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ANIMAUX EN QUESTIONS

Posté par othoharmonie le 24 décembre 2013

220px-YellowLabradorLooking_newQUESTION - Je vois tant d’animaux abandonnés et chaque fois que j’en vois un, mon coeur me fait mal… J’aimerais savoir plus à leur sujet.

RÉPONSE – Chère, en effet la réponse a déjà été donnée, mais donnons-la encore afin que vous tous compreniez. Les animaux sont sur terre pour trois motifs :

1 – pour l’équilibre de la vie biologique… Le cercle d’énergie qui vous est nécessaire pour exister, dans ce que vous appelez « la nature ».

2 – pour être capturés. Oui, c’est vrai. Beaucoup existent pour vous servir de nourriture et c’est approprié. Il y a une harmonie entre l’Être humain et l’animal et cela a toujours été. Souvenez-vous des buffles qui vinrent volontairement auprès des tribus indigènes pour être sacrifiés quand on les appelait ? Ce sont des histoires que vous devriez examiner à nouveau.

Ce qui est inapproprié aujourd’hui c’est la manière dont ces chères créatures sont traitées. Saviez-vous que s’il y avait une cérémonie les honorant à leur mort, qu’elles vous nourriraient mieux ? Savez-vous qu’il y a une cérémonie qui pourrait bénéficier à toute humanité de cette manière. Peut-être est-il temps que vous la connaissiez.

3 – pour être aimés et aimer. Dans beaucoup de cultures, les animaux font office d’enfants de substitution, en les aimant et en prenant soin d’eux. Cela donne une chance aux Etres humains de témoigner de la compassion et de l’amour inconditionnel lorsqu’ ils en ont besoin. C’est extrêmement important pour beaucoup et produit un équilibre à beaucoup et une occasion de se centrer.

Est-ce que les animaux savent tout cela ? Oui, à un certain niveau de base, ils le savent. Pas de la manière selon laquelle vous « savez », mais dans leur conscience cellulaire ils comprennent qu’ils sont ici de service pour la planète terre.

Si vous les honorez selon ces trois modes, alors le résultat en sera l’équilibre. Vos sensations concernant leur traitement sont importantes. Tempérez vos réactions avec la logique spirituelle pour leur disposition et leur service à humanité. Honorez-les dans tous ces trois cas.

QUESTION - Cher Kryeon. Qu’arrive-t-il aux animaux (tels que chiens et chats) lorsqu’ils meurent ? Est-ce qu’ils vivent après leur décès ? Est-ce qu’ils se réincarnent aussi ? Est-ce qu’ils évoluent ?

RÉPONSE – Ta question concerne spécifiquement les animaux de compagnie. Ce sont des animaux dont le but est d’aider l’humanité. Ils agissent à cet égard et se réincarnent dans ce même groupe. Ce sont des entités qui ne sont pas forcément programmées à évoluer  » et devenir des Êtres humains; de même que Kryeon n’est pas destiné à évoluer « vers une autre forme ».

Quelques-uns parmi nous sont des travailleurs divins universels et pour vous, dans votre réalité, notre aspect est très différent, mais de ce côté du voile cela est parfaitement compréhensible et approprié. Nous l’avons déjà dit précédemment : nous avons tous des tâches différentes, mais nous ne sommes pas compartimentés. La « soupe » de la divinité a de nombreuses saveurs, mais c’est toujours  » la soupe.  Donc considérez la question animale comme une part de la saveur de Dieu.

Pour ces Êtres humains qui ont perdu des animaux (puisqu’ils ne vivent pas très longtemps), voici quelques conseils : lorsque vous perdez un ami bien-aimé, un animal qui a donné son existence inconditionnellement pour vous aider toute sa vie, il est tout naturel que vous soyez triste.

Voici la bonne nouvelle : Ils se réincarnent ! Mais pas seulement cela, ils le font dans la région où ils ont vécu et ceci dans le seul but de vous permettre de les retrouver à nouveau !

Les règles afin de retrouver l’énergie de la même   »âme ».

- Attendez trois mois. *

- Ne pensez pas que l’animal sera de la même espèce ou grandeur. En fait, ne supposez même pas qu’il sera le même genre d’animal ! Il est commun pour les chats et les chiens d’alterner, uniquement afin de maintenir correctement l’équilibre.

- Regardez-le dans les yeux… rien d’autre. Il se révélera à vous.

- Donnez-lui le nom que vous voulez. Il n’est pas lié à quoique ce soit, si ce n’est à votre énergie.

- Si vous ne le retrouvez pas, il n’y a rien de négatif lié à cela. C’était uniquement une occasion. Il ira son chemin aimer l’humanité et aider d’autres comme il vous a aidé.

Tous les animaux que vous trouvez n’ont pas forcement été ici auparavant. Beaucoup viennent ici pour la première fois, s’étant proposé de faire leur part; afin que vous vous sentiez plus aimés et plus paisibles, afin que vous puissiez être un Phare plus puissant.

Le but des animaux sur la planète est de soutenir l’humanité, alors qu’ils répandent la paix sur Terre. Ils sont aussi divins. En revanche, vous saviez cela, n’est-ce pas …

[NDT - Dans le dernier livre de Kryeon, LIFTING THE VEIL, chap. 5, je vous signale que Kryeon indique ceci : lorsque votre animal de compagnie, votre ami, meurt, allez immédiatement le rechercher. N'attendez pas. N'attendez pas ! Je vous dirai pourquoi. Allez immédiatement chercher intuitivement dans les endroits ou se trouvent des petits (bébés-animaux)]

http://www.elishean.org/2011/05/01/reponses-de-kryeon/  

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L’âme animale

Posté par othoharmonie le 24 décembre 2013

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L’âme animale et l’âme humaine s’incarnent et ont le ont le même but qui est d’expérimenter la vie, d’apprendre et d’évoluer grâce à l’Amour.

Chaque famille d’animaux possède une mission planétaire  

Un des plus grands enseignements qu’un animal peut donner à l’humain, c’est sa grande faculté à vivre le moment présent, à ne pas spéculer sur l’avenir ou à se sentir coupable pour des choses du passé. 

Les animaux ont un plan émotionnel aussi développé que les humains mais différent car cette capacité de vivre dans le présent ne les font pas se perdre dans leur mental ou dans l’intellectualisation. 

Par ailleurs, l’animal a de grandes capacités mentales, un capital de créativité et la conscience de faire partie d’un Tout. Il est en contact avec une réalité globale. 

Il peut lire les courants de pensées non-verbaux tout comme les courants vibratoires. Face à l’évolution de cette planète, il nous offre sa collaboration et son entraide, par pur amour inconditionnel. En plus d’être potentiellement un télépathe et un guérisseur, l’animal sert d’intermédiaire pour des messages qu’un humain doit recevoir.

