Message du peuple Chevaux 2
Posté par othoharmonie le 26 octobre 2012
Ci-dessous des témoignages émouvants vécus par Laïla, démontrant combien les chevaux sont sensibles et que leur cœur donne sans concession.
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Miles, un cheval bai, avait contracté la maladie de Lyme due aux tiques. Il habitait dans la banlieue new-yorkaise avec Arletta, grand et beau de tempérament fougueux et rebelle en faisait voir de toutes les couleurs à Arletta. Mais elle l’aimait « à en mourir ». Durant cette période, la flamme dans ses yeux s’était éteinte, il était léthargique et visiblement, il souffrait. Arletta l’avait mis au repos.
Je rentrai d’abord dans son corps pour savoir ce qu’il sentait. Je ressentis ses contractures dans tous les membres, particulièrement aux jambes postérieures et au bas du dos.
« Je suis fatigué, tellement las, comme si mon sang était composé d’eau, je n’ai plus envie de faire quoi que ce soit. De plus je me sens fébrile. Vraiment je ne me sens pas bien. Le moindre frôlement sur ma peau m’irrite. La chaleur, les voix fortes, tout m’insupporte. ». Je ressortis du corps du pauvre Miles.
Je préfère connaître l’état des animaux avant de travailler sur eux, quand je sais exactement ce qu’ils ressentent, mon cœur s’ouvre et ainsi je suis un bien meilleur canal pour le soin. Souvent les soins se font à distance, juste avec une photo, le nom et l’âge de l’animal. Lorsque je suis à l’intérieur d’eux, je sens le manque de confort sous forme animale, je ne suis plus moi à ce moment-là, comme pour Miles, je suis lui tout en gardant ma conscience de petite Laïla. C’est tout. Je n’ai pas besoin de prendre leurs maux sur moi ou en moi car cela reste leurs douleurs.
Quand je ressors, je rends tout au « Great Spirit », le Créateur, ainsi je me retrouve limpide et pure.
Après plusieurs séances avec Miles, les tests de sang indiquèrent qu’il n’y avait plus rien, Arletta était enchantée, mais je sentais qu’il avait encore des douleurs aux jambes. Peut-être était-ce des séquelles ? C’est seulement quand je vis qu’il n’avait plus de douleurs physiques que je m’arrêtai de travailler sur lui. Je demandai à Arletta de lui accorder du repos. Tous les jours elle allait le visiter et lui amenait des friandises. L’amour et l’attention, sont ce qui compte le plus dans une guérison. Si l’animal garde l’envie de vivre, il y a toujours de l’espoir. (à suivre..)
Extraits du livre de Laïla del Monte « Communiquer avec les animaux« , paru aux Éditions Véga.
http://www.chezkat.com/laila-parle-aux-chevaux.php Laïla del Monte – Communicatrice animal – Californie – USA – Tél : 001 818-758-9697 – Site web : www.lailadelmonte.com– email : Laila del Monte
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