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Lézard du Nil

Posté par othoharmonie le 18 février 2013

 

Le varan du Nil a plusieurs adaptations particulières.

Lézard du Nil dans LEZARD regenwald_nilwaran_varanus_niloticusIl a deux sortes de dents : plus pointues à l’avant des mâchoires et plus plates à l’arrière. En vieillissant, des dents pointues s’aplatissent pour pouvoir écraser les coquilles de mollusques et autres proies lentes mais bien protégées qui forment alors une partie plus importante de son alimentation.

Les écailles de sa peau sont petites, rondes et ne recouvrent pas les écailles voisines.

Les membres sont bien développés et permettent à l’animal de ne pas ramper que ce soit en marchant ou en courant.

Semi-aquatique, le varan du Nil est un très bon nageur et un adulte peut rester sous l’eau pendant plus d’une demi-heure. Les narines sont placées vers le haut du crâne pour mieux respirer en surface. La queue est utilisée comme organe de propulsion, étant aplatie verticalement – mais sert aussi à grimper.

La langue est utilisée comme organe olfactif et est très sensible.

Il a l’odorat en « stéréo », c’est-à-dire que chaque fourche de la langue détecte les odeurs indépendamment. De la même manière que nous pouvons déterminer la direction d’un son grâce à nos deux oreilles, ce varan peut connaître la direction d’une odeur avec grande précision.

Le corps est d’une couleur allant du gris foncé au noir avec des taches jaunâtres. Le crâne est barré d’une rayure noire à hauteur de l’œil. Les taches jaunes forment 3 à 9 bandes entre les épaules et le pelvis puis se transforment en rayures sur toute la longueur de la queue. Les membres sont tachetés, le ventre est blanc ou jaune avec des rayures noires. Il y a des individus albinos, qui peuvent parfois être achetés à un éleveur/importateur spécialisé.

Étant semi-aquatique, le varan du Nil a non seulement besoin d’eau fraîche pour boire, mais devrait aussi pouvoir se baigner. Lors de la mue, la peau morte à besoin d’être mouillée pour bien se décoller. Un récipient assez grand pour qu’il puisse s’immerger complètement est donc nécessaire. Si possible, il est préférable de fournir un bassin d’une taille suffisante pour qu’il puisse nager. Ces varans ont l’habitude de déféquer dans l’eau, ce qui est en fait assez commode, du moment que l’eau est changée quotidiennement, et quand les déchets sont aperçus. Pour humidifier l’habitat, il est possible de placer l’eau près d’une source de chaleur.

Un récipient pratique, économique et de bonnes dimensions pour un juvénile est une caisse à litière de chat. Adulte, il faudra quelque chose d’au moins la taille d’une baignoire.

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Iguane

Posté par othoharmonie le 18 février 2013

 

Il existe 300 espèces d’iguanes adaptées à des modes de VIE différents; arboricoles, terrestres ou semi-aquatiques, ils sont insectivores, herbivores ou omnivores. Beaucoup ont la faculté de changer de couleur, comme les caméléons. L’iguane proprement dit est un énorme LÉZARD de 1,80 m. Il possède un fanon dentelé sous la gorge et une crête d’épines le long du corps. Il vit au bord des rivières dans la FORÊT TROPICALE américaine, creuse des terriers dans la berge et pond ses oeufs dans des trous, au pied des arbres. Aux ÎLES Galapagos vit un étrange iguane marin à la peau curieusement chatoyante.

L’espèce des iguanes, en butte aux poursuites de l’homme, est en voie de disparition, et connaîtra sans doute le sort de ses prédécesseurs, les iguanodons. A l’ère secondaire, la TERRE était habitée par des ANIMAUX étranges, certains de très grande taille. Les iguanodons étaient du nombre. Ces gigantesques animaux, pouvant atteindre 10 m de long, marchaient sur leurs pattes de derrière, très développées, et se servaient de leur longue queue comme d’un balancier et d’un stabilisateur. Malgré leur aspect menaçant, ils étaient totalement inoffensifs et se nourrissaient exclusivement de végétaux.

Iguane dans LEZARD iguane-300x225

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Grand Lézard

Posté par othoharmonie le 18 février 2013

 

Grand Lézard dans LEZARD varanusvariusbatemansbaynsw-224x300Le dragon de Komodo (Varanus komodoensis) est une espèce de varans qui se rencontre dans les îles de Komodo, Rinca, Florès, Gili Motang, Gili Dasami et à Bali en Indonésie centrale. Membre de la famille des varanidés, il représente la plus grande espèce vivante de lézard, avec une longueur moyenne de 2 à 3 mètres et un poids d’environ 70 kg. Sa taille inhabituelle est attribuée au gigantisme insulaire car il n’existe pas, dans son habitat naturel, d’autres animaux carnivores pouvant occuper ou partager sa niche, et aussi à ses faibles besoins en énergie. En raison de leur taille, ces varans, avec l’aide de bactéries symbiotiques, dominent les écosystèmes dans lesquels ils vivent. Bien que les dragons de Komodo mangent surtout des charognes, ils se nourrissent aussi de proies qu’ils chassent, invertébrés, oiseaux ou mammifères.

L’accouplement des dragons a lieu entre mai et juin et les œufs sont pondus en septembre. La femelle pond une vingtaine d’œufs dans des nids abandonnés de mégapodes où ils incubent pendant sept à huit mois. L’éclosion a lieu en avril, quand les insectes sont les plus abondants. Les jeunes sont vulnérables et doivent se réfugier dans les arbres, à l’abri des adultes cannibales. Ils mettent environ trois à cinq ans pour atteindre l’âge adulte et peuvent vivre jusqu’à cinquante ans. Ils sont parmi les rares vertébrés capables de parthénogenèse, mode de reproduction dans lequel les femelles peuvent pondre des œufs viables en l’absence de mâles. Toutefois, la parthénogenèse existe chez d’autres lézards.

Les dragons de Komodo ont été découverts par les scientifiques occidentaux en 1910. Leur grande taille et leur réputation d’animaux redoutables les a rendus populaires dans les zoos. Dans la nature, leur aire de distribution s’est vue réduite en raison des activités humaines et ils sont considérés comme menacés par l’UICN. Ils sont protégés par la loi indonésienne et un parc national, le parc national de Komodo, a été fondé pour favoriser leur protection.

Comme beaucoup d’autres reptiles, le dragon de Komodo utilise sa langue pour reconnaître les stimuli gustatifs et olfactifs, (organe voméro-nasal ou organe de Jacobson) ; c’est sa langue qui l’aiderait à se déplacer dans l’obscurité. Si le vent est favorable, grâce aux rotations de la tête d’un côté à l’autre lorsqu’il marche, sa langue est en mesure de percevoir l’odeur de 150px-Varan_langue dans LEZARDcharognes situées jusqu’à 4, voire 9,5 kilomètres de distance.

Ses narines ne lui sont pas d’une grande utilité pour analyser les odeurs car l’animal ne possède pas de diaphragme permettant de contrôler sa respiration et ainsi de pouvoir renifler avec précision les odeurs.

Il ne dispose que de peu de papilles gustatives au fond de sa gorge.

Ses écailles, qui sont ossifiées, possèdent pour certaines des plaques sensorielles innervées qui accentuent son sens du toucher. Les écailles autour des oreilles, des lèvres, du menton, et de la plante des pattes peuvent présenter trois fois plus de plaques sensorielles que les autres.

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L’homéopathie ça marche sur les animaux

Posté par othoharmonie le 17 février 2013

L’homéopathie n’est pas exclusivement réservée aux humains ! Animaux d’élevage, chevaux de course, mais aussi chiens, chats et autres rongeurs peuvent être traités de cette manière.