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la communication animale

Posté par othoharmonie le 24 décembre 2013

 

Animal_diversityLes animaux évoluent eux aussi comme les êtres humains et ils évoluent beaucoup au contact des êtres humains. Ils permettent aux être humains aussi, ceux qui choisissent de les regarder autrement que comme des bêtes, d’accéder à leur qualité d’être. Les animaux, selon le type, l’espèce, ont vraiment tous quelque chose à apporter à l’être humain. Que ce soit la capacité presque instantanée de rapatrier toute l’énergie dans une direction, que ce soit une capacité de concentration, que ce soit une capacité de relaxation, de méditation, que ce soit le don extraordinaire de soi, que ce soit une capacité de transférer des charges, les animaux, beaucoup d’animaux domestiques prennent consciemment des charges émotionnelles des êtres tout autour d’eux uniquement par Amour. Ils le font dans l’anonymat le plus complet et le font spontanément, tout simplement par ce qu’ils ont ce don, ce don d’eux mêmes, ils ont un sens précieux pour la vie : si ils sentent qu’ils peuvent apporter une contribution aux êtres qu’ils aiment, ils le feront intuitivement… (…) 

 Au fur et à mesure qu’un être s’ouvre à la reconnaissance du Divin en lui, à un moment donné, l’individu est amené, et ceci est incontournable, à ouvrir son regard sur le peuple animal et à cesser aussi de faire certaines distinctions entre les animaux domestiques et ceux qui ne le sont pas. Vous êtes consterné ou préoccupé par le bien-être de votre animal et vous n’êtes pas préoccupé par le bien-être des animaux que vous ne connaissez pas. Vous ne pouvez pas associer votre conscience uniquement à l’amour. Ce que vous aimez, voilà, ceci vous préoccupe, mais ce que vous n’aimez pas ou ne connaissez pas, et bien vous ne voulez pas vous en préoccuper. Nous ne voulons point vous choquer, mais si vous avez des enfants, la violence portée à votre enfant vous est intolérable. Songez-vous parfois à la violence faite aux autres enfants, vous est-elle aussi intolérable ? Les êtres en cheminement sont tout près d’une plus grande conscientisation planétaire. Ceci veut dire que vous allez vous impliquer de plus en plus au niveau planétaire. Attention, nous ne vous disons pas voilà : demain matin prenez vos bagages et puis partez. C’est à l’intérieur de vous, à l’intérieur de vous premièrement que vous avez à vous positionner.

Cherchez à respecter toutes formes de vie. Premièrement, observez les autres formes de vie, observez-les, regardez à quel point elles sont différentes, belles et captez leur vibration sans jugement. Vous allez vous apercevoir que chaque forme de vie peut vous offrir quelque chose de très réel, qui vous nourrisse vibratoirement, qui vous permette de vous sentir meilleur.

Lorsque l’être humain est capable d’avoir un contact profond, un contact vrai avec un animal, qu’est ce qui se passe ? L’être humain se sent digne, il est fier de lui, parce qu’il sait qu’il vient de pénétrer quelque chose de précieux. Vous venez, au contact de cet animal, de toucher un niveau de conscience qui dépasse le niveau de conscience que vous touchez entre les humains. Pour vous contacter entre vous tous, cela demande un niveau de conscience, une ouverture évidemment, mais vous êtes tous une même forme de vie, ou des formes de vies similaires. Alors, lorsque vous dépassez certaines limites et que vous entrez en contact avec l’animal pour saisir qui il est, ce qu’il vit, ce qu’il éprouve, ce qu’il veut vous communiquer et bien vous venez de faire un pas de plus au niveau d’une conscience plus planétaire. Vous savez à l’intérieur de vous que vous touchez à quelque chose de particulier, de précieux. Notez la capacité que vous avez de contacter les animaux, de les contacter réellement par le Cœur et par l’observation-contemplation.

(…)

Les animaux sont là aussi pour vous aider à guérir beaucoup de peurs. Vous pouvez choisir de les éloigner de vous ou vous pouvez choisir de travailler tout doucement, progressivement à guérir vos peurs. La peur ou les peurs liées aux animaux sont souvent des projections, l’animal était là dans une situation de cette vie ou que dans une autre vie, et très souvent vous avez rencontré vos propres peurs.

(…)

Les animaux vivent aussi toutes les poussées vibratoires, ils ressentent aussi le changement et ce sont des êtres dotés aussi de la capacité de choisir, différemment de vous les humains. Mais il est important de comprendre que cette planète offre l’extraordinaire possibilité de choix absolu, et n’allez surtout pas croire que sur toutes les possibilités des planètes d’incarnation il y ait cette possibilité absolue, aucunement.

(…) 

Le peuple animal est géré par une conscience planétaire, appelez ceci une âme planétaire pour les animaux, nous préférons appeler ceci un grand courant ou un archétype planétaire et cet archétype planétaire inclut toute la diversité du peuple animal passée, présente et future. Cet archétype planétaire concernant le peuple animal, et nous pourrions aussi dire grâce à l’archétype planétaire concernant aussi l’être humain physique passé, présent, futur, permet aux formes de vie existantes sur une planète de croître évidemment au cours d’un cycle de vie, mais aussi de muter, de se transformer. Donc cet archétype planétaire, il est là, il émane aussi et il influence les êtres humains. Il influence directement l’archétype des animaux grâce à cette interdépendance ou à cette intercommunication au niveau des archétypes planétaires, c’est pourquoi il y a la possibilité entre les différentes formes de vie de communication, de liens d’Amour même, d’une plus grande compréhension et d’une plus grande collaboration.

(…) 

Grâce au lien de communication avec ces archétypes, il est possible qu’il y ait une communication entre vous et les animaux. N’allez surtout pas croire que, si vous avez un animal domestique, il comprenne tous les mots que vous lui dites. Il saisit par télépathie supérieure parce que l’animal a des sens sensoriels internes et externes bien développés. Pas tous les sens, mais au niveau de la télépathie, pour certains au niveau clair-ressenti évidemment, l’instinct que vous pourriez relier à l’intuition et aussi à la claire-audience, les jeunes animaux entendent par claire-audience leurs parents. Il y a tout un contact qui se fait entre les membres d’une communauté par télépathie, par clair-ressenti et ainsi de suite… donc leurs sens sont très développés.

(…)

Beaucoup d’êtres humains se sentent appelés vers le peuple Animal et si vous vous sentez appelé et bien vous pouvez travailler à partir de l’Archétype, c’est-à-dire émaner de l’Amour vers l’Archétype du peuple Animal en leur transmettant tout simplement des messages de fraternité, des messages de gratitude, des témoignages aussi de vos expérimentations envers leur peuple. Contactez sur une base respectueuse le peuple animal, une variété du peuple animal ou plusieurs variétés à travers le peuple animal. Visez intérieurement à entrer en contact avec ceux-ci uniquement dans le but de fraterniser. Donc, si vous êtes une personne qui aimez profondément, qui avez un Amour du peuple animal et que vous vous sentez interpellé à soutenir ces autres formes de vie, et bien faites-le à distance, faites-le à travers votre animal, à travers la conscience que vous avez des animaux, faites-le à travers le partage que vous faites aux autres êtres humains, faites-le au niveau planétaire en ensemençant vos méditations et visualisations ! Visualisez que vous répandez autour du peuple animal beaucoup d’Amour et ceci sera très productif.

Le peuple animal est un peuple qui est digne du plus grand respect de tous les êtres humains. N’oubliez pas… qu’ils sont des Maîtres pour vous, comme vous êtes des Maîtres pour eux. Ils ont autant à vous apprendre, à vous apporter que vous pouvez leur apporter et leur apprendre

Dites-vous bien qu’au niveau de l’expression de sagesse pure, certains d’entre eux ont atteints des niveaux très élevés, de compassion, de respect, d’humilité, de don de soi… Chaque forme de vie existe pour enrichir tout ce qui est autour, laissez-vous enrichir par le peuple animal et permettez qu’à l’intérieur de vous s’exprime votre bonté, votre gratitude, votre respect, votre fraternité envers ceux-ci.

L’être humain est en train de cumuler une grande dette karmique envers le monde animal. Ce qui est merveilleux, c’est qu’au cours du présent âge, le niveau de conscience s’accroissant, de plus en plus d’individus vont choisir de cohabiter en paix avec le peuple animal, vont choisir de retourner regarder ce peuple pour retrouver le sens du Sacré. Ces bêtes ne sont pas bêtes. Ces bêtes sont de sages et précieux Maîtres.

http://guerirautrement.canalblog.com/archives/les_animaux/index.html

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le Panda et sa symbolique

Posté par othoharmonie le 22 décembre 2013

 

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Le panda est un animal mignon, qui ressemble à un nounours : c’est pourquoi il est constamment utilisé comme un symbole. Le fait que les gens pensent que cet animal est totalement sans défense, qu’il ne peut pas vivre ou se reproduire sans une aide de l’homme, ne fait qu’ajouter à ce concept.  

