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Le rôle essentiel du chameau

Posté par othoharmonie le 20 avril 2013

CHAMEAU SANS ÉQUIVALENT POUR L’HOMME DU DÉSERT

Le rôle essentiel du chameau dans CHAMEAU - DROMADAIRE chameaDans l’écosystème du désert, le chameau joue un rôle essentiel, permettant aux tribus de se déplacer rapidement, à la recherche de nouveaux pâturages pour leurs chèvres ou leurs moutons. Le chameau porte le matériel, les tentes, les personnes, quelques animaux domestiques comme les volailles ou les agneaux, mais il nourrit aussi l’homme de son lait et de sa viande. Il lui donne également son poil et son cuir qui deviennent des vêtements, des tapis ou des abris. En échange, l’homme l’aide à trouver de l’eau.

   La traite des chameaux est extrêmement répandue. Les chameliers protègent en général une des mamelles avec une résille, pour que le chamelon n’y touche pas. Certaines peuplades n’élèvent d’ailleurs les dromadaires que pour leur lait et pour transporter les tentes, lorsque le camp déménage. C’est le cas notamment des Somalis – qui habitent la Somalie et l’Ogaden –, pour qui le lait de chamelle constitue la nourriture de base.

   Les chameaux trop âgés pour travailler sont abattus pour leur viande (ou à l’occasion de cérémonies), mais ce n’est pas partout le cas. Si, au Soudan et au nord du Kenya, on élève des chameaux uniquement pour leur viande, la chair de l’animal est taboue chez de nombreuses populations non musulmanes du Proche-Orient, notamment les juifs, les zoroastriens d’Iran, les mandéens d’Iraq et d’Iran, les nosairiens de Syrie et les coptes d’Égypte et d’Éthiopie.

   La fourrure du dromadaire ne pousse pas uniformément sur la surface de son corps, elle est surtout développée sur la bosse, le dessus du dos et les épaules. Son commerce est peu important, comparé à celui de la fourrure du chameau de Bactriane. On en fait cependant des tentes, des couvertures et des vêtements. La production est en moyenne de 1 à 1,4 kg par dromadaire, alors qu’elle atteint 4,5 kg pour un chameau à deux bosses.

   Le cuir du dromadaire est peu utilisé. Toute la peau de l’animal ne permet, dit-on, que de faire 6 paires de sandales. Le cuir sert essentiellement, en Égypte et au Moyen-Orient, à confectionner des objets pour touristes.

   Peu à peu, au cours des siècles, les dromadaires sont devenus des races locales, avec des caractéristiques morphologiques qui distinguent des animaux mieux adaptés au trait, et d’autres à la selle. Les dromadaires de montagne sont petits, assez massifs et plus poilus que ceux de plaine. Parmi ces derniers, les dromadaires du désert sont plus fins et plus performants que les « riverine » ou dromadaires des bords de vallée. Les races les plus connues sont les bishari (Soudan et Erythrée), les benadir (Somalie), les reguibi (Mauritanie) et les rapides mehari (Hoggar), ces dromadaires blancs que les Touareg montent avec une selle posée devant la bosse, les pieds reposant sur l’encolure, alors que les Maures placent leur selle sur la bosse.

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Chameau, caravanes du froid

Posté par othoharmonie le 20 avril 2013

 

Chameau, caravanes du froid dans CHAMEAU - DROMADAIRE caravane1Au Pamir, près de la frontière chinoise, ce sont des chameaux à deux bosses, capables de supporter les plus grands froids, qui, deux fois par hiver, forment encore des caravanes pour aller chercher du blé auprès des paysans Whakis qui habitent les vallées plus basses. Les Kirghiz qui les mènent les font marcher sur les rivières gelées, passer de hauts cols enneigés, longer des précipices vertigineux. De leur pas lent mais sûr, les puissants chameaux de Bactriane parcourent 200 km en neuf ou dix jours. « Un chamelier pour trois chameaux, un cheval par chamelier, telle est, en principe, la disposition de la caravane », racontent Roland et Sabrina Michaud, qui ont partagé pendant un mois la vie des caravaniers et qui en ont rapporté un superbe livre, Caravanes de Tartarie.

   Pouvant transporter jusqu’à 280 kg de marchandises, donnant son lait, et, plus tard, sa viande, le chameau est l’animal le plus précieux pour les Kirghiz. Sa laine est si chaude et si moelleuse que les caravaniers surveillent leurs animaux la nuit de peur qu’on ne vienne leur voler quelques touffes de poils.