L'homéopathie ça marche sur les animaux dans CHIEN chien4Cette approche thérapeutique est indiquée dans certaines affections respiratoires, dans les troubles digestifs notamment. Certains exploitants agricoles y recourent aussi en cas de troubles de la croissance, ou de la production laitière. C’est d’ailleurs la seule pharmacopée autorisée dans l’agriculture biologique, et elle permet d’obtenir de bons résultats. Le métabolisme de l’animal étant très différent de celui de l’homme, le dosage est apprécié au cas par cas. Les traitements coûtent généralement moins cher qu’en médecine allopathique – et sont également pris en charge par les assurances de santé animale.

L’homéopathie doit être réservée à des spécialistes. Elle exige de la part des vétérinaires, une formation spécifique et des connaissances régulièrement mises à jour. D’ailleurs, si près de 800 praticiens ont été formés en France depuis 30 ans, ils sont beaucoup moins nombreux à la pratiquer quotidiennement. Si vous êtes intéressé et si lui-même ne pratique pas, votre vétérinaire saura vous orienter.

Quelle forme pour les médicaments ? Comme pour les humains, les traitements homéopathiques destinés aux animaux se présentent généralement sous forme de granules – de petites billes qui se prennent à raison de 5 le matin et le soir – ou de globules. Ces derniers sont en fait, des microbilles en tube unidose. Les faire fondre sous la langue de votre animal serait bien compliqué… Il suffit en fait de les lui faire avaler, ou de les faire fondre dans l’eau de sa gamelle. Pour les animaux d’élevage, l’homéopathie s’administre généralement sous forme liquide, diluée dans l’eau de boisson.

N’oubliez pas que cette médecine est curative : elle sert uniquement à guérir un problème de santé avéré, et ne doit pas être utilisée à titre préventif.

 

Source : interview du Dr Gilbert Genouël, vétérinaire homéopathe à Montgermont (35), 17 février 2010.

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Objectif chien propre

Posté par othoharmonie le 17 février 2013

 

Dans les premières semaines de sa vie, Le chiot apprend de sa mère à ne pas se soulager dans son panier. Si c’est un bon début, c’est largement insuffisant. Au propriétaire de l’animal de lui enseigner alors la propreté telle que les êtres humains l’envisagent.

Objectif chien propre dans CHIEN chien3Faire ses besoins à l’extérieur n’est donc pas une évidence pour le chien. A deux mois, il va commencer à maîtriser ses orifices naturels et à pouvoir se retenir. L’apprentissage peut commencer. Et si l’éducation à la propreté tourne au bras de fer, c’est probablement à vous-même qu’il faudra vous en prendre…

 Que penser des litières pour chien ? Tentant pour le propriétaire, c’est totalement déconseillé. Certes, vous serez un peu plus tranquille… sur le moment, mais à terme, vous mettrez deux fois plus de temps (voire bien plus) pour apprendre à votre chien que les besoins se font dehors ! Evitez aussi de disposer du papier journal ou une serpillière là où il est autorisé à « faire », ou de le mettre dans la douche s’il montre une envie pressante.

 Quand sortir son chien ? Dans les premières semaines et dans la mesure du possible, sortez-le toutes les 3 ou 4 heures maximum. Le matin, au réveil, et ensuite après chaque repas. Au départ, emmenez-le toujours au même endroit, pour instaurer ce rituel et lui faire comprendre ce que vous attendez de lui. Lorsqu’il se soulage, félicitez-le ! Une caresse ou une friandise contribuera à ancrer le message.

 Et s’il s’oublie à l’intérieur ? Si vous le prenez sur le fait, montrez-lui que c’est « mal ». Un non ferme suffira. Inutile de vous énerver et de hurler, vous risquez juste de traumatiser le pauvre animal, qui n’y comprendra rien. Comme dit le fabuliste, patience et longueur de temps font plus que force ni que rage… Quant au mythe du nettoyage à l’eau de javel, c’est une hérésie. Son odeur ne repousse pas les toutous, pire, ils l’adorent. Vous risquez même d’inscrire les endroits où le chien à uriné. Une bonne raison pour qu’il recommence ! Préférez les produits de lavage traditionnels et le vinaigre blanc. Nettoyez aussitôt, mais pas devant l’animal, qui risque de prendre cela pour un jeu.

 

Source : Interview du Dr Patrice Autret, vétérinaire à la Chapelle sur Erdre (44), 12 mars 2010.

 

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Des maîtres qui assurent

Posté par othoharmonie le 17 février 2013

 

Avec près de 8 millions de chiens et 10 millions de chats, les Français sont les champions européens en matière d’animaux de compagnie. En revanche, seulement 3% de ces animaux sont couverts par une assurance santé. A titre de comparaison, ils sont 30% au Royaume-Uni et même… 80% en Suède.

Des maîtres qui assurent dans CHIEN chienchatOr faire soigner son chien – ou sonchat, son perroquet ou son NAC - peut vite faire déraper le budget familial. A tel point que certains propriétaires se trouvent dans l’incapacité de payer ces frais. D’où l’intérêt de souscrire une assurance. La majorité des assureurs couvrent chiens etchats à partir de 3 mois. Sachez qu’un délai de carence de 48 heures à 60 jours est souvent imposé. Il s’agit de la période suivant la signature du contrat, au cours de laquelle l’assuré ne peut bénéficier de ses garanties.

Les contrats varient en fonction de l’espèce animale, de la race et des risques couverts – maladie et/ou accident. Quant aux tarifs, ils varient de 9 à 50 euros mensuels selon le type de formule que vous aurez choisie. Vous craignez d’exploser votre budget ? Sachez qu’une fracture « sans problème » vous coûtera en moyenne 250 euros. Si votre animal souffre d’allergies, les traitements vous reviendront à 250 euros par trimestre. Pour l’ablation d’une tumeur mammaire, comptez 600 euros ! Important : tous les assureurs prévoient un plafond annuel de dépenses, et celui-ci peut aller de 1 100 euros à plus de 2 000 euros.

Tous les animaux domestiques sont concernés : les chiens et chats bien sûr, mais aussi les chevaux… Pas facile toutefois de s’y retrouver parmi toutes les offres. Si votre vétérinaire n’est pas habilité à vendre lui-même des polices d’assurance, il pourra vous donner de bons conseils. N’hésitez pas à le solliciter. Et surtout, lisez bien votre contrat avant de partir en voyage avec votre compagnon à quatre pattes. La plupart des assureurs ne couvrent que les frais engagés en France et dans quelques pays limitrophes.

Si vraiment vous n’avez pas les moyens d’assurer votre animal, la SPA (01 43 80 40 66) comme la Fondation Assistance aux animaux (01 39 49 18 18) disposent de dispensaires. Ils ont vocation à soigner les animaux dont les maîtres ont peu de ressources. Enfin les 4 écoles vétérinaires françaises sont ouvertes à tous les propriétaires d’animaux, sans condition de ressources.

 

Pour aller plus loin, consultez les sites des écoles suivantes :

  Lyon ; 
  Nantes ; 
  Toulouse ; 
  Maisons-Alfort.

 

Source : Intérêts privés – Décembre 2010 N°682

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Ski avec votre chien

Posté par othoharmonie le 17 février 2013

Tout schuss… à 4 pattes !

C’est la dernière ligne droite avant les vacances d’hiver, et toute la petite famille s’apprête à partir à la montagne. Et « toute la famille », cela implique… le chien ! Après tout, pourquoi ne pas lui offrir à lui aussi, les bienfaits d’un séjour en altitude ? Pour qu’il s’amuse autant que vous… en toute quiétude, retenez tout de même ces quelques conseils.

Ski avec votre chien dans CHIEN telechargement-4Question de bon sens – et de sécurité – les pistes balisées sont interdites aux chiens. Même en laisse, vous ne pourrez pas l’emmener. Assurez-vous aussi – là également c’est de base… – que le propriétaire auquel vous louez votre logement accepte les animaux. Sinon, prenez le temps de vous renseigner sur les pensions animalières implantées à proximité de la station. Rassurez-vous, les contraintes s’arrêtent là. Vous pourrez profitez avec votre toutou des plaisirs de la randonnée en montagne, et la plupart des stations acceptent la présence canine dans les « œufs » et les télécabines.