Mais qu’est-ce que les gens savent réellement des pandas ? Ils ignorent par exemple que les os de leurs poignets sont adaptés pour fonctionner comme un pouce de manière à ce qu’ils puissent attraper leur nourriture. Ce ne sont des animaux ni apathiques, ni méchants. Gu Gu, un panda mâle du zoo de Pékin a attaqué trois personnes qui ont été assez stupides pour escalader une clôture et essayer d’enlacer un animal de 160 kilos avec des griffes de 5 centimètres. Ce n’est pas la faute du panda, c’est juste un ours qui essaye de défendre son territoire de la visite d’un étranger. 

Le panda, favori des animaux en danger 

Ce qui me chagrine, c’est qu’il n’y a que très peu d’espèces qui sont mises en lumière lorsqu’on en vient à parler des animaux en voie de disparition. Le panda est celui qu’on évoque le plus, suivi par les tigres, les baleines et les grands singes. Après avoir passé des années à faire des recherches sur les serpents en voie de disparition, j’ai pensé qu’il y avait un tas d’animaux en danger qui étaient ignorés. 

Par exemple, le blobfish, un poisson des profondeurs, qui est parfois pêché accidentellement lors du chalutage de fond. Il y a aussi le crapaud Pipa, qui semble être en putréfaction même en bonne santé, et qui vit dans les marais du Panama. Ce batracien garde ses œufs sous la peau du dos avant qu’ils n’éclosent, éclatant comme dans un horrible film de science-fiction.

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Alimentation du Panda

Posté par othoharmonie le 22 décembre 2013

 

Le panda géant est habituellement représenté mangeant paisiblement du bambou plutôt que chassant, ce qui ajoute à son image d’innocence. 

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En effet, bien que classé parmi les carnivores, cet animal se nourrit principalement de végétaux. Même s’il a été rapporté qu’il mange à l’occasion des œufs et des insectes, son régime alimentaire est constitué à 95 % de végétaux (quasi uniquement de bambous : jusqu’à 20 kg par jour) et à 5 % de viande (des carcasses abandonnées ou des petits rongeurs, voire des opossums). Son faux pouce lui permet de cueillir et de tenir les tiges de bambou. Il passe près de 14 heures par jour à les mastiquer en raison de sa faible capacité à assimiler la cellulose (privé de cæcum, comme n’importe quel ursidé, il ne peut en digérer que 17 %). Les pousses sont avalées tout entières, mais il ne garde que le cœur et rejette l’écorce. Le transit intestinal dure environ huit heures. Beaucoup de forêts de bambous chinoises sont aujourd’hui exploitées par l’homme ou ont été défrichées pour devenir des terres cultivables. C’est une des raisons de la forte régression de l’espèce, qui ne dispose plus de son aliment de base.

 

Le génome du panda a été séquencé par une équipe chinoise en 2010 : ses 21 000 gènes contiennent notamment tous ceux codant pour les enzymes caractéristiques d’un régime carnivore (typique des ursidés) mais celui qui code pour le récepteur de la saveur de l’umami est muté, ce qui pourrait rendre inactif ce récepteur sensible à la saveur des viandes, et ainsi expliquer en partie pourquoi le panda a un régime alimentaire essentiellement végétarien, alors qu’il est, du point de vue phylogénétique, un carnivore.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Panda_g%C3%A9ant

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Un panda préhistorique identifié en Espagne

Posté par othoharmonie le 22 décembre 2013

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Un fossile découvert dans la péninsule ibérique, près de Saragosse, laisse penser que les ancêtres des grands pandas de Chine étaient européens.

Croiser un panda en Espagne paraît aujourd’hui plus qu’improbable. Pourtant, la chose était peut-être extrêmement courante il y a plus ou moins 11 millions d’années. C’est du moins ce que suggèrent les travaux de chercheurs espagnols du Muséum national des sciences naturelles et de l’université de Valence qui viennent de publier leurs résultats dans la revue Estudios Geológicos. Ces scientifiques, emmenés par le paléontologue Juan Abella, ont découvert dans la région de Saragosse le fossile d’un étrange ursidé du miocène. Des dents et des fragments de mâchoire leur ont permis de conclure à une nouvelle espèce encore jamais identifiée.

Baptisé Agriarctos Beatrix, l’animal serait un lointain cousin du grand panda si cher à la Chine, et même son plus ancien ancêtre connu à ce jour (les précédents étant datés de 9 millions d’années seulement). Comme lui, les chercheurs pensent qu’il était souvent grimpé dans les branches des arbres pour échapper aux prédateurs, d’autant plus qu’il était nettement plus frêle que les pandas actuels, pesant au maximum 60 kilos contre 100 à 125 kilos pour un panda géant. Dans la vaste forêt humide qui couvrait alors la péninsule ibérique, il se nourrissait en grande partie de végétaux, mais pas exclusivement.

Robe primitive

Bien qu’ils n’aient en leur possession qu’une petite poignée d’os et de dents à analyser, les paléontologues sont convaincus qu’Agriarctos Beatrix arborait un pelage noir taché de blanc, car ce type de fourrure est considéré comme le modèle primitif par excellence pour les ours. Ils l’imaginent à dominante sombre avec des taches claires autour des yeux, sur le ventre et près de la queue.

Mais pour en savoir plus, il faudrait maintenant retrouver un squelette entier. Ce dont l’équipe de Juan Abella, qui explore actuellement en partenariat avec l’institut catalan de paléontologie un riche gisement de fossiles, ne désespère pas. Quoi qu’il en soit, il semble bien que les ancêtres du panda soient originaires d’Europe. Reste à déterminer pourquoi et comment ceux-ci ne vivent plus aujourd’hui qu’en Chine.

 

Le Point.fr  article de CHLOÉ DURAND-PARENTI

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Le panda géant a capturé le cœur des gens dans le monde entier

Posté par othoharmonie le 21 décembre 2013

images (9). Il est devenu le symbole de la protection des espèces en voie de disparition. L’une des attractions favorites du zoo, le panda est extrêmement rare.

Il est difficile d’évaluer le nombre de pandas en vie. On estime qu’il y en a 800 qui vivent à l’état sauvage et environ 100 qui vivent en captivité, la plupart dans des zoos, dans des centres d’élevage et dans des réserves en Chine. Malgré toute l’attention accordée à son sort et les efforts internationaux pour sauver le panda, il risque fort de disparaître.

Autrefois, le panda errait dans les terres en contrebas des montagnes, du Myanmar au nord du Vietnam ainsi que dans l’est et le sud de la Chine. Mais l’agriculture, le développement et les coupes rases ont détruit les forêts de bambous qui leur servaient d’habitat naturel.

Plus de 50% de ces forêts ont été perdues durant les dix dernières années et elles ne sont pas facilement remplaçables. Les bambous ne fleurissent que tous les 80 à 100 ans, il leur faut 20 ans pour pousser suffisamment afin de pouvoir subvenir aux besoins d’une population de pandas.

Les choses se sont aggravées dans les années 1980. La plupart des forêts de bambous de Chine ont péris soudainement de façon inexplicable et plus de 150 pandas sont morts affamés.

La perte de leur habitat associée à l’avance des habitations humaines ont forcé les pandas à se retirer plus haut dans les montagnes où ils sont isolés et incapables de voyager vers les bosquets de bambous qui peuvent encore les faire vivre.

