Coccinelle du Jardin

Posté par othoharmonie le 26 août 2012

Les coccinelles peuvent-elles combattre les pucerons ?

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Le jardin bioUne seule larve de coccinelle est capable de dévorer quotidiennement entre 100 et 120 pucerons, ce qui est considérable ! Vous allez pouvoir utiliser cette faculté en en introduisant dans votre jardin.

Pour cela, sachez que des larves de ces insectes, sélectionnées par l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), sont en vente dans les jardineries ! Au bout de leur abdomen, elles disposent d’une sorte de ventouse qui leur permet de s’accrocher. Avec un pinceau, vous pouvez en disposer, sans problème et rapidement, à proximité immédiate d’une colonie de pucerons, sur vos rosiers par exemple. Le nombre d’insectes à lâcher dépendra du niveau d’infestation, 1 à 2 sujets pouvant suffire par bouquet floral infesté.

Rassurez-vous : c’est au stade larvaire que vous utiliserez des coccinelles, c’est-à-dire à un moment où elles auront un grand appétit et où elles ne pourront pas s’envoler et quitter vos plantations.

En savoir plus

Question /réponse inspirée du livre écrit par Michel Caron – Le jardin bio – Éditions Ouest-France, n’hésitez pas à acheter le livre.

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Traiter son jardin à la Coccinelle

Posté par othoharmonie le 26 août 2012

 

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Traiter son jardin à la Coccinelle dans COCCINELLE 320px-Harmonia_axyridis_Coccinelle_asiatique_PupesQu’il s’agisse d’un ficus dans le salon, d’un potager avec ses tomates et ses herbes aromatiques ou de quelques bacs de géraniums sur le balcon, le jardinage concerne trois Français sur quatre. Et ces derniers ont souvent la main trop lourde sur les fongicides, insecticides et autres herbicides… En clair, tous ces « -cides » sont des pesticides, des tueurs de parasites. Les risques que leur utilisation entraîne pour la santé humaine, sont réels. Sans oublier non plus, la santé des animaux : « les pesticides sont responsables de la mort du quart des hérissons », précise ainsi Yann Lamy, chargé du Jardin de Noé pour l’association Noé Conservation.

Observer son jardin

« Passer du temps dans son jardin et l’observer, c’est la meilleure manière de détecter rapidement une invasion » soutient Thierry Riveri, jardinier professionnel à Saint-Ouen (93). « Pour contrer une petite attaque localisée de pucerons, coupez la branche infestée ou arrachez le pied malade. »

Des armes naturelles

Contre les mauvaises herbes, munissez-vous… d’une binette ! Voilà en effet une « arme » efficace, qui vous évitera de recourir à un herbicide.

Enfin, n’oubliez pas les prédateurs naturels. Ils sont vos amis. C’est le cas des coccinelles, qui adorent les pucerons. Mais elles ne sont pas seules dans ce cas. Musaraignes et grenouilles font facilement leur quatre-heures de quelques limaces ou escargots. Pour attirer ces alliés, laissez simplement en friche un petit bout de votre jardin…

Et si vous décidez quand même d’utiliser des pesticides, lisez bien le mode d’emploi pour ne pas en abuser. Protégez-vous correctement, et éloignez les enfants 

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Enfants autistes et les dauphins

Posté par othoharmonie le 25 août 2012

Texte issu du livre Un Nouveau Départ de Lee Carroll – extrait de channeling avec l’entité de Kryeon :

 

Enfants autistes et les dauphins dans DAUPHIN 22640_aeb08QUESTION : Cher Kryeon, j’ai un fils de 7 ans chez qui on a diagnostiqué l’autisme. Je travaille avec l’énergie depuis ce qui me paraît être le début de ma vie. Pendant les 5 dernières années, j’ai acquis des concepts que je ne comprends pas vraiment. En ce sens, vos channelings m’ont été d’un grand secours. Cependant les personnes qui liront ces lignes (j’ai confiance que l’Esprit saura les envoyer à qui en a besoin) sont susceptibles de vivre les mêmes difficultés.

Le système magnétique de mon fils semble diverger du nôtre. Est-il possible que son ADN présente  une structure magnétique différente de celle des personnes non autistes ? J’ai à l’esprit une image de filaments d’ADN parcourant une sorte de prisme  en forme de chrysalide. Je sais que ça paraît fou ! Je ressens la même chose en présence des dauphins, et mon fils est particulièrement attiré par les enregistrements des appels de baleines à bosse. Est-il possible que le lien entre les autistes et les cétacés soit de nature magnétique ? La capacité de communication (quoique encore non verbale) de mon fils s’est améliorée de manière phénoménale au cours de l’année. Les alignements des grilles magnétiques deviendraient-ils plus compatibles avec le fonctionnement des autistes ?

 

REPONSE de Kryeon : Très chère, à vous et à tous ceux qui oeuvrent aux côtés de tels enfants, j’exprime mon admiration ! Nous avons déjà mentionné que la majorité d’entre eux étaient des savants. Ces petits naissent vraiment dotés de différences d’ADN de nature magnétique. La différence réside dans le fait qu’ils sont davantage orientés vers une existence interdimensionnelle que vers votre existence quadridimensionnelle. Certains les appellent même les enfants Arc-en-Ciel. Donc, oui, il s’agit bien d’un attribut cellulaire, votre intuition était bonne. Voici toutefois des informations supplémentaires.

