Cheval dans la littérature
Posté par othoharmonie le 7 septembre 2012
Compagnon constant des héros, le cheval est plus rarement mis en scène pour lui-même. Miguel de Cervantes a créé Rossinante, la jument de Don Quichotte. Au XIXe siècle, Anna Sewell créé le premier roman animalier avec Black Beauty, narré par le cheval lui-même. À l’époque contemporaine, Jolly Jumper est la monture du personnage titre de la bande dessinée Lucky Luke. Crin-Blanc, chef d’un troupeau de chevaux de Camargue en liberté, est le héros du court métrage éponyme d’Albert Lamorisse, couronné du prix Jean-Vigo en 1953. Tornado est le destrier de Zorro. Gripoil (en version originale ShadowFax), est le cheval de Gandalf dans Le Seigneur des anneaux de J. R. R. Tolkien. Ulysse, vieux cheval qui doit être livré à un picador dans les arènes d’Arles dans le film français d’Henri Colpi, Heureux qui comme Ulysse, avec Fernandel, dénonce le remplacement de l’animal par la machine. Le Cheval venu de la mer, film irlandais de Mike Newell, sur un scénario de Jim Sheridan, sorti en 1994 en France, met en valeur l’importance de l’animal en Irlande et dans les croyances populaires.
Amériques
Plusieurs chevaux illustrent les œuvres de fiction américaines. La série L’Étalon noir raconte les aventures de Black, un grand crack de course, et d’Alec son jeune jockey. Les aventures de Flicka sont racontées dans les romans de Mary O’Hara : Mon amie Flicka, Le Fils de Flicka et L’Herbe verte du Wyoming. Une autre cheval de fiction américaine est Mister Ed, « le cheval qui parle », héros de série télévisée des années 1960. Pilgrim est le cheval de la jeune Grace, 14 ans, dans L’Homme qui murmurait à l’oreille des chevaux, le best-seller de Nicholas Evans qui donné le film de Robert Redford. Hidalgo est un mustang qui participe à une grande course en Arabie, et que Joe Johnston met en scène en 2002
Article détaillé : Cheval dans la fiction.
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