La vie de l’Aigle royal

Posté par othoharmonie le 18 novembre 2014

 

SONY DSCTournoyant très haut dans le ciel, l’aigle royal explore son vaste domaine. Parmi plus de 300 espèces de rapaces diurnes, il est sans doute celui qui incarne le mieux l’oiseau de proie. L’homme, qui l’a longtemps pourchassé, cherche maintenant à préserver ce superbe oiseau au regard fier et à l’envergure impressionnante.

Il est plus courant de découvrir des restes de mammifères ou des coquilles de mollusques que des traces fossiles, même fragmentaires, d’oiseaux. Car la structure délicate de leur squelette, leurs os creux et la fragilité de leurs plumes ne permettent pas une bonne fossilisation. Cela explique pourquoi l’étude phylogénétique, c’est-à-dire la détermination des modalités de l’évolution des oiseaux, n’est pas aisée. Toutefois, certains des matériaux fossiles existants ont conduit les paléontologues à établir des affinités entre les rapaces et les cigognes, ibis et hérons (ciconiiformes) et, de façon plus éloignée, avec les pélicans (pélécaniformes).

Les ancêtres primitifs des rapaces font leur apparition entre 63 et 36 millions d’années avant notre ère. En ces temps reculés vivent des rapaces d’une taille impressionnante, parfois inaptes au vol, tel Diatryma, dont l’aspect rappelle celui d’une autruche et qui habite les plaines d’Amérique voici 60 millions d’années. Avec son énorme bec, crochu et acéré, et sa taille (2,10 m), il est sans doute un prédateur redoutable. De l’oligocène au pliocène (de – 36 à – 2 millions d’années), de nombreuses espèces d’oiseaux existant encore voient le jour. Parmi celles-ci des rapaces, et peut-être l’aigle royal, ou du moins une forme voisine de celle que nous connaissons. Résultat d’une longue évolution, l’aigle royal, après avoir traversé avec succès les bouleversements climatiques du pléistocène (de – 2 millions d’années à – 10 000 ans), a été confronté, à notre époque, à des dangers qui l’ont mis en péril.

Présent sur quatre continents, l’aigle royal a longtemps été chassé par l’homme. Il a dû supporter et il subit encore les ravages de l’agriculture intensive et de ses moyens chimiques (dont le DDT, qui s’accumule dans les tissus, provoquant une baisse dramatique de la fécondité) ; ces produits ont causé des dégâts considérables sur les populations de rapaces. De nombreux pays ont adopté une législation interdisant les pesticides les plus nocifs. Ces mesures seront-elles suffisantes pour que l’aigle continue à tracer ses orbes superbes dans le ciel ?

Pour élire une partenaire ou honorer sa compagne, l’aigle la courtise en plein ciel. Ces jeux nuptiaux commencent aux beaux jours de l’hiver quand les ascendances thermiques sont favorables. Le couple s’élève en spirale et vole ailes étendues. Les grandes plumes se frôlent parfois. Soudain, le mâle gagne en altitude avant de piquer sur la femelle, ses ailes à moitié repliées, simulant l’attaque. Sur sa lancée, il reprend de la hauteur et recommence à plusieurs reprises ce manège. La femelle bascule sur le dos et feint de parer de ses serres ce semblant d’assaut. Parfois, elle agrippe, un instant très bref, les serres du mâle. Selon les régions, ces parades spectaculaires cessent en janvier ou se prolongent jusqu’en mars-avril.

La plaque incubatrice permet à la femelle de maintenir en permanence l’œuf à la température élevée dont il a besoin pour éclore. Cette zone de la face ventrale se modifie aux approches de la reproduction par des changements successifs. Sous l’action d’hormones, le duvet qui protège la peau tombe peu à peu jusqu’à ce qu’elle soit tout à fait dénudée ; et sa surface s’échauffe grâce à un afflux de sang dans les vaisseaux capillaires qui se sont mis à gonfler. L’équilibre thermique, indispensable à la couvaison, se trouve alors assuré. Les femelles de la plupart des oiseaux possèdent, comme l’aigle, une plaque incubatrice, parfois même plusieurs. En son absence, chaque espèce adopte sa propre méthode de substitution. Les canards s’arrachent le duvet ventral et en garnissent leur nid ; les fous de Bassan couvrent leur œuf de leurs pattes palmées, toujours irriguées en abondance ; quant au manchot empereur, il dépose son œuf sur ses pattes, l’abritant ainsi dans un repli de la peau de son ventre.

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L’AIGLE DES SINGES

Posté par othoharmonie le 18 novembre 2014

 

290px-Sir_Arny(Philippine_Eagle)Classé en 1988 dans la catégorie « menacé » de la liste rouge de l’UICN, l’Aigle des singes est désormais considéré comme « en danger critique d’extinction » (catégorie CR), du fait du nombre très faible et en déclin de sa population (l’effectif total de l’espèce est estimé à moins de 250 individus adultes). La raréfaction de son habitat, par l’exploitation forestière, le défrichement ainsi que la chasse de subsistance et la pollution aux pesticides, constituent les menaces principales qui pèsent sur l’espèce.

L’aigle des singes est protégé par la loi dans les Philippines et le commerce international et l’export est strictement réglementé par la Convention de Washington sur le commerce international d’espèces menacées d’extinction (CITES). Un programme de conservation et restauration de l’espèce est mené (« The Philippine Eagle Conservation Programme ») afin de sensibiliser les Philippins par des campagnes éducatives, inventorier et suivre les nids et mener un programme d’élevage conservatoire.

Malgré ces efforts de conservation, on s’accorde à dire que l’espèce est très fortement menacée d’extinction à court terme si la pression sur son habitat naturel garde le même rythme.

Actuellement (2008), il existe un programme d’élevage en captivité où le personnel sert aux poussins une nourriture similaire à celle des adultes. Après des années d’échec, 21 aiglons ont vu le jour dans le cadre du programme et les défenseurs de l’environnement étudient différents moyens de relâcher les oiseaux élevés en captivité dans la forêt.

Cette espèce peuple les plus grandes îles du nord et de l’est des Philippines (Luçon, Leyte, Samar et Mindanao où se trouve la plus grande population). Elle est endémique des Philippines.

Ce rapace mesure de 86 à 102 cm pour une masse de 4,5 à 8 kg et une envergure de 2,50 m.

Libres d’évoluer en dehors de la concurrence d’autres grands prédateurs, les aigles sont devenus les chasseurs dominants des forêts philippines. En raison de leur taille, un vaste territoire de forêt pluviale leur est indispensable pour se nourrir.
Les couples reproducteurs préfèrent les hauts arbres aux cimes dégagées. Les nids sont construits à des altitudes allant de 25 à 50 m et servent souvent pour les nidifications suivantes. Chaque couple a besoin de 70 à 130 km2 pour élever un seul poussin, ce qui rend l’espèce vulnérable à la déforestation.

 

 

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L’AIGLE BLANC, emblème POLONAIS

Posté par othoharmonie le 15 novembre 2014

 

200px-Coat_of_arms_of_Poland-official3Tout commence à GNIEZNO, première capitale de la Pologne.

C’est dans cette bourgade de l’Ouest de la Pologne, près de Poznan, que Mieszko 1er, Chef de la tribu des Polanes, a fondé la nation polonaise, en unissant plusieurs tribus slaves.

Et que signifie « Gniezno » ? Dans toutes les langues slaves, ce mot signifie « le nid » – même si en polonais, ce mot a un peu évolué en « Gniazdo ».
Il est donc question de nid. Un nid d’aigles, si l’on s’en réfère au récit des premiers chroniqueurs de la Pologne.  C’est à Gall l’Anonyme, moine du XIème siècle – sans doute venu de France – installé sur le territoire de la Pologne, que l’on doit les premiers récits , écrits en latin,  de l’histoire polonaise (avant que Wincenty Kadlubek puis l’historien Jan Dlugosc ne prennent la relève).
Et c’est dans les « Chroniques polonaises » de Marcin Bielski (Kronika Polska) que l’on lit ceci :

« Lech, notre premier ancêtre, a créé la ville de Gniezno, ainsi qu’un château et un lac.

Et il l’a appelée Gniezno, car il y a vu quantité de nids d’aigles sur un arbre. Alors, il a ordonné que sur ses étendards apparaisse un blason représentant l’aigle blanc ».

(Lech était, selon la légende, le grand-père du roi Mieszko). Cette légende a été reprise en vers par le poète Waclaw Potocki au 17ème siècle :

Meznych obaczy orlow, a oni gromada
Przyleciaswszy po  wszystkich drzewach gniazda klada
Toz gniazda wziawszy pochop, pod tymiz tytuly
Miasto Gniezno zaklada…

Quant au lac de cette légende, le poète romantique Slowacki au 19ème siècle l’évoque à son tour. Dans sa pièce « Baladyna », il situe les évènements aux temps proto-slaves, appelant le lac « Goplan ». Il y fait même intervenir dans le récit  la déesse du lac « Goplana ».

Cet emblème de l’aigle, adopté depuis un millénaire, est confirmé par des pièces de monnaie très anciennes retrouvées ; elles datent de l’époque de Boleslaw le Vaillant, le fils de Mieszko 1er (vers  l’an 1000). Sur cette pièce figure l’aigle. De la même époque date une amulette retrouvée par des archéologues à Wolin près de la Baltique. L’aigle y figure aussi, les ailes refermées.