  1. Ces enfants désirent communiquer et vivre hors de la linéarité. Ils ne peuvent comprendre les événements qui se déroulent les uns après les autres. Ils réagiront beaucoup mieux à des concepts généraux leur dictant un mode d’action pseudo-linéaire qui leur permettra de vivre dans votre monde. Si c’était imaginable, ils aimeraient communiquer sans ce langage verbal bien ordonné et linéaire. Ils préféreraient le faire d’un seul coup grâce à un groupe de pensées. Tout autour d’eux s’opposant à leur nature expansive, ils sont obligés de la réfréner, ce qui engendre une frustration.

dauphin-et-enfant-300x179 dans DAUPHIN Pouvez-vous-même vous imaginez être née dans un monde à trois dimensions alors que les autres vivraient en deux dimensions où par exemple, il n’y aurait pas de profondeur, mais rien que la hauteur et la largeur ? Vous voudriez entrer en contact avec les choses de l’intérieur, et vous sauriez comment vous y prendre, mais un mur invisible arrêterait votre main et votre esprit chaque fois que vous effectueriez une tentative. Vous ne pourriez même pas vous déplacer ! Les personnes alentour vous qualifieraient de déficiente mentale en apercevant cette drôle d’enfant incapable de se diriger dans un monde à deux dimensions. Vous passeriez le plus clair de votre temps à observer les choses, essayant de décoder si ce que vous voyez est rée ou non selon votre réalité.

 2. Ces enfants ont tendance à vivre partiellement dans une réalité invisible ou incompréhensible aux yeux des autres humains. Vous vous demandez souvent où ils se trouvent lorsqu’ils semblent fixer l’espace. La vérité ? Ils sont en réalité en train d’observer des attributs interdimensionnels de la vie et d’y prendre part, ou du moins d’essayer. Ils ont également l’aptitude de percevoir l’autre vie sur la Terre, cette vie dont vous ne reconnaissez même pas encore l’existence ; plus tard, nous donnerons des précisons supplémentaires à ce propos.

 3. Ces enfants sont en harmonie avec l’énergie des dauphins et des baleines, surtout celle des dauphins. Vos savants ont déjà poursuivi des recherches à ce sujet, aussi n’est-il plus aussi étrange qu’il y paraissait auparavant. Entre les enfants autistes et ces mammifères marins se produit  une communication à distance. Dans le cas où ces petits parviennent à établir une relation privilégiés avec un seul animal elle durera toute leur vie.

 4. Et, oui, le nouvel alignement de la grille planétaire leur apportera plus d’agréments… mais vous aurez, quant à vous, plus d’inconfort. Au cours des channelings de l’année dernière, nous avons évoqué la vie interdimensionnelle. Il est peut-être temps que les humains fassent un pas en direction des enfants autistes au lieu de persister à leur apprendre à vivre dans leur réalité.

 

Kryeon : Tome VII – Un nouveau départ – Au-delà de 2002 – canalisé par Lee Carroll – page 269. Aux Editions Ariane 2003.

 

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Coccinelle – parc animalier

Posté par othoharmonie le 25 août 2012

 

Coccinelle - parc animalier dans COCCINELLEParc animalier et d’attractions, la Coccinelle ravira petits et grands qui découvriront des animaux domestiques parfois insolites.

Nous avons découvert aujourd’hui un « parc animalier et d’attractions » vraiment sympa : La Coccinelle à Gujan-Mestras (à 10 minutes d’Arcachon et 55 km de Bordeaux). Nous y sommes restés de 11h30 à 17h00 et les enfants ont adoré !

Malgré les bouchons sur l’autoroute en partant de Bordeaux, la bonne idée si vous y allez pendant la période estivale, c’est d’y aller un samedi. C’est le jour des arrivées et des départs en vacances : le parc est beaucoup moins bondé que les autres jours.

La Coccinelle, c’est le mix d’un zoo, d’une ferme et d’un parc d’attractions. Dès l’entrée du parc, vos enfants y découvrent les animaux de la ferme et peuvent même enjamber la barrière de la plupart des enclos pour les caresser. Trois fois par jour ils peuvent aussi donner le biberon aux porcelets, aux veaux, aux agneaux et aux chevreaux. Pensez à acheter un ou deux sachets de graines à l’entrée : les chèvres, les moutons et les ânes en raffolent !  La seconde partie du parc propose une grande aire de pique-nique accolée aux nombreuses aires de jeux et attractions diverses. Un spectacle de magie est aussi programmé trois fois par jour de fin juin à fin août

train-300x96 dans COCCINELLE

Un vrai PARADIS POUR LES ENFANTS DE 0 à 12 ans et plus.
Le premier parc européen basé sur l’animal domestique et l’enfance.
Visite inoubliable ! Dans la Mini-Ferme, les caresses, les biberons donnés par les enfants aux bébés animaux! sur l’aire de jeux les manèges et attractions à volontés. Le tout dans un décor verdoyant et ombragé.

l’intérieur de la Mini-Ferme, univers coloré et enchanteur conçu à l’échelle des enfants, petits et grands sont invités à enjamber les barrières des enclos pour approcher, toucher, caresser, câliner les bébés animaux !!!

Le Parc de la Coccinelle  c’est aussi un Parc d’Attractions. Manèges, petit train, multitude de jeux et d’attractions aire de pique nique viennent compléter agréablement la visite en famille.

Situé dans le département de la Gironde, à quelques minutes des plages du Bassin d’Arcachon, le Parc de la Coccinelle  premier Zoo d’animaux domestiques en Europe abrite de nombreux animaux insolites

La coccinelle ®
LA HUME – Parc de loisirs
33 470 GUJAN MESTRAS
Tel : 05 56 66 30 41
Fax : 05 56 66 79 46
contact@la-coccinelle.fr

Tel : +33 (0)5.56.66.30.41
Email : contact(arobase)la-coccinelle.fr
http://www.la-coccinelle.fr/

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La Coccinelle est aussi une voiture

Posté par othoharmonie le 25 août 2012


Volskwagen Beetle 5.jpgLa Volkswagen Coccinelle est la première automobile construite par le constructeur allemand Volkswagen, ainsi nouvellement créée et dont le nom signifie « voiture du peuple ». Produite en 1938, elle est conçue par l’ingénieur allemand Ferdinand Porsche sur la demande du chancelier Adolf Hitler, alors à la tête du Troisième Reich allemand. Outil de propagande pour le régime national-socialiste, elle devient remarquable dans le monde de l’automobile pour sa diffusion et sa longévité. Elle dépasse, le 17 février 1972, le record de modèles vendus, détenu par la Ford T. Elle fut au total produite à plus de 21 529 464 exemplaires à travers le monde.

