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PANDA et OURS À COLLIER : LE PARTAGE DES RESSOURCES

Posté par othoharmonie le 15 décembre 2013

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Pour étudier une espèce animale dans son environnement, il est parfois intéressant de la comparer à une autre. C’est ce qui a été fait, par l’équipe de l’Américain G. Schaller, dans les montagnes Min, à l’est de Wolong, où deux espèces sont présentes : le panda et l’ours noir de l’Himalaya, ou ours à collier (Selenarctos thibetanus). L’idée était la suivante : ces deux ursidés sont végétariens, ont presque la même taille, et le même poids (environ 100 kg), et cohabitent dans les mêmes régions. Comment se partagent-ils l’espace, sachant que deux espèces ne peuvent occuper la même niche écologique dans le même biotope ?

   Deux pandas et deux ours ont été capturés puis équipés de colliers émetteurs. Pendant les semaines suivantes, leurs déplacements ont été suivis et cartographiés. Les chercheurs ont également étudié leur alimentation respective, essentiellement par l’analyse des restes de nourriture dans leurs excréments. Les résultats obtenus expliquent pourquoi les deux espèces peuvent cohabiter et, en même temps, ils éclairent les adaptations écologiques du panda d’un jour nouveau, peut-être rassurant pour sa survie.

   Au niveau anatomique, ours et panda présentent des différences. L’ours n’a pas le « sixième doigt » opposable à la main et ses molaires ne sont pas plates et larges comme celles du panda. A priori, son régime alimentaire est moins spécialisé. Cela s’est rapidement confirmé sur le terrain. La nourriture de l’ours noir de l’Himalaya est nettement plus variée que celle du panda, ce qui confirme les résultats obtenus par d’autres équipes. Il se nourrit de toutes sortes de fruits et de noix en plus des végétaux verts. De mi-avril à mi-juillet, il consomme essentiellement des feuilles, auxquelles il ajoute des fruits, de la mi-juillet à la mi-septembre, et il se gave de noix et de glands jusqu’à la mi-novembre. Ce régime est saisonnier : il peut être abondant à la fin de l’été et en automne. En revanche, l’hiver est une saison difficile pour les ours, sauf lorsqu’ils hibernent pendant 3 à 4 mois (cela dépend de la latitude où ils demeurent).

   En revanche, le panda se nourrit presque exclusivement de bambous. Or, il se trouve que les quelques espèces consommées sont disponibles toute l’année, avec une valeur alimentaire pratiquement constante, mais relativement faible. Il s’agit d’une ressource abondante, prévisible, mais qui force les animaux à se nourrir en moyenne pendant plus de 14 heures par jour.

   Une autre différence se situe au niveau de l’espace utilisé par les deux espèces. Dans le cas de l’étude de Schaller, les domaines vitaux occupés par les pandas sont nettement plus petits que ceux fréquentés par les ours. Les chiffres sont difficiles à évaluer, mais, plusieurs fois, les ours sont sortis de la zone où la réception de leur signal était perceptible, alors que jamais les pandas n’ont parcouru de telles distances pendant le suivi de l’expérience. On a un peu l’impression que le panda, ayant axé sa biologie sur les bambous, a abandonné sa curiosité vis-à-vis du monde extérieur et même une partie de son agressivité. Il paraît que les deux ours ne se sont pas laissé manipuler comme les pandas lors de leur capture. Enfin, ours et pandas n’oublient pas toujours qu’ils appartiennent à un ordre de mammifères carnivores. À l’occasion, quand ils trouvent de la viande (animal mort), ils s’en nourrissent. Ils ne savent apparemment pas chasser et doivent donc se contenter d’un régime végétarien, par obligation peut-être plus que par goût !

   Cette étude a donc bien démontré que pandas et ours noirs de l’Himalaya pouvaient – sans problème – se partager le même territoire

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le panda, UN OURS CHINOIS REDÉCOUVERT AU XIXE SIÈCLE

Posté par othoharmonie le 15 décembre 2013

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Deux des plus anciens textes chinois connus, le Livre de l’histoire et le Livre des chants, datés de la dynastie Chou occidentale, soit de 1066 à 771 avant notre ère, mentionnent un animal qui représente très certainement le grand panda. Son nom n’est pas le même qu’aujourd’hui, mais les descriptions correspondent bien. L’histoire commune panda-homme est donc ancienne, mais elle a toujours comme cadre les forêts chinoises. De nombreux livres ultérieurs citent également ce gros ours noir et blanc à la fourrure prisée. Manifestement, l’animal a toujours été très rare et seuls en possédaient les personnages importants de ces époques. Quelques descriptions signalent alors que le panda se nourrit de bambou et qu’il mange également du métal. Cette curieuse remarque vient peut-être du fait que certains pandas sont parfois entrés dans des villages de montagne et qu’ils ont été vus léchant les marmites.

   Il faut attendre le XIXe siècle, et le début de l’ouverture de la Chine à l’Occident, pour que les choses se modifient de façon assez profonde. Le père Armand David, missionnaire et naturaliste français, fut le premier Européen à voir une peau de panda, le 11 mars 1869. Peu après, il put se procurer un animal entier mort et l’envoyer au Muséum d’histoire naturelle de Paris, où il fut décrit officiellement en 1872.

   Le résultat fut un engouement de tous les chasseurs fortunés nord-américains et européens pour aller tirer une pièce aussi rare.

   Heureusement, le physique et le comportement du grand panda attirèrent vite une autre catégorie d’aventuriers : les pourvoyeurs des grands jardins zoologiques en animaux vivants. Sur le terrain, cela s’est d’abord traduit par une intense compétition entre les représentants des divers pays demandeurs.

   Le 9 novembre 1936, c’est une Américaine, Mme Ruth Harkness, qui fit passer la frontière au premier panda sorti vivant de son pays,  pour l’introduire  aux États-Unis. Ce fut une véritable épopée, mais son exemple fut vite suivi par d’autres voyageurs intrépides.