Ce n’est qu’après la dynastie des Piast, quand règne la dynastie des Jagiellon, qu’on représente l’aigle les ailes déployées.
Depuis, c’est ainsi qu’il a figuré sur l’étendard des armées de Pologne et de Lithuanie à la bataille de Grunwald, lorsqu’elles remportèrent une éclatante victoire sur les chevaliers teutoniques, marquant la fin de l’invasion de l’Ordre sur les territoires septentrionaux de la Pologne. :

« L’aigle blanc sur fond rouge a les ailes déployées, le bec entr’ouvert et une couronne sur sa tête ».

L’emblème a, depuis, été présent sur les étendards rouge et blanc, durant toutes les batailles, accompagnant Jan Sobieski dans ses brillants combats contre les Turcs à Vienne, Tadeusz Kosciuszko dans sa rage à défendre l’indépendance de la Pologne vouée au partage, puis dans les troupes polonaises combattant au sein de l’armée napoléonienne. Et lorsque la Pologne fut rayée de la carte, il fut l’emblème des Polonais en exil.

Le grand roi Zygmunt-August, qui avait assuré au 16ème siècle, le « siècle d’or de la Pologne », avait fait représenter l’aigle blanc sur ses tapisseries ornant les murs du château de Wawel, heureusement retrouvées.

Pendant la seconde guerre mondiale, les Allemands firent tomber du Wawel et de tous les édifices publics l’emblème polonais ; il fut foulé aux pieds et brûlé, comme furent brûlés par les nazis les livres représentant la brillante Culture polonaise.

Après la guerre, cependant, la Pologne communiste reprit l’emblème de l’aigle blanc sur les drapeaux. A noter toutefois, que l’oiseau perdit provisoirement sa couronne, en symbole de la démocratie populaire succèdant aux régimes nobiliaires. Poétiquement, « l’aigle a enlevé sa couronne pour la déposer aux pieds du peuple polonais ».

Il a retrouvé maintenant sa couronne.
Pour tout ce qu’il a vécu depuis l’époque des premiers Piast, on peut lui tirer notre chapeau, à cet aigle blanc couronné, en rappelant ces paroles du chant « Warszawianka » :

« Lec, nasz orle, w gornym pedzie,
Slawie, Polsce, swiatu sluz !


(Vole, notre aigle, dans les hauteurs,
Pour servir la gloire, la Pologne et le monde !)

 

Issu du site https://pologneimmortelle.wordpress.com/2012/05/06/laigle-blanc-et-autres-emblemes-de-pologne/

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LA LEGENDE DE L’AIGLE BLANC

Posté par othoharmonie le 15 novembre 2014

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 COMME UN ENCHANTEMENT 

 

 

 

 

 

http://www.dailymotion.com/video/x12mamz

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l’ENSEIGNEMENT SPIRITUEL DE L’AIGLE

Posté par othoharmonie le 15 novembre 2014

 

290px-Circaetus_gallicus_01“J’aime le nom Eagle. Eagle signifie aigle. L’aigle signifie beaucoup pour un Amérindien…

“L’aigle connaît la liberté! L’aigle sait voler! L’aigle vit où il y a seulement le vent, le Soleil, les montagnes, les précipices insondables, et — la liberté!…

“L’aigle est né libre et meurt libre! Il est né pour voler, pour vivre sa vie en planant au-dessus des montagnes! Unissant ses ailes au vent, l’aigle gagne le pouvoir lui permettant de planer!…

“Et quand la mort vient — l’aigle sait à l’avance le moment de son arrivée. Il s’élève haut dans le ciel, pour une dernière fois — et se départit de sa chair inutile à ce moment. L’aigle continue à vivre en esprit, planant au-dessus des montagnes illuminées par le soleil levant!

“… J’aime le nom Eagle. Le Guerrier de l’Esprit peut être comparé à un aigle! Il naît pour vivre librement et pour mourir librement! Dans sa vie, il unit les Ailes de lEsprit avec le Pouvoir du Créateur — et apprends à monter au-dessus du monde de la matière étant guidé et soutenu par ce Pouvoir. Il monte à travers le courant de lÉternité, et le Pouvoir de Dieu Se manifeste par son corps. Il glisse dans l’Infini et l’Éternité de la vie, lié à rien d’autre que l’Amour, qui l’unit au Pouvoir!

“… Le Guerrier de l’Esprit connaît le moment de sa mort et se départit de sa chair, plus nécessaire, un moment avant que son corps ne meure pour d’autres raisons.

“Cependant, le Guerrier de l’Esprit peut réaliser davantage: l’union du Pouvoir avec son corps, il peut transformer la matière en Esprit en allumantle Feu intérieur!”

* * *

“Eagle, enseigne-nous s’il Te plaît le langage qui ne plaira pas aux ‘femmes romantiques’, mais plaira aux âmes qui sont prêtes à recevoir la grande initiation!”

“Les montagnes parlent le langage du silence. Par leur grandeur elles expriment leur essence!

“Avec le vol de la liberté parle le vent à ceux qui ont étendu leurs ailes!

“Avec des Âmes prêtes pour des Initiations plus Élevées, Dieu peut communiquer sans mots. Il leur parle avec Ses Contacts! Et quand une telle âme participe à lUnité, elle commence à aspirer à la Fusion permanente.

“Les mots ne sont pas plus nécessaires que le murmure des ruisseaux, que le chuchotement de la vague déferlante, que du bruissement du vent dans les feuilles.

“Quand Dieu parle à une âme marchant sur le Chemin, Il parle la langue dont les mots ne sont qu’une pâle réflexion du Grand Amour entre l’âme et Dieu!

“… On peut submerger une âme mûre dans la Demeure du Créateur avec l’aide de vos méthodes en un mois ou un peu plus…

“Mais afin de fondre, refaire, et accroître les âmes qui sont jeunes, leur enseigner à être un avec Moi, à enlever les vêtements de l’égocentrisme, à dépasser la forme humaine — cela a besoin d’années d’efforts laborieux. Cela peut être comparé à sculpter une sculpture dans un bloc de marbre: on doit enlever tout ce qui est inutile — et là, reste alors seulement la claire Essence Atmique — le Soi Supérieur.”

“Eagle, indique-nous s’il Te plaît comment Tu Te percevais quand Tu étais incarné parmi les Amérindiens.”

“Mon corps était rempli de Pouvoir. Pour Moi, il n’y avait aucun obstacle insurmontable. Je considérais tous les obstacles simplement comme quelque chose à surmonter!

“Lors de Mes incarnations, Je n’étais jamais absorbé par les problèmes de la vie terrestre. Je ne Me suis jamais ‘réduit’ comme plusieurs personnes le font en s’embourbant complètement, c.-à-d. avec la conscience entière, dans une situation ou un problème ‘terrestre’, s’emprisonnant elles-mêmes dans cette situation.

Létendue était Ma ‘maison’ — dans l’état dexpansion et de totalité J’ai exécuté Mes actions.

“Je ne suis jamais tombé dans le piège de l’illusion à savoir que le plan ‘terrestre’ était le seul monde où Je vivais. Pour Moi, ce monde existait seulement sur la surface de l’Océan illimité de l’Existence. La vie de lOcéanétait Ma vraie vie. De là, J’agissais.”

“Mais comment es-Tu parvenus à vivre dans un corps et à maintenir, en outre, la conscience de la Divinité?”

“Je ne Me suis jamais réduit à être autre chose que lOcéan — à la seule vie terrestre, jamais je ne Me suis illusionné en faisant de diverses situations ‘terrestres’ Mon seul espace d’existence.

“Vous transférez votre conscience de Moi à la vie ‘terrestre’ quand une situation ou un problème particulier devient plus important pour vous que la vie en Moi. Alors, cette situation saisit votre attention, et vous devenez prit en elle avec la conscience.

“Si vous voulez mettre la conscience hors du problème, dirigez simplement le regard de la conscience de votre anahata vers l’arrière — à Mon Infinité — et submergez-vous, en elle.

“En agissant sur le plan matériel, ne vous considérez pas comme les personnes que vous étiez autrefois: de simples hommes impliqués dans les affaires du monde! Tâchez de maintenir la conscience de Mon Existence! Je vous ai donné les étendues de la nature, pas afin que vous vous sentiez petits au sein d’elle, mais afin que vous sentiez comment grands vous êtes!

“Quand J’exécute Mes actions sur Terre, elles reflètent mon Infinitéplutôt que de ‘patauger’ dans l’océan de soucis.

“… Chaque anahata développé au niveau Divin est un espace menant en Mes Profondeurs, c.-à-d. au fond de la profondeur de l’espace multidimensionnel. En principe, par chacun de ces espaces, on peut entrer en Mes Profondeurs et Me connaître. Il est également important de savoir comment prendre de l’expansion, après avoir passé par de tels espaces. C’est la base de tout, comme chacun de vous le sait.

“… Comprenez également ceci: Je ne suis pas dépendant d’aucune condition extérieure, peu importe lesquelles. Tout vit et se développe à lintérieur de Moi!

“Voyez Ma Main contrôler chaque événement et accepter Ma Volonté, sans quitter l’état de Fusion avec Moi! C’est la manière de connaître lunitéde tout ce qui existe dans l’univers.*

“… Et une autre chose: vous devez créer de nouveaux ‘nids’ où Mes oisillons pourront se développer et puis devenir des Aigles! C’est votre tâche!”

