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Papa Pingouin

Posté par othoharmonie le 5 octobre 2014

 

 

téléchargement (12)Papa Pingouin est une chanson grand public et familiale interprétée par le duo des sœurs jumelles Sophie & Magaly, dont les paroles ont été écrites par Pierre Delanoë et enregistrée sous le label Jupiter Records et Arabella en 1980.

Cette chanson a été chantée au Concours de l’Eurovision pour représenter le Grand Duché du Luxembourg. Elle finit 9e sur 19 au classement avec 56 points.

En 2006, le titre du Papa Pingouin est repris par le groupe de 3Dance Pigloo sous le titre Le Papa pingouin, il sortira de ce titre un clip vidéo mettant en scène des manchots en images de synthèse dansant, avant même la sortie de Happy Feet.

À noter que la chanson et le clip (costume) semblent parfois désigner par erreur des manchots par le nom de pingouin. Selon les paroles, le « Papa Pingouin » vit à juste titre en Arctique (puisqu’en rêve, il part « vers le Sud jusqu’en Angleterre »), qui sont bel et bien des habitats des pingouins, (alors que les manchots vivent dans l’hémisphère sud). Par contre, il est aussi décrit par erreur que ses ailes ne servent « plus à rien », ce qui est une des caractéristiques des manchots (alors que les pingouins sont des oiseaux volants).

VOIR LA VIDEO DE PAPA PINGOUIN

Image de prévisualisation YouTube

http://www.youtube.com/watch?v=DN59pKJoF34

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Parole de LA CHANSON : Le Papa Pingouin

Posté par othoharmonie le 5 octobre 2014

téléchargement (11)

 

{Refrain:}
Le Papa pingouin
Le Papa pingouin
Le Papa, Le Papa, Le Papa pingouin
Le Papa pingouin s’ennuie sur la banquise
Le Papa pingouin
Le Papa pingouin
Le Papa, Le Papa, Le Papa pingouin
Le Papa pingouin voudrait faire sa valise

On le sent nerveux
Un peu malheureux
Pas très bien dans ses plumes
Pour se calmer les nerfs
Il plonge dans la mer

Il envie l’oiseau
Qui sent va voir du côté de la lune
Il a des pieds de plomb
Ça le rend grognon . .

{au Refrain}

Sur la neige bleue
Fait des pas douteux
Et glisse sur la glace
On l’entend murmurer
Je veux m’en aller

Très haut dans le ciel
Tout près du soleil
En traversant l’espace
J’ai les ailes d’un oiseau
Je peux voler haut . .

Mais voyons Papa
Pourquoi dis tu ça ?
Tu sais bien que les ailes
Celles des pingouins et des moulins
Ne servent plus à rien

Mais Pourquoi Papa
Aller là bas ?
Ici la vie est belle
Laisse le ciel aux anges et aux saints
Vient Papa …
{au Refrain}
Le Papa pingouin
Le Papa pingouin
Le Papa, Le Papa, Le Papa pingouin
Le Papa pingouin poursuit son joli rêve

Voilà qu’il se prend
Pour un goéland
Il fait de longs voyages
Il descend vers le sud
Jusqu’en Angleterre

Et voici Paris
Et même Napoli
Les rives de Carthage
La méditerranée
Que c’est beau l’été .

Mais voyons Papa
Tu n’y pense pas ?
Tu sais bien que les ailes
Celles des pingouin et des moulins
Ne servent plus à rien

Mais Pourquoi Papa
Aller là bas ?
Ici la vie est belle
Si tu pars tu n’iras pas loin
Reste là Papa . . . . . . .

