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Domestication du Cheval

Posté par othoharmonie le 8 septembre 2012

Domestication du Cheval dans CHEVAL 220px-Pegasus_Walter_CraneL’alliance de l’homme et du cheval, animal qui a « sans doutes » le plus marqué l’histoire et les progrès de l’humanité, dure plusieurs millénaires durant lesquels le cheval devient l’auxiliaire favori de l’homme pour le transport, la guerre et le travail. La première rencontre entre l’homme et le cheval remonte peut-être à un million d’années, voire davantage, mais ces rapports demeurent ceux du prédateur et de la proie jusqu’à la domestication.

Cette « exceptionnelle » association contribue significativement à l’évolution de la société, et se transforme radicalement au cours du XXe siècle dans la plupart des pays développés.

Domestication

Les scientifiques ne s’accordent pas quant à la date de la domestication du cheval. La plus ancienne preuve remonte à 5 500 ans, dans l’actuel Kazakhstan, au sein de la culture Botaï où des traces d’attelage et de collecte de lait de jument ont été retrouvées, mais le linguiste Winfred P. Lehmann soutient que le cheval est probablement domestiqué depuis le VIIIe millénaire av. J.-C., près de la mer Noire. D’autres théories évoquent le sud de la Russie, la Roumanie, ou l’Ukraine vers le IVe millénaire av. J.-C. pour l’hypothèse kourgane. Une preuve irréfutable de domestication est l’utilisation de chariots funéraires dans la culture d’Andronovo, vers le IIe millénaire av. J.-C..

320px-I_feel_pretty._Oh_so_pretty. dans CHEVALLa domestication est aussi étudiée sur la base de la comparaison entre le matériel génétique des chevaux actuels et celui des os et des dents de chevaux trouvés au cours de fouilles archéologiques et paléontologiques. Les variations constatées au niveau du matériel génétique semblent montrer qu’un nombre très réduit d’étalons sauvages, et par contre un nombre élevé de juments sauvages, seraient à l’origine du cheval domestique. En effet, il y a très peu de variabilité génétique au niveau du chromosome Y, transmis de mâle en mâle (lignée paternelle), alors que la variabilité de l’ADN mitochondrial, transmis par les mères (lignée maternelle) aux petits de tous les sexes, est très importante.

Il existe aussi des variations régionales dans l’ADN mitochondrial, dues à l’inclusion a posteriori de juments sauvages parmi des hardes déjà domestiquées. Une autre conséquence de la domestication est une augmentation de la variabilité des robes, chez le cheval, cette variabilité augmente énormément entre 5000 et 3000 ans avant notre ère.

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Cheval tout court

Posté par othoharmonie le 8 septembre 2012

Cheval tout court dans CHEVAL 348px-Brockhaus_and_Efron_Encyclopedic_Dictionary_b35_045-0Le cheval est un mammifère de la famille des solipèdes, ainsi appelés parce que leurs pattes n’ont qu’un seul doigt, terminé par un sabot. Il se nourrit d’AVOINE et de fourrage Universellement répandu à la surface de la TERRE, il a été domestiqué par l’homme depuis les temps les plus reculés, servant aussi bien de monture que de bête de somme ou de trait. Docile, le cheval est très travailleur, d’où l’expression : « Travailler comme un cheval ».

Quelque 12 siècles avant Jésus-Christ, les Grecs assiègent depuis 10 ANS la ville de Troie, en Asie Mineure, et ils désespèrent de jamais la prendre. Un de leurs chefs, Ulysse, a une idée : il fait construire un immense cheval de bois à l’intérieur duquel il fait enfermer quelques guerriers. Puis il donne l’ordre aux Grecs de se retirer, en abandonnant le cheval sur le rivage. Les Troyens, intrigués, introduisent l’ANIMAL dans leurs murs. La NUIT venue, lorsque tout dort, un complice des Grecs, Sinon, libère les soldats qui ouvrent aussitôt les portes de la ville à leurs compatriotes revenus entre-temps. La surprise est complète : Troie tombe aux mains des Grecs. La ruse d’Ulysse a réussi.

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Activités liées au Cheval

Posté par othoharmonie le 8 septembre 2012

Article détaillé : Métiers équestres.

Activités liées au Cheval dans CHEVAL 220px-Trakhener_-_Dressur_Zweites_2de nombreux métiers existent autour du cheval. Les cavaliers professionnels dans les haras, les Maréchaux ferrants(qui s’occupent de la ferrure et des sabots des chevaux) ou les accompagnateurs de tourisme équestre (ATE) qui organisent les randonnées. Certains métiers sont spécialisés dans les soins apportés aux chevaux. Il faut ajouter les métiers annexes comme la confection et la vente d’outils et d’instruments spécialisés : les selliers-bourreliers confectionnent les selles et les brides. On ajoute aussi les jockeys et drivers, les moniteurs, les éleveurs, les agents des haras nationaux, les cavaliers de spectacle, les gardes républicain, les grooms (palefrenier ou soigneur), les entraîneurs, les marchands de chevaux, les vendeurs en écurie, les loueurs d’équidés, les auxiliaires de santé, et la filière de la boucherie.

