Mante religieuse et l’homme

Posté par othoharmonie le 19 mai 2012

 AccouplementL’aspect cannibale de la femelle a servi de métaphore pour de nombreuses affaires criminelles, à l’instar de l’araignée veuve noire, mais également pour de nombreuses fictions. Symbole, parmi d’autres de la gynocratie, elle fut également utilisée comme contre-argument aux justifications naturelles de la phallocratie. On a émis la théorie que la femelle dévore le mâle après l’accouplement, cela reste cependant à démontrer. Cet acte est généralement observé dans les vivariums. Après l’accouplement, la femelle est tiraillée par la faim et mange alors ce qu’elle trouve. Dans la nature il semble que le mâle puisse s’échapper de sa femelle . Elle part ainsi à la recherche d’une autre proie, ce qui est impossible dans un vivarium.

Les caractéristiques très prédatrices de la mante religieuse en ont fait un symbole de force à l’instar du Lion. L’art martial de la mante religieuse symbolise : Sang froid (inspirant l’impossibilité de compromis, et la rationalité), énergie sauvage. Dans son art martial, l’adversaire est débordé par des saisies au bras enchainées par des techniques dans tous les angles ; il y a peu de déplacement. Ennemi naturel des prédateurs de culture, la mante fut louée par certains peuples, comme le montre la Dōtaku, cloche japonaise ornée de mantes et autres alliés servant aux prières pour avoir une bonne récolte. La mante est entrée dans les légendes et films sous les atours de monstre mutant comme la Kamacuras apparue dans la série Godzilla.

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Boxe de la Mante Religieuse

Posté par othoharmonie le 19 mai 2012

 

Boxe de la Mante Religieuse dans BLATTES - TERMITESLe tang lang quan ou tanglang quan ou « boxe de la mante religieuse » désigne l’ensemble des styles d’imitation animalière de la mante religieuse dans les arts martiaux chinois. Selon les légendes, le créateur de ce style traditionnel serait Wang Lang, durant la dynastie Song (Xe ‑ XIIIe siècle) ou bien à la fin de la dynastie Ming (XIVe ‑ XVIIe siècle), dans la province de Shandong.

La quintessence de la légende, recopiée par les nombreux copistes qui ne font pas la différence entre mythe des origines et données historiques :

Le fondateur du style de la mante religieuse serait un certain Wong Long. Il serait né en Chine durant la dynastie Ming (1368 – 1644) dans le district de Jimo dans la province de Shandong. Il viendrait d’une famille aisée et aurait étudié les arts martiaux dans sa jeunesse auprès des moines de Shaolin.

Wong Long, plus petit et moins fort physiquement que ses homologues se faisant battre à chaque combat. Aussi il décida de trouver un moyen de pallier le manque de force.

Un jour en se promenant, Wong fut témoin d’un combat entre une mante religieuse et une sauterelle. Wong Long fut fasciné par l’agressivité, la vitesse et la force de la mante religieuse. Quand la sauterelle attaquait, la mante se jetait sur le côté, et avec la vitesse et la force de l’éclair elle immobilisait la sauterelle avec ses avant-bras puissants. Wong Long emmena la mante chez lui pour l’étudier de près. Il employa un roseau pour poignarder la mante et soigneusement étudia ses mouvements, examinant comment elle réagissait aux diverses situations. Wong imitait alors ces actions et lentement son système évolua.

 Wong Long a longuement compilé ces mouvements dans ce qui est connu aujourd’hui comme formule verbale de douze mots clés, les sept longs, huit courts, huit modèles rigides de main, les douze modèles flexibles de main, les huit points vulnérables et huit d’attaque mortelle. Ceci a mené au développement du modèle du style de la mante religieuse avec ses mouvements caractéristiques forts et rapides.

 Quand Wong Long a été satisfait, il a ajouté au nouveau modèle les meilleures techniques tirées des dix-sept autres modèles qu’il avait précédemment étudiés. Plus il pratiquait, plus il se rendait compte que bien que la structure du modèle ait été très rapide, dépeignant la puissance et la vitesse de la mante, le jeu de pieds était inadéquat pour délivrer des coups brefs.

  dans BLATTES - TERMITESC’est en observant, plus tard des singes qui jouaient ou combattaient, que la solution lui apparu clairement. S’il pouvait fusionner les positions intelligentes du singe avec les mouvements de main de la mante, la vitesse des mains et des pieds serait assurée.

Au-delà de la légende, on peut observer qu’il s’agit d’un style syncrétiste qui mêle les techniques de main de divers styles de la grue et les techniques de déplacements du singe.

La multitude des styles de mante religieuse, tous issus de la province du Shandong, et qui se sont ensuite répandues vers le Sud de la Chine, montre la complexité à construire sérieusement une « généalogie ». Il existe des styles, branches et écoles de mante religieuse du Shandong qui n’ont pas encore été répertoriés.

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Les Termites

Posté par othoharmonie le 19 mai 2012

 

Les Termites dans BLATTES - TERMITES 220px-Termite-nest-Tulum-MexicoLes termites (nom masculin), parfois surnommés fourmis blanches, sont les seuls représentants de l’ordre des isoptères qui compte environ 281 genres et 2 600 espèces. Ce sont des insectes sociaux, qui vivent au sein de colonies hiérarchisées et organisées en castes. Ils se rencontrent surtout dans les pays chauds, où certaines espèces construisent de grands nids en terre mâchée, les termitières, caractéristiques des plateaux tropicaux.

Ils existent au moins depuis le Jurassique.

