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Les kangourous, l’embléme de l’Australie

Posté par othoharmonie le 7 juin 2014

Le « Roo », une drôle de reproduction  1/2

Sumpf-wallabyUne adaptation remarquable de la reproduction aux conditions difficiles de l’Australie du bush, et la découverte de son étonnante biologie.

Les kangourous se sont adaptés aux conditions très variées de l’Australie, et la naissance d’un kangourou est un processus totalement sous le contrôle de la mère en fonction des conditions de nourriture et des conditions climatiques.

Après un accouplement, si les conditions sont difficiles, sécheresse par exemple, la femelle peut retarder la gestation pendant un maximum de 12 mois, alors que la durée normale de la gestation est de 35 jours.

De la même manière, une femelle peut remplacer immédiatement un jeune qui meurt prématurément dans la poche.

Le nouveau-né kangourou, de 25 mm de long, sans aide extérieure, va « nager » pour gagner la poche de sa mère, où il ira s’accrocher à une des 4 tétines.

A mesure de sa croissance, le bébé quittera de plus en plus longtemps sa tétine pour s’aventurer hors de la poche et finalement la quitter définitivement. Si pendant cette période, un autre nouveau né, partage la poche, chacun aura sa tétine et la mère, produira 2 laits différents en fonction de l’âge du bébé.

Quand le kangourou se dépense, il sue, comme tous les mammifères, pour évacuer son trop-plein de chaleur, rien de très original, mais contrairement à tous les mammifères qui une fois l’effort physique terminé suent et halètent, le kangourou stoppe immédiatement sa transpiration et n’évacue la chaleur qu’en haletant à un rythme soutenu 300 fois par minute.

Le kangourou est le seul animal à posséder un réseau très fin de vaisseaux sanguins à la surface de ses avant-bras, qu’il lèche pour évacuer la chaleur de son corps.

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Le sauvetage des kangourous.

Posté par othoharmonie le 7 juin 2014

wp_post_1309_3_kangoo3Quand certains chassent le kangourou pour sa peau ou sa viande, d’autres consacrent leurs efforts à les sauver… à les élever …

En Australie, certaines associations recueillent les kangourous, blessés,
abandonnés, avec pour objectif de les relâcher.

Certaines d’entre elles prennent soin de très jeunes kangourous et développent des techniques et des connaissances très pointues pour les sauver. A force de courage, de détermination et de patience, certains sauvent des kangourous prématurés de moins de 200 grammes .

Conseils pour l’apprenti-sauveur de jeune kangourou (Joeys)

 » Le nouvel orphelin, est probablement très choqué et stressé, suite à l’accident qui a touché sa mère, le stress est due en grande partie à la séparation d’avec sa mère, et la perte de sa chaleur et nourriture, il est très probable qu’il soit déshydraté. Pour le rassurer, trouvez lui une poche de substitution, faite d’un tissu non fibreux, n’utilisez surtout pas de la laine que le jeune pourrait sucer et dont les fibres pourraient l’étouffer en les avalant. Puis laisser le seul, et il ne doit être manipulé que par une seule personne toujours la même. Eloigner les enfants et les animaux domestiques…… »

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Kangourou fantôme

Posté par othoharmonie le 7 juin 2014

 


Kangourou sauvage observé en dehors de leurs régions d’habitation normales


290px-Swamp-Wallaby-Feeding-3,-Vic,-Jan.2008Rarement utilisé en français, le terme est une traduction littérale de l’anglais Phantom kangaroo et désigne les kangourous ou wallabies observés en dehors des régions dont ils sont originaires. Il peut s’agir d’observations d’individus échappés de zoos, appartenant à des populations introduites volontairement ou accidentellement dans un nouvel habitait ou d’observations inexpliquées dont l’authenticité est sujette à caution.

Malgré l’emploi du terme « fantôme », les témoins n’attribuent pas nécessairement un caractère surnaturel à l’animal observé. Certains font toutefois état de caractéristiques inhabituelles : le kangourou est anormalement grand, présente des traits évoquant un chien ou un singe, est surpris en train de tuer et/ou de manger d’autres animaux, a une apparence éthérée, des yeux lumineux ou disparaît mystérieusement sans laisser de trace.

Le phénomène est similaire à celui des alien big cats, félins de grande taille observés dans des régions dont ils ne sont pas originaires.

 

Populations sauvages de wallabies dont l’existence est établie

Des populations sauvages de wallabies existent ou ont existé dans des endroits inhabituels :

       L’île de Kawau, à proximité de l’Île du Nord (Nouvelle-Zélande), compte trois espèces de wallabies différentes introduites au dix-neuvième siècle par le gouverneur Georges Grey.