 

Avant la balade.

Chacune de vos sorties demandera une petite préparation. Appliquez quotidiennement une crème tannante sous ses pattes afin de renforcer ses coussinets. Ainsi résisteront-ils mieux au froid. Vous pouvez même commencer ce « rituel » 15 jours avant votre départ en vacances. Les coussinets s’en trouveront épaissis, tout en conservant leur souplesse.

Le jour J

 Ca y est ! Les vacances commencent enfin pour votre compagnon à quatre pattes ! Même si en théorie, il supporte assez bien le froid, vous pouvez le vêtir d’un manteau. Avant chaque sortie, la Fondation 30 millions d’amis conseille même « d’appliquer de la Biafine® ou de la vaseline sur les parties sensibles de l’animal : coussinets, truffe, extrémités des oreilles…. Ces produits serviront d’isolant thermique ». Et de continuer, « pour les plus inquiets, les vétérinaires vendent des bottines spécifiques ». Pendant la promenade, empêchez-le de manger la neige, qui risque d’irriter l’estomac et l’intestin. C’est le plus court chemin… vers des vomissements et des diarrhées bien liquides ! Un conseil « emportez un jouet pour le distraire » poursuit la Fondation.

images-10 dans CHIENLes hommes et les chiens ne sont pas si différents. Et comme pour nous, il est un danger invisible pour votre animal : le soleil. Si sa truffe est dépigmentée, enduisez-là d’une protection solaire. De même, la réverbération sur la neige peut entraîner chez le chien, comme chez nous, une forte inflammation ophtalmique appelée « uvéite ». Alors que faire ? Vous pouvez toujours essayer de lui faire porter des lunettes de soleil. Après vous être fatigués quelques heures, vous prendrez peut être la sage décision de sortir à des heures où le rayonnement solaire n’est pas trop intense. Ou plus simplement, en forêt.

 

Après la promenade

De retour de l’excursion, prenez le temps d’inspecter les quatre pattes de votre compagnon. Séchez-les soigneusement et retirez les morceaux de glace ou les pierres qui auraient pu s’insérer entre les coussinets. Et pour éviter le moindre pépin, n’oubliez pas son carnet de santé.

Source : Fondation 30 millions d’amis, site consulté le 10 février 2011

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Escargot Totem

Posté par othoharmonie le 17 février 2013

Et aussi ver de Terre (idem)

Escargot Totem dans ESCARGOT escagot_01L’escargot…. Tout d’abord il est joli, mignon, on peut le prendre sur sa main. On le trouve partout dans la nature même dans les jardins où il se régale de salades. Il a de belles couleurs qui varient selon les espèces. Il est curieux  avec son pied musclé, sa coquille qu’il construit lui-même avec patience et persévérance, dans laquelle il trouve refuge en cas de danger et qu’il porte sur son dos comme la tortue.

 Symbole de lenteur mais aussi d’adaptation à la vie dans la nature que ce soit forêts, prairies, mares, océans ou tout simplement les aquariums où s’active « l’escargot nettoyeur »

Comme le ver de terre, l’escargot a la particularité de concentrer dans ses tissus les substances chimiques présentes dans le sol, l’air et les plantes de son environnement (cadmiumplombzinccuivremercurearsenic). En observant ce qui est accumulé dans l’organisme du gastéropode, on peut donc savoir si un sol est pollué mais également évaluer la quantité de polluants susceptible de se disperser dans la nature et de contaminer les êtres vivants. Des informations très utiles pour tester des pesticides par exemple et qu’il serait impossible d’obtenir avec une méthode classique d’analyse du sol.

 

L’escargot est un reflet de l’esprit de protection qui entoure chacun de nous.
L’apparition d’un totem escargot dans notre vie reflète
la nécessité d’une plus grande protection de notre environnement.
Soyez conscient de votre environnement et de rester sur vos gardes.
Pensez à quel moment vous avez vu un Escargot – au travail, chez vous, dans un certain état d’esprit?

escargot014 dans ESCARGOTLes escargots sont souvent solitaires, pas très social et souvent timides. Leur leçon de vie sera d’apprendre à faire confiance. Apprendre à équilibrer la confiance et la protection est une leçon difficile. l’Escargot nous enseigne aussi à protéger l’enfant intérieur. les personnes ayant un totem escargot présentent souvent une coquille dure au monde malgré leur cœur tendre , ils ont peut être des fois peur des sensations fortes. Surveillez les escargots afin de savoir ce qui met en doute votre confiance.

La spirale, liée aux phases lunaires, est un développement de la corne. Il symbolise encore le mouvement dans la permanence.

Ainsi, dans l’ancienne religion mexicaine, Tecçiztecatl (dieu de la Lune) est représenté enfermé dans une coquille d’escargot. La forme en spirale de la coquille de l’escargot est, selon Germaine Dieterlen, «un glyphe universel de la temporalité, de la permanence de l’être à travers les fluctuations du changement».

Cette forme en spirale évoque aussi le tracé du labyrinthe initiatique. Dans les hiéroglyphes égyptiens, la spirale était représentée par un escargot et symbolisait l’évolution de la vie.
L’escargot, qui sort de terre après la pluie, est un symbole de régénération cyclique, de la mort et de la renaissance.

Il illustre le thème de l’éternel retour : il montre et cache ses cornes comme la lune apparaît et disparaît. Il participe du printemps humide, et ne sort de terre qu’après la pluie.

«De plus, écrit jean servier, il participe de l’humide et ne sort de terre, comme disent les paysans, qu’après la pluie.

Il se trouve lié, au cycle des champs, devenu le symbole de la fécondité donnée par les morts, la parure presque nécessaire de l’ancêtre revenu sur la terre des hommes pour la féconder, porteur de tous les symboles de la face du ciel et des orages bienfaisants.»
Il est donc associé à la fertilité.

L’ escargot présente un symbolisme sexuel, par analogie: vulve, matière, mouvement, bave.
Il symbolisait d’ailleurs, chez les Aztèques, la conception, la grossesse et l’accouchement. Au Dahomet, il est aussi considéré comme un réceptacle du sperme.

En Afrique du Nord on confectionne des chapelets avec des coquilles d’escargots…

Dans le Comté niçois, en Languedoc et en Corse, les coquilles d’escargots servaient de lampes à huile lors de diverses processions.

Dans la région de Corte, au cours des fêtes pascales, les coquilles, remplies d’huile et équipées d’une mèche, étaient posées sur les rebords des fenêtres, elles éclairaient le chemin par lequel à la nuit tombée, le Vendredi Saint, passait la procession.

L’escargot fait partie de l’univers de l’enfance: courses d’escargots, cantines enfantines qui célèbrent l’escargot…

 

Le Moyen-âge Chrétien qui divise les espèces vivantes en deux catégories : celles appartenant à Dieu et celles appartenant au Diable, s’interroge sur la nature et les bienfaits de l’escargot. D’une part apparenté à un ver naissant spontanément de la pourriture, symbole de paresse et de lâcheté ; il est d’autre part symbole de renouveau, de renaissance lorsqu’il sort de terre au Printemps. Les croyances populaires l’associent alors au déroulement du temps qui passe.