RETROUVEZ le site d’origine : http://fr.native-american-spirituality.info/eagle.html

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LA PAROLE DE L’AIGLE

Posté par othoharmonie le 12 novembre 2014

 

290px-Black_Hawk-EagleLe lapin fut chargé d’inviter le vautour et l’aigle pour faire une compétition . Le lapin se rendit dans les bois des Caïlcédrats, et des Baobab dans lesquels nichaient aux cimes de ces arbres géants les deux grands flâneurs . Le lapin reporter redoutant l’aigle qui se nourrit de son espèces demanda la protection d’un garde de corps pour se rendre chez celui-ci . Le maître des terres proposa son chien de chasse comme protecteur du messager ! Le lapin réfuta ce bon officier, argumentant que son chien aussi est un animal de chasse, dont les lapins sont tous les jours victimes de ses captures au profit de son maître .  Le roi lion proposa un de ses jeunes lionceaux pour escorter ! Le lapin sachant que les lions ne s’intéressent pas à leur chaire accepte cette proposition . Les deux compagnons prirent le chemin . Vus ensemble un lapin et un lionceau, les animaux s’étonnaient de la gentillesse d’un lion . Cependant, cette merveille confiance ne durera pas . A travers la forêt, des bois d’arbres épineux, où les termitières géantes dominaient partout comme un village primitive abandonné par ses habitants, les deux compagnons tombèrent sur un groupe des chiens sauvages affamés ! Voulant agresser le lapin, le lionceau leur avertit que c’était un messager du Roi, et que si par malheur ils touchaient au lapin, que la vengeance du lion serait sévères . Mais les chiens sauvages ne voulant pas obéir un lionceau, tenaient à se partager le Messager de la paix ! Un groupe des lions avertis par le bruit se présentèrent sur le lieu . De leur approche, les chiens sauvages prirent la fuite .

      Arrivés dans la forêt des baobabs géant et des caïlcéderats, les cimes des tous les arbres géants étaient partagés entre les vautours nichant, et quelques cimes dominés par les nids des aigles .

      Le lapin s’adresse d’abord aux vautours en leur exaltant de roi des oiseaux  . Il était devenu les griots des animaux par son expérience ! Il dit à vautour : Le roi, et le doyen des oiseaux, les autres ont peur de la mort, toi tu te nourris de la mort . Champion des flâneurs, voyageur des pays lointains . L’expérimentés des siècles ! Dépositaire des histoires des espèces ! Le vautour se laissa dans son nid en lui disant : Les longues oreilles, qu’est ce qui t’emmène . Je n’ai pas l’habitude de t’entendre ! Arrête tes discours qui me font rougir ! Ce n’est pas mon genre d’écouter les exaltations qui peuvent me pousser dans l’orgueil !

     Le lapin : Le roi lion et le Maître des terres t’invitent à une compétition de flâneur ! Le vautour : qui sera mon adversaire ? Le lapin c’est l’aigle ! Le vautour quelles sont les épreuves ? Le Lapin : d’abord la vitesse en flâne . Puis, le vol en haute altitude ! Il y a trois épreuves, celui qui emportera deux, sera déclaré vainqueur ! Le Vautour secoua sa tête en disant, j’y serai le jour convenu .                  Le lapin et son compagnon s’adressa à l’aigle noir, le lionceau a dit, celui-là ne vaut pas le coup . On va voir l’aigle royal . Puisque, l’aigle noir ne peut se mesure qu’aux charognards ! Ils allèrent voir l’aigle royal au cime d’un baobab géant . Le lapin lui dit : Je suis le messager des animaux, chargé par le roi lion, pour t’inviter à une compétition de paix entre toi et le vautour géant !

L’aigle, moi et le vautour, nous vivons en paix depuis des générations, vous allez créer des disputes entre nous ! Le lapin : Au contraire ! l’organisation du spectacle a pour but de faire les connaissances entre toutes les espèces animales, en vue de proclamer une paix solennelle . L’aigle : Moi qui prélève mes nourritures sur les autres, en cas de cette paix, comment me nourrirais-je ? Le lapin : Le roi, tu sais que personne n’est plus puissant . Chaque puissance à une puissance supérieure à elle . Si tu refuses ces spectacles pour la paix universelle, et perpétuelle, comptant sur ta puissance, nous mettrons le petit oiseau ( faoin, et hirondelle de singe « en bambara : l’autorité ou pouvoir » « une sous espèce des perroquets de la savane, volant à une vitesse supérieure qui s’attaque à des gros oiseaux flâner, en particulier l’aigle et certains faucons . Cet oiseau n’est pas tueur, mais il terrifie les oiseaux puissants qu’au sous espèces d’hirondelle de savane, trop léger, elle vole à une vitesse telle qu’on dirait qu’elle franchisse le mur du son. Elle aussi s’attaque aux gros oiseaux flâneurs. »)  que tu connais, il t’interdira l’envol ! L’aigle trembla dans son nid, puisqu’il savait qui, il aurait à faire ( à des petits oiseaux de rien de tout, qui comme un avion bombardier contre les avions géants terrifie les aigles dans le ciel) . L’aigle dit : j’accepte ! Je serais à l’invitation !

       Les jours de compétions, tous les oiseaux étaient là . Le maître des terres et le roi lion firent le préliminaire entre les charognards et les aigles noirs, ainsi que les faucons . Toutes les espèces de vautour étaient là cachant les feuilles des arbres géants . Les charognards eux aussi . Quant aux faucons, et les aigles noirs ils cachaient aussi les feuilles des arbres . Posés partout sur les branches toutes les espèces victimes de ces rapaces ne voulaient pas être absents à cette occasion . Puisqu’ils voulaient se plaindre contre les nuisances d’aigles et des faucons . Les poules domestiques surtout sont venues nombreuses avec leurs poussins autour de maître de la terre .

      Le roi lion donnant le signe du début des jeux par la queue à la main droite symbole du pouvoir . Il invitant les adversaires à parler chacun de lui-même et de dénoncer les défauts qu’ils voient à leur prétendants .

      Les charognards prirent la parole en disant :

Nous sommes les oiseaux paisibles, Nous n’attaquons ni les oiseaux, ni les animaux quatre-pédés . Nous, nous satisfaisons des reste de nourriture des humains, ou des animaux amovibles qui ne peuvent plus rien servir à la vie . Nous faisons oublier les leurs par le nettoyage de leur corps . Nous sommes des oiseaux paisibles . Les charognards prirent des chansons faisant allusion au aigles et des faucons . Ils disaient dans cette chanson : Nous ne sommes pas d’ oiseaux nuisibles qui enlèvent à la longue de la journée les petits des autres pour nourrir les leurs . Non nous ne sommes pas de perfides qui font saigner le cœur des autres parents pour nourrir les leurs .

      Les poules contentes de ces chansons faisant allusion surtout aux faucons se mirent à danser en répondant aux chansons des charognards . Oui c’est vrai, nous sommes témoins, puisque nous cherchons nos nourritures ensembles parfois dans des rue des villages . C’est vrai ce que vous dites, les faucons sont des rapaces des poussins des autres pour nourrir les leurs . Les charognards continuent en disant : Les faucons ne sont pas de bons voisins, au contraire, ils sont nuisibles dans leur environnement ! Les poules répondirent oui, oui, oui, ce sont des rapaces nuisibles pour nos progénitures ! Le maître des terres donna raison aux charognards, et aux poules, il demanda aux aigles noirs de dénoncer ce qu’ils eurent remarqué de mal du côté des charognards !

        Les Aigles noir irrités par le sabotage de ses cousins les faucons, ils dit : les charognards sont méprisables ! Ils sont chassés par les humains tous les jours, mais s’ils s’envolent comme partant, ils retournent peu à près . Ils guettent les excréments, et les morts . Vous pouvez en être témoins en raison de leurs odeurs . Ce sont des oiseaux les plus mal intentionnés . Moi, ma nuisance est rare, surtout sur les humains et leurs animaux domestiques .

   Le roi lion voyant les termes lui mettant en cause celui-ci ordonna le début de la compétition . Le vol de longue altitude, fut emporté par l’aigle . Les faucons furent éliminés et condamnés de leurs criminalités à l’encontre des petits des autres .Les vols à bases altitudes furent emportés par les aigles noirs. Les charognards ne furent récompense que d’un complément de patience .

Le roi lion dit : le tour est aux vautours et les aigles royaux : Les Aigles royaux prirent les paroles en s’exaltant en chanson : Nous sommes les symboles de puissance des empires ! Nous sommes les seuls oiseaux qui ont les maîtrises de courant dans l’air . Nous sommes les seuls oiseaux qui eurent franchi les mur du vent dans l’air . Nous sommes les symboles de puissances !

Et quant à nos adversaires vautours, ce sont des oiseaux mal attentionnés . Ils volent à tout moment pour guetter l’horizon s’il n’y a pas de morts quelque part . Bien sûr ce sont des oiseaux mal attentionnés, puisqu’à chaque moment, ils ne désirent que la peste tombe sur un groupe quelque part, pour qu’ils fassent un grand banquet . Et oui ce sont des oiseaux des mauvais souhaits sur les autres animaux . Les voyant dans le ciel, on croit qu’ils font un rituel, mais au fonds, ils guettent les morts quelque part à l’horizon !

       Le roi lion pris les paroles en disant aux aigles vous en avez assez dit, la parole est aux vautours !