       Un groupe de quelques dizaines de wallabies de Benett habitent le sud de la forêt française de Rambouillet, dans le sud des Yvelines. Ils descendent d’un groupe de wallabies échappés du parc du château de Sauvage d’Emancé dans les années 1970. À la fin de l’année 2003, des plaisantins ont retouché des panneaux de signalisation de la région avec des pochoirs pour qu’ils signalent la présence de kangourous aux automobilistes, suite à plusieurs accidents causés par des collisions avec les animaux.

       Plusieurs populations de wallabies de Benett existent également au Royaume-Uni :

  • sur l’île Inchconnachan du Loch Lomond, suite à leur introduction dans les années 1920 ;
  • dans la forêt d’Ashdown, dans le Sussex ;
  • dans le Fenland, près de la frontière avec le Lincolnshire et le Norfolk ;
  • dans le Staffordshire, suite à l’évasion de wallabies d’un zoo privé de la ville de Leek dans les années 1930. À son apogée, dans les années 1970, le groupe comptait entre 60 et 70 individus, mais il est aujourd’hui devenu rare d’en apercevoir.

       Peu avant la première guerre mondiale, une colonie de wallabies élevés par un chasseur aurait existé en Prusse, mais ils auraient tous été tués après sa mort par les autres chasseurs de la région.

       Une colonie de wallabies Petrogale penicillata existerait également à Honolulu.

 

Observations inexpliquées

Une créature « à grande oreilles, mesurant 1 mètre 50 et qui sautille » aurait été aperçue au moins trente fois entre 2003 et 2010 dans la ville japonaise d’Ōsaki (préfecture de Miyagi). Malgré des caméras cachées placées par des journalistes, aucune preuve tangible de l’existence de l’animal ne semble toutefois avoir été produite. Là encore, des plaisantins ont créé de faux panneaux de signalisation prévenant les conducteurs de la présence de kangourous.

C’est toutefois aux États-Unis qu’ont eu lieu la plupart des observations de kangourous fantômes :

       La première observation aurait eu lieu le 12 juin 1899 à Richmond, dans le Wisconsin.

       En 1934, un kangourou aurait été aperçu à plusieurs reprises à South Pittsburg, dans le Tennessee. À la même époque, des poules et un chien de la région ont été tués dans des circonstances mystérieuses et le kangourou aurait été aperçu en train de fuir en emportant un mouton.        

       Entre 1957 et 1967, un kangourou surnommé Big Bunny par les habitants de la région aurait été observé à plusieurs reprises près de Coon Rapids, dans le Minnesota.        

       Le 18 octobre 1974, un kangourou aurait été observé par plusieurs personnes à Chicago, notamment par un homme qui l’aurait découvert sur le pas de sa porte et deux policiers appelés sur place qui l’auraient retrouvé dans une ruelle voisine et auraient tenté sans succès de lui passer les menottes. Dans les jours qui suivirent cet incident d’autres observations de kangourous fantômes eurent lieu dans le reste de l’Illinois et dans le Wisconsin, y compris deux observations à une demi heure d’intervalle dans deux villes situées à 80 km l’une de l’autre. Quelques jours plus tard, des témoins dirent également avoir aperçu l’animal en Indiana.        

       En 1978, deux hommes photographièrent un animal ressemblant à un kangourou à côté de l’autoroute près Menomonee Falls, dans le Winsconsin. Selon Loren Coleman, il s’agit peut-être d’un wallaby de Bennett. Vers la même époque, une femme dit avoir aperçu deux kangourous, l’un grand et l’autre plus petit, dans la ville voisine de Pewaukee Town. Quelques jours plus tard, un couple affirma également avoir vu un kangourou dans son jardin.

   800px-Sumpfwallabycele4    En 1980, un kangourou aurait été aperçu dans le Golden Gate Park de San Francisco.

       Un kangourou fut aussi observé près de la ville de Raleigh (Caroline du Nord) en 1981. La police et des journalistes tentèrent de capturer, sans succès.

       En 1997, un habitant de la ville de Raleigh, en Caroline du Nord, appela la police pour signaler la présence d’un kangourou dans son jardin. Là encore, l’animal échappa à la capture. 

Explications

       Certaines observations sont attribuées à la présence de véritables kangourous ou wallabies, échappés de zoos ou de cirques. Beaucoup de témoignages ont toutefois été rapportés alors qu’aucun animal ne s’était échappé des cirques et zoos de la région. Les observations ayant parfois lieu par vague, l’hypothèse d’un phénomène d’hystérie collective? a été avancée pour certains cas. Certains cryptozoologue? attribuent certains témoignages à d’autres cryptides, comme des singes géants? ou le chupacabra. Dans un article datant de 1978, un shérif suggère que des témoins ont peut-être aperçu un autre animal, comme un daim blessé contraint de sautiller sur ses pattes postérieures. 

Source : http://www.paranormal-encyclopedie.com/

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