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COLOMBE ET LES DIEUX

Posté par othoharmonie le 22 septembre 2013

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Genèse 8/1 à 12:

 » Dieu se souvint de Noé, de tous les animaux et de tout le bétail qui étaient avec lui dans l’arche; et Dieu fit passer un vent sur la terre, et les eaux s’apaisèrent. Les sources de l’abîme et les écluses des cieux furent fermées, et la pluie ne tomba plus du ciel.

Les eaux se retirèrent de dessus la terre, s’en allant et s’éloignant, et les eaux diminuèrent au bout de cent cinquante jours.

Le septième mois, le dix-septième jour du mois, l’arche s’arrêta sur les montagnes d’Ararat.
Les eaux allèrent en diminuant jusqu’au dixième mois. Le dixième mois, le premier jour du mois, apparurent les sommets des montagnes.

Au bout de quarante jours, Noé ouvrit la fenêtre qu’il avait faite à l’arche.
Il lâcha le corbeau, qui sortit, partant et revenant, jusqu’à ce que les eaux aient séché sur la terre.
Il lâcha aussi la colombe, pour voir si les eaux avaient diminué à la surface de la terre.
Mais la colombe ne trouva aucun lieu pour poser la plante de son pied, et elle revint à lui dans l’arche, car il y avait des eaux à la surface de toute la terre. Il avança la main, la prit, et la fit rentrer auprès de lui dans l’arche. Il attendit encore sept autres jours, et il lâcha de nouveau la colombe hors de l’arche.

La colombe revint à lui sur le soir; et voici, une feuille d’olivier arrachée était dans son bec. Noé connut ainsi que les eaux avaient diminué sur la terre. Il attendit encore sept autres jours; et il lâcha la colombe. Mais elle ne revint plus à lui.

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Pigeon voyageur

Posté par othoharmonie le 22 septembre 2013

Pigeon voyageur dans PIGEON - COLOMBE 250px-pigeons_voyageursLe pigeon voyageur est une race d’oiseau de l’espèce du pigeon biset spécialement sélectionnée pour effectuer des voyages afin de transmettre des messages et dont les déplacements constituaient un vecteur de communication courant — et considéré comme très fiable — jusqu’à la fin de la Première Guerre mondiale. Les éleveurs sont les colombophiles.

Le routage n’avait pas toute la flexibilité désirée :

  • un pigeon ne sait faire qu’une chose, c’est retourner vers son pigeonnier ;
  • on gardait donc dans chaque pigeonnier des pigeons appartenant à un autre pigeonnier, pour pouvoir envoyer des réponses éventuelles ou accusé de réception ;
  • mais pas trop longtemps non plus, car il ne faut pas que ce pigeon finisse par considérer ce nouveau pigeonnier comme le sien.

Cela restait tout de même pour les troupes un moyen efficace de remonter des messages à l’état-major sur la situation du terrain

  • sans grand risque d’interception (un pigeon est plus difficile à viser qu’un ballon) ;
  • sans grande ponction sur les ressources (un pigeon est léger à emporter, et facile à nourrir) ;
  • dans un silence total de fonctionnement (par rapport à un avion, par exemple), d’où discrétion ;
  • de façon presque invisible : comment distinguer en plein ciel un pigeon militaire de ses confrères sauvages ?

Un pigeon pouvait par ailleurs emporter des microfilms en cas de besoin. Mais le recours au pigeon voyageur fut abandonné dans les décennies où se généralisait l’usage du microfilm.

La colombophilie reste activement pratiquée en Europe, y compris en France (notamment par les « coulonneux » du Nord), comme activité de loisirs.

  • Pendant les croisades, les Turcs et les Arabes maîtrisaient déjà l’élevage des pigeons, ce qui leur rendait bien des services aux dépens des Croisés.
  • Jean Desbouvrie a gagné sa célébrité en tentant de remplacer le pigeon voyageur par des hirondelles, plus rapides et capables de se nourrir en vol, mais sensibles à l’hiver.
  • L’US Navy utilise les pigeons pour le sauvetage en mer. Les pigeons sont entraînés par conditionnement opérant à réagir à certaines couleurs (celle des gilets de sauvetage). Grâce à son excellente vue, le pigeon, situé dans une bulle sous un hélicoptère, repère les naufragés bien mieux que l’œil humain.

Colombophilie militaire

  • L’armée belge, en plus d’avoir utilisé des pigeons pendant la Première Guerre mondiale, est pratiquement la seule armée à les avoir encore utilisés à des fin militaires pendant la Deuxième Guerre mondiale. Une statue, située à Bruxelles au square des Blindés et dont le piédestal porte la mention Au pigeon soldat, leur a été édifiée en signe de reconnaissance. Cette statue, due au sculpteur Victor Voets (1882-1950) et inaugurée en 1931, représente un pigeon prêt à aller porter un message confié par la Patrie reconnaissante et dépoitraillée.
  • Les pigeons ont été utilisés comme moyen de communication par les Français pendant la guerre franco-prussienne de 1870 et la Première Guerre mondiale. Un monument de la société colombophile française situé dans le parc de la citadelle de Lille leur rend hommage.

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Pigeon ramier

Posté par othoharmonie le 22 septembre 2013


Pigeon ramier dans PIGEON - COLOMBE 220px-froidetpigeonLe Pigeon ramier ou palombe est la plus grande (entre 460 à 570 grammes, envergure de 75 à 80 centimètres et une longueur de 40 à 42 centimètres) et la plus commune des espèces de pigeons européens. Il est répandu aussi bien en forêt que dans les espaces urbains et ruraux. La colonisation des grandes villes est plus récente que celle faite par le pigeon biset. Dans les grandes villes, et à Paris notamment, ces oiseaux nichent fréquemment dans les jardinières des balcons ou des terrasses où ils pondent deux œufs. Ils reviennent au nid initial de génération en génération sur des dizaines d’années.

Les populations ouest-européennes du pigeon ramier sont erratiques et sédentaires, tandis que les populations du nord et de l’est sont migratrices. La population britannique ne quitte son île qu’exceptionnellement à l’occasion, rarissime, d’un enneigement prolongé.

Les populations migratrices au long cours franchissent les Pyrénées pour hiverner dans la péninsule Ibérique, où elles s’alimentent de glands dans la « dehesa ». Ce sont ces populations longues migratrices qui supportent l’essentiel de la pression de chasse lors de leur migration à l’automne et, depuis quelques années, dans leur stationnement hivernal. Elles sont en forte diminution, tandis que les populations « erratico-sédentaires » semblent se maintenir ou progresser.

La dénomination des pigeons est assez confuse sur le territoire français. On relève notamment :

  • Columba palumbus (pigeon ramier) = « palombe » dans le sud-ouest de la France et également désormais dans le sud-est où l’ancienne dénomination « biset » a pratiquement disparu en référence à cette espèce.

  • Columba œnas (pigeon colombin) dit pigeon « ramier » ou pigeon des champs ou « rouquet » dans le sud-ouest.
  • Columba livia (pigeon biset) dit pigeon de roche, pigeon commun, pigeon domestique, pigeon des villes, celui des pigeonniers et des falaises à l’état sauvage (« rock pigeon » ou « rock dove » en anglais).

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