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L’étude des poissons

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011

Lépisosté de Floride Bienvenue sur le portail de l’ichtyologie et des poissons !

L’ichtyologie est la branche de la zoologie qui a pour objet l’étude des poissons. Elle aborde leur classification, leur écologie, leur comportement, leur physiologie, leur anatomie ainsi que les espèces fossiles. Le groupe des poissons est généralement considéré comme paraphylétique et n’existe donc plus dans la biologie moderne. On considère donc comme poisson ; les poissons osseux, les poissons cartilagineux et les agnathes.

S’il existe près de 31 500 espèces de poissons vivantes, très différentes tant par leur écologie que par leurs comportements, chacune d’elles présente un même ensemble de caractéristiques permettant de les regrouper. Celles-ci sont notamment des branchies, des nageoires et un corps pisciforme. On les trouve abondamment aussi bien en eau douce qu’en eau salée, ainsi qu’en eau saumâtre.

Image illustrative de l'article Carl von LinnéL’observation des poissons est, bien sûr pour la pêche, une pratique ancestrale. Cependant, très tôt, l’étude des poissons a largement débordé ce cadre puisqu’au IIIe millénaire av. J.-C. les Égyptiens, puis les Romains utilisaient les poissons électriques comme électrothérapie. Cependant, cette science ne s’est développée qu’à partir de Carl von Linné et de la classification systématique. Georges Cuvier allait ensuite donner une impulsion qui contribua à l’émergence de la théorie de l’évolution. À la fin du XIXe siècle se crée une discipline étudiant les mers et les océans, l’océanographie, l’ichtyologie devenant une de ses branches.

Portail de l’ichtyologie

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Le poisson oracle – Conte -

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011

Il existe dans la montagne de l’Est un lac où vit le Poisson oracle

On dit qu’il est omniscient et qu’il possède la Vérité Ultime, que d’aucuns nomment vacuité… c’est-à-dire, si tant est qu’on puisse traduire correctement ce terme…. une potentialité sans limite. 

 Murène communeOn dit aussi que ce lac est aussi vieux que notre monde… 

Depuis que Lotus la petite amie du jeune Shu lui a raconté qu’un jour son père Lao, le vieux sage du village, avait réussi à le voir, Shu n’a de cesse que de trouver le Poisson oracle pour deviser avec lui… 

Ainsi, dès les premiers jours du printemps il décide de partir à sa recherche. 

Il faut dire que le trouver ne devrait pas être bien difficile pour lui, puisque Lotus lui avait indiqué la Voie : « C’est facile, tu ne peux pas te tromper, ne jamais prendre des sentiers descendants, et toujours monter, jusqu’à la pleine lumière, et là au pied de la montagne de l’Est tu verras le lac. Il paraît Vide, tant il est clair et pur et épouse toutes les formes. » 

Le poisson oracle qui n’a rien à cacher aux cœurs purs s’est montré sans trop se faire prier, intéressé qu’il était par la franche démarche du jeune homme. 

« Tu viens chercher une réponse aux mystères de la vie… tu es en quête de sens et de vérités… » lui dit-il… 

…. Comme il avait l’air sérieux ce gros poisson ! Impossible en fait de détecter la moindre trace d’émotion sur ses traits…. Ça doit être ça l’équanimité du Sage, se dit le jeune Shu en lui-même… 

«  Voici l’essentiel… dit le Poisson Oracle. Profite de l’ « Ici et maintenant » et tu trouveras la paix de l’âme et le bonheur … Vis l’instantanéité de tous tes actes, que chaque moment te soit fécond, ainsi pourra jaillir en toi la félicité, la plénitude et la sagesse. 

 Gourami bleu(Trichogaster trichopterus)Rappelle-toi que ce que tu fais sera toujours le germe de ce qui se produira ultérieurement. Va, regarde bien autour de toi, et en toute chose tu auras la réponse… Rappelle-toi aussi qu’il n’y a pas d’épreuve sans gratification. » 

Le jeune Shu, cheveux noirs de jade, glabre, droit comme l’épée qu’il porte au dos, fringant et altier, redescend donc dans la vallée. Il part en quête de la Vérité… Enfin, de ce qu’il croit être la Vérité… si tant est que cette dernière puisse exister… 

Comme nous sommes au Printemps, les bourgeons sont couleur de jade et gonflés de sève. La nature renaît aux doux rayons du soleil. Shu, curieux et sémillant, est bien parti pour tenter de happer cette vie généreuse qu’il perçoit comme source de toutes les richesses à condition d’en connaître les règles… et le poisson oracle l’a mis sur le Chemin et lui a donné quelques clés… 

Les saisons se succèdent au fil des trois années qui passent. Et pendant ce temps le sablier de la vie s’écoule inéluctablement au rythme d’un grand fleuve, véritable image invariable de l’impermanence… 

Au village hélas Lotus s’en est allée. 

Elle est partie fonder une famille dans une lointaine cité, désespérée de rester sans nouvelles de son ami. A présent Shu est revenu. Il est remonté dans la montagne et le poisson de l’écouter. 

 Arothron nigropunctatusL’homme l’interroge et s’interroge… « Durant mes pérégrinations j’ai rencontré de très belles femmes. J’en ai courtisé quelques-unes et j’ai même cru un jour avoir découvert le grand amour. Mais un beau matin je me suis retrouvé seul. Les belles des villes s’étaient envolées, mon « grand » amour avait disparu tout comme mes économies d‘ailleurs, et Lotus à mon retour n‘était plus là. 

« Et alors ? »  lui demande le poisson oracle… 

J’avoue… j’ai vécu comme un jeune cheval fou… Mais quelles belles histoires !… Si éphémères cependant, et quels regrets aussi ! J’ai l’impression de ne rien avoir construit, et d’avoir perdu mon temps. J’avoue que sur le moment j’étais trop attaché à mon plaisir et à mes désirs pour comprendre l’instant et sans doute l’insignifiance de chacun de mes actes. 

Au rythme des saisons cinq nouvelles années ont passé et l’on retrouve Shu, un peu moins jeune, un peu plus charpenté et plus musclé. Il est devenu un homme mûr, massif et fort. Il arpente un beau jour d’été les pentes de la montagne du Lac… 

Le poisson oracle est toujours là, au rendez-vous… 

Tu m’avais dit « Va et regarde autour de toi ; dépasse l’attachement que tu peux avoir pour les mondanités…, saisis la beauté de l’instant, lui seul peut t’enrichir !  Et à la ville, où je m’étais promis de ne plus tomber dans les rêts des femmes, j’ai rencontré un noble officier. Je lui ai avoué ma quête et je lui ai dit que je voulais défendre le faible, combattre le fort souvent injuste, quérir le bien et lutter contre le mal. Il m’a souri et félicité et m’a invité derechef à me dépasser pour trouver un jour la gloire. Je suis alors parti la chercher dans les armées de l’empereur. 