Les termites appartiennent au règne animal, à l’embranchement des arthropodes, à la classe des insectes et à l’ordre des isoptères. Ils sont caractérisés par la présence de :

Plusieurs études récentes (Inward et al., 2007 et Legendre et al., 2008) convergent vers le fait qu’Isoptera ne serait en fait qu’une famille au sein des Blattodea, sœur de Cryptocercidae dans la superfamille Blattoidea. Suite à sa découverte, Inward propose de renommer Isoptera en Termitidae. Cette solution, impliquant de trop nombreux problèmes (Isoptera compte déjà une famille Termitidae), sera rejetée par de nombreux scientifiques (Michael S. Engel, David Grimaldi…) dans un article collaboratif. Prenant en compte les arguments avancés, Inward propose alors la création de l’épifamille (un rang entre la famille et la superfamille) Termitoidea.

Les termites sont surtout nombreux dans les régions tropicales de l’Afrique, de l’Amérique centrale, du Sud et de l’Extrême-Orient. On les rencontre également dans des zones plus tempérées comme les États-Unis, l’Australie, le Japon, l’Afrique du Sud et l’Europe. Leur aire de répartition s’étend du sud du Canada au sud de l’Australie.

En Europe, les termites se rencontrent à l’état naturel dans les forêts de la moitié sud du continent (péninsule Ibérique, France, Italie, Balkans). Leur répartition urbaine est bien plus large : des colonies de termites sont aujourd’hui installées dans de nombreuses villes françaises situées au nord de la Loire (Tours, Paris, Rouen, Le Mans…), plusieurs cas étant également connus en Allemagne (Hambourg) et en Angleterre.

Les termites ont une grande cohésion sociale, à l’image des fourmis. Ils font preuve d’une grande intelligence collective.

 dans BLATTES - TERMITESLes « ouvriers » et les « soldats » sont aptères, les termites sexués sont ailés. Les ailes sont perdues après le vol nuptial. Ils sont lucifuges (fuient la lumière) à l’exception des imagos ailés, et souvent aveugles. Les sociétés de termites comportent des individus neutres ou stériles, et des sexués. Les premiers n’ont pas d’ailes, ils sont roussâtres ou blancs, mous, avec la tête rousse, cornée, très développée chez certains d’entre eux qu’on appelle soldats et dont le rôle est de défendre la colonie, tandis que les individus à tête normale sont des ouvriers, chargés des travaux d’aménagement du nid et d’approvisionnement.

Les sexués sont ailés, mais ils perdent les ailes aussitôt après l’essaimage. Le mâle conserve ses dimensions normales, tandis que chez la femelle fécondée, l’abdomen rempli d’œufs devient énorme, acquérant cinquante ou soixante fois, quelquefois des centaines de fois, le volume du reste du corps.

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Règlementation contre les termites

Posté par othoharmonie le 19 mai 2012

 Coptotermes formosanusLes termites abondent dans les pays chauds, où ils deviennent un véritable fléau dans les endroits habités, détruisant les constructions en bois. Quelques mois leur suffisent pour ronger intérieurement les charpentes des maisons, qui s’effondrent tout d’un coup sans qu’un seul signe extérieur ait pu faire prévoir le danger. Ils ont détruit des vaisseaux en bois dans les ports de l’Inde, et à la Rochelle même, miné la préfecture et réduit les archives en débris spongieux.

En Europe, les termites sont des insectes ravageurs qui peuvent causer de grands dégâts dans les habitations en creusant leurs galeries dans le bois d’œuvre dont ils se nourrissent. Sont en danger uniquement les bois d’œuvre conservant une humidité au-delà de 20 % et d’une température ambiante ou chaude, les bois normalement ventilés ne seront pas sujets à attaques. En outre, ce ne sont que les Reticulitermes qui s’intéressent aux bois d’œuvre dans les bâtiments.

En France, en vertu de la loi n° 99-471 du 8 juin 1999 tendant à protéger les acquéreurs et propriétaires d’immeubles contre les termites et autres insectes xylophages, la présence de termites dans un immeuble doit être déclarée auprès des autorités. Les municipalités ont le pouvoir de procéder aux travaux de désinfestation, le cas échéant aux frais des propriétaires.

Par ailleurs, l’article 3 de ladite loi impose à tout vendeur de bien immobilier de fournir à son acquéreur, lorsque le bien immobilier est situé en « secteur contaminé ou susceptible de l’être », un état parasitaire de moins de six mois. À défaut, le vendeur ne peut pas s’exonérer de sa garantie des vices cachés. Les « secteurs contaminés ou susceptibles de l’être » sont très fréquents. C’est le cas par exemple de toute la commune-département de Paris.

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Bibliographie des Blattes

Posté par othoharmonie le 19 mai 2012

Des liens  à visionner : 

 

blatte dans BLATTES - TERMITES

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Message des grandes Baleines et des Grands Dauphins

Posté par othoharmonie le 19 mai 2012

les Q’iquoq’i de Gaia

Message des Grandes Baleines et des Grands Dauphins

 Image baleines - baleine, adorable, cachalot, requin, poisson, océan, mer, bleu, plongeur, orque

Nous sommes ici pour garder ensemble les océans ; c’est là notre raison d’être. Nous sommes les tisseurs du chant des mers qui entretient l’équilibre du corps émotionnel de la Grande Mère. Toutes les lignées familiales de nos nombreuses espèces ont la capacité d’émettre une large gamme de fréquences sonores et de vibrations de lumière dans les eaux  de la Terre, parlant ainsi aux molécules de l’eau, à l’essence spirituelle de la mer. Ces vibrations sont nécessaires pour conserver le rythme des mouvements ondulatoires, et ce, en vue d’établir la vitesse de la détérioration et de la nouvelle croissance dans les communautés végétales de la mer.

