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Se nourrir comme une Abeille

Posté par othoharmonie le 9 février 2013

 

Pythagore (le plus grand Initié de l’Antiquité, le plus éclairé, lumière immense, génie qui a laissé une science colossale et qui n’est pas encore bien compris des savants) avait des disciples qui ne mangeaient ni viande, ni œufs. Un jour, Pythagore vit quelqu’un qui battait son chien. Il lui dit: «C’est un de tes amis qui est dans ce chien et tu le bats.» Est-il possible que les âmes humaines se réfugient dans les animaux? C’est possible. Que ceux qui veulent construire la nouvelle vie évitent donc de manger de la viande. Pour entretenir son corps, il faut utiliser des matériaux solides qui ne peuvent ni rouiller, ni se démolir.

Se nourrir comme une Abeille dans ABEILLES guepe-abeile-300x208

Je vous ai dit que plus la matière est pure, plus elle est résistante. Vous croyez que ce qui est gros et épais est solide. Je ne le crois pas. Si la matière est pure, elle est plus résistante, je peux vous en fournir les preuves. Tous ceux qui s’imaginent qu’ils sont très forts, très résistants dans la vie, possesseurs d’une chair robuste parce qu’ils ont mangé et bu, vérifient au cours de leur vie si cela est vrai ou non. Un toute petite calomnie, un regard, un mot et les voilà troublés, ils descendent en enfer. Un toute petite maladie et un peu de température suffisent pour qu’ils s’en aillent très vite. Ne pensez pas que les êtres très gros, épais, solides en apparence, les gros matérialistes, sont plus résistants et savent faire face à ce qui arrive. Non, ils ne résistent pas. Mais ceux qui sont construits d’une matière plus pure peuvent être coupés en morceaux, cuits, congelés, ils sont toujours vivants, comme les chats. On raconte qu’on ne peut tuer les chats, qu’ils ont neuf âmes.

Ceux qui, par la nutrition, se préparent des pensées nobles, lumineuses, des sentiments pleins d’amour et de douceur, se préparent des matériaux solides, qui sauront résister à toutes éventualités. Il faut maintenant préparer l’apparition d’une race qui mangera, pensera, chantera et agira autrement que l’humanité actuelle.

Il reste encore tant de choses à vous dire sur la nutrition. Tout est à dire. Quand on mange trop, on ne peut être extrêmement pur et propre. De même, ne peuvent être propres ceux qui, dans le plan astral (sentiments) se nourrissent comme des animaux, des souris, des rats, des grenouilles. Mais cette question n’est pas très esthétique.

Il faut arriver à se nourrir comme une abeille. C’est notre idéal. Il n’y a qu’elles qui ne produisent pas de déchets malpropres. Ce qu’elles mangent et qu’elles rejettent, c’est le miel. Vous n’avez encore jamais compris pourquoi l’abeille est le symbole de la sixième race. C’est parce qu’elles ne produisent pas d’impuretés. Elles mangent la nourriture la plus sublime, celle qui se transforme en miel. Où trouverez-vous d’autres êtres qui ressemblent à l’abeille? Nous devons arriver à ressembler à l’abeille et adopter la nourriture la plus pure. Actuellement, la nourriture la plus pure est la nourriture végétarienne.

Omraam Michaël Aïvanhov
Le Sens du Végétarisme – 26 Janvier 1946

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La santé au chevet des abeilles

Posté par othoharmonie le 9 février 2013

Depuis plusieurs années, l’affaiblissement voire la disparition de certaines colonies d’abeilles se répand dans de nombreux pays européens. Les causes sont multiples, mais restent difficiles à identifier. Aujourd’hui, l’Europe va s’appuyer sur l’expertise et les moyens de l’Agence de Sécurité sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (ANSES) pour rechercher des solutions. Le point avec Philippe Vannier, directeur de la Santé animale et du bien-être des animaux à l’Agence.

La santé au chevet des abeilles dans ABEILLES abeille-300x210« La bonne santé des abeilles est essentielle », nous explique-t-il. « Elles sont en quelque sorte, des sentinelles de l’environnement. Tout ce qui peut agresser l’abeille peut poser problème à d’autres pollinisateurs. Or ces derniers contribuent à la pollinisation des végétaux, ce qui impacte l’environnement ». Pourquoi les abeilles sont-elles particulièrement importantes ? Parce qu’elles participent à près de… 80% de la pollinisation des espèces végétales ! Elles sont donc indispensables à la survie, à l’évolution et à la reproduction des plantes. « Sans oublier les productions agricoles et la filière du miel », précise Philippe Vannier.

C’est d’ailleurs à partir d’une baisse de la production apicole, que sont apparues les premières inquiétudes. « Il semble très clairement que la production de miel ait chuté depuis plusieurs années. Cette réduction est liée en partie à la disparition de colonies d’abeilles, et c’est un élément alarmant ». Le hic, c’est que la communauté scientifique ne parvient à quantifier le problème. « Nous manquons cruellement de données chiffrées, fiables, pérennes en termes de suivi épidémiologique à la fois des populations et des problèmes sanitaires », déplore Philippe Vannier.

Les facteurs à l’origine d’une surmortalité des abeilles sont multiples : maladies et parasites, intoxications par les pesticides, conditions climatiques… Le laboratoire de l’Agence nationale de Sécurité sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (ANSES), à Sofia-Antipolis, vient d’être nommé laboratoire de référence par la Commission européenne. Il sera chargé de nombreuses missions. Analyser les causes d’intoxication des colonies, améliorer et développer de nouveaux outils diagnostiques, identifier les maladies… Voilà qui devrait, à terme, permettre aux scientifiques de mieux suivre la santé des abeilles

 

Source : ANSES, 4 avril 2011 – Interview de Philippe Vannier 7 avril 2011

 

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Les Cités d’Hommes-Lézards

Posté par othoharmonie le 8 février 2013

Les Cités-Temples des Hommes-Lézards 

La plupart des Cités-Temples sont à l’abandon ou en ruines, cependant certaines persistent :

  • Hexoatl, cité du SoleilDescription de cette image, également commentée ci-après
  • Pahaux, cité des Cendres (En ruine)
  • Tlanxla, cité du Ciel (En ruine)
  • Tlaxtlan, cité de la Lune
  • Xahutec, cité des Échos (Détruite)
  • Tlax, cité des Spectres (Abandonnée et hantée)
  • Chaqua, cité d’Or (Rendue inhabitable à cause de la peste Skaven)
  • Quetza, la Profanée (Abandonnée, colonisée par des Skavens)
  • Xlanhaupec, cité des Brumes
  • Huatl, la Renaissante (En cours de reconstruction)
  • Axlotl (Détruite)
  • Itza, Première cité
  • Xhotl, cité du Destin (Détruite)
  • Oyxl, cité Éternelle (Détruite)
  • Chupayotl, cité Engloutie (Enfouie sous les eaux)

Toutes les cités-temples sont reliées par des lignes telluriques, qui assurent la communication avec les slanns de toutes les villes, cette disposition est nommée « Toile Géomantique ».

