Grenouille rieuse

Posté par othoharmonie le 24 mars 2012

 

La Grenouille rieuse (Pelophylax ridibundus) est une espèce d’amphibiens de la famille des Ranidae.

Grenouille rieuse dans GRENOUILLEProche des autres grenouilles vertes d’Europe comme la Grenouille de Lessona ou la Grenouille comestible, elle se caractérise par sa grande taille : c’est la plus grosse grenouille indigène d’Europe. Elle a longtemps été classée avec les grenouilles brunes dans le genre Rana (sous le nom de Rana ridibunda) et n’a reçu son affiliation au genre Pelophylax, regroupant les grenouilles vertes d’Europe, qu’en 2006 lors de la révision phylogénétique des Amphibiens du monde (Frost et al., 2006).

Étymologie : ridibundus est un mot latin signifiant « tout riant, avec la mine riante » (Gaffiot) par allusion à son chant.

La cuisse de grenouille est apparue dans la gastronomie européenne au cours du xvie siècle. Il existe une consommation traditionnelle de grenouilles vertes (P. kl. esculentus) dans les zones de marais, comme en Vendée, ou dans les Dombes. Dans les zones montagneuses, comme le Jura ou les Ardennes, il y avait une tradition de consommation de Grenouilles rousses (Rana temporaria).

 dans GRENOUILLELa France est le principal importateur avec 3 000-4 000 t/an de cuisses surgelées destinées à la grande distribution en provenance des pays d’Extrême-Orient (Indonésie, Chine…) et de 700-800 t/an de grenouilles vivantes destinées surtout à la restauration, à partir des pays méditerranéens (Turquie, Egypte, Albanie…).

Des essais d’élevage intensif ont été mis en place dans les années 1980 dans l’ouest de la France. P. ridibundus s’est avérée la plus intéressante pour l’élevage intensif. Face à la réduction des stocks naturels, l’élevage pourrait être un recours pour protéger les populations naturelles surexploitées.

  • Animal domestique

La race « Rivan 92 » de la grenouille rieuse est considérée comme domestique en France.

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Cuisses de grenouilles

Posté par othoharmonie le 24 mars 2012

 

Cuisses de grenouilles dans GRENOUILLEComme Alexandre Dumas le fait remarquer dans Le grand dictionnaire de cuisine : « Bien des médecins du Moyen-Age se sont opposés à ce qu’on mangeât cette viande qui cependant est blanche et délicate et contient un principe gélatineux plus fluide et moins nourrissant que celui des autres viandes. » Cependant il relève qu’ « Au seizième siècle pourtant, les grenouilles étaient servies sur les meilleures tables, et Champier se plaignit de ce goût qu’il regarda comme bizarre, et il y a un siècle à peu près qu’un Auvergnat, nommé Simon, fit une fortune considérable avec les grenouilles qu’on lui envoyait de son pays, qu’il engraissait et qu’il vendait ensuite aux premières maisons de Paris où cet aliment était fort à la mode. »

On peut donc en déduire que ce mets est consommé en France depuis cette époque. Dumas toujours nous dit qu’ « En Italie et en Allemagne on fait une grande consommation de ces batraciens et les marchés en sont couverts, et les Anglais qui en ont horreur et qui, pour cela sans doute, faisaient il y a environ soixante ans des caricatures représentant des Français mangeant des grenouilles … »

Pour les Anglais, effectivement, les Français sont par excellence des « mangeurs de grenouilles » (anglais : Frog-eaters), Français qu’ils surnomment donc plus ou moins affectueusement, en contractant l’expression précédente, Frogs ou Froggies.

 dans GRENOUILLEAu cours des siècles le mode de préparation des grenouilles en France à connu plusieurs variantes. Si aujourd’hui on connait surtout la préparation dite descuisses de grenouille à l’ail, soit au beurreail et persil, Dumas dans son ouvrage présente le Potage de grenouilles ou les Grenouilles en fricassée de poulet.

Vers 1780Luigi Galvani fait une expérience sur des cuisses de grenouille, étudiant la contraction des muscles sous l’influence d’une décharge d’électricité statique et ouvre ainsi la voie à la découverte des cellules électrochimiques par Alessandro Volta qui sont connues de nos jours sous le nom de piles électriques.

Les cuisses de grenouille sont utilisées comme ingrédient principal ou secondaire dans des préparations culinaires de plusieurs pays situés sur au moins trois continents. En Europe, la France en est le plus gros consommateur, elle importe entre 3000 et 4000 tonnes de cuisses par année. En Suisse, selon les statistique des douanes, entre 1995 et 2000 ce ne sont pas moins de 850 tonnes de cuisses qui ont été importées. En Allemagne la demande annuelle est d’environ 11 tonnes.

