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Paroles de Libellule

Posté par othoharmonie le 31 mars 2013

Parole de Libellule

Paroles de Libellule dans LIBELLULE libellule_03

Etre intelligent
si c’est être heureux
on a le QI du bon Dieu
comme la vérité est bonne
pour la santé
on n’est pas prêt de fatiguer

Mais il faudrait au moins
tenir le bonheur par la queue
dites-le les filles
oh dites-le
les filles aux dernières
nouvelles qu’on a
il vaut mieux jouir ici-bas

Vole ma libellule
de ton vol exubérant
l’esprit allégé par le vent
la voie du bonheur
c’est de la pratique
tic et tac et tac
c’est technique

Mais il faudrait au moins
tenir le bonheur par la queue
dites-le les filles
oh dites-le
les filles aux dernières
nouvelles qu’on a
il vaut mieux jouir ici-bas

Chaque jour sans rire
est un jour perdu
toi après le rire
que fais-tu
montre à la lumière
tout ce que tu es
l’amour n’est jamais meurtrier

Mais il faudrait au moins
tenir le bonheur par la queue
dites-le les filles
oh dites-le
les filles aux dernières
nouvelles qu’on a
il vaut mieux jouir ici-bas

Chanson interprétée par  Jean-Louis Murat 

libellule_04 dans LIBELLULE

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La Libellule évangélique

Posté par othoharmonie le 31 mars 2013

La Libellule évangélique dans LIBELLULE libellule2Partons pour la campagne et arrêtons-nous au bord d’un petit étang. Penchons-nous aussi près que possible de l’eau, et observons sans bouger. Le fond vaseux est parsemé de débris végétaux, et semble être le royaume de la mort et de la décomposition. Peu à peu nous découvrons des larves velues, plus ou moins enfoncées dans la vase. Elles se cachent dans les endroits les plus sombres ; couvertes de vase, elles sont d’un aspect répugnant. Survient un jour de grand soleil, immédiatement ces larves montent à la surface de l’eau pour respirer de l’air pur. Une transformation fantastique va les métamorphoser. Elles se hissent hors de l’eau en s’agrippant aux tiges des plantes qui affleurent à la surface. La respiration à l’air libre provoque un énorme développement des tissus, comme un accordéon se remplissant d’air. La peau du dos se fend depuis les yeux jusqu’à la base des ailes qui commencent à apparaître sous la peau larvaire. Le corps de l’insecte s’extrait de cet étui rigide, d’abord la tête, puis les trois paires de pattes, lentement, l’une suivant l’autre. Se penchant en arrière, l’insecte pend comme s’il était devenu entièrement mou et flasque ; son abdomen est encore retenu par la mue larvaire. Il reste ainsi de 30 à 60 minutes, exposant aux rayons bienfaisants du soleil son corps qui va se durcir. Puis, se relevant et s’accrochant avec ses pattes à la vieille peau, l’animal extrait le reste de son abdomen pour lui faire subir le même processus de transformation. Les ailes rabougries et chiffonnées vont croître pour atteindre en trente minutes leur grandeur définitive. Le corps s’étendra encore, s’allongera, et prendra des couleurs irisées et phosphorescentes. Devant nos yeux émerveillés, la LIBELLULE (car c’est d’elle qu’il s’agit) est née et va prendre son essor.

Aucune machine humaine ne peut reproduire toutes les possibilités de vol qui sont celles de cet insecte. En effet, elle peut voler en avant, en arrière, monter et descendre verticalement, sans que son corps change de position, et aussi bien pratiquer le vol stationnaire que voler à grande vitesse. Son thorax très musclé lui permet, en outre, d’effectuer de brusques changements de direction.

Quel contraste entre cet insecte parfait capable de tant de performances aériennes, et la larve repoussante de l’instant d’avant ! Autant elle aimait la vase, autant la libellule aime l’espace. Autant elle aimait l’obscurité, autant la libellule aime le soleil et la lumière. La larve vivait dans l’eau, domaine qui limitait grandement sa vue…

Tant qu’il n’a pas reçu Jésus Christ comme son Sauveur, et reconnu qu’il est pécheur et misérable, l’homme est semblable à cette larve, sur le plan spirituel. Et pourtant quelle transformation attend celui qui viendra à la surface respirer une bouffée d’air divin ! Ecoutons l’enseignement de Dieu en lisant sa Parole, nos vies en seront transformées. Autant la larve était souillée, autant l’insecte parfait est propre.