Source: livre d’armée homme lêzard de gwNations et Races de Warhammer

 

 

 

Les Cités d'Hommes-Lézards dans LEZARD lezard1-225x300

Les Hommes-Lézards sont la race la plus ancienne du monde Warhammer, tout du moins il s’agit de la race organisée la plus antique. Ils sont les premiers êtres créés par les Anciens, une race cosmique quasi-omnipotente. Pour les aider à modeler le monde, les Anciens créèrent les Slanns, des sorciers à l’apparence batracienne, si puissants qu’il pouvait déformer le sol et séparer les mers par leurs seules pensées. Les Anciens créèrent plusieurs générations de Slanns, cinq en tout, dont la puissance magique ne ferait qu’augmenter en vieillissant. Les Slanns sont si vieux que pour exemple, les plus jeunes de la 5e génération peuvent se souvenir de la naissance des Elfes.

Pour entretenir les Slanns, bouffis et incapables de faire autre chose que manipuler les vents de magie, les Anciens façonnèrent les Skinks, une race à l’apparence d’un lézard humanoïde, très habile bien que faible physiquement. Les Skinks sont les architectes et les constructeurs des Hommes-Lézards. Ils ne sont pas incapables au combat, mais sont plus aptes aux missions de guérillas, en raison de leur nature fragile.

Constatant le manque d’efficacité des Skinks au combat, les Anciens firent construire des terres de frai d’où émergèrent les Saurus, de monstrueux guerriers proches physiquement des Skinks, mais infiniment plus brutaux, forts, résistants et disciplinés. Les Saurus sont des bêtes de combat, des armes vivantes, pour qui le but de la vie est de protéger leur race. Au combat, un guerrier Saurus se jette sur l’adversaire, frappant de son arme, de son bouclier ou si nécessaire avec ses griffes et ses crocs. Les plus vieux de cette race, les Kuraq sont si puissants et féroces que même les champions du Chaos ne sont pas à l’abri d’une défaite en combat singulier.

180px-hlezard1 dans LEZARDLes Kroxigors, dérivés encore plus mortels des Saurus virent également le jour. Les Kroxigors sont aux Saurus ce que les Saurus sont aux Skinks : des monstres sanguinaires. Les Kroxigors sont si brutaux qu’il faut leur attacher leur arme au bras, pour ne pas que celle-ci s’envole suite à un mouvement du Kroxigor, qui préfère utiliser ses membres pour attaquer.

Ces êtres, à l’exception des Slanns, sont engendrés dans des bassins de frai au cœur des cités temple, et le rythme de leur naissance est dicté par l’ancienne volonté des Anciens, elles sont donc prévues depuis la nuit des temps, ce qui permet aux hommes-lézards de savoir quand s’annonce une ère de guerre et donc de s’y préparer.

Les Anciens ont quitté le monde depuis longtemps, mais le temps n’a pas d’emprise sur les Hommes-Lézards, race quasi-immortelle. Les Slanns continuent de guider les leurs vers l’avenir prophétisé par leurs maîtres anciens (que l’on l’appelle le Grand Dessein des Anciens) et feront tout pour que les prophéties se réalisent. Les différents noms d’Anciens connus sont : Huanchi, le Dieu Jaguar; Tepok, l’Insondable; l’Aquatique Tzunki; le Brutal Sotek; Quetzl, le Protecteur; Itzl, le Maitre des Bètes; l’Impassible Tlazcotl; le Brulant Chotec; Potec, le Vindicatif; Xhotl, le Surveillant; Hexoatl, le Templier et Tlanxla, le Voyageur du Ciel.

Il est à remarquer que les Anciens sont les seuls responsables de la venue des démons du chaos dans le monde. En effet, en ouvrant des portails dimensionnels pour voyager dans ce monde, ils ouvrirent en grand l’entrée d’où se déversèrent les énergies magiques qui engendrèrent les démons. La porte du chaos septentrionale est donc leur œuvre (certes accidentelle).

Les Hommes-Lézards sont neutres mais se placent du côté du Bien, étant les ennemis du Chaos. Ils ont une certaine amitié avec les races plus jeunes tel les Hauts-Elfes et des Elfes Sylvains, mais haïssent tous profanateur ou pilleurs de leurs cités en particulier la vermine Skavens du clan Pestilens, leurs ennemis de toujours.

extrait de : http://whfb-fr.lexicanum.com/wiki/Cat%C3%A9gories

 

 

 

 

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La Petite Fille au Lézard

Posté par othoharmonie le 8 février 2013

 

 

Bernhard Schlink est l’auteur d’une nouvelle intitulée « La jeune fille au lézard« .

 La Petite Fille au Lézard dans LEZARD images   Le garçon est subjugué par le tableau accroché dans le bureau de son père, représentant « La Petite Fille Au Lézard » . Il ne cesse de le regarder, de le contempler, entretenant même avec la petite fille de longs conciliabules.  Posant à son père des questions sur cette toile,  il n’ en obtient que des réponses évasives qui ne le satisfont pas. Quand à sa mère, elle nomme la petite fille du tableau : »la petite juive ». Pour quelle raison?

    Les relations avec ses parents sont distantes. La mère est froide et le père démissionne un jour de sa fonction de juge, sans aucune explication et sombre dans l’alcoolisme.

    L’âge venant, le garçon quitte la maison familiale sans regrets, mais » la petite fille au lézard » le hante. Qui est-elle ?  Que représente t-elle ?  Qui a peint le tableau? Quelle en est sa valeur ? Pourquoi ne le vend-on pas? Autant de questions auxquelles le père refuse de répondre, entretenant un mystère autour de cette toile. Le garçon se met donc à faire des recherches sur l’artiste et découvre petit à petit l’histoire du tableau. C’est un juif qui l’a peint, mais alors comment cette toile est-elle arrivée dans les mains de son père ? Il réalise soudain qu’il ignore tout de ses parents, il ne les connait pas, ne connait pas leur passé. Qu’a fait son père pendant la guerre ? il interroge sa mère, qui mise au pied du mur, lui relate ce qu’elle sait. Mais est-ce la vérité ? Poussant plus loin ses investigations le garçon apprend toute l’histoire, mais celle-ci reste embrouillée, et désabusé, subodorant quelque chose de laid, et d’innommable, il choisit finalement de se débarrasser de la toile, comme on se débarrasse de quelque chose qui fait mal.