Nous parcourons d’énormes distances pour répandre cette musique partout sur le globe afin de nous assurer que l’équilibre demeure et que le corps émotionnel de Gaia conserve ses rythmes. Nous remplissons ce rôle ici sur la Terre, tout comme nos frères et sœurs Q’iquiq’i le font sur plusieurs autres stations célestes de ce grand univers. Notre objectif consiste toujours à tisser la lumière et à apporter la musique dans les mers et les océans de plusieurs mondes.

Vous croyez nous connaître, mais vous ne nous connaissez toujours pas. Presque toute votre espèce est extrêmement déconnectée des mondes spirituels et du royaume des animaux qui embellissent ce plan. Vous rendez-vous compte que tous les arbres de la planète pleurent quand l’un d’eux est abattu ?

Nulle distance ne peut empêcher d’atteindre le cœur conscient de la nature.

Les êtres ailés volent tous selon les courants magnétiques que Gaia leur procure dans sa sagesse. Leur chant est la dentelle du tissu musical terrestre où nous tissons les fils émotionnels de la voix unique de la Déité. Très peu d’entre vous comprennent que nous ne somme spas de simples mammifères marins vaguement apparentés à votre espèce. Ceux et celles qui sont bien éveillés sentent que nous portons la musique de ce monde. Nous avons une mission très précise à remplir, une mission qui touche l’entière population cosmique des mondes, car tout est interconnecté.

 

Nous sommes les Q’iquoq’i de Gaia, les maîtres de ce royaume.

Nous sommes ici avec vous juste un souffle 
Nous ne laisserons pas vos côtés. 
Nous n’avons jamais, à partir de votre création. 
Alors, respirez profondément … 
Tenez bon 
Utilisez votre discernement pour filtrer les images déformées de la lentille bondée et opaque 
Et marcher, noble et courageux que vous seuls savez comment, dans le New Dawn.

Bénis soient les enfants de Gaia. 
Soyez bénis. 
-Nous sommes les Présidents du Conseil Sirien haute

 Message des grandes Baleines et des Grands Dauphins dans BALEINE baleinbleu

Extrait de 2012 – Le Grand Rassemblement – Propos de Kryeon, Marie-Madeleine et les Hathors recueillis par Martine Vallée. Participation de Patricia CORI –  En supplément – Page 279.

 

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Les baleines nous disent

Posté par othoharmonie le 19 mai 2012

Extrait: 
Avant de nous ne vous laissons 
des messages à partir des grandes baleines et les dauphins Êtres

Les baleines nous disent dans BALEINE principale_baleines

Nous sommes ici pour tenir les océans ensemble – qui est notre but ici. Nous sommes les tisserands de la chanson des mers, maintenir l’équilibre de tout le corps émotionnel de la Grande Mère. A travers les lignes de la famille de nos nombreuses espèces, nous avons la capacité d’envoyer une vaste gamme de fréquences de sonar et les vibrations de lumière à travers les eaux de la Terre, en parlant à des molécules de l’eau; parler à l’essence esprit de la mer. Ces vibrations essentielles sont nécessaires pour maintenir les mouvements ondulatoires à leurs rythmes … pour définir le rythme de croissance nouvelle et à la détérioration dans les communautés végétales de la mer.

Nous sonnons la musique autour du globe et parcourir de grandes distances afin de s’assurer que l’équilibre demeure et le corps émotionnel qui Gaïa tient ses rythmes. Nous servons à ce titre, ici sur Terre, tout comme nos frères et sœurs Q’iquoq’i servir à de nombreuses autres stations célestes dans le vaste univers et toujours notre objectif est de tisser la lumière et apporter la musique aux mers et des océans de plusieurs mondes.

Vous croyez que vous nous le faire savoir … mais toujours pas vous. En tant qu’espèce, la plupart d’entre vous sont tellement déconnectés de le royaume des esprits, les royaumes de la vie – les animaux qui embellissent ce plan. Tu te rends compte que lorsque un arbre est abattu, chaque arbre sur la planète pleure?

Il n’ya pas de distance qui peut sensibilisation au cœur conscient de la nature. Les êtres ailés tous les vols à destination de flux magnétiques qui les Gaia, dans sa sagesse, fournit. Leur chanson, tu vois, c’est la dentelle de laquelle la musique de la Terre est le tissu – où nous tisser les fils émotionnels de la Divinité est la voix tout à fait unique.

Très peu d’entre vous comprendre que nous ne sommes pas tout simplement de marins des mammifères – à distance pour vous, mais pour la conscience très parmi vous, qui que nous nous sentions l’exécution de la musique de ce monde. Nous avons une mission très spécifique ici, celui qui effectue toute la population cosmique des mondes, car tout est relié.

Nous sommes le Q’iquoq’i de Gaia: Maîtres de ce royaume. 

 

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inclus dans le livre est une plate-forme amovible d’étonnantes cartes de méditation cétacés 
Alors, soyez sûr d’obtenir la version imprimée de celui-ci! 

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Migration des amphibiens

Posté par othoharmonie le 19 mai 2012

 

Migration des amphibiens dans GRENOUILLE grenouille-crapaud-gdLe Centre de coordination pour la protection des amphibiens et des reptiles de Suisse (karch) rend attentifs les automobilistes à la migration prochaine des amphibiens sur les routes. Comme chaque printemps, des milliers de grenouilles et de crapauds vont tenter de traverser les routes, et beaucoup vont se faire écraser par les voitures. Cette année, les amphibiens n’attendent que la fin des chutes de neige pour migrer.