{au Refrain}
Le Papa pingouin
Le Papa, Le Papa, Le Papa pingouin
Revient de ses chimères
Le Papa pingouin
Le Papa pingouin
Le Papa, Le Papa, Le Papa pingouin
Redescend sur la terre

{Le pinguoin:}
Le Papa pingouin
Le Papa pingouin
Le Papa, Le Papa, Le Papa pingouin
Adore sa banquise

{Chœurs:}
Le Papa pingouin
Le Papa pingouin
Le Papa, Le Papa, Le Papa pingouin
Va brûler sa valise

{Le pinguoin + Chœurs:}
Le Papa pingouin
Le Papa pingouin
Le Papa, Le Papa, Le Papa pingouin

 

téléchargement (10)

 Télécharge « Le Papa Pingouin » sur ton portable

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La MARCHE de l’EMPEREUR

Posté par othoharmonie le 5 octobre 2014

 

La Marche de l’empereur est un film documentaire français réalisé en 2004 par Luc Jacquet et sorti en 2005.

Premier long métrage cinématographique de Luc Jacquet, ce film a connu un grand succès mondial et obtenu de nombreuses distinctions dont l’Oscar du meilleur film documentaire en 2006. Tourné en Antarctique, La Marche de l’empereur traite des manchots empereurs et de leur mode de reproduction.

La narration originale utilise la méthode du récit à la première personne, qui imagine le point de vue interne d’un couple de manchots et de leur petit, lesquels racontent les obstacles de leur vie dans la région la plus rude et isolée du monde. Les trois voix sont interprétées par Romane Bohringer, Charles Berling et Jules Sitruk. Les versions internationales n’ont pas toujours respecté ce principe, telle la narration américaine, réécrite pour un seul narrateur, Morgan Freeman. Les distributeurs américains ont également remplacé la bande originale, créée par Émilie Simon, par une autre composition signée Alex Wurman.

Aptenodytes_forsteri_-Snow_Hill_Island,_Antarctica_-adults_and_juvenile-8En 1992, lors de ses études dans une faculté de Lyon, Luc Jacquet répond à une annonce cherchant quelqu’un pour aller en Antarctique étudier des manchots empereurs. Ce sont alors ses premiers contacts avec ce continent et ces animaux. Il officie alors comme caméraman auprès du réalisateur suisse Hans-Ulrich Schlumpf pour le film documentaire Le Congrès des pingouins  Luc Jacquet décide alors de se consacrer aux films documentaires; il passe ainsi plusieurs années en Antarctique ou dans les îles australes comme chef opérateur ou comme réalisateur.

Luc Jacquet commence à écrire le scénario de La Marche de l’empereur quatre ans avant sa sortie. Il se base notamment sur sa collaboration avec le chercheur Christophe Barbaud, avec qui il travaille sur les manchots empereurs en 2000 pour faire le point sur les connaissances à propos de cet animal. Il discute très tôt avec Jérôme Maison, biologiste marin, de son projet de documentaire animalier puis, au fil des discussions, le projet évolue et prend des aspects fictionnels : « Tout d’un coup, on ne parlait plus seulement d’oiseaux, mais de personnages qui s’expriment », selon Jérôme Maison. Trois ans sont ensuite nécessaires à Jacquet pour trouver une société de production intéressée, Bonne Pioche, chez qui le projet suscite un « intérêt immédiat et sans réserve ». La production du film commence ainsi en août 2002 et tout s’accélère. D’abord prévu pour la télévision, le projet prend progressivement de l’ampleur grâce à ce que Luc Jacquet appelle « un engouement général hyper motivant » et « une gigantesque conjonction d’envies concordantes avec à la clé une détermination et une énergie similaire à une opération commando ». Le projet convainc aussi Jean-François Camilleri, alors à la tête de Walt Disney Studios Motion Pictures France, qui s’associe à la production.

Les préparatifs du tournage commencent en novembre 2002 et durent deux mois. Les caméras sont équipées spécialement par Aaton (modèle XTRprod) pour résister à une température qui pouvait descendre jusqu’à -30 °C. Laurent Chalet et Jérôme Maison passent des tests médicaux auprès de l’Institut polaire Paul Émile Victor. Le découpage et le scénario sont alors très précis et, selon Luc Jacquet, il fallait désormais « parier sur les acteurs ».

