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Les plumes de corbeau

Posté par othoharmonie le 30 juillet 2013


Les plumes de corbeau   dans CORBEAUPour les amérindiens, les plumes représentent un Cadeau venant du Grand Esprit, mais aussi de l’oiseau qui offre une partie de son essence, ces plumes ont une propriété médicinale. Elles permettent de faire pénétrer et diriger l’énergie de guérison car celle-ci capte et redistribue les énergies bénéfiques. Certaines plumes ont aussi des valeurs de protections, il suffit de porter celle-ci sur soi afin d’attirer l’énergie.

Les plumes de corbeaux sont utilisées pour effectuer un deuil et permettre de se débarrasser de sentiments ou situations indésirables alors que les plumes de corneilles, elles aussi symbolisent le deuil, on les utilise lors des cérémonies mortuaires. Les Lakota Sioux prient avec des plumes de corneille pendant 4 jours lors d’un décès. Elles ne sont utilisées que pour cet usage et on les conserve dans un endroit sacré.

Le médecine bag, également appelé poche ou sachet de pouvoir, inclut souvent des plumes particulières ayant une signification pour celui qui le porte et qui attire bonne fortune et chasse les mauvaises choses.

Un des sens ésotérique dans l’utilisation de la plume de ces oiseaux noirs et bien de se relier avec le monde d’en haut, avec l’astral et les Esprits qui le peuple.

Dans le cadre de la magie naturelle, les plumes sont utilisées dans le cadre de sortilèges et cérémonies afin d’établir un changement. Elles sont employées comme catalyseurs permettant d’aider à la concentration au cours de la réalisation des sorts et souhaits.

Les plumes sont souvent employées pour faciliter la concentration au cours de sortilèges.

Les plumes sont régies par l’élément air. Cela fait d’elles des aides précieuses pour une bonne communication. Mais chaque plume a ses propres pouvoirs particuliers, qui dépendent de l’oiseau auxquelles elles appartiennent, de leurs couleurs, du lieu où on les découvre ainsi que d’autres facteurs.

Les plumes utilisées dans des buts magiques sont principalement définies par l’énergie dont le chaman, le mage les charges à travers sa concentration et ses pensées. En dépit de l’énergie apportée par l’officiant, les plumes possèdent leurs propres capacités naturelles.

Nous pouvons pensé que la plume de corbeau peut être utilisé pour le travail sur soi-même, le voyage intérieur dans l’inconscient et la compréhension de la souffrance. La plume de corbeau peut, tout comme celle de l’aigle, aider à trouver la lumière.

Dans la langue abénaquise les mots aigle et corbeau sont très significatifs. On dit Mgeso pour un petit aigle et Wabun pour le grand, et wabun signifie également lumière. On dit Mkasas pour la corneille et Kchimkasas pour le corbeau, et le noir et l’obscurité sont dits mkasawi ou makasawigek. Dans les légendes abénakises* il est dit que lors de l’âge ancien, lorsque l’homme ne faisait qu’un avec l’animal, l’abénakis a commencé par nommer l’esprit des animaux et des plantes pour ensuite nommer le reste, pour cette raison les noms d’animaux servent souvent de mots-racines pour décrire ce qui est inanimé et subtil.

Les plumes de corbeau servent aussi tous simplement comme éléments d’appât pour la pêche !

* Abénaquis Il s’agit d’un groupe de tribus unies par des liens plus ou moins étroits et qui résidaient dans la région actuelle du Maine et du Nouveau-Brunswick. Ces tribus comprenaient, entre autres les Malécites, les Micmacs, les Pesmocodys, les Pentagouets, les Pégouakis et peut-être les Socoquis. Ils parlaient tous des dialectes similaires. Ils se livraient à la chasse et à la pêche mais mangeaient également du maïs en hiver. Au cours du XVIIIme siècle, la traite des fourrures joua un rôle très important sur le plan économique dans la vie de ces tribus. Les Abénaquis furent, au XVIIme et au XVIIIme siècle, de fidèles alliés de la France et ils attaquèrent à plusieurs reprises la Nouvelle-Angleterre lorsque les deux colonies étaient en guerre. Pour les Français, ils représentaient un véritable rempart contre les attaques venant du sud. Ils subirent de lourdes pertes au cours de ces combats et un grand nombre d’entre eux émigrèrent dans les villages français des missions, à Saint-François et à Bécancour.