   Finalement, 14 pandas sortirent vivants de Chine entre 1936 et 1946, mais jusqu’en 1949, date à laquelle les exportations seront réellement contrôlées, c’est un minimum de 73 animaux qui ont dû quitter la Chine. Ensuite, et jusqu’en 1983, 24 pandas ont été exportés définitivement, dont les deux animaux arrivés en France, au mois de décembre 1973 et qui furent accueillis par le zoo de Vincennes, à Paris.

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Le premier occidental à découvrir le panda géant

Posté par othoharmonie le 15 décembre 2013

 

 

220px-Lightmatter_pandaLe panda géant, c’est l’ancien “ours du Père David”, du nom du religieux qui fut, en 1869, le premier “occidental” à en découvrir un exemplaire, dans les montagnes sud-occidentales de la Chine.

Naturaliste, explorateur et missionnaire, c’est à l’âge de 34 ans que le Père Armand David (1826-1900), de la Congrégation des Lazaristes, fut envoyé à Pékin. Là, il fut mis à la tête d’une école et consacra ses loisirs à chercher des spécimens de la flore et de la faune des environs de la capitale chinoise, tant pour la collection de son école que pour celles du Muséum d’Histoire Naturelle à Paris.

Les autorités dirigeantes du Muséum parisien, frappées de la qualité de ses envois, persuadèrent ses supérieurs de lui permettre d’étendre son travail scientifique et mirent à sa disposition les fonds nécessaires pour entreprendre des voyages d’exploration dans nombre de régions encore inconnues de la Chine. C’est ainsi que, pendant douze ans, le Père David parcourut la Chine, prenant des notes et collectionnant des spécimens de mammifères, d’oiseaux, d’insectes et de plantes.

Il est impossible de dresser une liste complète de tous les animaux que le missionnaire Armand David a découvert. Notons cependant le célèbre cerf du Père David (Elaphurus davidianus) et le panda géant.

Pendant l’hiver de 1868-1869, le Père David se trouvait au poste missionnaire de Tchentou dans la province occidentale du Setchouan. Là, il entendit étrangement parler de bêtes et de plantes remarquables que l’on trouvait dans les montagnes et les forêts aux alentours du petit village de Moupin. En particulier, on narrait que se trouvait dans cette région un ours blanc. Après un pénible voyage à travers les montagnes, le Père David arriva le 1er mars 1869 à Moupin et se mit aussitôt à explorer les environs à la recherche de ces trésors du monde végétal et animal. Le 11 mars, comme il rentrait au soir d’une journée passée dans les montagnes, il fut invité chez un fermier du nom de Li; là, dans la chambre où il fut logé, il remarque aussitôt une peau de ce fameux ours blanc qui, à la vérité, n’était pas totalement blanc, mais blanc et noir. La joie du Père David ne connut plus de bornes quand les chasseurs promirent de lui ramener un spécimen. Ils partirent sur le champ et, le 23, revinrent avec un jeune panda géant qu’ils avaient capturé vivant, mais qu’ensuite, ils avaient dû tuer pour faciliter son transport. Plus tard, d’autres semblables animaux furent obtenus et expédiés à Paris, où le professeur Alphonse Milne-Edwards (1835-1900) publia une description détaillée de ce remarquable animal.

Le panda géant puisse-t-il rester longtemps encore comme un monument vivant, pour ce grand naturaliste qui l’a découvert.

 

Pour en savoir plus : Histoire du panda : Le panda était déjà connu depuis des millénaires dans l’Orient mystérieux lorsque son existence fut révélée au monde occidental

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LA DERNIÈRE CHANCE DU GRAND PANDA

Posté par othoharmonie le 14 décembre 2013

 

220px-Pandas_du_zoo_de_BeauvalL’élevage du panda en captivité est une chose, sa protection dans la nature en est une autre. Il faut essayer de combiner les deux, mais l’essentiel reste probablement de protéger les montagnes où habitent, dans des réserves, les derniers pandas sauvages.

   Les13 réserves créées entre les années 1960 et 1990 hébergaient environ 60 % des 1 000 pandas vivant à l’état sauvage à l’époque en Chine. Malheureusement, même au sein de ces réserves, les animaux paraissaient considérablement éparpillés en petites sous-populations. Les défrichements entrepris pour augmenter les surfaces cultivables, les routes de plus en plus nombreuses, les vallées occupées par l’homme ne permettaient plus aux animaux de circuler librement d’une montagne à l’autre et les isolaient les uns des autres. Des effectifs trop restreints n’étaient pas viables. Par les simples lois du hasard, ces groupes pouvaient réunir trop de mâles ou trop d’animaux âgés ; ils étaient à la merci d’une brusque chute de la reproduction, et les risques d’extinction étaient grands pour de nombreux petits groupes. Or, pour les spécialistes de la conservation des espèces, quand une espèce sauvage descend au-dessous du seuil de 1 000 individus, les dangers de disparition complète deviennent presque inévitables

   La réserve de Wolong, suivie pendant une  quinzaine d’années, est un bon exemple des menaces réelles qui pèsent sur les pandas. Au milieu des années 1970, on évaluait sa population à 130-140 animaux. En 1986, le spécialiste américain George Schaller estimait le total à seulement 72 individus. Pour lui, cette diminution s’expliquait par une pression humaine toujours plus forte, quelques morts accidentelles de pandas dans des pièges installés pour capturer des chevrotins porte-musc et le retrait des animaux en mauvais état pendant la disette de 1983 et 1984. C’est pourquoi le gouvernement chinois, en collaboration avec le WWF, a créé de nouvelles réserves et pris des mesures pour la conservation de l’habitat naturel du panda. En 2007, on comptait 59 réserves abritant environ 1 100 pandas sur les 1 500-1 600 recensés.