Les scientifiques ne savent pas si les taches noires et blanches des pandas sont un camouflage adapté à leur habitat montagnard ou si cela permet aux animaux solitaires de se reconnaitre. Malheureusement leur belle fourrure fait d’eux une proie facile pour les braconniers. Bien qu’ils soient protégés dans les réserves, les pandas sont parfois tués par des pièges illégaux qui sont destinés aux antilopes et aux cerfs.

Les zoos et les centres d’élevage étudient les habitudes de cet animal solitaire, espérant en encourager l’élevage, mais ce n’est pas du tout facile. Les pandas à l’état sauvage ont  un taux de reproduction très faible et un taux de mortalité infantile très élevé. Selon les chercheurs, ils ne connaissent cependant pas les problèmes de ceux en captivité. A l’état sauvage, tous les adultes males et femelles participent à la reproduction. En captivité, ils sont seulement 28%.
 
Des zones isolées d’habitation pour les pandas ne marcheront pas. Leurs défenseurs disent qu’il est nécessaire de renforcer les réserves de panda actuelles et d’établir des corridors entre elles. La Chine fait de nombreux efforts pour assurer la pérennité de l’espèce. Depuis 1963, le gouvernement a proclamé 13 réserves protégées où les bambous prospèrent, dans six chaines montagneuses isolées dans le Sichuan, Shaanxi,  et dans les provinces Gansuin de la Chine occidentale.

Cependant le problème de la perte d’habitat pour les pandas est un défi pour la Chine à cause de la demande de terre et de ressources par une population de plus d’un milliard de personnes. « Le seul espoir pour la vie des pandas, c’est l’harmonie entre les besoins des hommes et les besoins des pandas. » dit Elizabeth Kemf du Fonds Mondial pour la Nature (WWF). « Les pandas géants ont besoin de vastes étendues de forêts montagneuses tempérées avec beaucoup de bambous; les gens qui vivent à proximité ont besoin de sources de revenus sures et de meilleurs moyens de subsistance; la Chine a besoin de l’aide des peuples du monde pour protéger son « trésor national » pour toute l’humanité ».

Dans le cadre de l’effort mondial pour protéger la planète et les animaux qui l’habitent, le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) gère l’un des plus grands accords au monde, la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES). Ce traité international entre les gouvernements a pour but de s’assurer que le commerce international des animaux sauvages et des plantes ne menace pas leur survie.

L’une des décisions majeures du CITES concerne le prêt des pandas géants aux zoos. Les larges sommes d’argent payées -allant jusqu’à un million de dollars ou plus l’année- sont une incitation à retirer les pandas de leur habitat naturel. Désormais, ils ne peuvent être exportés que si cela aide à protéger l’espèce. Des lieux d’élevage adaptés doivent être mis en place, et tous les bénéfices doivent servir à la protection des pandas géants. La Chine applique des lois strictes contre le braconnage des pandas. Les contrevenants peuvent encourir une peine de prison à vie pour avoir vendu des fourrures au marché noir.

Aujourd’hui, 160 gouvernements sont tenus à la Convention CITES, qui offre une protection à plus de 35 000 espèces d’animaux et de plantes. Pas une seule espèce n’a disparu depuis le début de la CITES en 1975.

                     Animal Planet collabore avec les Nations Unies pour promouvoir une prise de conscience dans le monde à propos de la biodiversité et de l’importance de protéger les espèces en voie de disparition et leur habitat.

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La Reproduction du Panda

Posté par othoharmonie le 21 décembre 2013

 

220px-Chengdu-pandas-d18Les pandas atteignent une maturité sexuelle entre 5 ans et demi et 6 ans. Ils ne peuvent se reproduire que quelques jours par an ce qui rend leur reproduction difficile. La durée de la gestation est d’environ 112 à 163 jours (137,5 jours en moyenne). La mère peut donner naissance à un ou deux petits, rarement trois, avec une moyenne de 1,7 petit par portée. Cependant, celle-ci ne s’occupe que d’un seul petit et les autres meurent rapidement, peut-être parce que l’énergie nécessaire pour élever les deux est trop élevée mais le débat n’est pas clos sur cette question. En captivité, pour éviter cette perte, des chercheurs américains font actuellement des études sur le fait d’alterner les petits, ainsi, la mère s’occupe des deux petits sans s’en rendre compte. À sa naissance, le petit pèse à peine entre 85 et 140 grammes (110 grammes en moyenne) et est élevé uniquement par sa mère. Après environ 46 semaines, le petit est totalement sevré et il peut se débrouiller seul à environ 18 mois.

Ayant une fécondité naturellement faible, ils ont aussi beaucoup de difficultés à se reproduire en captivité. Le mâle, avec sa nourriture à portée de main, prend l’habitude de ne pas faire d’efforts, même pour se reproduire… Des problèmes psychologiques renforcent ce phénomène. Au Centre de recherche sur la reproduction des pandas géants à Chengdu (Chine), seulement 10 % d’entre eux s’accouplent. Et seulement 30 % des femelles accouplées font des petits. Afin de sauvegarder cette espèce menacée, les zoos et les centres d’élevage ont souvent recours à l’insémination artificielle. Les premiers succès de cette technique ont été obtenus au zoo de Pékin dès 1978.

Longévité

L’espérance de vie en captivité va de 26 à 30 ans, le record de longévité étant de 34 ans (Bao Bao, panda géant ayant vécu au zoo de Berlin, décédé le 22 août 2012). Dans la nature elle est 15 a 20 ans.

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Le panda géant et l’homme

Posté par othoharmonie le 21 décembre 2013

 

images (8)Cette espèce, très menacée, figure sur la liste des espèces de l’annexe I de la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction, dite convention de Washington).

Les pandas géants font l’objet d’un important programme d’élevage en captivité en Chine, et dans une moindre mesure dans d’autres pays. Les scientifiques chinois ont développé des techniques de fécondation artificielle pour contourner le principal problème concernant la reproduction des pandas géants : le fait que ceux-ci ne soient naturellement en chaleur que quelques jours par an.

« En 2005, 21 pandas, nés à la suite d’inséminations artificielles, ont survécu en Chine. »

Hors de Chine, très peu de zoos en détiennent (une dizaine en 2007 dont quatre aux États-Unis et trois au Japon). Dans les années 1970 et 80, plusieurs autres zoos (Paris, Londres, Moscou…) avaient « leur » panda, généralement offert à titre de cadeau diplomatique par la Chine. Depuis 1984, les pandas acquis par des zoos étrangers sont loués par le gouvernement chinois, à un prix très élevé (l’argent allant à un fonds de protection des pandas dans leur milieu naturel, sous la direction de la CITES). De ce fait, très peu de zoos en possèdent, d’autant que le simple entretien de l’animal est très onéreux, et que sa reproduction est exceptionnelle. Ainsi, le zoo d’Ueno s’est vu prêter en février 2011 deux pandas pour dix ans, pour un prix total de 950 000 dollars par an. Le 15 janvier 2012, deux pandas géants, Yuan Zi et Huan Huan, ont été accueillis au ZooParc de Beauval, dans le Loir-et-Cher 8. Le 25 mars 2013, deux pandas géants, Er Shun et Da Mao, ont été accueillis au zoo de Toronto, pour une période de cinq ans ; puis ils iront au zoo de Calgary et y resteront pendant cinq ans, pour enfin retourner en Chine.

