’autres sites. Étant donné que la mort des cétacés se produit à des endroits très aléatoires, les carcasses sont disséminées sur le fond marin, telles des oasis de nutriments sur l’immensité désertique de la plaine abyssale, avec un espacement moyen estimé à 25 km. La parenté évolutive des espèces est telle qu’elle aurait au moins une origine évolutive commune. Mais le peu d’espèces communes laisse penser qu’il s’agit d’une relation très ancienne. Les premiers fossiles de carcasses de baleine datent de la fin de l’Éocène et l’Oligocène (34-23 millions d’années) à Washington et à partir du Pliocène en Italie. Des palourdes non-chimiosynthétiques ont habité dans le même environnement, en effet, la chimiosynthèse chez ces animaux semblent être apparue au Miocène (23 à 5 millions d’années) en Californie et au Japon. Sans doute parce que la taille des baleines, donc la teneur en lipides des os, était trop faible. Mais des empreintes d’organismes semblables aux vers-zombies ainsi que des morsures de requins proches des requins dormeurs ont été trouvées sur des fossiles datant de l’Oligocène inférieur (30 millions d’années).

220px-Bluewhale877 dans BALEINELa découverte de patelles chimiosynthétiques du genre Osteopelta dans un os de tortue datant de l’Éocène en Nouvelle-Zélande indique que ces animaux sont antérieurs aux baleines et éventuellement durant le Mésozoïque (251-65 millions d’années) au côté des dinosaures. En effet, cette faune n’est pas spécialisée dans un type d’os de vertébré, l’immersion de cadavre de quadrupèdes ayant attiré certains des animaux spécialisés des restes de baleines. Les grands reptiles marins comme les plésiosaures et les mosasaures, qui atteignent des tailles comparables à celles des baleines (15 à 20 m) et les grands poissons ont pu jouer le rôle des baleines notamment durant le Crétacé supérieur (67 millions d’années). En témoignent des fossiles de plésiosaures accompagnés de nombreux petits mollusques voisins des espèces actuelles. Les patelles peuvent avoir survécu dans les suintements froids, le bois mort et les fumeurs noirs en attendant les 20 millions d’années entre l’extinction des dinosaures et l’émergence des baleines. Ou alors ces fossiles représentent un préalable, sans descendance, et les patelles d’aujourd’hui ont évolué indépendamment. 320px-Sully_VentMais toutes ces hypothèses sont controversées notamment à cause du fait que d’autres relais possibles existent d’après la génétique moderne et des fossiles plus anciens.

La nécromasse que constituent les carcasses de baleine s’ajoute à celle de la « neige marine » constituée par la « pluie » de cadavres, excréments et excrétas provenant des poissons et du plancton des couches supérieures des océans, jouant un rôle important dans la pompe à carbone océanique

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Découverte de baleine

Posté par othoharmonie le 14 janvier 2012

Découverte de baleine dans BALEINE 220px-Beached_whaleDurant longtemps les scientifiques se sont demandé de quoi se nourrissaient les animaux des grands fonds et ce que devenaient les carcasses de baleines. Le microbiologiste danois Auguste Crogue fut le premier à émettre l’hypothèse de ce phénomène dans les années 1930. La première carcasse de baleine sur le plancher océanique fut découverte accidentellement par des biologistes marins en 1987, à l’aide du sous-marin Alvin dans le Canyon de Monterey, en Californie du Sud par 1 240 m de profondeur. Sur cette carcasse de baleine grise mesurant 20 m de long, les biologistes trouvèrent deux gastéropodes platelliformes et de grands bivalves dotés de symbiotes sulfo-oxydantes produites par des bactéries sulfato-réductrices libres. Ce processus chimique n’avait alors été observé que lors de la récupération de la cargaison d’un cargo français, le François-Vieljeux, qui avait fait naufrage dans le golfe de Gascogne en mars 1979. La décomposition de la cargaison constituée de haricots, de tournesols et de balles de sisal a provoqué une intense activité bactérienne (sulfato-réductrices et sulfo-oxydantes), permettant l’implantation de populations denses de vestimentifères (Lamellibrachia barhami). Toujours en 1987, la marine américaine repérait huit squelettes de baleines alors qu’elle recherchait un missile perdu au large de la côte californienne. En utilisant un sonar à balayage latéral, il est possible d’examiner le fond de l’océan afin de repérer les agrégations importantes de matières typiques des carcasses de baleines.