    Extrait
« Le tableau montrait une petite fille avec un lézard. Ils se regardaient et ne se regardaient pas, la petite fille fixant sur le lézard un regard rêveur, le lézard fixant sur la petite fille un oeil brillant qui ne regardait pas. Parce que la petite fille avait les idées ailleurs, elle se tenait tellement immobile que le lézard lui aussi était resté figé sur le rocher couvert de mousse où la petite fille était étendue à plat ventre, à moitié accoudée. Le lézard levait la tête et pointait sa langue. »

    Ce que j’en pense:
Très bien, j’ai beaucoup aimé l’histoire, le style fluide de l’auteur, sa façon de faire cheminer le personnage du garçon avec toutes ses interrogations, ses recherches et ses tristes découvertes.

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Lézard des murailles

Posté par othoharmonie le 8 février 2013

 

Lézard des murailles dans LEZARD lezard_en_italieLa queue d’un très petit nombre de lézard comparé à l’ensemble des espèces désignées par ce terme sont traversées à intervalles réguliers par des plans d’autotomie, septums concaves vers l’avant coupant toutes les parties molles et le milieu des vertèbres ; des muscles spécialisés brisent l’organe en une zone de moindre résistance, ce qui permet une « autotomie évasive ».

En effet, l’extrémité « perdue » continue à s’agiter ce qui constitue un leurre vis-à-vis de l’attaquant. Une queue de remplacement repousse progressivement mais elle est dépourvue d’écailles, et elle est uniformément gris sombre. Parfois elle peut repousser double.

À noter qu’il n’y a pas si longtemps (début du siècle dernier) les queues de lézard étaient supposées porter bonheur.

Cette espèce est protégée en France comme la plupart de la faune sauvage.

Il est appelé « rapiète » dans le Sud-Ouest de la France. Il est également appelé « langrotte » en Saintonge (ce mot étant tiré de l’ancien patois saintongeais).

Lézard de forme élancée, espèce extrêmement polymorphe, avec une variabilité extraordinaire de l’écaillure, une coloration très variable, brun, gris ou même verdâtre. La face ventrale est claire, jaune, bleu ou rougeâtre. La gorge est mouchetée de noir.

Le mâle mesure 20 cm, exceptionnellement 25 cm, la femelle 18 cm. On ne peut pas déterminer son sexe tant qu’il n’a pas atteint la maturité.

On le trouve dans toute l’Europe du Sud, en France il est présent jusqu’en Alsace, en Bretagne et la région Nord-Pas-de-Calais.

Il habite les vieux murs, les tas de pierres, les rochers, les carrières, les terrils et apprécie spécialement les rails ou les quais de gares peu fréquentés. Ce lézard est beaucoup plus urbain que les autres espèces.

On peut observer ce lézard toute l’année dans le sud.

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Les petits Sauriens

Posté par othoharmonie le 7 février 2013

 

Les Lacertidés (Lacertidae) sont une famille de petits sauriens à laquelle beaucoup de lézards appartiennent.

On compte environ 280 espèces actuelles de Lacertidés dans une grande partie de l’Afrique, de l’Asie et de l’Europe. Ce sont tous des animaux diurnes actifs et agiles.

Les trois quarts des lézards européens sont des Lacertidés.

Le plus grand est un lézard vert, le lézard ocelé (Lacerta lepida), qui mesure jusqu’à 20 cm du museau au cloaque. Souvent les mâles portent sur les flancs des ponctuations bleues. Il se rencontre dans la péninsule ibérique et dans le sud de la France.

L’un des plus communs est le lézard des murailles (Podarcis muralis), un petit lacertidé brun d’Europe tempérée (limite nord : Belgique, Pays-Bas commun jusqu’en Roumanie). C’est une espèce grimpeuse et c’est celle qui est la plus familière à proximité des habitations.

Les petits Sauriens dans LEZARD lezards

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Lézard ocellé

Posté par othoharmonie le 7 février 2013

Le Lézard ocellé (Timon lepidus) est une espèce de lézards de la famille des Lacertidae, considéré comme le plus grand d’Europe.

Ce reptile a un corps et une queue massifs, avec une tête triangulaire et un museau arrondi.
Il est vert brillant, ponctué de taches et d’ocelles bleu vif cernés de noir.

Il peut atteindre de 60 à 80 cm de long, la moyenne étant entre 55 et 70 cm pour les mâles, les femelles étant plus petite avec une moyenne de 45 cm.

On peut différencier facilement le mâle de la femelle en comptant le nombre de bandes d’écailles que l’individu a sous le ventre.


Lézard ocellé dans LEZARD leszard1

Le mâle en a généralement 31 ou 32, la femelle 34 ou 35. D’autres critères sont utilisables mais ne sont pas discriminants : la tête du mâle est plus massive et large, avec des bajoues gonflées. Le dimorphisme sexuel peut également s’observer sur la coloration des ocelles bleues : elles sont moins vives chez la femelle.

Le lézard ocellé peut se trouver dans différents milieux mais il s’agira toujours d’espaces très ensoleillés. Ainsi, les coteaux secs et broussailleux, les garrigues ouvertes, les champs cultivés ou enfrichés sont des biotopes qu’il affectionne particulièrement. Il a été démontré qu’il existe un lien étroit entre la présence de terriers de lagomorphes et la densité de lézard ocellé sur un milieu. La multiplicité des caches est un point positif pour ce reptile, qui peut en investir plus d’une dizaine sur quelques centaines de m². Si les populations montpelliéraines se caractérisent par une fréquence quasi-exclusive au sein d’entités naturelles, les populations pyrénéennes et espagnoles utilisent beaucoup plus fréquemment comme refuge des enrochements de soutènement, des abris agricoles et autres aménagements anthropiques et ont de ce fait un caractère plus urbain.

Le lézard ocellé fait partie de la cuisine de l’Estrémadure (Espagne). Dans cette région on prépare le lagarto con tomate, un plat fait avec de rondelles de lézard frites et cuites ensuite dans un ragoût de tomate et oignons au petit feu.

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Lézard des souches

Posté par othoharmonie le 7 février 2013

Description de cette image, également commentée ci-aprèsLe lézard des souches (Lacerta agilis) est une espèce de lézard répandu dans la majeure partie de l’Europe et de l’Asie centrale où il atteint des altitudes élevées (3 500 m). Il est pratiquement absent d’une grande partie de la péninsule Ibérique, du sud de la France, d’Italie et du sud des Balkans.