       Le doyen de vautour sur la branche de Baobab dit :

Si je parle, si le roi des vautours parlent :  Les autres vautours lui répondent : parle, parle . Il dit : si je parle, si les doyens des oiseaux parles, plusieurs secrets se mettront à jour ! Les autres vautours répondent : parle, parle roi des vautours parle ! Il dit : il s’agit de l’aigle, l’oiseau maudit par la souffrance des autres ! Les autres  vautours disent parle, parle les roi des vautours parle ! Il dit :  les rapaces pirates des autres animaux ! Les autres vautours disent : parle, parle le roi de vautours 290px-Aquila_adalbertiparle ! Il dit je parle des criminels avec les griffons et les bec des sorciers qui tuent les faibles pour se nourrir ! les autres vautours disent : parle, le roi de vautour parle ! Il dit :  nous les vautours, nous n’ôte aucune vie pour nous nourrir ! Les autres vautours disent parle, le roi de vautour parle .

     Il dit : regardez les spectateurs ! Nous avons le même cycle de reproduction que les aigles, voyez notre nombre est dix fois plus qu’eux, pourquoi ? Les autres vautours disent parle, le roi des vautours parle ! Il dit puisque les aigles sont maudits en raison de leur nuisance ! Les autres vautours disent parle, le roi de vautours parle ! Il dit : si les aigles étaient si nombreux que nous, qu’ils feraient disparaître tous les petits animaux !

      Il dit quant à nous les vautours, nous sommes des doyens des tous les oiseaux à présent ! Les autres vautours disent parle, le roi de vautours parle ! Il dit : nous avons assiste l’ère volcanique de la terre, et nous en avons survécu ! Parle, le roi des vautours parle ! Nous avons assisté la séparation des continents, nous en avons survécu ! Parle, le roi des vautours parle ! Nous avons assisté les changement climatique à maintes fois nous en avons survécu ! Parle, le roi des vautours parle ! Nous fûmes bien longtemps avant que l’homme ne fût ! parle, le roi de vautours parle : Nous fûmes durant des millènaires avant que l’homme ne sût construire un village ! Nous sommes les uns de plus anciens oiseaux sur la terre ! Et Nous sommes les oiseaux les plus paisibles, qui font effacer les traces de la mort sur la terre ! Les autres vautours disent : parle, le roi de vautours parle :

     Le roi lion est intervenu, en disant, vous en avez assez dit ! Commençons la compétition . Voilà pour vous, il y a trois épreuves celui d’entre vous qui emportera deux épreuves, celui-là sera déclaré vainqueur . Ces épreuves sont les vols à bases altitudes, les vol en haute altitude en flânant, et le vol en vitesse avec la maîtrise du courant d’air dans le ciel .

     A la première épreuve, décollage et le vol en base altitude, l’aigle  emporta . Puis la deuxième épreuve la vitesse  avec la maître de courant, l’aigle emporta encore . Mais la troisième épreuve, le vol en très haute altitude à distance, ce furent les vautours qui les eurent emporté .

     Le prix fut emporte par l’aigle qui voulait faire une démonstration de sa puissance . Le « Faoin » à présent , lui eut dissuadé en s’attaquant en lui en vol, ce qui fut applaudi par les spectateurs .

     Les vautours furent consolés par un prix de sagesse en tant que doyen des oiseaux .

Conte recueilli sur http://www.diffusionculturelle.com/

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L’aigle noir de Barbara

Posté par othoharmonie le 12 novembre 2014



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Un beau jour, ou peut-être une nuit, 
Près d’un lac je m’étais endormie, 
Quand soudain, semblant crever le ciel, 
Et venant de nulle part, 
Surgit un aigle noir, 
290px-Black_eagle
Lentement, les ailes déployées, 
Lentement, je le vis tournoyer, 
Près de moi, dans un bruissement d’ailes, 
Comme tombé du ciel, 
L’oiseau vint se poser, 

Il avait les yeux couleur rubis, 
Et des plumes couleur de la nuit, 
A son front brillant de mille feux, 
L’oiseau roi couronné, 
Portait un diamant bleu, 

De son bec il a touché ma joue, 
Dans ma main il a glissé son cou, 
C’est alors que je l’ai reconnu, 
Surgissant du passé, 
Il m’était revenu, 

Dis l’oiseau, ô dis, emmène-moi, 
Retournons au pays d’autrefois, 
Comme avant, dans mes rêves d’enfant, 
Pour cueillir en tremblant, 
Des étoiles, des étoiles, 

Comme avant, dans mes rêves d’enfant, 
Comme avant, sur un nuage blanc, 
Comme avant, allumer le soleil, 
Etre faiseur de pluie, 
Et faire des merveilles, 

L’aigle noir dans un bruissement d’ailes, 
Prit son vol pour regagner le ciel, 

Quatre plumes couleur de la nuit 
Une larme ou peut-être un rubis 
J’avais froid, il ne me restait rien 
L’oiseau m’avait laissée 
Seule avec mon chagrin 

Un beau jour, ou peut-être une nuit, 
Près d’un lac, je m’étais endormie, 
Quand soudain, semblant crever le ciel, 
Et venant de nulle part, 
Surgit un aigle noir, 

Un beau jour, une nuit, 
Près d’un lac, endormie, 
Quand soudain, 
Il venait de nulle part, 
Il surgit, l’aigle noir… 

« L’explication de la Chanson 



Cette chanson  » l’aigle noir  » raconte l’histoire d’une fille et d’un oiseau qui est représenté par un aigle. On croirait une chanson toute élégante au debut mais si on l’écoute bien la musique et les paroles sont tristes. Dans la chanson, l’aigle noir n’est autre que le père de l’interprète et fait référence au viol. Elle voit son père comme un aigle noir et raconte ses mauvais souvenirs du passé.  » Une larme ou peut-être un rubis 
J’avais froid, il ne me restait rien 
L’oiseau m’avait laissée 

Seule avec mon chagrin  » elle est tellement traumatisé par les abus de son père, qu’elle ‘y repense tous les soirs avant de se coucher. 
 » De son bec il a touché ma joue, 
Dans ma main il a glissé son cou, 
C’est alors que je l’ai reconnu, 
Surgissant du passé, 
téléchargement (1)Il m’était revenu,  » il s’agit d’une métaphore 

à chaque fois qu’elle s’endort, ses traumatismes de petites filles resurgissent alors qu’elle pensait les avoir enfuient 

Mais Barbara a donné son pardon à son père dans la chanson NANTES «  

source : https://fr.answers.yahoo.com/

 

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REFERENCE A L’AIGLE dans la Bible

Posté par othoharmonie le 12 novembre 2014

 

 

290px-Kampfadler_02Oiseau dont il est souvent parlé dans l’Ecriture. L’aigle est déclaré impur dans le Lévitique (Le 11 :13), avec tous les oiseaux de son espèce, c’est-à-dire avec toutes les sortes d’aigles, comme l’aigle marin nommé en latin halioetos, l’aigle nominé ossifraga, parce qu’il casse les os pour en tirer la moelle. Il y a aussi un aigle noir nommé valeria ou melanoeetus. Le milan et le vautour peuvent être rapportés aux différentes sortes d’aigles. Tous ces oiseaux sont défendus par la loi de Moïse. 

Dans le Psaume (Ps 103 :5), il est dit que le Seigneur renouvelle la jeunesse du juste, comme celle de l’aigle. Les interprètes ont débité bien des conjectures sur le rajeunissement de l’aigle. Les uns ont dit que de dix ans en dix ans, l’aigle s’élève jusqu’à la région du feu, et que de là il se plonge dans la mer, où il se rajeunit en quittant ses anciennes plumes, et en en prenant de nouvelles. Saint Augustin, et saint Epiphane disent que quand cet oiseau est vieux, son bec devient tellement crochu, qu’il ne peut plus manger; mais qu’à force de le frapper contre un rocher, il casse ce qui était trop crochu, et se rajeunit en prenant une nouvelle nourriture. D’autres supposent de même que le bec de l’aigle devenant trop crochu lorsqu’il est vieux, il ne peut plus manger, et qu’il se nourrit en buvant; d’où vient le proverbe : Aquiloe senectus : mais ce sentiment est démenti par d’autres philosophes, qui soutiennent que l’aigle ne boit point, non plus que les autres oiseaux qui ont des serres. Enfin, d’autres croient que l’aigle ne se rajeunit pas autrement que les autres oiseaux, qui quittent tous les ans leurs plumes pendant la mue, et qui en reprennent d’autres ; et cette explication est la plus simple et la meilleure. On peut aussi donner ce sens à l’Hébreu : Vous vous renouvellerez, et votre jeunesse sera comme celle de l’aigle. Vous recouvrerez vos forces, et vous serez comme l’aigle dans sa jeunesse. 

Moïse dit que le Seigneur a tiré son peuple de l’Egypte, et qu’il l’a porté sur les ailes des aigles (Ex 19 :4); et ailleurs (De 32 :11), que le Seigneur s’est chargé de son peuple, et l’a porté sur ses épaules, comme l’aigle se charge de ses aiglons; qu’il les a tirés de l’Egypte, et les a mis en liberté, comme l’aigle attire ses petits, pour les apprendre à voler, en voltigeant doucement autour d’eux. On dit en effet, que quand l’aigle voit ses aiglons assez grands pour entreprendre de voler, il s’élève sur leur nid en battant des ailes, et les excite à l’imiter et à prendre leur essor; et lorsqu’il les voit las ou effrayés, il les prend sur son dos, et les porte : en sorte que les chasseurs ne peuvent percer les petits qu’à travers le corps de l’aigle. 