Elle est initialement dénommée Volkswagen KdF, pour « Kraft durch Freude » (La force par la joie), du nom d’une branche du front du travail nazi. Connue en interne sous le nom de code Type 1, ou encore 1100, 1200, 1300, 1500 et 1600, en rapport avec la cylindrée des différentes motorisations, elle se voit attribuer de nombreux surnoms affectueux, entre autres d’animaux, en raison de ses formes très rondes : « Käfer » en Allemagne (scarabée), « Beetle » (scarabée encore) au Royaume-Uni, « Escarabajo » en Espagne (scarabée, toujours), « Maggiolino » en Italie (hanneton), ou encore « Coccinelle » en France.

En février 1933, soit à peine un mois après son accession au pouvoir, Hitler annonce vouloir transformer l’industrie de l’automobile afin d’en faire l’un des fers de lance de sa politique et indirectement, de sa propagande. L’automobile est l’un des secteurs industriels privilégié par le gouvernement, étant donné qu’elle est considérée comme le signe extérieur de puissance de la nation allemande. L’Allemagne fait face à un essor important de l’automobile sous Hitler. En 1932, environ 561 000 automobiles transportant des voyageurs forment le parc automobile allemand. Quatre ans plus tard, 961 000 sont présentes.

Le führer contrôle étroitement les entreprises automobiles et leur ordonne par exemple, de réduire le nombre de modèles. Puissance et vitesse sont les mots clés du discours déclamé par les partisans du système national-socialiste. Cette volonté s’exprime bien avant la création de (la) Volkswagen. En effet, l’État allemand pousse très tôt les compagnies automobiles Mercedes et Auto-Union dans les courses automobiles, les Grands Prix et autres compétitions, les subventionnant de façon importante pour développer des techniques poussées.

Par ailleurs, Hitler s’affaire à développer le système autoroutier allemand, avec le déploiement de larges Autobahnen à travers tout le pays. L’objectif est de faciliter les communications entre les différentes villes, mais également de permettre à l’aviation de décoller ou atterrir sur les autoroutes. Ce développement est de plus, l’affirmation de la volonté du pouvoir de faciliter l’accession de la population allemande à la mobilité individuelle.

« la voiture du peuple »

La Coccinelle est aussi une voiture dans COCCINELLE 220px-MHV_VW_K%C3%A4fer_Typ_82_01Sous le régime d’Hitler, une course pour rattraper le niveau de production des États-Unis et de la Grande-Bretagne s’engage, notamment en vue de la guerre qui s’annonce. Au même moment, il dissimule ses intentions en promettant au peuple allemand des améliorations de leur niveau de vie. C’est ainsi que Hitler se sert du Salon international de l’automobile de Genève de 1934 pour annoncer son intention de produire « une voiture du peuple », une voiture à la portée de tous basée sur la production de masse et la consommation de masse. Le dictateur rêve de donner aux Allemands la version germanique de la Ford T. Hitler persuade alors les décisionnaires de la RDA, nom du syndicat allemand de la construction automobile, de signer un contrat avec Porsche pour la réalisation de cette nouvelle voiture, financée par l’État. En collaboration avec l’entreprise automobile Porsche, les plans de la première Volkswagen allemande sont tracés.

Préalablement à cette annonce, en 1934, le pouvoir donne dix mois à l’ingénieur Ferdinand Porsche pour construire un prototype. Contrairement aux idées reçues, ce n’est pas Hitler qui contacte Ferdinand Porsche, mais bien l’inverse. En effet, Porsche contacte le ministère des transports et, le 17 janvier 1934, il explique sa vision d’une voiture populaire. Après quoi, Porsche est contacté par Hitler pour le suivre à Berlin et pour avoir un entretien individuel. En 1933, Jacob Werlin, concessionnaire Mercedes-Benz, organise ainsi la rencontre entre Ferdinand Porsche et le Führer. Cela se fera discrètement à l’hôtel Kaiserhof de Berlin.

Le cahier des charges fixé par le gouvernement allemand est contraignant. Hitler fixe dans son discours, un prix maximum de moins de 1 000 reichsmarks, afin de convenir au plus grand nombre. Elle doit ainsi être puissante mais surtout économique à l’achat mais également à l’usage. Ainsi, la voiture doit être propulsée par un moteur de 1 litre d’une consommation maximum de 5 litres d’essence aux 100 km et d’une vitesse pouvant atteindre 100 km/h. Par ailleurs, la nouvelle voiture doit être capable de loger confortablement quatre personnes voire cinq. Le poids maximum fixé est de 600 kg. De plus, étant donné que les garages pour véhicule sont assez rares à l’époque, la voiture doit être capable de résister à tous types d’intempéries, tout particulièrement le froid.

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Le langage Coccinelle

Posté par othoharmonie le 25 août 2012


Coccinellidae, en français coccinellidés, est une famille d’insectes de l’ordre des coléoptères, appelés aussi coccinelles, ou bêtes à bon Dieu. Véritables « ogres à pucerons », les coccinelles sont aujourd’hui reconnues comme l’un des meilleurs insecticides naturels.

La couleur des élytres de cet insecte explique l’étymologie de son nom qui vient du latin coccinus : « écarlate ».

Le langage Coccinelle dans COCCINELLE 220px-Latreille_Pierre_Andr%C3%A9_1762-1833La famille des Coccinellidae a été établie par Pierre André Latreille (1762-1833), en 1807.