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Avant d’être grenouille

Posté par othoharmonie le 23 mars 2012

 

Avant d'être grenouille dans GRENOUILLE tetardÀ un de ses stades de développement, la larve de la grenouille est appelée un têtard.
  Le cycle de croissance d’une grenouille peut se décomposer en 9 étapes :

  1. Avant l’éclosion
  2. Larves juste après l’éclosion s’accrochant à des algues
  3. Avec des branchies extérieures
  4. Les branchies extérieures sont recouvertes et sont absorbées
  5. Larves sans membres d’environ un mois avec des branchies internes
  6. Têtard avec jambes arrières, d’environ deux mois
  7. Avec les jambes avant qui paraissent
  8. Avec les quatre jambes libres
  9. Une jeune grenouille d’environ trois mois, montrant une absorption presque totale de la queue ainsi que le changement de la gueule de têtard en celle de grenouille.

 Au sortir de l’œuf, le têtard est caractérisé par une grosse tête confondue avec son abdomen (d’où son nom), et il respire grâce à des branchies internes ou externes. Il n’a pas encore de pattes, mais est munie d’une queue natatoire.

 Les couleurs et tailles et les motifs qui peuvent orner les robes des têtards varient selon les espèces. Ils sont généralement brun-noir à noir, avec parfois des ponctuations plus claires ou des points dorés… Chez certaines espèces, une partie des têtards peut passer un hiver complet dans la vase et ne se métamorphoser qu’à la fin du printemps suivant. Ces têtards sont beaucoup plus grands que les autres (parfois plus grands que l’adulte). Ils cessent de se nourrir lors de la métamorphose, durant laquelle leur taille se réduit.tetard_ml dans GRENOUILLE

 Jusqu’au début du XXème siècle, dans les grands lacs, dans les étangs des zones tempérées, les têtards pouvaient être présents par millions.

Une grande partie des têtards échappent à la prédation par les oiseaux et les poissons (toxicité, faible appétence, camouflage pour certaines espèces). C’est le jeune amphibien qui sera au stade suivant le plus victime de prédateurs ou de maladies ou de déshydratation, gel, etc.

 En savoir plus, clic ici….  http://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%AAtard

 

 

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La grenouille et l’homme

Posté par othoharmonie le 23 mars 2012

File:Bundesarchiv Bild 183-1987-0415-005, Krötenschutz, Warnschild zur Krötenwanderung.jpgLa grenouille d’élevage est principalement produite pour sa chair. La race « Rivan 92 » de la grenouille rieuse est considérée comme domestique en France.

 En cuisine, ce sont les cuisses qui sont consommées. On parle de déguster des cuisses de grenouille. Les Français ont la réputation mondiale d’être des mangeurs de grenouilles, ce qui leur a valu leur surnom anglais de froggies, frog signifiant grenouille en anglais. Ainsi, on appelle « Vallée des grenouilles » un quartier de Londres, peuplé de beaucoup de Français.

 Grenouille  de laboratoire

La grenouille est l’un des animaux utilisés couramment dans l’enseignement pour étudier par la dissection le système nerveux, l’appareil digestif ou l’appareil uro-génital.

 Les espèces du genre Xenopus, qui ont pour certaines la rare particularité pour un animal d’être polyploïdes, sont utilisées comme modèle en laboratoire, notamment dans l’étude de l’embryogénèse et génétique du développement.

 Vocabulaire

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Grenouille de compagnie

Posté par othoharmonie le 23 mars 2012

La grenouille fait partie des nouveaux animaux de compagnie (NAC).

File:Die Gartenlaube (1887) b 385.jpg On a par ailleurs relevé un cas d’apprivoisement de grenouille sauvage à Meudon au XIXe siècle ; il est détaillé par le naturaliste Louis Eugène Robert.

 « Je croyais n’avoir rien à signaler en erpétologie ; cependant l’apprivoisement bien constaté d’une grenouille est un fait trop intéressant pour le passer sous silence. Voici un extrait de ce que M. Guérin Méneville, zoologue des plus distingués, a bien voulu nous communiquer à ce sujet :

 « Nous n’avions jamais entendu dire que la grenouille fût susceptible de s’apprivoiser, de venir à la voix, de se laisser toucher, de prendre de la mie de pain, quoique jouissant toujours de la plus complète liberté dans un grand bassin, en compagnie d’autres grenouilles et de nombreux poissons de la Chine ; c’est cependant ce que j’ai été à même de voir un grand nombre de fois, ainsi que beaucoup d’autres personnes.