220px-USS_Constitution_Departs dans BALEINECes découvertes incitèrent des chercheurs à déposer sur le fond des océans des carcasses de baleines qui avaient échoué sur les littoraux, pour ensuite pouvoir les étudier sur une longue période sans avoir à parcourir des longues distances. Plus d’une vingtaine de carcasses furent coulées dans le monde à proximité des côtes.

Le biologiste Craig R. Smith étudia ce type d’écosystème et il dirigea plusieurs 220px-Sanc0602expéditions pour déterminer l’importance des carcasses des baleines dans l’écologie des abysses, à bord du navire océanographique Western Flyer. Ce navire est équipé d’un modèle unique de ROV (« véhicule commandé à distance ») : un petit sous-marin télécommandé Tiburon, capable de plonger à 4 000 m de profondeur et d’y évoluer pendant des heures, alimenté grâce à l’énergie électrique que lui fournit son navire de support. Il est équipé de trois caméras vidéos HD et d’un bras articulé capable d’effectuer des manipulations de haute précision.

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Carcasses de baleines

Posté par othoharmonie le 14 janvier 2012

 

Carcasses de baleines dans BALEINE 250px-Whale_fallLes carcasses de baleines sont les cadavres de baleines qui s’échouent sur les littoraux, se décomposent en flottant à la surface de la mer, ou dans la plupart des cas coulent vers le plancher océanique. Dans ce dernier cas, c’est l’équivalent de 2 000 ans d’apport en carbone organique qui se concentre sur environ 50 m² de sédiments. Dans les années 1980, l’exploration sous-marine robotisée a pu confirmer que la décomposition de ces énormes charognes sur la plaine abyssale donne lieu à l’apparition d’écosystèmes pouvant durer une centaine d’années.

La communauté scientifique se doutait depuis longtemps que les carcasses de baleine qui coulaient dans les profondeurs constituaient une ressource alimentaire considérable pour certains animaux des grands fonds, mais elle ne s’attendait pas à y découvrir une faune aussi riche, dont des espèces vivant uniquement sur celles-ci et nulle part ailleurs. Au total, il y aurait plus de 400 espèces animales différentes qui se nourrissent des carcasses de baleines.

220px-Abraham_Storck_-_Walvisvangst dans BALEINECes carcasses jouent un rôle important dans la dispersion des espèces dans les abysses et dans la pompe à carbone océanique. Mais du XVIIIe siècle jusqu’à la fin du XXe siècle la chasse industrielle à la baleine a considérablement réduit les effectifs de baleines provoquant en conséquence une raréfaction des carcasses sur le fond marin entrainant la probable disparition de certaines espèces spécialisées.

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Message du Peuple des Baleines 1

Posté par othoharmonie le 26 octobre 2011

Bonjour ! Nous sommes le peuple des Baleines, gardiens et maîtres des Sons qui créent la Vie ! 

Bonjour, peuple humain. 

Message du Peuple des Baleines 1 dans BALEINE 1993-great-white-sharkNous sommes les baleines, celles qui maintiennent l’équilibre de l’élément eau sur cette planète.  L’élément eau est l’élément clé sur terre, c’est lui qui régit et influence l’évolution de cette planète et de tous les êtres qui l’habitent.  Nos frères, les Éléphants, sont responsables de l’élément terre.  Nos frères les Condors  – maîtres de l’ombre et de l’ultime transformation, la mort  – et les Aigles – maîtres de lumière  – s’occupent de maintenir l’équilibre de l’élément air.  Ceux qui ont jadis équilibré l’élément feu ne sont plus ici « physiquement » et c’est d’ailleurs cet élément qui est le plus déséquilibré actuellement sur notre planète.  Et oui, les dragons ont déjà foulé le sol de la terre et c’était eux les gardiens et maîtres de l’élément feu.  Ce que je dis ici n’est pas fiction mais bien réalité.  Les dragons, qui existent toujours mais ne sont pas perceptibles avec les yeux, effectueront un retour ici lorsque le feu qui brûle le cœur des humains se sera stabilisé ce qui est prévu d’ici une douzaine d’années. 

