Ouverture du sens, ouverture du devoir

Posté par othoharmonie le 25 avril 2015

« Laisse-toi absorber par la tâche apparente des obligations de ta vie, et tu y verras la Beauté des Mondes.
Un monde immatériel, berceau aussi de l’illusion (ce que nous appelons monde matériel et corps physique aussi du coup) et de toutes les illusions créées par le reste de ta tribu, tribu qui y croit si fermement et donc qui croît en elle, cette illusion.

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L’illusion apparente n’est pas un leurre, un piège pour tous ceux qui Voient en elle. En elle, séjourne tout un Arbre et ses réseaux. L’Arbre de Vie circule aussi dedans. Ne te méprends pas sur cela et ne jette pas pierre à l’illusion car elle est aussi le passage à offrir à ton regard et donc à ta tête, pour cueillir un Monde tout entier. Sans passage, tu nages et c’est le flou qui déroute et t’empêche d’aller toucher les étoiles à l’origine de ta vie et qui rassemble chaque vivant et constitue chaque parcelle de vie. Apprends à aimer ce passage, même s’il peut pour certains représenter faussement un leurre illusoire, car c’est grâce à cet état imparfait de matérialisation que tu peux COMPRENDRE tes fondements de vie. C’est ton verre pour le remplir d’eau. Le visible, l’illusion, est donc aussi parfait dans son imperfection apparente. C’est là un drame tout évident que l’Homme ne sache toucher, à travers le purement concret, le superbement immatériel, pour se libérer de ce qu’il conçoit être contrainte, qui pour lui le freinerait et le forcerait à devoir toujours se modifier, s’améliorer et entrer en lutte avec ce qu’il voit, pour poursuivre une quête, de victoire, mais sur quoi, sur qui ?


La Grâce est là. Déjà là, à portée de mains, lorsque d’un seul contact ta main touche et s’affranchit de la distance mue par les croyances apparentes, et qu’elle conçoit, parce qu’elle le sent, le simple contact qui unit et libère, sans pourtant y apposer de mots, trop souvent pris pour des maux.


La Grâce est là, toute pleine de sensibilité, de vie, si simple qu’elle arrive à se faire oublier à tes yeux parfois si malvoyants. Les ailes d’un papillon qui frôlent la peau de ton visage, ta main, qui ne cherche rien, posée amoureusement dans les poils d’un chien, et c’est tout un Monde Plein qui se crée. Abondance et Amour qui se vit mais ne se parle pas autrement qu’avec des mots, qui appartiennent à l’illusion…C’est incomplet mais suffisant pour suggérer le ton de cet état de grâce, et c’est déjà bien fabuleux ainsi. Aime, aime-toi, aime-nous, tous ici qui nous donnons à la vie infinie et indéfinissable.


Alors, cueillons l’essentiel à travers le concret, les yeux dans le fond du cœur, qui réunifient tout. Et remercions la Nature visible aussi pour toutes les portes qu’elle nous donne, notre Corps compris, voie possible de communication et d’échanges sur l’Infini.

Et aimons la fourmi tout autant que le ciel, le petit tout autant que l’immense, le visible matérialisé tout autant que l’invisible non encore manifesté.. » 

 

Florence Emmeline Lombardini Ostéopathe animalière de formation vétérinaire, communicante animale, claire-sentante Courriel : contact@terres-d-emeraude.eu

Association Wakama Nagi – Esprit Animal : www.wakama-nagi.org

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