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L’Intelligence du corbeau

Posté par othoharmonie le 30 juillet 2013

L'Intelligence du corbeau dans CORBEAU 225px-raven_cypress_provincial_park_2Le Grand Corbeau possède l’un des plus gros cerveaux de toutes les espèces d’oiseau. Plus spécifiquement, son pallium est volumineux. Il montre également plusieurs habiletés telles que la résolution de problème ainsi que d’autres processus cognitifs comme l’imitation et l’intuition, et il aurait passé avec succès le test du miroir.

Une expérience conçue pour évaluer l’intuition et la résolution de problème présentait un morceau de viande attaché à une corde qui pendait d’un perchoir horizontal. Pour atteindre la viande, l’oiseau devait se tenir sur le perchoir, tirer la corde en plusieurs étapes et tenir la corde à chaque étape afin de la raccourcir. Quatre des cinq Grands Corbeaux réussirent effectivement l’épreuve, et la transition depuis l’absence de succès (ignorer la nourriture ou simplement tirer sur la corde) jusqu’à un succès constant et prévisible (amener la viande jusqu’au perchoir) se fit sans apprentissage apparent.

Le Grand Corbeau est connu pour voler et cacher des objets brillants comme des galets, des morceaux de métal et des balles de golf. Une hypothèse est que ce comportement servirait à impressionner les autres corbeaux. D’autres études indiquent que les juvéniles sont curieux envers toute chose nouvelle et que l’attraction pour les objets ronds et brillants serait basée sur leur similarité avec des œufs. Les adultes perdent cet intérêt intense pour l’inhabituel et deviennent néophobes.

Récemment, les chercheurs ont reconnu que les oiseaux jouent. Les jeunes Grands Corbeaux sont parmi les plus joueurs des espèces d’oiseaux. Ils ont été observés glissant le long des bancs de neige, apparemment pour le simple plaisir. Ils jouent même avec d’autres espèces, par exemple en jouant à chat avec des loups et des chiens. Le Grand Corbeau est connu pour ses acrobaties aériennes spectaculaires, comme les loopings.

Vidéo : Image de prévisualisation YouTube

Le corbeau intelligent - Un corbeau intelligent observe, étudie les habitudes et comportements des humains, afin de bénéficier de leur aide facilement. 

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Fils du Corbeau

Posté par othoharmonie le 30 juillet 2013

Fils du Corbeau  dans CORBEAU macrocorax_woodfordi


Peuple d’appartenance : Llogrien

Religion principale :
Wotanisme


Hrafnason Viking -   Devise : Réfléchir avant d’agir


Description :

Le nom Hrafnason veut dire « fils du corbeaux ». Le contexte du nom est venu à la suite de la décision de Piery et Hiena de quitter la famille de Kent. Leur décision, quoique difficile, est tranquillement venue s’insurger au fil des années qui ont suivit les événements qui ont marqué l’histoire de la Lloegr en 549.

Dame Hiena, admise au clan de Kent il y a plusieurs années, a commencé à entrevoir le côté malsain de certains membres du Kent le soir où tout le peuple cherchait à retrouver le dit miroir de Hel afin de délivrer la reine de la possession de Nidhog. Ce soir-là, alors que Maître Aethre usa de magie puissante pour amener le miroir jusqu’à lui, Hiena douta pour la première fois.