Luc Jacquet, Laurent Chalet et Jérôme Maison partent pour la Terre Adélie le 29 janvier 2003 et commencent par une période d’acclimatation. Jacquet les laisse en mars avec une consigne majeure :« Prenez le risque de faire des images étonnantes ». Le 7 février, ils obtiennent l’autorisation de l’administrateur supérieur des TAAF d’accéder à la zone spécialement protégée de Pointe-Géologie. Lors du tournage, 60kg de matériel sont portés sur un traîneau et l’équipe ne se déplace qu’à pied dans des conditions physiquement très dures. Laurent Chalet et Jérôme Maison, qui ont ainsi tourné la majorité des images (et qui n’ont pas quitté l’Antarctique durant le tournage), ont évité le pire lorsqu’ils ont été piégés par un blanc dehors et une température chutant à -60 °C ; ils ont eu besoin de six heures pour parcourir les 3km qui les séparaient alors de la base Dumont d’Urville, se repérant grâce à un GPS et à leur radio qui a permis à cinq hommes de la station, avec qui ils avaient pu établir un contact, de venir les récupérer en cordée. Le tournage a été interrompu pendant un mois pour qu’ils se remettent de leurs importantes gelures et Jérôme Maison a gardé des problèmes d’insensibilité à une oreille et plusieurs doigts. Malgré tout, la météo n’était pas forcément la plus grande difficulté selon Laurent Chalet : « il s’agissait d’une histoire . Sauf qu’au fil des jours et des semaines, il a fallu qu’on se rappelle tout ce qu’on tournait, comment on l’avait tourné : les entrées de champ, les sorties de champ, etc ». En l’absence de scripte et de possibilité de visionner les images tournées, Laurent Chalet et Jérôme Maison se sont essentiellement appuyés sur le séquencier fourni par Luc Jacquet pour assurer la continuité. Durant l’hivernage, ils envoient également des photographies au réalisateur pour que celui-ci suive l’avancée du projet. Jérôme Maison raconte que la scène où la femelle passe les œufs au mâle a été l’une des plus compliquées à filmer car il s’agit d’un acte discret que les animaux effectuent au sein d’un groupe d’environ 7 000 manchots.

Pour sa part, Luc Jacquet est resté cinq mois sur place tout en supervisant l’ensemble du tournage et du montage. En octobre 2003, il revient en Antarctique pour filmer les images sous-marines avec le plongeur Patrick Marchand. En décembre, le tournage est interrompu par manque de pellicule, le stock ne pouvant être acheminé à cause de la glace.

220px-Manchot-frPour filmer l’entièreté du cycle de reproduction des manchots, le tournage a duré 13 mois pour 120 heures de rushes. 200 bobines de film ont été utilisées et seule une a posé des problèmes malgré les conditions extrêmes auxquelles le matériel a été soumis. L’ensemble des rushes arrivent en France en février 2004 et la postproduction se termine en décembre de la même année.

 

SYNOPSIS : Les manchots empereurs vivent en colonie en Antarctique. Au milieu de leurs congénères, chaque couple de manchots lutte contre les conditions extrêmes pour perpétuer l’espèce et protéger leur petit des nombreux obstacles et dangers qui les guettent. Chaque année est un cycle qui voit la naissance d’un seul petit manchot par couple, dont beaucoup n’atteindront pas l’âge adulte, voire n’auront pas la chance de naître. Outre le grand froid, le vent et les tempêtes, ils affrontent des prédateurs tels que le léopard de mer et le pétrel géant. Les parents alternent entre protection de l’œuf puis du petit dans l’intérieur des terres (plus stable et protégé que la banquise) et pêche sur le littoral. Des kilomètres de marche sont alors nécessaires pour utiliser les avantages de ces deux territoires alors que le manchot, bien plus à l’aise dans l’eau, est incapable de voler et se déplace avec difficulté sur le continent.

La narration de l’histoire en version originale fait appel à un récit à la première personne en point de vue interne, interprété par trois acteurs :

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Le manchot dans la culture

Posté par othoharmonie le 5 octobre 2014

 

Au Cinéma 

 

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Bibliographie Pingouin – Manchot

Posté par othoharmonie le 5 octobre 2014

 

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