DES ESCLAVES, DE L’OR ET DU SEL…

Les caravanes d’esclaves existaient encore au XIXe siècle, et, jusqu’en 1850, près de 5 000 esclaves quittaient, chaque année, la ville de Kano, au Nigeria. Mais les grandes caravanes, de quelques centaines à quelques milliers d’animaux, n’avaient pas que ce commerce pour but. Au XIe siècle, l’ancien royaume de Ghana exportait d’extraordinaires quantités d’or vers le nord, au pas des chameaux, qui en portaient chacun, jusqu’à 130 kg. Au XIIe siècle, les caravanes allaient du sud du Maroc au Ghana, pour échanger le sel contre de l’or, à poids égal. Seules les caravanes de sel subsistent encore, dans le sud du Sahara. Dans les mines de Idjil (Mauritanie), Taoudéni, Teghazza (Mali) ou Bilma (Niger), chaque dromadaire est chargé de quatre barres de sel, soit 140 kg. De Taoudéni à Tombouctou (700 km), le voyage dure trois semaines. En 1900, 50 000 dromadaires ont transporté 6 000 tonnes de sel. En 1950, 31 250 animaux en exportaient 3 750 tonnes ; en 1967, seulement 1 600 tonnes étaient commercialisées.

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Introduction du chameau

Posté par othoharmonie le 20 avril 2013

INTRODUCTIONS du CHAMEAU RÉUSSIES : AUX CANARIES ET EN AUSTRALIE

Au début de l’ère chrétienne, la distribution du dromadaire était pratiquement celle que nous connaissons aujourd’hui. L’animal, qui accompagne l’épopée islamique, voit néanmoins son implantation renforcée dans une grande partie de son aire géographique, notamment en Afrique du Nord, vers l’an 640, puis, à nouveau, vers l’an 1060. Le même mouvement le conduit en Espagne en 1020, en Sicile en 1059 et même sur les bords du Rhin en 1136. Mais ces quelques incursions en Europe sont restées sans lendemain. En revanche, en 1405, un propriétaire terrien d’origine normande réussit à introduire l’espèce dans les îles Canaries, où elle s’est maintenue jusqu’à nos jours. D’autres tentatives ont été faites pour acclimater le dromadaire aux États-Unis, en particulier près de la frontière du Mexique. L’essai, commencé en 1856, a tourné court dès 1866, au moment de la guerre civile américaine. Le Pérou, le Brésil, la Namibie, le Botswana et même l’Italie ont essayé d’importer des chameaux, avec des succès variés. On a même élevé des dromadaires en Toscane jusqu’à la Seconde Guerre mondiale. Mais l’absence de chameliers compétents a souvent été à l’origine des échecs.

Introduction du chameau dans CHAMEAU - DROMADAIRE cham

   Le seul pays, avec les Canaries, où l’implantation du chameau a véritablement réussi est l’Australie. Les descendants des animaux domestiqués introduits au XIXe siècle constituent aujourd’hui la seule population au monde de dromadaires vivant à l’état sauvage. Après l’importation de quelques couples venus des Canaries, dès 1849, plusieurs autres arrivages se succédèrent venant des Indes britanniques, dont celui d’un groupe de 121 dromadaires partis de Karachi en 1866. Le succès de leur implantation est dû, pour une large part, aux chameliers baloutches (appelés « Afghans »), qui les accompagnaient. L’idée était de se servir des dromadaires pour faciliter l’exploration et la colonisation de cet immense continent aride qu’est l’Australie. Dans les années 1920, le troupeau, qui se montait à quelque 20 000 têtes, était aussi employé pour apporter des vivres aux communautés isolées de l’« outback » et pour transporter les matériaux nécessaires à la construction des premières lignes télégraphiques et des voies ferrées. Les transports furent mécanisés, peu après, et ces dromadaires furent remis en liberté. Dans les années 1970, le chercheur McKnight estimait qu’il ne restait plus qu’un petit nombre de dromadaires domestiques, utilisés par les aborigènes, tandis que 15 000 à 20 000 animaux environ étaient retournés à l’état sauvage et vivaient librement dans les terres arides du Centre et de l’Ouest. Cette population, qui atteint aujourd’hui environ 500 000 individus (et peut être même 1 000 000), est en augmentation, ce qui pose le problème de son contrôle en raison des dommages qu’elle peut causer à la végétation.