 « Lorsque madame Panckoucke, dont l’amabilité ne le cède en rien au mérite de l’artiste-peintre, assistait au déjeuner de ses poissons dorés, une belle grenouille verte ne tardait pas à paraître et à se pavaner au milieu d’eux, en cherchant à leur disputer quelques miettes.

 Madame Ernestine P……. l’appelait-elle doucement, la batracienne venait au bord du bassin, y appuyait ses pattes de devant, et attendait qu’on voulût bien lui donner un peu de mie trempée ; elle se laissait alors toucher et caresser par les dames dans les mains desquelles elle se glissait volontiers ; enfin, on pouvait la sortir de l’eau et la transporter assez loin sans qu’elle parût s’inquiéter ni chercher à fuir.  »

 

Extrait : — Louis Eugène Robert, Histoire et description naturelle de la commune de Meudon, 1843

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Grenouilles de fiction

Posté par othoharmonie le 23 mars 2012

Bandes dessinées et littérature de jeunesse

 

Cinéma et télévision

Jeux vidéo

Musique

• Peace Frog, chanson des Doors

Autres

Smacks, symbole des céréales éponymes de la marque Kellogg’s

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Crapaud

Posté par othoharmonie le 23 mars 2012


File:Frogs2.JPGLe crapaud est un BATRACIEN terrestre. Il a des pattes courtes, ce qui l’empêche de bien sauter. Il vit dans des trous, sous les pierres, et se nourrit d’INSECTES et de petits ANIMAUX nuisibles. Il joue, de ce fait, un rôle très utile et mériterait d’être protégé; mais les pustules qui recouvrent sa peau visqueuse lui créent bien des ennemis que son aspect dégoûte. Les crapauds pondent leurs oeufs dans

Marquant un tournant capital dans la Révolution française, la Convention nationale se réunit pour la première fois le 21 septembre 1792 et, dès le lendemain, elle proclame la République, à l’unanimité. Mais cet accord ne dure pas. Très vite, Girondins et Montagnards s’opposent. Entre eux, sur les travées les plus basses de l’assemblée, siègent des députés indécis ou indépendants. Ils forment la « PLAINE » que, par mépris, on finit par appeler le « MARAIS« . Un JOUR, le « montagnard » Saint-Just les invective et les traite de « crapauds du Marais »… Ce surnom leur resta. Plus tard, poussés par la peur, ces « crapauds du Marais » renversèrent Robespierre et l’envoyèrent à l’échafaud avec ses amis : Saint-Just était du nombre….

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Grenouille dans l’héraldique

Posté par othoharmonie le 23 mars 2012

 

Les grenouilles sont très présentes dans l’art héraldique de plusieurs pays, dont la France.

  • Exemple en France  Grenouille dans l'héraldique dans GRENOUILLE 218px-Blason_ville_fr_R%C3%A2nes_%28Orne%29.svg

Rânes ( dans l’Orne) – La latitude de la ville de Rânes est 48.6405 et la longitude de la ville de Rânes est -0.2108. Rânes posséde 1 code postal, situé région de Basse-Normandie, en département de Orne, en arrondissement de Arrondissement d’Argentan.
La Région de Rânes est Basse-Normandie. La Département de Rânes est Orne. La Arrondissement de Rânes est Arrondissement d’Argentan.

 

Code postal de Rânes : 61150

Découpage administratif de Rânes

Région :Basse-Normandie 99
Département :Orne 61
Arrondissement :Arrondissement d’Argentan

Coordonnées GPS de Rânes

Latitude : 48.6405
Longitude : -0.2108

A propos de Rânes

Ranes est une commune française, située dans le département de l’Orne et la région de Basse-Normandie, à partir de 1035 habitants peuplée Ranais. Certaines formes suggèrent la lénition des consonnes intervocaliques. En tout état de cause, l’échec des formes plus anciennes sont suffisantes et cohérentes rend l’origine obscure de ce nom. Le bois est la caractéristique du paysage de la commune c était plus évidente avant 1960 et les opérations de consolidation des exploitations agricoles.

Épendes (Vaud)Suisse190px-Ependes-coat_of_arms.svg dans GRENOUILLE

PetersrodaAllemagne212px-Wappen_Petersroda.svg

BaloziSuèdeFichier:Coat of Arms of Baloži.svg

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Crapaud en Bourgogne

Posté par othoharmonie le 23 mars 2012


Crapaud commun : attention, traversée dangereuse !

De nombreuses légendes associées aux sorcières dont ils auraient été les compagnons privilégiés tournent autour des crapauds. Mais, même s’il est déconseillé de se frotter les yeux après en avoir touché un, en raison du léger poison qu’il secrète pour se protéger, le crapaud commun (Bufo Bufo), est, comme tous les batraciens, totalement inoffensif. Mieux, c’est une grenouille de couleur rousse marbrée de brun, aux joues noiresun ami du jardinier dont il défend les récoltes contre pas mal de ravageurs. La limace fait notamment partie de son alimentation.

