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LES ANIMAUX ont-ils peur de la mort et de l’au-delà

Posté par othoharmonie le 26 décembre 2015

 

peur de la mortNe vous êtes-vous jamais demandé ce que les animaux pensent de la mort ? ou s’ils savent quelque chose au sujet de la vie après la mort ou si elle existe ?
personnellement, la connexion avec les animaux décédés m’a permis d’accéder à un tout nouveau monde, et le fait d’avoir communiqué avec des centaines d’animaux à tous les stades de la vie a métamorphosé mon regard sur le sujet.

Selon mon expérience, j’ai constaté que la plupart des animaux n’ont pas peur de mourir. Ils accueillent souvent la mort comme une vieille amie, et quand ils sont prêts, ils sont dans une profonde gratitude et intensifient la joie de leur corps. Souvent, leur dernier cadeau pour nous est de nous enseigner et de vivre cette expérience.

Surtout si nous avons peur de la mort ou du mourant, alors traverser ce processus avec nos animaux de compagnie peut nous apprendre à affronter la mort avec dignité, respect, compassion, et avec beaucoup moins de craintes.

En général, les seuls animaux qui appréhendent la séparation sont ceux qui ont épongé les craintes de leurs compagnons humains anxieux et terrifiés de les laisser partir ou ceux dont la relation avec leurs humains semble inachevée. Grâce à leur lien intime avec leurs compagnons humains, les animaux reflètent souvent l’état émotionnel de leurs ressources humaines. Pour aider nos animaux, vous pouvez prendre un moment pour réfléchir à comment vous vous sentez face à la mort.

Si vous n’êtes pas neutre, centré et calme, alors vous ne pourriez pas être tout à fait ouvert aux éléments que les animaux pourraient avoir à vous partager au moment de partir vers l’au-delà. Soyez prêt à obtenir l’aide dont vous avez besoin, de sorte que votre animal n’ait pas à « réfléchir » et que la situation n’exacerbe pas les blessures émotionnelles.

A travers ce que les animaux nous enseignent au sujet de la mort, vous pouvez grâce à cette expérience dépasser vos propres croyances et aller vers plus d’enseignement et de compréhension. Les animaux ont accès à beaucoup plus d’informations que nous en particulier quand il s’agit de l’énergie et de sens extraordinaires. Rappelez-vous que l’Esprit utilise souvent des animaux pour communiquer avec nous, toucher nos cœurs, nous enseigner et nous guérir.

En fait, notre relation d’amour avec nos animaux nous aide à apprendre les leçons qu’ils sont venus nous enseigner, à faire de nous de meilleurs humains, et à nous reconnecter à notre unicité dans l’unité de la vie.

Lorsque vous êtes prêts, asseyez-vous tranquillement avec vos amis animaux. Invitez-les à vous apprendre. Posez-leur les questions que vous avez sur le cœur. Et puis il suffit d’écouter avec une attention ouverte. Accueillez les impressions, les images ou les sentiments que vos animaux désirent partager avec vous. Soyez tranquille et clame, tandis que vous vous asseyez avec eux pendant un moment.

Ensuite, remerciez-les de ce que vous obtenez. Ne soyez pas trop impatient d’obtenir les réponses rapidement de ce genre d’énergie. Laissez le sens du temps se dérouler à son rythme, et ce que vous obtiendrez peut métamorphoser votre aussi.

Extrait de Syvia Kramer auteur du livre « Stop à la malbouffe croquettes de nos chiens et chats »

http://www.communictionanimaleifo.com

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Le cauchemar de Muffin : se faire couper les griffes

Posté par othoharmonie le 26 décembre 2015

griffe de chatL’attention de Pénélope Smith fut appelée un jour sur une chatte, Muffin, qui griffait et mordait son entourage.

La petite Muffin avait été adorable jusqu’au moment où, presque simultanément, les humains lui coupèrent les griffes et lui ôtèrent définitivement la possibilité d’avoir des petits. Lorsque Pénélope prit contact, elle découvrit un animal traumatisé. La chatte avait mal au ventre.

Elle se plaignit de douleurs dans les orteils et était furieuse contre son entourage pour la cruauté qu’il manifestait à son égard. Pénélope apprit que personne n’avait pris le temps de lui expliquer ce qui s’était passé. Sur le premier point, par exemple, ses clients n’avaient pas réalisé que la coupe des griffes, un acte banal dans notre système social, n’était pas une opération indispensable pour les chats. Selon les animaux, cette coupe s’accompagnait souvent de souffrances physiques et émotionnelles, parfois durables. Pénélope expliqua que la coupe des griffes laissait à Muffin un sentiment de vulnérabilité, car on lui enlevait en même temps une partie « avancée » de son système de défense.

