Le chien amoureux d’un dauphin
Posté par othoharmonie le 8 décembre 2011
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Posté par othoharmonie le 8 décembre 2011
Dès le début du XXème siècle, on assiste à une régression générale des effectifs asins français : la modernisation de l’agriculture, sa mécanisation vont laisser les ânes sur le bord du chemin.
Cependant, on assiste, depuis les années 90, à un retour en grâce de l’âne malgré le statut médiocre qui l’a accompagné tout au long des siècles. Il doit en grande partie son regain de popularité aux passionnés de randonnées. La première location d’ânes a été lancée en 1979 dans le Lot. Cette forme de loisir attire de plus en plus de gens (RAVENEAU et DAVEZE, 1996).
En outre, l’âne devient lentement l’animal de compagnie de la famille au même titre que le chat ou le chien. Il peut gagner sa pitance en servant de débroussailleuse écologique, entretenant et défrichant herbages et parcelles non cultivées. Il peut même servir de thérapeute auprès d’enfants handicapés (CHAPPEZ, 2000).
Mais, le baudet du Poitou se démarque des autres ânes. Il s’agit d’une race qui a toujours été très marginale du fait de sa morphologie et de son histoire. Son usage le caractérise : le baudet du Poitou est depuis toujours sélectionné pour la production de mules.
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Posté par othoharmonie le 8 décembre 2011
Certaines différences morphologiques, comme la tête, le cou ou les pattes, permettent de distinguer les espèces différentes :
l’âne sauvage d’Afrique (Equus africanus) vit en Afrique de l’Est, en particulier en Somalie.
l’âne commun (Equus asinus), ou âne domestique, est issu de l’âne sauvage d’Afrique, et se trouve aujourd’hui sur tous les continents. Il est donc aujourd’hui souvent présenté comme une simple sous-espèce de Equus africanus : Equus africanus asinus,
l’âne sauvage d’Asie ou hémione (Equus hemionus) qui vit en Asie centrale et a certainement été ponctuellement domestiqué ;
l’espèce inclus aussi l’âne sauvage de l’Inde ou onagre (Equus hemionus onager) qui vit en Inde et dans les pays limitrophes du nord-ouest.
l’âne sauvage du Tibet ou Kiang (Equus kiang) se rencontre dans l’Himalaya ;
Les populations d’ânes sauvages sont menacées et certaines figurent sur la Liste rouge de l’UICN.
L’âne domestique a formé des populations redevenues sauvages notamment en Australie et en Amérique : c’est le phénomène du marronnage.
L’âne avec ses singuliers attributs physiques (oreilles) ou psychologiques (entêtement) intervient de multiples façons dans l’imaginaire et ses expressions graphiques, picturales, etc.
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Posté par othoharmonie le 8 décembre 2011
Dans le bestiaire onirique, voici un animal dont le symbolisme n’est guerre positif. Si la connotation négative ou positive des autres animaux est relative au contexte du rêve, ici, c’est toujours le sens négatif qui l’emporte. L’âne symbolise les forces d’inertie, l’obstination, la stagnation.
L’âne dans son apparence est encore in de la perfection du cheval. C’est une forme inachevée.
Il symbolise ainsi, les pensées ou les choses qui ne sont pas arrivées à terme. Le rêveur s’accroche obstinément au passé, soit par peur, soit par manque de discernement.
L’âne représente aussi le corps, les forces obstinées de survie qui s’oppose à l’esprit, l’esprit qui s’éloigne de la chair. Stagnation, évolution inachevée.
Le site de Tristan-Frédéric Moir : http://tristan.moir.free.fr/Nouveausite/index.html
Psychanalyste – Psychothérapeute – Onirologue – Analyse et interprétation de rêves
En direct chaque mercredi de 23h à 1h30 sur « Radio Ici & Maintenant ! » 95.2 FM
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Posté par othoharmonie le 8 décembre 2011
Conte Sioux
Il était une fois une Fille de Chef, honorée de tant de gens que chacun savait qu’elle appartenait à une famille puissante.
Devenue femme, elle se maria et mit au monde des jumeaux. Au campement de son père on organisa de grandes réjouissances, et toutes les femmes vinrent voir les bébés. Elle était très heureuse!
