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Rêver de Lapin

Posté par othoharmonie le 1 décembre 2012


Rêver de Lapin dans LAPIN - LIEVRE lapinDans une première approche, le lapin peut symboliser l’objet du désir et une pulsion sexuelle importante dirigée vers cet objet, mais qui effraye. Elle peut induire ainsi des comportements enfantins. Dans ce cas, la sexualité reste détournée, elle est travestie dans une apparence « mignonne ». Elle s’exprime sous forme d’un langage infantile, fait de surnoms à base que lapin. Cette pulsion immature viendra se concrétiser en rêve par des images de lapins craintifs qui batifolent dans les champs.

 Le lapin est un « gibier » pour le « chasseur » armé de son fusil (phallus).

 Une autre approche de ce symbole est possible par ses apparitions fugaces. Le lapin vient de l’ombre, son terrier, pour jaillir à la lumière avant de disparaître de nouveau. Il se réfugie sous terre à la moindre alerte, très rapidement. Il symbolise à ce titre, les souvenirs lointains et informels liés à l’enfance, ceux qui remontent craintivement à la surface. C’est un passage timide de l’inconscient vers le conscient.

 Le lapin nous invite à le suivre dans ces recoins obscurs à l’instar du lapin de « Alice au pays des merveilles ». C’est une ouverture vers cet imaginaire enfantin, vers ces souvenirs enfouis, cers le monde inconscient et ses merveilles.

 

Sexualité infantile, monde de l’enfance, souvenirs oubliés qui remontent à la conscience.

 

Le site de Tristan-Frédéric Moir : http://tristan.moir.free.fr/Nouveausite/index.html

Psychanalyste – Psychothérapeute – Onirologue – Analyse et interprétation de rêves

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La Constellation du Lièvre

Posté par othoharmonie le 1 décembre 2012

Image illustrative de l'article Lièvre (constellation)

LE LIEVRE  (Nom latin : Lepus)

            Proie du chasseur Orion, le Lièvre est aussi poursuivi par le Grand Chien et le Petit Chien. Les Arabes y voyaient quatre chameaux, les Égyptiens la Barque d’Osiris.

Les principales étoiles :
a : Arneb, « le lapin » en arabe.
b : Nihal, « les chameaux qui boivent » en arabe.

Le Lièvre est une constellation ancienne. Les astronomes égyptiens la considéraient comme la Barque d’Osiris (la proximité de l’Éridan, représentant le Nil, aidant). Nommée pour la première fois Lièvre par Eudoxe de Cnide au IVe siècle av. J.‑C., elle fut l’une des constellations répertoriées par Ptolémée dans son Almageste. Il est possible qu’elle représente un lièvre chassé par Orion.

Observation des étoiles

Le Lièvre se situe immédiatement au Sud de la constellation d’Orion, le grand chasseur, et à l’Est de Sirius, le grand chien. Sa localisation est donc très facile. Il ne doit sa survie dans un tel entourage qu’à sa relative discrétion, ses étoiles étant relativement plus faibles (mag 3) que celles de ses glorieux voisins.

Ses deux étoiles les plus brillantes sont situées dans l’axe de Sirius et β CMa, qui forme sa patte avant, à ~10° plus à l’Ouest. β Lep est au Sud, et α Lep au nord ; ces deux étoiles pointent à leur tour vers κ Ori (Saiph), ~10° plus au Nord.

La constellation n’a pas de forme très convaincante.

Côté Ouest, la tête du Lièvre est formée par ε Lep (5° OSO de β Lep), qui marque le bout du nez, μ Lep (5° ONO de α Lep), qui marque la base des oreilles, dont l’extrémité se devine par beau temps avec la paire λ Lep (côté Est) et κ Lep (Ouest), situées à mi-chemin de Rigel.

Côté Est, le corps du Lièvre dessine une forme ovoïde, avec (dans le sens des aiguilles d’une montre) α et β Lep, au Sud γ et δ, pointant vers θ sur l’arc Nord qui se referme par η et ζ Lep.

Le Lièvre est entouré de Orion au nord, et du Grand Chien à l’Ouest, qui permettent de le repérer facilement.

Quand la visibilité est bonne, la tête du Lièvre permet de repérer le grand méandre Est de Éridan. L’alignement Nord de la tête formé par α et μ Lep se prolonge par l’alignement de ι (après ~10°) et γ (encore ~10°) de Éridan. L’alignement formé par α et le bout du nez μ Lep pointe au SO après ~10° vers la paire ν1 et ν2 Eri, et 5° plus loin vers ν3 et ν4 Eri.