Son œuvre marque une étape importante dans la taxinomie des arthropodes pour lesquels il crée une classification encore largement utilisée de nos jours. Johan Christian Fabricius le surnomme le Prince de l’entomologie. Latreille se plaisait à raconter qu’il devait la vie à un insecte qu’il avait découvert dans sa geôle : le navire qui devait l’emmener en Guyane sombre en cours de route et il doit nager jusqu’à la côte. En 1796, il publie son Précis des caractères génériques des insectes, disposés dans un ordre naturel à Brives.

 

Après avoir abandonné la prêtrise, il travaille au Muséum national d’histoire naturelle récemment créé (1798), où il s’occupe du rangement des collections d’entomologie et où il remplace Lamarck comme professeur. En 1814, il devient membre de l’Académie des sciences où il succède à Guillaume-Antoine Olivier.

Dans le langage courant, on appelle aussi la coccinelle « bête à bon Dieu », car elle est la meilleure amie des jardiniers, et surtout, parce que, selon une légende remontant au Moyen Âge, elle porterait bonheur. Les anciens prédisaient du beau temps lorsque la coccinelle s’envolait.

 Coccinella septempunctata

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La Coccinelle et ses points

Posté par othoharmonie le 25 août 2012

 

La question

 Adalia bipunctata‘Coccinelle, demoiselle, bête à bon dieu…’ S’il est un insecte qui nous est sympathique, c’est bien la coccinelle ! Elle plaît au jardinier par son appétit pour les pucerons, mais elle attire aussi les enfants qui aiment les percher sur leurs doigts pour compter leurs points et les regarder s’envoler. D’ailleurs, ces petits coléoptères sont loins d’être tous identiques : de différentes tailles, parfois jaunes ou noires, même légèrement poilues, elles n’ont également pas toutes le même nombre de points. Est-ce dû au hasard, ou cela a-t-il une explication scientifique? 

 La réponse

Commençons par détruire les idées reçues, comme nous aimons le faire sur AxiomCafe. Le nombre de points sur les élytres (coque de protection des ailes) des coccinelles n’indique pas leur âge, que ce soit en nombre de semaines, de mois ou d’années. La quantité de tâches n’indique pas non plus la position sociale de l’insecte. La coccinelle telle que nous la reconnaissons habituellement est au stade dit imago, c’est à dire adulte. Sa morphologie est stable et n’évolue plus : le nombre de points est prédéterminé à la sortie de l’oeuf. Ils nous servent bien souvent à identifier les différentes espèces de coccinelles.

Le nombre de points de la coccinelle dépend de son espèce !

Il existe des espèces arborant jusqu’à 22 points ! La plus commune dans nos régions est la coccinelle à 7 points, nommée en conséquence Coccinella septempunctata: la ‘coccinelle à sept points’. Sous ses airs sympathiques, c’est en réalité une vraie tueuse, et ses larves le sont tout autant. Notre coccinelle peut ainsi dévorer plus de 200 pucerons par jour !

 Si les points n’indiquent pas l’âge de l’animal, la couleur de la coccinelle évolue en revanche : jaune à la naissance, elle prend sa couleur rouge progressivement. Attention toutefois ! Il existe des espèces de coccinelles dont la couleur définitive est jaune ou orange ! Ce ne sont pas des juvéniles (enfants) de la Coccinella septempunctata, mais bien des espèces différentes. Notez que la Coccinella septempunctata est facilement reconnaissable grâce à ses tâches blanches sur la tête, ainsi que la tache noire juste derrière la tête, entre les deux élytres.

En résumé…

 Contrairement à l’idée reçu, le nombre de points de la coccinelle ne dépend ni de son âge ni de son statut social mais de son espèce. La plus commune de nos régions est la Coccinella septempunctata, autrement dit la coccinelle à sept points.

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Elever des Coccinelles

Posté par othoharmonie le 23 août 2012

 

Elever des coccinelles ?

 

 Calvia decemguttataProbablement l’anti-puceron le plus écologique qui soit, il peut être tentant d’élever des coccinelles dans son jardin. Mais encore faut-il les convaincre de rester chez soi ! Attention toutefois de ne pas chercher dans le commerce les fameuses « coccinelles asiatiques ». Si celles-ci sont redoutablement efficaces dans la lutte anti-pucerons, elles n’en sont pas moins très invasives et aggressives envers nos coccinelles locales. Importées en Europe dans les années 80 comme moyen de lutte écologique, elles ont surtout été commercialisées massivement dans les années 95. Elles ont désormais échappé à tout contrôle et sont considérées comme nocives pour la plupart des populations de coccinelles locales.

Ces coccinelles de chine (Harmonia axyridis) peuvent être de couleur jaune-orangée à rouge, parfois même noires. Elles présentent entre 0 et 9 points. Avec une moyenne de 7 mm de long, elles sont plus grosses que la septempuctata. Ce sont ces coccinelles qui ont tendance à se rassembler massivement à l’automne, pour tenter de passer l’hiver au chaud dans nos maisons. N’écrasez pas pour autant toute coccinelle qui vous paraitra étrange ! Certaines de nos espèces locales présentent elles-aussi une grande variation de couleurs et de formes, ce qui ne rend pas aisée leur différenciation…

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Coccinelle pourquoi Bête à Bon Dieu

Posté par othoharmonie le 23 août 2012


Pourquoi dit-on ‘la bête à bon dieu’ ?