Si quelqu’un est en Christ, c’est une nouvelle création : les choses vieilles sont passées ; voici, toutes choses sont faites nouvelles 
(2 Cor. 5, 17).

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Connaître les libellules

Posté par othoharmonie le 31 mars 2013

 

 Les libellules se rencontrent dans une grande diversité d’habitats aquatiques : mares, étangs, cours d’eau… Parmi celles-ci, certaines sont de bonnes indicatrices de la qualité de l’eau et de sa richesse faunistique. Malheureusement, la pollution et surtout la régression des zones humides semblent être à l’origine de leur disparition. 

Historique et classification

Connaître les libellules dans LIBELLULE libeluLes libellules appartiennent à un groupe d’insectes très anciens. Des fossiles préhistoriques datés de 300 millions d’années, ont été retrouvés notamment à Commentry, dans l’Allier. Cet ancêtre portait le nom de Meganeura monyi et vivait au Carbonifère : cette libellule était de taille gigantesque puisque son envergure atteignait 70 cm ! De nos jours, avec 10 cm d’envergure, l’Anax empereur est l’une des plus grandes libellules de France. 

Les libellules appartiennent à l’ordre des  Odonates  qui compte environ 6 000 espèces et sous-espèces dans le monde. Seules 85 espèces se reproduisent en France avec certitude. Les Odonates se divisent en deux sous-ordres : les Zygoptères et les Anisoptères. Les Zygoptères se distinguent à leur petite taille, un abdomen fin et deux paires d’ailes semblables qui se ferment verticalement au repos (par ex. les Caloptérix et les Agrions). Les Anisoptères se distinguent à leur taille plus grande, un abdomen plus épais et deux paires d’ailes différentes qui restent ouvertes à l’horizontal au repos (par ex. l’Anax empereur) 

Cycle de vie des libellules :

Les libellules passent par trois stades au cours de leur cycle de vie : l’oeuf, la larve et l’imago (adulte). L’éclosion de l’oeuf se produit après deux à cinq semaines (bien que certains passent l’hiver à ce stade). Toutes les larves sont carnivores. Cachées entre les plantes aquatiques ou enfouies dans la vase, elles guettent leurs proies ou s’en approchent doucement. La larve identifie sa proie à vue. Les plus jeunes mangent des animaux unicellulaires, puis, plus tard, elles attrapent de petits crustacés, des vers et des insectes aquatiques de toutes sortes. Les plus âgées prennent aussi des isopodes aquatiques, des amphipodes, des têtards et de jeunes alevins. Pour saisir leurs proies, elles se servent de leur lèvre inférieure curieusement transformée en « masque ». 

En général, elles se déplacent en marchant sur le fond, mais les larves des Anisoptères peuvent aussi se propulser en avant comme une fusée en expulsant violemment l’eau de respiration par l’extrémité de l’abdomen. Les larves des Zygoptères peuvent nager en faisant onduler leur corps. 

La larve mue à plusieurs reprises et grandit chaque fois considérablement. Le nombre de mues varie de 9 à 16 suivant les espèces. La durée du développement larvaire varie quant à lui de quelques mois à 5 ans. Lorsque la larve est au stade terminal, elle cesse de se nourrir et sort de l’eau. 

L’insecte s’extrait alors de son exuvie qui se déchire suivant une fente longitudinale. Cette transformation, appelée métamorphose, dure de 45 minutes à deux heures, en fonction des conditions météorologiques rencontrées. L’exuvie reste solidement accrochée à la tige ou au sol. L’imago (adulte) est tout d’abord mou et vulnérable. Une fois le corps durci et les ailes étendues, il peut prendre son envol. 

Les adultes vivent quelques semaines durant lesquelles ils se reproduiront. L’accouplement chez les libellules est spectaculaire. Le mâle agrippe la femelle derrière la tête grâce à des appendices spéciaux situés au bout de son abdomen : on dit que le couple forme la position du « tandem ». L’abdomen de la femelle s’incurve alors pour rencontrer le corps du mâle en formant un cœur copulatoire, et l’accouplement a lieu. Chez les Anisoptères cela prend quelques secondes, mais chez les Agrions le coeur peut être maintenu plus de 6 heures. Après l’accouplement, les libellules se séparent et la femelle pond ses oeufs alors que le mâle monte la garde chez certaines espèces. La plupart des espèces pondent leurs œufs individuellement dans l’enchevêtrement des plantes aquatiques, quelques-unes insèrent directement leurs oeufs à l’intérieur des végétaux alors que d’autres les laissent simplement tomber dans l’eau ou sur le sol humide.

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