On peut admirer ses magnifiques yeux exorbités de couleur rouge-cuivré-orange fendus par une pupille horizontale. On peut aussi louer sa fidélité à son étang d’origine où il retourne chaque année assurer sa descendance, au mépris de tous les dangers.

Le crapaud vit sur terre et se reproduit dans l’eau. Durant l’hiver, il hiberne à l’abri dans les bois, sous un tas de feuilles, un paquet de branchages ou dans les galeries souterraines de petits mammifères. Puis, dès que la température se réchauffe, en février-mars, il quitte son abri pour rejoindre son lieu de reproduction, qui peut se trouver à plusieurs kilomètres de là.

Mais il n’est pas seul. Tous les crapauds d’un secteur, et il peut y en avoir des milliers, convergent pendant a même période de quelques semaines, vers leur étang de reproduction. S’ensuivent, dès la nuit tombée durant les soirées de printemps, d’impressionnantes migrations. Plus petits et plus nombreux, les mâles se disputent et assaillent les femelles, parfois même avant l’arrivée au point d’au où ils pourront enfin féconder les milliers d’œufs relâchés par leurs compagnes. Petits points noirs dans de longs filaments gélatineux accrochés aux herbes ou aux pierres, ils deviendront têtards 15 jours plus tard avant de se métamorphoser au terme d’une période d’un moi et demi à trois mois, selon les ressources du milieu et la température de l’eau.

« Cette période de migration est extrêmement dangereuse pour les crapauds » explique Gaëtan Balay, chargé d’étude faune sauvage à la Société d’Histoire naturelle d’Autun (SHNA), responsable de la coordination du programme amphibiens de SOS faune ; « si une route traverse l’espace entre le quartier d’hiver et le point d’au, ils peuvent être victimes en masse de la circulation automobile. Il y a deux ans, près de 1000 individus ont été écrasés en une seule nuit sur la D951 à Chamoux, dans l’Yonne, entre Vézelay et Clamecy ».

Pour éviter que se renouvelle ce carnage, la SHNA a mis en place un système de barrière sur ce lieu stratégique : « Nous posons une barrière au bord de la route et lorsque les crapauds entrent en contact avec l’obstacle, ils vont longer la barrière pour la contourner. Ils tombent ensuite dans l’un des seaux régulièrement enterrés, accolés à la barrière. Chaque matin, nous relevons les seaux et nous transportons les amphibiens piégés de l’autre côté de la route. Nous n profitons pour faire des relevés sur les populations concernées (espèce, effectif, sexe…) »

La barrière a fini d’être installée le week-end du 24 février 2012 et les premiers crapauds mâles solitaires, accompagnés de quelques tritons palmés, ont été piégés dès la première soirée. La destruction directe par la circulation automobile n’est malheureusement pas la principale menace qui pèse sur cette espèce protégée. La disparition ou la dégradation des zones humides réduit leur habitat. Mais, depuis 2008, un programme « Réseaux mares de Bourgogne », animé par le Conservatoire d’espaces naturels de Bourgogne, s’attelle à enrayer la diminution de ces petites zones humides remarquables via différents moyens d’actions et grâce au concours de multiples partenaires, dont le Parc.

Dans ce sens, le recensement des points noirs routiers où ils sont écrasés ainsi que des zones d’habitat des crapauds est essentiel. C’est pourquoi tous les Morvandiaux sont invités  à communiquer leurs observations par l’intermédiaire de la base E-observations mise en place sur le site de Bourgogne-Nature ou encore en contactant directement la SHNA.

Barre de séparation

Contacts : Gaëtan Balay, Société d’histoire naturelle d’Autun, Maison du Parc, 58230 Saint Brisson 03 86 78 79 87 shna.gaean@orange.fr - e-observation : sur le site www.bourgogne-nature.fr onglet Base fauna.

bbf@bourgone-nature.fr

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La Grenouille dans l’art

Posté par othoharmonie le 22 mars 2012

File:Comus1912FrogFloat.jpgOutre les pots à encens, on trouve des motifs de grenouille sur des théières en céladon datant de plusieurs siècles avant notre ère, sur des ivoires érotiques antiques où elle représente le voyeur ou la femme infidèle, sur des cerfs-volants à usage religieux.

Des grenouilles en émaux cloisonnés ou en métal repoussé ornent les autels domestiques dans les communautés chinoises de tout l’est asiatique. Elles représentent l’âme des défunts proches.

Le crapaud et la grenouille appartiennent au yin, principe féminin, froid et humide. 