Les adultes mesurent une dizaine de centimètres du museau au cloaque. C’est un lézard corpulent à pattes courtes et à tête courte et épaisse. Sa coloration est assez variable, tirant sur le vert pour les mâles en période de reproduction. Beaucoup d’individus ont des ocelles et des marques ou marbrures sombres sur les flancs. Les femelles sont en général plus grises ou brunes.

À basse altitude, ils préfèrent des milieux plus humides et plus boisés que le lézard vert alors qu’ils occupent des pelouses ou des milieux rocailleux bien exposés à plus haute altitude

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Le Lézard Vert

Posté par othoharmonie le 5 février 2013

lézard vert peut désigner plusieurs lézards de la famille des Lacertidae :

  • l’espèce Lacerta bilineata, ou « lézard à deux bandes », que l’on rencontre en Europe de l’Ouest, notamment en France, en Espagne et en Italie ;
  • l’espèce Lacerta viridis, ou « lézard vert oriental », proche cousine de la précédente, que l’on rencontre en Europe de l’Est, de l’Autriche à l’Ukraine, ainsi qu’en Turquie.

Le Lézard Vert dans LEZARD 320px-lezard_grand_france-300x225grande espèce de lézard, d’environ 30 cm de long, que l’on rencontre dans la partie est de l’Europe, de l’Autriche à l’Ukraine, ainsi qu’en Turquie. Il ne faut pas le confondre avec le lézard à deux bandes (Lacerta bilineata) qui a longtemps été considéré comme une sous-espèce de Lacerta viridis mais vit plus à l’ouest de l’Europe.

Les mâles ont la tête plus forte, une coloration verte uniforme avec de petites ponctuations plus foncées sur le dos. La gorge est bleutée chez les mâles adultes et chez une partie des femelles. Il est très vorace et se nourrit essentiellement d’invertébrés, d’insectes, rarement de petits poissons mais des jeunes rongeurs peuvent faire son affaire.

C’est une espèce élancée, la queue peut être deux fois plus longue que le corps, qui fréquente les milieux ouverts et ensoleillés où les rocailles alternent avec les buissons et les pelouses.

Son aire de répartition comprend plusieurs pays européens proches de la mer méditerranée, de l’Autriche à l’Ukraine, en passant par l’Allemagne, la République Tchèque, la Slovénie, la Slovaquie, la Hongrie… On le rencontre au sud jusqu’en Grèce ou il côtoie une autre espèce : le lézard vert des Balkans (Lacerta trilineata).

On a longtemps considéré qu’une sous-espèce de Lacerta viris, Lacerta viridis bilineata, vivait également en Europe de l’ouest, mais elle a ensuite été identifiée comme étant une espèce à part entière, Lacerta bilineata, grâce à des travaux de recherche en génétique.

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Constellation du Lézard

Posté par othoharmonie le 5 février 2013

 

Le Lézard est une petite constellation de l’hémisphère nord, située entre Andromède, Cassiopée et le Cygne.

La constellation du Lézard fut créée par Johannes Hevelius en 1687 pour combler une région du ciel pauvre en étoiles brillantes. Son nom provient visiblement de la forme en zig-zag décrite par ses étoiles les plus lumineuses.

Constellation du Lézard dans LEZARD leza-210x300

Avant Hevelius, l’astronome Augustin Royer créa la constellation du Sceptre (ou de la Main de Justice) au même endroit afin de rendre hommage au Roi de France Louis XIV. Cette appellation, purement courtisane, ne prit pas racine.

Il existe une légende grecque liée à Déméter où cette dernière recherche sa fille Perséphone. Le roi Céléos lui offre alors l’hospitalité. Mais alors qu’elle est en train de manger, le fils du roi lui fait une remarque insultante, et Démeter le change en lézard.

Sa forme est assez ramassée, mais les étoiles qui la constitue sont faibles (mag 4). Il faut donc des conditions de visibilité assez bonnes pour la deviner.

  • La constellation se situe au Sud de l’axe CassiopéeDeneb du Cygne.
  • La constellation se trouve dans le prolongement de la chaîne d’Andromède, et la limite entre ces deux groupes n’est pas très facile à établir.

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Le Lézard de Bedriaga

Posté par othoharmonie le 5 février 2013

Le Lézard de Bedriaga est endémique de la Corse et de la Sardaigne. Parmi les sous-espèces répertoriées, seule la nominale (Lacerta bedriagae bedriagae) est présente en Corse. Longtemps considéré comme strictement montagnard, ce lézard a été découvert largement en dehors des montagnes au cours des dix dernières années. La répartition altitudinale du Lézard de Bedriaga va du niveau de la mer jusqu’au sommet de la Corse (2710 m au Monte Cinto). Il est présent dans la plus grande partie de la Corse, à l’exception des régions les plus septentrionales et de la plaine orientale.

La longueur du corps varie de 3,7 à 8 cm pour les mâles et de 5,5 à 7 cm pour les femelles. La longueur totale oscille entre 20 et 28 cm.

Le Lézard de Bedriaga dans LEZARD lez-224x300La face dorsale est verdâtre, brunâtre, grisâtre, brun jaunâtre ou vert sombre avec des taches de brun foncé à noir plus ou moins développées, souvent réticulées. Le dessus de la tête est plus ou moins vermiculé de noir. La face ventrale est grisâtre, blanc verdâtre, jaunâtre, rosé, rougeâtre ou orangé, avec ou sans taches noires. Les jeunes ressemblent aux adultes, mais la queue est souvent bleu-vert vif.

Le mâle est plus grand avec une coloration plutôt verte et une ornementation dorsale marquée et étendue. La femelle a le dos brun avec plusieurs traînées latérales claires.

Ce lézard est agile, rapide et bon grimpeur. A 20 °C, la plupart des individus d’une population sont actifs. Il aime sortir par grand soleil et vivre en véritables colonies ; là où ce lézard est abondant, il devient presque grégaire, ce qui est un comportement rare chez les Lacertidés.

Il recherche les faciès rupestres très faillés ou présentant de nombreuses zones interstitielles. Au niveau de la mer, il peut fréquenter localement une frange littorale quasi abiotique. On le trouve dans les régions pierreuses, falaises, éboulis, murs de pierres sèches et bords de torrents.

La durée de l’hivernage varie avec l’altitude ; elle peut atteindre 6 à 7 mois.

Il se nourrit d’Invertébrés et occasionnellement de fruits mûrs.