   La gestion des réserves doit donc tenir compte de tous ces paramètres. La question de la mort régulière des bambous n’est un problème que depuis que l’habitat des pandas est réduit et morcelé. Autrefois, il suffisait aux animaux de changer de vallée pour trouver soit une autre espèce de bambou, soit la même que celle qui disparaissait, mais à un stade plus jeune. Les deux espèces les plus importantes de bambou, le bambou flèche (Sinarundinaria, récemment rebaptisé Bashania) et le bambou parapluie (Fargesia), couvrent beaucoup moins de surface qu’autrefois. Leur floraison, qui précède la mort, intervient de manière naturelle tous les quarante ans environ et les pousses mettent dix ans pour retrouver le stade végétatif utile pour les pandas.

  159px-Panda4_Beauval Une solution pour contrebalancer le morcellement des massifs forestiers consiste à planter des couloirs de bambous entre les réserves, afin de permettre aux pandas de circuler d’un massif isolé à un autre, quand les pousses se sont raréfiées ou ont disparu. Le but est double : augmenter les chances de rencontre, donc de reproduction, et diminuer les risques de disparition pour cause de pénurie alimentaire localisée. Depuis des millénaires, bambous et pandas cohabitent. Les pandas peuvent consommer 21 espèces différentes de bambous et le rythme de reproduction de ces plantes ne les avait jamais menacés. Le risque actuel est lié à la présence humaine. En Chine, on compte un panda pour un million d’hommes ! Malgré ce passé commun ancien, l’homme n’a commencé à vraiment connaître le panda que récemment. Ce sont les études de l’équipe sino-américaine, dans la réserve de Wolong, qui ont rapporté l’essentiel de ce que nous savons maintenant. Des animaux ont été capturés, équipés de colliers émetteurs, suivis nuit et jour, très attentivement observés. Grâce aux mesures de conservation, les estimations du nombre de pandas à l’état sauvage ont été révisées à la hausse au début des années 2000.

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la Protection du Panda

Posté par othoharmonie le 14 décembre 2013

290px-Grosser_PandaEn Chine, la population des pandas est aujourd’hui protégée ce qui est tout à fait positif.
Malheureusement, le problème est plus complexe.
Le panda est tributaire des bambous. Si l’espèce par elle-même est aujourd’hui protégée, c’est son habitat qui est menacé. La déforestation intensive a déjà détruit en 20 ans plus de la moitié de son habitat.
Pan Wenshi déclare avec raison : « A quoi bon protéger et multiplier l’espèce en captivité si l’on ne protège pas son habitat naturel ? ».

De plus, les méthodes d’élevage ne sont pas concluantes. Les pandas deviennent impuissants, mélancoliques et agressifs en captivité.

Les mères captives refusent d’élever leurs petits qui meurent avant leur maturité. On recense encore aujourd’hui environ 100 pandas en captivité

Il est évident que seule la protection de leur environnement évitera l’extinction de l’espèce.
La bonne nouvelle c’est que notre « papa panda » comme on le surnomme projette de lâcher dans la nature, vers 2005, les pensionnaires des réserves en surnombre.
Ce mélange éviterait la consanguinité qui est une autre menace pour l’espèce

En 1989, le WWF publia un programme pour la protection des grands pandas :

Création de 14 réserves naturelles 
* Formation de gardes 
* Plantation de couloirs bordés de bambous reliant les 13 réserves existantes 
* Mise en liberté de jeunes individus nés en captivité 

En 2005, la survie du grand panda n’est toujours pas assurée. Si son habitat est aujourd’hui préservé, c’est le faible taux de reproduction qui pose problème.

A Wulong, la population était de 55 individus en 2003 contre 20 en 1998. Les pandas de la vallée de Jiuzhaigou, estimés à 17 individus en 1996, sont sans doute moins nombreux aujourd’hui.

Malgré les efforts des scientifiques, la population des grands pandas n’augmente pas. Les tentatives de reproduction en captivité n’ont donné que de maigres résultats. Seule l’insémination artificielle porte quelques fruits

sources texte, videos : Dinosoria

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Panda est aussi une voiture Fiat

Posté par othoharmonie le 14 décembre 2013

 

280px-Fiat_Panda_front_20071205La Fiat Panda est une automobile citadine produite par le constructeur italien Fiat Auto de 1980 à 2003.

Dans la gamme, au niveau encombrement et habitabilité, la Panda se situe entre les Fiat 126 - Cinquecento et les Fiat 127 - Uno - Punto.

Sa grande notoriété est due à sa robustesse, sa longévité (23 ans de production), à son très faible coût d’achat comme d’entretien et sa version quatre roues motrices, très prisée en montagne.

Dessinée par Giorgetto Giugiaro, la Fiat Panda peut être considérée comme une interprétation moderne de la Citroën 2CV. Une voiture moderne, simple, facile à utiliser et à entretenir. Présentée en février 1980 et commercialisée immédiatement, la Panda a été bien notée pour son style novateur, développé deux ans plus tard lors de la conception de la Fiat Uno. L’assemblage de la Panda utilise la banque d’organes Fiat, comme les moteurs et la transmission dérivés de la Fiat 127.

Beaucoup de dispositifs ont contribué au rôle de « voiture de ville » de la Panda : la banquette arrière pouvait être pliée à plat pour en faire un lit rudimentaire, voire être enlevée entièrement pour augmenter l’espace de charge. Tous les sièges étaient recouverts de tissus démontables pour être lessivés, de même pour le dessous du tableau de bord. Certaines Panda possédaient même un toit en toile pour la transformer en cabriolet.

La Panda sera la première voiture de grande série du groupe Fiat Auto dont l’ingénierie de la carrosserie sera confiée à un prestataire extérieur, certes de renom comme Giugiaro.

Versions

Pendant les 23 années de sa commercialisation, la Panda a peu évolué, tant en options qu’en versions. Il y a eu deux séries (1980-1986 et 1986-2003), et un restylage (en 1992).