Des textes chinois du xiie et du viie siècle av. J.-C. en font mention. Un livre ancien de géographie le décrit comme un « animal noir et blanc qui ressemble à un ours et se nourrit de cuivre et de fer », cela à cause de la réputation qu’il avait de lécher et de mordiller les ustensiles de cuisine dans les villages. Le panda a été très menacé par les chasseurs de fourrure. Les Chinois en particulier croyaient que ces peaux les protégeaient des mauvais esprits.
Le peuple chinois soutient aujourd’hui toutes les mesures nécessaires à la protection du panda. Des dispositions précises ont été prises et son braconnage est sévèrement réprimé.
Pour aider les populations de pandas à se développer, des lieux spéciaux ont été créés pour abriter 500 à 600 pandas.

 

Le missionnaire français Armand David (1826-1900) l’a fait connaître pour la première fois en Occident en 1869.

Il existe différentes légendes à propos des taches noires du panda qui diffèrent un peu selon les sources et le lieu d’origine.

Une légende chinoise populaire raconte qu’autrefois, les pandas étaient complètement blancs, mais, qu’un jour, quand la plus jeune de quatre sœurs mourut, les autres trempèrent les mains dans de la cendre en signe de deuil. En pleurant, ils se frottèrent les yeux pour essuyer leurs larmes, se consolèrent en entourant leurs bras autour d’eux et se bouchèrent les oreilles pour ne pas entendre les pleurs. La légende veut que ces taches de cendre soient restées sur leur fourrure.

Une autre légende semblable, provenant du Tibet, raconte que ce serait une bergère qui aurait sauvé d’un léopard un bébé panda qui se promenait avec sa mère. La bergère qui s’interposa pour défendre le jeune panda mourut, et tous les pandas, émus par son courage, pleurèrent avec de la cendre dans les mains pour respecter les rites de l’endroit

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Panda À l’état sauvage

Posté par othoharmonie le 19 décembre 2013

 

imagesEntre 1947 et 1977, les pandas géants étaient alors 1100. Ensuite, entre 1985 et 1988, ils étaient 1000. Environ 1 600 pandas vivent encore en pleine nature. Leur habitat se réduit sans cesse, car les hommes abattent de plus en plus les forêts pour le bois et l’agriculture, et il reste donc de moins en moins de bambous. De plus, les pandas géants sont parfois tués pour leur pelage ou meurent dans des pièges qui ont été placés pour attraper d’autres animaux.

Le bambou lui-même représente un problème pour la survie des pandas géants. Une fois que le bambou fleurit — tous les 10 à 100 ans — il meurt, et il faut compter dix ans avant que de nouvelles pousses aient une taille suffisante pour servir de nourriture. Parfois, des forêts entières de bambous disparaissent ainsi et le panda n’a plus de quoi se nourrir.

La fragmentation de leur habitat est particulièrement dangereuse pour les pandas, vu qu’ils doivent s’adapter aux cycles de vie des bambous. De petites populations isolées de pandas géants, dont le régime alimentaire se compose quasi exclusivement de diverses variétés de bambou que l’on trouve dans les hautes régions montagneuses, sont confrontées à un risque de croisements d’animaux de même souche. De tels croisements réduisent la résistance aux maladies, l’adaptabilité aux changements environnementaux et les taux de reproduction.

Plusieurs projets de protection ont été mis sur pied, comprenant entre autres la création de 33 réserves réparties dans les provinces de Sichuan, Gansu et Shaanxi, en Chine, à l’est du plateau tibétain, où vivent les pandas géants.

Les programmes de protection du panda englobent aussi la formation de gardes spécialisés dans la lutte contre le braconnage, la mise au point de plans de gestion pour toutes les réserves, nouvelles et existantes, et la poursuite de l’étude des pandas sur le terrain.

Les pandas géants font l’objet d’un important programme d’élevage en captivité en Chine, et dans une moindre mesure dans d’autres pays. Les scientifiques chinois ont développé des techniques de fécondation artificielle pour contourner le principal problème concernant la reproduction des pandas géants : le fait que ceux-ci ne soient naturellement en chaleur que quelques jours par an.

« En 2005, 21 pandas, nés à la suite d’inséminations artificielles, ont survécu en Chine. »

Hors de Chine, très peu de zoos en détiennent (une dizaine en 2007 dont quatre aux États-Unis et trois au Japon). Dans les années 1970 et 80, plusieurs autres zoos (Paris, Londres, Moscou…) avaient « leur » panda, généralement offert à titre de cadeau diplomatique par la Chine. Depuis 1984, les pandas acquis par des zoos étrangers sont loués par le gouvernement chinois, à un prix très élevé (l’argent allant à un fonds de protection des pandas dans leur milieu naturel, sous la direction de la CITES). De ce fait, très peu de zoos en possèdent, d’autant que le simple entretien de l’animal est très onéreux, et que sa reproduction est exceptionnelle. Ainsi, le zoo d’Ueno s’est vu prêter en février 2011 deux pandas pour dix ans, pour un prix total de 950 000 dollars par an. Le 15 janvier 2012, deux pandas géants,Yuan Zi et Huan Huan, ont été accueillis au ZooParc de Beauval, dans le Loir-et-Cher .

Historique

Des textes chinois du xiie et du viie siècle av. J.-C. en font mention. Un livre ancien de géographie le décrit comme un « animal noir et blanc qui ressemble à un ours et se nourrit de cuivre et de fer », cela à cause de la réputation qu’il avait de lécher et de mordiller les ustensiles de cuisine dans les villages.

Le missionnaire français Armand David (1826-1900) l’a fait connaître la première fois en Occident en 1869.

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Légendes des taches noires du Panda

Posté par othoharmonie le 19 décembre 2013

 

Il existe différentes légendes à propos des taches noires du panda qui diffèrent un peu selon les sources et le lieu d’origine.

Une légende chinoise populaire raconte qu’autrefois, les pandas étaient complètement blancs, mais, qu’un jour, quand la plus jeune de quatre sœurs mourut, les autres trempèrent les mains dans de la cendre en signe de deuil. En pleurant, ils se frottèrent les yeux pour essuyer leurs larmes, se consolèrent en entourant leurs bras autour d’eux et se bouchèrent les oreilles pour ne pas entendre les pleurs. La légende veut que ces taches de cendre soient restées sur leur fourrure.

Une autre légende semblable, provenant du Tibet, raconte que ce serait une bergère qui aurait sauvé d’un léopard un bébé panda qui se promenait avec sa mère. La bergère qui s’interposa pour défendre le jeune panda mourut, et tous les pandas, émus par son courage, pleurèrent avec de la cendre dans les mains pour respecter les rites de l’endroit.

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Diplomatie du panda

Posté par othoharmonie le 19 décembre 2013

220px-Ling_Ling_at_Ueno_ZooLa diplomatie du panda est une pratique utilisée par la Chine consistant à offrir des pandas géants en cadeaux afin d’entamer des relations diplomatiques avec un nouveau pays ou afin d’améliorer celles déjà existantes. Cette pratique, déjà utilisée sous la dynastie Tang (618 – 907), a connu son apogée sous la Chine maoïste. C’est à la suite de la formation de la République populaire de Chine en 1949 que l’expression « diplomatie du panda » a commencé à être utilisée.

En Chine, le Panda est considéré comme un « trésor national » et lorsqu’il est offert, un tel cadeau ne peut se refuser. Cependant, sous la pression des environnementalistes, cette politique a officiellement cessé en 1984 et a été remplacée par des prêts à long terme accordés à des zoos étrangers.

Historique

L’usage de Pandas géants afin d’améliorer les relations entre la Chine et divers pays remonte à plus de 2 000 ans av. J.-C. Des traces remontant à la dynastie Tang montrent que deux pandas géants ont été présentés à la cour du Japon par l’impératrice Wu Zetian.