 Mais malgré cette ambiguïté de représentation, l’escargot fait toujours partie de la pharmacopée médiévale. L’abbesse bénédictine Hildegarde de Bingen, estime, dans son livre des subtilités des créatures divines (XIIe siècle), que la nature froide de l’escargot lui permet d’enrayer le feu de l’infection : « Si quelqu’un est rongé de vermines, on prendra la coquille d’escargots qu’on réduira en poudre et on mettra cette poudre sur l’endroit où se trouvent les vers ; ceux-ci mourront et on sera guéri. »

 On pense, à peu près à la même époque, que les animaux non seulement fourniraient des remèdes à l’homme, mais encore leur apprendraient la manière de les administrer. Ainsi l’escargot aurait enseigné aux apothicaires la manière de façonner les pilules : « La coutume qu’ont ces mollusques de se ramasser en boule à l’accouplement de la lune et du soleil et de se rouler ensuite sur un peu de terre, aurait servi d’exemple aux apothicaires dans la confection des pilules, non seulement dans leur forme, mais encore dans le fait de les couvrir d’une poudre inerte dans les boîtes et les coffrets d’airain, où ils les conservaient. »

Un escargot vu de face, en train de manger de la salade, on voit des sortes de cornes pointées vers l'avant, deux longues en haut, deux courtes en bas, terminées par des petites boules

 Plus tard, en 1738, la Pharmacopée universelle de Lemery nous donne la façon de préparer l’eau de limaçons : « On aura des limaçons vivants avec leur coquille, on les lavera, puis on les écrasera dans un mortier de marbre, on les mettra dans une grande cucurbite de verre qu’on placera au bain-marie, on versera dessus le lait d’ânesse nouvellement tiré, on   rouillera bien le tout avec une espatule de bois, et ayant adapté sur la cucurbite son hapiteau avec son récipient, et ayant lutté les jointures, on laissera la matière en digestion pendant douze heures, puis on fera la distillation. On exposera l’eau distillée pendant plusieurs jours au soleil dans une bouteille de verre débouchée, puis on la gardera. Elle est humectante, rafraîchissante, propre pour les rougeurs de la peau, on s’en sert pour décrasser le visage, pour adoucir les rugosités du cuir, on l’emploie avec des petits linges fins ; on peut aussi en donner intérieurement pour la phtisie, pour le crachement de sang, pour la néphrétique, pour les ardeurs d’urine. La dose en est depuis une once jusqu’à six. »

http://www.ordre.pharmacien.fr – Documents de référence – Histoire et art pharmaceutique

 

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Lézard bigarré

Posté par othoharmonie le 16 février 2013

 

Lézard bigarré dans LEZARD lace_monitor_sideCe lézard atteint 2 mètres et plus. La peau est couverte de taches et/ou bandes blanches. La queue est longue et mince (d’où son nom anglais qui signifie lacet). Elle mesure environ une fois et demi la longueur du reste du corps. C’est le second lézard le plus grand d’Australie après Varanus giganteus (qui est lui-même un des plus grands lézards au monde après le varan de Komodo, le varan malais et le varan-crocodile).

Grimpant occasionnellement aux arbres, il fréquente à la fois les zones buissonnantes, les lisières et les forêts ouvertes et fermées. Il peut parcourir jusqu’à 3 kilomètres par jour.
Il est plus actif de septembre à mai. Il passe ses temps d’inactivité dans un abri plus frais (cavité d’arbre ou rocheuse, bois mort, sous un arbre tombé, sous une grande roche…).

Les femelles pondent de 4 à 14 œufs au printemps ou en été, dans des nids de termite.

Il consomme principalement des insectes et invertébrés, d’autres reptiles, de petits mammifères, des oiseaux et des œufs d’oiseaux.
Ce n’est que vers 2005 que des chercheurs ont montré que certains varans, dont le varan Perenti et quelques iguanes, étaient venimeux. On pensait antérieurement que leur morsure empoisonnait leurs proies en raison des bactéries vivant dans les bouches de ces lézards.

Comme tous les goannas australiens, ce lézard a été un des aliments traditionnels préférés des peuples aborigènes australiens. Leur graisse a été en particulier utilisée en médecine traditionnelle et dans certaines cérémonies.

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Varan crocodile

Posté par othoharmonie le 16 février 2013

 

Le Varan-crocodile ou parfois Varan de Salvadori (Varanus salvadorii) est un varan encore mal étudié vivant dans les mangroves et les forêts humides côtières du sud de la Nouvelle-Guinée. C’est un animal arboricole avec un corps vert foncé taché de jaunâtre et surtout muni d’une très longue queue. Dans la nature, il se nourrit d’oiseaux, de petits mammifères, d’oeufs et de charognes.

Décrit pour la première fois en 1878, V. salvadorii semble être l’un des plus longs varans au monde, atteignant jusqu’à 300 cm Varan crocodile dans LEZARD crocmonitorde long. Il est menacé par la déforestation et le braconnage, et est protégé par la convention CITES. Le varan est chassé et écorché vif par les tribus locales pour faire des tambours de leur peau et qui considèrent l’animal comme un esprit mauvais qui « monte aux arbres, marche debout, respire le feu et tue les hommes ».

V. salvadorii est un varan arboricole. Il passe ses journées dans les arbres en se tenant en équilibre sur les branches et en se bloquant grâce à ses pattes arrière. Il peut aussi de temps en temps utiliser sa queue préhensile pour enserrer une branche. L’usage principal de sa queue, cependant, est de contrebalancer son poids quand il saute d’une branche à l’autre. La queue peut également être utilisée pour se défendre, certains spécimens en captivité ont tenté de frapper leurs gardiens d’un coup de queue. On peut trouver cette espèce quelquefois chez les marchands d’animaux exotiques, mais ils ont la réputation d’être agressifs et imprévisibles. Même s’ils se reposent et se prélassent dans les arbres, ils dorment sur le sol ou immergés dans l’eau.

Ces varans « surveillants » (« monitors » en anglais) se dressent sur leurs pattes postérieures pour observer leur environnement, un comportement qui a également été documenté chez les varans de Gould (V. gouldii). Selon les croyances, ils lancent un cri d’avertissement s’ils voient des crocodiles. En général les V. salvadorii évitent le contact humain, mais leurs morsures sont capables de provoquer des infections, comme celles du dragon de Komodo. Un décès a été signalé en 1983, quand une femme papoue a été mordue par un varan et est décédée quelques jours plus tard d’une septicémie.

. salvadorii est actuellement protégé en vertu de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) Annexe II, mais n’est pas répertorié dans la loi sur les espèces menacées d’extinction. Il est pourtant menacé par la déforestation et le braconnage car il est chassé et écorché vif par les tribus locales qui le considèrent comme un esprit mauvais qui « monte dans les arbres, se promène en position verticale, respire le feu et tue des hommes ». L’espèce est élevée dans 17 parcs zoologiques du monde entier. Les États-Unis en possèdent 52 individus en captivité dans différents zoos et en ont un nombre inconnu dans des collections privées.

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Venin de Lézard

Posté par othoharmonie le 16 février 2013

Venin de Lézard dans LEZARD varanus_komodoensis1Fin 2005, des chercheurs de l’université de Melbourne sont arrivés à la conclusion que le varan Perenti, d’autres espèces de varans et certains Agamidae pouvaient être légèrement venimeux. L’équipe de chercheurs a démontré que les effets immédiats des morsures de ces reptiles étaient causés par une envenimation locale. En observant les effets des morsures de doigts chez l’être humain par un varan bigarré (V. varius), un dragon de Komodo et un Varanus scalariset, on a constaté pour les trois types de morsure la survenue de symptômes similaires : apparition rapide d’un œdème du bras, perturbation de la coagulation sanguine locale, douleurs s’étendant au coude, certains des symptômes persistant plusieurs heures. On suppose que tous les reptiles, venimeux ou non, y compris les serpents, ont en commun un ancêtre venimeux.