Soldat, puis officier, j’ai voulu devenir général et revenir couvert de lauriers. Des décors j’en ai eu, tous plus beaux les uns que les autres. Egalement des médailles, des brevets, des compliments et des félicitations. Là aussi, comme tu me l’avais demandé, j’ai regardé tout autour de moi et à  bien y voir, hors les apparences trompeuses, je n’ai trouvé que plaies, bosses, et séquelles. 

« Que retiens-tu de tout cela ? » lui demande le poisson oracle… 

« Hélas pas grand chose ! Mes amis sont partis, j’ai quitté mon campement, et je suis revenu fatigué et usé dans la maison de mon père, sans avoir réellement appris, sauf peut être la désillusion et l’inconsistance du paraître !  

J’ai rangé au grenier mon casque, mes plumes, ma cuirasse, mon épée, mes brevets et mes médailles… » 

Zanclus cornutus in Kona.jpg« Le temps est un grand maître… Apprend à être son élève docile et rappelle toi que chaque instant est unique et irremplaçable. Va, retourne, et étudie le fond des choses. Essaie de prendre le temps de la sagesse à présent, et tente l’abandon de l’ego… Souviens-toi aussi que tous les phénomènes sont étroitement liés, imbriqués… rien n’est isolé, tout est dépendant… » 

Après le plomb d’un soleil d’été particulièrement éprouvant, Shu est de nouveau revenu au bout de sept ans. Il retrouve au cœur de sa montagne la douceur de l’automne et les couleurs harmonieuses des forêts rougies d’essences innombrables et odoriférantes. 

Il est encore bel homme quoiqu’un peu dégarni et empâté, mais sa mise bien que sobre, dévoile une certaine réussite sociale… Pourtant il a l’œil un peu triste et son sourire laisse percevoir une certaine lassitude. 

« Poisson oracle, j’ai arrêté mes voyages et j’ai cessé d’aller au-delà des mers ayant suffisamment gagné de quoi vivre sereinement. Depuis je suis resté chez moi dans ma grande maison. J’ai dévoré mille ouvrages, des plus simples aux plus savants. Les nuits et les jours étaient trop courts, et je pense avoir réussi à acquérir beaucoup de savoir. Aujourd’hui mes pairs me reconnaissent et je suis apprécié par mes aînés. J’ai bien écouté tes conseils, mais là, devant toi, j’ai quand même l’impression d’un grand vide… Ma pensée s’embrouille, et parfois se contredit… Les vérités d’un jour, pourtant étayées, s’avèrent erreurs le lendemain. Mon esprit est confus et las et j’ai l’impression d’avoir privilégié l’avoir à l’être… » 

Le poisson oracle de répondre : « Le mille pattes était heureux… jusqu’au jour où le crapaud facétieux lui demanda dans quel sens il bougeait ses pattes… » 

Entend Lao Tseu qui nous dit que « Placé devant les idées, le Sage est saisi d’une hostilité profonde car il déteste l’unilatéralité, la rigidité, la partialité, le caractère fragmentaire de toutes les constructions intellectuelles si chères aux humains…
Le Sage est au-dessus des idées, au-dessus des préceptes, de toute intention, de toute morale, il ouvre un point de vue distant… » . 

Pourquoi faudrait-il qu’il soit dualiste ? Alors que le Milieu est la source de toute harmonie ? 


Par contre, je persiste et te confirme qu’il est toujours dans l’instant à chaque moment de sa vie… 

Quand il observe le sourire d’un enfant,
Quand il boit une tasse de thé
Quand il regarde s’éloigner les oies caquetant dans les nuages
Quand il écoute les notes délicates du Er hu
Quand il se délecte à la lecture d’une poésie
Quand il voit frémir la perle de rosée sur un pétale de fleur
Quand enfin il devine la lune qui va renaître derrière la montagne, 

Rhinecanthus aculeatuset surtout quand content et satisfait de l’instant, valorisé par son regard ou ses actions, il prend conscience du moment où en paix, il va clore ses yeux pour s’endormir et qu’auparavant il a rendu grâce à l’Infinie Puissance indicible, tout à la fois transcendante et Immanente, qui sublime sa vie pour tous les merveilleux moments d’une simple et ordinaire journée. 

Le bonheur est dans le moindre geste, le plus petit sentiment, un regard amical, un simple sourire, la douceur d’un mot, le goût d’un fruit pressé par les lèvres, la caresse légère de la brise du soir… 

Quand, un peu plus tard, Shu assimila vraiment la teneur de ce que lui avait dit le poisson oracle, il était devenu peut être moins fort, mais il avait gagné en harmonie et en souplesse ; il était plus à l’écoute du vent et toujours heureux de la pluie qui féconde la terre ; c’était l’automne de sa vie ; paradoxalement moins aveugle et sourd à ce qui l’entourait alors même que tous ses sens diminuaient, il comprenait mieux le temps qui passe, et se souvenait avec plaisir des mots des Anciens : « Quand le sage montre la lune … ». 

Un nuage, le lac, les rides du vent sur les eaux, le chant des enfants au loin, tout cela avaient effacé son ego… Il était vide. Et chaque phénomène emplissait son esprit au point d’une certaine ivresse de vie… De la joie pure en quelque sorte. 

Symphysodon aequifasciatusC’est en hiver, qu’il rendit l’âme, car il faut bien mourir un jour… et le souffle de sa vie s’échappa librement pour « jouer dans le vent » et se mêler au « souffle vivifiant de l’Univers… » 

Très peu de temps auparavant, il était remonté dans la montagne blanchie, avait cherché en vain le poisson oracle ; et au fond du lac, tel dans un miroir, il n’avait perçu que ses propres traits… et alors son doux sourire de vieillard était soudainement devenu malicieux… Face à lui, celui qui avait été un si mauvais compagnon était redevenu son meilleur ami. 

Que retenir de cette courte histoire ? 

« Au printemps les fleurs, nous conte le moine Mumon, en automne la lune, en été la brise rafraîchissante, en hiver la neige… Qu’ai-je besoin d’autre chose ? Chaque heure m’est une joie. ». 

Le poète Omar Khayyam ne nous dit-il pas : « Sois heureux un instant. Cet instant c’est ta vie ! »

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L’oracle du poisson rouge

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011

Écrit par Dietmar Bittrich
Traduit par Dominique Autrand 

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Le poisson réagit dans votre main et révèle tout de votre avenir ! 

Ce petit livre s’inspire de la tradition longtemps respectée en Extrême-Orient : celle de l’oracle du poisson.
Il vous permet de devenir maître zen pendant un instant et de lire votre karma. Êtes vous prêt ?
Déposez le petit poisson dans la paume de votre main. Il remue ? Étudiez ses mouvements : la tête du poisson évoque l’esprit et sa queue l’émotion.