Le don de Pandas géants a connu un renouveau dans les années 1950, à la suite de la création de la République populaire de Chine. Entre 1957 et 1982, la Chine a donné 23 pandas à neuf pays différents. La diplomatie du Panda a atteint son sommet en 1972 lors de la visite de Richard Nixon en Chine. Hsing Hsing et Ling Ling avaient été offerts à un zoo de Washington après cette visite qui avait mis fin à 25 ans de rupture des relations diplomatiques.

À partir de 1984, la Chine cesse officiellement cette pratique. La population de pandas survivants à l’état naturel est estimée à 1 600, vivant principalement dans des réserves naturelles des provinces du Sichuan, Gansu et du Shaanxi. Le don de Panda est donc remplacé par des prêts pour une durée de 10 ans, dans le but de conduire des études scientifiques ; ces prêts ne se font pas sans contrepartie et les zoos recevant les animaux doivent payer une somme qui dépend de plusieurs facteurs, dont le nombre de visiteurs. Pour certains zoos américains ou japonais, la somme peut atteindre un million de dollars par an et plus en cas de naissance.

Les évènements liés aux pandas sont décryptés et analysés du fait de cette « politique du panda ». Par exemple, en janvier 2006, le Secrétaire d’État adjoint américain, Robert Zoellick, a été photographié embrassant un bébé panda de 5 mois lors de sa visite à la province du Sichuan. L’image a été largement diffusée par les médias chinois et a été prétendument interprétée comme un signe que Zoellick soutenait de meilleures relations entre la Chine et les États-Unis.

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Panda animal Totem

Posté par othoharmonie le 19 décembre 2013

 

téléchargementLes pandas sont une perle rare dans la nature et en dépit de leur très gras, couleur noir et blanc contrasté, ils sont les maîtres d’être insaisissable. Ils se cachent les uns des autres et sont très bons grimpeurs et nageurs en dépit de leur grande taille. Panda est généralement nourrissent principalement de bambou et ne sont pas souvent ouverts à manger d’autres aliments, mais occasionnellement, ils mangent les rongeurs ou les oiseaux. Ils sont souvent en équilibre au bord de la malnutrition, malgré la grande quantité de bambous qu’ils consomment, parce qu’ils luttent pour obtenir suffisamment de nutriments dans leur alimentation.

Panda personnes ont tendance à être des gens très particuliers qui ont beaucoup de contrastes ou les conflits en eux-mêmes qui peuvent les amener à «cacher» plutôt que de vraiment se permettre d’être vu.Personnes Panda besoin de beaucoup d’encouragement de la nourriture et de l’âme pour vraiment atteindre leur plein potentiel et de réaliser à quel point unique et spécial qu’ils sont vraiment. Certaines personnes panda sont également très « difficile » et à ce titre peut souffrir d’une mauvaise alimentation.

Réflexion personnelle …

Lorsque panda vient vous rendre visite, il peut vous dire que vous n’obtenez pas assez de ce que vous avez besoin – que ce soit dans votre alimentation ou même sous la forme de « soul food » d’encourager et vous inspirer. Pandas venu vous dire que vous êtes spécial et unique et la nécessité de veiller à ce que vous vous donnez ce que vous avez besoin pour atteindre votre plein potentiel. Tendez la main à ceux qui sont en faveur et vous encouragera à ne pas se cacher.

 

Symbolisme rêve

Pour rêver d’un panda signifie la nécessité de cesser de se concentrer sur vos soucis et problèmes – ce que nous résistez persiste.

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Deux pandas géants chinois accueillis en grande pompe en France

Posté par othoharmonie le 18 décembre 2013

 1615226_3_8dae_photo-china-daily-reuters                                       1629944_3_984d_les-deux-pandas-geants-pretes-par-la-chine_f47b6b5970483347fc2842d85b271f30

Les deux pandas géants prêtés par la Chine pour dix ans au zoo français de Beauval, Yuan Zi (« rondouillard » en chinois) et Huan Huan (« joyeuse »), ont été accueillis comme des vedettes dimanche 15 janvier à l’aéroport parisien de Roissy-Charles-de-Gaulle. Le « Panda Express », un Boeing 777 spécialement affrété par la société Fedex, lui-même décoré d’un grand portrait de panda, s’est posé sur le tarmac juste avant 11h, sous les applaudissements des officiels, dont l’ambassadeur de Chine en France, et devant plus d’une centaine de journalistes.

Les deux « trésors nationaux » de la Chine, âgés de 3 ans, sont arrivés après 8 833 km de vol, soit onze heures et quart de voyage. Apparemment à l’aise dans des cages perforées avec des feuilles de bambous tout autour, ils ont débarqué sur des palettes porteuses avant d’être réembarqués dans un camion à destination de Saint-Aignan, où se trouve le zoo de Beauval, escorté par les gendarmes.

750 000 EUROS POUR LE TRANSFERT

Leur débarquement s’effectuera cette fois à l’abri des regards. « Ils ont apprécié le transport, ils ont beaucoup mangé, ils commencent à apprendre le français, je ne doute pas qu’ils fassent encore des progrès », a plaisanté l’ambassadeur chinois Kong Quan. Le couple de pandas « symbolise l’amitié entre la Chine et la France, entre le peuple français et le peuple chinois (…) c’est un geste extrêmement fort dans l’image amicale entre nos deux peuples », s’est-il réjoui.

Avant leur départ samedi, les pandas avaient fait l’objet d’une fête d’adieu solennelle, dans la base de reproduction des pandas de Cheng du où vivent l’immense majorité des représentants en captivité de cette espèce très menacée. Yuan Zi et Huan Huan sont les premiers pandas accueillis en France depuis 1973, quand la Chine maoïste avait offert un couple à la France de Georges Pompidou.

Les intervenants se sont refusés à donner le prix du transfert. Une source proche du dossier évoquait une somme de 750 000 euros.

http://www.lemonde.fr/ 

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Panda : Cinq années de négociations pour le zoo de Beauval : de 2006 à 2011

Posté par othoharmonie le 18 décembre 2013

 

 

images (4)En 2006, la Chine a organisé une tournée internationale pour promouvoir le panda géant et la première étape de ce tour s’est tenue à Paris en hommage à Armand David, le missionnaire français qui a révélé en 1869 au monde occidental l’existence de l’ours noir et blanc.

La réception, qui s’est tenue en août 2006 à Paris, a réuni plusieurs journalistes et responsables de parcs zoologiques. Parmi eux, Françoise Delord, directrice du ZooParc de Beauval, a exprimé son intérêt pour la ville de Chengdu, pour sa base de recherches et d’élevage du panda géant et a confié sa volonté de contribuer à la conservation de l’espèce.

En novembre 2006, Françoise Delord a renouvelé son désir d’adopter un couple de pandas géants lors de la conférence annuelle du Comité chinois chargé d’évaluer les techniques d’élevage du panda géant (Chinese Committee of Breeding Techniques for Giant Pandas) qui se tenait cette année là en Thaïlande.

Entre 2006 et 2011, le ZooParc de Beauval a multiplié les échanges avec la base de recherches de Chengdu sur l’élevage du panda géant (Chengdu Research Base of Giant Panda Breeding), un des deux centres chinois qui louent des pandas à l’étranger (lire l’article sur cette base). Durant ces cinq années, la direction du zoo s’est également rendue à plusieurs reprises en Chine pour négocier avec les autorités chinoises et bâtir un accord. Ces contacts ont été menés en parallèle de négociations diplomatiques aux plus hauts niveaux car le prêt de pandas nécessite l’accord formel du président chinois Hu Jintao à son homologue qui en effectue la demande, dans le cas qui nous intéresse le Président français Nicolas Sarkozy.