La salive des dragons de Komodo est particulièrement riche en bactéries nocives ; plus de 28 souches gram-négatif et 29 souches Gram-positif ont été isolées. Si les premières morsures ne la tuent pas et si la proie s’échappe, ces bactéries vont provoquer une septicémie qui aboutira au décès de l’animal en moins d’une semaine. Le ou les varans en groupe vont pister l’animal malade, l’achever s’il est petit ou attendre sa mort s’il est plus gros. La bactérie la plus nocive dans la salive du dragon de Komodo semble être, selon des études faites sur des souris de laboratoire, une souche très pathogène de Pasteurella multocida. Il n’existe pas d’antidote spécifique à la morsure d’un dragon de Komodo (pas d’anti-venin), mais on peut généralement traiter la plaie par nettoyage de la zone blessée et par administration de fortes doses d’antibiotiques. Si la plaie n’est pas traitée au plus tôt, une nécrose locale peut rapidement se développer, pouvant nécessiter l’exérèse de la zone nécrosée, voire l’amputation du membre touché. Le dragon de Komodo semblant à l’abri de ses propres microbes, des recherches ont été faites pour découvrir la ou les molécules antibactériennes que possèderait l’animal, dans l’espoir d’une application médicale.

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Lézard en captivité

Posté par othoharmonie le 16 février 2013

 

Les dragons de Komodo ont longtemps été des attractions importantes pour les zoos, où leur taille et leur réputation les rendaient populaires. Ils y sont cependant rares car ils sont souvent porteurs d’infections et de maladies parasitaires lorqu’ils sont capturés dans la nature et ne sont pas faciles à reproduire en captivité.

Le premier dragon de Komodo a été exposé en 1934 au parc zoologique national de Washington, aux États-Unis, mais il a vécu pendant deux ans seulement. Plusieurs autres tentatives d’exposition de dragons de Komodo ont été faites par la suite, mais la durée de vie de ces créatures a été très courte, avec une moyenne de cinq ans pour le zoo de Washington. Les études réalisées par Walter Auffenberg, qui ont été rapportées dans son livre The Behavioral Ecology of the Komodo Monitor, ont ensuite permis d’élever avec plus de succès et de faire reproduire des dragons en captivité.

On a observé que de nombreux dragons s’apprivoisent rapidement en captivité. On a signalé de nombreuses fois que des gardiens avaient fait sortir des animaux captifs de leur enclos pour venir parmi les visiteurs, y compris de jeunes enfants, sans aucun incident. Les dragons sont également capables de reconnaître les individus. Ruston Hartdegen du zoo de Dallas  rapporte que leurs dragons de Komodo réagissaient différemment lorsqu’ils étaient en présence de leur gardien, d’un gardien moins familier ou d’un gardien totalement inconnu.

Lézard en captivité dans LEZARD kdragont.zoo_

Les recherches sur les dragons de Komodo en captivité ont également fourni la preuve qu’ils se livrent au jeu. Une étude a porté sur un dragon qui poussait une pelle abandonnée par son propriétaire, apparemment pour écouter le bruit de la pelle sur les cailloux. Une jeune femelle dragon du zoo de Washington récupérait différents objets comme des statues, des canettes, des anneaux en plastique et des couvertures pour les secouer. Elle insérait également sa tête dans des boîtes, des chaussures et d’autres objets. Elle ne confondait pas ces objets avec de la nourriture, comme elle se contentait de les avaler s’ils étaient couverts de sang de rat. Ce jeu social est fortement comparable au jeu chez les mammifères.

Une autre façon de jouer a été étudiée par l’université du Tennessee, où un jeune dragon de Komodo nommé Kraken s’amusait avec différents objets qu’il poussait, attrapait puis prenait dans sa gueule. Elle les traitait différemment de son alimentation. Le chercheur Gordon Burghardt a donc réfuté le point de vue décrivant ce mode de jeu comme étant « motivé par le comportement prédateur du dragon ». Kraken a été le premier dragon de Komodo né en captivité en dehors de l’Indonésie. Il est né au zoo de Washington le 13 septembre 1992.

Même dociles en apparence, les dragons sont imprévisibles et peuvent devenir agressifs, surtout lorsque l’animal voit son territoire envahi par un inconnu. En juin 2001, un dragon de Komodo a gravement blessé Phil Bronstein, rédacteur en chef du San Francisco Chronicle, quand il est entré dans le parc de l’animal au zoo de Los Angeles après y avoir été invité par son gardien. Bronstein a été mordu au pied, car le gardien lui avait demandé de retirer ses chaussures blanches, ce qui aurait pu exciter le dragon de Komodo. Bien qu’il en ait réchappé, il eut besoin d’avoir plusieurs tendons réparés chirurgicalement au niveau du pied.

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La légende du Loup blanc !

Posté par othoharmonie le 14 février 2013

 

La légende du Loup blanc ! dans LOUP 230px-canis_lupus_265b

L’histoire que je vais vous raconter remonte à la nuit des temps.

A cette époque, la terre était recouverte de vastes forêts sans fin, certaines étaient inextricables et les voyageurs égarés retrouvaient rarement leur chemin.

En ces temps là, les loups vivaient nombreux, ils formaient des clans très hiérarchisés, intelligents, forts et courageux, ils n’avaient d’autres ennemis que les hommes.

Les hommes quant à eux nourrissaient une haine profonde envers les loups et lorsqu’ils se trouvaient face à face, il était rare que tous deux survivent à cette rencontre.

A peine l’enfant des hommes marchait, qu’il avait appris à haïr le loup.

Chaque décennie écoulée, les loups, uniquement les chefs de clan et quelques élus entreprenaient le grand voyage. De toutes les régions du Nord de l’hémisphère, ils convergeaient en un même lieu, une vaste clairière au centre d’une forêt profonde et noire, quelque part dans un pays que l’on appellera plus tard la France.

Certains venaient de très loin, c’était le grand rassemblement au cours duquel les loups mâles et femelles encore solitaires allaient sceller une nouvelle alliance, ils venaient là trouver le compagnon d’une vie.

Les chefs partageaient leur savoir et les jeunes bâtissaient leur descendance.

Cette année là, Loup blanc, chef de clan encore solitaire venait pour y trouver une compagne, chemin faisant il pensait au lourd secret qui était le sien.

Quelques mois plus tôt, au cours d’une chasse, il avait découvert une jeune femme évanouie dans la neige fraîche. Il s’était approché d’elle doucement, avec méfiance comme on lui avait toujours appris, de longues minutes s’étaient écoulées ainsi, quand soudainement la jeune femme bougea, elle entrouvrit les yeux et loin d’être terrifiée par la vue du loup, elle lui sourit.

czechoslovakian_wolfdog_pair dans LOUPElle tendit une main et caressa la fourrure de l’animal, celui-ci accueillit cette marque d’affection d’abord avec surprise puis bientôt avec plaisir. Sans savoir qu’il pouvait la comprendre, elle lui expliqua sa peur lorsqu’elle s’était vue égarée dans la forêt, en entendant du bruit, elle s’était mise à courir sans voir une grosse branche qui barrait le chemin, elle avait trébuché lourdement et s’était évanouie.

Tout en lui parlant elle n’avait cessé de le caresser. Elle le regarda droit dans les yeux et lui demanda de l’emmener jusqu’au village, seule dit-elle, je ne retrouverai jamais ma route.

Il s’exécuta, il la reconduisit jusqu’à l’entrée du village et longtemps il resta là, à la regarder partir, même lorsqu’il ne pouvait plus la voir.

De retour dans la tanière du clan, il comprit qu’il ne serait plus jamais le même, jamais plus il ne verrait les hommes de la même manière.

Il se prit même à revenir guetter l’entrée du village dans l’espoir de l’apercevoir.

A de nombreux kilomètres de là, une louve et son frère cheminaient au côté d’un chef de clan, ils faisaient eux aussi route vers le grand rassemblement.

La louve Calypsone venait y faire alliance, elle l’espérait depuis longtemps mais depuis l’été dernier, elle était habitée par la peur, son chemin avait croisé celui d’un gentilhomme blessé, au lieu de le dénoncer à la meute comme il se doit, elle l’avait caché, recouvert de feuilles et de branchages et l’avait nourri jusqu’à ce qu’il puisse se débrouiller seul.