Côté Sud, la Colombe est marquée par la première paire d’étoiles brillantes, à ~12° plein Sud de la tête du Lièvre.

Étoiles principales

Arneb (α Leporis)

Arneb (α Leporis) est une supergéante rouge de magnitude apparente 2,58. Distante d’environ 1 300 années-lumière (encore qu’à cette distance, la mesure est très imprécise, l’étoile pourrait être 300 années-lumière plus près ou plus loin), elle est donc très brillante (magnitude absolue -5,40). 60 fois plus large que le Soleil, 10 000 fois plus lumineuse, 15 fois plus massive, son diamètre couvre 0,5 ua.

Nihal (β Leporis]

Nihal (β Leporis), la deuxième étoile de la constellation, est une géante jaune de magnitude 2,81. C’est une étoile double, son compagnon étant lui-même vraisemblablement une étoile binaire à éclipses.

Autres étoiles

La Constellation du Lièvre dans LAPIN - LIEVRE 220px-Milky_Way_Galaxy_center_ChandraDeux autres étoiles sont encore suffisamment brillantes pour être facilement repérées à l’œil nu : ε Lep (magnitude 3,19) et μ Lep (magnitude 3,29).

γ Leporis est une étoile triple assez proche du système solaire (29 années-lumière), dont la première composante est de magnitude 3,59, et la deuxième de magnitude 6,40. La troisième composante est de 11e magnitude.

17 Leporis est une étoile double qui fait partie des étoiles dites symbiotiques. L’une des composantes est une géante bleue, l’autre une supergéante rouge 75 fois plus large que le Soleil. Comme l’ensemble possède une période de révolution de 226 jours, elles sont suffisamment proches l’une de l’autre pour des échanges de matière s’effectuent entre les deux.

R Leporis est une étoile variable de type Mira (ο Ceti). Sa magnitude évolue entre 5,50 et 11,70 sur une période de 427,07 jours. D’un rouge profond, l’un des astres les plus rouges du ciel, elle a été nommée l’Étoile cramoisie (The Crimson Star) par l’astronome anglais John Russell Hind en 1845.

Le Lièvre renferme aussi Gliese 229 B, la première naine brune à avoir été détectée avec certitude. D’une magnitude apparente de 8,15, elle est distante de 19 années-lumière.

Article détaillé : Liste d’étoiles du Lièvre.

 

 

 

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Le mythe du Lapin de Pâques

Posté par othoharmonie le 1 décembre 2012

 

Le mythe du Lapin de Pâques dans LAPIN - LIEVRE 220px-EasterbunnypaLe lapin de Pâques est un personnage imaginaire qui, selon la tradition, distribue, la veille du matin de Pâques, des œufs colorés et des œufs en chocolat. Il s’agit d’un lapin, Easter Bunny en anglais ou un lièvre, Osterhase en allemand.

Le lapin de Pâques n’a pas de caractéristiques clairement définies. Parfois blanc, parfois brun et parfois bleu, parfois vert quand il est méchant, il diffère selon l’imaginaire. C’est aussi le cas dans les films d’animation. Il est généralement parlant, intelligent et possède la capacité de se tenir debout.

Le lapin symbolisant autrefois la fertilité et le renouveau (comme le printemps), c’est dans les pays germaniques que naquit la tradition (Osterhase), avant d’être exporté aux États-Unis par des immigrants allemands au XVIIIe siècle. Cela viendrait d’une légende allemande dans laquelle une femme pauvre, ne pouvant offrir de chocolat à ses enfants, décora des oeufs qu’elle cacha dans le jardin. Les enfants, apercevant un lapin, crurent que celui-ci avait pondu les oeufs. Depuis lors, les enfants fabriquèrent un nid qu’ils mettaient dans le jardin en espérant que le lapin de Pâques le remplirait d’œufs durant la nuit.

Selon The Catholic Encyclopedia (1913, tome V, page 227), de nombreuses coutumes païennes se rattachèrent à la fête de Pâques. L’œuf est le symbole de germination qui se produit au printemps, et le lapin est un symbole païen qui a toujours représenté la fécondité.

Une autre origine du lapin de pâque vient des Saxons où on honorait au printemps la déesse Eastre, qui a d’ailleurs donné son nom à Easter (Pâques en anglais). Le lièvre étant l’animal emblématique de la déesse, il est resté associé aux fêtes de Pâques. De manière similaire, dans les traditions celtiques et scandinaves, le lièvre était le symbole de la déesse mère.