Première série (1980 – 1986)

La Panda voit le jour au mois de février de l’année 1980, avec les deux modèles : Panda 30 (non importée) et 45. Une année plus tard, est commercialisée la Panda 34 en provenance d’Espagne, fabriquée dans la filiale Fiat de l’époque, Seat. En septembre 1981, Fiat lance la Panda 45 avec toit en toile, au salon de Paris 1982, apparaît la version Panda Super qui inaugure la nouvelle calandre Fiat aux 5 barres inclinées, puis, en juin 1983 viendra la Panda 4×4.


Deuxième série, première version (1986 – 1992)

La Panda, deuxième série, apparaît en février 1986. Bien plus qu’un simple restylage, c’est quasiment une refonte complète du modèle avec de nombreuses modifications intérieures et extérieures, mais surtout structurelles. Une version équipée du moteur diesel de 1 301 cm3 - 37 ch des Fiat 147 et Fiat Uno sera proposée sur certains marchés européens comme l’Italie.

De nombreuses modifications sont apportées :

  • à l’intérieur : le tableau de bord est plus large; les nouveaux cadrans sont plus lisibles; nouvelles poignées de portes intérieures et aérateurs.
  • à l’extérieur : les pare-chocs sont plus larges; à l’arrière, il inclut la plaque d’immatriculation. Les phares et feux sont légèrement retouchés pour être plus enveloppants. La calandre en tôle est remplacée par une calandre en plastique qui arbore en gros le logo Fiat à barres inclinées sur toute la calandre : « //// »; nouveaux rétroviseurs. Dorénavant, les bas de portière sont lisses et de couleur carrosserie. La plaque d’immatriculation arrière est placée dans le pare-chocs.
  • mécanique : l’ancienne plateforme avec suspension arrière à essieu rigide et ressorts à lames est remplacée par le développement mis au point pour l’Autobianchi Y10, avec une suspension à essieu déformable et ressorts hélicoïdaux, dit essieu Omega. Elle est équipée des nouveaux et très modernes moteurs FIRE 750 et 1 000 cm³.

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Panda Security est un anti-virus

Posté par othoharmonie le 14 décembre 2013

 

téléchargement (6)Panda Security SL, anciennement Panda Software, est une entreprise de sécurité informatique créée en 1990 en Espagne. À l’origine spécialisée dans l’offre de logiciels antivirus, l’entreprise a étendu sa gamme de produits et techniques pour intégrer désormais, entre autres, des protections pare-feu (firewall), des systèmes de filtrage du spam, des logiciels espions et des contenus indésirables, des appliances de protection périphérique et des solutions de gestion de la sécurité, tant pour les entreprises que pour les particuliers.

Les solutions de sécurité Panda pour le grand public et pour les entreprises incluent une protection contre les cybercriminels et tous les types de logiciels malveillants susceptibles d’affecter les ordinateurs et les systèmes d’information : virus, chevaux de Troie, vers, logiciels espions, spam, numéroteurs, canulars, contenus web indésirables, pirates, intrusions WiFi, etc. Les technologies propriétaires TruPrevent sont un ensemble de technologies préventives conçues pour bloquer les virus inconnus et les intrusions. En 2007, Panda Security a introduit un nouveau modèle de sécurité dans ses produits, l’intelligence collective, qui repose sur le grid computing pour recueillir, identifier, classer et désinfecter automatiquement les nouvelles menaces informatiques.

Considéré comme le premier éditeur de solutions de sécurité à avoir exploité le potentiel du « cloud computing », Panda Security a présenté en novembre 2009 des nouveaux services de sécurité « in-the-cloud » pour les particuliers et les entreprises.

 

Panda Security a été fondée en 1990 sous le nom de Panda Software par l’ancien PDG Mikel Urizarbarrena dans la ville de Bilbao, en Espagne. L’entreprise a annoncé le 24 avril 2007 la vente de 75 % de son capital – alors détenu à 100% par Mikel Urizarbarrena – au fonds d’investissement européen Investindustrial et à la société de financement par capitaux propres Gala Capital. Le 30 juillet 2007 l’entreprise a changé de nom, passant de Panda Software à Panda Security et M. Urizarbarrena a été remplacé par Jorge Dinares. Un an plus tard, le 3 juin 2008, le conseil d’administration a décidé du remplacement de M. Dinares par Juan Santana au poste de PDG.

Avec une part de marché de 3,2 %, Panda Security est le 4e éditeur antivirus mondial, selon un classement de 2005. L’entreprise a été classée parmi les 500 entreprises européennes à la plus forte croissance à plusieurs reprises depuis 1997. Panda Security est leader sur le marché espagnol et en 2008, l’entreprise est devenu le premier développeur de logiciels antivirus d’Europe. Panda Security est classé comme le premier éditeur de logiciel espagnol dans l’édition 2009 du Truffle 100.

Panda Security est présent sur les cinq continents, via un réseau de franchises et de filiales dans 56 pays parmi lesquels l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique, l’Espagne, les États-Unis, la Finlande, la France, le Japon, les Pays-Bas, le Royaume-Uni et la Suède. Les produits Panda sont disponibles en plus de 23 langues et commercialisés à des millions d’utilisateurs de 195 pays dans le monde.

Panda Security a été classé par le cabinet d’analyse Gartner comme un innovateur technologique. L’histoire de l’entreprise a été jalonnée d’innovations technologiques, parmi lesquelles le lancement de solutions de sécurité reposant sur le concept du SaaS (“Security as a Service”) et apportant une protection “in-the-cloud” (cloud computing) grâce à l’Intelligence Collective Antimalware de Panda, un modèle de sécurité novateur introduit sur le marché en 2007.

Selon son PDG, le principal avantage de ce modèle de sécurité est qu’il permet d’analyser automatiquement les menaces et non plus de les analyser manuellement comme le font d’autres entreprises, ce qui rend la détection des codes malveillants plus rapide et efficace.