Il est difficile cette année de dire quand est-ce que la majorité des amphibiens – grenouilles, crapauds et tritons – vont migrer. Ces animaux débutent généralement leur dangereux périple vers les points d’eau de reproduction une fois la neige fondue, durant les nuits pluvieuses, lorsque les températures sont légèrement supérieures à 0°C. C’est le cas dès la fin février dans la majorité des régions en Suisse. Cette année, l’hiver persiste à de nombreux endroits alors que le printemps s’est déjà installé ailleurs.

Au-dessus de 500 m d’altitude, la migration n’a guère commencé en raison du manteau neigeux persistant ou des températures encore trop basses. A basse altitude au contraire, les premières migrations ont débuté ces dernières nuits. Prévisions pour cette année: les migrations en masse vont débuter sitôt la neige fondue. Après une longue attente, l’ensemble des amphibiens va se donner la main pour migrer. Ces déplacements sont périlleux si une route doit être traversée pour gagner le point d’eau de reproduction. Si le trafic automobile est important, c’est un véritable massacre qui met en péril la survie de la population de grenouilles ou de crapauds.

Des gens se mobilisent pour secourir les amphibiens!
Le karch a connaissance de plus de 1000 lieux de migration d’amphibiens qui posent problème en Suisse. Dans plusieurs cas, des barrières de protection pour les amphibiens sont installées. Des bénévoles contrôlent ces barrières et transportent les animaux de l’autre côté de la chaussée. Ces travaux menés au bord des routes durant la nuit ne sont pas sans danger pour les sauveteurs. Le karch incite les automobilistes à rouler avec la plus grande prudence et à être attentifs aux amphibiens présents sur la chaussée. Aux endroits critiques, il est conseillé de rouler lentement (40 km/h). Les automobilistes qui en ont la possibilité sont priés d’éviter les tronçons critiques en empruntant des itinéraires de contournement. 

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Le rouge-gorge, un oiseau quantique

Posté par othoharmonie le 18 mai 2012

Le rouge-gorge, un oiseau quantique dans OISEAUX rouge_gorge-2Dès lors que l’on peut conférer un état intriqué à des solides grands et chauds, on peut s’interroger sur la possibilité de constater l’intrication quantique chez un être vivant ! Revoilà le spectre du chat de Schrödinger…

Ce n’est pas chez le chat, mais chez le rouge-gorge commun que l’on pourrait découvrir un « organe quantique ».

Le rouge-gorge est un oiseau migrateur, qui parcourt chaque année 13000 km de la Scandinavie à l’Afrique équatoriale, sans se perdre. Comment s’oriente-t-il ?

Dans les années 70, des expériences plaçant ces oiseaux dans un champ magnétique, montrèrent qu’ils ne sont pas sensibles aux inversions du champ magnétique. C’est à dire qu’ils ne distinguent pas le nord du sud. En revanche, ils distinguent l’inclinaison du champ magnétique, c’est à dire l’angle que celui-ci a par rapport à la surface terrestre.

Mais le plus étonnant, est que ses oiseaux perdent tout sens de l’orientation lorsqu’on leur bande les yeux…

En 2000, Thorsen Ritz, chercheur à l’université de Floride et passionné des oiseaux migrateurs, propose une explication : L’intrication quantique. Selon lui, la rétine d’un oiseau contiendrait une molécule contenant une paire d’électrons intriqués de spin total nul. Les photons de lumière, absorbés par la molécule, séparent les deux électrons qui deviennent alors sensibles au champ magnétique terrestre.

L’inclinaison du champ magnétique affecte différemment les deux électrons et déséquilibre le système intriqué. Ce déséquilibre se traduit par une réaction chimique, transmise par influx nerveux au cerveau, que ce dernier transforme en une image du champ magnétique.

Ainsi, l’oiseau serait doté d’un dispositif macroscopique ayant un fonctionnement quantique.

Pour le moment, il n’existe que des preuves indirectes de cette théorie. Mais l’étude en laboratoire de telles molécules montre qu’en effet, l’intrication de leurs électrons les rend sensibles à l’inclinaison du champ magnétique.

tatice-rouge-gorge-12248 dans OISEAUXLa photosynthèse, réaction complexe par laquelle les plantes convertissent la lumière en énergie, est peut-être un autre mécanisme macroscopique mettant en jeu l’intrication quantique. Les photons éjectent des électrons qui se dirigent tous vers un centre où la cellule accumule leur énergie et déclenche les réactions chimiques.

La physique classique ne parvient pas à expliquer l’efficacité quasi parfaite de ce mécanisme. L’intrication serait-elle responsable du rendement de cette réaction ?

Ainsi, la recherche du phénomène d’intrication dans la nature devrait se développer, et donner lieux à de nombreuses découvertes remettant sans cesse en question notre connaissance du monde.

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Rokh oiseau de feu

Posté par othoharmonie le 18 mai 2012

 

Rokh oiseau de feu dans OISEAUX 310px-Roc8954Le Rokh, Rock ou Roc des contes arabes est apparenté au Simurgh (de l’akkadien sūmurukū signifiant monture rougeoyante), présent dans les mythologies perses bien antérieures (le simurgh est par exemple très présent dans le Shah Nameh de Ferdowsi).

