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Message de Maître Lièvre – 1

Posté par othoharmonie le 23 décembre 2012

 

Voici un des nombreux messages des entités directrices de l’univers animal à l’homme, recueillis par Anne & Daniel Meurois-Givaudan, auteurs du livre « Le peuple Animal « , ouvrage qui apporte un éclairage nouveau sur l’intelligence animale. Puisse ce message vous conduire à une prise de conscience et à un émerveillement total.

Message de Maître Lièvre - 1 dans LAPIN - LIEVRE brown_hare4441« … Nous vous observons dans les fourrés, lorsque vous parcourez les monts et les champs, et au premier pas que vous faites, vous dévoilez votre être tout entier. Si je vous offre ma demeure, c’est pour que ceux d’entre vous qui ne respirent pas la cruauté et le mépris rejoignent en pensée les miens durant ces terribles jours de l’année où l’homme déverse le tonnerre sur eux. Ceci n’est pas la supplique d’un peuple de faibles face à une race de dieux qui maîtrise le feu et cent mille autres choses. C’est l’appel à la simple raison qu’un peuple pacifique lance à un autre peuple qui, croyant dominer le monde, amoindrit chaque jour un peu plus son propre souffle et abîme son corps.

  Lorsque, avec vos armes crachant le feu, vous parcourez les garrigues et que vous nous traquez jusque dans nos abris, vous ignorez à quel point nous pleurons sur ce qui vous habite. Ne croyez pas que ce soient nos corps qui tremblent. C’est ce quelque chose en nous sachant capter et lire la flamme qui, en vos yeux, vous consume. Cette dernière n’est pas la flamme de celui qui doit vivre mais celle de celui qui a enraciné en lui le besoin de détruire.

   Se hausse-t-on en abaissant autrui ? Je vous le dis au nom de mon peuple. En vérité, c’est moins nous que vous faites saigner que cette Force au-dedans de vous dont vous semblez tout ignorer. Lorsque par les bois et entre les rochers marchent des hommes nimbés d’une coquille de lumière où la grisaille et les rouges paraissent eux-mêmes se livrer un combat, je sais la souffrance que ces hommes portent en eux, au-delà même de celle qu’ils nous infligent. Car j’enseigne à mon peuple que celui qui tue et se repaît de son emprise sur l’autre, a d’abord entrepris de se détruire, d’abîmer son propre poitrail (son coeur). Avant de faire les victimes que l’on voit, la souffrance ravage celui qui la génère, à son propre insu. J’ai trop bien vu, frères humains, que cette souffrance coule dans les veines de votre race.

  Aujourd’hui, le signe que je vous adresse au nom de mon peuple est motivé par un espoir, celui de générer un sursaut de paix chez le plus grand nombre de vos semblables. Non seulement pour le genre dont je suis issu mais pour l’ensemble des êtres non-humains de ce monde.

   Cette graine de paix, je suis conscient qu’elle ne pourra pleinement germer que si le souvenir d’un certain Soleil de l’âme est ravivé dans le coeur humain. Elle ne peut en effet venir à maturation si elle est alimentée par la pitié. L’univers de mes frères animaux ne veut pas de la pitié des hommes. Nous savons trop bien qu’un tel sentiment n’a jamais élevé un seul être parce qu’il se gorge en silence des notions d’infériorité et de supériorité.

   La pitié n’a jamais été la compassion… et c’est peut-être nous, animaux, qui étrangement en ces jours, visitons plus que l’homme le monde de la compassion… car nous voyons à quel point votre semblable est pris au piège d’un filet de mépris et d’ignorance. Frères de la terre que nous partageons, entendez dans mes paroles une douleur répondant comme un écho à votre propre douleur.  

Même si les mots par lesquels mon âme communique avec les vôtres vous semblent parfois teintés de fiel, n’y voyez aucune condamnation, aucun jugement dont je serais l’interprète au nom des miens. Le peuple animal est incapable de jugement au sens où le pense le peuple humain. Il ne juge pas. Simplement, il ne comprend pas ce qui, en l’homme, s’acharne à contredire l’ordre supérieur des choses. Alors, il fuit ou tente de se défendre pour rétablir l’équilibre qu’il voit menacé.