À partir de ce moment, sans même connaître toute la teneur de ses actes, la pupille volva fût à même de s’apercevoir, que le patriarche était devenu au fil du temps, un homme à l’âme noirci. Les événements qui suivirent ne firent que confirmer que Hiena redoutait: sa place n’était plus parmi la famille de Kent. Elle se sentait trahie par ceux qui l’avait jadis accueilli.

Après le bannissement de Gunnulf, les choses ne s’améliorèrent que trop peu pour Hiena et Piery. Les membres du Kent semblaient de plus en plus distants face à eux, guettant un éventuel retour de leur patriarche. Les autres familles du royaume de Lloegr, quant à elles, rejetèrent le Kent en entier pour s’être sentit bafoués de la sorte par une famille entière. Ils se retrouvèrent donc seuls face au reste de la Lloegr.

La décision de quitter la famille de Kent s’imposa d’elle-même. Il leur était devenu impossible à Hiena et Piery d’élever leurs enfants ainsi, à guetter leurs arrières d’une possible invasion en leur terre de la part des autres clans Lloegriens. Les attaches que Hiena avait envers cette famille ne tenaient plus: son premier mari avait été exécuté, sa meilleure amie ne l’était plus et son mari de l’heure, Piery, n’avait pour appartenance au Kent que sa douce femme.

La décision prise, ils décidèrent de s’éloigner quelque temps. Avec l’aide du patriarche de NordVolk, ils partirent pour le continent. Là-bas, ils rencontrèrent maints gents importants. Piery combattit à leurs côté, remportant d’importantes batailles, qui lui value le respect de bien des gens du peuple.

Alors qu’il rejoignait sa femme suite à l’une de ses nombreuse bataille, il aperçu un immense corbeau posé sur une souche non loin. Le corbeau ne dit rien, mais fixait Piery de son œil noir. Le mot « hrafna » en norrois, qui signifie corbeau, lui vint à l’esprit. L’un des nombreux symboles de Wotan, qui signifiait la réflexion et la mémoire. Piery avait enfin trouvé une solution à leur problème à lui et Hiena. Ils retourneraient sur l’île de Fort pour y fonder un nouveau clan. Et le corbeau serait leur emblème.

L’image du corbeau représentait au mieux les sentiment et valeurs qui habitaient le couple à cet instant. Tous deux étaient de fervents religieux: Hiena travaillait très fort dans son apprentissage du Seidhr et aspirait au grimoire tandis que Piery se trouvait à être un des berserker les plus fervents. Quant au symbole de la mémoire, Piery pensa à son épouse et leur fils. Ils leur avaient donné le nom de Thorlak, nom du premier époux de Hiena, pour que celle-ci démontre à tous que rien n’avait été oublié de ces malheureux événements. La mémoire… Se souvenir de ses actes et de ceux d’autrui afin de récompenser ou punir le moment venu; se rappeler ses origines et son appartenance, les guerriers morts au combats pour le bien du peuple, le légendes entourant la création du monde et les aventures des dieux, tout cela aurait dû être inné pour chaque Lloegriens en soi mais tel n’était pas le cas et Piery avait la vive intention de montrer l’importance de se rappeler. Et la réflexion. Elle venait compléter la mémoire car si on était apte à se souvenir, l’on se devait aussi de réfléchir, chose que certains Lloegriens oubliaient parfois. Ne pas agir sous le coup de l’impulsion, évaluer le problème, les issues sous toutes ses coutures avant de faire quoique ce soit de regrettable. Wotan n’était-il pas le plus sage de tous les dieux?

Ce fut l’envolée du corbeau et son étrange cri qui sortirent Piery de ses rêveries. Il perçu cela comme un signe des dieux et dès lors su qu’il avait trouvé un nom digne d’un grand clan. Fort de ses victoires, Piery demanda un Drakkar, afin de retourner sur l’île de Bretagne et y fonder un nouveau clan. Ils allaient devenir des fils de corbeaux sous la bannière du désormais clan Hrafnason.