Oiseau de feu accompagnant l’orage, on rencontre des animaux mythologiques un peu similaires en tant que funeste présage d’une mort imminente surgissant comme la foudre, symbole de renouveau et d’immortalité et surtout gardien millénaire de l’arbre de la connaissance. Mais aussi dans maints contes populaires, notamment sous l’appellation de Rokh dans des passages des Mille et Une Nuits, dans l’Histoire de Sindbad le marin : « …un oiseau énorme aux ailes formidables… …répandant l’obscurité sur l’île. » « …oiseau de grosseur extraordinaire… …dans une île fort éloignée, et qui pouvait soulever un éléphant. »

Parmi les oiseaux mythiques comparables (ce qui n’implique cependant pas une origine commune) se trouvent le Fenghuang ou l’Oiseau vermillon chez les Chinois, Garuda pour les Thais, les Indiens et les Indonesiens, Suzaku pour les Japonais, le Phénix chez les Grecs.

Le Rokh peut aussi être rapproché du mythe de Prométhée (« le prévoyant ») dont l’aigle de Zeus dévore le foie chaque jour pour le punir d’avoir offert le feu à l’humanité. On peut aussi évoquer l’oiseau tonnerre pour les Amérindiens, le Pouākai pour les Maoris (mythe peut-être né de l’aigle de Haast, aujourd’hui disparu) et l’oiseau Minka pour les aborigènes d’Australie.

Le ratite géant de Madagascar appelé Aepyornis aurait selon certains pu être une des influences de l’imagination des conteurs qui relatèrent l’existence de cet oiseau mythique, si l’on ne tient pas compte que ce dernier était quasiment aptère.

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Oiseau mythologique

Posté par othoharmonie le 18 mai 2012

Garuda, mythe hindouiste

Garuda (aigle en sanskrit) est un oiseau fabuleux de la mythologie hindouiste et bouddhiste, fils de Kashyapa et de Vinatâ et frère d’Aruna, le conducteur du char de Sûrya. C’est le vâhana ou véhicule de Vishnu.

Garuda peut aussi être vu comme un aigle géant mythique, ennemi aérien naturel des nâgas, serpents des eaux et de la terre. Mais Nâga et Garuda ne sont en fait que deux incarnations de Vishnu, les deux aspects de la substance divine, en qui ils se réconcilient.

Fichier:Garuda by Hyougushi in Delhi.jpgGaruda est l’emblème de l’Indonésie. Le personnage, comme bien d’autres références culturelles indiennes est toujours vivant dans la culture traditionnelle à Java, l’île la plus peuplée d’Indonésie. Les cours royales et princières de Java, même après que les souverains se furent convertis à l’islam, ont en effet préservé une culture imprégnée d’éléments et de modèles indiens. La compagnie aérienne nationale est Garuda Indonesia.

C’est aussi l’emblème de la monarchie en Thaïlande ; un drapeau jaune frappé d’un Garuda rouge (appelé en thaï Khrouth) flotte sur le palais quand le roi est présent. Il est aussi considéré comme un emblème national, puisqu’il orne les bâtiments officiels, le passeport et les billets de banque (voir Baht). En reconnaissance des services rendus à la nation, le roi accorde à quelques grandes sociétés commerciales le droit de l’utiliser pour décorer leur façade et leurs documents officiels.

Le Garuda, appelé Khangarid, est le symbole de la capitale de la Mongolie, Oulan-Bator. Selon la croyance mongole populaire, Khangarid est l’esprit de la montagne du Bogd Khan Uul qui est devenu partisan du bouddhisme. Aujourd’hui il est considéré comme le gardien de cette montagne et un symbole de courage et d’honnêteté. L’oiseau donne aussi son nom à Hangard aviation et Khangarid est une équipe participant au Championnat de Mongolie de football.

Au Tibet, Khyung est le nom tibétain du Garuda.

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Fenghuang, oiseau chinois

Posté par othoharmonie le 18 mai 2012

Fenghuang, oiseau chinois dans OISEAUX 225px-Longshan_Temple_-_FenghuangLe fenghuang (pinyin : fènghuáng) ou phénix chinois est un oiseau mythique qui règne sur tous les autres oiseaux. On dit qu’il est le plus doux et le plus sage des oiseaux. Les mâles sont appelés feng et les femelles huang. Cette distinction des genres est parfois éclipsée pour ne former qu’une seule entité féminine. En effet cet oiseau est souvent associé au dragon (dont il est parfois considéré comme le père) qui est son pendant masculin. Il était d’ailleurs l’emblème personnel de l’impératrice (celui de l’empereur étant le dragon), et apparaissait pour annoncer, comme le qilin, la naissance d’un grand philosophe.

Le fenghuang est parfois confondu avec l’oiseau vermillon du sud ; en fait, le fenghuang est un oiseau vivant sur Terre, tandis que l’oiseau vermillon est un esprit du zodiaque.

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Oiseaux d’Esope 2

Posté par othoharmonie le 18 mai 2012

Oiseaux d'Esope 2 dans OISEAUX le-combat-des-oiseauxD’un Vautour et des autres Oiseaux.

 Un Vautour ayant manqué plusieurs Oiseaux de son voisinage, feignit qu’il avait envie de les traiter et de leur donner un grand repas, en signe d’une parfaite réconciliation. Les Oiseaux, trop faciles et trop crédules, trompés par ces belles apparences, ne manquèrent pas de se trouver en foule à la fête, se flattant d’être bien régalés, et que c’était une belle occasion de se réconcilier pour toujours avec un ennemi si dangereux, et qui leur faisait depuis longtemps une guerre si cruelle. Mais ils furent bien épouvantés quand ils virent qu’il se jetait sur eux, et qu’il les égorgeait impitoyablement les uns après les autres. Ils reconnurent à leurs dépens le peu de fond qu’il faut faire sur les belles paroles d’un ennemi.

