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Les poissons-clowns

Posté par othoharmonie le 10 mai 2012

 

Les poissons-clowns sont de taille modeste ; adultes leur taille varie de 6 cm à 16 cm. Les pères vivent avec leurs jeunes. Les  Amphiprion polymnuspoissons-clowns sont hermaphrodites ; tous mâles à la naissance, ils pratiquent la protandrie. La vie en société des poissons-clowns est basée sur une hiérarchie dirigée par une femelle, toujours plus grande que le mâle.

Les caractéristiques qui les distinguent des autres sous-familles sont de 50 à 78 rangs d’écailles, des opercules généralement dentelées, une nageoire dorsale composée de 10 épines — neuf ou 11 dans de rares cas — et généralement 14 à 20 rayons souples.

Leur couleur, globalement dans les tons orange, varie du jaune-orangé à l’orange sombre voire rose. Certaines espèces ont de 0 à 3 bandes verticales blanches ou une bande dorsale.

Les poissons-clowns se rencontrent communément dans les eaux chaudes de la zone Indo-pacifique et en mer rouge. Ils sont absents dans l’Atlantique et des Caraïbes. Bien que la plupart des espèces aient des aires de répartition limitées d’autres sont largement distribués.

Les poissons-clowns sont des espèces qui fréquentent les lagons et les récifs coralliens jusqu’à 40 m de profondeur.

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En 2001, K.L. Tang a confirmé que la sous-famille des Amphiprioninae est monophylétique. Le genre Premnas a été fusionné à Amphiprion, et est considèré comme un synonyme plus récent.

voici un liste de poissons clown issue de Wikipédia :

 

 

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Les poissons-chats

Posté par othoharmonie le 10 mai 2012

 

La plupart des poissons-chats sont adaptés à un mode de vie benthique. En général, ils sont peu dynamiques, ce qui signifie qu’ils vivent principalement dans la zone inférieure en raison de leur petite vessie natatoire et leur crâne particulièrement  Pléco commun (Hypostomus plecostomus)lourd. Il existe une grande variété de formes chez les Siluriformes, même si la plupart ont un corps cylindrique avec un ventre plat permettant l’alimentation benthique.

Leur tête aplatie leur permet de creuser le substrat et peut-être leur sert d’hydroglisseur. La plupart des poissons-chats ont une bouche extensible qui ne contient pas de dents incisives. Ils s’alimentent généralement par succion ou par aspiration au lieu de mordre et de couper leurs proies. Toutefois, certaines familles, notamment des Loricariidés et des Astroblepidés, ont une bouche en ventouse qui leur permettent de se fixer à des objets se déplaçant rapidement dans l’eau. Les poissons-chats ont également une maxillaire réduite à un soutien à barbillons, ce qui signifie qu’ils sont incapables de faire saillir leur bouche, contrairement à d’autres poissons, tel que les carpes.

 

Les poissons-chats possèdent jusqu’à quatre paires de barbillons : nasal, maxillaire (de chaque côté de la bouche), et deux paires de barbillons au menton, bien que des paires de barbillons peuvent être absentes, selon les espèces. Leurs barbillons jouent un rôle important dans la détection de la nourriture compensant leurs petits yeux très peu performants. Ils sont particulièrement importants chez les espèces nocturnes ou celles qui affectionnent les zones sombres et ombragées ou les eaux troubles. Comme d’autres Ostariophysi, ils se caractérisent par la présence d’un appareil de Weber. Leur appareil wébérien et leur petite vessie permettent d’améliorer leurs sens ainsi que leur reproduction.