C’est sous le signe de l’honneur et de la vérité, de la sagesse et d’une certaine constance qu’ensemble, ils cherchent à faire respecter la justice, la vérité et à réunifier les clans llœgriens, pour que renaisse le peuple fier qu’il a toujours été.

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Intelligence des Corvidés

Posté par othoharmonie le 30 juillet 2013

Intelligence des Corvidés dans CORBEAU fish_crow_on_postLa famille des corvidés comprend les geais bleus, les choucas, les pies, les freux, les corbeaux et les corneilles. Ces oiseaux vivent en groupe, comme les dauphins, les éléphants et les humains. Leurs aptitudes sociales font qu’ils doivent mémoriser davantage d’éléments pour vivre en société et doivent faire preuve d’inférence cognitive pour survivre. Ils sont capables, entre autres, de déterminer l’organisation hiérarchique au sein de leur groupe. Par contre, certaines recherches insinuent que ces animaux n’apprennent que par association et ne sont pas capables d’une réelle compréhension. Les corvidés peuvent fabriquer des outils, contrairement à beaucoup d’autres animaux intelligents qui utilisent uniquement les ressources disponibles, sans chercher à les modifier. Par exemple, ils vont tordre une brindille plutôt que d’en chercher une déjà tournée de la bonne manière. De plus, les chercheurs notent que malgré l’abondance de bouts de bois et de tiges dans leur environnement, ces oiseaux transportent leurs outils (permettant d’attraper larves et insectes), plutôt que de perdre leur temps à en chercher d’autres. Les corbeaux font preuve d’une grande imagination. Ils sont ainsi capables d’utiliser la circulation routière pour casser les noix qu’ils sont incapables de briser eux-mêmes. Les corbeaux s’arrêtent aux feux de circulation et attendent patiemment la lumière rouge avant de récupérer leur butin. Les geais, de leur côté, ont trouvé une stratégie pour éliminer les parasites de leur plumage. Ils s’assoient sur les nids de fourmis, qui les arrosent d’acide formique. Le biologiste américain Bernd Heinrich étudie les corneilles depuis 15 ans. Ses travaux démontrent que cet oiseau, tout comme le corbeau, fait preuve d’empathie. Il passe sa vie avec le même partenaire et ceux-ci s’entraident.

Une expérience du chercheur Bernd Heinrich prouve que les corbeaux réussissent à se berner les uns les autres. Le scientifique a observé un corbeau qui tenait un biscuit dans son bec et tentait d’échapper à l’attention de ses semblables. Après un certain temps, l’animal a caché son butin sous une touffe d’herbe. Aussitôt, un autre corbeau est allé récupérer le biscuit. Mais le biscuit n’y était plus: le premier corbeau l’avait plutôt caché ailleurs.

Les corvidés possèdent une excellente mémoire. Selon les recherches d’Alan Kamil de l’Université du Nebraska, le geai bleu  dissimule de la nourriture dans une cache pour la reprendre par la suite. Il peut ainsi emmagasiner de la nourriture dans des milliers de caches et se souvenir où la retrouver. Non seulement il repère toutes les caches, mais il se souvient également de la qualité de la nourriture qui y est emmagasinée et évite les caches où la nourriture pourrait s’être dégradée.

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Relations sociales du Grand Corbeau

Posté par othoharmonie le 30 juillet 2013


Intelligence

Relations sociales du Grand Corbeau dans CORBEAU common_raven_by_david_hofmannLe Grand Corbeau possède l’un des plus gros cerveaux de toutes les espèces d’oiseau. Plus spécifiquement, son pallium est volumineux. Il montre également plusieurs habiletés telles que la résolution de problème ainsi que d’autres processus cognitifs comme l’imitation et l’intuition, et il aurait passé avec succès le test du miroir.