  • En Corse, les bergers les apprivoisaient pour qu’ils mangent les mouchent dans les casgile, constructions en pierre qui servaient à abriter le fromage.

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Bibliographie du Lézard

Posté par othoharmonie le 5 février 2013

 

  1. Bibliographie du Lézard dans LEZARD lezard-225x300Gastronomia extremeña 

A VOIR :

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Entre l’homme et l’animal

Posté par othoharmonie le 3 février 2013

 

Il existe des talents de télékinésie ; l’homme et l’animal ont des liens étroits, liens qui sont souvent le support, le vecteur de transmissions de mes­sages d’esprit à esprit.

Entre l'homme et l'animal dans XXX - ARTICLES DE PRESSE serinCela étant, il ne faut pas confondre certaines capacités qu’ont les animaux à prévoir des dangers comme un tsunami ou un tremblement de terre avec des capacités paranormales.

Des exemples de ce type abondent. Citons ces animaux d’un zoo qui, un soir, ce sont tous mis à dormir en dehors de leurs abris bâtis qui, quel­ques heures plus tard, étaient détruits par un trem­blement de terre.

Nous pouvons aussi revenir sur ce terrible tsunami qui a ravagé récemment les côtes d’Asie du Sud-Est. Habituellement poissonneuse, les pêcheurs furent surpris de constater, dans cette zone côtière, quelques heures avant le drame, que tous les poissons avaient déserté. À terre, les récits faisant état des animaux qui fuirent sur les hauteurs furent également nombreux. Par exemple,

les élé­phants du parc touristique de l’île de Phuket, se sont libérés de leurs chaînes pour aller se réfugier dans la forêt peu de temps avant l’arrivée de la vague. Il n’y a rien de paranormal à cela, les animaux ont encore activé en eux cette capacité à sentir le danger arriver. Des microsecousses ont pu en alerter une partie, une variation subite de la pression atmosphé­rique en alerter une autre et enfin un changement inhabituel de courant sous-marin ou la perception de signes sismiques ont prévenu toute la gente aqua­tique.

Tous les êtres vivants ont capté les signaux d’alerte, tous sauf les humains. Pourtant, nous som­mes, nous aussi, des animaux (le plus évolué disent même certains) et nous n’avons rien senti venir alors que cette capacité est en nous mais reste totalement atrophiée et inexploitée.

Nous sommes des mammi­fères et contrairement aux chiens ou aux chats nous ne faisons plus appel à ces facultés particulières. Nos sociétés sont plus sûres que la jungle arpentée par notre lointain grand-père l’homme de Néandertal et du coup, nos sens liés à l’instinct de survie sont moins sollicités et s’atrophient peu à peu.

Ce constat nous mène à poser la question suivante :

Etudier les capacités paranormales des animaux, n’est-ce pas étudier nos capacités paranormales ?

N’est-ce pas étudier cette partie animale qui est en chacun de nous ?

N’est-ce pas étudier cette partie commune à tous les êtres vivants, cet héritage originel qui, une fois redécouvert, nous donnera, peut-être, accès au paradis perdu ??

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Anecdotes animalières

Posté par othoharmonie le 3 février 2013

Témoignages 

Anecdotes animalières dans XXX - ARTICLES DE PRESSE panda-241x300 Notre pays compte pas moins de 68 millions de chats, chiens, oiseaux, rongeurs ou animaux exotiques en tout genre. Les stars incontes­tables des familles françaises sont depuis longtemps les chiens et chats, ceux-ci représentent près de 46 % des animaux domestiques. On compte en France aujourd’hui 1,5 chat par foyer contre 1,3 chien par foyer. Enfin, les analystes estiment à 40 milliards d’euros, en 2003, la valeur du marché mondial des animaux de compagnie. Dans le domaine social, l’animal de compagnie est un objet d’attachement dont la présence est rassurante. Il participe à rompre la solitude et l’isolement. C’est une aide précieuse pour certaines catégories de la population, comme les personnes âgées et les enfants.

 Les témoignages ne manquent pas lorsqu’il s’agit de nos amis animaux. Il n’est pas un vétérinaire ou propriétaire qui n’ait une anecdote mettant en lumière certaines capacités étonnantes de nos compagnons.

 Certains chiens ou chats retrouvent leurs maîtres après avoir parcouru des distances incroyables et traversé des lieux qu’ils n’avaient jamais vus aupa­ravant. D’autres « sentent » l’imminence du retour de leur maître ou maîtresse une dizaine de minutes avant qu’ils ne franchissent le seuil de la maison alors que rien ne laisse présager ce retour.

 Parmi eux, il existe des surdoués comme N’Kisi, ce perroquet gris du Gabon, qui fait les mêmes rêves que sa maîtresse ou qui perçoit les images qu’elle voit.

 

Et vous ? Racontez-nous vos expériences avec vos compagnons à 4 pattes….

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Les animaux sont aussi des baromètres

Posté par othoharmonie le 3 février 2013

Insectes baromètres et thermomètres
pressentant pluie, grêle et vent

(D’après « Le Mois littéraire et pittoresque », paru en 1901)

  par LA RÉDACTION

Les animaux sont aussi des baromètres dans XXX - ARTICLES DE PRESSE 4972737chat1-150x150Sur la seule foi d’observations, nos ancêtres considéraient certains insectes comme excellents thermomètres-baromètres dont il suffisait de scruter le comportement pour prévoir pluie, orage, vent ou encore grêle, tels les grillons, rainettes ou géotrupes

Déjà chez les Anciens — maints passages d’auteurs grecs ou latins l’attestent — on cherchait à prédire le temps, et, comme les observations scientifiques manquaient alors, le peuple érigea en principes des coïncidences fortuites. Virgile, par exemple, va nous renseigner sur les préjugés météorologiques en honneur chez ses superstitieux contemporains. Citons donc quelques vers du chantre de Mantoue traduits par Delille.

Voici d’abord les signes précurseurs de l’orage :

La grue avec effroi s’élançant des vallées
Fuit ces noires vapeurs de la terre exhalées ;
Le taureau hume l’air par ses larges naseaux ;
La grenouille se plaint au fond de ses roseaux ;
L’hirondelle en volant effleure le rivage ;
Tremblante pour ses oeufs, la fourmi déménage.

La pluie se pronostique également avec facilité :

Quand la jeune Phébé rassemble sa lumière,
Si son croissant terni s’émousse dans les airs,
La pluie alors menace et la terre et les mers.

Il faudra craindre les vents :

Quand des feux du soleil, l’Occident se colore
Si de taches semé, sous un voile ennemi,
Son disque renaissant se dérobe à demi.

