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Un PARDON Ecologiste

Posté par othoharmonie le 1 janvier 2015

 

 20-preuves-que-les-animaux-ont-un-grand-coeur-et-font-preuve-de-tendresse-avec-dautres-animaux8

PARDON aux animaux qui hurlent de terreur et de douleur dans les abattoirs 

PARDON aux animaux qui meurent de soif, de froid, d’étouffement, pendant d’interminables jours de transport vers l’abattoir 

PARDON aux animaux qui auront vécu toute leur « vie » dans l’enfer des usines d’élevage intensif, sans jamais marcher, manger normalement, respirer l’air de l’extérieur, profiter de leurs mères ou de leurs enfants, malades, sur-vaccinés d’hormones de croissance et/ou d’antibiotiques 

PARDON aux animaux agressés et dévorés par la voracité humaine 

PARDON aux oies et canards que l’on gave jusqu’à percer leur gosier, jusqu’à l’étouffement, pour que leur foie malade et hypertrophié abîment des estomacs « humains » 

PARDON  à l’oiseau abattu en plein vol ou au repos sur une branche 

PARDON au joyeux lapin sacrifié au cours de ses sorties, au sanglier innocent, au cerf traqué par la meute… 

PARDON à l’animal pris dans un piège et agonisant pendant des heures dans une infâme souffrance 

PARDON au taureau assassiné par les pics d’une « danseuse » odieuse, sous les bravos d’une foule débile 

PARDON aux animaux qu’on fait combattre pour le plaisir de psychopathes, 

PARDON aux escargots qu’on torture plusieurs jours avec du gros sel pour les faire dégorger, avant de les cuire vivants 

PARDON aux animaux des laboratoires victimes de parodies de tests (rendus inutiles par l’avancée scientifique des cultures sur cellules) des grands laboratoires pharmaceutiques ou cosmétologiques dont le seul but n’est pas de protéger l’homme mais de savoir jusqu’à quelle dose de toxicité ils peuvent pousser leurs produits sans que cela ne se remarque trop et de cautionner des autorisations honteuses de mise sur le marché 

PARDON aux animaux prisonniers à vie dans des cages chez les particuliers, dans les cirques, les zoos ou les élevages industriels ; aux dauphins et orques arrachés à leur famille, innocents, et pourtant condamnés à la prison à vie 

PARDON aux 100 millions de tonnes de poissons capturés dans les mers et océans 

PARDON à ces êtres vivants dont on sacrifie et pollue le milieu 

PARDON aux poissons de rivière qui agonisent dans l’eau polluée ou dans des lits asséchés

PARDON aux poissons d’élevage dont la nourriture et l’espace inappropriés déforment leur physique et dont la surpopulation fait qu’ils s’attaquent entre eux 

PARDON aux crustacés et notamment aux homards qu’on pêche si facilement lors de leur migration, qu’on coupe en deux et qu’on ébouillante vivants 

PARDON aux esturgeons qu’on éventre pour vendre à prix d’or leurs œufs 

PARDON aux grenouilles dont on arrache à vif les cuisses et souvent dépecées vivantes 

PARDON aux animaux qu’on délocalise et qu’on prive de leur milieu naturel pour être ensuite abandonnés à des milliers de kilomètres de leur environnement  natal 

PARDON aux animaux dépecés vivants pour leur fourrure vitale pour eux, et si futile pour les humains qui les portent 

PARDON aux animaux sacrifiés au nom de la plupart des « grandes religions  

PARDON à l’animal abandonné, rongé par la détresse, prêt à pardonner à son maître qui préfère partir en vacances et qui ne viendra jamais le rechercher 

PARDON aux animaux qui subissent les déforestations 

PARDON aux ours, oiseaux et autres animaux dont les habitats-banquises disparaissent à cause de notre mode de vie mondial 

PARDON aux animaux victimes des guerres humaines 

PARDON aux animaux pour tous les membres de l’espèce humaine qui connaissent leur souffrance, et s’en moquent.