Consultez alors le livre de l’oracle du poisson qui vous révèlera ce qu’inconsciemment vous saviez.
Paresseux, sûr de vous, désespéré, indécis, sensible, le poisson lira en vous et vous donnera des conseils infaillibles pour mettre du piment dans votre vie et vous libérer de vos démons.
Faites des projets, prenez des risques, réinventez-vous…
Toujours sur un ton positif et porteur, l’oracle de poisson parvient étonnement à déceler toutes les personnalités. 

Livre Format 145 x 200 mm. 120 pages. Contient deux poissons d’oracle. 9,95 €

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Etrange poisson

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011

  

Etrange poisson dans POISSON 20Ces poissons, pourtant issus de l’imaginaire populaire, étaient considérés comme bien réels à l’époque et Rondelet rappelle que Pline, déjà, avait parlé de « l’homme marin » comme d’une créature « non feinte ». Correspondant au goût du siècle pour les prodiges et phénomènes monstrueux, ils fascinèrent des savants comme Ambroise Paré, Ulisse Aldrovandi, ou encore Pierre Belon…..

Le poisson-évêque doit son nom à la forme de sa tête, semblable à celle d’une mitre, ainsi qu’à ses nageoires qui rappellent la robe portée par les évêques durant l’office. Cette créature, mi-homme, mi-poisson apparaît pour la première fois en 1433, date à laquelle elle aurait été pêchée dans la mer Baltique. Enfermé par ordre du roi de Pologne, le poisson sembla si malheureux qu’un groupe d’évêques obtint l’autorisation de le relâcher. Il plongea alors dans la mer après avoir salué d’un signe de croix la foule qui s’était réunie pour assister à l’évènement. Conrad Gesner signale, dans le livre III de son Historiae animalium, la découverte d’un autre poisson-évêque en 1531. Les gravures de Rondelet sont tirées de cet ouvrage que l’on peut consulter à la BU sciences de Lyon

 La relation que fait Rondelet d’un poisson-moine pêché au large des côtes de Norvège est assez semblable. Cette créature, mi-homme, mi-poisson, aurait « une face d’homme, mais rustique et malgracieuse, la tête rase et lise. Sur les épaules comme un capuchon de moine, deux longues pinnes au lieu de bras, le bout du corps finissant en une queue large ». Rondelet précise ensuite que ce portrait lui a été donné par Marguerite de Valois, reine de Navarre.

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mythes des Poissons

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011

mythes des Poissons dans POISSONIl est toujours question d’un poisson qui vient sauver l’humanité et parallèlement un nouveau cycle s’ouvre sur une vie nouvelle. Dans la mythologie Hindoue, c’est un poisson nommé Manou qui va sauver l’humanité d’un immense déluge et deviendra ainsi le père de l’humanité. Dans la bible, c’est Noé, homme juste qui sauvera l’humanité. Dans la mythologie grecque ce sont des dauphins qui viennent sauver de la noyade.

 

 

Dans tous les mythes apparaît l’idée d’un dieu qui prendra la forme d’un poisson .Il viendra au secours des hommes et pour sauver l’humanité en lui permettant de renaître et aussi qu’un temps d’épreuves et de purification soit nécessaire pour accéder à une vie nouvelle. Dans la tradition biblique lorsque Jonas est dévoré par la baleine, il séjourne trois jours dans le ventre de l’animal au fond des eaux avant de ressortir vivant, préfigurant la résurrection du Christ trois jours après sa mort. Nous retrouvons la symbolique du poisson sauveur au début de l’Ere chrétienne. On a découvert dans les catacombes des graphismes de poissons souvent alliés à la croix symbole de sacrifice du Christ. Si on prend la traduction grecque de  » Jésus est le Christ, le fils de Dieu, le Sauveur  » et qu’on prend la première lettre de chaque mot on obtient ICHTUS qui signifie poisson en grec.

 

 

Le poisson dessiné sur les murs des catacombes permettait aux premiers chrétiens de se reconnaître entre eux, c’était donc le symbole des premiers chrétiens et leur signe de ralliement. A ces mythes on peut ajouter celui de la petite sirène qu’Andersen rendit célèbre, celle-ci amoureuse de son beau Prince se sacrifie en silence pour qu’il soit heureux. Il y a aussi le mythe de la fuite devant la réalité de la jeune femme apprenant qu’elle était enceinte, se jeta dans l’eau pour dissimuler sa grossesse. Heureusement Neptune l’a transformée en sirène.

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Historique des poissons

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011

Historique des poissons  dans POISSON 300px-Salvelinus_fontinalis_Prague_Vltava_2Comme vous devez vous en douter, les poissons sont beaucoup plus vieux que l’homme ; ils sont apparus au Silurien plus précisément il y a 450 millions d’années. Vous imaginez ?! Pour vous donner un ordre d’idée, les dinosaures pourtant si anciens à nos yeux ne sont apparues qu’il y a 200 millions d’années et ne parlons pas des premiers hominidés qui sont apparues qu’il y a 4 millions d’années et de l’homme proprement dit qui n’est là que depuis 300 000 ans. 

Les premiers poissons, ou poissons primitifs étaient de petites tailles puis ils ont évolué et certains sont devenus les monstres des mers. Quand on pense que les requins blancs sont des «tueurs», les monstres de nos jours, c’est qu’on ne sait pas ceux qui étaient là avant lui. 

Imaginez….. vous faites de la plongé sous-marine à l’époque des premiers poissons, et vous vous retrouvez nez à nez avec un Dinichtys, pour ceux qui veulent savoir le nom. Ce poisson ne vous dit rien, je vais vous le décrire : un monstre marin de plus de neuf mètres de long, une tête gigantesque longue de 1 mètre et large de 60 centimètres qui vous paraitra encore plus impressionnante si je vous dis qu’elle est entièrement cuirassée. Bref, ceci était une époque où les poissons étaient impressionnants.

 Gobio gobioPlus tard, il y a 350 millions d’années, les poissons ont choisi entre deux destinées, une partie a décidé d’aller sur la terre ferme et les poissons sont devenus des batraciens ou des amphibiens et une autre partie a décidé de rester dans l’eau. Nous allons nous intéresser à la deuxième partie puisque mon article ne porte pas sur les batraciens et leur descendance. Que vous dire, les poissons ont tranquillement continué leur évolution étant désormais les rois des océans et des rivières jusqu’à devenir les espèces que l’ont connaît aujourd’hui. 

Mais alors qu’ils pataugeaient tranquillement dans leur élément, une espèce bizarre, sans nageoires ni ouïes, avec des jambes et un nez vinrent les enlever à leur milieu pour les mettre dans des bassins. Vous l’aurez deviné, c’est de nous qu’il s’agit. Ceci se produisit il y a 4 000 ans. Ce sont les Sumériens qui ont découvert l’aquariophilie en premiers, enfin les prêtres puisque les bassins servaient de décoration dans les temples du dieu poisson Oannes. Même si on était les premiers à les élever, ils n’étaient pas les premiers à le vénérer. En effet, il y a plus de 50 000 ans, les aborigènes d’Australie taillaient des poissons dans la pierre ; ces signes servaient d’apprentissage aux jeunes car ils n’avaient pas d’écriture. Plus tard, les hommes de Cro Magnon les dessinaient dans leurs cavernes et s’en servaient comme offrandes. 