Salomon [Agur] dans les Proverbes (Pr 30 :19), dit qu’il y a quatre choses qui lui sont entièrement inconnues : La trace de l’aigle dans l’air, la trace du serpent sur le rocher, la trace du navire dans la mer, et la voie de l’homme dans sa jeunesse. Ce passage n’a rien de difficile à l’égard de l’aigle, du serpent et du navire ; on sait qu’ils ne laissent après eux aucune trace dans l’air, sur le rocher, ni sur la mer. Et à l’égard de la voie de l’homme dans sa jeunesse, elle n’est difficile que dans la Vulgate. L’Hébreu indique simplement que les marques de la virginité dans une fille, sont fort équivoques et fort difficiles à discerner. 

Michée, (Mic 1 :16), semble dire que l’aigle se dépouille de ses plumes dans le deuil ; mais cela marque simplement, que ceux à qui le prophète adresse sa parole, se couperont les cheveux dans le deuil, et seront nus et dépouillés comme un aigle qui mue. On dit que dans ce temps, l’aigle quitte presque toutes ses plumes, et tombe dans une langueur qui fait qu’il ne peut ni chasser à son ordinaire, ni se faire craindre des autres oiseaux. 

Le Sauveur dans l’Evangile (Mt 24 :28 ; Lu 17 :37), répète en plus d’un endroit, une sentence de Job (Job 39 :30), qui dit que partout où il y aura un corps, les aigles s’y assembleront. Les aigles ordinaires ne mangent point de carnages; mais il y en a d’une certaine espèce qui en mangent (Job 9 :26 ; Pr 30 :17), et il n’y en a aucune qui ne mange de la chair crue : elle n’en mange pas toutefois de toute sorte indifféremment, ni de morte d’elle-même mais seulement de celle qui est fraîchement tuée. C’est ce que Job veut marquer à la lettre dans ce qu’il dit de l’aigle ; mais Jésus-Christ tourne la chose en allégorie, et dit que partout où il y aura des Juifs prévaricateurs, il y aura aussi des Romains exécuteurs de la vengeance de Dieu sur eux. Voyez le commentaire sur saint Matthieu (Mt 24 :28). 

[« Il faut bien remarquer que sous le nom de Nescher, aigle, l'Ecriture comprend quelquefois les vautours. Ainsi quand il est représenté comme chauve et comme dévorant les cadavres (Mic 1 :16 ; Job 39 :27 ; Pr 30 :17 ; Mt 24 :28), on doit l'entendre des vautours qui appartiennent à l'ordre des nudicoles, c'est-à-dire des espèces qui ont la tête et une partie du cou presque à nu ou couverte d'un duvet très-fin semblable à des poils. Mais, comme par une sorte de compensation, ils ont le bas du cou garni de longues plumes, disposées comme une cravate, au milieu de laquelle ils peuvent retirer leur tête. Ces animaux sont voraces et courageux; ils se nourrissent principalement de cadavres.»] 

Je ne parle pas des autres qualités que l’on attribue à l’aigle, parce qu’elles sont ou fausses, trop communes, ou qu’elles n’ont aucun rapport à ce qui est dit de l’aigle dans l’Ecriture, et à quoi ce dictionnaire est destiné. 

On parle aussi d’une pierre d’aigle, que l’on trouve, dit-on, à l’entrée des trous où ces oiseaux font leurs aires. On prétend que ces pierres ont la vertu d’empêcher que les nids de l’aigle ne soient frappés de la foudre. Les-plus estimées de ces pierres sont, dit-on, plates, noirâtres, chagrinées et sonnantes, si on les approche de l’oreille, et qu’on les branle; parce qu’au dedans de la grande, il y aune petite pierre que la nature y a formée. On l’appelle oetites en latin, et pietra d’aquila en italien. Mais il y a bien des choses fabuleuses dans ce qu’on en dit et dans les vertus qu’on lui attribue. 

220px-Kaiseradler_Aquila_heliaca_2_amkOn sait que les Romains portaient l’aigle dans leurs étendards, et qu’ils lui rendaient les honneurs divins, de même qu’à leurs autres enseignes. Plusieurs Pères et plusieurs interprètes ont cru que l’abomination de la désolation marquée dans l’Evangile par ces mots (Mt 24 :15): Quand vous verrez l’abomination de la désolation qui a été prédite par Daniel, dans le lieu saint, etc., n’était autre que les aigles romaines, et les autres enseignes militaires qui furent placées dans le lieu saint ; c’est-à-dire, dans la terre sainte, autour de Jérusalem, lorsque l’armée de Tite y vint camper. Mais nous croyons que cette abomination de désolation marquée dans Daniel et dans l’Évangile, désigne les profanations causées dans le temple par les Juifs séditieux qui se donnaient le nom de Zélateurs. Ces impies y commirent toutes les abominations, les sacrilèges, les meurtres qui nous sont décrits par Josèphe dans l’histoire de la guerre des Juifs.

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L’AIGLE NOIR

Posté par othoharmonie le 10 novembre 2014

 

290px-Black_eagleIl se nourrit de mammifères, d’oiseaux et d’œufs. C’est un important prédateur de nids connu pour son vol lent un peu au-dessus de la canopée. En raison de sa capacité à rester en vol pendant de longues périodes sans grands efforts, les habitants de Darjeeling en Inde disent souvent qu’il ne se pose jamais. Avec le Milan à queue fourchue, il partage l’habitude unique d’emmener un nid entier avec oisillons. Les écureuils, les macaques et de nombreuses espèces d’oiseaux émettent un cri d’alarme lorsque ces oiseaux sont repérés survolant la forêt. L’Écureuil géant de l’Inde et les jeunes Macaques à bonnet sont des proies pour eux.

On le trouve en Asie tropicale. La sous-espèce I. m. perniger vit dans les contreforts de l’ouest de l’Himalaya au Népal, dans les forêts des Ghâts occidentaux et orientaux dans la péninsule indienne et au Sri Lanka. On le trouve également dans la chaîne desÂrâvalli au nord-ouest de l’Inde. La forme nominale I. m malaiensis se trouve en Birmanie, au sud de la Chine (Yunnan, Fujian), àTaïwan et dans la péninsule malaise. Il est en général sédentaire et on ne l’a jamais observé migrer.

Dans une étude dans le sud de l’Inde, on a constaté qu’il préférait les forêts où le couvert forestier est dense et qu’il est absent des zones où la couverture est inférieure à 50 %.

On le trouve aussi en Afrique du sud, notamment dans le Parc transfrontalier du ǀAi-ǀAis/Richtersveld1

C’est un grand rapace de 70 à 80 cm de longueur. Les adultes ont un plumage entièrement noir, avec la cire (base du bec) et les pattes jaunes. Les ailes ont de très longues plumes internes serrées qui lui donnent une forme distinctive. La queue montre de légères rayures et son dessus est un peu plus pâle. Lorsqu’il est perché, le bout des ailes peut atteindre ou dépasser le bout de la queue. Les ailes sont tenues en V peu marqué en vol. Par les après-midis chauds, on peut le voir survoler la cime des arbres à la recherche d’un nid à marauder. Il est alors facilement reconnaissable à sa couleur noir de jais, à sa grande taille et à son vol lent caractéristique juste au-dessus de la canopée.

Les deux sexes sont semblables, mais les jeunes ont la tête, le ventre et le dessous des ailes chamois.

L’Aigle noir est également le titre d’une chanson de Barbara parue en 1970 dans l’album du même titre.

 

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https://www.youtube.com/watch?v=YdKH1TU2B7E

Une interprétation psychanalytique de la chanson a été proposée par Philippe Grimbert. Selon cette interprétation, la chanson décrit un rêve de Barbara, rêve dans lequel elle dort au bord d’un lac, jusqu’à ce qu’un aigle noir fasse irruption dans le ciel, troublant son sommeil. Barbara reconnaît cet aigle comme un personnage émergeant de ses souvenirs d’enfance, sans dire à l’auditeur de la chanson quel est ce personnage. Barbara aura à supporter le comportement incestueux de son père pendant son enfance. À l’âge de dix ans et demi, à Tarbes, son père abuse d’elle. Sa jeunesse bascule soudain « dans l’horreur » d’où personne, pas même sa mère, ne tentera de la sauver. Il recommence plusieurs fois, elle multiplie les fugues, en vain. Un jour, en Bretagne, n’en pouvant plus, elle se précipite à la gendarmerie, où son père vient la chercher et laisse entendre qu’elle affabule. L’affaire est classée. Elle refusera d’évoquer le drame en public, sauf dans ses Mémoires.

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La Place de l’Aigle royal

Posté par othoharmonie le 10 novembre 2014

290px-GoldenEagle-NovaL’Aigle royal est une espèce de grands rapaces de la famille des Accipitridae. C’est un oiseau brun foncé, avec un plumage plus brun-doré sur la tête et le cou. L’aigle royal utilise son agilité, sa vitesse et ses serres extrêmement puissantes pour attraper ses proies : des lapins, des marmottes, des écureuils, et de grands mammifères comme les renards, les chats sauvages et domestiques, de jeunes chèvres de montagne, de jeunes bouquetins, et de jeunes cervidés. Il consomme aussi des charognes, si les proies sont rares, ainsi que des reptiles. Des oiseaux, dont des espèces de grande taille comme des cygnes ou des grues, des corbeaux et des Goélands marins ont tous été notés comme proies potentielles.