La grêle s’abattra :

Si de son lit de pourpre on voit l’Aurore en pleurs
Sortir languissamment sans force et sans couleurs.

Au contraire, lorsque l’arc de la lune brille le quatrième jour, le beau temps se maintiendra un mois durant :

Le ciel sera sans eau, l’aquilon sans haleine.
L’océan sans tempêtes…

grenouilles dans XXX - ARTICLES DE PRESSEA quelques-uns de ces pronostics, nos populations rurales accordent encore certaine confiance, et les indications que les hommes des champs tirent des végétaux ou des animaux se sont multipliées au cours des âges. Ainsi on admet que la corolle du liseron se ferme aux approches de la pluie, que le mouron, ce « baromètre du pauvre homme », comme on le surnomme dans les campagnes, tient également ses fleurs closes dans des circonstances atmosphériques analogues, et si la rose de Jéricho contracte ses branches, on peut compter sur la sécheresse. Mais la prédiction du temps basée sur la gent animale paraissait jusqu’ici assez illusoire malgré l’intérêt que lui témoignèrent de grands savants.

Sous ce rapport, l’exemple de la rainette est typique. Le naturaliste Dumeril n’écrivait-il pas, en 1863, à propos de cette jolie petite grenouille verte : « On se fait un hygromètre ou un baromètre vivant en mettant une de ces bestioles dans un vase où l’on a soin de lui donner de l’eau et des insectes pour sa nourriture. Munie dans sa prison de verre d’une petite échelle, son ascension indique que le temps sera sec. » Le maréchal Vaillant soutenait la même thèse, lors d’une discussion relative à l’établissement d’observatoires météorologiques sur toute l’étendue de nos possessions africaines : « La grenouille du père Bugeaud, disait-il, égayé encore aujourd’hui les bivouacs de nos soldats en Afrique. Ce grand homme de guerre consultait sa rainette avant de mettre ses troupes en marche pour une expédition » et, poursuivait l’orateur, il faut se livrer à des observations analogues dans notre colonie afin de démontrer ou d’infirmer leur exactitude. Eh bien, l’expérience a prononcé aujourd’hui. La rainette ne saurait donner un renseignement atmosphérique sérieux.

Au début du XXe siècle, une revue américaine estimée, Popular science monthly, proposa de déterminer la température de l’air par un procédé assez singulier reposant sur le nombre de cris lancés par le grillon dans l’espace d’une minute, nombre variable suivant les oscillations thermométriques. Mlle W. Brooke y formula, en effet, la règle mathématique suivante. Adoptez 72 stridulations par minute à 60° Fahrenheit (15,5°C) et pour chaque série de quatre stridulations en plus, ajoutez 1° Farhenheit ; pour chaque période de quatre stridulations en moins, diminuez de la même quantité et vous obtiendrez une concordance parfaite entre les températures ainsi déterminées et celles relevées au thermomètre — du moins la Broooke nous l’affirme.

Vers le même temps, l’entomologiste avignonnais bien connu J.-H. Fabre, a montré que les géotrupes étaient de distingués météorologistes. Voyons à l’œuvre ces sagaces insectes, et d’abord un mot sur leurs mœurs. Parmi les assainisseurs des champs, les uns, tels que les mouches, les dermestes et les nécrophages, sont chargés de disséquer les cadavres. Une taupe gît-elle éventrée sur le chemin, au pied de la haie, un enfant sans pitié a-t-il lapidé un lézard qu’avril venait de revêtir de sa splendide parure d’émeraude, vite ces petits croque-morts accourent, attirés par le fumet du morceau. Ils charcutent, ils dissèquent et en une journée les minuscules fossoyeurs ont accompli leur tâche. La place est nette.

La seconde catégorie d’insectes préposés par la Nature à la salubrité rurale ne met pas moins d’empressement à faire disparaître les bouses de vaches, le crottin du cheval ou autres déjections d’animaux, et les géotrupes se distinguent entre tous. Ils épurent, ces pauvres « bousiers », avec toute l’ardeur de leurs mandibules, de leurs pattes, et nous n’accordons à ces utiles auxiliaires qu’un regard dédaigneux.

Les géotrupes abandonnent seulement leurs repaires vers le crépuscule et, à condition toutefois que l’atmosphère soit calme et chaude, ils se mettent à la recherche des matériaux nauséabonds dont ils vont se repaître avec délice. En une séance nocturne, la souillure choisie par chaque groupe sera enfouie. Mais si la pluie menace ou si le vent souffle, nos stercoraires restent tranquilles, car ils ont amassé sous terre des victuailles suffisantes pour un long chômage.

Fabre décrit dans son mémoire les curieuses expériences qui lui ont permis de tirer ces conclusions et il en résume les grandes lignes en trois cas généraux.

Premier exemple : soirée magnifique. Les géotrupes s’agitent dans la cage où le naturaliste les a enfermés et se montrent impatients d’accomplir leur tournée vespérale, signe de beau temps pour le lendemain. Effectivement, le jour suivant, l’atmosphère fut d’une remarquable pureté.

Deuxième observation : nuit superbe encore. Selon les indications du baromètre et l’état du ciel, le savant naturaliste croit à la continuation du beau temps. Les bousiers ne partagent pas cet avis. Ils ne mettent pas le nez dehors contrairement à leur habitude. L’insecte, plus subtil que l’homme, avait senti l’averse qui tomba un peu avant l’aurore.

Troisième fait, non moins typique. Cette fois, le ciel est couvert et la venue d’une forte ondée semble prochaine. Cependant, grâce à la subtilité de leurs organes, les géotrupes pensent sans doute le contraire puisqu’ils bourdonnent dans leur geôle. La justesse de leur pronostic s’affirme du reste bientôt, les nimbus menaçants se dissipent et, dès son lever, le soleil se montre radieux.

images-3De même, l’état électrique de l’atmosphère influence beaucoup les bousiers. Aux approches de l’orage, par de lourdes et chaudes soirées, ils s’agitent et s’inquiètent plus que de coutume. A cet égard, J.-H. Fabre relate une expérience bien remarquable. Les 12, 13, 14 novembre, les géotrupes de ses volières firent preuve d’une extraordinaire agitation. Quelle était donc le pourquoi ? Une bourrasque avait éclaté sur le nord de la France, et la forte dépression barométrique, cause de la tempête, se répercutait dans la région d’Avignon. Comme le constate le sagace entomologiste, les géotrupes lui parlaient de l’ouragan « avant son journal » ! Faut-il regarder ces constatations comme des coïncidences fortuites ?