C’est aussi les Sumériens qui ont, les premiers, inventé l’écriture dans laquelle le poisson était très important. 

300px-Georgia_Aquarium_-_Ocean_Voyager_Tunnel_Jan_2006 dans POISSONCe n’est qu’au temps des Romains que les bassins d’ornement furent aussi adoptés par les citoyens. Le célèbre Pline l’Ancien en parle même dans ses textes. C’est même à ce moment là que les bassins d’eau de mer apparurent. En Chine aussi, on a découvert des bassins d’ornements et même des gravures ressemblant fortement à des aquariums ! ! ! 

Après l’effondrement de l’empire romain, cette pratique cessa en Europe mais continua en Chine où eurent lieu de nombreux croisements et de nombreuses sélections. Ce n’est qu’après la renaissance que l’aquariophilie reprit son cours, mais à cette époque les seules espèces importées était des espèces d’Asie et quelques une d’Afrique. Il fallut attendre 1908 pour enfin voir arriver des poissons d’Amérique (vivants) dans notre bonne vieille Europe. Et devinez lequel s’était ! 

Le guppy bien sûr, ce n’est pas étonnant qu’on en trouve de toutes les formes et de toutes les couleurs. Ce poisson fut un renouveau pour les aquariophiles de l’époque, tout d’abord parce que c’était ce poisson qui allait amorcer l’importation de poissons américains et parce qu’il se reproduisait (et se reproduit toujours d’ailleurs) très vite ; ce qui plut à nos prédécesseurs puisqu’ils purent faire beaucoup de croisements. 

La suite vous la connaissez : nous, aquariophiles passionné(e)s essayant de combler au mieux nos chers petits bébés …

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Les poissons et l’eau

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011

 

Thons albacores L’eau est l’élément le plus important pour la vie de vos poissons. Il faut donc surveiller régulièrement ses caractéristiques, sa température, son pH, sa dureté, le taux de nitrites, de nitrates, etc. 

 

Quand tous ces éléments sont à leur taux optimal vos poissons sont alors dans de bonnes conditions de vie. N’oublions pas que les poissons maintenus en aquarium tombent malades principalement à cause de la mauvaise qualité de l’eau de leur aquarium. 

 

L’eau du robinet n’est pas parfaitement adaptée à l’aquariophilie. Elle contient toujours du chlore, des métaux lourds comme le cuivre, sa dureté et son taux de nitrates varient selon les régions. C’est pourquoi il faut la tester et la traiter si besoin est. L’eau de pluie est inadaptée car elle est toujours chargée en pollution, qu’elle retient pendant sa chute dans l’atmosphère. L’eau de puits peut être utilisée dans 50% des cas, des tests préalable sont nécessaires pour connaitre la teneur en nitrates et pesticides de cette eau. L’eau en provenance d’un adoucisseur domestique n’est pas adaptée car l’appareil charge l’eau d’éléments néfastes pour les poissons. 

 

gifs poissonsChaque jour vous devez regarder et vérifier que tout va bien dans l’aquarium. Pendant que vous nourrissez vos poissons regardez si le filtre fonctionne bien, jetez un oeil au thermomètre, comptez vos poissons et faite régulièrement des tests de votre eau d’aquarium. Si vous débutez vous pourrez dans un premier temps faire tester gratuitement votre eau en animalerie/jardinerie (principalement dans les grosses enseignes). Cela vous permettra de vous familiariser avec les tests et à les interpréter. 

 

Afin de surveiller les paramètres tels que le pH, la dureté, les nitrites et les nitrates, il existe dans le commerce des tests prêts à l’emploi. Dans l’ordre de précision on trouve en premier les tests électroniques, les tests sous forme de réaction chimique et les bandelettes en papier multi résultats. 

 

Association Française du Poisson Rouge

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Constellation du poisson

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Poissons 

Les Poissons sont une constellation du zodiaque traversée par le Soleil du 12 mars au 18 avril. Dans l’ordre du zodiaque, elle Image illustrative de l'article Poissonsse situe entre le Verseau à l’ouest et le Bélier à l’est. Bien qu’assez grande, elle découpe un pan du ciel éloigné du plan de la Voie lactée et ne contient que peu d’étoiles visibles, toutes assez peu lumineuses. Elle était l’une des 50 constellations identifiées par Ptolémée.

 

Les Poissons sont également un signe du zodiaque correspondant au secteur de 30° de l’écliptique traversé par le Soleil du 19 février au 20 mars.

 

La constellation des Poissons est une des constellations les plus anciennes. Son origine remonte vraisemblablement aux babyloniens qui la décrivaient déjà comme composée de deux poissons poussant un œuf géant (l’astérisme de « l’Anneau »).

 

La mythologie grecque veut que ces poissons soient les formes assumées par Aphrodite et Éros poursuivis par le monstre Typhon. Ils auraient relié leurs queues avec de la corde afin de ne pas se séparer. Les anciennes cartes du ciel nomment d’ailleurs la partie orientale Piscis Boreus et la partie occidentale Piscis Austrinus (qui n’a rien à voir avec le Poisson austral contemporain).

 

Le point « gamma », le nœud ascendant solaire, celui qu’occupe le Soleil lors de l’équinoxe de printemps, se trouve actuellement Constellation du poisson dans POISSON 220px-Steiner_Berlin_1900_bigà 8° au sud d’ω Piscium. Cependant, à cause du phénomène de précession des équinoxes, ce point se trouvait dans le Bélier pendant les deux derniers millénaires avant J.-C., c’est-à-dire au moment où le Zodiaque fut établi. En conséquence, les Poissons sont toujours considérés comme le dernier signe du Zodiaque (l’année commençait alors vers l’équinoxe de printemps) bien qu’ils soient désormais le premier. Selon Rudolf Steiner, l’entrée dans l’Ère des Poissons s’est produite en 1413 après J.C et s’achèvera en 3573; en effet une hypothèse évoque le coucher héliaque des étoiles, se trouvant à 15° du point vernal lors de l’équinoxe de printemps, comme repère pour se situer dans une constellation et non pas le point vernal (une constellation comportant en moyenne 30°, lorsque le point vernal est au milieu d’une constellation, les étoiles en coucher héliaque sont au début de cette constellation).