Rodolphe Delord, directeur du zoo de Beauval, résumait en 2011 ces années ainsi : « Ma mère qui est la fondatrice du zoo a toujours voué une véritable passion pour les pandas. Cet animal est le symbole des espèces menacées et c’est un emblème de la protection de la faune. Le projet d’accueillir des pandas est né il y environ huit ans mais il n’a vraiment démarré que depuis cinq ans quand nous avons établi un protocole d’accord avec le centre de Chengdu en Chine. Le but était de créer un vrai projet de reproduction, de conservation et de recherche en milieu naturel ».

Le 16 juin 2011, c’était au tour de Sylvie Bermann, l’Ambassadeur de France en Chine, de visiter la base de Chengdu, en compagnie d’Emmanuel Rousseau, Consul général de Chengdu, d’Anthony Chaumuzeau, Conseiller de Coopération et d’Action culturelle et de Norbert Paluch, Conseiller pour la Science et la Technologie. La délégation française a été accueillie par Zhang Zhihe, directeur de la base de Chengdu.

LIRE LA SUITE ICI ….http://www.pandas.fr/index.php/pandas-en-france-.html#Historique des grands pandas hébergés en France, au zoo de Vincennes : de 1939 à 2000

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La nutrition des deux pandas français

Posté par othoharmonie le 18 décembre 2013

 

 

images (3)Yuan Zi et Huan Huan sont nourris quasi-exclusivement avec du bambou, comme leurs congénères sauvages. Entre 30 et 50 kilos leur sont offerts quotidiennement. Cependant, pour les zoos qui hébergent des pandas, l’approvisionnement en bambous est un défi logistique et financier, et le zoo de Beauval ne fait pas exception à cette règle.

Ainsi, le zoo d’Edimbourg révélait en novembre 2011 qu’il avait contractualisé avec un horticulteur allemand pour fournir à Tian Tian et Yang Guang des bambous issus d’une plantation située dans la banlieue d’Amsterdam (Pays-Bas) pour un total de 18 000 kilos par an et un budget de 80 000 euros par an.

Le zoo de Madrid s’approvisionne quant à lui depuis 2008 chez une bambouseraie française, RezO-Plant, située à Montauriol dans le Lot-et-Garonne.

Pour l’approvisionnement en bambous pour nourrir ses deux pensionnaires, le zoo de Beauval s’appuie actuellement principalement sur deux fournisseurs :
  – la bambouseraie des Marmettes, à Fontguenand (Indre).
  – la bambouseraie Ambiances et bambous, à Faverelles (Loiret).

Le zoo de Beauval faisait également appel au départ à un troisième fournisseur, RezO’Plant (à Montauriol dans le Lot-et-Garonne), que j’avais questionné en janvier dernier (lire l’article) ; mais l’éloignement géographique de cette bambouseraie a conduit le zoo à suspendre pour l’instant ses commandes à ce fournisseur.

Le mardi 7 février 2012 après-midi, j’ai rencontré Jean Rête, le fondateur et responsable de la bambouseraie des Marmettes, située à une vingtaine de kilomètres du zoo de Beauval (lire l’article). Jean Rête m’a expliqué que le zoo de Beauval s’était rapproché de lui au premier semestre 2011 pour assurer une partie de son approvisionnement en bambous pour ses nouveaux pensionnaires noir et blanc. Juste après l’arrivée des deux pandas en France, Zhang Hao, le soigneur chinois, est venu à la bambouseraie sélectionner quelques espèces. « Il a choisi des échantillons de différentes variétés, pour les faire goûter petit à petit aux pandas », m’a expliqué Jean Rête. Et c’est ainsi qu’actuellement une fois par semaine des employés du zoo viennent chercher la commande de 300 kilos qu’ils ont en général passé la veille. Après des essais de plusieurs espèces de bambous, le zoo commande notamment 3 espèces à Jean Rête : Phyllostachys humilis,Phyllostachys bissetii et Phyllostachys dulcis. Une fois coupés au ras du sol, la totalité des bambous est conditionnée en fagots de 10 kilos et de 3 mètres de long et triée par espèce. Le zoo lui a prêté une balance afin de calibrer les fagots. Jean Rête cultive ses bambous sans apport en nitrate et sans pesticide.

Lire la suite ici …. http://www.pandas.fr/index.php/pandas-en-france-.html#La nutrition des deux pandas français

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LES MODES DE COMMUNICATION du Panda

Posté par othoharmonie le 18 décembre 2013

 

600px-Portail_Conservation_de_la_NatureDans le paysage fermé des forêts d’altitude, au sous-bois dense, l’essentiel des contacts entre les animaux est indirect. Les pandas ne se livrent apparemment à aucune mimique particulière (ils ont d’ailleurs un faciès peu expressif). Ils communiquent parfois vocalement : parmi les cris de reconnaissance, on a relevé onze vocalisations différentes, dont on ne connaît pas encore précisément la véritable signification. Les appels des mâles et les gémissements liés à l’époque de la reproduction semblent spécifiques ; ces moments-là sont assez bruyants.

   Le marquage olfactif est certainement très usité. Les animaux possèdent deux glandes anales cachées sous leur courte queue au moyen desquelles ils marquent, surtout les mâles, certains arbres de leurs domaines. Les signaux sont principalement déposés le long des chemins parcourus par les pandas, plutôt qu’en périphérie de leurs territoires. Ils sont parfois aussi complétés par des griffades que l’on constate sur l’écorce des mêmes troncs.

   Le marquage peut servir aux animaux à apprécier la position de chacun afin de garder les distances minimales d’isolement. Il peut aussi, à l’époque de la reproduction, aider mâles et femelles à se retrouver facilement.

   Les jeunes forment parfois des groupes plus ou moins lâches. Sinon, on ne rencontre guère que des couples mâle-femelle et mère-petit.

   Dans la réserve de Wolong, la densité de pandas atteignait, par endroits, à la fin des années 1970, un animal pour 1,9 km2, pour un effectif de 130 à 150 animaux (malheureusement cet effectif a diminué brutalement depuis). La moyenne que l’on observait dans cette réserve était cependant de 1 panda (mâle ou femelle) pour 13 à 15 km2.

 

Un bébé minuscule pour un grand espoir

Mâles et femelles se retrouvent au printemps, de mi-mars à mi-mai. Ils restent ensemble un jour ou deux et les accouplements sont nombreux durant tout ce temps. Lorsque plusieurs mâles sont attirés par la même femelle en chaleur, c’est le mâle le plus puissant qui l’emporte.

   Les naissances ont lieu en septembre, après un temps de gestation dont la durée varie de 100 à 160 jours. De un à trois jeunes – minuscules – naissent, dans un état de développement très peu avancé. Ils pèsent de 90 à 130 grammes, ce qui laisse supposer qu’une gestation de 45 jours suffirait pour produire de tels bébés. On suppose donc que, comme chez d’autres espèces, le début de la gestation est différé : elle commence seulement lorsque l’œuf se fixe sur la paroi utérine.

   téléchargement (2)Pour mettre bas, la femelle s’isole dans un trou de rocher ou un arbre creux. Si elle met au monde deux jeunes, il est rare qu’elle réussisse à les élever tous les deux, étant donné leur totale dépendance. Le plus souvent, un seul survit. Pendant plusieurs mois, sa seule nourriture sera le lait de sa mère. Le jeune reste dans l’abri qui l’a vu naître jusqu’à 4 semaines, parfois jusqu’à 7. La femelle ne le quitte que pour aller se nourrir et s’abreuver rapidement. Le moment où elle part de l’abri avec son petit correspond à peu près à l’époque où une vraie fourrure commence à recouvrir et à protéger celui-ci, et où ses yeux s’ouvrent. Il ne marche pas encore et la femelle doit le porter. Le jeune panda découvre les bambous vers 5 ou 6 mois, c’est-à-dire au printemps. Le sevrage définitif n’intervient que vers 8 ou 9 mois. Le lien mère-jeune dure pratiquement 18 mois et, quand tout se passe bien, une femelle peut élever et sevrer un jeune tous les 2 ans. Si le petit meurt, la femelle peut se réaccoupler l’année suivante. Très jeune, le petit est parfois la proie du léopard ou du chien sauvage. Mais, à 30 mois, le jeune pèse environ 80 kg et n’a alors plus aucun ennemi, excepté l’homme.