PARDON aux animaux pour tous ces chercheurs payés pour les faire souffrir, ou qui recherchent sur des évidences comme par exemple la question de savoir si l’animal est un être sensible ! 

PARDON à tous ces êtres vivants victimes de notre folle société de consommation

 

Jean Marc GOVERNATORI     

www.alliance-ecologiste-independante.co

 

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La naissance des blanchons

Posté par othoharmonie le 1 janvier 2015

 

PhoquesIDMÀ la fin février, de retour sur les glaces du sud de l’Arctique, les femelles cherchent un endroit pour donner naissance à leur petit. Si les conditions climatiques sont trop mauvaises ou si la banquise n’est pas encore assez épaisse, elles peuvent, grâce à leur constitution physiologique, retarder l’accouchement. À l’approche de la mise bas, les femelles se rassemblent : des groupes allant de 5 000 à 6 000 mères peuvent se concentrer sur 2 km2 de banquise… La délivrance, qui a lieu le plus souvent la nuit ou très tôt le matin, est très rapide – certaines ne durentpas plus de 15 à 40 secondes. Le cordon ombilical se rompt de lui-même pendant, ou juste après, l’accouchement. Les enveloppes placentaires sont expulsées dans la demi-heure.

Grosse boule de poils mouillés, le nouveau-né a de grands yeux bleus qui prendront, au bout de 3 ou 4 jours, une teinte brune. Et l’éclatante blancheur de son pelage lui vaut le surnom de « blanchon ».

Un ennemi mortel : le froid

À sa naissance, le jeune phoque passe de l’utérus maternel dont la température est de 37 °C, à un milieu extérieur, dont la température varie de – 15 °C à + 5 °C. Et il lui faut affronter, en outre, des vents glacés. Dépourvu de la couche de lard qui protège les phoques plus âgés, il grelotte pendant 3 ou 4 heures, jusqu’à ce que son pelage soit sec et isolant. Ces tremblements génèrent une chaleur interne et lui permettent de se réchauffer. Malheureusement, cela s’avère insuffisant en cas de pluies diluviennes et de nombreux petits meurent alors de froid.

Dès la naissance, la maman phoque caresse du bout du nez son petit et le renifle, signe de reconnaissance. L’allaitement commence dans les deux heures qui suivent. Le lait de la mère est très riche en matières grasses (25 % au début de l’allaitement, 40 % à la fin, alors que le lait de vache, par exemple, n’en contient que 5 %). Grâce à cette nourriture particulièrement riche, le poids du blanchon augmente ainsi de 2,5 kg par jour, pendant la période de lactation – qui dure en moyenne 9 jours –, passant de 11-12 kg à la naissance à 30-40 kg au moment du sevrage. Une grande partie de ce gain de poids se retrouve sous forme d’un épais tissu graisseux sous-cutané qui offre au petit phoque une protection efficace contre le froid.

En cas de danger, le blanchon se fige sur la glace et ne bouge plus. Une immobilité qui a largement facilité le travail des chasseurs, d’autant que la mère accourt rarement à son secours si elle est elle-même menacée et se trouve dans l’eau. Quand elle est sur la glace, il lui arrive de défendre sa progéniture, mais aussi de s’enfuir ou de s’immobiliser à son tour. Au cours de sa deuxième semaine, le jeune est sevré. Brutalement abandonnés par leur mère, les blanchons se serrent alors les uns contre les autres, sur la glace, en poussant des cris semblables aux pleurs de bébés humains. Désormais, il va leur falloir se débrouiller seuls dans la vie.

La couche de lard située sous la peau du phoque peut dépasser 10 cm chez les jeunes tout juste sevrés, tandis que, chez l’adulte, le maximum – atteint à la fin de l’hiver – n’est que de 8 cm. Cette protection aide les bébés à affronter leur premier printemps, alors qu’ils sont encore trop maladroits pour chasser. Très mince à hauteur de la tête, l’épaisseur du lard est plus importante au milieu du corps que vers les nageoires, et elle varie selon les saisons.