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Le poisson

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011

Le poisson  dans POISSON 220px-Synchiropus_splendidus_2_Luc_ViatourDans la classification classique, les poissons sont des animaux vertébrés aquatiques à branchies, pourvus de nageoires et dont le corps est le plus souvent couvert d’écailles. On les trouve abondamment aussi bien en eau douce que dans les mers : on trouve des espèces depuis les sources de montagnes (omble de fontaine, goujon) jusqu’au plus profond des océans (grandgousier, poisson-ogre). Leur répartition est toutefois très inégale : 50 % des poissons vivraient dans 17 % de la surface des océans (qui sont souvent aussi les plus surexploités). Le milieu marin étant moins accessible aux humains, de nombreuses espèces restent encore probablement à découvrir.

Ils ont un rôle fondamental pour les hommes ;

  • en tant que nourriture, partout dans le monde ; qu’ils soient pêchés dans la nature ou élevés en pisciculture.

  • ils sont aussi exploités à des fins récréatives, avec la pêche et l’aquariophilie, et sont parfois exposés dans de grands aquariums publics.

  • ils jouent et ont joué un rôle significatif dans de nombreuses cultures, en tant que déités et symboles religieux, ou sujets de contes, légendes, livres et films.

  • en jouant un rôle écosystémique important

  • en contribuant au cycles biogéochimiques, dont le cycle du carbone et en particulier en contribuant au puits de carbone océanique (voir plus bas).

220px-Macropodus_opercularis_-_side_%28aka%29 dans POISSONDans la classification phylogénétique, obtenue par application des méthodes cladistiques, le groupe des poissons est généralement considéré comme paraphylétique et n’existe donc plus en tant que « classe » dans la taxinomie moderne, mais seulement comme grade évolutif primitif des Vertébrés. Selon leur phylogénie, les poissons actuels sont principalement répartis dans les taxons des Chondrichtyens, des Actinoptérygiens, des Dipneustes, des Actinistiens, des Myxinoïdes et des Pétromyzontides.

Le premier inventaire ichtyologique de France semble être celui de Belon P., en 1555, intitulé La nature et la diversité des poissons avec leurs portraits représentés au plus près du naturel.

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Définition du poisson

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011

Le terme « poisson » est plus précisément employé pour désigner les chordés non tétrapodes, c’est-à-dire un animal avec une colonne vertébrale possédant des branchies toute sa vie et qui peuvent posséder des nageoires. Les poissons ne forment pas un groupe phylogénétiquement homogène, à l’inverse des oiseaux ou des mammifères.

Définition du poisson dans POISSON 260px-Whale_shark_Georgia_aquariumUn poisson typique est « à sang froid » ; il possède un corps allongé lui permettant de nager rapidement ; il extrait le dioxygène de l’eau en utilisant ses branchies ou un organe respiratoire annexe lui permettant de respirer le dioxygène atmosphérique ; il possède deux paires de nageoires, les nageoires pelviennes et latérales, habituellement une ou deux (plus rarement trois) nageoires dorsales, une nageoire anale et une nageoire caudale; il possède une double mâchoire pour les gnathostome et simple pour les agnathes ; il possède une peau généralement recouverte d’écailles ; ovipare, il pond des œufs et la fécondation peut être interne ou externe.

Chacune de ces caractéristiques comporte toutefois des exceptions. Les thons, les espadons et certaines espèces de requins sont entre sang chaud et sang froid, et peuvent élever leur température corporelle au-dessus de celle de l’eau ambiante. La forme du corps et les performances natatoires varient considérablement des nageurs très rapides capables de parcourir dix à vingt  dans POISSONlongueurs de leur corps par seconde (thons, saumons) aux poissons très lents mais mieux manœuvrants comme les anguilles ou les raies) qui ne dépassent pas 0,5 longueur par seconde. Plusieurs groupes de poissons d’eau douce extraient le dioxygène de l’air comme de l’eau en utilisant des organes variés. Les dipneustes possèdent deux poumons similaires à ceux des tétrapodes ; les gouramis ont un « organe labyrinthe » qui fonctionne de la même manière ; les Corydoras extraient le dioxygène par l’estomac ou l’intestin. La forme du corps et la position des nageoires varient énormément, comme en témoigne la différence entre les hippocampes, les lophiiformes, les poissons globes ou les saccopharyngiformes. De même, la surface de la peau peut être nue (murènes) ou couverte d’écailles de différents types : placoïdes (requins et raies), cosmoïdes (cœlacanthes), ganoïdes, cycloïdes et cténoïdes. Certains poissons passent même davantage de temps hors de l’eau que dedans, comme les périophthalmes qui se nourrissent et interagissent entre eux sur des terrains boueux et ne retournent dans l’eau que pour se cacher dans leur terrier. Certaines espèces peuvent être ovovivipares ou vivipares.

La taille d’un poisson varie du requin baleine de 16 m au Schindleria brevipinguis d’à peine 8 mm.

Quelques espèces de poisson dulçaquicole disposent de poumons, si les Erythrinus de l’Amazone extraient 60% du dioxygène dont ils ont besoin avec ceux-ci, les poumons sont l’unique moyen de respiration des Arapaima gigas ou des gymnotes.

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L’ère du poisson à l’ère du verseau

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011

 

Devant le problème d’échelle de valeur selon « chacun », Rudolf Steiner a écrit en 1894 son livre intitulé « La philosophie de la liberté.

 

L'ère du poisson à l'ère du verseau  dans POISSON 220px-HermesTrismegistusCaucCe livre décrit « Le penser » comme acte de liberté. Car penser n’est ni objectif ni subjectif, donc ne crée pas d’échelle de valeur. Cela consiste à penser ce qui est en soi et pour soi sans parti pris. Les valeurs naissent quand je m’approprie une certaine « pensée » et que je la mets comme point de référence. Or si je me maintiens dans le mouvement qu’opère le penser, je ne me fige pas dans une pensée, ainsi n’apparaît pas d’échelle de tri. Ayant le sentiment que son livre La philosophie de la liberté n’a pas été compris à sa parution en 1894, Rudolf Steiner a créé l’anthroposophie. Certains pouvoirs empêchent les hommes de retrouver le pur penser en les maintenant dans la foi, d’autres comme Rudolf Steiner, dans sa philosophie de la liberté ont cherché à contribuer à l’évolution de l’âme. La foi n’est pas à rejeter mais à comprendre comme un principe d’évolution car nous avons tous besoin de nos parents comme guides, étant enfants et de croire en eux et ensuite nous partons vivre de nos propre ailes.

 

On ne trouve pas ici un problème de « supérieur » et d’ « inférieur » mais bien ce que Hermès Trismégiste disait : « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas et ce qui est en bas est comme ce qui est en haut », et pour Rudolf Steiner entre les deux se trouve « le Penser » car même le « supérieur peut devenir extrême mais il retrouve son équilibre à l’aide de l ‘inférieur ». Le Penser permet de rétablir l’harmonie et d’effacer la chute du paradis qui a été provoquée par des « supérieurs ».