L’élément feu est responsable de beaucoup de destruction sur notre planète, que ce soit par les volcans, la foudre, les feux de forêts, les bombes et surtout, les armes de toutes sortes. Le réchauffement climatique de la planète est une preuve de ce déséquilibre qui existe depuis des centaines d’années !  Par contre, ce déséquilibre du feu s’accélère grandement afin de favoriser l’éveil des consciences et les changements planétaires inévitables. Il y a aussi les armes de destruction massive créées par les êtres humains qui présagent la fin  d’un temps, ce que nous appelons l’époque des guerriers.  Jadis, lorsque les quatre éléments étaient en harmonie (Feu  –Air – Terre – Eau) sur terre, il était inconcevable de créer des armes nucléaires.  Pas seulement parce que les êtres humains n’avaient pas la « technologie » mais bien parce que les gens connaissaient les conséquences qui y étaient associées et savaient qu’aucune  » guerre » ne peut être  gagnée par l’utilisation d’armes ayant une puissance atomique ou nucléaire…  Ce sont les Atlantes qui ont, les premiers, utilisé des armes de types atomiques/nucléaires pour se débarrasser de la Lémurie.  Plusieurs centaines d’années plus tard, les conséquences de l’utilisation de ces armes se sont en quelque sorte « retournés contre eux » et créé le raz-de-marée qui a englouti l’Atlantide…   Le déséquilibre de l’élément feu a commencé à cette époque et a plongé l’humanité dans une nouvelle ère qui se termine en ce moment ! 
                               
Pour la plupart, les êtres humains vivent actuellement le déséquilibre du feu comme quelque chose de normal mais ceci a pour conséquence de créer des passions destructrices au lieu de créatrices.  Notre planète ne se refroidit pas, elle se réchauffe.  L’aviez-vous remarqué ?  Vos êtres de sciences donnent plusieurs explications à ceci, mais la véritable raison est le déséquilibre profond de l’élément feu qui s’accentue et telle une fièvre, crée la purification… 

Pourquoi nous parlons-vous de tout ceci ?  Nous les baleines sommes aussi les gardiennes et les messagère des énergies du GRAND CRISTAL, celui qui connaît la véritable histoire de votre planète.  En nous se cache la connaissance des débuts de l’évolution des espèces, tant humaines qu’animales, végétales et minérales.  Comment est-ce possible ?  Nous sommes de grandes bibliothèques qui libèrent leur savoir par le biais des sons que nous produisons.  Même nos silences sont codés !  La vastitude des fonds marins est un microcosme et il en est de même pour la vastitude qui vous habite, peuple humain…

groupe-baleines1 dans BALEINENous naviguons à travers le silence des océans afin d’équilibrer la cacophonie des mondes terrestres.  Tout est question d’équilibre.  Même si nous avons été massivement chassées durant votre « 20e siècle », la mer demeure un abri pour nous, un endroit où le feu de la destruction et des passions nous atteint moins que d’autres de nos frères/sœurs.  Nous avons pu ainsi sauvegarder notre savoir et émettre les chants qui ont besoin d’être émis. Le moment approche où nous vous remettrons ce savoir et nous vous confierons l’émission des sons nécessaires à maintenir l’équilibre, nécessaires à maintenir la Vie !   Le moment approche ou vous ré-apprendrez VOTRE son, votre tonalité unique et que vous saurez comment émettre ce son divin en permanence.

Mais actuellement, parce que le moment de cette transmission de sagesse approche à grands pas, les baleines, les dauphins et d’autres frères marins doivent faire face à une grande menace : l’utilisation CONSCIENTE des sons et des fréquences pour nous anéantir.  Les expérimentations effectuées par vos chefs planétaires sur les modulations de fréquences (sonar à basses fréquences de l’armée américaine), les ultra sons, la résonance magnétique ainsi que les ondes électromagnétiques, créent de la dissonance, du chaos, de la maladie et la mort chez les baleines et les dauphins.  Nous vous en donnons régulièrement la preuve lorsque certains d’entre nous allons mourir sur vos plages.  Parfois, ce geste de sacrifice est volontaire ; parfois, il ne l’est pas. 