Panda Security a comme concurrents sur le marché antivirus les entreprises SymantecKasperskyMcAfee et Trend Micro, entre autres.

En 2009, Panda Security a noué un partenariat avec Against Intuition pour permettre une navigation sur Internet plus sûre avec l’extension WoT

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Les logos du Panda

Posté par othoharmonie le 14 décembre 2013

logoPartage de contenu du Panda du WWF

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© 1986 WWF-Fonds mondial pour la nature (aussi connu sous le nom de World Wildlife Fund), symbole du panda.

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Lire la suite ici….  http://www.wwf.ca/fr/politique/partage_contenu.cfm

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histoires de Pandi Panda

Posté par othoharmonie le 13 décembre 2013

 

 « Maman Panda, maman Panda, quelque chose d’affreux vient de se produire. Mon ami le colibri vient de se faire traiter de moucheron par un méchant corbeau tout noir.
– Oh, le vilain garnement. Ramène donc ton ami le colibri et le corbeau tout noir par ici. J’ai une histoire à leur raconter. »

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Vingt minutes plus tard…

Le corbeau en larmes s’excuse auprès de son petit congénère : « Colibri, je suis désolé de toute la peine que j’ai pu te causer. Je ne recommencerai plus jamais de ma vie ».
Le colibri tout ému : « Corbeau, je viens de me rendre compte de ma grandeur intérieur. Tu es tout excusé et je sais dorénavant que ce n’est pas la taille qui fait l’oiseau ».
Snif, c’est beau n’est-ce pas ? Mais comment la mère panda s’y est-elle pris pour obtenir un tel résultat ? Facile, en racontant un joli conte fabuleux gratifié d’une leçon de morale finale. 
Voilà ce qu’est Tao Tao, les histoires de Pandi Panda. Réalisé en 1983 par les studios japonais Shun Mao et Cimadis et diffusé sur France 3 à partir de 1988, ce dessin animé en 52 épisodes s’adresse uniquement à un public très jeune (moins de 8 ans) qui se laissera emporter par ces gentilles aventures imaginaires d’animaux. 

Chaque épisode est construit sur le même schéma. Tao Tao joue avec ses amis en plein coeur d’une merveilleuse vallée chinoise lorsqu’une légère mésaventure se produit (voir les déclarations du corbeau). Ni une, ni deux, tout le petit monde va voir la maman Panda qui va raconter une histoire dont la morale permettra de réconcilier tout le monde. Bref, tout le monde prend du Prozac et semble adorer ça. Comme bien d’autres dessins animés, Tao Tao suit la voie du « tout le monde est beau et gentil » mais se distingue de la masse par son ton calme et poétique renforcé par des dessins doux aux couleurs pastel. Quitte à vouloir réaliser des histoires gentilles, autant le faire à fond. Dès lors, seuls les plus jeunes enfants réussiront à regarder l’anime. 

Passé un certain âge, la série n’est plus regardable. J’en ai fait la douloureuse expérience il y a quelques jours et je me suis rendu compte que je n’avais plus 5 ans. Les bons souvenirs que m’avait laissés l’anime ont été quelque peu refroidis. Mais devant une telle candeur et une telle gentillesse des personnages, il m’est apparu évident que je n’avais plus du tout l’âge pour apprécier. J’ai donc basé ma critique et ma notation sur l’impression que m’avait laissé le dessin animé jusque là. 

Chers parents, vous pouvez laisser tranquillement votre bambin devant cet anime et vaquer à vos occupations. A moins que l’enfant ne soit hyperactif ou ne soit trop habitué aux dessins animés surexcités, il boira les paroles de la maman panda. Les époques et les mentalités changent mais si la série a plu à un enfant de 5 ans il y a presque 20 ans, il y a toutes les chances pour qu’elle charme encore aujourd’hui. 

PS : Le chanson Pandi Panda de Chantal Goya en bonus et pour la page de présentation n’était absolument pas nécessaire, surtout que celle du générique est plutôt sympa.

weirdkorn 

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Adoptions symboliques de Panda

Posté par othoharmonie le 13 décembre 2013

 

220px-Giant_Panda_2004-03-2WWF-Canada offre, pour ses supporteurs francophones, la possibilité d’adopter cinq espèces en français. Faites vite, et profitez de cette promotion d’une durée limitée!

Nos adoptions symboliques d’animaux sont des cadeaux uniques et significatifs pour toutes les occasions, pour les membres de la famille ou les amis de tous âges.

Ces adoptions soutiennent les programmes de conservation du WWF-Canada et font une véritable différence pour les espèces menacées et leurs habitats.

Le WWF-Canada offre dès maintenant la possibilité d’adopter cinq espèces en français! Vous pouvez dès aujourd’hui adopter symboliquement un tigre, un panda géant, un manchot empereur, un caribou ou un ours polaire. Ce cadeau saura toucher la personne qui le recevra! 

Composez le 1-800-267-2632, du lundi au vendredi, entre 9h00 et 17h00 pour adopter l’animal de votre choix!

Chaque trousse d’adoption symbolique contient :

  • Un animal en peluche de qualité supérieure (15 cm environ), présenté dans un sac-cadeau réutilisable
  • Un certificat d’adoption personnalisé
  • Une lettre qui vous identifie comme la personne qui offre le cadeau
  • Une brochure d’information sur l’espèce et le travail que votre adoption permet de soutenir
  • Un reçu de charité au montant de 30 $ au nom de la personne qui offre le cadeau

A lire ici … http://www.wwf.ca/fr/adoptions_symboliques.cfm

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LE PANDA S’ EVEILLERA

Posté par othoharmonie le 13 décembre 2013

 

 CHCH-0063-02

 

A Saint-Aignan, jolie bourgade proche de Blois, Romorantin, Tours, dans le département du Loir et Cher, le zoo privé de Beauval porte beau.