 

Les poissons-chats n’ont pas d’écailles, leur corps est souvent doté d’une simple peau. Chez certaines espèces, la peau est couverte d’un mucus favorisant la respiration cutanée. Mais chez certains poissons-chats, la peau est couverte de plaques osseuses appelées scutes formant une sorte d’armure. On la trouve notamment chez les loricarioidés et chez les espèces du genre Sisor d’Asie, l’armure est principalement composée d’une ou de plusieurs rangées de plaques dermiques. Des plaques semblables se trouvent chez des espèces de Lithodoras. Ces plaques sont peut-être soutenues par des excroissances des vertèbres, comme chez les scoloplacidés et les Sisor, mais les excroissances ne s’unifient pas en plaques ou en forme d’armure externe. En revanche, dans les sous-familles Doumeinae (famille Amphiliidae) et hoplomyzontines (Aspredinidae), l’armure est formée uniquement par des excroissances vertébrales qui forment des plaques. Enfin, l’armure latérale des doradidés, des Sisor et des Hoplomyzontines compose la ligne latérale de l’osselet hypertrophié avec la lamina dorsale et ventrale.

Tous les poissons-chats, à l’exception des Malapteruridés (poissons-chats électriques), possèdent une colonne vertébrale solide et creuse formant des rayons osseux aux nageoires dorsale et pectorale. Pour se défendre, ses épines peuvent être exorbitées et maintenues vers l’extérieur et peuvent infliger de graves blessures. Plusieurs espèces de poissons-chats peuvent utiliser ces rayons osseux comme une piqûre de protéines, si le poisson est irrité. Ce venin est produit par les cellules glandulaires dans le tissu épidermique couvrant les épines. Chez les Plotosidés, et chez les espèces du genre Heteropneustes, cette protéine est si forte que si un homme a le malheur de se faire piquer, notamment par celle de Plotosus lineatus, elle peut s’avérer fatale.

 

Poisson-chat commun (Ameiurus melas)Les poissons-chats juvéniles, comme la plupart des poissons, ont relativement une grosse tête, les yeux et les nageoires postérieures sont médianes par rapport aux adultes. Ces jeunes peuvent être facilement classés dans leur famille, en particulier ceux avec des nageoires dérivés ou la forme du corps; dans certains cas, l’identification du genre est possible. Les caractéristiques connus chez la plupart des poissons-chats, la position de la bouche et des nageoires, la forme des nageoires, la longueur des barbillons montrent peu de différence entre les jeunes et les adultes. Pour de nombreuses espèces, la pigmentation est également similaire chez les jeunes et les adultes. Ainsi, les jeunes ressemblent généralement déjà à un poisson-chat et se développent dans leur forme adulte sans véritables distinctions. Les exceptions à cette règle sont les Ariidés, où les jeunes conservent longtemps leur sac vitellin durant le stade juvénile, et de nombreux Pimelodidés, qui peuvent avoir des barbillons plus allongés et des nageoires en filaments ou une coloration variante.

Le dimorphisme sexuel est visible chez environ la moitié des familles de poissons-chats. La modification de la nageoire anale en pénis, ainsi qu’en structures accessoires de l’appareil de reproduction a été décrite chez des espèces appartenant à 11 familles différentes.

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Poissons-Anges

Posté par othoharmonie le 10 mai 2012

 

En zoologie, le nom vernaculaire Poisson-ange désigne plusieurs espèces de poissons, pour la plupart marins.

 Pomacanthus navarchus Comme par exemple Le Poisson-ange amiral (Pomacanthus navarchus ) est une espèce de poissons de la famille des pomacanthidé. Il est réparti dans l’Indo-Pacifique, mais principalement dans le Pacifique Ouest. La taille maximum de pour cette espèce est de 14 cm

 

Ou l’Ange de mer impérial

ou Poisson-ange empereur (Pomacanthus imperator) est un poisson de l’océan Indien, Pacifique et de la mer Rouge. Il peut mesurer jusqu’à 38 cm.

Poissons-Anges dans POISSON 220px-Pomacanthus_imperator_juvenileIl vit jusqu’à 5 ans en aquarium.

Lorsque l’on veut acquérir un Pomacanthus imperator, il est préférable de l’acquérir juvénile car en vieillissant, l’acclimatation devient délicate. C’est un poisson territorial qui demande donc un aquarium d’une grande capacité.

 

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