   Cette notion d’équilibre est présente en tout coeur animal, voyez-vous. Elle en constitue sans doute le pivot. Elle est une façon de traduire la présence de l’Esprit Universel qui entend prolonger Sa vie à travers lui. Ainsi, elle dépasse infiniment ce que vous appelez vie et mort. C’est par elle que nous acceptons pleinement les deux visages de la Force, lorsque ceux-ci s’inscrivent dans la loi d’harmonie.

   La tâche me revient donc de raviver votre mémoire, frères humains. Il me faut ramener celle-ci jusqu’en un temps si lointain que ce monde où nous vivons offrait un autre visage, d’autres courbes, d’autres couleurs. C’était un monde infiniment chaud, un monde où les brumes étendaient souvent leurs bras sur des immensités car, constamment, le Soleil rencontrait l’Eau… Et son rayonnement était tel que la mémoire animale le décrit comme forçant presque les êtres à une incroyable croissance. Ecoutez bien maintenant ce qui était en ces temps…

  En ces temps de Soleil et d’Eau, nos deux peuples se côtoyaient sans peur ni agression. Nos apparences respectives étaient autres qu’aujourd’hui. Vos corps étaient plus forts, plus grands et les nôtres se montraient également infiniment plus développés. Une sorte de spontanéité et de simplicité vous habitaient et que, depuis, vous avez perdues. Celles-ci faisaient que vous pouviez plonger en notre conscience et que la vôtre nous était beaucoup plus proche qu’aujourd’hui.

   Vous nous saviez issus de la même Force que vous et la réalité de notre âme nous était évidente. En rêve ou tout au moins ce que vous appelez rêve, vous consultiez les plus sages d’entre nous. Car, voyez-vous, de tous temps, le peuple animal dans son ensemble a eu pour mission d’incarner sur Terre, à travers ses capacités, certains grands principes issus de l’Esprit Universel. Ainsi donc, nombre d’entre nous sont des attributs, des représentations de qualités divines qui viennent s’offrir au monde des hommes. Voilà pourquoi votre frère l’animal a souvent été porteur d’un message venu de l’Infini.

   Les hommes et les femmes que vous étiez en ces temps-là le savaient. Il en résultait un respect et une complicité mutuels. Parfois, lorsqu’il arrivait que nos âmes ne puissent communiquer, nous nous croisions simplement, sans autre désir que celui de laisser l’autre aller là où il le voulait, sans intention de le dominer ou d’en tirer profit.

   Et puis, quelque chose se passa… Quelque chose que nous ne vîmes pas arriver mais qui changea la flamme de votre regard. Alors, tous les guides-animaux de ce monde s’assemblèrent dans cet Univers du milieu où l’âme est libre de toute entrave. Partout, leur constat était le même : un poison lent mais terrible semblait vouloir faner le coeur de l’homme. Ce poison le coupait non seulement d’eux mais aussi d’avec ses semblables. Il se montrait si subtil, si pernicieux qu’il paraissait ne pas vouloir se contenter de couler dans les veines humaines mais se répandre beaucoup plus loin. Nous ne savions quel visage lui donner… orgueil, envie, jalousie… Et à chaque fois que nous lui en trouvions un possible, c’était comme si son concept prenait naissance en nous et nous fanait aussi un peu.

 Description de cette image, également commentée ci-après Nous comprîmes vite que toute la race de l’homme était malade et que sa maladie pouvait gagner le monde aussi rapidement que le vent se déplace. C’était une onde toxique qui embrumait le poitrail et qui faisait que rares devenaient les êtres conservant dans leur regard ne fût-ce qu’une étincelle de ce qu’ils avaient été. Alors, les hommes commencèrent de semer la mort partout où ils posaient le pied… et les guides de nos peuples comprirent qu’il n’y avait que la fuite pour toute réponse.

