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Castors de Paris

Posté par othoharmonie le 21 novembre 2013

 

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Les Castors de Paris sont un club français de football américain créé en 1982 à l’initiative d’élèves de l’École spéciale des travaux publics, du bâtiment et de l’industrie (ESTP) basée à Paris et Cachan en banlieue parisienne. L’emblème du castor est choisi en lien avec l’emblème de l’école.

Avec de nombreux joueurs de rugby dans l’équipe, les Castors remportent une Coupe de France et sont plusieurs fois champion de France. De nombreux internationaux à l’Équipe de France de football américain jouent alors aux Castors et participent aux premiers championnats d’Europe en 1983 à Castelgiorgio en Toscane et en 1985 à Milan.

Le club disparait en 1993 en fusionnant avec les Sphinx du Plessis-Robinson pour donner naissance aux Castors-Sphinx du Plessis-Robinson, qui devient ensuite les Mousquetaires du Plessis-Robinson.

En 2009, l’équipe des Castors de Paris est recréée par d’autres élèves de l’ESTP pour participer au premier championnat universitaire d’Île-de-France. Le 20 mai 2010, le club remporte le premier titre de champion universitaire d’Île-de-France.

Palmarès

-       Vainqueur Coupe de France : 1984

  • Finaliste Coupe de France : 1985
  • Champion de France : 1987, 1988, 1989, 1993
  • Vice-champion de France : 1990, 1991

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Le castor en France

Posté par othoharmonie le 21 novembre 2013

 

220px-Beaver_2 Castor fiber est le nom scientifique du castor européen, infatigable travailleur du bord des rivières qui tient un rôle essentiel dans la gestion naturelle des zones humides. Il est, avec le castor canadien, l’une des deux espèces actuellement vivantes du genre Castor.

Après avoir failli disparaître de tout ou partie de l’Europe, il est aujourd’hui protégé dans la plupart des pays, et a fait l’objet de nombreux programmes de réintroduction. En Belgique, France et Suisse le castor est strictement protégé.

Plus gros rongeur européen, il était autrefois appelé en français « bièvre », nom d’origine gauloise que l’on retrouve souvent dans des noms de villages ou de cours d’eau.

Curieusement, le castor est toujours relativement méconnu dans notre pays, encore souvent confondu avec le ragondin (d’autant que ce dernier est parfois appelé myocastor en référence à son nom latin) et avec le rat musqué.

Il gère son territoire aquatique avec une grande rigueur en entretenant le bord des rivières, ruisseaux, lacs et étangs où il séjourne. Le castor contribue également à structurer la végétation des berges dont il se nourrit. 100% végétarien, il se nourrit également  d’écorces d’arbres et de plantes aquatiques. Les besoins quotidiens d’un adulte sont d’environ 2 kg de matière végétale ou de 700 g d’écorce.

C’est une espèce inféodée aux zones humides et à l’eau où il y passe les 2/3 de son temps. Il construit des huttes ou un terrier ou des huttes-terrier pour s’abriter le jour et mettre bas. L’entrée du gîte est toujours située sous l’eau.

Son comportement le plus connu et spectaculaire est la construction de barrages et sa capacité à ronger des branches et des troncs d’arbres, grâce à des dents très aiguisées.Le castor abat en général plusieurs arbres dans un même secteur produisant une zone de coupe dite « atelier ». Si cette zone de coupe est éloignée de la hutte ou du barrage en construction, le castor creuse de véritables canaux qui relient les différentes zones et permettent le transport de bois pesants, l’eau allégeant alors la charge.

Sa biologie, son écologie et sa vie familiale sont très proches du genre humain.

Depuis le 20 mars dernier et jusqu’au 20 juin est organisé le « Printemps des Castors »animé par des spécialistes de ce sympathique rongeur. Pour découvrir les animations près de chez vous, consultez le site internet de la Société Française pour l’Étude et la Protection des Mammifères (SFEPM), dont le lien est disponible ici.

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les castors et parasite

Posté par othoharmonie le 21 novembre 2013

Il est un parasite que le castor peut transmettre à l’homme. Responsable de la giardiase, Giardia lamblia est un protozoaire présent dans l’intestin de plusieurs espèces de mammifères. La transmission se fait par l’eau. Cette infection, relativement bénigne, inquiète surtout les campeurs nord-américains. De peur d’attraper la fièvre des castors, ou beaver feaver, ils ne partent jamais sans des consignes précises pour décontaminer l’eau de boisson et de cuisine. Apparemment, le castor européen n’est pas cité comme réservoir potentiel du parasite. Les signes cliniques sont le plus souvent des diarrhées, sans augmentation de température. Mais la giardiase est plus fréquente en zone tropicale que dans les régions à castors.

 les castors et parasite dans CASTOR 220px-Moll_-_Inset_Beaver_Map

Giardia appartient à l’ordre des diplomonadidas.