La traduction exacte de Osterhase est lièvre de Pâques, et non pas lapin de Pâques.

Le lapin de Pâques est parfois remplacé par d’autres messagers :

Dans certaines régions de France les œufs sont apportés par les cloches de Pâques de retour de Rome après la Semaine sainte.

En Australie, pour sauver le bilby et lutter contre la prolifération des lapins, les Australiens tentent de changer depuis quelques années la légende : le lapin de Pâques est désormais remplacé par le bilby de Pâques pour sensibiliser les enfants et dégager des fonds destinés à la protection de ces petits marsupiaux en danger d’extinction.

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La patte de Lapin

Posté par othoharmonie le 1 décembre 2012

 

La patte de Lapin dans LAPIN - LIEVRE 4608701308_275eb458c5La patte de lapin ou de lièvre, partie non consommée qui sèche et se conserve facilement, a été employée comme instrument (brosse ou houpette) ou comme talisman par diverses cultures. Excellents reproducteurs, crépusculaires ou nocturnes et, dans le cas du lapin, lié au monde souterrain, lapin et lièvre sont un peu partout liés à la fertilité (lapin de Pâques) ou à la sorcellerie. Dans les traditions professionnelles et magiques, les pattes arrières sont parfois préférées pour leur plus grande taille (brosse), ou leur force supérieure à celle des pattes avant (magie). Néanmoins, ce n’est pas le cas des pattes de lapin vendues comme porte-bonheur ou accessoire, qui sont choisies pour leur aspect esthétique et parfois teintes. Depuis les années 1980, il existe des imitations en fourrure synthétique et os de latex.

Le lapin ou le lièvre ne sont pas les seuls animaux dont on cherche à s’approprier les vertus en même temps que leurs pattes. En France, les pattes d’ours et de blaireau européen (Pyrénées), ou de taupe (Flandre), ont également eu valeur de porte-bonheur. En cas de problèmes dentaires, on conseillait de mettre une patte de taupe au cou des jeunes enfants et, pour les adultes, une patte de lapin sur le bras gauche.

Certains estiment que pour être un vrai talisman, la patte doit provenir d’un lapin ou d’un lièvre tué ou capturé dans des conditions spéciales : un vendredi (de préférence un Vendredi Saint ou un vendredi 13), de nuit, par une personne atteinte de strabisme, à l’aide d’une balle d’argent comme un loup-garou etc.

Aux États-Unis, la patte de lapin fut d’abord liée à la culture des Noirs du sud, où elle aurait été utilisée dans le hoodoo, tradition locale inspirée du vaudou. Elle semble y avoir la même valeur qu’on prête aux ossements humains dans cette croyance ; certains prétendent que le lapin doit être capturé ou tué dans un cimetière. La percée du blues dans les années 1920 a popularisé le hoodoo et la patte de lapin, et les éleveurs en ont profité pour écouler massivement sous forme de porte-clés / porte-bonheur les résidus d’abattage. Une chanson de Blind Lemon Jefferson s’intitule Rabbit Foot Blues. Le lapin est aussi un personnage de la littérature orale (puis écrite) du sud noir, appelé Br’er (brother) Rabbit en anglais et Compair (compère) Lapin en créole français ; il s’agit probablement d’un avatar du lièvre astucieux des contes d’Afrique de l’Ouest (où il est équivalent au Renard rusé et facétieux des contes pour enfants occidentaux).

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Le lapin en général

Posté par othoharmonie le 1 décembre 2012

 

lapin grisâtre entrant dans un terrier sous terreLe mot lapin est un terme très général qui désigne plus d’une vingtaine d’espèces de mammifères à grandes oreilles de la famille des léporidés, réparties dans neuf genres biologiques. À lui seul le lapin de garenne européen  est à l’origine des multiples races de lapins domestiques élevées à présent dans le monde entier. Les lapins ont en commun une silhouette moins élancée que celle des lièvres et, contrairement à ces derniers, ils naissent aveugles et nus, cachés dans un nid avant de pouvoir sortir à l’air libre.

Les animaux désignés par ce terme sont très présents dans la culture. Le mot « lapin » est utilisé aussi bien comme patronyme que comme marque commerciale. De nombreux personnages fictifs célèbres sont également des lapins et l’« animal aux longues oreilles » est présent dans l’art et la littérature tout autant que dans la culture populaire, la mythologie et la symbolique de plusieurs continents.