L’aigle royal défend un territoire pouvant atteindre 155 kilomètres carrés. Il est monogame et un couple peut rester ensemble pendant plusieurs années voire pour la vie. Ils nichent en altitude, dans les falaises, les arbres ou sur les structures humaines comme des poteaux téléphoniques. Ils construisent des nids énormes auxquels ils peuvent revenir pendant plusieurs années. Les femelles pondent un à quatre œufs, et les deux parents les couvent pendant 40 à 45 jours. Souvent seul un ou deux jeunes survivent jusqu’à l’envol, à l’âge de trois mois environ. Ayant autrefois une répartition holarctique étendue, il a disparu de plusieurs des zones les plus densément peuplées. Bien que localement éteinte ou rare, l’espèce est encore assez commune enEurasie, en Amérique du Nord et dans certaines régions d’Afrique. L’espèce connaît sa plus forte densité de nidification dans le sud du comté d’Alameda, en Californie.

La sous-espèce eurasienne est utilisée pour chasser et tuer les loups dans de nombreuses communautés indigènes, où l’oiseau est considéré avec grand mysticisme. Cet aigle est protégé dans plusieurs pays depuis les années 1970.

Chez l’adulte le fond du plumage est principalement brun assez foncé, avec les plumes le dessus et l’arrière de la tête et de la nuque (le camail) d’un brun-roux clair ou brun-jaunâtre, lui ayant valu son nom d’« aigle doré », et si elles peuvent être de coloration variable d’un individu à l’autre, ne changent pas avec l’âge. Les rémiges et les rectrices sont grises à leur bases, et parcourues de quelques barres sombres et les plumes usées et décolorées, forment une zone pâle irrégulière sur les ailes ; le dessous des ailes est globalement plus roussâtre que le reste du corps. Certains individus ont des « épaulettes » (en réalité les plumes des poignets) blanches ; les plumes du tarse varient du blanc au brun foncé.

L’oisillon est entièrement blanc ; le juvénile a un plumage assez homogène et plus foncé que l’adulte, sans zone pâle, due chez les individus matures à l’usure des plumes. Les primaires et secondaires externes ont la base blanche, formant une zone blanche sur le dessus de l’aile, entrecoupée de noir, et sur le dessous un grand « écusson », parfois réduit à une simple tache. La base des rectrices est également blanche, et seule leur extrémité est noire, formant une bande sombre au bout de la queue du juvénile, s’estompant avec les années. Avec le temps le blanc disparaît progressivement, celui sur la queue persistant parfois alors que les ailes n’en ont plus ; le plumages adulte est généralement atteint à la cinquième année. Posé, la pointe des ailes de l’adulte arrive près du bout de la queue, alors que chez le juvénile elle arrive plus haut.

Après les mammifères, le second groupe de proies préférées de l’aigle royal sont les autres oiseaux. Des gallinacés, surtout des faisans et des tétras, sont les plus représentés parmi les proies. Cependant, pratiquement tous les oiseaux, de la taille d’un geai des chênes à celle d’un cygne, qui pèse environ le double du poids d’un aigle, sont des proies potentielles. En Suède, les oiseaux sont les proies principales, l’espèce la plus chassée étant le grand Tétras (Tetrao urogallus), tandis que dans les régions subarctiques on note une forte préférence pour le lagopède alpin (Lagopus muta). Les aigles royaux sont des oiseaux superprédateurs, les adultes en bonne santé ne connaissant pas de prédateurs. On a vu des aigles royaux tuer et manger de grands rapaces comme le faucon gerfaut (Falco rusticolus), l’autour des palombes (Accipiter gentilis) ou les buses du genre Buteo, que ce soit des adultes, des oisillons ou des œufs.

Les oiseaux des genres FalcoStercorarius ou Buteo comme la buse pattue (B. lagopus), qui sont normalement des concurrents, peuvent se regrouper pour chasser les aigles royaux arrivant sur leurs aires de nidification. Un aigle royal volant près d’un nid de faucon pèlerin (Falco peregrinus) a été frappé et tué par un des parents qui l’attaqua en piqué, alors que l’aigle, beaucoup plus grand, est généralement dominant et un prédateur potentiel pour ces oiseaux. Généralement l’aigle s’en tire à meilleur compte, et se livre au cleptoparasitisme, en volant les proies d’autres rapaces. Bien que l’aigle royal ne soit pas aussi grand que certains vautours, il est généralement beaucoup plus agressif que ceux-ci et capable de les chasser, ainsi que d’autres rapaces des charognes. L’aigle royal entre le plus souvent en compétition interspécifique avec les grands pygargues du genre Haliaeetus (notamment le pygargue à queue blanche et le pygargue à tête blanche) et, comme ces espèces sont de taille, de force et de ténacité comparables, l’issue dans de tels conflits dépend surtout de l’individu plus que de l’espèce.

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LA REPRODUCTION DE L’AIGLE

Posté par othoharmonie le 10 novembre 2014

 

220px-Steinadler_Baby_vierzehn_Tage_alt_12052007_01Cette espèce est monogame. Le mâle et la femelle sont parfois unis pour la vie, fidèles à leur territoire et construisant jusqu’à cinq nids qu’ils utilisent pendant plusieurs années. Les parades nuptiales comprend des montées en spirale, des festons, suivies de piqués, et peuvent débuter dès le mois de décembre. Le nid, l’« aire », est bâti sur une falaise sous un surplomb, plus rarement dans un arbre. Sa construction prend de quatre à six semaines, et consiste en un enchevêtrement de branchages et brindilles de plantes locales, tapissé de végétation douce, d’herbes, d’écorce ou de feuilles mortes, de mousses et de lichens. Si un ancien nid est réutilisé, il est réapprovisionné en branchages, et d’années en années l’aire peut atteindre deux à trois mètres de diamètre, deux mètres de haut pour 90 cm de profondeur. Un nid de 6,1 m de haut pour un diamètre de 2,59 m est le plus gros connu chez l’espèce. Placé dans un arbre, il peut faire céder celui-ci. De petits mammifères ou de petits oiseaux trop petits pour intéresser l’aigle utilisent parfois aussi le nid, leurs prédateurs entrant souvent dans la gamme de proies du grand rapace.

Chaque année en mars ou avril, la femelle pond de 1 à 3 œufs, parfois quatre mais souvent deux, blanchâtres et tachetés de brun. Ils sont pondus à trois ou quatre jours d’intervalle, ce qui espacera également les éclosions puisque la femelle commence à couver dès la ponte du premier œuf. La durée d’incubation varie de 35 à 45 jours, avec une moyenne de 42 jours. La femelle assure l’essentiel ou la totalité du temps de couvaison, surtout dans les premières semaines, le mâle chassant pour la nourrir et défendant le territoire.

La plupart du temps un seul jeune survit : durant la deuxième quinzaine de vie, le plus fort (souvent le premier éclos) agresse et finit par tuer le plus faible sans que la concurrence alimentaire ne le justifie, on parle de caïnisme. Si le premier né est un mâle et le deuxième une femelle, généralement plus grosse qu’un mâle, la compétition est plus équilibrée et les deux jeunes peuvent parvenir à l’envol. L’aiglon met 45 à 81 jours à acquérir son premier plumage. Il effectue en moyenne son premier Aigle_d'Australie_MHNTvol vers 10 semaines, mais reste au voisinage de l’aire. Les adultes lui tuent des proies, car le jeune mettra 32 à 80 jours supplémentaires pour acquérir son indépendance. La maturité sexuelle est entièrement atteinte qu’entre 4 et 7 ans. L’espérance de vie d’un individu est de 25 ans.

  • La collection d’œufs de Jacques Perrin de Brichambaut (1920-2007) acquise en 2010 par le muséum de TOULOUSE provient de collectes personnelles, complétées par celles d’ornithologues reconnus comme Guichard, Henri Heim de Balsac et de René de Naurois. Elle comprend toutes les espèces paléarctiques (Europe, Afrique du Nord et Asie), soit environ 1 000 espèces et près de 15 000 œufs, à ce titre elle fait partie des collections d’œufs paléarctiques les plus complètes et les mieux documentées d’Europe.

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LA LEGENDE DE L’AIGLE

Posté par othoharmonie le 8 novembre 2014

 

 

290px-New_Guinea_EagleQuand la terre à été créé, un grand nuage d’orage apparut à l’horizon. Pendant que des éclaires illuminaient le ciel et le tonnerre grondait, le nuage descendit vers la cime des arbres. Un aigle perché sur la plus haute branche pris la fuit à l’approche du nuage. Il se dirigea lentement vers le sol. En approchant de la terre, il y posa son pied et devenu homme. C’est pour cette raison que les amérindiens (dont les Lakota) reconnaissent l’aigle comme un messager du créateur et comptent sur lui pour mener parole de leur actions au créateur. 

Quand un aigle vient de l’endroit où nous travaillons, nous savons que quelqu’un se soucie de nous et veille sur nous. L’aigle joue un rôle dans de nombreuses légendes dans la culture amérindienne. La légende de l’Oiseau-Tonnerre est familière à la plupart d’entre nous. Il est généralement représenté sous la forme d’un grand aigle, ou à certains moments, un vautour. On croyait que le tonnerre retentissait lors de son vol, d’où son nom. Certaines nations ou tribus indiennes a examiné l’aigle à la personne du Grand-Esprit, et pense que les rapaces effectué prières rituelles au Créateur. Certaines nations ou tribus indiennes a examiné l’aigle à la personne du Grand-Esprit, et pense que les rapaces effectué prières rituelles au Créateur.