 Brumus quadripustulatusIl est déjà parfois difficile de ne pas mélanger les mythes urbains avec leurs interprétation scientifique, mais lorsqu’il s’agit de retrouver l’origine d’une appellation, qui a traversé les âges et les histoires, c’est une autre affaire. La coccinelle est une bénédiction pour les jardiniers car elle les débarrasse des pucerons, mais il était également admis que l’envol des coccinelles annonçait la pluie, synonyme de bonne récolte. Par extension, si le vol des coccinelles porte chance, la légende préconise de souffler un voeu à la demoiselle qui en s’envolant ira le répéter au bon dieu…

Mais il semblerait que derrière ces suppositions pour le moins hasardeuses se cache une origine historique, comme celle présentée par le musée Zoologique de Lausanne :

 

«Suite à l’assassinat à Paris d’un homme, son apprenti est soupçonné et condamné à mort malgré ses protestations. Condamné à avoir le coup tranché, il y avait foule ce jour là pour assister à cette exécution. Lorsque le bourreau lève sa hanche, il aperçoit une coccinelle posée sur le cou du jeune homme. A première vue le bourreau ne pouvait se décider à trancher le cou du jeune homme, il enleva donc la coccinelle très délicatement et lorsqu’il relève sa hache, quelle n’est pas sa surprise de constater que la coccinelle était de retour sur le cou de ce pauvre jeune homme. Le bourreau eut beau insister, mais la coccinelle était obstinée, au point que le roi d’alors (Robert le Pieux) intervint et souligna que la coccinelle accomplissait là une mission divine et qu’il s’agissait d’un miracle. On gracia le jeune homme, et quelques jours plus tard le véritable coupable fut découvert. Dès lors les gens de Paris parlaient de la « bête du bon Dieu » et plus personne ne pensait à écraser ce petit insecte sans que cela apparaisse comme un sacrilège ».

Coccinelle pourquoi Bête à Bon Dieu dans COCCINELLE danae0271-300x199

Cette explication, moultes fois racontée et transformée -comme c’est l’usage dans la transmission de légendes- fait qu’au fur et à mesure des versions on ne sait plus très bien si c’est le bourreau ou le condamné qui retire la coccinelle, provoquant l’émotion des juges. Quoi qu’il en soit, il semble que l’on prête à ce petit coléoptère des propriétés pour le moins ‘miraculeuses’ depuis longue date.

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Coccinelle à deux points

Posté par othoharmonie le 23 août 2012


 Adalia bipunctataLa Coccinelle à deux points (latin Adalia bipunctata) est un coléoptère très commun de la famille des Coccinellidae qui se rencontre dans l’hémisphère Nord. Elle se distingue à ses élytres rouges maculés de 2 points noirs sur des élytres rouges.

C’est un insecte ayant un grand polymorphisme de couleur. Ces variétés restent cependant parfaitement interfertiles.

Adalia bipunctata est noire surtout dans le Nord de son aire où cette particularité facilite la récupération de chaleur.

La femelle pond entre 20 et 50 œufs par jour. La larve des coccinelles est appelée triongulin.

Elle se nourrit d’Aphides, de Cochenilles et autres petits insectes. Le Puceron cendré du chou, qui s’alimente du chou, emmagasine dans son hémolymphe certains métabolites protéiques, dont les glucosinolates, et une enzyme, dont la myrosinase, afin de synthétiser des produits biologiquement actifs.

Les larves de Adalia bipunctata qui s’en nourrissent sont intoxiquées et présentent un faible taux de survie.

Une fois ailé, le Puceron du chou constitue un faible risque d’intoxication pour la Coccinelle à 2 points.

Coccinelle à deux points dans COCCINELLE 220px-Adalia.bipunctata.7222Distribution géographique

Elle est très commune depuis le Centre jusqu’à l’Ouest de l’Europe, et en Amérique du Nord. Elle fut introduite en Australie.

Ce coléoptère figure sur une émission de la République démocratique allemande de 1968 (valeur faciale : 20 p.).

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La Bête à Bon Dieu

Posté par othoharmonie le 23 août 2012

  gifs coccinelles

 

De tous modules. De toutes formes, Des minuscules
Et des énormes, Les animaux de la création, Assemblés, se mirent en marche
(En avait-on jamais autant vu depuis l’Arche ?) Pour tenir un meeting de protestation :

—  Il faut enfin, il faut qu’on sache De quel droit la Bête à Bon Dieu,
Coccinelle, Cette péronelle, S’intitule Bête à Bon Dieu ?
D’être Bête à Bon Dieu, tous autant que nous sommes,
Pouvons-nous pas en réclamer le titre ?
Tous le méritent, Même les hommes ; Chacun de nous peut,
Somme toute, Prendre ce nom et s’appeler, sans aucun doute,
Et s’appeler Bête à Bon Dieu.  Or voici qu’au bord de la route
Un enfant se tenait, et, au bout de son doigt, Il tenait cette coccinelle,
Qui Bête à Bon Dieu, — de quel droit ? —
Se fait appeler et s’appelle.  Et, dans son langage ingénu,  S’entretenant avec la bestiole :
— Bête à Bon Dieu ne t’en va plus !
Ah ! pourvu Que tu Ne t’envoles !

—    L’enfant ainsi l’interrogeait Au sujet D’aujourd’hui, de demain, de toutes ses journées,
De pluie ou de soleil baignées.

Malheureuses ou fortunées :  Cette bête au bout de son doigt,
Est-ce que vraiment il la croit Sur son avenir renseignée,
Oui, renseignée à ce point ? Point !
L’avenir, on l’a fort bien dit, n’est à personne, L’avenir est à Dieu ; s’entend
Qu’il n’est pas à la Bête à Bon Dieu ; cependant Nous savons, en la consultant,
Que le bonheur et le beau temps, C’est le Bon Dieu qui nous les donne :
Elle en est simplement l’humble témoin, et peut, La moins savante
De ses servantes,

—  La coccinelle à bon droit peut S’appeler la Bête à Bon Dieu.

 gifs coccinelles

Les fables Maurice Etienne Legrand, dit Franc-Nohain. :
Le Balai de la Sorcière.
La Bête à Bon Dieu.
L’Ane du Libraire.
Les Bulles de Savon.
Le Trèfle à quatre feuilles.
Le Briquet et les Allumettes.
La Demoiselle au Volant.
Le Merlan frit.
Le monocle et les lunettes.
Les Pommes d’Amour.