Tout concourt à faire de cet espace animalier une « success story ». Majestueux troupeau d’éléphants, impressionnantes girafes, koalas joviaux, rares tigres blancs, oiseaux multicolores et une foultitude d’espèces exotiques et autochtones venus de tous les continents. Espaces vastes et soignés à la fois ombragés et ensoleillés, balisage étudié, spectacles vivants offerts en plein air, et surtout la qualité des soins apportés aux animaux, font du Zoo Parc de Beauval, un « must ».

 Deux pandas géants, deux nouvelles mascottes  

Cette année 2012 l’arrivée de deux jeunes pandas adolescents, un mâle, une femelle, de trois ans d’âge, venus de Chine, exactement de Chengdu, capitale de la Province de Sichuan, est une fête. Le Sichuan, province centrale de la Chine, est la patrie natale des Pandas. Son climat frais, la présence d’immenses jardins de bambous, les vastes étendues vierges en pleine réserve de biosphère, conviennent à ces grands solitaires. Baptisés « Rondouillard » et « Joyeuse » en langue du pays d’accueil, ils restent de nationalité chinoise, et sont particulièrement choyés et admirés par petits et grands. Leur unique nourriture et gourmandise : cent kilos de tiges et feuilles de bambou sont dévorés, à eux deux, chaque jour. Seul zoo français à posséder ce couple d’animaux exotiques, c’est un honneur et une gageure car le Panda, symbole de la Chine, est menacé d’extinction. Il faut dire que la naissance de bébés pandas en captivité ou en liberté est extrêmement rare. La reproduction est envisageable au bout de la cinquième année de vie de l’animal, mais le mâle, gros paresseux, peu enclin aux ébats sexuels, et la rare période de fertilité de la jeune panda de (trois jours /an) rend celle-ci aléatoire.

Une naissance encourageante

Un bébé panda est récemment né au Japon, au zoo de Tokyo : c’est un évènement attendu depuis 24 ans, et une première pour un panda conçu sans insémination artificielle !

Souhaitons bonne chance à ce couple médiatique du Zoo Parc de Beauval.
Que tous deux soient heureux et aient beaucoup d’enfants !

Retrouver ces écrits sur le site d’origine : http://www.prestige-et-sante.com/quand-le-panda-seveillera

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Le Panda, Bambous à tous les repas

Posté par othoharmonie le 13 décembre 2013

 

220px-Giant_Panda_Tai_ShanComme nourriture, le panda préfère les bambous dont il consomme, selon les saisons, les tiges, les rameaux ou les feuilles. De novembre à mars, il mange essentiellement les feuilles et les jeunes tiges. D’avril à juin, son choix se concentre sur les tiges plus âgées et, de juillet à octobre, il n’absorbe pratiquement que les feuilles. Cependant, en qualité nutritive, la composition globale des bambous change peu au cours de l’année : les feuilles sont les plus riches en protéines, suivies des rameaux et des tiges. Pour couvrir ses besoins énergétiques, le grand panda consomme de grandes quantités de cette plante : 45 % de son poids par jour, soit 38 kg de pousses.

   D’étonnantes adaptations morphologiques signent le lien existant entre le panda et les bambous : exceptionnelle largeur de la tête – qui donne une grande puissance aux muscles de la mastication –, configuration des dents broyeuses et surtout « sixième doigt » des pattes antérieures dont il se sert pour saisir le bambou, l’éplucher et le porter à sa bouche (après son repas, les restes sont nettement visibles sous forme de tas de copeaux).

   Si le panda se nourrit surtout de bambou, il lui arrive de manger d’autres plantes herbacées (EquisetumDeyeuxia, etc.), des plantes sauvages (gentiane, iris ou crocus), parfois même des poissons, des petits rongeurs ou un pika, sorte de lapin de garenne asiatique. En réalité, le grand panda est un animal carnivore au régime essentiellement herbivore et son tube digestif n’est vraiment pas adapté à un régime végétarien aussi strict. Il n’assimile donc pas bien le bambou, digérant environ 17 % de la nourriture qu’il ingère, au lieu de 80 % comme un herbivore.

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Panda et Culture populaire

Posté par othoharmonie le 12 décembre 2013

 

  • Le panda a été choisi comme logo par l’association WWF qui se consacre à la protection de la nature, c’est une espèce 159px-Panda4_Beauvalporte-drapeau pour la conservation de la faune.
  • Il est représenté depuis longtemps dans l’art ayant rapport avec la Chine, où il occupe une place privilégiée. Par exemple :Un célèbre livre, intitulé Eats, Shoots and Leaves, est un essai sur l’importance de la ponctuation. Le titre fait référence à la définition du panda dans le dictionnaire en anglais qui, par simple ajout d’une virgule, la transforme de « mange des pousses et des feuilles » en « mange, tire et s’en va » (eats shoots and leaves devenant eats, shoots and leaves).
    • la série de jeux vidéo de combat Tekken où Panda est la garde du corps de la combattante chinoise Ling Xiaoyu. Panda est une femelle panda dont le style de combat se rapproche de Kuma (qui est secrètement amoureux d’elle). Elle apparaît dans Tekken 3Tekken Tag TournamentTekken 4Tekken 5Tekken 5: Dark Resurrection et Tekken 6
    • le film d’animation Kung Fu Panda met en scène un panda se consacrant aux arts martiaux comme personnage principal.
  • Le pouce du panda est un essai traitant de biologie de l’évolution de Stephen Jay Gould.
  • Little Panda est un film américain (également adapté en français sous le titre La Grande Aventure du Panda).

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Sanctuaires des pandas géants du Sichuan

Posté par othoharmonie le 12 décembre 2013

 

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Les sanctuaires du grand panda du Sichuan sont situés dans le Xian de Wenchuan placé sous la juridiction de la préfecture autonome tibétaine et qiang d’Aba au sud-ouest de la province de Sichuan en Chine.

Ils sont le foyer de plus de 30 % des pandas géants et parmi les sites de reproduction les plus importants. Le site couvre 9 245 km² avec sept réserves naturelles et neuf parcs paysagers dans les montagnes de Qionglai et de Jiajin.