 

L’aigle royal est considéré comme l’aigle de guerre, et leurs plumes manquantes sont vénérés par les tribus. Avec l’ours, aigles représentent le pouvoir de la Nature et l’autorité. L’aigle a la plus vive acuité visuelle et vole plus haut que n’importe quel oiseau. Elle est le symbole national de l’Amérique et l’image de l’aigle à tête blanche a longtemps été cri de notre pays pour la vérité, le pouvoir et la liberté. 

Les ailes de l’aigle représentent l’équilibre nécessaire entre les sexes, que le mâle et femelle dépend des capacités et des atouts de l’autre. Dans la culture autochtone, à attribuer une plume d’aigle est le plus grand honneur. Comme un totem ou animal symbolique, l’aigle revendications des caractéristiques individuelles de la philosophie spirituelle et des idéaux élevés. 

L’aigle est l’oiseau sacré de presque toutes les nations indiennes. Il figure en bonne place dans de nombreux rituels autochtones de l’Amérique du cérémonial. Les histoires et les légendes varient avec chaque groupe tribal, mais une pratique courante est que seuls les plus braves guerriers et le Saint-hommes étaient autorisés à porter des plumes d’aigle. L’aigle médecine offre la possibilité d’exister dans le domaine de l’esprit, tout en restant connecté et en équilibre en royaume de la terre. 

Un aigle ne peut être tué par un tueur professionnel. L’aigle qui va l’être, à sa propre cérémonie et est mis de côté par l’esprit pour éviter la vengeance de l’aigle. Une Danse de l’Aigle a dû avoir lieu avant que l’ aigle soit tué. 

L’aigle est complexe et a fasciné les amérindien. Sa maîtrise du ciel est sans doute ce qui fascine le plus chez cet animal majestueux. L’aigle est considéré comme un messager spirituel, certainement un symbole de la vérité et de courage, et par certains, même un dieu.

Légende Sioux 

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L’aigle botté

Posté par othoharmonie le 8 novembre 2014

 

Booted_eagle_in_flightChasseur très habile malgré sa taille, fonçant sur sa proie les serres en avant. Autrefois, les Tartares l’employaient avec succès pour chasser le lièvre, le renard, l’antilope et leloup. Comme il était trop lourd pour le porter sur le poing à la manière des fauconniers, il le plaçaient sur le devant de leur selle et le moment venu, lançaient l’animal sur la proie. L’aigle botté capture ses proies dans les clairières. Il plane en hauteur, décrivant des cercles, et lorsqu’il repère une proie, il se lance en piqué presque jusqu’au sol où il se redresse en s’élevant un peu, et vole rapidement en capturant n’importe quel petit oiseau posé ou volant bas. Il peut de la même manière capturer des lapins et des lézards. Il chasse aussi à l’affût, au bord d’une zone découverte. Il capture aussi des insectes, tout en marchant. Il lui arrive aussi de piller les nids d’autres espèces.

Les vols nuptiaux sont spectaculaires. Les aigles planent haut au-dessus de la forêt en cercles étroits, descendent au niveau de la cime des arbres en un piqué subit, et ensuite, ils planent plus bas au-dessus d’une vaste zone pour s’élever à nouveau en bougeant à peine les ailes. Quand commence la période de reproduction, les deux adultes volent souvent à découvert sur les forêts, en criant de façon répétitive. En dehors de la période nuptiale, les deux partenaires volent souvent ensemble. Les couples reviennent chaque année sur le même site de nidification, et semblent unis pour la vie. En revanche, les oiseaux vivent en solitaire en hiver.

L’Aigle botté glapit, trompette. Ordinairement silencieux en dehors de la saison de nidification. Cri aigu et répété kuih kiih. Quand commence la parade nuptiale, les aigles bottés mâles crient de façon insistante « pi-piiii » et comme pour exprimer de l’anxiété, ils répètent « pi-pi-pi-piiii ». Au nid, un « klia-klia-klia- ki-ki » est commun.

Les aigles bottés nichent assez près les uns des autres, et il semble qu’ils ne défendent aucune zone. Le nid se trouve presque toujours dans un arbre, occasionnellement sur une paroi rocheuse. Il est construit par les deux adultes, à une hauteur allant de 6 à 16 mètres. Le nid mesure environ 60 à 70 cm de diamètre pour 30 cm d’épaisseur. La construction est rapide. Les adultes apportent des branches et des rameaux de bois, et pendant toute la période de nidification, la femelle porte des branches vertes en grande quantité. La femelle dépose de 1 ou 2, rarement 3 œufs blancs, tachetés de brun, en avril-mai. L’incubation dure environ 32 à 34 jours, assurée principalement par la femelle, nourrie par le mâle. Elle sort très peu du nid avant l’éclosion. Les poussins grandissent lentement. Les premières plumes apparaissent au bout de 20 jours, et à 40 jours, le plumage est pratiquement complet. Ils quittent le nid vers l’âge de 50 à 60 jours, et restent encore quelques jours aux alentours du nid où les parents les nourrissent toujours. Les jeunes survivent tous en général. Il n’y a apparemment pas de mort du cadet par l’aîné.

Symbole de la victoire, les Assyriens, les Perses et les Romains le plaçaient, les ailes déployés, au-dessus des étendards. C’est parce que l’aigle s’élevaient à des hauteurs considérables que les Romains en avaient fait l’oiseau de Jupiter et le considéraient comme messager des dieux. Après la retraite de sa fille Hébé, Zeus descendit sur terre, pour chercher un autre échanson (sommelier), il se transforma en aigle, et c’est sous cette forme qu’il enleva Ganymède, fils de Tros. Certains indiens d’Amérique ornaient leurs coiffes de guerres de plumes d’aigles. Pour les Aztèques, il représentait la course du soleil.

L’Aigle botté bénéficie d’une protection totale sur le territoire français depuis l’arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l’ensemble du territoire. Il est inscrit à l’annexe I de la directive Oiseaux de l’Union européenne. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l’enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids et de détruire, altérer ou dégrader leur milieu. Qu’il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l’utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l’acheter.

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AIGLE et Symbolisme

Posté par othoharmonie le 8 novembre 2014

 

290px-Sulawesi-hawk_eagleL’aigle est le symbole de nombreux organismes et nations. Il représente les idées de beauté, de force et de prestige. Les Romains l’utilisaient comme emblème pour leurs armées.Sur certaines pièces de monnaie (l’euro) est affichée le symbole d’un aigle qui est entouré d’étoiles. Ce symbole est l’emblème de l’Allemagne.

L’aigle, capable de s’élever au-dessus des nuages et de fixer le soleil, est universellement considéré comme un symbole à la fois céleste et solaire, les deux aspects pouvant d’ailleurs se confondre.

Roi des oiseaux, il contourne le symbolisme général de ceux-ci, qui est celui des anges, des états spirituels supérieurs. Il est, dans l’antiquité classique, l’oiseau de Zeus, à qui il lui arrive même de s’identifier ; son rôle de roi du ciel est également explicite chez les chamans sibériens. Son identification au soleil, source et rayonnement de la lumière, est essentielle pour les Amérindiens qui, portant des plumes d’aigle, s’identifient à ce rayonnent. Les plumes et le sifflet en os d’aigle sont utilisés dans la danse qui regarde le soleil. Même identification chez les Aztèques, et aussi au Japon : le « Kami » dont le messager ou le support est un aigle est dénommé Aigle du céleste soleil. En Grèce, les aigles partis de l’extrémité du monde, sont dits s’arrêter à la verticale de l’« Omphalos » de Delphes : ils suivent ainsi la trajectoire du soleil, du lever au zénith, qui coïncide avec l’axe du monde.

L’aigle fixant le soleil, c’est aussi le symbole de la perception directe de la lumière intellective. Angelus Silesius a écrit « L’aigle regarde sans crainte le soleil en face ; et toi l’éclat éternel, si ton cœur est pur ». Symbolisme de contemplation auquel se rattache l’attribution de l’aigle à saint Jean et à son évangile. Certaines œuvres d’art du Moyen Age l’identifient au Christ lui-même, dont il signifie l’Ascension et parfois la Royauté. Cette seconde interprétation est une transposition du symbole romain de l’Empire. Les psaumes en font un symbole de régénération spirituelle, comme le phénix.

Le symbole de l’aigle comporte aussi un aspect maléfique. Le renversement du symbole du Christ en fait une image de l’Antichrist : l’aigle est le rapace cruel, le ravisseur. Il est aussi parfois symbole d’orgueil et d’oppression (ceci est lié au pouvoir impérial). C’est la perversion de son pouvoir.

L’aigle est fortement utilisé comme symbole pour des insignes d’unités de l’Armée de l’air (bien que le symbole central de cette Armée soit l’épervier, appelé « charognard », souvent confondu avec l’aigle). Par exemple, l’aigle se retrouve sur des insignes d’unités, comme celui de l’école militaire de l’air, homologué en 1947 ou encore, l’insigne de poitrine des commandos parachutistes de l’air), homologué sous le numéro A 690).