La dénomination qui peut désigner ces animaux change selon les cas :

  • Le terme lapin est le terme générique le plus utilisé. Son étymologie est incertaine. Il pourrait venir de « lapereau » et dériver d’une interférence entre le terme « laper » (manger avec avidité) et de « lapereau » (petit lièvre), ce dernier provenant de « lapriel » (du latin : leporellus, levreau).
  • Avec un ou deux N, le terme con(n)in ou con(n)il, au féminin con(n)ille, désigne le lapin dans les textes anciens, il dérive du latin cuniculus, mot d’origine ibérique. On retrouve cette racine ancienne dans le castillan conejo, le catalan conill, l’italien coniglio, le breton konifl, l’alsacien Kénjele, le néerlandais konijn ou l’allemand Kaninchen. Ce terme a été remplacé en français, probablement au XIVe siècle, par celui de « lapin ».
  • la « lapine » (/lapin/) est la femelle du lapin domestique,
  • la « hase » est la femelle du lapin de garenne, comme celle du lièvre,
  • Le « bouquin » ou « bouquet » désigne le mâle lapin comme le lièvre (rare),
  • « Lapiner » veut dire mettre bas,
  • Le « lapereau » est leur petit,
  • Une « lapinière » est un élevage de lapins,
  • Un « clapier » est une cabane à lapins

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Lapin de Garenne

Posté par othoharmonie le 1 décembre 2012

 

Description de cette image, également commentée ci-aprèsLe lapin de garenne ou lapin commun  est la seule espèce du genre Oryctolagus, c’est un mammifère lagomorphe de la famille des léporidés. Les populations sauvages sont communes en Europe et l’espèce a été introduite en Australie en 1874. Jusqu’au Moyen Âge, ce lapin est souvent élevé en semi-liberté, dans de vastes espaces clos appelés des garennes, ce qui lui vaut son nom vernaculaire. Sous sa forme domestiquée l’espèce est commune un peu partout dans le monde, élevée dans des clapiers. Le lapin de garenne est l’espèce souche de tous les lapins domestiques, avec de nombreuses races et variétés obtenues par sélection, y compris des lapins nains.

Autres noms vernaculaires : Lapin des bois, Lapin ordinaire, Lapin sauvage, Lapin vulgaire ou encore Lapin européen.

Le lapin commun, autrefois classé dans l’ordre des rongeurs, appartient à l’ordre des lagomorphes, qui diffère du premier par la présence de deux paires d’incisives à la mâchoire supérieure (l’une derrière l’autre) contre une seule pour les rongeurs, mais aussi par une mastication latérale et non pas d’avant en arrière et par un nombre de doigts différent aux membres. Il s’agit de l’unique léporidé du genre Oryctolagus, qu’il ne faut pas confondre avec d’autres lapins de la famille des léporidés, appartenant à d’autres genres comme par exemple le lapin d’Amérique. Le lapin commun ne peut donc s’hybrider avec aucune autre espèce de lapin.

Sous-espèces parfois reconnues du lapin de garenne :

  • ITIS
    • Oryctolagus cuniculus cuniculus (Linnaeus, 1758), l’ancêtre du lapin domestique.
    • Oryctolagus cuniculus huxleyi Haeckel, 1874
  • NCBI (à titre indicatif)
    • Oryctolagus cuniculus algirus, dont la présence est limitée à la Galice, au Portugal, et à la moitié sud-ouest de la péninsule Ibérique. De taille un peu plus petite que O.c.cuniculus.

Le lapin domestique est aussi parfois donné comme une sous-espèce à part entière : Oryctolagus cuniculus domesticuS.

Le nom de genre Oryctolagus trouve son origine dans le grec oruktês signifiant « fouisseur » et lagôs désignant un lièvre. Le mot cuniculus correspond lui au nom latin du lapin, dérivé de l’Ibère et transcrit pour la première fois en « ko(n)niklos » par l’historien gréco-romain Polybe. En ancien français, l’animal s’appelait connil (du latin cuniculus ; cf. le castillan conejo, l’italien coniglio ou le néerlandais konijn). Le mot connil/connin ressemblant trop à celui de con (avec tous ses sens…), il fut supplanté au XVe siècle par « lapin » (on trouve ce mot dans les Chroniques de Charlemagne, 1458), dont l’étymologie controversée est très vraisemblablement une interférence de laper (manger avec avidité) et de lapereau (petit lièvre), ce dernier provenant de lapriel (du latin : leporellus, lapereau).

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