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LE PANDA AFFECTIONNE LES FORÊTS DE PINS

Posté par othoharmonie le 17 décembre 2013

téléchargement (2)

En 1975, dans certaines réserves, de nombreux bambous sont morts après avoir fleuri (la floraison précède toujours la disparition, chez cette plante). Il serait urgent, pendant que les bambous repoussent, de reboiser ces zones pour ne pas laisser les graminées occuper complètement le sol : les conifères semblent les arbres les mieux adaptés, tant en raison de l’altitude que de la préférence des pandas pour ces arbres.

   Manifestement, les pandas affectionnent les forêts de pins avec sous-bois de bambous. La présence des pins réduit peut-être la mortalité des graines de bambou, élevée quand le sol n’est pas protégé par des arbres, et ces pins, âgés et creux, deviennent les sites de mise bas, indispensables aux femelles pandas.

   Quand tout va bien, chaque kilomètre carré de forêt pourrait nourrir deux pandas. Ce n’est malheureusement pas souvent le cas. Il faut compter avec la mort naturelle des bambous certaines années, avec les insectes amateurs de ces mêmes plantes et avec les pandas eux-mêmes. En effet, choisissant de préférence les jeunes pousses en périphérie des grosses touffes, ils peuvent localement empêcher la régénération de leur propre nourriture.

   Heureusement les autres herbivores que côtoie le grand panda, dans les forêts chinoises (le cerf sambar, le cerf à toupet, le serow – cousin asiatique du chamois), sont trop rares pour être des concurrents sérieux pour la consommation des bambous. Seul le rat des bambous chinois (Rhizomys sinensis) peut représenter une menace quelconque. Cet animal, relativement grand pour un rongeur (il mesure 40 cm et pèse 1 kg), coupe les bambous en surface, ou directement à partir des galeries du réseau souterrain qu’il creuse habituellement.

   On a également démontré l’importance de la présence simultanée de plusieurs espèces de bambous dans les zones habitées par les pandas. Cela leur permet de mieux répartir dans l’espace leur pression de consommateurs, d’utiliser de façon optimale, en quantité et en qualité, les ressources alimentaires et de faire face plus facilement à la disparition locale d’une espèce en cas de floraison.

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Centre de recherche PANDA

Posté par othoharmonie le 17 décembre 2013

 

VOIR LE SITE référence ici : http://www.pandas.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=510

 

Accès rapide aux chapitres de la page :

         Le centre de sauvetage et de recherche sur les animaux sauvages du Shaanxi

         La base de recherches de Chengdu sur l’élevage du panda géant

         La base de Yaan Bifengxia du Centre Chinois de Recherches et de Conservation du Panda Géant

 

 En plus des zoos traditionnels chinois qui hébergent des pandas géants captifs dans un but de présentation au public de l’espèce mais aussi de sensibilisation, la Chine compte à ce jour trois grandes institutions qui hébergent une population captive de pandas géants suffisamment importante en terme de nombre d’individus pour élever l’espèce en captivité c’est-à-dire faire reproduire les adultes et prendre soin des jeunes auxquels ils donnent naissance.

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Ces trois institutions sont les suivantes :

     – le centre de sauvetage et de recherche sur les animaux sauvages du Shaanxi (Shaanxi Province Wild Animal Rescue & Breeding Center, souvent abrégé SWARC pour Shaanxi Wild Animal Rescue Center). Cette institution se compose du centre principal de Louguantai et d’une annexe dédiée à la mise en œuvre d’expérimentation de réintroduction (base de Taping à Hanzhong).

     - la base de recherches de Chengdu sur l’élevage du panda géant (Chengdu Research Base of Giant Panda Breeding ; abrégé CRBGPB).

     – le centre chinois de recherches et de conservation du panda géant (China Conservation and Research Center for the Giant Panda ; abrégé CCRCGP). Le CCRCGP se compose à ce jour de la base de Yaan Bifengxia et de la base de réintroduction d’Hetaoping. Il comptait auparavant l’ex-centre de Wolong, détruit par le séisme meurtrier de mai 2008.

 

Ces institutions jouent également un rôle majeur dans la recherche scientifique de l’espèce, notamment sur les thèmes propres à la vie de l’espèce en captivité (comportement, caractéristiques de la reproduction, étude des naissances, croissance et développement des jeunes, physiologie des pandas, médecine vétérinaire, soins, pathologie, endocrinologie, nutrition, communication, génétique…). La population ex situ de pandas géants est une opportunité unique de créer la connaissance scientifique. Il existe de nombreux exemples d’informations et d’outils générés à partir d’études ex situ et qui peuvent être appliqués aux pandas sauvages. De plus, la population sauvage étant menacée, la population captive est une « assurance » contre la perte de diversité génétique, contre la perte de populations ou de l’espèce entière. Sans oublier enfin l’objectif de réintroduction.

Ces institutions ont également un rôle de recueil de pandas sauvages trouvés blessés, affamés, malades ou abandonnés (bébés). Elles sont équipées pour administrer les soins urgents aux pandas sauvages qui en ont besoin et assurent une convalescence aux animaux qui le nécessitent.

Enfin, l’objectif final des programmes d’élevage en captivité étant la réintroduction de pandas captifs dans le milieu naturel, ces institutions jouent et vont jouer dans le futur un rôme majeur pour la mise en œuvre de cet objectif. Ce point est cependant détaillé dans la page spécifique consacrée aux programmes de réintroduction.

 

Pour en savoir plus : La réintroduction de pandas captifs dans le milieu naturel, expérimentation passée et programmes futurs

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vidéo sur les premiers jours de PANDAS

Posté par othoharmonie le 17 décembre 2013

Grâce à une amie qui l’a partagé sur son facebook 

Ce sont les 100 premiers jours du nouveau-né des jumeaux panda cub Mei Lun Mei et Huan. Ils alternent être avec leur mère parce qu’elle a seulement la capacité de nourrir un à la fois. De cette façon, les deux sont capables de survivre et de prospérer.

flèche à droiteune vision incontournable sur un site : ici http://www.wimp.com/pandacubs/

Les responsables de zoo d’Atlanta ont reçu des nouvelles surprenantes concernant géants pandas Po, Mei Lun Mei et Huan. tests d’ADN a confirmé que les trois ours sont des femmes. 

 Les trois pandas géants ont été à l’origine sexués comme homme par des collègues de la base de recherche de Chengdu de la Reproduction des Pandas Géants, mais il n’est pas rare pour les jeunes pandas géants à déterminer le sexe de manière incorrecte. Avant le moment où ils sont au moins 3 ans, il n’y a pas de signaux externes évidentes quant à leur sexe.  

Il n’y a pas l’intention de changer de Po, Mei Lun de ou des noms de Mei Huan, et les nouvelles qu’ils sont des femmes n’aura pas d’impact sur leurs soins ou de leur importance future de la population mondiale de pandas géants en captivité.  

Po , 3, est le troisième rejeton de Lun Lun et Yang Yang. Mei Mei Lun et Huan, 4 mois, sont les seuls pandas géants jumeaux aux Etats-Unis 

pour plus d’infos se rendre également ici : http://www.zooatlanta.org/

Image de prévisualisation YouTube

 

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