Avec les pandas géants, le sanctuaire est un refuge pour d’autres espèces menacées tel que le panda rouge, l’once, la panthère nébuleuse. En dehors de la forêt tropicale humide, la flore y est exceptionnellement riche et diversifiée et le sanctuaire abrite entre 5 000 et 6 000 espèces végétales. Il a été remarqué que la région est identique aux forêts paléotropicales de l’ère tertiaire.

Les sanctuaires des pandas géants de Sichuan regroupent sept réserves naturelles et neuf parcs paysagers.

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Panda : Yuan Zi et Huan Huan

Posté par othoharmonie le 12 décembre 2013

 

Panda3_BeauvalYuan Zi et Huan Huan sont des Pandas géants résidant au zoo de Beauval depuis le 15 janvier 2012.

Huan Huan (signifiant « Joyeuse »,  la femelle et Yuan Zi (signifiant « Rondouillard », le mâle, sont des Pandas Géants nés à Chengdu et loués à la France pour dix ans par la Chine, au prix de 750 000 € par an, dans le but qu’ils se reproduisent afin de préserver l’espèce. Le 15 janvier 2012, les deux pandas, alors âgés tous deux de trois ans, sont arrivés directement de Chine à bord d’un Boeing 777 surnommé le « Panda Express » spécialement affrété par la société Fed Ex jusqu’à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle puis ont été escortés jusqu’au zoo de Beauval à Saint-Aignan dans le Loir-et-Cher.

Durant le transport, ils étaient accompagnés par quatre personnes dont Zhang Hao, le gardien des pandas, qui, en plus d’escorter les deux mammifères, passera six mois en France à leurs côtés et Rodolphe Delord, directeur du ZooParc de Beauval.

Yuan Zi et Huan Huan sont les premiers pandas accueillis en France depuis 1973, quand la Chine maoïste avait offert un couple à la France sous la mandature de Georges Pompidou dans le cadre de la diplomatie du panda. Il n’y avait donc plus de pandas en France depuis la mort du dernier représentant de ce couple en 2000.

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BIBLIOGRAPHIE DU PANDA

Posté par othoharmonie le 12 décembre 2013

 

  1. Référence Animal Diversity Web : espèce Ailuropoda melanoleuca [archive]
  2. images (8) Stephen Jay Gould a utilisé cette particularité anatomique comme un exemple de « bricolage évolutif » dans son essai Le pouce du panda.
  3. Ruiqiang Li et al., « The sequence and de novo assembly of the giant panda genome », dans Nature, vol. 463, no 7279, 21 janvier 2010, p. 311-317 [texte intégral [archive], lien DOI [archive] (pages consultées le 20 avril 2012)]
  4.  Pandas en captivité [archive]
  5. Maehara expects pandas to improve Japanese sentiment on China [archive], AP sur Breitbart, le 18 février 2011
  6.  Unique en France, des pandas à Beauval! [archive]
  7. PANDAS – Panda géant ou grand panda, Classification, Fiche d’identité et sous-espèces [archive]

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Origine et évolution du castor

Posté par othoharmonie le 8 décembre 2013

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 Le castor eurasiatique, Castor fiber, et le castor nord-américain, Castor canadensis, sont les derniers représentants d’une des nombreuses familles de rongeurs, les castoridés.

   L’ordre des rongeurs est très bien représenté : sur les 5 400 espèces de mammifères décrites, environ 2 000 sont des rongeurs. Parmi les cousins peu éloignés des castors, on trouve les écureuils et les marmottes (famille des sciuridés), leurs deux familles faisant partie du même sous-ordre, celui des sciuromorphes  . Apparue au courant de l’ère tertiaire, la famille des castoridés est connue en Amérique du Nord dès le début de l’oligocène – il y a 38 millions d’années –, en Europe à la fin de l’oligocène (il y a 24 millions d’années) et en Asie depuis la fin du miocène (il y a 5 millions d’années).

   Différents genres se sont ainsi succédé ou côtoyés : une vingtaine a pu être identifiée, dont certains étaient d’une stature impressionnante : au pléistocène   , Trogontherium, en Europe, et Castoroides, en Amérique du Nord, avaient la taille d’un ours noir et pouvaient peser jusqu’à 200 ou 300 kg ! Ces géants ont dû d’ailleurs cohabiter un temps avec le genre Castor, puisqu’il est apparu en Europe il y a entre 3 et 5 millions d’années, avant de s’installer en Amérique du Nord. L’espèce eurasiatique serait donc plus ancienne que l’espèce nord-américaine, mais toutes deux se ressemblent tant que les chercheurs ont longtemps pensé qu’il s’agissait du même animal. Des études génétiques, notamment la comparaison de leurs chromosomes respectifs, ont toutefois confirmé leur distinction.

   Aujourd’hui, le castor est le plus gros rongeur de l’hémisphère Nord, avec un poids moyen de 30 kg. Dans l’autre hémisphère, en Amérique du Sud, ce record est battu par le capybara   , ou cabiai, un autre rongeur lui aussi semi-aquatique, de 50 kg.

   Les castors nord-américains étaient estimés à 60 millions d’individus à l’arrivée des Européens sur cette partie du continent. L’importance déterminante qu’ils ont eue, génération après génération, dans le modelage de nombreuses vallées est un exemple unique chez les rongeurs. Mais leur influence sur ce continent ne s’arrête pas là. Leur fourrure, provoquant bien des convoitises, a été, au XVIIIe siècle, une telle source de conflits entre les Européens immigrants, Anglais et Français et les Amérindiens qu’elle peut expliquer une partie de l’histoire récente du Nouveau Monde.