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De la Grenouille et du Renard

Posté par othoharmonie le 22 mars 2012


  Une Grenouille ennuyée de son marécage, voulut aller dans les forêts parmi les autres bêtes, et faire publiquement profession de Médecine, se vantant d’effacer, par les connaissances qu’elle avait en cet Art, la science d’Hippocrate et de Galien. Les autres animaux la crurent d’abord sur ses paroles ; mais le Renard plus fin et plus rusé se moqua d’elle et de son vain savoir.  » Comment se peut-il faire, lui dit-il, qu’avec une bouche si pâle et si livide, tu connaisses tous les secrets de la Médecine ? Si cela est, pourquoi ne te guéris-tu pas la première ?  » Ce trait de raillerie rendit la Grenouille toute honteuse, et détrompa les autres animaux

analyse de fable d’EsopeDe la Grenouille et du Renard dans GRENOUILLE 2942650493_1_15

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La Grenouille en Littérature

Posté par othoharmonie le 22 mars 2012

Contes

Dans les contes, un prince ou une princesse ou une magicienne bienfaisante, transformés en grenouille (ou crapaud) par le sortilège d’un magicien ou d’une fée attendent qu’on les délivre de leur sort, en général par un baiser. Exemples : La Princesse Grenouille, le Roi Grenouillet, etc.

Jean-Pierre Brisset a démontré par des calembours en français que l’homme descendait de la grenouille (coa = quoi ?).

Fables

06 dans GRENOUILLEFables de Jean de La Fontaine :

  • La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Bœuf (Livre I, fable III),
  • Les deux Taureaux et une Grenouille (Livre II, fable IV)
  • Le Lièvre et les Grenouilles (Livre II, fable XIV)
  • Les Grenouilles qui demandent un Roi (Livre III, fable IV)
  • La Grenouille et le Rat (Livre IV, Fable XI)
  • Le Soleil et les Grenouilles (Livre VI, fable XII)

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Liens sur la Grenouille

Posté par othoharmonie le 22 mars 2012

 Venez me rejoindre sur le FORUM : http://devantsoi.forumgratuit.org/

 

Grenouille  dans le TLFi, issu du Trésor de la Langue Française (1971-1994). Sur le portail cnrtl , consulté en juin 2010.
Grenouille  dans les Dictionnaires d’autrefois, des XVIIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècles, sur Atilf , consulté en juin 2010.

  1. Grenouille  sur Atilf , consulté en juin 2010.

 Dictionnaire des Sciences Animales. consulter en ligne . Montpellier, France, Cirad.
Professeur au Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris Alain Dubois, « Comment on fait la différence entre un crapaud et une grenouille ? », émission Les p’tits bareaux, 24 juillet 2011
Définitions lexicographiques ] et étymologiques  de « Crapaud » du CNRTL.
Nom vernaculaire français d’après Dictionary of Common (Vernacular) Names sur Nomen.at 
Jonathan Crowe – mcwetboy.com sur www.mcwetboy.com 
ESPÈCES, RACES ET VARIÉTÉS D’ANIMAUX DOMESTIQUES. sur animaux-fr.com, ANIMALERIE BOURGOGNE FRANCHE-COMTE
Dissection de la grenouille  sur le site de SVT  de l’Académie de Rennes.
Histoire d’apprivoisement d’une grenouille à Meudon 
J’ai été moi-même témoin d’un fait exactement semblable dans la propriété de M. Joly, aux Capucins.

Liens sur la Grenouille dans GRENOUILLE 29e5911eVoir aussi sur les autres projets Wikimédia :

Quelques Liens

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Message de la Pieuvre

Posté par othoharmonie le 22 mars 2012

 

Message de la Pieuvre dans PIEUVRE 220px-Haliphron_atlanticusJe visitais un petit aquarium avec ma famille, les poissons y semblaient à l’aise dans des espaces assez importants. Chemin faisant, nous nous sommes retrouvés face à un aquarium plutôt petit où logeait une pieuvre…

Je n’avais pas d’intention véritable, sachant par avance que les pieuvres sont des animaux bien plus intelligents que ne le pensent la plupart des gens, et qu’ainsi, elle ne serait pas tout à fait ravie de se retrouver dans un endroit aussi exigu. Ce fut une question de ma fille qui me fit changer d’avis :

« Maman, pourquoi elle pleure, la pieuvre ? »

Du haut de ses 4 ans, elle avait capté l’état émotionnel de l’animal marin, on pouvait nettement sentir la connexion qui s’était établie entre les deux… Encouragée, je décidais donc d’essayer d’établir un contact avec cette pieuvre et posais, pour m’y aider, une main sur la paroi en verre.