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La posture du Chameau

Posté par othoharmonie le 20 avril 2013

 

Présentation :

Pour commencer il faut se tenir debout sur les genoux assez écartés, les pieds sont dans l’alignement des genoux et les orteils sont allongés. Sur une expiration pleine et entière, il faut prendre appui d’une main sur un talon puis de la même manière avec l’autre main sur l’autre talon, enfin toujours sur l’expiration se laisser aller complètement la tête en arrière. Il est à remarquer qu’il y a un passage dans ce geste, il faut sentir l’abandon de la tête qui se renverse le plus possible en arrière et vers le bas. Attention, il faut veiller à bien garder le bassin en avant, ce qui change complètement la posture. Les yeux restent ouverts en Shambavi Mudrà, ou bien fermés en fixant le point intersoucillié (Bhrumaddya Drishti). La langue est retournée en Khéchari Mudrà et il faut exercer la contraction de la base (Mulà Bandha) durant toute la durée de la posture.

Cette posture est réputée pour entraîner un déconditionement complet du mental, en effet cette posture nous fait regarder en arrière et la tête en bas, autant dire une inversion complète de notre point de vue habituel. Il est remarquable de constater combien cette posture est difficile, non pas tant au niveau physiologique mais bien plus au niveau mental. Cette attitude complètement inhabituelle entraîne, de prime abord, une crispation certaine et un malaise général qui peut se traduire par un contrôle du souffle extrêment difficile à réaliser.

Il est donc préférable dans un premier temps de se familiariser avec la posture les yeux ouverts, en essayant simplement de ne pas bloquer le souffle, mais au contraire en le faisant bien circuler, en allongeant simplement l’expiration et en marquant juste une pause à poumons pleins et à poumons vides.

Si la posture ne pose pas de problèmes particuliers, il faut s’exercer dans le contrôle du souffle selon le rythme Visamavritti, prendre un rythme confortable, ce qui est recherché avant tout est d’y rester le plus longtemps possible. Enfin intensifier la contraction de la base pendant la rétention à poumons pleins. Il est excellent d’y rester au moins 3 mn, puis 5 mn, puis 10 mn. Cette posture est une pratique à part entière dans la mesure où il faut s’y exercer de nombreuses fois avant de pouvoir y rester dans la durée.

Prendre par exemple un contrôle du souffle en 3,6,6 puis en 4,8,8 et enfin en essayant le rythme approprié soit en 3,12,6 puis en 4,16,8 etc…

Pour abandonner la posture, ce qui n’est pas toujours évident, il faut revenir sur une inspiration. Pour faciliter le redressement, il est recommandé de le faire d’abord par un côté, en gardant encore appui sur un talon, et enfin complètement en revenant doucement à la position de départ. Sur une expiration, abandonner et s’allonger sur le dos quelques instants, les bras le long du corps, les mains tournées vers le haut, ressentir l’effet de la posture, les yeux fermés, dans l’immobilité et le silence.

Conseils :

  • Veiller à bien garder le bassin vers l’avant
  • Lâcher prise : il n’y a aucun danger physique

Astuces :La posture du Chameau dans CHAMEAU - DROMADAIRE posture

  • Garder tout d’abord les yeux ouverts
  • Quitter et revenir plusieurs fois dans la posture

Bienfaits :

  • Apprend le lâcher prise
  • Extension de toute la colonne

Auteurs :

photos : Svetlana Sayapina
commentaires :Michel Chauvet
composition :Michel Chauvet

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Les maladies cutanées du chameau

Posté par othoharmonie le 20 avril 2013

 

Les infections de la peau causées par des parasites sont un grave problème chez les chameaux. Les chameaux peuvent être infectés par les tiques et les acariens, et ils souffrent des larves de mouches qui se nourrissent sur les plaies et dans les naseaux.

Si elle n’est pas traitée, la gale (infection due aux acariens) peut provoquer la mort du chameau. La gale est très infectieuse et elle vient au second rang après le surra parmi les maladies qui entraînent des pertes de chameaux.

Par ailleurs, la gale provoque aussi la perte de laine précieuse chez les lamas et les alpagas.

Objectifs d’apprentissage

Après avoir étudié ce module, vous devez savoir:

1 Quelles sont les maladies cutanées des chameaux.Les maladies cutanées du chameau dans CHAMEAU - DROMADAIRE chameau2
2 Quels sont les problèmes causés par les maladies cutanées.
3 Comment traiter et maîtriser les maladies cutanées chez les chameaux.

Les infections cutanées des chameaux

Les chameaux souffrent d’infections dues à des acariens et à des tiques, ainsi qu’aux larves de mouches qui se nourrissent sur les plaies ouvertes ou vivent dans les naseaux.

Les acariens provoquent la gale. Les infections débutent souvent sur l’encolure, la tête ou le ventre de l’animal, mais se propagent rapidement à tout le corps si elles ne sont pas traitées.

Les chameaux peuvent être attaqués par de nombreuses tiques différentes. On trouvera habituellement les tiques fixées aux pattes, à la tête et au ventre.