Source : gallica.bnf.fr

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Les coccinelles se distinguent

Posté par othoharmonie le 23 août 2012

 

Coccinelles asiatiques en Bourgogne dans Traditions en Bourgogne 304px-Harmonia_axyridis01La plupart des coccinelles sont de petite taille, de 0,1 mm à 1,5 cm. Leur corps a une face ventrale plane et la forme d’un dôme arrondi ou ovale pourvu de courtes pattes portant des tarses à quatre articles (tarses cryptotétramères) dont le 3e très petit est inséré dans le 2e dilaté cordiforme, le 4e étant allongé et muni de griffes bifides. Les élytres peuvent être marquées de taches, points ou bandes. La tête noire inclinée de haut en bas est plus ou moins recouverte par un pronotum avec deux taches blanches de part et d’autre, le pronotum formant un bouclier. Les courtes antennes sont composées de 11 articles, les 3 derniers élargis en massue (antennes monoliformes se rétractant au repos).

Elles présentent des couleurs diverses souvent vives, aux motifs variés (signalant aux prédateurs qu’elles sont amères ou toxiques : phénomène d’aposématisme grâce à la saignée réflexe  d’une humeur jaune à base de methoxypyrazines secrété derrière l’articulation de leurs pattes), et parfois, sont recouvertes d’une couche de petits poils, comme la rhyzobius forestieri. Les espèces sont souvent nommées d’après le nombre de leurs points.

Sous les élytres se trouvent les ailes, d’un noir transparent, presque deux fois plus longues. Le coléoptère ne peut les ramener à lui, que plissées en longueur et pliées en travers, et il lui faut quelques secondes pour les déployer.

Leurs pièces buccales sont brun foncé ou noires, le dernier article des palpes maxillaires est élargi et sécuriforme (forme de hache). La première sternite de la plaque abdominale porte deux lignes recourbées.

L’espèce la plus connue, Coccinella septempunctata, est rouge et possède sept points noirs sur les élytres. On trouve aussi des coccinelles à deux, cinq, sept, dix, quatorze, vingt-deux et même vingt-quatre points. Celle à vingt-deux points est nommée Thea 22-punctata.

Contrairement à une idée répandue, le nombre de points sur les élytres d’une coccinelle ne correspond pas à son âge, ni en nombre d’années, ni en nombre de mois. Ce motif dépend exclusivement de l’espèce et de la sous-espèce, et permet d’ailleurs de la caractériser. Comme chez tous les coléoptères, et pour la plupart des insectes, le nom commun est attribué à l’adulte ou imago, qui est la forme ailée et adulte de l’individu, et dont la taille ne change plus.

On rencontre la coccinelle dès la fin de l’hiver jusqu’à la fin de l’automne, dans les jardins, champs et bois. Ces insectes ont généralement une génération par an, et parfois deux.

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La famille des Coccinelles

Posté par othoharmonie le 23 août 2012

 

Chilocorus bipustulatus

Le genre Chilocorus est constitué de coléoptères prédateurs de la famille des coccinellidés, dont les larves et les adultes ont pour proies principalement les pucerons et les cochenilles sur les arbres fruitiers et la vigne.

 Coccinelle à deux points (Adalia bipunctata)

Le genre Adalia est constitué de coléoptères prédateurs, de la famille des coccinellidés, dont les larves et les adultes ont pour proies principalement les pucerons sur les arbres fruitiers, les grandes cultures, les cultures légumières et les cultures ornementales.

 Coccinella septempunctata

Le genre Coccinella regroupe des coléoptères prédateurs de la famille des coccinellidés, dont les larves et les adultes ont pour proies principalement les pucerons sur les arbres fruitiers, la vigne, les grandes cultures, les cultures légumières et les cultures ornementales.

  Scymnus sp.

Le genre Scymnus comprend des insectes, coléoptères prédateurs de la famille des  coccinellidés, dont les larves et les adultes ont pour proies principalement les pucerons sur les arbres fruitiers, la vigne, et les forêts.

 

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Coccinelle ou J.Dufresnoy

Posté par othoharmonie le 21 août 2012

Coccinelle ou J.Dufresnoy dans COCCINELLE 113628402

Biographie de Coccinelle (artiste)

Coccinelle (née Jacques Dufresnoy le 23 août 1931 et morte le 9 octobre 2006 à Marseille), était une artiste transsexuelle française.

Elle débute dans le monde du spectacle en 1953 en tant que travesti dans le cabaret « Chez Madame Arthur » puis au « Carrousel » à Paris, comme Bambi. Cinq ans plus tard, elle change de sexe dans une clinique à Casablanca, devenant ainsi la première personne française à le faire, elle devient à l’état civil Jacqueline-Charlotte Dufresnoy.

Elle décide d’épouser à l’église son premier mari, le 10 mars 1962, provoquant le scandale. Dans les années 1960, elle joue dans de petits films.

En 1964, elle se produit à l’Olympia dans le spectacle « Chercher la femme ». À partir de 1970, elle entamera une série de tournées qui la conduiront un peu partout sur la planète. À partir de 1978, elle s’établit en Allemagne.

C’est seulement en 1987 qu’elle retourne à Paris. Elle en profite pour rédiger une autobiographie intitulée Coccinelle par Coccinelle. En 1990, on lui propose un spectacle qui raconte sa vie et dont elle est la vedette. Lorsque la guerre du Golfe éclate, le spectacle tombe à l’eau faute de financement.

À partir de 1994, elle se produit à Marseille. Six ans plus tard, elle prend une semi-retraite du monde du spectacle.

Filmographie
1962 : Les Don Juan de la Côte d’azur de Vittorio Sala
1962 : Los Viciosos d’Enrique Carreras
1963 : Nuits d’Europe d’Alessandro Blasetti
1964 : Il Pelo nel mondo d’Antonio Margheriti et Marco Vicario
1968 : Días de viejo color de Pedro Olea

Bibliographie
Mario Costa, Elle est lui, Les Presses du Mail, 1963.
Coccinelle, Coccinelle par Coccinelle, Filipacchi, 1987.
Maxime Foerster, Histoire des transsexuels en France, H&O, 2006.