Très rapidement, je vis un fond marin et un trou dans un rocher… J’envoyais un : « Bonjour »

« Pourquoi ne suis-je plus là-bas ? Pourquoi m’a-t-on amené ici où je n’ai pas beaucoup d’espace ? »

Avec douceur, j’ai expliqué qu’ainsi, elle ne serait jamais pêchée et qu’elle vivrait une vie tranquille.

« A quoi bon une vie morte ? Je préfère une vie avec des risques, même mortels, mais vivre véritablement au lieu d’être ainsi dans une semi-vie ! »

 Octopus macropusUn petit temps, puis elle reprit : « Peux-tu me ramener là –bas ? Là où est ma maison ? »

  »Non, je ne peux pas… Tu es là pour que l’on puisse te regarder, savoir à quoi tu ressembles »

« Vous pourriez venir me voir là où est ma véritable place ! » Une fois encore, j’ai eu la vision du fond marin et du trou de rocher.
Elle continua : « Vous, les humains, ne savez pas regarder comme il se doit la Nature, vous ne faites que détruire ce que vous ne comprenez pas ! »

Plusieurs fois, la pieuvre avait changé de couleur suivant les émotions qui la traversaient. Et maintenant c’était le cas, doublé d’un coup de ses tentacules qui la propulsèrent au fond de l’aquarium.

Redevenant « normale », elle se rapprocha de la vitre. Confuse, j’essayais de justifier : « La plupart ne savent pas vraiment ce qu’ils font, ils ne se rendent pas compte… »

« Certains oui, mais pas tous ! Il y en a qui savent, et cela ne change rien ! Toi, tu sais ! »

« Effectivement, mais je ne … »

« C’est pour cette raison que je te parle, pour que tu dises aux autres, ceux qui ne savent pas, qu’il faut cesser les destructions, même si pour moi, il est trop tard…
Ce que vous faites aux autres, vous le faites aussi à vous-même ! »

La pieuvre partit à donner des coups de sa tête contre la paroi en verre comme pour bien signifier qu’elle n’était pas heureuse. Le contact était terminé, je ne pouvais plus que m’éloigner à regret.

Je savais que cette transmission allait être difficile ; maintenant pendant que je retranscris cette « conversation », je me suis de nouveau connectée avec cette pieuvre (la distance ne comptant pas) et ai une nouvelle fois ressenti ses émotions…

Je crois qu’en cet instant là, ma compassion a été déployée plus que jamais auparavant.

Par Héléna R&F – http://www.lesailesdelumiere.com/article-l-appel-de-la-pieuvre-74578803.html

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La Pieuvre, le poulpe

Posté par othoharmonie le 22 mars 2012


Le poulpe ou octopus est un vieux compagnon des “Peuples de la Mer et du Nord” qui l’héritèrent de leurs ancêtres constructeurs des Mégalithes et des Crétois récemment submergés. La pieuvre est en effet gravée sur les parois des dolmens bretons (Gavr’Inis) et omniprésente dans la décoration plus tardive du palais de Minos en Crête et dans les ruines de Santorin détruite, d’abord par l’explosion de la caldéra de Théra, puis par les reflux du raz de marée…

La Pieuvre, le poulpe dans PIEUVRE On la trouve aussi dans la figuration grecque classique (tardive) de la Gorgone

Méduse qui, nous pensons, représente une survivante du raz de marée – une soleil immergée, puis renaissante et moqueuse, avec des civelles dans ses cheveux – figure/ eidolon dont on ne parle pas sauf par périphrase, qui est donc un “tabou” qu’on ne saurait regarder en face sans périr : elle vous paralyse, vous pétrifie, vous donne des affres, elle est “affreuse” en un mot… c’est une incube !

 Au Moyen Âge, la pieuvre mégalithique fut appelée “porte des enfers”.

 En Basse Bretagne chrétienne, on l’appelle Minard, création du Diable (§ in art.

Église) ou bien “enfant du diable”. En Allemagne elle a donné naissance aux légendes (forcément exagérées) du Kraken, d’où l’expression “dire des Krakes” tel le fameux Baron de Mûnchausen – premier film UFA en couleurs “véritables” (Agfa) qui réapparut le 1er Janvier 07 après avoir été taboué depuis… 1943 !

 

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Et la Pieuvre !

Posté par othoharmonie le 22 mars 2012

 

Et la Pieuvre ! dans PIEUVREContrairement aux idées reçues, la pieuvre est presque inoffensive. Symbole de fécondité en Extrême Orient ou de sagesse chez les grecs de l’Antiquité, le poulpe devient dans la civilisation occidentale, l’objet de nombreux récits effrayants.