Si les plaies ne sont pas soignées, elles s’infectent avec les larves de différentes mouches qui se nourrissent du sang et de la chair. Le chameau est infecté aussi par les larves de la mouche des naseaux. Cette mouche pond ses œufs autour des naseaux du chameau et les larves, qui atteignent une longueur d’environ 1 cm, éclosent et se nourrissent à l’intérieur des naseaux de l’animal.

La teigne provoque des dépilations circulaires recouvertes de pellicules farineuses blanchâtres sur la tête, l’encolure et d’autres parties du corps.

La gale du chameau

Comme le surra, la gale est chez le chameau une maladie très importante et très infectieuse. Les chameaux sont infectés par contact avec des animaux infectés par les acariens sur les selles et d’autres pièces de harnachement, et aussi quand ils se roulent dans la poussière à la suite d’animaux infectés. L’homme peut lui aussi être infecté par la gale.

L’acarien de la gale creuse des galeries sous la peau, provoquant la chute du poil; la peau épaissit et devient blanche. L’infection débute souvent sur la tête ou l’encolure mais, si elle n’est pas traitée rapidement, elle s’étendra au corps tout entier en l’espace de deux à trois semaines. Les animaux infectés se grattent contre tout objet solide et ne mangent pas bien. On constate une perte de poids et une baisse de la production laitière, et les animaux risquent de mourir. Cette infection est plus fréquente par temps froid et quand le fourrage se fait rare.

Les infections dues à la gale doivent être traitées rapidement. Si les chameaux dans votre communauté ont la gale, vous devez immédiatement demander conseil à votre vétérinaire qui vous indiquera le médicament à utiliser (voir R15, annexe 1). Le traitement comportera le lavage ou la pulvérisation des régions infectées.

Pour éviter la propagation de l’infection, il faut nettoyer à fond, ou même brûler, les selles et autres pièces de harnachement. Votre vétérinaire vous conseillera peut-être de traiter d’autres animaux dans la communauté, même s’ils ne manifestent pas les signes de l’infection. N’oubliez pas que l’homme peut être infecté par l’acarien. Lavez-vous toujours les mains avec soin après avoir manipulé des chameaux.

Infections dues aux tiques et moyens de lutte

Les infections dues aux tiques sont très répandues. Elles ont les effets suivants:

  • · Les morsures causent une tuméfaction et de petites plaies sur la peau.
  • · La tique se nourrit de sang, et les infections entraînent une perte de sang, une perte de poids et un affaiblissement de l’animal.
  • · Les tiques peuvent propager d’autres maladies.
  • · Les toxines provenant de certaines tiques affectent le système nerveux et les muscles; l’animal ne peut plus bouger (paralysie), ce qui entraîne sa mort.
  • · Les infections dues aux tiques peuvent provoquer la mort des jeunes chameaux.

La paralysie est causée par la morsure de certaines tiques. Le chameau accuse soudain des signes de paralysie et la température de son corps diminue. Les toxines peuvent affecter la respiration; le chameau cesse de respirer et meurt.

On tue les tiques au moyen de pulvérisations; on peut aussi les enlever à la main, ou appliquer du pétrole ou une cigarette allumée sur le dos de la tique. Le pâturage tournant permet de combattre les infections (voir module 16). La paralysie peut être causée par la morsure d’une seule tique. L’unique traitement de la paralysie consiste à repérer la tique et à l’enlever. Si on procède ainsi assez rapidement, l’animal pourra se rétablir peu à peu.

Les larves de mouches peuvent empêcher la cicatrisation des plaies, et d’autres germes risquent d’infecter celles-ci. C’est généralement au printemps et en été qu’on observe les larves de la mouche des naseaux chez le chameau. Il y a un écoulement aux naseaux et l’animal peut éternuer. Habituellement, les chameaux ne sont pas sérieusement affectés par les larves, mais ils sont gênés par l’activité des mouches adultes qui essaient de déposer leurs œufs.

Il faut retirer les larves des plaies, nettoyer correctement ces dernières et les panser (voir module 73). On peut tuer les larves de la mouche des naseaux en administrant des injections de nitroxynil (voir R11, annexe 1), mais vous n’aurez besoin de le faire que si votre vétérinaire vous le conseille.

La teigne du chameau

La teigne du chameau est analogue à celle d’autres animaux (voir module 16). C’est une maladie infectieuse qui se propage à d’autres animaux et peut infecter l’homme.

On soigne la teigne par des applications de teinture d’iode. Vous devez demander conseil à votre vétérinaire. Il prélèvera des raclures de peau pour découvrir si le problème est causé par la gale ou par la teigne. Il conseillera peut-être l’emploi d’autres médicaments s’ils sont disponibles (voir R25, annexe 1).

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