Cependant Fabre a vu de même les chenilles processionnaires du pin subir l’influence des perturbations atmosphériques. Bien mieux, elles paraissent pourvues d’organes curieux, véritable arsenal d’instruments météorologiques. Alors, tandis que la rainette serait impuissante à prédire le temps, les géotrupes et les processionnaires constitueraient de merveilleux insectes-baromètres dont la délicatesse laisserait bien loin les indications brutales de la colonne de mercure.

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5 idées reçues sur les chiens

Posté par othoharmonie le 2 février 2013

Le chien est le meilleur ami de l’homme. Certes mais… l’homme est-il toujours le meilleur ami du chien ? Croyant connaître parfaitement ce dernier, nous avons parfois tendance à faire son bonheur malgré lui. Petit retour sur cinq affirmations qui concernent nos compagnons à quatre pattes … et qui toutes sont fausses.

5 idées reçues sur les chiens dans CHIEN chien11  Première de ces idées reçues, « un chien qui remue la queue est un chien heureux ». Bien entendu c’est vrai. Généralement… Mais le contraire l’est tout autant. Un animal agressif peut très bien remuer la queue. C’est en effet un signe d’agitation ou d’excitation, aussi bien positif que négatif ;

  Votre chien joue sans arrêt avec vos enfants ? Vous pensez donc qu’il n’y a rien à craindre. Autre erreur. Un chien, même paraissant inoffensif peut très bien devenir agressif. Et ce en raison d’une douleur, d’une peur soudaine ou simplement parce qu’il se sent lui-même menacé ;

  Dans le même ordre d’idées, certains estiment que les chiens de 1e et 2e catégories, comme les Pittbulls ou les Rottweiller, sont ceux qui mordent le plus. Les médias certes, sont régulièrement l’écho d’attaques perpétrés sur des enfants… Pourtant, comme le rappelle la Fondation 30 millions d’amis, « les chiens y compris les plus agressifs, ne sont pas doués de méchanceté à l’origine ». Et d’avertir, «  ce sont les labradors qui causent le plus de morsures en France chaque année (ce sont aussi les chiens les plus répandus). Un certain laxisme dans l’éducation et le manque de vigilance sont fréquemment la cause de ces morsures » ;

  Côté éducation toujours, certaines pratiques perdurent. Quelques maîtres estiment encore nécessaire pour punir un animal sale, de lui plonger la truffe dans ses déjections. Erreur. Un chien ne ressent pas le même dégoût que nous vis-à-vis de ses excréments. Ainsi, le fait de manger ses déjections, la coprophagie, n’est pas inhabituel chez l’animal. « Une simple réprimande verbale sur le ton du reproche aura l’effet souhaité » apprend-on sur le site de 30 millions d’amis ;

  Enfin, « un chien de petite taille n’a pas besoin de se dépenser et peut passer ses journées en appartement ». Eh bien non, ce n’est pas la taille qui importe. Certaines races de petite taille sont extrêmement dynamiques. C’est le cas du Jack Russel terrier ou du teckel, qui ont un grand besoin d’exercice.

 Source : Fondation 30 millions d’amis – Un chien pour les nuls de Gian Spadafori et Catherine Collignon, First éditions, consultés le 26 avril 2012

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Parlez chien

Posté par othoharmonie le 2 février 2013

Il aboie, il grogne, il hurle. Votre chien possède un langage bien à lui pour s’exprimer. Pas toujours évident de décrypter ses vocalises. Le Dr Benjamin Capron, vétérinaire près de Nantes, nous donne quelques clés pour faciliter notre compréhension.

Parlez chien dans CHIEN chien13Le grognement est « presque systématiquement synonyme d’agressivité », indique-t-il. Prudence donc, lorsque le chien grogne. il est certainement en position offensive.

L’aboiement peut correspondre à plusieurs attitudes. Le chien aboie lorsqu’il est sur le point d’attaquer. Mais pas seulement. Il peut aussi aboyer lorsqu’il est heureux et excité, dans le cadre du jeu par exemple. Pour décrypter ses aboiements, observez sa posture. « Si ses babines sont retroussées et ses pupilles dilatées, il est en position agressive. Si au contraire il remue la queue, c’est que Médor est tout simplement content de jouer avec vous », note le Dr Capron.

En effet, un chien agressif ne se contente pas de grogner ou d’aboyer. L’ensemble de son corps est amené à s’exprimer. Mais si l’attitude agressive est facile à discerner, celle du chien qui a peur l’est beaucoup moins. En effet, un chien effrayé aboie rarement. « Il peut même se mettre sur le dos en position de soumission, avant de mordre très fort et de se sauver », indique Benjamin Capron. Donc, si vous ne connaissez pas très bien l’animal en question, restez prudent.

Des vocalises canines. Vous avez sans doute déjà entendu des chiens semblant vouloir parler, ou même chanter. « D’une manière générale, ce comportement amuse beaucoup les maîtres. Résultat : l’animal, encouragé par les caresses, produit des sons étranges, qui sont le plus souvent fruit du hasard », raconte le Dr Capron.

Chien-loup ? Un chien qui hurle à la mort n’est pas pour autant un loup ! Mais ce comportement est régulièrement observé chez l’animal domestique resté seul à la maison. « Il trahit alors une anxiété liée à la séparation. Le chien souffre d’un stress incontrôlable », ajoute-t-il. Inconsolable, il peut alors s’attaquer au canapé du salon voire uriner un peu partout dans la pièce. Si vous êtes régulièrement confronté à de telles situations, n’hésitez pas à consulter le vétérinaire.

 

Source : interview de Benjamin Capron, vétérinaire près de Nantes, 5 janvier 2011

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Contre le froid, pour mon chien

Posté par othoharmonie le 2 février 2013

 

 

Contre le froid, pour mon chien dans CHIEN chienchaudSi les chiens sont plus résistants que nous face aux basses températures, ils n’y sont pas, pour autant, insensibles. Cette année, l’hiver est en avance sur le calendrier. Quelques précautions sont donc indispensables.