La maladie est due à l’infestation par des protozoaires flagellés : Giardia intestinalis. Les parasites vivent dans l’intestin grêle, à la surface des villosités intestinales. Lors de leur passage dans le côlon, ils se transforment en forme kystique, très résistantes, et sont passivement éliminés avec les selles. Les kystes survivent dans la nature, et vont contaminer un nouvel hôte par ingestion de nourriture ou d’eau contaminée, ou par portage à la bouche de mains souillées. La lambliase est étroitement liée au péril fécal, sa prévalence est corrélée au degré d’hygiène collective et individuelle, au traitement des eaux usées, etc.

Toutes les personnes contaminées ne montrent pas forcément des symptômes d’infection, mais elles peuvent être cependant porteuses de la maladie.

L’infection par le Giardia est un risque pour les personnes campant dans le désert ou nageant dans des cours d’eau ou des lacs souillés, particulièrement les lacs artificiels constitués par les retenues des barrages de castor (d’où le nom populaire de la lambliase, appelée « fièvre du castor »). Giardia peut être ingéré dans les aires de camping, les centres de plein air, il s’agit d’une maladie transmise par l’eau et qui est également hautement transmissible à d’autres membres de la famille une fois qu’un individu est infecté.

Les autres causes peuvent être la consommation de nourriture crue, les puits souillés et des défaillances dans les systèmes municipaux d’adduction d’eau.

225px-Giardiasis_duodenum_highLe cycle parasitaire commence par un kyste non infestant éliminé dans les selles d’un individu infecté. Une fois dans l’environnement extérieur, le kyste devient infestant. Un caractère distinctif du kyste est qu’il possède 4 noyaux et un cytoplasme rétracté. Une fois ingéré par l’hôte, le trophozoïte arrive à un stade actif et il est capable de se mouvoir pour trouver sa nourriture. Il se nourrit aux dépens de la muqueuse à l’intérieur du tractus digestif et provoque chez l’hôte des douleurs épigastriques, une distension gazeuse excessive, une diarrhée graisseuse avec du mucus mais pas de sang. Ces symptômes peuvent durer 2 à 4 semaines mais pour un individu intolérant au lactose, les troubles peuvent persister jusqu’à six mois. Après l’étape de prolifération, le trophozoïte subit la phase de reproduction asexuée par scissiparité. Les trophozoites et les kystes résultants de la division traversent alors le système digestif et sont éliminés dans les selles. Les caractères distinctifs des trophozoïtes sont de grands caryosomes et le manque de chromatine périphérique, donnant aux deux noyaux l’aspect d’un halo. C’est une forme primitive de protozoaires à laquelle font également défaut les mitochondries.

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La vie du castor

Posté par othoharmonie le 21 novembre 2013

240px-MyocastorcoypusLe long des étendues d’eau douce, des ruisseaux, des étangs, des fleuves et des lacs à travers l’Europe, un petit animal occupé établit des structures complexes qui aident à préserver les marais du continent – alors même qu’il combat pour sa propre survie.

Le castor européen, que rien ne distingue du castor nord-américain, même s’il est classifié comme appartenant à une espèce différente, est travailleur et fidèle. Cet animal s’accouple pour la vie, les couples adultes vivent dans de petites cellules familiales connues sous le nom de « loges ». La progéniture reste avec les parents jusqu’à ce qu’elle ait environ trois ans, puis sort toute seule.

Sachant qu’il dédit sa vie à sa famille, il n’est sans doute pas étonnant que le castor passe son temps à concevoir et à construire sa maison. Souvent dépeint comme un architecte sauvage, le castor est le seul animal, si l’on excepte l’homme, dont les constructions ont un impact sur l’environnement. Cependant, à la différence de nombreuses activités humaines, le castor crée un monde plus durable.

Les castors installent leurs « loges » en construisant de petits barrages et en créant des secteurs d’eau stagnante où ils construisent des nids et des garde-manger. Cette propention à modifier de grands espaces pour leur habitat contribue à préserver les marais en favorisant la présence d’une flore et d’une faune riche en diversité : poissons, loutres, oiseaux aquatiques, renards et cerfs prospèrent.

Il fut un temps, le castor européen habitait la majeure partie de l’Eurasie tempérée des les îles britanniques jusqu’à la côte orientale de la Fédération de Russie. Au 19ème siècle, le castor n’était plus présent que dans de petits secteurs marécageux isolés, en Allemagne, en Norvège, au Bélarus, en Mongolie et dans la Fédération de Russie.

Il y a seulement 10 ans, ce bâtisseur était au bord de l’extinction, chassé en raison de la forte demande pour sa fourrure résistante à l’eau douce et pour une substance appelée « castoreum » sécrétée par les glandes anales du castor. Le Castoreum contient de l’acide salicylique – la substance active de l’aspirine.