Source : Wikipedia

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Cycle de vie et métamorphose d’une coccinelle

Posté par othoharmonie le 21 août 2012

 

La métamorphose de la coccinelle comporte quatre stades : œuf, larve, nymphe et adulte. En une vie, la coccinelle peut donner naissance à des milliers de larves, insectivores. Chaque adulte a une espérance de vie de deux à trois ans. Les coccinelles sont très utiles dans la lutte biologique contre les insectes considérés comme nuisibles, tels que les pucerons, et certaines cochenilles, qu’elles dévorent en grandes quantités.

Pendant la saison froide, les coccinelles se mettent en diapause, et trouvent refuge sous les pierres, sous l’écorce des arbres, dans les vieilles souches, dans la mousse, ou encore sous les feuilles de fleurs fanées comme les coquelicots, etc.

 

Cycle de vie et métamorphose d'une coccinelle dans COCCINELLE 320px-Larve_coccinelle

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Coccinelle, oracle de la chance

Posté par othoharmonie le 21 août 2012

 

COCCINELLE A 7 POINTS

Coccinelle, oracle de la chance dans COCCINELLE coccinelle_04- Celui qui aperçoit une coccinelle doit s’empresser de faire un vœu pour qu’elle l’emporte au ciel avec elle, lui donnant ainsi plus de chance de se réaliser.

-Si, par hasard, elle se pose sur la main, c’est très bon signe, surtout si cela se passe un dimanche et que la coccinelle y reste au moins vingt-deux secondes avant de s’envoler.

On obtient alors autant de bonnes nouvelles que la petite bête a de points noirs sur sa carapace rouge.

– On peut aussi consulter la coccinelle pour savoir le temps qu’il fera. Il suffit pour cela de la placer au bout du doigt. Si elle s’envole, c’est signe de beau temps. Dans le cas contraire, la pluie n’est pas loin .

A toutes ces bonnes choses qu’apporte la Coccinelle, une seule condition. Il ne faut jamais la tuer ni lui faire du mal. Toute cruauté envers l’insecte attire sur son tortionnaire une série de malheurs. Mais qui aurait envie se s’attaquer à ce sympathique porte-bonheur ?

En Martinique ont dit que si une coccinelle se pose sur toi, elle t’apporte de la chance dans le domaine où tu en as besoin. Comme c’est « la bête du bon Dieu », on dit aussi qu’il voit que tu as besoin de lui et qu’il t’envoie la chance.

Cet insecte est béni de Dieu, ne la tuer pas si elle se pose sur vous, elle vous portera chance. Si elle se pose sur vous et que vous avez le temps de compter jusqu’à 22, c’est signe que vous serez heureux.

Si la coccinelle se pose sur vous et s’envole aussitôt, c’est signe qu’il fera beau dimanche.

On consulte la coccinelle pour savoir quel temps il fera, ordinairement, si placée au bout du doigt, elle refuse de s’envoler, c’est un indice de mauvais temps.

En Lorraine, si on voit des coccinelles près des ceps, le vin sera bon.

En France et aussi en Wallonie, les jeunes filles consultent la coccinelle.

En Provence, où elle s’appelle Catharinetto, elles tâchent en la faisant envoler de tirer quelque augure de son vol, et lui disent :

Catharinetto, digo-mi mounte passarai:we064
Quand mi maridarai ?
(Catherinette, dis-moi où je passerai — Quand je me marierai ?)

Les noms donnés à la coccinelle l’associe aux divinités :

Ceux de Bête au bon Dieu, Géline dé bon Dieu (Vosges) Poulette de Dieu (Finistère), Vache à Dieu (français), Bête du Paradis (Hainaut) etc., montrent le respect qu’on a pour elle.

4504215-coccinelle-et-fleurs--carte-pour-les-enfants--et-les-etiquettes-utiles-scrapbook dans COCCINELLEEn Ille-et-Vilaine et dans la Beauce, quand on s’empare d’une coccinelle, il faut la mettre à s’envoler, ou la déposer sur l’écorce d’un arbre;
elle monte au ciel, devient un ange et garde la place au paradis de celui qui l’a épargnée.

En Basse-Bretagne, où on lui donne les plus doux noms, elle vient du ciel en droite ligne:we064

C’est une grande joie pour les enfants de la faire sauter dans leurs mains, où elle laisse des traces rouges, qui sont produites par le sang de ses pattes.

Il leur sert à former des croix, pendant qu’ils répètent pieusement cette prière :

                            « Vache de Dieu, je vous prie.
                              Passez-moi par-dessus la barrière.
                              Emportez-moi au Paradis.
                              Je vous supplie, jour et nuit. »

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La coccinelle en fond d’écran

Posté par othoharmonie le 21 août 2012

La coccinelle en fond d'écran dans COCCINELLELa coccinelle est un petit insecte de l’ordre des coléoptères. Son nom trouve son origine dans le mot latin coccinus, qui signifie « écarlate », en référence à la couleur de ses élytres, c’est-à-dire ses ailes supérieures.

La grande popularité de la « bête à bon dieu » est sans aucun doute liée à son rôle dans la destruction de nuisibles, comme les pucerons. Ce formidable prédateur peut en effet en dévorer jusqu’à 150 chaque jour et débarrasser ainsi le jardinier de ces parasites qui ravagent les plantes. Mais toutes les coccinelles ne sont pas aphidiphages. Certaines espèces mangent exclusivement des hannetons, d’autres gobent des cochenilles, et certaines se nourrissent même de champignons.

On en dénombre 3 000 espèces dans le monde, dont moins d’une centaine en France. La plus connue, car fréquemment rencontrée dans nos contrées, se nomme Coccinella septempunctata. Elle est rouge et compte sept points noirs à son actif. Les points de la coccinelle ne sont donc pas, contrairement aux idées reçues, un indicateur sur son âge, mais sur son espèce.