   C’est ainsi que le fossé entre ce qui devait devenir deux mondes différents se creusa jour après jour. Lorsque la violence et l’agression sont semées, hélas, on ne les retient pas dans le périmètre d’un champ. Leurs graines s’envolent et s’implantent en chacun. Voilà pourquoi à notre tour, nous fûmes touchés par la maladie. Nous apprîment les lois de la violence et de l’emprise sur autrui, tout d’abord en nous défendant, puis par une sorte d’imitation car il y avait une pulsion qui voyageait d’âme à âme et qu’aucun ne pouvait stopper.  (à suivre)

 

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Message de Maître Lièvre – 2

Posté par othoharmonie le 23 décembre 2012

 

Description de cette image, également commentée ci-aprèsVoici un des nombreux messages des entités directrices de l’univers animal à l’homme, recueillis par Anne & Daniel Meurois-Givaudan, auteurs du livre « Le peuple Animal « , ouvrage qui apporte un éclairage nouveau sur l’intelligence animale. Puisse ce message vous conduire à une prise de conscience et à un émerveillement total.

 Un nouvel agencement du monde se mettait en place où chacun se retranchait derrière d’invisibles mais effrayantes barrières. Ce fut le temps où l’humain commença à découvrir qu’il pouvait aimer la chair et en tirer une force insoupçonnée. Alors, son corps et son coeur entrèrent définitivement en mutation (1), préférant l’amnésie à la lucidité. Il y avait l’homme d’un côté et l’univers de l’autre, qu’il sentait hostile à force de le nourrir de sa propre agressivité.

(1)- L’appendice est un vestige de l’appareil digestif humain qui, en ces temps très lointains, recevait une nourriture exclusivement végétarienne.

Tout ceci n’est pas un conte, frères humains, et c’est un peu pour cela que demeure en vous une vieille, vieille nostalgie qui vous fait souffrir. Il y a si longtemps que vous vous êtes pris au collet que vous avez tendu et que vous êtes ligotés dans vos propres pensées… Voilà pourquoi il vous faut maintenant beaucoup de simplicité et d’humilité pour réapprendre à écouter, à voir, à parler.  

 Pourtant, sachez-le, mon peuple ne cherche pas à donner de leçon au vôtre. S’il le redoute toujours, il en connaît aussi toute la richesse et c’est en cette puissance-là, en celle qui est étouffée, qu’il veut croire malgré tout. La pureté ne disparaît jamais… elle peut juste se laisser recouvrir d’écailles. Ainsi, vous n’accomplirez pas un retour vers votre propre source sans accepter de retrouver en nous les compagnons de route d’autrefois… car nous sommes une des clés par lesquelles votre coeur s’ouvrira.

   Laissez-moi vous dire encore ceci : depuis fort longtemps, l’âme animale a compris que tout ce parcours n’est pas une erreur au sens où vous l’entendez. Une chute n’est ni totalement une erreur, ni réellement le fruit d’un oubli de quelque chose. Elle ressemble à un chemin de traverse cahotant ; elle est un méandre de l’âme qui expérimente sa liberté. Vous vous êtes brûlés mais essayons de voir ensemble au-delà de cette brûlure… En elle, en sa douleur, se cache un maître de sagesse. Et celui-là vous enseigne, nous enseigne, bon gré, mal gré ! Il parle en silence à nos âmes tandis que nous étouffons. Il parle et répète sans cesse sa leçon jusqu’à ce que nous en intégrions les joyaux, les uns après les autres, durant des temps infinis s’il le faut.

   Avec bon nombre de mes frères, je vois trop bien que si vous êtes les artisans du mal qui asphyxie ce monde, vous pouvez également en devenir les rédempteurs. A chaque fois que l’un de nous meurt sous les coups de l’homme ou est écrasé par son mépris, l’homme lui-même se retranche de la Nature et, ce faisant, se coupe en peu plus de son essence… car la race humaine, voyez-vous, est simplement un élément de cette Nature… parmi d’autres. Que diriez-vous de votre main si, sans cesse, celle-ci frappait et blessait le corps qui l’a générée ? Elle serait l’instrument d’un lent mais permanent suicide.

Message de Maître Lièvre - 2 dans LAPIN - LIEVRE 220px-Durer_Young_Hare   Si je vous dis « apprenez à nous aimer », c’est aussi une manière de vous dire « apprenez à vous aimer ». De vous à nous, de nous à la Création et de la Création à vous il n’y a qu’un pas que le coeur franchit allègrement.