Dans « les travailleurs de la mer », Victor-Ugo écrit : « La pieuvre est de toutes les bêtes la plus formidablement armée. Qu’est-ce donc que la pieuvre ? C’est la ventouse… cela se jette sur vous. L’hydre harponne l’homme. Cette bête s’applique sur sa proie, la recouvre, et la noue de ses longues bandes. En-dessous elle est jaunâtre, en dessus elle est terreuse ; rien ne saurait rendre cette inexplicable nuance poussière ; on dirait une bête faite de cendre qui habite l’eau. Elle est arachnide par la forme et caméléon par la coloration. Irritée, elle devient violette. Chose épouvantable, c’est mou. Ses nœuds garottent ; son contact paralyse. Elle a un aspect de scorbut et de gangrène ; c’est de la maladie arrangée en monstruosité ».

Suite à cette description terriblement efficace, la pieuvre aura du mal à se remettre de son image de tueuse auprès du grand public.

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Le Kraken, la pieuvre

Posté par othoharmonie le 22 mars 2012

 

Le Kraken, la pieuvre dans PIEUVRE 175px-Colossal_octopus_by_Pierre_Denys_de_MontfortLa légende du Kraken est d’origine ancienne, des témoignages ont été recueillis bien avant le 18ème siècle. Mais c’est dans l’ouvrage d’un évêque danois, Erik Pontoppidan, datant de cette période, qu’on en trouve pour la première fois une description et une tentative d’explication. Personne n’avait la moindre idée de l’identité de ce monstre. Ce qu’on savait de lui reposait sur les récits des pêcheurs du Nord qui l’avaient rencontré. Ils rapportaient que son dos semblait faire deux kilomètres de circonférence au minimum. Des cornes luisantes sortaient de l’eau et augmentaient d’épaisseur au fur et à mesure qu’elles s’élevaient vers le ciel jusqu’à la hauteur d’un mât de bateau. Après être resté à la surface de l’eau, un court instant, il redescendait avec lenteur. Réputé peu dangereux pour les marins, il créait cependant, lors de ses plongées, des tourbillons qui entraînaient les navires dans les profondeurs. Les pêcheurs avaient, par ailleurs, remarqué qu’il dégageait un parfum puissant et particulier capable d’attirer les autres poissons.

Malgré les pertes humaines recensées, le Kraken n’avait pas une réputation d’agresseur, dans les récits il n’est jamais question d’attaque directe envers l’homme.

Les crabes et les poulpes ont souvent été confondus. Le Kraken, mot issu de la langue norvégienne, était appelé Krake, Kraxe ou Krabbe de par sa ressemblance avec le crabe (une créature ronde, aplatie et pleine de bras) mais c’est bien d’un céphalopode qu’il s’agissait. Erik Pontoppidan le classait parmi le genre polype (poulpe) ou étoile de mer, la classification zoologique n’étant pas encore très développée à cette époque.

 dans PIEUVRE…Le kraken est aussi appelé « crabe-poisson » et n’est pas, d’après des pilotes norvégiens, tellement énorme, tête et tentacules comprises. Il n’est pas plus grand que notre « Öland » (c’est-à-dire moins de 16 km)… Il reste à la mer, constamment entouré par d’innombrables petits poissons qui lui servent de nourriture et qui sont alimentés par celui-ci en retour : pour son repas, si je me souviens bien, écrit E. Pontoppidan, ne dure pas plus de trois mois, et trois autres sont ensuite nécessaires pour le digérer. Ses excréments nourrissent par la suite une armée de poissons, et pour cette raison, les pêcheurs sondent les fonds après son passage… Peu à peu, le kraken monte à la surface, et, quand il est à dix ou douze brasses de celle-ci, les bateaux ont mieux à sortir de son voisinage ou ils devront craindre leur destruction. Tel une île flottante, l’eau jaillissante de ses terribles narines forme des vagues spiralées autour de lui pouvant atteindre un grand nombre de miles. Peut-on douter qu’il s’agisse du Leviathan de Job ?

« vingt mille lieues sous les mers », le roman de Jules verne, contribuera également pendant des décennies à entretenir l’aspect effrayant de la pieuvre (il faut noter que dans ce texte, Jules Verne parle indistinctement de poulpe et de calmar).


