REVER D’UNE OTARIE
Posté par othoharmonie le 17 janvier 2015
Un mammifère est parmi vos rêves ? Vous avez une otarie dans vos songes et vous êtes curieux de comprendre. Nous allons vous donner les significations possibles à ce rêve. Rêver d’otarie est un appel. Un ami ou un proche vous demande de l’aide. Sachez que cette personne vous estime et a beaucoup d’affection pour vous. Malgré cela, ce rêve peut aussi dire que vous avez offensé un ami. Inconsciemment, bien sûr. Prenez les précautions nécessaires pour ne pas aggraver la situation. Si dans le rêve, vous nourrissez l’animal, c’est la réapparition d’une amitié sincère. Il se peut aussi que vous rêviez d’une famille d’otaries, c’est un mauvais présage. Cette scène évoque une dépression ou une détresse. Et cette douleur morale n’est pas passagère mais permanente. Autrement dit, elle va durer un peu longtemps. Vous êtes prévenu alors essayez de ne pas trop être sensible ou vulnérable. Et si dans le rêve, vous attrapez une otarie, c’est que vous êtes préoccupé. Vous êtes rongé par la culpabilité d’avoir (ou de ne pas avoir) fait quelque chose. Soit c’est un regret soit c’est un remords. Mais le fait est que vous n’êtes pas tranquille.
Bonjour, j’ai rêvée d’une otarie qui lorsque j’ai ouvert ma porte elle se trouvait dans une cage d’escalier et venue directement vers moi , je l’ai nourrie et de même hydrater qu’elle est sa signification merci
Bonjour
J’ai rêvé que je pénétrait avec d’autres personnes dans une propriété cachée sous terre d’une bonne personne (qui avait cette réputation dans mon rêve)
Et nous étions rentrés sans y être invités. Il y avait moi, mon compagnon, son frère et son ex. C’est celle ci qui a insisté pour entrer.Puis nous sommes entrés mais nous étions sur qque chose, un grand chien, ou autre chose qui était haut juste pour ne pas être atteints.
A l’intérieur nous avons découvert une grande piscine avec une famille d’otaries.
Ils étaient de plusieurs tailles. Assez impressionnants d’ailleurs. Ils sont venus à nous curieux mais nous essayons de les éviter, puis de partir en descendant l’escalier de sortie. Un à un, en tournant autour de nous, sont tombés jusqu’en bas et étaient tellement râpés que leur peau découvrait leur chair et yeux. Ils se sont tous mis à gesticuler en agonisant au pieds de l’escalier. Nous sommes partis vite par une issue qui nous permettait de passer inaperçus. Je culpabilisais et j’anticipais la souffrance du propriétaire. C’était l’ex du frère de mon compagnon qui ait poussé à rentrer dans le domaine et qui incitait cela.