Les deux principales utilisations historiques du cheval sont celle de monture pour un cavalier, et celle d’animal de traction. Ces deux objectifs donnent lieu à une classification entre le cheval de selle et le cheval de trait.

Les métiers équestres sont l’ensemble des activités professionnelles liées aux équidés, c’est-à-dire au cheval, au poney, ânes et aux mulets, que ce soit pour dans les activités sportives, d’élevage, de loisir ou pour les soins. Chacun d’eux nécessite aujourd’hui une formation bien spécifique et certains ont une longue histoire datée des premières formations de cavaleries durant l’antiquité.

Les haras sont des centres d’élevage équin dont une grande partie sont nationalisés. Par le passé, ils servaient à produire des chevaux pour la guerre. Aujourd’hui, la plupart d’entre eux se sont réorientés vers la sauvegarde des races locale et la production de chevaux de sport. En France, les Officier des Haras sont recrutés sur concours.

Métiers de la sécurité et de l’environnement :

                         Bandeau portail équestre.png

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Elevage et commerce de Chevaux

Posté par othoharmonie le 8 septembre 2012

Article détaillé : élevage équin.

L’élevage de chevaux emploie environ 47 000 professionnels en France, dont 11 000 élèvent des chevaux de trait et n’ont souvent que deux ou trois juments.

Elevage et commerce de Chevaux dans CHEVAL 220px-Arabian_Horse_%28Stallion%29Il existe trois filières pour le commerce des chevaux. La première est liée au monde des courses. Les chevaux naissent dans des haras spécialisés dans la sélection. Ils peuvent être mis en vente aux enchères, vendus et placés par leur propriétaire dans des haras qui se chargeront de les entraîner et de les faire courir. Après leur carrière, ils sont destinés ou non à la reproduction en fonction des résultats. Au milieu des années 2000, la valeur en France d’un foal destiné au galop de niveau moyen était de 25 000 € et 30 000 € en moyenne, mais entre 10 000 € et 20 000 € pour un trotteur. Les gains générés par les victoires aux courses peuvent être substantiels. Par exemple, le cheval appelé « Lawman » vendu yearling à un prix de 75 000 € en 2005 a rapporté 1 858 000 € à son propriétaire en 2007. Certains investisseurs créent des sociétés pour les acquérir et louent des places dans les haras pour les entraîner et les faire courir. Les meilleurs chevaux de plat se négocient à plusieurs millions d’euros.

Un cheval sans pedigree peut valoir moins de 1 000 € pour ces deux filières, parfois même des chevaux jugés mauvais sont vendus aux prix de la masse de viande (150 à 500 €) ; mais un cheval sans pedigree peut aussi être vendu à un prix aussi élevé qu’un cheval de grande filiation si on a détecté en lui de très grandes capacités.

La troisième filière concerne les animaux destinés au loisir, au tourisme ou aux travaux. Elle est plus traditionnelle et moins formalisée. Pour les mâles aux résultats sportifs remarquables, la semence pour l’insémination artificielle est une source de revenus non négligeable. Les chevaux des trois filières peuvent terminer leur vie aux abattoirs et être donc cédés à moins de 800 € en 2007. La vente pour cette fin est, selon certaines sources, essentielle à la pérennisation de l’activité des petits éleveurs et donc du maintien de la diversité.

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Soins aux Chevaux

Posté par othoharmonie le 8 septembre 2012

La valeur économique et affective des chevaux expliquent la diversité des soins qui leur sont prodigués, et les sommes que certains propriétaires peuvent dépenser pour leur cheval. Les palefreniers et les maréchaux-ferrants s’occupent de l’alimentation et des soins aux chevaux. Ces soins sont à pratiquer au quotidien (comme le pansage), ou en fonction des conditions climatiques, comme la tonte ou la douche. Les pieds doivent aussi faire l’objet d’un soin tout particulier. Ces derniers sont en effet graissés, parés et ferrés, si le travail quotidien de l’animal le nécessite. Lors de concours ou de compétitions, il peut aussi être amené à recevoir un toilettage particulier qui peut être complété par des nattes, voire, dans certains cas de rubans. Enfin l’entretien des boxes et des pâtures participe au bien-être des chevaux et à leur santé.