Les chiens ont une température corporelle supérieure à la nôtre (38,5°C). De façon générale, ils résistent mieux au froid. Mais ce qui est valable pour une race, ne l’est pas obligatoirement pour une autre. Tout dépend de :

 l’épaisseur de sa fourrure. C’est logique, les races à poils longs sont mieux protégées que celles à poils ras. D’ailleurs, plus un chien sera habitué à vivre en extérieur, et plus son poil sera épais ; En outre, les chiens les plus vulnérables seront les petits gabarits (teckels, chihuahua…), contrairement aux saint-bernards ou aux terre-neuve, vraiment taillés pour affronter les basses températures. Ceux à poils ras ou habitués à vivre en intérieur mériteront également votre attention… Si votre compagnon ressent le besoin du grand air, n’hésitez pas à le vêtir d’un pull… même si d’aucuns le trouvent ridicule ;

 L’âge et le poids. Comme c’est le cas pour l’homme, les chiens les plus jeunes et les plus âgés seront les plus sensibles au froid et au courants d’air. Autre point commun, le poids. Un chien trop maigre ne possèdera pas les réserves corporelles suffisantes pour l’aider à lutter contre le froid. Mais attention, un chien trop gros ne sera pas davantage protégé qu’un autre, de poids normal.

Dernier conseil, si vous faites profiter votre compagnon à quatre pattes de la neige, n’oubliez pas ensuite de vérifier l’état de ses coussinets. Veillez à ôter les particules de neige qui peuvent s’accumuler dans les poils. Sinon, gare aux irritations ou aux gerçures.

Source : Ordre national des Vétérinaires, 3 décembre 2010

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Morsure de chien

Posté par othoharmonie le 1 février 2013

les bons réflexes

La salive de chien est un épouvantable bouillon de culture où sont présentes de nombreuses bactéries. Si une personne de votre entourage a été mordue, vous devez agir selon un protocole bien précis. Lequel commence par… ne pas paniquer ! Facile à dire.

Tout d’abord, vérifiez visuellement la blessure. Il s’agit d’une plaie du visage ? Emmenez tout de suite le blessé à l’hôpital. Elle doit être suturée et, au préalable, très soigneusement désinfectée.

Morsure de chien dans CHIEN chien2Si la lésion se situe au niveau du bras ou de la jambe, demandez à la personne de réaliser de petits mouvements des extrémités afin de voir si un nerf ou un tendon n’a pas été atteint. Lavez ensuite la plaie à grande eau pendant cinq minutes.

Le chien a-t-il bien été vacciné contre la rage ?

La gueule d’un chien héberge des germes en grands nombres. La désinfection est donc une étape essentielle. Pour cela, utilisez de l’eau de Javel diluée, de la Bétadine® ou du Dakin®. Recouvrez ensuite la plaie d’une compresse imprégnée du même désinfectant, et conduisez la victime chez le médecin.

Dans un second temps, réclamez au propriétaire le carnet de vaccinations de l’animal. Vous vérifierez ainsi qu’il a bien été vacciné contre la rage. Le chien devra ensuite être surveillé par un vétérinaire, afin de détecter une éventuelle présence de la maladie.

Sachez qu’il ne s’agit pas là d’une option : tout chien ou chat, ou tout autre carnivore ayant mordu ou griffé un homme doit être présenté dans les 24 heures à un vétérinaire, par son propriétaire. Si l’animal n’a pas été vacciné ou s’il s’agit d’un chien errant, rendez-vous au centre antirabique le plus proche, afin que le blessé puisse directement être vacciné contre la rage. Un rappel antitétanique est également très recommandé.

Source : Le guide du chien heureux, de Sophie de Villenoisy, éditions Leduc.s, 215 pages- le 31 juillet 2012

 

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Les années affectent aussi les chiens

Posté par othoharmonie le 1 février 2013

 

Dégradation des sens, incontinence et même sénilité – eh oui, ce n’est pas l’apanage des humains… – les chiens aussi prennent de l’âge. Et les petits et grands maux de nos animaux de compagnie ne sont pas si différents des nôtres. Pour rendre sa vie – et par la même occasion la vôtre – plus douce, soyez attentifs aux changements liés à l’âge avancé de votre compagnon à quatre pattes.

Les années affectent aussi les chiens dans CHIEN chien5« Dans les pays riches et industrialisés, il existe une similitude frappante entre le vieil âge chez l’homme et chez l’animal domestique », souligne le Dr Thierry Bedossa, vétérinaire. Alimentation trop riche, sédentarité, pollution environnementale… Les mêmes causes engendrent les mêmes effets. « Nosanimaux de compagnie peuvent développer des cancers, des troubles cardiaques, du diabète, de l’arthrose », énumère notre vétérinaire. Pour eux comme pour nous, des moyens médicaux existent pour traiter ou soulager. Consultez régulièrement son vétérinaire pour faire le point sur l’état de santé de Médor.

« La prise en charge d’un vieux chien doit être individualisée », insiste le Dr Bedossa. En effet, chaquechien est différent. « Les changements de tempérament peuvent chez certains être traités par l’administration de régulateurs de l’humeur. Pour d’autres, il suffira de s’adapter, en le laissant tranquille ou en lui aménageant un espace au calme dans la maison ». Les vieux chiens sont plus enclins à l’anxiété chronique et à l’irritabilité. « Soyez tolérant avec votre animal. S’il se met à aboyer soudain au milieu de la nuit, c’est probablement un signe de détresse ». Mieux vaut le rassurer en le caressant, et « l’installer dans un espace plus restreint pour l’empêcher de déambuler et de développer son angoisse », ajoute-t-il.

Troubles physiques

Votre chien prend de l’âge. Par conséquent, son corps est plus sensible aux changements de température et aux efforts intenses. Continuez à le sortir régulièrement, mais réduisez peut-être la durée des promenades. Surveillez aussi son poids et veillez à préserver sa masse musculaire par une activité et une alimentation adaptées. Il sera plus en forme et souffrira moins de son arthrose, affection fréquente chez le vieux chien. En outre, faites-le dormir sur une couverture ou un coussin pour qu’il n’ait pas froid.

Comme pour l’homme, l’acuité des sens du chien diminue au fil des années. Il ne voit plus, il entend mal… Pour que votre compagnon vous prête attention, ajoutez un claquement de mains ou un sifflement à votre appel. Dès qu’il se retourne, récompensez-le. Il apprendra très vite l’importance de ces nouveaux signaux de communication.

A partir d’un certain âge, certains chiens présentent aussi une forme plus ou moins importante d’incontinence. « Celle-ci est parfois liée au syndrome de dysfonctionnement cognitif, une forme de sénilité chez l’animal », explique notre vétérinaire, mais elle est le plus souvent lié au vieillissement de certains organes et à l’apparition de maladies chroniques. Dans la plupart des cas, des traitements existent. Il est également possible de faire porter des couches à son vieux chien incontinent. Adressez-vous à un vétérinaire, il vous conseillera.

 

Source : Un chien pour les nuls de Gina Spadafori et Catherine Collignon, First Editions, 300 pages, 11,90 euros ; interview du Dr Thierry Bedossa, vétérinaire, 10 mars 2011

 

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