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La réincarnation des animaux

Posté par othoharmonie le 15 juin 2015

 

CHATSUne médium très connue, raconte l’histoire suivante. Son mari qui était aveugle avait eu plusieurs chiens d’aveugle pour le guider dans ses déplacements. Après la mort de son mari et du dernier chien d‘aveugle, Michèle a reçu en cadeau un jeune chien qui n’avait pas et qui n’aura pas, par la suite, de formation pour être chien d’aveugle. A l’âge adulte, ce chien développera des capacités de guidage identiques à celles d’un chien d’aveugle ! Pour Michèle, ce chien était la réincarnation d’un des précédents chiens de son mari. Cette histoire peut apporter une réponse à la deuxième question : les animaux se réincarnent ils. Pour cette question, comme pour la précédente, il ne peut y avoir de preuve absolue !  

Depuis quelques années, nous voyons publier des livres parlant de communication avec les animaux. Les communications avec les animaux vivants permettent de mieux les soigner, car ils disent ce qui les fait souffrir. Mais il existe également des communications avec des animaux décédés. Le dernier livre de Kim Shéridan est très instructif, il raconte, entre autre, l’histoire d’une colonie de rats, dont certains se réincarnent plusieurs fois dans la même famille.  

Dans le chapitre 19 de son livre, Kim Sheridan, s’insurge contre la théorie de l’âme-groupe. 

« Une autre théorie courante que j’ai entendue est que les animaux n’ont pas d’âme individuelle, qu’ils sont simplement une partie d’une « âme de groupe» au mieux, et rien de plus. Une fois qu’ils meurent, ils fusionnent avec une conscience de groupe animale et leur individualité, leur personnalité unique s’en va pour toujours. D’innombrables personnes sont venues vers moi en larmes après qu’elles aient entendu cette « théorie» par quelqu’un vers qui elles s’étaient tournées pour avoir du soutien pendant qu’elles pleuraient la perte d’un compagnon bien-aimé, un compagnon qui n’existe plus vraiment, leur a-t-on dit. » 

Mais dans toute son existence, Kim Sheridan a adopté et vécu avec des centaines d’animaux et elle nous confie seulement le destin exceptionnel d’une dizaine de rats, dont quatre qui se sont réincarnés dans sa maison. Et les autres? N’avaient-ils pas le même rapport de sociabilité avec elle et avec les humains, n’avaient-ils pas la même aura ? Voyons donc cette théorie de l’âme-groupe décrite par Raoul Montandon

« Imaginons une chambre divisée en deux par un rideau, dont un côté représente le monde Astral et l’autre le monde physique. Supposons que de chaque côté se trouve un homme. Ces deux êtres ne peuvent ni se voir ni se rencontrer. Dix ouvertures sont pratiquées dans le rideau; l’homme placé dans la division représentant le monde astral peut, à travers ces ouvertures, faire passer ses dix doigts dans la division représentant le monde matériel. Cet homme donne une excellente image de l’âme-groupe. Les doigts représentent les corps des animaux appartenant à une même espèce. Il peut les mouvoir comme il l’entend; Il ne peut cependant pas les utiliser aussi intelligemment, ni aussi librement que le peut l’homme, qui arpente la division physique, lequel peut se servir de son corps. Ce dernier voit bien les doigts en mouvement, mais il ne se rend pas compte du rapport existant entre eux. Ils lui paraissent être tous distincts, les uns des autres. Il ne peut deviner que ces doigts sont ceux de l’homme caché derrière le rideau et que leurs mouvements sont dirigés par son intelligence. S’il blesse un de ces doigts, ce n’est pas seulement lui qu’il meurtrit, mais surtout l’homme qu’il ne voit pas. Un animal blessé souffre, mais pas au même degré que son âme-propre. Le doigt n’a pas de conscience individuelle, il se meut au gré de l’homme qui le dirige. Les animaux en font de même suivant les impulsions de l’âme-groupe. Nous parlons «d’instinct animal», «d’instinct aveugle», et cependant il n’y a rien d’aveugle dans la manière dont l’âme-groupe guide ses membres. Il n’y a là que de la sagesse… »  

« Ainsi, tandis qu’il y a dans chaque homme un Ego distinct et conscient de lui même, qui domine ses actions, le fragment divin de chaque animal n’est pas encore individualisé et conscient de lui-même, mais fait partie du véhicule d’une entité consciente, l’âme-groupe, qui appartient à une évolution différente. Ce que nous venons de dire, conduit à considérer l’âme-groupe comme une sorte de réservoir commun d’instinct et d’intelligence, dans lequel viennent puiser un certain nombre d’individus incarnés dans des corps de chair. Moins le groupe, ou l’espèce, sera évolué, plus le nombre d’individus mus par une âme-groupe sera élevé… »  

« Il résulte de ceci que les animaux qui sont en contact direct avec l’homme et qui vivent dans son intimité, trouvent ainsi l’opportunité de faire certaines expériences, d’acquérir certaines qualités qui auront une répercussion sur l’âme-groupe, la modifiant insensiblement dans le sens de ce qui distingue l’humanité de l’animalité. En sorte que le commerce humain représente, pour les animaux domestiqués ou asservis, le gage d’un progrès à venir, dans la longue lignée de l’évolution… »  

Cette conception de l’âme groupe est contestée par certains dont Jean Prieur (3) qui la réserve uniquement aux animaux à sang froid.  

L’individualisation.  

