La vie du castor
Posté par othoharmonie le 21 novembre 2013
Le long des étendues d’eau douce, des ruisseaux, des étangs, des fleuves et des lacs à travers l’Europe, un petit animal occupé établit des structures complexes qui aident à préserver les marais du continent – alors même qu’il combat pour sa propre survie.
Le castor européen, que rien ne distingue du castor nord-américain, même s’il est classifié comme appartenant à une espèce différente, est travailleur et fidèle. Cet animal s’accouple pour la vie, les couples adultes vivent dans de petites cellules familiales connues sous le nom de « loges ». La progéniture reste avec les parents jusqu’à ce qu’elle ait environ trois ans, puis sort toute seule.
Sachant qu’il dédit sa vie à sa famille, il n’est sans doute pas étonnant que le castor passe son temps à concevoir et à construire sa maison. Souvent dépeint comme un architecte sauvage, le castor est le seul animal, si l’on excepte l’homme, dont les constructions ont un impact sur l’environnement. Cependant, à la différence de nombreuses activités humaines, le castor crée un monde plus durable.
Les castors installent leurs « loges » en construisant de petits barrages et en créant des secteurs d’eau stagnante où ils construisent des nids et des garde-manger. Cette propention à modifier de grands espaces pour leur habitat contribue à préserver les marais en favorisant la présence d’une flore et d’une faune riche en diversité : poissons, loutres, oiseaux aquatiques, renards et cerfs prospèrent.
Il fut un temps, le castor européen habitait la majeure partie de l’Eurasie tempérée des les îles britanniques jusqu’à la côte orientale de la Fédération de Russie. Au 19ème siècle, le castor n’était plus présent que dans de petits secteurs marécageux isolés, en Allemagne, en Norvège, au Bélarus, en Mongolie et dans la Fédération de Russie.
Il y a seulement 10 ans, ce bâtisseur était au bord de l’extinction, chassé en raison de la forte demande pour sa fourrure résistante à l’eau douce et pour une substance appelée « castoreum » sécrétée par les glandes anales du castor. Le Castoreum contient de l’acide salicylique – la substance active de l’aspirine.
Maintenant que l’importance du rôle du castor dans la préservation des marais est reconnue, les défenseurs de la nature travaillent à sa réintroduction dans des pays comme la Hongrie, le Royaume-Uni et les Pays-Bas où il était éteint. Dans ces pays, le castor travaille dur, démontrant l’efficacité de ses activités courantes pour soutenir l’environnement.
Le castor européen est protégé par la Convention internationale sur le commerce des espèces menacées de la faune sauvage et de la flore Le long des étendues d’eau douce, des ruisseaux, des étangs, des fleuves et des lacs à travers l’Europe, un petit animal occupé établit des structures complexes qui aident à préserver les marais du continent – alors même qu’il combat pour sa propre survie.
Le castor européen, que rien ne distingue du castor nord-américain, même s »il est classifié comme appartenant à une espèce différente, est travailleur et fidèle. Cet animal s’acouple pour la vie, les couples adultes vivent dans de petites cellules familiales connues sous le nom de « loges ». La progéniture reste avec les parents jusqu’à ce qu’elle ait environ trois ans, puis sort toute seule.
Sachant qu’il dédit sa vie à sa famille, il n’est sans doute pas étonnant que le castor passe son temps à concevoir et à construire sa maison. Souvent dépeint comme un architecte sauvage, le castor est le seul animal, si l’on excepte l’homme, dont les constructions ont un impact sur l’environnement. Cependant, à la différence de nombreuses activités humaines, le castor crée un monde plus durable.
Les castors installent leurs « loges » en construisant de petits barrages et en créant des secteurs d’eau stagnante où ils construisent des nids et des garde-manger. Cette propention à modifier de grands espaces pour leur habitat contribue à préserver les marais en favorisant la présence d’une flore et d’une faune riche en diversité : poissons, loutres, oiseaux aquatiques, renards et cerfs prospèrent.
Il fut un temps, le castor européen habitait la majeure partie de l’Eurasie tempérée des les îles britanniques jusqu’à la côte orientale de la Fédération de Russie. Au 19ème siècle, le castor n’était plus présent que dans de petits secteurs marécageux isolés, en Allemagne, en Norvège, au Bélarus, en Mongolie et dans la Fédération de Russie.
Il y a seulement 10 ans, ce bâtisseur était au bord de l’extinction, chassé en raison de la forte demande pour sa fourrure résistante à l’eau douce et pour une substance appelée « castoreum » sécrétée par les glandes anales du castor. Le Castoreum contient de l’acide salicylique – la substance active de l’aspirine.
Maintenant que l’importance du rôle du castor dans la préservation des marais est reconnue, les défenseurs de la nature travaillent à sa réintroduction dans des pays comme la Hongrie, le Royaume-Uni et les Pays-Bas où il était éteint. Dans ces pays, le castor travaille dur, démontrant l’efficacité de ses activités courantes pour soutenir l’environnement.
Le castor européen est protégé par la Convention internationale sur le commerce des espèces menacées de la faune sauvage et de la flore (CITES), qui est administrée par le programme d’environnement des Nations Unies (PNUE).
Le CITE est un accord conclu entre les gouvernements pour s’assurer que le commerce international des animaux et des végétaux sauvages ne menace pas leur survie. Le CITE à déclaré illégale la chasse du castor européen et la destruction de son habitat.
Jusqu’ici, 160 gouvernements ont ratifié la convention, qui offre une protection variable à plus de 35 000 espèces animales et végétales, selon leur état dans la nature et l’impact que le commerce international peut avoir sur elles. Le CITES à proscrit le commerce des espèces en voie d’extinction. Il protège également d’autres espèces, qui ne sont pas menacées, mais suceptibles de courrir de sérieux risques à moins que leur commerce ne soit strictement réglementé., qui est administrée par le programme d’environnement des Nations Unies (PENU).
Le CITE est un accord conclu entre les gouvernements pour s’assurer que le commerce international des animaux et des végétaux sauvages ne menace pas leur survie. Le CITE à déclaré illégale la chasse du castor européen et la destruction de son habitat.
Jusqu’ici, 160 gouvernements ont ratifié la convention, qui offre une protection variable à plus de 35 000 espèces animales et végétales, selon leur état dans la nature et l’impact que le commerce international peut avoir sur elles. Le CITES à proscrit le commerce des espèces en voie d’extinction. Il protège également d’autres espèces, qui ne sont pas menacées, mais susceptibles de courir de sérieux risques à moins que leur commerce ne soit strictement réglementé.
Animal Planet collabore avec les Nations Unies pour promouvoir une prise de conscience dans le monde à propos de la biodiversité et de l’importance de protéger les espèces en voie d’extinction et leur habitat
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.