Au cours de sa vie, la petite coccinelle connaît quatre phases différentes : l’œuf, la larve, la nymphe et l’adulte.

rubon6-135x150 dans COCCINELLELes fonds d’écran « Coccinelles »

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Rêve de Coccinelle

Posté par othoharmonie le 19 août 2012

 coccinelle

Rêver d’une coccinelle ne pourra que vous être bénéfique. Vous avez peut être le moral en berne actuellement, notamment à cause de votre relation amoureuse ou de votre séparation récente avec votre partenaire. La coccinelle vous permettra de retrouver le sourire car vous apportera une nouvelle très agréable qui ne pourra que vous faire plaisir. Vous vous sentirez donc très prochainement bien mieux et plus en harmonie avec vous même. Le goût de la vie devrait donc vous revenir, il ne faudra pas en douter. Cela pourra être une annonce toute simple ou une nouvelle qui n’aura rien d’exceptionnelle pour les autres mais qui ne pourra que vous rendre votre bonne humeur. Vous sortirez, grâce à cette agréable nouvelle, de votre tour d’ivoire et apprécierez alors les délices que la vie offre. Il suffit parfois de pas grand chose pour reléguer un moral en berne aux oubliettes et cela sera donc d’actualité pour vous très prochainement. Tel est donc le doux message que vous apporte la présence de la coccinelle dans votre songe.

 

coccinelle

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Reproduction de Coccinelle

Posté par othoharmonie le 19 août 2012

 

Reproduction de Coccinelle dans COCCINELLE 320px-Coccinella_septempunctata_couple_%28aka%29Au printemps, le mâle et la femelle s’accouplent.

Au moment de la ponte, la femelle choisit une feuille envahie de pucerons. Elle s’y installe et commence à pondre ses œufs, au nombre de cinquante à quatre cents. Les œufs sont de très petite taille, et de couleur jaune.

Au bout de trois à sept jours, les œufs éclosent et des larves en sortent.

Les larves, fuselées, de couleur bleu gris, métallique, ont un appétit extraordinaire, et peuvent dévorer jusqu’à neuf mille pucerons durant les trois semaines de leur développement.

Vient alors la phase de la nymphose : les larves fixent, avec quelques fils de soie, leur queue au verso d’une feuille, et restent ainsi recroquevillées et immobiles, pendant huit jours, pour se transformer en coccinelle adulte.

Puis, la cuticule se fend, et l’adulte, de couleur jaune pâle, émerge. En quarante-huit heures, la coccinelle devient rouge, avec plusieurs points noirs ou jaunes.

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Régime alimentaire des Coccinelles

Posté par othoharmonie le 19 août 2012


Les coccinelles peuvent dévorer jusqu’à cent cinquante pucerons par jour.

Chaque espèce a une alimentation bien spécifique, et les coccinelles peuvent ainsi être regroupées selon leur régime alimentaire :

  • Régime alimentaire des Coccinelles dans COCCINELLE 220px-Coccinellidae_eating_Aphidoideales coccinelles phytophages, comme Subcoccinella vigintiquatuorpunctata, qui se nourrissent de végétaux, et peuvent causer des dégâts à certaines espèces végétales cultivées ;
  • les coccinelles mycophages, qui mangent des champignons, comme l’oïdium ;
  • les coccinelles aleurodiphages, qui se nourrissent d’aleurodes ;
  • les coccinelles acariphages, qui se nourrissent d’acariens, et ont une très petite taille, de moins d’un millimètre ;
  • les coccinelles aphidiphages, qui se nourrissent de pucerons, et parmi lesquelles se trouvent les plus connues, et les plus colorées, comme la coccinelle à sept points, Coccinellia septempunctata ;
  • les coccinelles coccidiphages, qui se nourrissent de cochenilles, et limitent leur prolifération sur diverses espèces végétales cultivées, notamment l’olivier.

Selon une étude publiée mi-2007, le puceron du chou, Brevicoryne brassicae, peut utiliser et mimer le système de défense chimique de sa plante-hôte. La larve de ce puceron absorbe et emmagasine dans son hémolymphe certains métabolites protéiques, les glucosinolates, qui protègent le chou de ses prédateurs, et, comme le chou, le puceron produit une enzyme, la myrosinase, ou la glucohydrolase de β-sulfoglucoside, qui catalyse l’hydrolyse des glucosinolates, synthétisant ainsi des produits biologiquement actifs. L’étude montre que les larves de coccinelles Adalia bipunctata (espèce dont les larves d’élevage sont souvent vendues dans les jardineries pour les particuliers) nourries avec des larves de pucerons de cette espèce ont un faible taux de survie, alors qu’il est normal, si elles consomment ce puceron, adulte et ailé.

290px-Coccinelle1 dans COCCINELLELa forme ailée n’emmagasine presque plus de glucosinolates (sinigrine notamment), et en excrète même dans le miellat. Ce sont bien les glucosinolates qui sont en jeu, car des larves de pucerons élevées avec un régime sans glucosinolates sont consommées sans effet négatif par les larves de coccinelles, que les pucerons soient au stade ailé ou non, alors que les formes ailées nourries avec un régime à un pour cent de sinigrine sont toxiques pour les larves de coccinelles qui les consomment. Les pucerons ailés sont donc plus vulnérables aux larves de coccinelles, mais leur capacité de voler pourrait compenser cette carence, leur permettant d’échapper aux coccinelles, et de coloniser d’autres milieux.

Il resterait à vérifier si une part de la toxicité que la coccinelle présente envers ses prédateurs ne provient pas également des proies qu’elle ingère ; ce phénomène a été constaté chez d’autres groupes d’espèces prédatrices aux couleurs vives, comme les dendrobates. Il pourrait s’agir d’un phénomène de co-évolution et de convergence évolutive. Une autre coccinelle, la Coccinelle de la Bryone, Henosepilachna argus, est apte à se nourrir du suc de la Bryone dioïque, très toxique, et ne semble vivre que sur cette plante.

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