« Les animaux sont mis en contact avec l’homme pour que leurs instincts sauvages soient extirpés et que leurs attributs  « humains » se développent en eux.. ». Après de nombreuses réincarnations, ils finissent par avoir une âme individuelle et progressent pour eux même et non pour l’âme groupe tout entière. 

réincarnation
« Ces considérations préliminaires nous permettent maintenant d’examiner par quel processus l’animal évolué quitte le règne animal (l’âme-groupe) pour pénétrer dans le règne humain, autrement-dit: comment il devient une individualité consciente et responsable… »  

« Soyez bons pour les animaux. N’oubliez jamais qu’ils ont une âme, plus développée que celle des végétaux et qu’ils souffrent comme nous physiquement et moralement ». Cette phrase de Georges Morrannier, est citée au début des textes  concernant l’âme des animaux.  Celle-ci : « Quelques questions sont encore sans réponse, telle que les raisons de la souffrance des animaux… », si elle était appliquée à l’animal comme elle est applicable à l’homme, justifierait l’évolution de l’âme animale par la réincarnation ! Georges Morrannier semble totalement opposé à cette idée ! Mais alors pourquoi les animaux doivent ils donc souffrir ? 

Georges Morrannier nous a expliqué, en détail, le fonctionnement de l’Au-delà pour les humains. Ne lui en demandons pas plus. Un de ses prédécesseurs, Pierre Monnier, jeune officier français de 23 ans mort au combat en Argonne en janvier 1915, a communiqué avec sa mère, Cécile dès 1918 et jusqu’à la veille de la deuxième guerre mondiale.   

Dans son message  du 11 septembre 1919, il disait déjà que « les chiens se réincarnent volontiers et cherchent à revenir sur terre, quand ils ont été heureux.. »  

Tous les textes des pages ENSEIGNEMENTS ont fait l’objet d’un dépot de copyright 44825 et 48052.

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Les caméléons attirent l’homme

Posté par othoharmonie le 15 juin 2015

 

images (3)Fragile et mal aimé

Les rapports entre l’homme et le caméléon sont rarement agréables pour ce dernier ; et les légendes selon lesquelles le caméléon porte malheur ne suffisent pas à décourager certains de le capturer, provoquant ainsi la mort de cet animal inoffensif.

Menacé par les hommes

La pire menace que l’homme fasse peser sur le caméléon est la destruction de son biotope, notamment à cause de la déforestation. Le problème est particulièrement patent à Madagascar. Les deux autres causes principales de raréfaction des caméléons sont l’extermination de ses proies par des produits chimiques (pesticides) et le trafic pour le marché des animaux de compagnie. Pourtant, conserver un caméléon captif en bonne santé tient de l’exploit, et sa mise en terrarium est souvent suivie d’une mort rapide. Un trafic des espèces les plus rares, même protégées par la Cites (Convention sur le commerce international des espèces menacées d’extinction), persiste. Le caméléon commun, capturé et vendu aux touristes sur les marchés en Afrique du Nord, meurt le plus souvent rapidement, parfois après quelques jours seulement, faute d’insectes à se mettre sur la langue ou d’un environnement adapté.

Un animal sacré au rôle purificateur

Chez les Dogons du Mali, le caméléon figure dans les sanctuaires et apparaît dans les rituels comme l’animal purificateur, protecteur de la Terre et des hommes.

Pour les Pygmées Mbuti, le caméléon Aruméi aurait aidé le dieu Aribati dans sa création du monde. Cet animal sacré est aussi pour eux un objet de crainte, car ils le croient capable de manipuler l’éclair et lui attribuent la responsabilité du déluge : au temps où la Terre était vide de toute eau, Aruméi était grimpé sur le grand arbre Tii, qu’il avait fait pousser pour se rapprocher d’Aribati. Entendant des murmures à l’intérieur du tronc, il fendit l’arbre. Aussitôt, un fleuve d’eau en sortit et submergea la Terre.

Porte-malheur ou porte-bonheur

À Madagascar, le caméléon n’est pas vraiment fâdy (tabou), mais, chez certaines ethnies, rencontrer l’animal annonce un malheur à venir dans la famille, surtout si le promeneur marche dessus (le premier malheur est donc pour le caméléon !). Les auteurs anciens racontent que, sur la côte orientale de la Grande Île (aujourd’hui Madagascar), le caméléon était autrefois redouté des femmes célibataires, qui l’accusaient de pouvoir leur crever les yeux d’un coup de langue et de les empêcher ainsi de trouver un mari. En République centrafricaine aussi, on prétend qu’il peut attaquer en crachant dans les yeux une salive qui rend aveugle. Afin de se protéger contre ces dangers imaginaires, l’homme a tué l’animal pour lui prélever un fragment de peau ensuite porté au cou, séché dans un sachet, comme gri-gri.

En Afrique du Nord et en Espagne, au contraire, le caméléon est perçu comme un porte-bonheur. Mais, là encore, il s’est trouvé transformé en gri-gri .Dans certaines régions cependant, sa présence près de la maison est considérée comme bénéfique.

Proverbes et légendes de Madagascar

Le caméléon, avec sa maigreur, ses étranges excroissances, ses curieuses réactions de défense, ses yeux qui peuvent regarder dans des directions différentes, sa marche lente et ses possibilités de changement de couleur, a toujours frappé les imaginations et inspiré de nombreux proverbes tels que ceux cités par Raymond Decary dans son ouvrage Faune malgache (1950) : « N’imite pas le caméléon qui se gonfle d’autant plus que les amis qu’il rencontre sont faibles et malheureux » ; « Le destin est comme le caméléon sur un arbre, il suffit quelquefois qu’on siffle pour qu’il change de couleur » ; « Fais comme le caméléon en marche : regarde en avant et, en même temps, observe ce qui est derrière »…

L’origine des caméléons fait également l’objet de récits fabuleux. Ainsi, des légendes malgaches veulent que les caméléons soient le résultat de la transformation d’escargots de la forêt, ou encore qu’ils naissent de certains œufs de crocodiles.

 

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