 

Le « penser » de l’homme nouveau

 

Le Verseau qui émergera de la période du poisson donnera un homme qui ne pensera plus selon l’intellect ordinaire. Ceci est Gea_Diosa_madre_tierra_1_2 dans POISSONdésigné habituellement sous le nom d’entendement et raison symbolisé par deux poissons. Les critères de subjectif, ou d’objectif n’auront plus lieux d’être, car le penser nouveau ne consommera plus au fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal mais puisera ses Pensées pur à l’arbre de vie. Comprenons bien, que l’intellect humain prônant le Bien n’est que l’outil de Lucifer pour assujettir l’homme dans sa sphère de chute et de domination. L’image est clair, un homme déversant de l’eau, symbole des pensées intuitive, pensées qui ne sont pas de ce monde. Pas mes pensées, mais le penser en Moi, ou selon l’expression ésotérique de Rudolf Steiner : « Cela pense en moi, cela ressent en moi, cela agit en moi. Précepte que l’on retrouve déjà dans la rose-croix. EDN IJM PSSR selon Christian Rosenkreutz Né de Dieu Mort en Jésus Ressuscité par le Saint Esprit.

Selon ce point de vue, les mystères ésotériques ont ainsi levé leurs voiles, mais cela ne sera effectif pour un plus grand nombre qu’à partir de 2493. Et, ainsi, pourra se lever le jour nouveau de l’ère du Verseau en 3573.

 

-          Pour Paul Le Cour (1871-1954), l’Ère des Poissons a commencé à la naissance de Jésus-Christ et prendra fin en 2160. Elle correspondrait à la période pendant laquelle le point vernal se trouverait au moment de l’équinoxe de printemps dans le signe des Poissons (un douzième du cercle zodiacal).

 

 

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Évolution du poisson

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011

  

Évolution du poisson dans POISSON 220px-LeafydragonDans un contexte évolutif, l’ensemble des taxons désignés par le terme poisson n’est plus considéré comme tel, ces taxons ayant des histoires évolutives différentes et formant donc différents clades.

Certains pensent que les poissons ont évolué à partir d’une créature du type ascidie (dont les larves ont des ressemblances avec les poissons primitifs) ; les premiers ancêtres des poissons auraient alors conservé leur forme larvaire à l’état adulte par néoténie, mais l’inverse est aussi possible. Les fossiles candidats au statut de « premier poisson » connus sont Haikouichthys, Myllokunmingia et Pikaia.

Les tous premiers fossiles de poissons ne sont guère nombreux, ni de bonne qualité : peut-être les poissons primitifs étaient-ils rares ou mal fossilisables ou les conditions taphonomiques mauvaises. Cependant, le poisson devint une des formes de vie dominantes du milieu aquatique et a donné naissance aux branches évolutives menant aux vertébrés terrestres comme les amphibiens, les reptiles et les mammifères.

L’apparition d’une mâchoire articulée semble être la raison majeure de la prolifération ultérieure des poissons, car le nombre 220px-Hiroshige_Grey_mullet_and_camellia dans POISSONd’espèces de poissons agnathes devint très faible. Les premières mâchoires ont été trouvées dans les fossiles de placodermes. On ignore si le fait de posséder une mâchoire articulée procure un avantage, par exemple pour la préhension ou la respiration.

Les poissons ont aussi coévolué avec d’autres espèces (prédateur, pathogènes et parasites notamment, mais aussi parfois des espèces symbiotes). Durant leurs migrations (longues et sur de longues distances pour les saumons et lamproies, et plus encore pour les anguilles), ils peuvent transporter (Dispersion (biologie) (Dispersion) un certain nombre de propagules d’autres organismes (ectoparasitisme, endozoochorie, oeufs viables non-digérés….)

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Bibliographie du poisson

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011

 

  1. Exposition virtuelle disponible sur le site de la Bibliothèque Nationale de France, et consacrée aux « Merveilles de la mer ».

 

  1. Biographie sur les poissons

 

Exemples de poissons marins

 

Atlas de l’aquariophilie, tome 1 : Eau douce : Auteur : Collectif

Le guide de l’aquarium d’eau douce :  Auteur : Henri Favre
Choisir ses poissons d’eau douce :  Auteur : Sophie Gobert

Créer un aquarium d’eau douce : Auteur : Hachette

Poissons et aquariums : Installez et faites vivre votre aquarium :  Auteur : Gireg Allain  

 

Le livre des poissons : http://www.encyclopeche.com/poissons.htm 

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L’ Oiseau Messager 1

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011

L' Oiseau Messager 1 dans OISEAUX unidad
Laïla nous a fait prendre conscience dans son livre que tout comme nous les humains, les animaux souffrent moralement et souffrent également dans leur corps. Une découverte qui risque de surprendre : les oiseaux aussi communiquent ; il suffit de les écouter. Ils ont parfois des messages importants à nous faire passer. 

Message de La bergeronnette 

Un jour, je donnais un stage dans le Jura. Nous étions dans une sorte de buvette. Dehors il faisait froid et il pleuvait des trombes. Un petit oiseau, une bergeronnette, vint à la fenêtre et nous observa. Tout le monde la remarqua. Elle semblait régner sur les lieux avec beaucoup d’assurance. Elle se posa sur le bord de la fenêtre, regarda notre groupe de ses petits yeux perçants, avec curiosité, puis arrangea ses belles plumes avec son petit bec et s’envola soudainement. Vingt minutes après, elle revint, dessina plusieurs cercles autour de la buvette et se posa à nouveau sur le bord de la fenêtre. 

Elle semblait nous dire : « Ah ! Vous êtes encore là ! ». C’est comme si nous étions des enfants qui faisions du théâtre. Le groupe était en pleine répétition. Très occupée, elle virevoltait et venait juste de temps à autre jeter un coup d’œil par la fenêtre pour s’assurer que tout allait bien. Le deuxième jour, après le déjeuner, elle se mit à taper à la fenêtre avec son bec avec insistance. Des petits tapotements réguliers. Nous la regardions sans comprendre, mais elle ne partait pas, elle continuait à taper comme pour dire : « Allez, allez, ouvrez, c’est moi ! » Alors nous ouvrîmes la fenêtre malgré le froid en pensant qu’elle avait faim. Une stagiaire posa des miettes de pain mais elle s’envola aussitôt. Ce n’était pas du pain qu’elle voulait. À ce moment-là une des étudiantes réalisa ce qui se passait. Elle se rappela qu’il fallait ouvrir la fenêtre régulièrement parce que le chauffage à charbon de la buvette était déficient. Notre petite bergeronnette nous avait tous sauvés d’une belle intoxication ! Plus tard dans la journée, l’oiseau apparut encore une fois à la vitre comme pour s’assurer que tout allait bien. Nous lui étions tous très reconnaissants. C’était notre petit ange gardien à plumes… 

Les sceptiques diront qu’il s’agit d’une coïncidence et pourquoi aller chercher des explications saugrenues…..Mais ils ont tort, quelque part ce genre de réflexion est dû à une certaine peur de l’incompréhensible et de l’inconnu. 