 Soins aux Chevaux dans CHEVAL 220px-Radio_ant_profil_01En 2004, 262 vétérinaires sont spécialistes équins en France. Il existe également une recherche dans le domaine de la génétique équine. D’autres professions concourent aux soins médicaux. Les dentistes équins ont pour activité principale le limage des dents car celles du cheval poussent tout au long de sa vie. Les ostéopathes équins pratiquent une thérapie manuelle en appliquant les mêmes principes que l’ostéopathie pour l’homme. Les maréchaux-ferrants orthopédistes soignent certaines pathologies du pied en mettant des ferrures orthopédiques. Les palefreniers-soigneurs s’occupent des soins légers.

 Il existe plusieurs techniques de relaxation telles que l’aromathérapie et la massothérapie. L’aromathérapie consiste à traiter un cheval à base d’huiles essentielles. L’aromathérapie est la base de la massothérapie. Dans cette dernière, on utilise souvent les huiles essentielles pour effectuer les massages. Dans le soin des blessures des jambes, l’hydrothérapie peut être utilisée, soit par massage par jet d’eau ou en faisant nager le cheval.

 

Articles détaillés : Soins des équidés, Médecine équine et Maréchalerie.

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Le Cheval au travail

Posté par othoharmonie le 8 septembre 2012

Fichier:Labour à cheval.jpgLe cheval est historiquement un animal de travail permettant le transport de passagers et la traction de matériel agricole. Au cours du XXe siècle, il est délaissé suite à la motorisation. Il disparait du paysage des villes face à la montée de l’automobile. Paris hébergeait plus de 50 000 chevaux au début du XXe siècle dont environ 10 000 dédiés au transport public. De nos jours, cette ville reste une des grandes capitales européennes où la circulation à cheval est interdite sauf par dérogation. Certaines races de cheval de trait ont failli disparaître avec la fin du halage et la mécanisation de l’agriculture.

 Certaines utilisations traditionnelles du cheval ont toujours continué par tradition plus que pour des raisons économiques comme la surveillance de troupeaux en Camargue. En France, après avoir été délaissé en tant qu’outil de travail, le cheval est de nouveau employé dans de nombreuses tâches dans le cadre d’une société qui se veut davantage sensible à l’écologie. Le cheval passe à des endroits difficilement accessibles au tracteur et n’endommage pas le sol. Le débardage est en développement grâce à un bon rapport rendement/coût dans certaines configurations de terrain. Exemple de lieux de débardage en France : bois de Vincennes (Paris), parc de La Courneuve (La Courneuve, Seine-Saint-Denis), parc de Saint-Cloud (Saint-Cloud, Hauts-de-Seine), etc. Longtemps associé à une image de sous-développement, le labour du sol par traction équine reprend de l’ampleur en particulier en viticulture. Cette pratique est tout particulièrement respectueuse des terroirs en limitant les tassements de sol dus au poids des engins agricoles motorisés, elle s’inscrit donc idéalement dans une démarche de développement durable.

 Le cheval est utilisé par des unités de recherche et de sauvetage aux victimes au Canada. Le ramassage des ordures avec un cheval de trait est une utilisation anecdotique, mais réelle comme à Trouville (Calvados, France).

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Abeilles en danger

Posté par othoharmonie le 8 septembre 2012

Pour la première fois, une équipe de recherche française multipartenariale a mis en évidence le rôle d’un insecticide dans le déclin des abeilles, non pas par toxicité directe mais en perturbant leur orientation et leur capacité à retrouver la ruche. Pour réaliser leur étude, les chercheurs ont collé des micropuces RFID sur plus de 650 abeilles. Ils ont ainsi pu constater l’importance du non-retour à leur ruche des butineuses préalablement nourries en laboratoire avec une solution sucrée contenant de très faibles doses d’un insecticide de la famille des « néonicotinoïdes  », le thiaméthoxam, utilisé pour la protection des cultures contre certains ravageurs, notamment par enrobage des semences. Une simulation basée sur ces résultats laisse penser que l’impact de l’insecticide sur les colonies pourrait être significatif. 

Ces résultats sont publiés dans la revue Science le 29 mars 2012.

Les questions sans réponse aujourd’hui sur le déclin des populations de pollinisateurs, qui touche les abeilles domestiques comme leurs homologues sauvages (bourdons, osmies, etc.), ont conduit tous les acteurs concernés à unir leurs forces. Ainsi, chercheurs (INRA, CNRS), et ingénieurs des filières agricoles et apicoles (ACTA, ITSAP-Institut de l’abeille, ADAPI) ont, dans le cadre d’un partenariat pluridisciplinaire (voir encadré) sur l’évaluation du déclin des abeilles, étudié le rapport entre l’ingestion d’un insecticide de la famille des néonicotinoïdes et la mortalité des butineuses. Leurs travaux montrent que l’exposition à une dose faible et bien inférieure à la dose létale de cette molécule entraîne une disparition des abeilles deux à trois fois supérieure à la normale.