   Vous vouliez prouver ou vous prouver que vous êtes les maîtres de ce monde. Voilà qui est fait d’une certaine manière. La liberté vous en a été donnée durant des millions d’années. Mais de quelle maîtrise s’agit-il ? A chaque fois que votre doigt presse une détente ou qu’un scalpel nous dépèce dans un laboratoire, ce n’est pas de maîtrise dont il est question mais d’esclavage, car si la soif de pouvoir est à ce point inextinguible en vous, elle ressemble bien à ce boulet que vous tirez.

   Sans doute êtes-vous surpris que l’âme d’un lièvre, au fond de son terrier, puisse ainsi s’exprimer. Sans doute placera-t-on la réalité de mes paroles au rang des fantaisies. En effet, comment un animal pourrait-il à ce point connaître l’univers et le coeur des humains ? Par le seul fait que la Vie n’a pas tout dit à travers votre peuple… et par le fait également que l’Amour fait fleurir une intelligence dont vous n’avez pas idée. Cette intelligence ne nous rendra jamais homme, certes. Elle fait mieux que cela. Elle transforme notre souffle et lui apprend à être tout simplement… humain. »

 

  (Vous pouvez commander ce livre à BDV-DIFFUSION)

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Mythes et Légendes du Lapin

Posté par othoharmonie le 23 décembre 2012

 

Le lapin, omniprésent à l’état sauvage puis domestique, est de facto un animal qui « hante toutes nos mythologies, nos croyances, nos folklores », sans que l’on puisse savoir de quelle espèce il est question, et encore moins si l’on parle de lapin domestique ou sauvage. Il est même confondu avec le lièvre, en raison de mœurs et de morphologie similaires entre ces deux espèces.

Mythes et Légendes du Lapin dans LAPIN - LIEVRE 250px-tsukibunny-238x300Le lapin peut faire partie des douze animaux du zodiaque chinois, en remplacement du lièvre ou du chat. Il est étroitement lié à la lune, en partie « parce qu’il dort le jour et gambade la nuit » et diverses légendes le relient à cet astre, en particulier chez les Aztèques et les Japonais. C’est aussi un symbole de fertilité, comme le prouve le lapin de Pâques qui apporte les œufs dans les pays germaniques et anglo-saxons. Selon Hélène Renard dans son Dictionnaire des rêves, la symbolique du lapin est clairement associée à la fécondité et les rêves de lapins sont très souvent présents chez les femmes issues d’une famille nombreuse ou ayant eu de nombreux enfants (plus de six).

 Superstitions

Le lapin est l’objet de nombreuses superstitions. Si les pattes de lapin sont censées porter chance, ces lagomorphes sont considérés comme attirant la poisse dans la mythologie maritime, il s’agit là du tabou le plus connu chez les marins. De ce fait, les lapins sont bannis physiquement de tout bateau, mais aussi mentalement, le mot « lapin » ne devant pas être prononcé (il est habituellement remplacé par l’expression « la bête aux grandes oreilles »). Une explication serait issue du temps de la marine à voile, où les animaux (vraisemblablement des lapins domestiques) étaient embarqués vivants : le lapin aurait causé de nombreux naufrages en rongeant les cordages ou la coque des bateaux. Une autre évoque la symbolique sexuelle du lapin.

 La consommation du lapin est soumise à des traditions et tabous culinaires. Certaines religions l’interdisent comme la religion juive.

L’ironie de la superstition concernant la patte de lapin n’a pas échappé à certains. « La patte de lapin, ça porte bonheur, mais pas au lapin. » a dit Louis Aragon dans La Diane Française. Dans les années 1950 aux États-Unis, une publicité de sécurité routière rappelait cette vérité aux conducteurs supposés porter ce type de talisman sur eux ou dans la voiture.

 La variété de laîcheCarex ovalis est parfois appelée laîche patte de lièvre, mais elle est plus connue sous le nom « laîche des lièvres ».

L’île Patte de Lièvre se situe dans l’estuaire maritime du Saint-Laurent

Rabbit’s foot (patte de lapin en anglais) est le nom de code d’une substance dangereuse dans le film Mission: Impossible III

 La patte de lièvre peut aussi désigner une partie d’aiguillage.

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