Maintenant que l’importance du rôle du castor dans la préservation des marais est reconnue, les défenseurs de la nature travaillent à sa réintroduction dans des pays comme la Hongrie, le Royaume-Uni et les Pays-Bas où il était éteint. Dans ces pays, le castor travaille dur, démontrant l’efficacité de ses activités courantes pour soutenir l’environnement.

Le castor européen est protégé par la Convention internationale sur le commerce des espèces menacées de la faune sauvage et de la flore Le long des étendues d’eau douce, des ruisseaux, des étangs, des fleuves et des lacs à travers l’Europe, un petit animal occupé établit des structures complexes qui aident à préserver les marais du continent – alors même qu’il combat pour sa propre survie.

Le castor européen, que rien ne distingue du castor nord-américain, même s »il est classifié comme appartenant à une espèce différente, est travailleur et fidèle. Cet animal s’acouple pour la vie, les couples adultes vivent dans de petites cellules familiales connues sous le nom de « loges ». La progéniture reste avec les parents jusqu’à ce qu’elle ait environ trois ans, puis sort toute seule.

Sachant qu’il dédit sa vie à sa famille, il n’est sans doute pas étonnant que le castor passe son temps à concevoir et à construire sa maison. Souvent dépeint comme un architecte sauvage, le castor est le seul animal, si l’on excepte l’homme, dont les constructions ont un impact sur l’environnement. Cependant, à la différence de nombreuses activités humaines, le castor crée un monde plus durable.

Les castors installent leurs « loges » en construisant de petits barrages et en créant des secteurs d’eau stagnante où ils construisent des nids et des garde-manger. Cette propention à modifier de grands espaces pour leur habitat contribue à préserver les marais en favorisant la présence d’une flore et d’une faune riche en diversité : poissons, loutres, oiseaux aquatiques, renards et cerfs prospèrent.

Il fut un temps, le castor européen habitait la majeure partie de l’Eurasie tempérée des les îles britanniques jusqu’à la côte orientale de la Fédération de Russie. Au 19ème siècle, le castor n’était plus présent que dans de petits secteurs marécageux isolés, en Allemagne, en Norvège, au Bélarus, en Mongolie et dans la Fédération de Russie.

Il y a seulement 10 ans, ce bâtisseur était au bord de l’extinction, chassé en raison de la forte demande pour sa fourrure résistante à l’eau douce et pour une substance appelée « castoreum » sécrétée par les glandes anales du castor. Le Castoreum contient de l’acide salicylique – la substance active de l’aspirine.

Maintenant que l’importance du rôle du castor dans la préservation des marais est reconnue, les défenseurs de la nature travaillent à sa réintroduction dans des pays comme la Hongrie, le Royaume-Uni et les Pays-Bas où il était éteint. Dans ces pays, le castor travaille dur, démontrant l’efficacité de ses activités courantes pour soutenir l’environnement.

Le castor européen est protégé par la Convention internationale sur le commerce des espèces menacées de la faune sauvage et de la flore (CITES), qui est administrée par le programme d’environnement des Nations Unies (PNUE).

Le CITE est un accord conclu entre les gouvernements pour s’assurer que le commerce international des animaux et des végétaux sauvages ne menace pas leur survie. Le CITE à déclaré illégale la chasse du castor européen et la destruction de son habitat.

Jusqu’ici, 160 gouvernements ont ratifié la convention, qui offre une protection variable à plus de 35 000 espèces animales et végétales, selon leur état dans la nature et l’impact que le commerce international peut avoir sur elles. Le CITES à proscrit le commerce des espèces en voie d’extinction. Il protège également d’autres espèces, qui ne sont pas menacées, mais suceptibles de courrir de sérieux risques à moins que leur commerce ne soit strictement réglementé., qui est administrée par le programme d’environnement des Nations Unies (PENU).

Le CITE est un accord conclu entre les gouvernements pour s’assurer que le commerce international des animaux et des végétaux sauvages ne menace pas leur survie. Le CITE à déclaré illégale la chasse du castor européen et la destruction de son habitat.

Jusqu’ici, 160 gouvernements ont ratifié la convention, qui offre une protection variable à plus de 35 000 espèces animales et végétales, selon leur état dans la nature et l’impact que le commerce international peut avoir sur elles. Le CITES à proscrit le commerce des espèces en voie d’extinction. Il protège également d’autres espèces, qui ne sont pas menacées, mais susceptibles de courir de sérieux risques à moins que leur commerce ne soit strictement réglementé. 

 Animal Planet collabore avec les Nations Unies pour promouvoir une prise de conscience dans le monde à propos de la biodiversité et de l’importance de protéger les espèces en voie d’extinction et leur habitat 

 

Vidéo du castor : Image de prévisualisation YouTube

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