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origines légendaires du castor

Posté par othoharmonie le 8 décembre 2013

 

 

images (17)Les peuples amérindiens des Territoires du Nord-Ouest, au Canada, expliquent ainsi le grand nombre de castors : « Quand le castor apparut sur Terre, il dit : “Autant il y a d’écailles sur ma queue, autant il y aura de castors sur Terre.” C’est pourquoi il y a tant de castors sur la Terre. » Pour ces tribus, Inkfwin-Wétay, le couple fondateur du monde qui crée toutes choses par ses rêves, lança sur Terre, au commencement des temps, une tête de castor. Aussitôt, le castor abonda. Pour les Indiens Ojibwé du Canada, c’est une femme mythique, la « femme du ciel de printemps », qui, transformée en castor, devint la mère de tous les castors.

En effet ces gros rongeurs ne font pas tous partie du genre Castor bien que leur aspect ou leurs habitudes aquatiques puissent le laisser penser.

Selon un mythe des Nord-Amérindiens Tcilqéuk, c’est Castor qui révéla aux hommes où était le pays des saumons, alors que, pour les Nez-Percés, on sait faire le feu en frottant deux morceaux de bois, uniquement depuis que Castor le vola aux Pins, possesseurs exclusifs, et le communiqua aux autres arbres. 

Chez les Celtes, cet animal est le Maître mythique des eaux : il faut le vaincre pour les libérer, et son nom gaulois *beber est à l’origine du nom de plusieurs rivières (Bèbre, Besbre, Bièvre, Vèbre, etc.). 

Selon une étymologie légendaire déjà connue de Pline et répandue par les bestiaires médiévaux, le castor se castre lui-même pour échapper aux chasseurs désirant ses testicules pour guérir diverses maladies. 

Dans le Mabinogi Peredur (récits mythologiques gallois), doit vaincre un monstre dénommé addanc et qui, étymologiquement, n’est autre qu’un castor colossal.

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Histoire et statut du castor

Posté par othoharmonie le 8 décembre 2013

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Bien que probablement chassée depuis la préhistoire, cette espèce est restée abondante dans toute l’Europe jusqu’au début du Moyen Âge.

Les moines et les seigneurs ont déforesté les zones les plus riches par l’essartage. Ils ont aussi canalisé, rectifié, détourné et urbanisé de nombreux cours d’eau. Ils ont construit des milliers de moulins à eau, et drainé pour les mettre en culture d’immenses zones humides. À cette époque, les castors eurasiatiques ont été intensivement chassés pour leur viande, pour le castoréum (sécrétion huileuse très odorante produite par des glandes sexuelles du castor)  , et surtout pour leur fourrure qui servait notamment à confectionner des gilets ou chapeaux pour l’hiver ; ceci jusqu’au xviiie siècle et jusqu’à une quasi-extinction de l’espèce en Europe de l’Ouest. Quelques petits groupes ont survécu grâce à une pression de chasse et piégeage (« trappe ») reportée vers l’Amérique du Nord, notamment à l’initiative du Cardinal de Richelieu qui, inquiet du déclin de l’industrie de la fourrure en Europe, accélère la conquête du Canada et crée en 1627 la Compagnie des Cent Associés ayant le monopole de la traite des fourrures et la responsabilité de faire établir des colons (catholiques autant que possible). La France déclenchera la « guerre de Sept Ans » contre les Anglais de 1756 à 1763 notamment pour s’assurer la possession et le contrôle des principales zones de piégeage des castors (le castor canadien, l’espèce nord-américaine). Les Anglais gagneront cette guerre et le castor deviendra le symbole du Canada naissant.

Le castor n’est aujourd’hui plus consommé, mais au Moyen Âge, il l’était, et les chrétiens étaient même autorisés à en manger le vendredi (jour où l’on ne mangeait pas de viande), car sa chair était assimilée à celle du poisson en raison de la vie aquatique de l’animal.

Au début du xxe siècle, il n’en restait plus en Europe qu’environ 1 200 individus, mais grâce à des programmes de protection et de réintroduction, de petits noyaux de population ont pu se reconstituer sur certains cours d’eau, et on estime leur nombre à environ 430 000.

L’espèce reste néanmoins vulnérable, selon l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) : sur un territoire de plus en plus écologiquement fragmenté par les routes et les barrages, la colonisation d’une section de cours d’eau (naturelle ou à partir d’individu relâchés) ou du réseau de cours d’eau d’un sous-bassin versant reste difficile et se fait souvent à partir d’un seul couple fondateur d’une famille pionnière, ce qui peut poser des problèmes de consanguinité et de dérive génétique au sein de population dont le bassin génétique est encore très étroit.

C’est pourquoi le statut de conservation du Castor fiber reste fragile, surtout en Asie alerte l’UICN.

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Caractéristiques communes des castors

Posté par othoharmonie le 8 décembre 2013

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La progressive disparition des espèces du genre Castor en Europe et leur raréfaction en Amérique du Nord sont dues au commerce de la fourrure, de la viande et du castoréum*, une sécrétion huileuse très odorante ou bien à la destruction de leur habitat.

Les castors sont considérés comme faisant partie des espèces-ingénieur ou espèces facilitatrices, mais quand ils sont introduits hors de leur milieu ils peuvent avoir un comportement d’espèce invasive, comme le castor canadien en Amérique du Sud ou le castor des marais en Europe.

Ce sont tous des rongeurs dont les espèces actuelles sont de taille importante, à poil dru gris-brun, avec de petites oreilles, de petits yeux et de grandes dents. Ils sont généralement semi-aquatiques. Ceux de la famille des Castoridea vivent en forêt. Le castor des marais préfère les zones marécageuses. Le castor de « montagnes », quant à lui, préfère les montagnes humides mais c’est un animal terrestre.

*Le castoréum est une sécrétion huileuse très odorante produite par des glandes sexuelles du castor situées en dessous de la queue, près du pénis et de l’anus (où une autre glande exocrine odorante existe aussi).
Cette matière huileuse et odorante est réputé avoir deux fonctions : il permet au castor de marquer et délimiter son territoire, et d’imperméabiliser son pelage

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