Autre exemple tout aussi révélateur de la grandeur de ces oiseaux messagers

http://www.chezkat.com/les-oiseaux-messagers-laila.php Extraits du livre de Laïla del Monte « Communiquer avec les animaux« , paru aux Éditions Véga.
Laïla Del Monte – Communicatrice animal – Californie – USA – Tél : 001 818-758-9697 – Site web :
www.lailadelmonte.com– email : Laïla Del Monte

 dans OISEAUX

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L’ Oiseau Messager 2

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011

Laïla nous a fait prendre conscience dans son livre que tout comme nous les humains, les animaux souffrent moralement et souffrent également dans leur corps. Une découverte qui risque de surprendre : les oiseaux aussi communiquent ; il suffit de les écouter. Ils ont parfois des messages importants à nous faire passer. 

Message de l’oiseau Sunshine 

L' Oiseau Messager 2 dans OISEAUX madretierraUn jour on m’appela pour un petit oiseau : Sunshine. Il avait de jolies plumes blanches et argentée. Sa gardienne était très malade, souffrait d’un cancer et ne pouvait pas quitter son lit. La communication était utile pour savoir s’il voulait être adopté par Patti, une amie de cette dame ou s’il voulait rester avec elle. Je pris sa photo entre mes mains, fermai les yeux et me glissai dans la maison. Cela sentait le moisi et la mort. Tout était obscur lourd. Il y avait un gros matou tigré qui déambulait dans l’appartement, ne sachant pas où se mettre. Je m’approchai de la cage où se trouvait Sunshine, ses plumes brillaient dans l’obscurité. Je sentis le lit pas loin et la présence de la femme malade. Je reçus une pensée sous la forme d’une petite voix fine et fluette me dire : » je veux rester avec elle jusqu’à la fin… » 

Sunshine avait une belle voix, il aimait chanter. Quand il chantait, toute la maison se remplissait de joie et de lumière. Même le chat l’écoutait. Il n’y avait plus de barreaux, plus de tristesse, tout devenait espace infini. Peut-être chantait-il pour guérir sa gardienne, mais cela ne marchait pas. À présent, Sunshine ne chantait plus. Au fur et à mesure que la maladie progressait, la maison devenait de plus en plus sombre et silencieuse. Quelquefois, Sunshine communiquait avec le matou qui faisait sa toilette matinale sous la cage. Ils n’avaient plus grand-chose à se dire. « On dirait qu’elle va bientôt nous quitter. C’est Patti qui nous donne à boire et à manger tous les jours. » 

colombeL’ambulance arriva pour emmener la dame à l’hôpital. Le lendemain, Patti vint nourrir Sunshine et le matou. Elle s’approcha de la cage. Sunshine gisait dans sa cage, ses belles plumes toutes raidies, sa belle voix éteinte pour toujours. Il s’était envolé comme une plume légère, pour accompagner sa dame vers la lumière. 

J’ai pleuré quand elle me l’a raconté, moi aussi la voix de Sunshine m’avait touchée. Et puis j’ai pensé à cette ancien proverbe chinois qui dit : « Un oiseau ne chante pas parce qu’il a une réponse, il chante parce qu’il a une chanson. » 

Personnellement, je crois que tous les animaux savent communiquer entre espèce. Tous les animaux savent, mais il me semble que pour les oiseaux, c’est naturel ; peut-être parce qu’ils ont la possibilité de se déplacer si facilement entre ciel et terre, peut-être parce qu’ils ont l’esprit léger. 

Moi aussi j’ai eu de l’eau dans les yeux, quand j’ai parcouru ces lignes. Quelle extraordinaire leçon de vie de la part de ce petit oiseau. En serions-nous capables !

 

 

http://www.chezkat.com/les-oiseaux-messagers-laila.php Extraits du livre de Laïla del Monte « Communiquer avec les animaux« , paru aux Éditions Véga.
Laïla Del Monte – Communicatrice animal – Californie – USA – Tél : 001 818-758-9697 – Site web :
www.lailadelmonte.com– email : Laïla Del Monte

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Le monde des Oiseaux

Posté par othoharmonie le 4 novembre 2011

Légende des peuples amérindiens. 

 

Au début du monde, le Créateur, que les Indiens Abénakis appellent Tabaldak, créa la terre et pour eux, la terre devin le jardin de Tabaldak. Depuis ce jour, la vieille Terre-Mère donne les plantes qui nourrissent et les plantes qui soignent. Tabaldak avait créé tout ce dont les hommes avaient besoin pour vivre sur terre. Il avait tout créé ou presque, car pour les Indiens, le Créateur n’est pas parfait, sinon il aurait créé tous les Indiens parfaits…

 

Ara militaireTous les Indiens étaient en extase devant la création, jusqu’au moment où Ours Blanc décida de mettre son gros manteau blanc sur le pays et souffla son halène froide pour faire arriver l’hiver. A cette poque, les Indiens vivaient la majeur partie de leur temps dans le Tipi et les petits Papooses sont vite devenus bien tristes. Ils n’avaient plus rien pour s’amuser, sauf les cendres du feu qui paraissaient à peine tièdes tellement le froid était intense.  Durant l’été, ils avaient joué avec les feuilles de l’arbre sacré. Ils en avaient fait des colliers, des panaches, des papillons et ils avaient aussi joué avec le ruisseau. Mais avec la neige qui avait tout recouvert de blanc, tous leurs jouets avaient disparu et ils étaient devenus bien tristes. Tellement tristes que grand-maman Marmotte le remarqua et décida d’aller vois Tabaldak. Elle lui dit :

 

« Tu as créé de bien belles choses pour tes enfants adultes. Tu as tout donné pour qu’ils puissent bien vivre. Mais tu as oublié mes petits Papooses ».

 

Tabaldak réfléchit un instant et approuva grand-maman Marmotte. Il promit d’arranger les choses. Aussitôt que le printemps pointa son nez, il se mit à réfléchir à ce qu’il pourrait bien créer pour leur rendre l’hiver plus agréable. C’est alors qu’il se rappela avoir vu les enfants jouer avec les feuilles de l’arbre sacré. Il décida donc de créer les Oiseaux. Mais dans sa hâte de faire plaisir aux enfants pour l’hiver prochain, il créa les Oiseaux tous blancs de la même couleur que l’hiver.

 

Les enfants furent très heureux de cette création. Vous auriez dû les voir jouer avec les huards, les canards, les sarcelles, les perdrix, les pic-bois, les hirondelles,  les gros-becs, les rossignols, les bruants, les chardonnerets, les mésanges, les merles, les moineaux et les colibris. Les Papooses ont passé le printemps, l’été et même l’automne à s’amuser avec leurs nouveaux amis les Oiseaux.