Comme les enfants grandissaient, leur Grand-Mère fabriqua un bissac pour eux, et elle choisit un ane pour les transporter. »Mes petits-fils »,disait-elle, « voyagerons comme il sied à des enfants si honorés! Voyez cet âne : il est patient et son pied est sur. Il portera les bébés dans le bissac, chacun d’un coté de son dos. »
Il advint qu’un jour la Fille de Chef et son époux décidèrent de faire leurs préparatifs pour changer de lieu de campement. Le père- les jumeaux faisaient sa fierté!-avait sélectionné pour eux son plus beau poney, et sur son dos il sangla soigneusement le bissac.
« Voilà! »dit-il » Mes fils chevaucherons ce poney, pas un âne ! Que l’âne porte les pots et les marmites! »
Sa femme entreprit alors de charger l’âne des ustensiles du ménage. Elle lia les perches du tipi en deux faisceaux qu’elle fixa de chaque coté de l’âne, entre eux elle installa le filet de travois et mit dedans pots et bouilloires, puis elle ficela les peaux de couverture de la tente en travers de son dos. Elle avait à peine terminé que l’âne se mit à reculer, braire et ruer furieusement. Il brisa les perches du tipi et réduisit les poteries en miettes et déchira la tente. Plus on le battait, plus il ruait!
A la fin ils coururent avertir la Grand-Mère. Elle éclata de rire. »Ne vous avais-je pas dit que l’âne devait porter les enfants! »dit-elle ». Il sait que ce sont ceux du Chef. Et vous pensiez qu’il accepterait d’être déshonoré avec des gamelles! »Et elle emmaillota les bambins dans le bissac, qu’elle installa sur le dos de l’âne, qui s’était calmé instantanément.
Enfin ils quittèrent le village et le voyage commença. Mais le jour suivant, alors qu’ils passaient par un endroit encombré de broussailles épaisses, il en surgit une bande d’ennemis, fouettant leurs montures et poussant leur Cri de Guerre. La surprise était totale! Les hommes bandèrent leurs arcs et empoignèrent leurs lances. Après un long combat, les ennemis prirent la fuite. Mais quand les voyageurs commencèrent à se rassembler-ou étaient l’âne et les bébés. Personne ne le savait. Longtemps ils les cherchèrent, mais en vain. A la fin ils reprirent le chemin du village, le père abattu, la mère en sanglots. Quand ils arrivèrent au tipi de la Grand-Mère, l’âne était là, avec les jumeaux dans leur bissac.
Marie L. McLaughlin,
Université de Virginie.
(Le texte original est là: http://etext.virginia.edu/etcbin/toccer-new2?id=MclMyth.sgm&images=images/modeng&data=/texts/english/modeng/parsed&tag=public&part=4&division=div1
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Posté par othoharmonie le 8 décembre 2011
La 3e étoile de la constellation du Cancer est ι Cancri. Il s’agit d’une étoile double dont les deux composantes sont très éloignées. ιA est une géante de magnitude 4,03 et de classe G7.5 et ιB une étoile naine ordinaire de magnitude 6,58 et de classe A3V. Les deux étoiles sont éloignées de plus de 2 800 ua et tourneraient l’une autour de l’autre en plus de 65 000 ans.
Deux autres étoiles dans cette constellation portent un nom : Asellus Australis (δ Cancri) et Asellus Borealis (γ Cancri), Les Ânes du Sud et du Nord en latin, car ces deux étoiles sont proches de l’amas ouvert M44, ou Praesepe, dont le nom signifie la Crèche. Asellus Australis et Asellus Borealis seraient donc deux ânes s’abreuvant à la crèche. Il pourrait également s’agir des ânes qui portaient Dionysos et les Silènes à la bataille.
Asellus Australis est une géante rouge qui possède un compagnon de magnitude 11,9.
Asellus Borealis est un système quadruple. La primaire, γA, est de magnitude 4,66 et la secondaire, γB, est de magnitude 8,7. Ces deux étoiles sont à leur tour flanquées chacune d’un compagnon de magnitude 12.
55 Cancri possède un système planétaire avec quatre planètes confirmées. La dernière planète composant ce système solaire (55 Cnc e) fait environ 8.5 masses terrestres. Il s’agit d’une « super-terre ».
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