A sa naissance, le jeune phoque du Groenland a une fourrure blanche et bouclée, un peu comme celle du bébé caniche. Une mue a lieu ensuite tous les ans. Elle dure entre 2 et 4 semaines, en mars et avril. Les jeunes d’un an échangent leur pelage argenté contre une fourrure tachetée, caractéristique de l’âge juvénile. Le pelage des adultes – blanc jaunâtre ou grisâtre, avec une tête noire ou brune, des taches sombres au niveau des nageoires postérieures et une sorte de lyre ou de fer à cheval sur le dos – fait penser à celui du fox-terrier. Il n’apparaît pas avant 8 ou 9 ans chez les mâles et parfois pas avant 20 ans chez les femelles.

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LE PHOQUE Des amours brèves mais tumultueuses

Posté par othoharmonie le 1 janvier 2015

 

1024px-Harbor_Seal_(Phoca_vitulina)_03Arrivant du Nord après une migration de plusieurs milliers de kilomètres, les femelles reviennent à proximité des glaces flottantes où elles sont nées cinq ou six ans auparavant. Elles ont atteint l’âge de la maturité sexuelle (5 ans et demi en moyenne). C’est le mois de février, et bon nombre d’entre elles attendent un petit qui naîtra quelques jours après leur arrivée.

Elles s’installent massivement (leur nombre peut atteindre 3 000) sur des glaces flottantes assez épaisses – au minimum 25 cm d’épaisseur –, non loin de chenaux qui leur assurent un accès rapide à la pleine mer, en cas de danger. Si les icebergs ont tendance à fusionner, elles creusent ce qu’on appelle des « trous de respiration » en donnant de grands coups de tête dans la glace nouvellement formée. Ces orifices mesurent en général, à la surface, entre 80 et 90 cm de diamètre et s’élargissent en profondeur. Les phoques s’en servent tantôt pour se rendre à la mer, tantôt, lorsqu’ils sont dans l’eau, pour y respirer. Contrairement à ce qui se passe chez les phoques de l’Antarctique, plus de 40 animaux peuvent partager le même trou…

La biologie du phoque du Groenland est aujourd’hui bien connue grâce aux travaux menés depuis les années 70 par le biologiste canadien K. Ronald, professeur à l’université de Guelph, au Canada. Selon ces études, la femelle a un seul œstrus par an. Lorsqu’elle est déjà mère, celui-ci se produit 2 semaines après la mise bas et coïncide avec la fin de l’allaitement. L’accouplement a le plus souvent lieu quelques jours après le sevrage du jeune, soit 2 à 3 semaines après sa naissance.

Les mâles se rassemblent avant l’accouplement

Début mars est la grande période du rut, et les mâles – sexuellement mûrs dès l’âge de 4 ans, même s’ils attendent généralement d’avoir 7 ans pour s’accoupler – acquièrent alors une forte odeur musquée. Toutefois, dès avril, leurs glandes reproductrices régressent ; leur activité sexuelle ne dure que 4 à 8 semaines par an, d’où la brève saison des amours.

Très courte, mais mouvementée, celle-ci commence par le rassemblement des mâles. À la surface de l’eau, tout autour des glaces flottantes sur lesquelles les femelles se sont installées, ils sautent et virevoltent, ou se lancent dans des rondes et des courses frénétiques en direction de l’élue. Toutes ces démonstrations ont le même but : attirer l’attention des femelles. Celles-ci répondent en adoptant une position particulière : elles arquent le dos, rejettent la tête en arrière et dressent en l’air leurs nageoires postérieures…

Les accouplements ont surtout lieu sous l’eau chez les phoques du Groenland qui vivent dans le golfe du Saint-Laurent, et plutôt sur la glace chez les autres groupes.

Les phoques du Groenland sont sexuellement actifs jusqu’à leur mort, vers 30 ans. Les femelles donnent naissance à un jeune par an, après une gestation apparente de 11 mois et demi, qui ne dure en fait que 7 mois et demi, grâce au phénomène de nidation différée. Après quoi, les mâles se regroupent, repartent pour le Nord en quête de nourriture, suivis par les femelles, puis par les jeunes.

 

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