 

ANALYSE D’ESOPE

 

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29f11e4b885fe1c98560be65b5af674fDu Rossignol et de l’Hirondelle.
 L’Hirondelle volant loin des champs trouva dans une forêt déserte le Rossignol au chant clair. Philomèle pleurait Itys prématurément arraché à la vie. Et l’Hirondelle lui dit:  » Salut, très chère. C’est la première fois que je te vois depuis la Thrace, mais viens dans la campagne et dans la demeure des Hommes ; tu vivras sous notre toit et tendrement aimée. Tu chanteras pour les laboureurs, non pour les bêtes.  » Le Rossignol à la voix sonore lui répondit:  » Laisse-moi habiter dans les rochers déserts, car les maisons et la fréquentation des Hommes rallumeraient en moi le souvenir de mes anciennes misères.  » Cette fable signifie qu’il vaut mieux vivre sans souffrances dans la solitude que d’habiter avec le malheur dans les cités.

analyse d’Esope

 

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D’un Oiseleur et d’un Pinson.
Un Oiseleur avait tendu ses filets aux Oiseaux et répandu pour eux sur l’aire une pâture abondante. Cependant il ne prenait pas les Oiseaux en train de picorer parce qu’ils lui semblaient trop peu nombreux. Ceux-ci une fois rassasiés s’envolèrent. D’autres vinrent en quête de nourriture. Cette fois encore il dédaigna de les prendre, à cause de leur petit nombre. Le même manège dura toute la journée : des Oiseaux survenaient, d’autres s’éloignaient et l’Homme attendait toujours une proie plus considérable. Enfin le soir commença à tomber. Alors l’Oiseleur perdant l’espoir de faire une grande prise et songeant qu’il était l’heure de se reposer, ramassa ses filets. Il prit seulement un Pinson qui, le malheureux s’était attardé sur l’aire. Cette fable montre que ceux qui veulent tout embrasser, bien souvent ne prennent, et à grand-peine, que peu de choses.

analyse d’Esope

 

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Le Combat des Oiseaux et des Animaux terrestres.

   Les Oiseaux et les Animaux terrestres se déclarèrent la guerre pour la prééminence, et pour défendre l’honneur de leur espèce. Pour décider leur grande querelle, ils se donnèrent bataille. La victoire balança longtemps sans se déclarer et sans prendre parti. La Chauve-Souris, qui se persuada que les Oiseaux allaient être vaincus, se rangea du côté des Animaux terrestres. Sa prévoyance fut trompée ; les Oiseaux remportèrent une victoire complète sur leurs ennemis, contre l’attente de la Chauve-Souris qui fut chassée de la compagnie des Oiseaux. Elle eut tant de honte et de douleur de son infortune, que depuis ce temps-là elle n’ose plus voler en plein jour, et ne se montre que la nuit.
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Posté par othoharmonie le 18 mai 2012

De l’Hirondelle et des autres Oiseaux.

 Lorsque la saison de semer le lin fut venue, l’Hirondelle voulut persuader aux autres Oiseaux de faire tous leurs efforts pour s’opposer à cette semaille, qui devait leur être si funeste. Les autres Oiseaux se moquèrent de ses conseils, lui disant qu’elle s’alarmait mal à propos. Quand le lin fut prêt à sortir de terre, elle leur conseilla de l’arracher ; ils n’en voulurent rien faire, et ne s’inquiétèrent nullement de ses avis. Lorsque l’Hirondelle vit que le lin commençait à mûrir, elle les exhorta à piller les blés ; mais ils ne s’en mirent pas en peine. L’Hirondelle voyant que ses remontrances étaient inutiles, se sépara des autres Oiseaux,  dans OISEAUX Esope_06_Hirondelle_Oiseaux-e1064et rechercha le commerce des hommes avec qui elle fit amitié.
Depuis ce temps-là elle habite dans les maisons, elle y fait son nid, on l’y laisse vivre en repos, et l’on se sert du lin pour faire des filets, et pour tendre des pièges aux autres Oiseaux.

analyse d’Esope

 

Du Geai paré de plumes de Paon.

    Un Geai plein de vanité se para avec des plumes de Paon qu’il avait ramassées. Cet ornement emprunté lui causa tant d’orgueil, qu’il en conçut du mépris pour les autres Geais. Il les quitta et se mêla fièrement parmi une troupe de Paons, qui reconnaissant sa supercherie, le dépouillèrent sur-le-champ de ses plumes postiches. Cet animal tout honteux après cette disgrâce, voulut retourner avec les Geais ; mais ils le rebutèrent violemment, et lui donnèrent tant de coups de bec, qu’ils lui arrachèrent toutes ses plumes empruntées ; de sorte qu’il se vit méprisé des autres Oiseaux, et même de ceux de son espèce.

ANALYSE D’ESOPE

 

De l’Épervier et de la Colombe.