Symbole de conquête et de puissance


Les Perses, les premiers, d’après Xénophon, auraient adopté le roi des rapaces comme emblème et l’auraient représenté en or. Dans la Rome antique, l’aigle, d’abord réservée à la milice, devint, sous le consulat de Marius, l’insigne des légions, et le resta jusqu’à l’époque de l’empereur Constantin, au début duIVe siècle. Au IXe siècle, l’aigle réapparaît en France sur les écus de Charles le Gros. Au XIe siècle, les empereurs germaniques, pour marquer leur filiation avec Rome, frappent d’une aigle leur blason.

L’aigle héraldique figure, depuis, sur de nombreuses armoiries, dont celles de la Pologne et de la Russie. En France, les aigles de la Grande Armée de Napoléon Ier sont restées célèbres.

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L’AIGLE CRIARD EST PROTEGE

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2014

 

290px-Great_spotted_Eagle_I2_IMG_8358L’Aigle criard bénéficie d’une protection totale sur le territoire français depuis l’arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l’ensemble du territoire. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l’enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, et de détruire, altérer ou dégrader son milieu. Qu’il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l’utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l’acheter.

Son aire de peuplement couvre l’Asie, la Chine, la Sibérie, la Perse, la Russie, la Finlande, la Pologne, la Hongrie. Il se rencontre aussi en Grèce et dans les Balkans, en Italie et parfois en Camargue.

Il passe de plus en plus l’hiver dans le nord d’Israël dans la Vallée du Houlé autour du lac Agamon

Il niche dans les forêts à proximité d’un point d’eau. Il utilise un ancien nid de rapace ou bien il le construit lui-même à une hauteur comprise entre 8 et 12 mètres. En mai ou en juin, la femelle pond deux œufs de couleur blanc-gris dont l’incubation dure jusqu’à 41 jours. La femelle commence à couver à partir du premier œuf alors que le mâle prend en charge le ravitaillement. Les aiglons gardent le nid entre 60 et 65 jours.

Son menu se compose principalement de petits mammifères comme les campagnols, les rats, les sousliks, les hamsters et les taupes. La part des oiseaux dans son régime alimentaire est plus importante que chez l’Aigle pomarin. Les poissons, les batraciens. Reptiles et gros insectes jouent également un rôle significatif. En hiver il ne dédaigne pas les cadavres d’animaux

L’Aigle criard utilise plusieurs techniques de chasse. Le plus souvent, il le fait à partir d’un poste d’affût situé en bordure d’une rivière, d’un lac ou dans une zone ouverte. Cependant, il peut capturer ses proies à la suite de vols planés exploratoires. Il peut également chasser à pied des jeunes oiseaux d’eau encore inaptes au vol.

Ce rapace au bec crochu et aux griffes puissantes et acérées peut être confondu avec son cousin l’Aigle pomarin. Les points de ressemblances sont si nombreux qu’ils rendent bien souvent son identification difficile. En effet, tout comme lui, il est entièrement brun noir avec des reflets cuivrés. Autre élément de convergence, les sus-caudales peuvent être mêlées de blanc et les rémiges primaires sont noires à racine blanchâtre. Le bec est noir, la cire et les pattes jaunes, l’iris brun. Les facteurs de discrimination et de divergence sont finalement une question de spécialistes et d’acuité visuelle : élément principal, l’Aigle pomarin est légèrement plus clair et plus petit. Si l’on rentre dans les détails, le critère le plus typique est visible en vol, avec un contraste différent visible dans le dessous des ailes : chez l’Aigle criard, les couvertures sous-alaires sont plus sombres que les primaires.Chez l’Aigle pomarin, les couvertures sous-alaires sont plus claires que les primaires. Il existe une forme de couleur beige clair ditefulvescens. Elle se reproduit depuis la Pologne à l’Est vers l’Asie centrale.

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BEC ET PATTE D’AIGLE

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2014

 

059 Bec et patte aigle

Bec et patte d’aigle: grand oiseau rapace diurne, pourvu d’un bec crochu et de serres puissantes, vivant dans les hautes montagnes.
Cire: membrane recouvrant la base du bec de l’aigle.
Narine: entrée du système respiratoire de l’aigle.
Mandibule supérieure: partie supérieure du bec de l’aigle.
Langue: organe gustatif de l’aigle.
Mandibule inférieure: partie inférieure du bec de l’aigle.
Menton: partie de la face de l’aigle située sous son bec.
Gorge: partie antérieure du cou de l’aigle.
Oeil: organe visuel de l’aigle.
Plage auriculaire: partie de la tête de l’aigle qui est relative à l’audition.
Doigt médian: appendice articulé central.
Doigt externe: appendice articulé extérieur.
Doigt interne: appendice articulé intérieur.
Ongle: organe dur terminant le doigt.
Doigt postérieur: appendice articulé arrière.
Tarse: partie de la patte de l’aigle située juste au-dessus du pied.

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L’AIGLE, le nom d’un rapace

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2014

290px-ImpeagleAigle est communément le nom donné à certains grands rapaces planeurs diurnes. C’est aussi le nom que la nomenclature aviaire en langue française donne plus précisément à 38 espèces d’oiseaux qui constituent 12 genres. Tous les aigles appartiennent à la famille des Accipitridés. Certaines espèces sont actuellement disparues.

Les aigles sont de grands rapaces planeurs diurnes qui possèdent des pattes puissantes et de grandes serres pour saisir leurs proies. Ils ont également une vue perçante leur permettant de repérer celles-ci à distance.

Les aigles ont des ailes qui présentent une émargination importante, ce qui les distingue des Falconidae(faucons, éperviers). Comme certaines buses, ils ont des tarses emplumés, mais les aigles plus grands que celles-ci.

De nombreuses espèces sont vulnérables à la destruction de leur habitat. De plus, situés en tête de chaîne et pyramide alimentaire, ces oiseaux de proie concentrent dans leur organisme de nombreux polluants (pesticides, métaux lourds…) et par conséquent, de même que de nombreux prédateurs e tnécrophages, ils sont fréquemment victimes de saturnisme aviaire, notamment quand ils ingèrent des grenailles de plomb.

On dit que l’aigle glatit ou trompette pour désigner son cri. Le petit de l’aigle est un aiglon. Sa femelle est une aigle.

Le nom français aigle vient du latin aquila, peut-être par l’intermédiaire de l’ancien provençal aigla (ce qui expliquerait le g français). Le nom latin – repris à l’époque moderne pour désigner le genre Aquila – se continue dans d’autres langues latines comme l’espagnol águila . Le nom français a passé dans l’anglais eagle. En revanche, l’allemand Aar ou Adler (ancien adelar, littéralement aigle noble) et le grec  (aetós) ont d’autres origines.

L’aigle apparaît fréquemment dans les arts plastiques. Dans l’art gréco-romain, c’est un des attributs de Jupiter, qui prit sa forme pour enlever Ganymède, et il apparaît dans les représentations de Prométhée supplicié. Dans l’iconographie chrétienne, il est le symbole ou l’attribut de saint Jean l’évangéliste (surnommé l’Aigle de Patmos). Les lutrins sont ornés d’aigles à la symbolique complexe. L’aigle en effet s’attaque aux serpents, symbole du mal dès le premier Livre biblique qu’est celui de la Genèse ; il monte dans les hauteurs du ciel comme le Christ au moment de l’ascension. L’aigle est également l’emblème des légions romaines, repris par Napoléon qui en fait un symbole impérial, que les poètes associeront à son nom (l’aigle baissait la tête (Victor Hugo, Les Châtiments), L’Aiglon (Edmond Rostand)) et qui figure à ce titre dans l’iconographie impériale.
L’art martial d’aigle symbolise : Audace et majesté.

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BIBLIOGRAPHIE DE L’AIGLE

Posté par othoharmonie le 6 novembre 2014

 

 

http://www.amazon.fr/LOracle-lAigle-blanc-secrets-m%C3%A9decine/dp/2923717856

http://www.unitheque.com/Livre/biotope_editions/Parthenope/L_Aigle_royal-33316.html#.VE83MiKG-K0

http://fr.wikipedia.org/wiki/Aigle_%C3%A0_ventre_roux

  •  Aigle royal (Aquila chrysaetos) 
  • Andreas J. Helbig, Annett Kocum, Ingrid Seibold et Michael J. Braun, « A multi-gene phylogeny of aquiline eagles (Aves: Accipitriformes) reveals extensive paraphyly at the genus level », Molecular Phylogenetics and Evolution, vol. 35, no 1,‎ avril 2005, p. 147-164

Oiseaux.net, consulté le 1er février 2012

 

1. CUGNASSE, J.M. & AUSTRUY, J.C. (1986).- L’Aigle royal dans le Massif Central. C.R. Cool. International “L’Aigle royal

en Europe”, Maison de la nature, Briançon. 79-82 

2. GENSBOL, B. (2005).- Guide des rapaces diurnes. Europe, Afrique du Nord et Moyen-Orient. Les Guides du Naturaliste

crbst_aigle450Delachaux & Niestlé, Paris. 403 p. 

3. GOAR, J.L. & MASSE, M. (2006).- Reproduction à moins de trois ans d’une femelle d’Aigle royal Aquila chrysaetos. Alauda

4. NEBEL, D., DUQUESNE, A. & JUIN, G. (1996).- L’Aigle royal Aquila chrysaetos dans la réserve domaniale du Mont Vallier

(Ariège, France) 1987-1995. Alauda 64: 179-186. 

5. WATSON, J. (1997).- The Golden Eagle. Monographie. T&AD Poyser, London. 374 p.

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