Les repères normaux des baleines sont complètement détruis par les modulations de fréquences et les sons de vos vaisseaux de guerre.   Dans certains cas, les chants bénéfiques que nous émettons en sont complètement transformés…  Ne vous faites pas d’illusions, les êtres humains qui cautionnent ces manipulations sonores savent très bien ce qu’ils font !  Ceux qui l’appliquent sont, pour la plupart maintenu dans l’ignorance et sont choisis parce qu’ils ne posent pas de questions. 

Nous vous faisons part de ceci car il est important que vous sachiez la vérité et que vous preniez position. Vu nos tailles massives, nous sommes parfois en mesure de contrecarrer ces dissonances en émettant des chants particuliers.  Toutefois, plusieurs autres frères marins plus petits sont gravement atteints par ces manipulations sonores !  (à suivre…)

 

 Source : http://www.communication-animal.net/

Twitter-la-baleine

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Message du peuple des Baleines 2

Posté par othoharmonie le 26 octobre 2011

Message du peuple des Baleines 2 dans BALEINE baleine-couche-soleilSi vous interrogiez vos êtres de science, ils vous diraient sûrement que les habitudes migratoires des baleines ont beaucoup changé depuis 10 ans…  Les agressions sonores et magnétiques en sont la cause.  Les baleines de tout acabit essaient de trouver des endroits pour se mettre à l’abri ce qui correspond généralement à une migration vers les pôles.  Si vous pouviez percevoir consciemment l’intensité de cette pollution sonore, la force de cette agression, vous seriez forcés de remettre beaucoup de choses et de gens en question.  Cela vous affecterait dans toutes vos organisations sociales puisque le sort des baleines est directement lié au vôtre.  La pollution sonore, énergétique et magnétique existe depuis longtemps à la surface et vous y êtes soumis quotidiennement. Les océans sont votre dernier refuge et les êtres qui y évoluent sont intrinsèquement liés à votre évolution.  Nous le répétons, l’eau est l’élément clef pour cette planète et pour les êtres qui l’habitent car la vie commence dans l’eau et votre corps est constitué d’un grand pourcentage d’eau.   C’est à travers sa résonance, sa fréquence et la véritable compréhension de sa composition moléculaire que vous allez vivre les transformations les plus importantes jamais vécues sur cette planète.  L’élément eau, dans lequel nous évoluons et par lequel nous respirons, est un puissant conducteur, un couloir qui permet aux pensées et aux émotions de voyager au-delà de l’espace temps.  Nous, du peuple des Baleines, sommes les maîtres de l’élément eau et de ses couloirs, et  nous avons hâte de vous remettre les clefs de ce savoir enfermé en nous.  Nous espérons que les êtres humains sauront capter le message de nos chants et qu’ils sauront reconnaître le miroir que nous leur offrons car nous sommes appelées à disparaître ! 

Et oui, lorsqu’un nombre suffisant d’êtres humains seront prêts à recevoir notre savoir, nous pourrons quitter paisiblement cette planète.  Ce jour approche, mais ce n’est pas maintenant, alors que le chaos envahi les océans et que nos vies terrestres sont  menacées ! Les clefs que nous désirons vous remettre sont celles qui ouvrent les bibliothèques de la mémoire intemporelle, aussi bien en vous qu’au sein même de votre planète.  Que de choses fantastiques à découvrir !  Lorsque ce jour viendra, cela signifiera que notre tâche ici est terminée et que vous serez alors vous-même devenus les gardiens et les récipiendaires de notre savoir.  Vous serez alors capable d’émettre des sons similaires aux nôtres et de les utiliser pour l’équilibre et le bien de tous.

Allez en paix, humanité divine.  La mémoire sacrée revient vers vous, revient à vous à une vitesse vertigineuse.  Apprenez à maîtriser, à aimer et à utiliser vos émotions ;  elles sont de l’élément eau et vous en avez besoin afin de rééquilibrer l’élément feu. 

Cherchez le silence et les chants des profondeurs marines.  Ces espaces existent aussi bien en vous qu’à l’extérieur de vous.  Comme toutes choses !  Venez nous y rejoindre.  Vous ne serez plus jamais les mêmes si vous ouvrez votre cœur à cette autre dimension.  Nous vous envoyons l’amour de notre peuple, gardien de l’élément eau depuis des millénaires !  (Fin)

Source : http://www.communication-animal.net/

baleine_032 dans BALEINE

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