   L’Épervier en poursuivant une Colombe, tomba imprudemment dans les filets qu’un Paysan avait tendus. Se voyant pris de la sorte, il employa toute son éloquence pour persuader au Paysan de lui rendre la liberté. Entre les raisons qu’il lui allégua pour le toucher, il lui dit qu’il ne lui avait jamais fait de tort.  » Cela peut être, lui répliqua le Paysan ; mais la Colombe que tu poursuivais maintenant avec tant d’ardeur, dans l’intention de la dévorer, ne t’avait aussi jamais offensé.  »

ANALYSE D’ESOPE 

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Oiseau sur timbres

Posté par othoharmonie le 18 mai 2012

Oiseau sur timbres dans OISEAUX 220px-Stamp-Basler_TaubeLe thème de l’Oiseau est l’un des plus populaires de la philatélie thématique.

Les premières apparitions des oiseaux sur timbre ont généralement une forte connotation symbolique. En 1843, un aigle impérial figure dans le blason du timbre appelé Double de Genève émis par le canton suisse correspondant. En 1845, toujours en Suisse, la colombe de Bâle est le premier timbre dont le motif principal est un oiseau dans sa dimension symbolique. D’une manière très symbolique, la poste française, utilise comme symbole l’oiseau postal qui a figuré sur certains timbres.

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Oiseau postal

Posté par othoharmonie le 18 mai 2012

Oiseau postal dans OISEAUX 220px-Logo_ptt_1960L’oiseau postal ou oiseau-flèche est le logotype des entreprises publiques successives des postes en France depuis 1960.

Créé par l’affichiste Guy Georget, ce logotype a existé sous deux formes : à cinq polygones en 1960, puis l’artiste le reprend avec trois polygones en 1978. L’oiseau stylisé pointe vers la droite.

Il a été utilisé sous différentes couleurs par les PTT, puis La Poste, et enfin La Banque postale créé en 2006.

Sur les produits philatéliques, cet oiseau est utilisé pour la première fois sur un aérogramme émis en octobre 1970. Le peintre Joan Miró en signe une réinterprétation libre pour un timbre-poste de 1974 annonçant l’exposition philatélique Arphila ’75 de Paris, première œuvre artistique créée spécialement pour figurer sur un des grands formats de la Série artistique.

L’oiseau apparaît ensuite lors d’événements de la vie de l’entreprise postale. En 1972, il fait office de pointe de stylo sur deux timbres encourageant l’utilisation du nouveau code postal à cinq chiffres. En 1981, dans une écharpe tricolore, il commémore le centenaire de la Caisse nationale d’épargne. En 1984, il sert en fond d’illustration pour l’inauguration du TGV postal. La Journée du timbre de 1992 mettant en valeur l’accueil dans les bureaux de poste, il apparaît au fronton de celui dont la photographie illustre le timbre.

Comme La Poste est partenaire du parcours de la flamme olympique des Jeux olympiques d’hiver à Albertville, le logotype est utilisé sur le timbre de 2,50 francs du 15 novembre 1991.

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Oiseau Vermillon

Posté par othoharmonie le 18 mai 2012

Oiseau Vermillon dans OISEAUX 220px-Segalen-24-Shen-Que-Red-BirdL’Oiseau Vermillon du Sud (chinois : pinyin : nán fāng zhū què) est l’un des quatre animaux totem des orients et du zodiaque chinois. Il ne doit pas être confondu avec le Fenghuang, le phénix chinois. En effet le Fenghuang règne sur tous les oiseaux du monde terrestre tandis que l’Oiseau Vermillon est un esprit qui demeure dans le ciel. Aussi appelé par les Japonais « Suzaku »  

Maisons lunaires

  • Dongjing  - Le Bien, le puit, les Gémeaux , Chichiri en japonais
  • Yugui – Les Fantômes, Les démons, l’ogre, le Cancer , Tamahome en japonais
  • Liu – Le Saule, l’Hydre , Nuriko en japonais
  • Qixing  - L’Étoile, α Hydrae (Alphard) , Hotohori en japonais
  • Zhang  - Le Filet déployé, Allongé, la Coupe , Tasuki en japonais
  • Yi  - Les Ailes, le Corbeau , Chiriko en japonais
  • Zhen – Le Char, la tristesse, le Corbeau , Mitsukake en japonais

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Pluie d’Oiseaux

Posté par othoharmonie le 18 mai 2012

 

Pluie d'Oiseaux dans OISEAUX 260px-478px-Pluie_de_chatsLa pluie d’animaux est un phénomène météorologique extraordinaire de chute du ciel de nombreux animaux, souvent d’une seule espèce. Cette précipitation atypique est accompagnée ou non d’une averse classique. On trouve témoignage du phénomène dans de nombreux pays et à de nombreuses époques, et il a suscité mystères et controverses à travers l’Histoire.

Ce sont le plus souvent des poissons et des grenouilles qui se trouvent dans ces « pluies », mais certaines espèces d’oiseaux sont aussi fréquemment mentionnées. Le phénomène est souvent si violent que les animaux retombent déchiquetés. Cependant, les animaux survivent parfois à cette chute, en particulier les poissons, ce qui laisse penser que le laps de temps séparant le « décollage » et le retour au sol est relativement faible. De nombreux témoignages décrivent les grenouilles tombées du ciel comme parfaitement intactes. Il arrive aussi fréquemment que les animaux tombent du ciel gelés, parfois emprisonnés dans la glace, ce qui tendrait à montrer que certains animaux terrestres sont projetés à des altitudes élevées où la température est inférieure à 0 °C.