220px-USS_Alligator_0844401« Le Nautilus était alors revenu à la surface des flots. Un des marins, placé sur les derniers échelons, dévissait les boulons du panneau. Mais les écrous étaient à peine dégagés que le panneau se releva avec une violence extrême, évidemment  tiré par la ventouse d’un bras de poulpe. Au moment où nous nous pressions les uns sur les autres pour atteindre la plate-forme, deux autres bras, cinglant l’air, s’abattirent sur le marin placé devant le capitaine Nemo et l’enlevèrent avec une violence irrésistible. L’infortuné était perdu. Qui pouvait l’arracher à cette puissante étreinte ? Cependant, le capitaine Nemo s’était précipité sur le poulpe, et d’un coup de hache, il lui avait encore abattu un bras. Son second luttait avec rage contre d’autres monstres qui rampaient sur les flancs du Nautilus. L’équipage se battait à coups de hache. Le Canadien, Conseil et moi, nous enfoncions nos armes dans ces masses charnues. Une violente odeur de musc pénétrait l’atmosphère. C’était horrible. Un instant, je crus que le malheureux, enlacé par le poulpe, serait arraché à sa puissante succion. Sept bras sur hui avaient été coupés. Un seul brandissait la victime comme une plume, se tordait dans l’air. Mais au moment où le capitaine Nemo et son second se précipitaient sur lui, l’animal lança une colonne d’un liquide noirâtre, secrété par une bourse située dans son abdomen. Nous en fûmes aveuglés. Quand ce nuage se fut dissipé, le calmar avait disparu et avec lui mon infortuné compatriote ! »

L’auteur associe l’imaginaire et les connaissances scientifiques de l’époque. D’immenses zones inexplorées au fond des océans permettent d’envisager des aventures extraordinaires et terrifiantes.


issu de dossier thématique – La Cité de la Mer / mars 2006

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Nautilus mollusque

Posté par othoharmonie le 22 mars 2012

Les nautiles sont des céphalopodes tétrabranchiaux marins.

 Nautilus pompiliusLeurs nombreux tentacules (environ 90) ne comportent pas de ventouses. Leur coquille est développée et enroulée vers l’avant, en forme de spirale. L’intérieur est cloisonné en différentes loges. Le corps du nautile occupe la dernière loge, qui est la plus grande. Un siphon traverse les cloisons. Les loges que n’occupe pas l’animal contiennent un mélange de gaz et de liquide. Ces animaux possèdent 4 branchies (2 à droite et 2 à gauche). Ils se déplacent par réaction en projetant de l’eau via un entonnoir. Ils peuvent également ramper lorsqu’ils se trouvent sur un sol solide.

Leurs yeux sont constitués de simples chambres noires ouvertes par une pupille étroite. Chaque œil est équipé de deux tentacules ophtalmiques.

Les lieux où l’on trouve les nautiles sont : certaines îles du Pacifique, et au large des côtes australiennes. Ils abondent à environ 400 mètres de profondeur. Ils se nourrissent de déchets organiques.

Ces animaux ont peu changé morphologiquement depuis 400 millions d’années

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Rêver de pieuvre

Posté par othoharmonie le 20 mars 2012

 

Rêver de pieuvre dans PIEUVRELa pieuvre est proche du symbolisme de l’araignée.

 Elle représente la mère tentaculaire qui garde ses enfants prisonniers dans un amour possessif et exclusif. Ici, cette possessivité est inconsciente. La personne représentée manque de discernement. Elle est régie par des pulsions primitives qui deviennent négatives et étouffantes pour ses enfants. Le silence de la mer montre que cet amour n’est pas exprimé de façon perceptible. Il manque ici la parole nécessaire à une véritable communication, un échange libérateur qui permette une compréhension et l’émancipation des enfants.

 La pieuvre symbolise dans le rêve, la mère archaïque, tentaculaire, qui veut garder sa progéniture et la contrôler.

 Amour possessif, comportements primitifs et inconscients.

 Selon le dictionnaire des rêves de Tristan Moir, http://tristan.moir.free.fr/dicoreve/index.html : Psychanalyste – Psychothérapeute – Onirologue – Analyse et interprétation de rêves

En direct chaque mercredi de 23h à 1h30 sur « Radio Ici & Maintenant ! » 95.2 FM

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Tentacule, un ou une

Posté par othoharmonie le 20 mars 2012

 

Tentacule, un ou une dans PIEUVRE 220px-An%C3%A9mone_de_mer-BretagneUn tentacule (nom masculin, souvent utilisé à tort au féminin) est un appendice que possèdent certains invertébrés.

Chez les méduses

Les tentacules des méduses sont utilisés pour piéger des proies et sont urticants. Cependant, elles ne peuvent pas les utiliser de façon indépendante. Mais la scyphoméduse est une exception : elle peut les utiliser comme une pieuvre.

Chez les céphalopodes

Les céphalopodes ont huit bras munis de ventouses (exception : le nautile, qui en a plus, sans ventouses). Les calmars, les seiches, et les pieuvres, selon la définitions de ce terme, possèdent aussi deux tentacules.

Chez les anémones de mer

Les anémones de mer ont des tentacules rétractables. Elles les utilisent quand une proie passe au-dessus d’elles.

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