Une expérience conçue pour évaluer l’intuition et la résolution de problème présentait un morceau de viande attaché à une corde qui pendait d’un perchoir horizontal. Pour atteindre la viande, l’oiseau devait se tenir sur le perchoir, tirer la corde en plusieurs étapes et tenir la corde à chaque étape afin de la raccourcir. Quatre des cinq Grands Corbeaux réussirent effectivement l’épreuve, et la transition depuis l’absence de succès (ignorer la nourriture ou simplement tirer sur la corde) jusqu’à un succès constant et prévisible (amener la viande jusqu’au perchoir) se fit sans apprentissage apparent.

Le Grand Corbeau est connu pour voler et cacher des objets brillants comme des galets, des morceaux de métal et des balles de golf. Une hypothèse est que ce comportement servirait à impressionner les autres corbeaux. D’autres études indiquent que les juvéniles sont curieux envers toute chose nouvelle et que l’attraction pour les objets ronds et brillants serait basée sur leur similarité avec des œufs. Les adultes perdent cet intérêt intense pour l’inhabituel et deviennent néophobes.

Récemment, les chercheurs ont reconnu que les oiseaux jouent. Les jeunes Grands Corbeaux sont parmi les plus joueurs des espèces d’oiseaux. Ils ont été observés glissant le long des bancs de neige, apparemment pour le simple plaisir. Ils jouent même avec d’autres espèces, par exemple en jouant à chat avec des loups et des chiens. Le Grand Corbeau est connu pour ses acrobaties aériennes spectaculaires, comme les loopings.

Relations intraspécifiques

Cette espèce possède un cri caractéristique « rrok-rrok », profond et caverneux, qui diffère de celui des autres corvidés selon les observateurs expérimentés. Son vocabulaire complexe inclut un « toc-toc-toc », un « kraa » sec et rocailleux, un croassement guttural et bas ainsi que plusieurs cris de nature presque musicale.

Tout comme les autres corvidés, le Grand Corbeau peut imiter les sons de son environnement, incluant la voix humaine. Il possède un large éventail de vocalisations qui continuent d’intéresser les ornithologues. Gwinner a conduit plusieurs études au début des années 1960, enregistrant et photographiant ses résultats de façon détaillée.

De 15 à 30 catégories de vocalisation ont été notées chez cette espèce, la plupart étant utilisée lors des interactions sociales. Les cris observés incluent les cris d’alarme, les cris de vol et les cris de poursuite. Le Grand Corbeau produit également des sons non vocaux dont des sifflements d’ailes et des claquements de bec. Les clappements et les claquements ont été observés plus souvent chez les femelles que chez les mâles. Si le membre d’un couple est introuvable, son partenaire imite ses cris pour encourager son retour.

Un comportement utilisé par les jeunes individus est le « recrutement » : de jeunes corbeaux dominants appellent à grands cris d’autres corbeaux sur les lieux de sources importantes de nourriture (habituellement une carcasse). Bernd Heinrich émet l’hypothèse que l’évolution de ce comportement aurait permis aux juvéniles d’être plus nombreux que les adultes, leur permettant ainsi de se nourrir des carcasses sans en être chassés. Une explication plus conventionnelle suggère que les individus coopèrent en échangeant de l’information sur les carcasses des grands mammifères parce que ces carcasses sont trop grosses pour que seuls quelques individus s’en nourrissent.

Les corbeaux observent l’endroit où d’autres Grands Corbeaux cachent leur nourriture et se souviennent de ces endroits, ce qui leur permet d’y voler la nourriture. Ce type de vol se rencontre si régulièrement que les individus parcourent de plus grandes distances pour trouver de meilleures caches pour leur propre nourriture. Il a également été noté que les Grands Corbeaux font semblant de construire des caches sans pour autant y déposer de nourriture, probablement pour tromper les autres corbeaux.

Relations interspécifiques

Outre les jeux mentionnés dans le paragraphe « intelligence », les Grands Corbeaux ont été observés manipulant d’autres animaux pour qu’ils travaillent pour eux, par exemple en appelant des loups et des coyotes sur le site d’une carcasse. Les canidés ouvrent alors la carcasse, ce qui la rend plus accessible aux corbeaux.

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