Par ailleurs, lorsque la chatte plantait ses griffes dans un tronc ou un objet prévu à cet effet, elle agissait non seulement sur les griffes, mais en profitait aussi pour s’étirer, pour aligner ses vertèbres et activer sa circulation sanguine. C’étaient des actes évidemment difficiles à réaliser quand on vous coupait « les ongles ». De plus, l’absence de griffes modifie la sensibilité des pattes et rend parfois douloureux le fait de « labourer » une litière, d’où la recherche de nouveaux lieux pour uriner, parfois dans une maison… L’entretien que Pénélope Smith eut avec Muffin et les conseils qu’elle lui prodigua à cette occasion apaisèrent l’animal. Les gens de son entourage aidèrent le petit être à retrouver sa sérénité en lui prodiguant de doux massages et en lui consacrant davantage de leur temps, notamment à jouer ensemble. Muffin redevint progressivement la chatte adorable qu’elle avait été, car maintenant ces gens semblaient la comprendre.

Cette anecdote est tirée du livre de Pénélope Smith « Animal talk: interspecies telepathic communication » (Ed. Beyond words publishing, Inc., Hillsboro, Oregon, USA. 1999. pp. 93-95)

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Lorsque le Jars est esseulé

Posté par othoharmonie le 26 décembre 2015

 

JARSLe soleil allait se coucher. Lorsqu’il disparut derrière l’horizon, des courants d’air frais montèrent du ruisseau. Le jars survola l’enclos, cherchant la femelle, qui n’avait cessé de faire entendre des plaintes étouffées. Il descendit très bas mais, s’apercevant que l’oie était prisonnière du grillage, se hâta de reprendre de l’altitude ; et il monta très haut, où il faisait encore grand jour. Il continua à voler en rond jusqu’à ce que les étangs, les bosquets et l’enclos où attendait la femelle eussent été recouverts par la marée de la nuit.

Alors, seulement, dans l’obscurité totale, il inclina son vol vers la terre, sans un bruit ; Parvenu à cent mètre au-dessus de l’enclos, il se laissa tomber comme une pierre, freina à la dernière seconde et vint se poser sur la terre tassée de l’aire, à l’intérieur du grillage.

La femelle alla à sa rencontre, et ils demeurèrent l’un près de l’autre dans le noir.

Personne ne vit le jars partir à l’aube. La femelle s’abstint de trompeter pour essayer de le retenir ; il se contenta de se tasser sur ses pattes palmées, et le regarda prendre son vol. Il s’en alla se poser sur l’étang le plus éloigné.

C’est là que Rank le fermier l’aperçut. Après avoir distribué du grain au troupeau et à l’oie enfermée dans l’enclos, il s’en fut répandre un peu de maïs sur la berge de l’étang, dans l’espoir que le mâle viendrait picorer. Mais le jars, craignant que ce maïs ne fût un piège, arracha l’herbe qu’il pouvait atteindre sans aller à terre et tondit de son bec les jeunes pousses des plantes qui se développaient dans l’eau. Il trouva même, près du bord, de petits cailloux pour garnir son gésier. Lorsque les employés du ranch commencèrent à arriver, il s’enleva et vola jusqu’à la Rose, la rivière qui, à quatre cents mètres de là, roulait son flot paisible dans une vallée peu profonde.

Il demeura longtemps posé sur l’eau, se laissant porter par le courant ; puis, enfin assuré d’être seul, il se dirigea lentement vers la berge et se fit en devoir de se nourrir. De nouveau, le ciel se peuplait d’oies sauvages qui chevauchaient le vent, et le jars, de temps à autre, leur lançait un appel, car une oie isolée est pareille à un homme égaré. Elles lui répondaient, perdaient parfois un peu d’altitude, le temps de voir ce que ces parages pouvaient avoir d’assez tentant pour pousser l’un de leurs congénères à s’attarder ainsi, tout seul. Mais pas une ne s’arrêta. A un moment donné, le jars s’éleva au-dessus de l’eau et se joignit à une bande plus de cent oiseaux qui volaient en formation triangulaire. S’insérant dans l’arrière-garde, il les accompagna jusqu’à ce que les étangs devinssent semblables à des gouttes d’eau sur une feuille verte. Alors, avec un petit cri, il quitta la bande et fit demi-tour.

Quelques-unes des femelles de passage, e t particulièrement celles – bien rares – qui n’avaient pas trouvé de compagnon, l’invitaient par leurs appels à les accompagner jusqu’aux terres du Nord, où les arbres sont petits et l’été enivrant. Mais elles ne mettaient pas dans ces appels l’insistance des oies qui, à l’automne, retournent vers le sud.

1024px-Goslings_J3Les vols d’automne se composent de jeunes pour plus de la moitié ; et ces jeunes « jappent » comme des chiots chaque fois qu’ils aperçoivent une prairie bien verte, une bande au repos, une haie marécageuse ou même une flottille de canards. Parfois, en cette saison, de jeunes oies des neiges et des oisons à front blanc, dont les parents sont tombés sous les coups de fusil des chasseurs, se joignent aux vols des grandes oies du Canada. On ne peut s’empêcher de rire en les voyant, plus petits, battre frénétiquement des ailes pour ne pas se laisser distancer, tandis que leurs cris aigus servent de contrepoint aux coups de trompes sonores des oies du Canada.

Mais on était au printemps

 

Voici l’histoire : issue du livre présenté ICI : http://bibliothequecder.unblog.fr/2015/05/05/loie-sauvage/

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