À l’époque moderne, et grâce à l’essor de la presse, des témoignages beaucoup plus fiables et toujours plus nombreux attestent du phénomène. Quelques exemples choisis :

  • Le 16 février 1861, la ville de Singapour connaît un important tremblement de terre, suivi de trois jours de pluies importantes. Après trois jours et la fin des pluies, les habitants découvrent dans les flaques des milliers de poissons chats. Les autochtones affirment les avoir vus tomber du ciel, les occidentaux se montrent plus prudents dans leurs témoignages. Une fois les eaux retirées, on trouve d’autres poissons dans les flaques asséchées, notamment à des endroits n’ayant pas été touchés par l’inondation.
  • Le 18 août 1961, à Santa Cruz en Californie, une pluie d’oiseaux se jettent contre les domiciles. Une étude de 2011 a montré que des conditions marines et météorologiques particulières ont produit une efflorescence d’algues notamment des Pseudo-nitzschia pouvant produire de l’acide domoïque. Ces algues furent consommées par des poissons puis par des oiseaux puffins fuligineux. Les volatiles intoxiqués se sont alors venus percuter la côte. Ce fait divers a été l’une des influences du film Les Oiseaux d’Alfred Hitchcock.
    • 7 janvier 2011 : 80 pigeons tombent morts près de la ville de Fossambault au Québec.
    • 8 janvier 2011 : Pluie de tourterelles et de pigeons à Faenza près de Ravenne en Italie (plusieurs centaines).

En ce qui concerne les pluies d’oiseaux morts, hormis les tornades, les ornithologues privilégient la thèse de collisions en série dues à un mouvement de panique au sein des grands rassemblements hivernaux d’oiseaux dans les villes.

Une attaque de prédateur, un tir de feu d’artifice ou toute autre perturbation peut désordonner le groupe, sous le coup d’une peur brusque, et être à l’origine des collisions mortelles en vol qui ne sont pas très rares.

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L’oiseau et la poule

Posté par othoharmonie le 18 mai 2012

 

L'oiseau et la poule dans OISEAUX dyn001_original_526_585_pjpeg_2569681_a9d0525edaae52dd0950ca755e905e20L’oiseau vint dire à la poule : « Poule, tu as des ailes, pourquoi ne peux-tu pas prendre ton envol comme je le fais ?
—Parce que je n’en suis pas capable », répondit la poule. L’oiseau reprit : « Pourquoi parler ainsi ? Tu as des pattes, des ailes comme les miennes et tout ce qui est dans mon corps est aussi dans le tien. »
Lorsque la poule l’entendit, vexée, elle se fâcha et ne voulut plus écouter les paroles de l’oiseau : « Va-t’en, dit-elle, coucher dans le désert, laisse-moi dormir dans la maison ; je n’apprécie pas le langage que tu m’as tenu.
—Puisque tu ne veux pas entendre mes paroles, continua l’oiseau, demain les gens te prendront, te tueront et mangeront ta chair. Tu n’as pas d’intelligence : alors que je viens t’apprendre la sagesse, tu me repousses ! Bientôt, lorsque tu verras les gens venir pour te tuer, peut-être alors m’écouteras-tu. » La poule répondit : « Va-t’en, je n’ai que faire de toi.
—Très bien », dit l’oiseau en partant se percher sur un arbre.

Dès l’aurore, le maître de maison se leva et saisit un bâton pour tuer la poule. À sa vue, celle-ci prit son vol, traversa la maison de son maître en poussant des plaintes : « Ce que l’oiseau m’avait prédit hier est arrivé, alors que j’ai refusé de l’écouter ! »
L’oiseau, toujours perché sur son arbre, dit à la poule : « Entre dans les herbes : si ton maître te voit, il te tuera. Quand tu seras au milieu de la verdure, ne bouge pas, reste tranquille. » Elle l’écouta et s’enfuit dans le fourré. L’homme chercha dans l’herbe après elle, sans succès. Fatigué, il rentra chez lui.

En le voyant partir, la poule sortit des herbes pour rejoindre l’oiseau. Celui-ci lui donna de nouveaux conseils : « S’il vient pour te tuer, ponds un œuf. Quand il le verra, il pensera : la poule pond des œufs, je ne la tuerai pas. Mais il prendra l’œuf, s’en ira le faire cuire avec du sel, le mangera et sera content. Chaque matin, il viendra chercher à l’endroit où tu pondras un œuf. Voilà le conseil que je te donne, ne l’oublie pas.
—Je te remercie, mon frère, répondit la poule, je ferai ce que tu m’as recommandé, aujourd’hui, demain, jusqu’à ma mort. Je te remercie beaucoup. »
L’oiseau ajouta : « Si tu écoutes mes paroles, les gens n’auront plus envie de te tuer. »
Puis il s’en alla.

L’histoire de l’oiseau et de la poule est terminée.

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Poisson de feu

Posté par othoharmonie le 18 mai 2012

 Gobie de feu (Nemateleotris magnifica)Le poisson de feu ou gobie de feu (Nemateleotris magnifica) est un petit poisson qui s’adapte très bien à la vie dans un bac récifal. C’est un poisson idéal pour un débutant en aquariophilie marine par sa maintenance très facile. 250 litres conviennent parfaitement pour un petit groupe de 3 ou 4 individus.

 Si on leur crée une petite plage de sable avec un courant assez important, les gobies de feu retrouveront leur habitat idéal. Nemateleotris magnifica est très facile à nourrir, s’il y a des pierres vivantes, il complétera correctement son alimentation constituée dans un premier temps de proies vivantes et congelées, puis la nourriture séche est parfaitement acceptée.

Ce gobie vit une relation symbiotique très intéressante avec les crevettes du genre Alpheus. La crevette s’occupe du terrier qu’elle habite avec le gobie qui lui fournit les restes de son repas.

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