L’homme n’avait jamais manifesté la moindre crainte face à la louve, au contraire il aimait à lui parler, à la caresser, il lui faisait des confidences comme il l’aurait fait à un des ses semblables. Il rêvait d’un monde où les hommes et les loups feraient la paix, un monde où la haine de l’autre n’existerait plus.

Un soir alors que Calypsone venait le retrouver, il était parti en laissant sur le sol son écharpe, un peu de son odeur qu’elle prit plaisir à renifler.

Souvent, depuis lors, elle venait s’allonger au pied de l’arbre qui avait été le témoin de leur amitié.

La clairière sacrée était prête, tous les participants s’étaient rassemblés en plusieurs cercles, au milieu se trouvaient les solitaires, il était de coutume de s’observer et lorsqu’un loup mâle trouvait une louve à sa convenance, il s’avançait au milieu du cercle, puis de là en rampant il se dirigeait vers l’élue.

Ce soir sacré, lorsque Calypsone aperçu Loup blanc, elle reconnut immédiatement le compagnon qui habitait ses rêves, celui qu’elle avait toujours attendu.

Aussi, bousculant toutes les règles, elle s’avança vers lui, sans crainte, le regardant au fond de ses prunelles dorées.

Loup blanc, comme s’il avait toujours su ce qui allait arriver, accepta Calypsone comme compagne sans se formaliser de la façon cavalière qu’elle avait utilisée pour arriver à ses fins.

La nuit même leur union fût scellée. Le grand sage donna son accord après avoir vérifié qu’ils n’appartenaient pas au même clan et que leurs deux statures s’harmonisaient entre elles.

La louve fit ses adieux au clan qui l’avait vu grandir et se prépara au voyage de retour.

Leur périple fût sans histoire.

Inconsciemment ou pas, Loup blanc construisit leur gîte non loin de l’endroit où il avait découvert la jeune femme l’hiver dernier.

Au printemps de l’année qui suivit, Calypsone donna naissance à deux louveteaux, un mâle et une femelle. Avant de mettre bât, elle avait avoué à Loup blanc le parjure qu’elle avait fait à sa race en cachant et en nourrissant un humain. Loup blanc lui avait à son tour confié son secret et depuis lors ils ne formaient plus qu’un.

Une nuit, ils furent réveillés par des cris qui les fit sortir de leur tanière, ils aperçurent au loin une fumée épaisse, un incendie embrasait le ciel. Les cris durèrent longtemps et au petit jour une odeur âcre parvint jusqu’à eux.

La magie des loups en ces temps là était grande et leur haine des humains encore plus grande, plusieurs clans s’étaient unis pour détruire un village qui avait tué plusieurs des leurs. Ceux qui n’avaient pas péris dans l’incendie, furent dévorés pas les loups.

Loup blanc rassembla sa compagne et ses petits et décida de s’éloigner à tout jamais de ces contrées barbares, il voulait un monde différent pour sa descendance.

telechargementAu même moment, un homme et une femme, seuls survivants du massacre fuyaient eux aussi l’horreur de la nuit.

La légende dit que la route des loups croisa celle des humains

Qu’il reconnu la jeune femme qu’il avait secouru de même que Calypsonne reconnu l’homme comme étant celui qu’elle avait caché dans les bois.

On dit aussi qu’ils firent chemin ensemble jusqu’à une grande clairière.

Uniquement avec leur courage, ils bâtirent un monde nouveau où tous ceux qui vivaient sans haine furent les bienvenus. Les humains comme les loups…

Loup blanc fût à l’origine d’une nouvelle race de loups, plus proche de l’homme et qui bien des années plus tard donnera naissance à cette race de loup civilisé que l’on appellera le Chien

Source: Duterte

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Les deux loups !

Posté par othoharmonie le 14 février 2013

 

Un homme âgé dit à son petit-fils, venu le voir très en colère contre un ami qui s’était montré injuste envers lui :

Les deux loups ! dans LOUP 180px-canis_lupus_laying« Laisse-moi te raconter une histoire… Il m’arrive aussi, parfois, de ressentir de la haine contre ceux qui se conduisent mal et n’en éprouvent aucun regret. Mais la haine t’épuise, et ne blesse pas ton ennemi. C’est comme avaler du poison et désirer que ton ennemi en meure. J’ai souvent combattu ces sentiments »

Il continua : » C’est comme si j’avais deux loups à l’intérieur de moi; le premier est bon et ne me fait aucun tort. Il vit en harmonie avec tout ce qui l’entoure et ne s’offense pas lorsqu’il n’y a pas lieu de s’offenser. Il combat uniquement lorsque c’est juste de le faire, et il le fait de manière juste. Mais l’autre loup, ahhhh…! Il est plein de colère. La plus petite chose le précipite dans des accès de rage.

Il se bat contre n’importe qui, tout le temps, sans raison. Il n’est pas capable de penser parce que sa colère et sa haine sont immenses. Il est désespérément en colère, et pourtant sa colère ne change rien. Il est parfois si difficile de vivre avec ces deux loups à l’intérieur de moi, parce que tous deux veulent dominer mon esprit. »

Le garçon regarda attentivement son grand-père dans les yeux et demanda :  » Lequel des deux loups l’emporte, grand-père ? »

Le grand-père sourit et répondit doucement : « Celui que je nourris. »

Une fable amérindienne que l’on raconte le soir autour du Feu Sacré.
Auteur inconnu

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La queue du lézard, organe moteur

Posté par othoharmonie le 12 février 2013

La queue du lézard, organe moteur dans LEZARD 3Lorsqu’un lézard agite sa queue en sautant d’un rocher à un autre, ce n’est pas pour l’épate, mais pour éviter de se fracasser sur la paroi. Une équipe de chercheurs de l’université de Californie a montré le rôle primordial et actif de cet appendice dans le contrôle de la stabilité des sauts du Agama agama, un lézard qui apprécie les climats semi-désertiques. Cette petite bête de 70 grammes a été contrainte d’effectuer, sous l’œil des caméras rapides des chercheurs, des sauts d’une marche à une autre, plus haute et éloignée de la première.

En outre, pour forcer le reptile à effectuer différents sauts, la surface d’envol était plus ou moins glissante. Verdict : c’est bien grâce au mouvement de sa queue que l‘animal parvient à éviter la gamelle humiliante. Il use plus précisément d’un vieux principe de mécanique, la conservation du moment cinétique. C’est ce qui permet au funambule de tenir en équilibre avec une perche : l’inclinaison de la perche « compensant » celle du corps. Pour le lézard, quand il se sent piquer du nez en l’air, il remonte sa queue.

Et dans le cas contraire, il l’abaisse. Il garde ainsi une inclinaison de son corps constante et correcte pendant son saut. Le corps d’un Agama agama s’incline ainsi 72 % de moins que celui d’un lézard sans queue.

« Il y avait déjà des observations du rôle de la queue dans le saut, mais ce résultat le quantifie pour la première fois et en propose un modèle », précise Vincent Bels, du Muséum national d’histoire naturelle de Paris. Les chercheurs, qui ont publié leur résultat en ligne dans Nature, le 4 janvier, ont été plus loin en testant leur théorie sur un jouet doté d’une queue passive ou active et lancé sur un tremplin.

Avec une queue rigide, le robot pique du nez, tandis que celui à queue active garde son inclinaison initiale. Armée de ces conclusions, l’équipe américaine a calculé qu’un petit dinosaure du genre Velociraptor avait une morphologie (et une queue !) propice à des sauts plus acrobatiques que ceux d’Agama agama lui permettant de sauter au cou de ses proies. De quoi peut-être réviser le rôle de la queue dans la survie des espèces et leur évolution.