 

Lorsqu’Ours Blanc jeta de nouveau son gros manteau blanc sur le dos de la Terre-Mère, les enfants se rendirent compte que les oiseaux étaient de la même couleur que la neige et qu’ils pouvaient à peine les voir. Même les oiseaux étaient bien embêtés pour se reconnaître entre eux. Ils étaient tous de la même couleur. Ils retournèrent dans leur tipi avec encore beaucoup de tristesse. Grand-maman Marmotte vit la tristesse des enfants. Elle retourna voir Tabaldak et lui dit :

 

Aras macao« Tabaldak, je crois que tu as créé les Oiseaux un peu trop vite. Tu as donné aux adultes une nature toute colorée à ton image, mais tu as oublié que les petits enfants méritaient aussi ces mêmes couleurs pour leurs Oiseaux ».

 

Tabaldak réfléchit et finit par dire à grand-maman Marmotte : « Tu as bien raison. Je vais réparer mon erreur. Appelle tous les oiseaux et dis-leur de se rassembler ici devant moi ».

 

Pendant ce temps, Tabaldak alla prendre du brun terre, du vert pelouse, du vert arbuste, du bleu ciel, du jaune soleil, du rouge feu, du gris nuage et fabriqua de merveilleuses teintures qu’il mit dans de magnifiques pots en écorce de bouleau que grand-maman Marmotte avait fabriqués pour lui. Les pots sentaient bon l’écorce fraîche.

 

Tabalkak plaça les pots de teinture devant lui. L’oie blanche s’avança la première près de Tabalkak et lui donna une plume afin qu’il puisse colorer les oiseaux. L’oie blanche lui dit : « Prends ma plume pour faire ton travail de création. Moi je resterai blanche afin que tes enfants s’en rappellent. Chaque année, je passerai au-dessus de leur territoire pour qu’ils se souviennent de toi ».

 

Jusqu’à ce jour, l’oie blanche n’a pas encore manqué à sa parole. Chaque printemps, de la fin mars jusqu’à la fin mai, près d’un million d’oiseaux fréquentent les berges du lac Saint-Pierre à Baie-du Fèbvre. Des milliers d’ornithologues amateurs et les amants de la nature se donnent rendez-vous le long des zones inondées pour observer le retour spectaculaire des oies blanches. Le Créateur commença donc son travail. Avec le rouge et le brun, il colora le merle. Avec le bleu il donna ses couleurs à l’hirondelle. Avec le jaune, il colora le chardonneret et ainsi de suite, jusqu’à ce que tous les oiseaux soient recouverts des couleurs de la nature. Vous pourriez même, si vous prenez le temps d’observer les Oiseaux, deviner où Tabaldak a pris la teinture pour colorer chaque oiseau que vous observez. Il n’y a pas de couleur sur un oiseau qui n’est pas dans la nature.

 

Pendant qu’il faisait son travail avec patience, un Oiseau le dérangeait constamment. Il criait, battait de l’aile bruyamment, bousculait les autres et oubliait de partager la joie de ses frères. Il alla même devant le Créateur pour l’insulter en lui disant que ses teintures étaient bien belles, mais passez brillantes pour les mettre sur son magnifique plumage. Patiemment, le Créateur continue son travail. L’oiseau était de plus en plus dérangeant, battant de l’aile et criant constamment. Il revint devant le Créateur encore une fois et d’un coup d’aile renversa tous les pots de teinture. Les teintures en se renversant se mélangèrent et devinrent toutes noires. Vous auriez dû voir grand-(maman Marmotte derrière le tipi. Elle était dans tous ses états, n’en croyant pas ses yeux de voir ce que l’oiseau avait fait.

 

Le monde des Oiseaux dans OISEAUX corbb1Le Créateur, dans sa grande patience, ramassa la teinture noire et le remit dans un nouveau pot que grand-maman Marmotte avait apporté. Il reprit sa plume et continua son travail. L’oiseau dérangeant revint une troisième fois devant lui pour l’insulter à nouveau, mais cette fois-ci, Tabaldak saisit l’animal par les pattes, le plongea dans la teinture noir et le leva très haut au bout de son bras en lui disant : « Telle est ta volonté mon bel oiseau et telle est ma volonté. Parce que tu l’as bien voulu, tu seras toujours un oiseau dérangeant et bruyant. Tu auras toujours un vol lourd et bruyant. Les autres oiseaux te craindront et les animaux te fuiront on t’appellera le CORBEAU ».

 

Et il laissa partir l’oiseau. Mais ce n’était pas le dernier oiseau? Le dernier oiseau arriva humblement devant  Tabaldak. Il excusa le comportement effronté du corbeau et dit au Créateur : « Tabaldak, je regrette le geste du corbeau. J’aurais voulu que tu couvres mes plumes de l’arc-en-ciel de ta création. J’aurais pu, ainsi coloré, voler très haut vers le soleil et tracer de grands cercles pour que tes enfants puissent y voir toute la puissance. J’aurais voulu être ton symbole pour tes enfants ». Le Créateur fut bien ému par les paroles de l’Oiseau. Il dit à l’animal : « Ouvre bien grandes tes ailes ».

 

Il prit alors sa plume et la plongea dans la teinture noire. Il en mit un peu sur le bout des ailes, un peu autour du cou. Il en mit aussi un peu sur la queue et balaya tendrement le dos de l’animal en lui disant : « Telle est ta volonté mon bel oiseau et telle est ma volonté. Tu seras mon symbole. Tu voleras très haut pour travers le cercle sacré. J’y mettrai toute ma puissance et mes enfants le verront. Tu seras le seul animal à regarder le soleil bien en face. On t’appellera l’AIGLE. Et pour s’en rappeler, chaque fois qu’un de mes enfants plantera un poteau dans le sol pour y graver ses symboles et ses totems, tout en haut il placera tes aigle-royal dans OISEAUXailes pour me symboliser. Tu seras un guide pour mes enfants. Telle est ta volonté mon bel Oiseau et telle est ma volonté.

 

Je veux que vous sachiez que depuis ce temps-là les Amérindiens utilisent les plumes de l’aigle pour s’en faire de belles décorations et qu’il y a toujours une plume d’aigle attachée à la pipe sacrée.

 

Cette légende est encore très vivante dans le village Abenakis d’Odanak au Québec (ou Abénaquis). Le nom d’Abénaqui provient des termes wabun (la lumière) et a’Ki (la terre), on peut donc les désigner comme « peuple du matin », « peuple du soleil levant » ou « peuple de l’Est. » Comme le nom originel de leur territoire correspond à ce qui est désormais la Nouvelle-Angleterre, le terme Wabanaki est parfois utilisé pour désigner tous les peuples dans la région parlant des langues algonquiennes: les deux tribus d’Abénaquis, les Micmacs, les Malécites et les Passamaquoddy. 

Extrait de « La Roue de Médecine » de Sun et Wabun Bear

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