Entre l’homme et l’animal
Posté par othoharmonie le 3 février 2013
Il existe des talents de télékinésie ; l’homme et l’animal ont des liens étroits, liens qui sont souvent le support, le vecteur de transmissions de messages d’esprit à esprit.
Cela étant, il ne faut pas confondre certaines capacités qu’ont les animaux à prévoir des dangers comme un tsunami ou un tremblement de terre avec des capacités paranormales.
Des exemples de ce type abondent. Citons ces animaux d’un zoo qui, un soir, ce sont tous mis à dormir en dehors de leurs abris bâtis qui, quelques heures plus tard, étaient détruits par un tremblement de terre.
Nous pouvons aussi revenir sur ce terrible tsunami qui a ravagé récemment les côtes d’Asie du Sud-Est. Habituellement poissonneuse, les pêcheurs furent surpris de constater, dans cette zone côtière, quelques heures avant le drame, que tous les poissons avaient déserté. À terre, les récits faisant état des animaux qui fuirent sur les hauteurs furent également nombreux. Par exemple,
les éléphants du parc touristique de l’île de Phuket, se sont libérés de leurs chaînes pour aller se réfugier dans la forêt peu de temps avant l’arrivée de la vague. Il n’y a rien de paranormal à cela, les animaux ont encore activé en eux cette capacité à sentir le danger arriver. Des microsecousses ont pu en alerter une partie, une variation subite de la pression atmosphérique en alerter une autre et enfin un changement inhabituel de courant sous-marin ou la perception de signes sismiques ont prévenu toute la gente aquatique.
Tous les êtres vivants ont capté les signaux d’alerte, tous sauf les humains. Pourtant, nous sommes, nous aussi, des animaux (le plus évolué disent même certains) et nous n’avons rien senti venir alors que cette capacité est en nous mais reste totalement atrophiée et inexploitée.
Nous sommes des mammifères et contrairement aux chiens ou aux chats nous ne faisons plus appel à ces facultés particulières. Nos sociétés sont plus sûres que la jungle arpentée par notre lointain grand-père l’homme de Néandertal et du coup, nos sens liés à l’instinct de survie sont moins sollicités et s’atrophient peu à peu.
Ce constat nous mène à poser la question suivante :
Etudier les capacités paranormales des animaux, n’est-ce pas étudier nos capacités paranormales ?
N’est-ce pas étudier cette partie animale qui est en chacun de nous ?
N’est-ce pas étudier cette partie commune à tous les êtres vivants, cet héritage originel qui, une fois redécouvert, nous donnera, peut-être, accès au paradis perdu ??
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