David Larousserie article dans Le Monde

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Un lézard choisit le sexe de son enfant

Posté par othoharmonie le 12 février 2013

 

Un lézard choisit le sexe de son enfant dans LEZARD 2En contrôlant sa température corporelle, un lézard femelle d’Australie Eulamprus tympanum, est capable de décider du sexe de son futur rejeton. Le sexe de nombreux reptiles ovipares, tels que les crocodiles, est déterminé par la température du nid dans lequel l’oeuf s’est développé. Mais avoir découvert le même phénomène chez une espèce vivipare a de quoi surprendre, dans la mesure où les reptiles ont une température corporelle plus ou moins constante, expliquent Kilie Robert et Michael Thompson, de l’Université de Sydney. Les deux chercheurs ont découvert en laboratoire, dans une population d’ Eulamprus tympanum uniquement composée de femelles, que celles-ci avaient maintenu leur température corporelle à 32°C et n’avaient donné naissance qu’à des mâles. Dans la nature, mâles et femelles voient le jour en proportion égale. Eulamprus tympanum, comme de nombreux autres reptiles vivipares, vivent dans des régions montagneuses. Cet environnement frais, suggèrent Robert et Thompson, peut rendre plus facile la possibilité pour la femelle d’équilibrer le rapport entre les sexes pour s’adapter aux besoins du groupe, capacité qui semble perdue dans les climats plus chauds.

Dossier BIOsciences N°9,

(Novembre – Janvier 2002)

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Femelles lézards

Posté par othoharmonie le 12 février 2013

 

Des lesbiennes et des sauteuses (?)

C’est sous ce titre que le magazine Time publia l’article dans lequel Crews rapportait ses observations sur le Cnemidophorus, le lézard à queue en fouet.

Femelles lézards dans LEZARD 1Le  Cnemidophorus fait exception dans le monde reptilien car il se reproduit par « parthénogenèse ». Autrement dit, sa reproduction peut se faire à partir des oeufs pondus par la femelle sans qu’un mâle ait à les féconder. Cette espèce représente donc un champ d’observation idéal pour étudier certains aspects de l’évolution de la sexualité qui ne peuvent être isolés et analysés chez les espèces à comportement sexuel normal où l’hérédité masculine vient toujours constituer un facteur de complication.

Dès que Crews entreprit ses travaux sur le Cnemidophorus, il remarqua ce qui, à première vue, était un comportement bizarre. Ces lézards sans vie sexuelle -puisqu’ils n’ont pas besoin de s’accoupler pour se reproduire- couvrent parfois leurs congénères tout comme le font d’autres lézards au comportement sexuel normal.

 (…) La séquence paraît relativement simple. Une femelle joue un rôle actif et monte sur le dos d’une femelle passive, recourbe sa queue autour du corps de sa partenaire de sorte que leurs organes sexuels entrent en contact, donne des secousses du cou et du dos et chevauche ainsi sa compagne pendant une à cinq minutes.

Tous les biologistes admettent que c’est bien là ce qui se passe. C’est sur la signification à donner à ce comportement que leurs avis divergent. (…) Les manoeuvres d’approche habituelles, l’attitude au cours de la copulation semblaient remarquablement similaires à celles que Crews avait observées au moment de l’accouplement chez d’autres espèces proches à comportement sexuel ordinaire. La dissection et la palpation des lézards mettaient en outre en évidence leur signification sexuelle. On constatait que l’animal courtisé était actif sur le plan de la reproduction, « ses ovaires contenaient de grosses follicules pré-ovulaires, alors que l’animal courtisant, ou bien était en période d’inactivité reproductrice, ou bien venait de terminer son ovulation, et ses ovaires ne contenaient que de petites follicules peu développées ». Cette différence soulevait des questions d’ordre général quant au rôle joué sur le plan de la sexualité par cette pseudo-copulation, comme, par exemple, une fonction possible d’amorçage des mécanismes reproductifs. (…)

Harry Collins & Trevor Pinch,

« Tout ce que vous devriez savoir sur la science ».

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Hommes-Lézards Warhammer

Posté par othoharmonie le 10 février 2013

Hommes-Lézards Warhammer dans LEZARD images-7Les Hommes-Lézards sont la race la plus ancienne du monde Warhammer, tout du moins il s’agit de la race organisée la plus antique. Ils sont les premiers êtres créés par les Anciens, une race cosmique quasi-omnipotente. Pour les aider à modeler le monde, les Anciens créèrent les Slanns, des sorciers à l’apparence batracienne, si puissants qu’ils pouvaient déformer le sol et séparer les mers par leurs seules pensées. Les Anciens créèrent plusieurs générations de Slanns, cinq en tout, dont la puissance magique ne ferait qu’augmenter en vieillissant. Les Slanns sont si vieux que pour exemple, les plus jeunes de la 5em génération peuvent se souvenir de la naissance des Elfes.

Pour entretenir les Slanns, bouffis et incapables de faire autre chose que manipuler les vents de magie, les Anciens façonnèrent les Skinks, une race à l’apparence d’un lézard humanoïde, très habile bien que faible physiquement. Les Skinks sont les architectes et les constructeurs des Hommes-Lézards. Ils ne sont pas incapables au combat, mais sont plus aptes aux missions de guérillas, en raison de leur nature fragile.

Constatant le manque d’efficacité des Skinks au combat, les Anciens firent construire des terres de frai d’où émergèrent les Saurus, de monstrueux guerriers proches physiquement des Skinks, mais infiniment plus brutaux, forts, résistants et disciplinés. Les Saurus sont des bêtes de combat, des armes vivantes, pour qui le but de la vie est de protéger leur race. Au combat, un guerrier Saurus se jette sur l’adversaire, frappant de son arme, de son bouclier ou si nécessaire avec ses griffes et ses crocs. Les plus vieux de cette race, les Kuraq sont si puissants et féroces que même les champions du Chaos ne sont pas à l’abri d’une défaite en combat singulier.

Les Kroxigors qui sont les grands cousins des Saurus encore plus mortels que leurs cousins virent également le jour. Les Kroxigors sont aux Saurus ce que les Saurus sont aux Skinks : des monstres sanguinaires. Les Kroxigors sont si brutaux qu’il faut leur attacher leur arme au bras, pour ne pas que celle-ci s’envole suite à un mouvement du Kroxigor, qui préfère utiliser ses membres pour attaquer.

Ces êtres, à l’exception des Slanns, sont engendrés dans des bassins de frai au cœur des cités temple, et le rythme de leur naissance est dicté par l’ancienne volonté des Anciens, elles sont donc prévues depuis la nuit des temps, ce qui permet aux hommes-lézards de savoir quand s’annonce une ère de guerre et donc de s’y préparer.

Les Anciens ont quitté le monde depuis longtemps, mais le temps n’a pas d’emprise sur les Hommes-Lézards, race quasi-immortelle. Les Slanns continuent de guider les leurs vers l’avenir prophétisé par leurs maîtres anciens (que l’on l’appelle le Grand Dessein des Anciens) et feront tout pour que les prophéties se réalisent. Les différents noms d’Anciens connus sont : Huanchi, le Dieu Jaguar; Tepok, l’Insondable; l’Aquatique Tzunki; le Brutal Sotek; Quetzl, le Protecteur; Itzl, le Maitre des Bètes; l’Impassible Tlazcotl; le Brulant Chotec; Potec, le Vindicatif; Xhotl, le Surveillant; Hexoatl, le Templier et Tlanxla, le Voyageur du Ciel.

Il est à remarquer que les Anciens sont les seuls responsables de la venue des démons du chaos dans le monde. En effet, en ouvrant des portails dimensionnels pour voyager dans ce monde, ils ouvrirent en grand l’entrée d’où se déversèrent les énergies magiques qui engendrèrent les démons. La porte du chaos septentrionale est donc leur œuvre (certes accidentelle).