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Micropuce RFID collée sur le thorax d’une abeille

Pour réaliser leur étude, les scientifiques ont utilisé une méthodologie innovante : des micropuces RFID ont été collées sur le thorax de plus de 650 abeilles, ce qui a permis de contrôler individuellement leur entrée ou leur sortie de la ruche grâce à une série de capteurs électroniques. La moitié des individus a été nourrie avec une solution sucrée contenant une dose très faible d’insecticide, comparable à celle que les abeilles peuvent rencontrer dans leur activité quotidienne de butinage de nectar sur une culture traitée.

L’autre moitié, le groupe témoin, a reçu une solution sucrée sans insecticide. L’ensemble des 650 butineuses a ensuite été relâché à 1 kilomètre de leur ruche, une distance habituelle de butinage chez les abeilles domestiques. En comparant les proportions de retours à la ruche des deux groupes d’abeilles, les chercheurs ont évalué le taux de disparition imputable à l’ingestion du produit testé. L’équipe a mis en évidence un taux significatif de non-retour à la ruche des abeilles, par un phénomène de désorientation dû à l’intoxication à faible dose. Lorsqu’elle est combinée à la mortalité naturelle, cette disparition liée à l’insecticide aboutit à une mortalité journalière de 25% à 50% chez les butineuses intoxiquées, soit jusqu’à trois fois le taux normal (environ 15% des butineuses par jour).

Afin d’évaluer l’impact de l’augmentation du taux de mortalité en période de floraison, ces valeurs ont été introduites dans un modèle mathématique simulant la démographie des colonies d’abeilles. Les résultats montrent que si la majorité des butineuses étaient contaminées chaque jour, l’effectif de la colonie pourrait chuter de moitié pendant le temps de la floraison – et jusqu’à 75 % dans les scenarii les plus pessimistes. Ce déclin démographique serait critique, à une période où la population de la colonie devrait atteindre un maximum, un préalable nécessaire au stockage de réserves alimentaires et à la production de miel.

Cette désorientation a donc le potentiel de déstabiliser le développement normal de la colonie, ce qui peut en outre la rendre vulnérable aux autres facteurs de stress que sont les pathogènes (varroa, Nosema, virus) ou les variations de la disponibilité des ressources florales naturelles. Cette étude indique ainsi qu’une exposition des abeilles butineuses à un insecticide néonicotinoïde pourrait affecter à terme la survie de la colonie, même à des doses bien inférieures à celles qui conduisent à la mort des individus.

À court terme, les partenaires de l’unité mixte technologique PrADE (Protection des Abeilles Dans l’Environnement) en lien avec les instituts techniques agricoles concernés ARVALIS-Institut du végétal et CETIOM (deux instituts techniques spécialistes des grandes cultures et notamment maïs et colza), mèneront des expérimentations en grandeur réelle, dans les conditions des pratiques culturales y compris pour la phase d’administration de l’insecticide, en utilisant cette même technologie RFID de suivi individuel des abeilles.

 Chercheurs et filières au cœur des résultats scientifiques

Cette étude a été réalisée par une équipe rassemblant des chercheurs, ingénieurs et techniciens de l’INRA et du CNRS (organismes publics de recherche), de l’ACTA, le réseau des instituts des filières animales et végétales (instituts techniques agricoles) et de l’ADAPI (Association pour le développement de l’apiculture provençale), déclinaison régionale de l’ITSAP – Institut de l’abeille.

Cette étude se base sur une approche pluridisciplinaire rassemblant des spécialistes de l’apidologie, de la biologie du comportement, de l’écotoxicologie et de l’agro-écologie.

Cette étude a été conduite par l’Unité mixte technologique (UMT) PrADE (Protection de l’Abeille Dans l’Environnement) basée en Avignon et menée sur le dispositif expérimental ECOBEE qui utilise la Zone Atelier Plaine & Val de Sèvre (Région Poitou-Charentes), territoire administré par le Centre d’Etudes Biologiques de Chizé (CNRS) et dédié à des programmes de recherche sur la biodiversité et les agrosystèmes, et l’unité expérimentale INRA d’entomologie du Centre Poitou-Charentes pour le suivi expérimental des colonies d’abeilles sur cette zone.

Ce programme de recherche est financé par les fonds européens FEAGA dans le cadre du règlement européen en faveur de l’apiculture.

Rédacteur : INRA

 Contacts INRA : À lire sur http://cdurable.info/

 UMT PrADE (Protection de l’Abeille Dans l’Environnement) :

 INRA : Lise Poulet au 01 42 75 91 68 ou 91 86 
 ACTA : Marie-Christine Sela-Paternelle au 01 40 04 50 46 
 ITSAP-Institut de l’abeille : Patricia Odountan au 01 40 04 50 25

 

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