Les Hommes-Lézards sont à priori neutres mais, étant les ennemis du Chaos, il est possible de les rapprocher du côté du bien. Bien que de nature froide et isolée, ils ont une certaine amitié avec les races plus jeunes tel les Hauts-Elfes et des Elfes Sylvains, avec qui ils combattent occasionnellement côté à côte (les Hauts-Elfes se sont prouvés des alliés fidèles, acceptant de venir aider la défense d’une cité-temple contre des Skavens). En revanche, ils haïssent tous profanateur ou pilleurs de leurs cités, en particulier la vermine skaven du clan Pestilens. Les skavens incarnent en effet tout ce qu’ils détestent, et ont provoqué des maladies terribles en Lustrie, si bien qu’ils sont les ennemis de toujours des Hommes-Lézards.

Récemment, suite à la ressurgeance du Chaos, les Hommes-Lézards sont sortit de leur passivité, et ont estimé qu’il était temps d’agir, de reguider les autres races dans la bonne voix et de combattre enfin le Chaos en face-à-face.

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Lézard

Posté par othoharmonie le 10 février 2013

Le lézard est un REPTILE saurien dont il existe de nombreuses espèces, près de 2.000, réparties dans le monde entier. Les 2 espèces les plus répandues en France sont le lézard vert, qui habite les bois et les champs de la moitié sud du pays, et le lézard des murailles, le plus commun, que l’on rencontre sur les murs. Leur couleur leur permet de se confondre avec le milieu où ils vivent et d’échapper plus aisément à leurs ennemis, SERPENTS et rapaces. Les yeux du lézard sont protégés par d’épaisses paupières mobiles. Sa queue mince se détache facilement du corps, mais elle repousse, une seule fois, souvent plus longue et plus grosse. Faire le lézard : se reposer au SOLEIL.

La femelle pond ses oeufs dans la terre ou bien encore dans une cavité qu’elle a agrandie avec ses pattes griffues, sous une pierre. Lorsque l’HIVER arrive, le lézard s’enfouit dans un trou et s’endort jusqu’au PRINTEMPS, vivant sur les réserves de graisse accumulées pendant l’ÉTÉ. Dès les premiers beaux JOURS, il sort de sa retraite. Il se met aussitôt à la recherche de nourriture et engraisse rapidement. Alors, le ventre distendu, il organise son existence d’été, se prélassant sur une pierre chaude, guettant les INSECTES qui passent à sa portée et se détendant brusquement pour les saisir. Très agile, il disparaît rapidement dans une fente de mur, une « lézarde », ou entre 2 pierres, au moindre danger.

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Les Hommes-Lézards

Posté par othoharmonie le 10 février 2013

Les Hommes-Lézards sont une race du monde imaginaire de Warhammer.

Une armée d’Hommes-Lézards s’organise normalement en deux parties : une axée sur le tir (skinks) et le harcèlement, le reste de l’armée étant capable de vaincre l’ennemi au corps à corps (saurus et kroxigor). La magie des Slanns est la plus puissante de Warhammer, concurrencée éventuellement par celles des Nécrarques, des Elfes ou moins certainement des serviteurs de Tzeentch. Une armée d’Hommes-Lézards peut aussi compter sur les hordes de monstres de la jungle pour l’aider : stégadons, sangs-froids, carnosaures, salamandres. Enfin, l’armée étant composée uniquement de créatures à sang-froid, la psychologie a peu d’effet sur eux (règle de flegme).

Les Hommes-Lézards dans LEZARD images-5

Leur armée est donc constituée ainsi :

  • leurs chefs spirituels, les prêtres-mages Slanns, créatures aux formes batraciennes, dépositaires de la Haute Magie des Anciens. Ce sont sans conteste possible les plus puissants magiciens du monde de Warhammer(sauf pour Teclis qui est l’égal de mazdunmundi). Les Slanns ont été engendrés en cinq générations, la première la plus puissante, qui est arrivée avec les Anciens est maintenant éteinte, et il ne reste plus qu’une poignée de Slanns des générations suivantes. Un Slann peut donc appartenir à d’anciennes générations si vous le souhaitez, coûtant de plus en plus cher, mais étant de plus en plus puissant. En termes de jeu, un Slann est clairement un magicien ultime, capable quasiment de s’occuper de la phase de magie à lui seul. En revanche, il peut prendre beaucoup de place dans l’armée, engrangeant un nombre de points faramineux. Les Slanns sont également très coriaces ce qui est peu répandu, un magicien étant par définition faible dans le monde de Warhammer. Les plus vieux Slann sont le Seigneur Kroak (1er génération, mort depuis des années, mais dont l’esprit hante la dépouille) et le Slann Mazdamundi (2em génération qui est le plus vieux encore en vie).
  • La force combattante des Hommes-lézards est surtout composée de Saurus, guerriers élevés et conçus pour le combat, impressionnants, comparés à des humains par leur force et leur robustesse. Ils se battent grâce à leurs armes qui, bien que primitives à première vue, s’avèrent redoutablement efficace. Les plus vieux des Saurus,vétérans élites de maintes guerres sont communément nommés Kuraq, ils sont les leaders traditionnels d’une armée quand elle n’est pas dirigée par un Slann.
  • Les Skinks, plus petits mais plus intelligents, sont les serviteurs communs, et composent aussi la classe travailleuse des hommes-lézards. Plusieurs variantes de skinks existent, selon les besoins de chaque cité-temple, comme les skinks caméléons, qui par leurs yeux globuleux et leur capacité de se fondre dans leur milieu, en font des éclaireurs hors pairs précédant les armés des hommes-lézards. Certains Skinks sont plus robustes que les autres et peuvent devenir des leaders, ou prêtres lorsqu’ils montrent leurs aptitudes. D’autres chevauchent des Terradons, des Stegadons ou encore des Cornus (créatures provenant des Terres du Sud). Enfin, certains skinks bénis par Sotek portaient sa marque sous la forme d’un crête rouge pendant la première guerre contre les skavens. Ces skinks appelés « skinks a crête rouge » ne sont jouables que dans une armée de la légion rouge de Tehenhauin, de l’extension « Campagnes en Lustrie » de Warhammer.
  • Les Kroxigors, cousins des Saurus, encore plus robustes. Ils représentent le compromis parfait de la biologie et de la puissance guerrière, même leur intelligence est uniquement dirigée vers le combat, ce qui en fait une espèce moins apte à communiquer que les skinks, par exemple. Leur aptitude naturelle au combat fera qu’ils auront plus tendance à se battre avec leurs griffes et leurs dents qu’avec leurs armes, qui sont par conséquent attachées à leur poignets. Ils sont suffisamment puissants pour massacrer des cavaliers lourds, pulvériser des chars et meme détruire le fameux tank a vapeur.
  • images-6 dans LEZARDLes Hommes-lézards élèvent toutes sortes d’animaux de Lustrie pour combattre à leurs côtés : des salamandres cracheuses de feu, des Terradons volants chevauchés par les Skinks, les Stégadons, de gigantesques bêtes sur lesquelles les Skinks installent leurs arc géants, seule pièce d’artillerie utilisée dans l’armée homme-lézard, sans oublier les Carnosaures, de terrifiants prédateurs géants, qu’aiment chevaucher les seigneurs Saurus appelés aussi Kuraq kaq. Certains leurs préfèrent les Sangs-froids, reptiles bipèdes stupides qui sont aussi utilisés par les Elfes Noirs. Quant aux slanns, quand leur présence est exigé au combat, ils combattent assis sur un palanquin entouré de loyaux saurus lévitant par leur seule magie et déchaine des éclairs d’énergie sur chaque élément osant s’approcher.
  • Il n’est pas rare que les Dieux des Hommes-lézards bénissent un groupe de Saurus ou plus rarement de Skinks. Ces saurus se distinguent par d’étranges formes et couleurs dans leurs armures d’écailles naturelles, ainsi que des aptitudes inhabituelles. Les bandes de Saurus d’élite sont généralement de ces saurus élus et il est rare que les Kuraq ne portent pas quelques-unes de marques eux aussi.

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